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/! (shazmin) wicked game.
Jeu 14 Juin 2018 - 16:41
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
C'est à croire. C'est à croire qu'il suffit de la simplicité des mots raccrochés les uns aux autres pour lui tirer l'esquisse de ses premiers sourires. De ces messages glissés dans le secret des livres pour égrener les premières notes de son rire. Les errances littéraires suscitent l'impudeur de ces joies frivoles, des allures de complicité et de courses un peu folle. C'est là tout le charme de leur étrangeté, cette proximité qu'on s'imagine. A la fois tangible et illusoire, un charme d'interdit qu'on peine à pleinement saisir. Mais toutes ces choses là, tous ces non-dit, conservent un rien d'attractif. Le secret de l'inconnu des imaginations qu'on débride. Il faut donc louvoyer, oser les provocations coulées entre deux vers, les confidences aux relents presque sincères. Dans la bibliothèque, au milieu des odeurs de livres et de café froid, elle se sent spéciale. Elle se sent artiste d'un monde flottant, muse d'un univers qui n'a pour seul fondation les bases branlantes de son imagination. Comme si entre ces étagères, rien n'était impossible. Comme si leur sphère toute entière n'était soumise qu'à une seule contrainte, un dogme, une sorte de règle universelle et indéfinissable pourtant, qui refuse en réalité d'en accepter d'autres : il est interdit d'interdire. Les visages se parent de ce charme particulier qu'on retrouve enfermer entre les pages, une beauté qui joue de tous les mots, de toutes les phrases possibles et imaginables. Jazmin. Doux, son sourire l'est, dissimulé derrière les pages. Doux, comme une caresse, léger comme un pétale, espiègle comme une mimique de chat.
Elle déambule sans grande attention, glissant son doigt le long des lignes. Un secret partager entre les livres. Un secret glissé au creux des pages. On l'a dit fêtarde, irresponsable. On l'a dit frivole, légère. Pourtant, et ça personne ne le notifie ; elle est très bonne élève. Ce qui explique sa présence ici. La fin de l'année, les examens, période bien compliquée pour tous les étudiants sorciers. La gamine s'arrête devant une étagère ; elle s'aventure dans un autre livre, une autre histoire. Et elle fini par se perdre après les quelques lignes du début de son livre. Son esprit divague de nouveau en pensant à lui. Elle ne peut que battre des paupières en s'accrochant à cette sensation diffuse qui s'attarde dans l'air. Une sensation forte, pensante. Ça se dessine juste là, sur la courbe de sa joue, ou encore ici, sur la raideur du cou. Ça fait à peu près une semaine qu'elle essaye de ne pas y penser ; plusieurs jours qu'elle est sevré, petite droguée. « Merde … » Une rechute. Entre ses lèvres, ça sonne comme la plus impropre des incongruités. Elle redresse son visage, le regard soudainement plongé dans le vide. Ses mèches ébouriffés autour de son visage, c'est comme un nid mordoré, un désordre espiègle de ces enfants de la Méditerranée. Elle ferme brutalement son livre et le range pour en en reprendre un autre. Ce n'est vraiment pas le moment.
Elle déambule sans grande attention, glissant son doigt le long des lignes. Un secret partager entre les livres. Un secret glissé au creux des pages. On l'a dit fêtarde, irresponsable. On l'a dit frivole, légère. Pourtant, et ça personne ne le notifie ; elle est très bonne élève. Ce qui explique sa présence ici. La fin de l'année, les examens, période bien compliquée pour tous les étudiants sorciers. La gamine s'arrête devant une étagère ; elle s'aventure dans un autre livre, une autre histoire. Et elle fini par se perdre après les quelques lignes du début de son livre. Son esprit divague de nouveau en pensant à lui. Elle ne peut que battre des paupières en s'accrochant à cette sensation diffuse qui s'attarde dans l'air. Une sensation forte, pensante. Ça se dessine juste là, sur la courbe de sa joue, ou encore ici, sur la raideur du cou. Ça fait à peu près une semaine qu'elle essaye de ne pas y penser ; plusieurs jours qu'elle est sevré, petite droguée. « Merde … » Une rechute. Entre ses lèvres, ça sonne comme la plus impropre des incongruités. Elle redresse son visage, le regard soudainement plongé dans le vide. Ses mèches ébouriffés autour de son visage, c'est comme un nid mordoré, un désordre espiègle de ces enfants de la Méditerranée. Elle ferme brutalement son livre et le range pour en en reprendre un autre. Ce n'est vraiment pas le moment.
(c) DΛNDELION
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Ven 15 Juin 2018 - 20:36
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Ces dernières semaines, tes pensées sont dissipées, il y a bien trop de choses qui tourne en boucle, pourtant il faut que tu te concentre, la fin d'année est déjà là, t'as prit du retard dans certains de tes cours, tu dois mettre les bouchées doubles pour accéder à ta dixième et dernière année. Pieds de plombs et tête ailleurs, tu as finalement choisi d'étudier à la bibliothèque, il n'y a que là que ton cours d'histoire politique ne te donneras pas d'envie suicidaire. Ce cours est ton point faible, il ne t'intéresse pas, tu trouves la politique ennuyeuse, trop de blabla, de manipulation, tu n'aimes pas ça. Toi c'est la justice qui te fait vibrer, les inégalités te donnent envie de te lever pour défendre ceux qui en sont incapables. Tu as un travail à rendre à mrs Rosebury, ton absence lors de son séminaire ne lui a pas plût visiblement Monsieur Muller, vous me ferez cinq parchemins sur la place des femmes dans la société, sorcière bien entendu. Puisque vous semblez suffisamment maîtriser le sujet que pour vous passez de mes conseils. Vieille chouette, tu as râlé, mais tu t'appliques tout de même. T'as beau être l'archétype du dragueur / sorteur, t'en demeure pas moins l'un des meilleurs de ta promo. Tu as l'esprit de compétition, tu ne tolères aucun échec.
Tes parchemins s’étalent sur une table du fond, tu commences à avoir mal la tête, trop de concentration, trop de whisky dans le sang ces derniers temps également. Les vacances vont arriver et tu espères qu'elles te feront le plus grand bien. Les ressources ne sont pas faciles à trouver, tu dois chercher dans la réserve, dans des parchemins anciens autant que récents, j'en peux plus là ! Tu laisses tomber la tête sur la table dans un geste dramatique, ton crâne va exploser, tu prends une gorgée d'eau pour te rafraîchir, hydrater ton corps et ton cerveau avant de te lever à la recherche de nouvelles informations. Tes doigts glissent le longs des rangées, tu cherches un livre en particulier, tu changes d'allée pour découvrir une silhouette familière, agréable souvenir, parfum de trop peu, t'approches en silence, ton souffle caressant sa nuque, un sourire se pose sur tes lèvres quand tu prends la parole je sais pas si je suis déçu ou rassuré... Déçu qu'elle ne t'ait pas laissé l'occasion de lui dire au revoir ou rassuré de voir que ce n'était pas un mirage dans une nuit sans lune. C'est elle, la belle Hécate, le renouveau, ce vent de fraîcheur qui souffle sur ta vie depuis que tu as croisé son chemin par hasard, ou pas, une nuit.
Tes parchemins s’étalent sur une table du fond, tu commences à avoir mal la tête, trop de concentration, trop de whisky dans le sang ces derniers temps également. Les vacances vont arriver et tu espères qu'elles te feront le plus grand bien. Les ressources ne sont pas faciles à trouver, tu dois chercher dans la réserve, dans des parchemins anciens autant que récents, j'en peux plus là ! Tu laisses tomber la tête sur la table dans un geste dramatique, ton crâne va exploser, tu prends une gorgée d'eau pour te rafraîchir, hydrater ton corps et ton cerveau avant de te lever à la recherche de nouvelles informations. Tes doigts glissent le longs des rangées, tu cherches un livre en particulier, tu changes d'allée pour découvrir une silhouette familière, agréable souvenir, parfum de trop peu, t'approches en silence, ton souffle caressant sa nuque, un sourire se pose sur tes lèvres quand tu prends la parole je sais pas si je suis déçu ou rassuré... Déçu qu'elle ne t'ait pas laissé l'occasion de lui dire au revoir ou rassuré de voir que ce n'était pas un mirage dans une nuit sans lune. C'est elle, la belle Hécate, le renouveau, ce vent de fraîcheur qui souffle sur ta vie depuis que tu as croisé son chemin par hasard, ou pas, une nuit.
(c) DΛNDELION
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Ven 15 Juin 2018 - 23:03
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
À l'instar d'une incantation, ses pensées l'ont comme appelé. Lui, celui qui la tourmente autant qu'il lui fait du bien. Lui, ce grand dadais d'un mètre quatre-vingt-dix qu'elle n'a pas été foutu de remarquer ces neufs dernières années ; et qui pourtant, le croise bien trop souvent maintenant. Sursaut ; le livre que la gamine tient dans les mains se fracasse sur le bois. Le destin se fout vraiment de ta gueule. Et c'est peu dire. Il est là, et si elle ne se retourne pas, elle le sent par contre. Elle sent son souffle caresser sa nuque, et elle en frisonne. D'envie, de joie, de plaisir. L'appétit dans le dos, la peur au ventre de faire une rechute. Il est trop près. Alors c'est à contrecœur qu'elle ramasse son livre pour le ranger, et qu'elle s'éloigne de quelques pas. Assez loin pour ne pas être tenté, mais en restant assez près quand même. Parce qu'elle veut sentir son parfum ; la chaleur qu'il dégage. Les droguées ça n'a pas de limites paraît-il, c'est désespéré, et bien, c'est vrai. Elle veut garder une distance tout en étant proche. Paradoxale, rien n'est normal. Qu'est-ce qu'il l'est depuis qu'elle le connaît ? Rien. C'est bien ça le problème. La normalité, la sienne se dissolve ; se mue en quelque chose qui lui fait peur. « Il va falloir se décider. » Petit sourire au coin des lèvres. L'ironie sonne dans sa voix ; c'est presque une provocation, venant d'elle c'est naturelle. Jazmin sait de quoi il parle. Il parle évidemment de la dernière nuit, celle de trop. Celle qui sème le doute, la confusion. Alors pour y remédier, la gamine est partie pour remettre les 'choses' en place ; comme elle le fait à chaque fois. Elle n'est pas de ces gens qui restent, qui prennent le petit-déjeuner. De toute manière, est-ce qu'il lui aurait offert ? Et toi, t'en aurais eut envie ? Elle s'est posé la question à de nombreuses reprises en sortant de chez lui, et la réponse la dérange toujours autant. À tort ou à raison, elle s'est fait une image de Sasha. Celui du séducteur, qui enchaîne les conquêtes bien plus que les livres. Tiens, ça te ressemble ça. Pas le genre à chouchouter la donzelle du soir, et qui pourtant lui miroite parfois l'inverse. C'est tendancieux. Ça titille son esprit, ses pensées. La gamine est un peu énervée, un peu à cran ces derniers temps. Parce qu'elle est en manque, parce qu'il y a les examens. Elle marche pour faire le tour de la table ; creusant un peu plus la distance, elle ne reste pas en place. « Le bal … C'était vraiment bien. » Tu parles de pendant ou après ? Et puis qu'est-ce qu'elle fait à se rappeler de son dernier rail ; c'est le meilleur moyen de rechuter. Elle finit enfin par le regarder, plongeant ses pupilles dans les siennes. Ça soulage, ça fait du bien de le voir. Que va-t-elle apprendre aujourd'hui ?
(c) DΛNDELION
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Sam 16 Juin 2018 - 16:47
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
petite ambiance
Pied de nez de cet enfoiré de destin, tu pouvais la croiser n'importe où ta concentration ne serait pas requise, mais ici ? C'est pas sérieux ! Comment tu pourrais retourner à tes parchemins en sachant que son corps se trouve à quelques mètres ? Tu la sens vibrer alors que tu n'as pas encore posé un seul geste sur elle. Ça t'amuse pas vrai ? T'aimes cette sensation, cette tension, même si t'es le premier frustrer au fond. T'es fier, comme d'hab, petit con de compet', ton regard détaille ce corps que tu connais désormais, pas assez cependant. Mutine, ironique, Jazmin répond, quelques mots qui mettent en lumière tellement plus. Toujours plus. Tu devrais te décider sur tes intentions, parce que tu veux la voir, l'avoir, plus, t'as envie de son corps contre le tien chaque nuit. Tu veux ce silence, ce calme. Oeil du cyclone, tu sais qu'elle est redoutable, c'est ça qui te plait, t'attire, lumière trop puissante pour l'insecte que tu es, tu te brûlerais cent fois pour une nuit en plus avec elle. Une nuit d'un sommeil sans rêve, nuit douce et apaisée, elle à ce pouvoir Jazmin. Elle inhile tes démons, démolis tes murailles, tu veux savoir jusqu'où tu peux aller, mais t'es pas sûr d'être prêt à ça. Pourquoi ? Ça t'intéresse ? T'arques un sourcil amusé, d'un bref passage, tu humidifies ta lèvre inférieure. T'as la bouche sèche, c'est elle qui te rend nerveux ? Possible. Elle, belle provocatrice, innocente d'apparence, pourtant tu sais qu'elle n'est pas celle-là. Elle joue avec toi, comme personne avant elle, elle est l'inconnue de ton équation.
T'aurais pu dire aurevoir... yeux dans les yeux, tu ne cilles pas, tu soutiens son regard, tu plonges, t'as pas envie de bouger et elle a fait référence au bal, tu réponds sur ce qui c'est passé plus tard, bien après le bal, les murailles, vos ébats dans tes draps. T'iras pas jusqu'à dire que t'as été véxé, tu l'admettrais jamais, mais te réveiller seul, après avoir senti la chaleur de son corps contre le tien, t'as ressenti un vide, un manque, tu n'as pas aimé ça du tout. Cette sensation de froid dans ton lit, dans ton corps, comme si la chaleur t'avait abandoné, tu t'es ouvert un peu, elle est partie, elle voulait jouer. Tout était dans l'intitulé de la nuit. Et si on jouait aux vivants. Une fois le matin venu tu étais mort à nouveau, déambulant dans les couloirs, scrutant les ombres, les silhouettes, sans jamais la voir apparaitre. Maline petite Jazmin, elle t'évite ? La belle semble vouloir mettre de la distance entre vous, elle recule, fait le tour d'une table, elle n'imagine pas que c'est un morceau de bois qui va te dissuader de t'approcher. À ton tours tu contournes l'obstacle, tu viens te poser a côté d'elle, moins d'un mètre vous sépares, juste assez pour ne pas la toucher dans un mouvement, mais pour pouvoir sentir son parfum à la fois sucré et épicé, pour pouvoir observer le mouvement de ses boucles sur ses épaules. Tu dois mordre ta lèvre pour te retenir de la toucher, t'es faible, c'est horrible. T'étudies quoi ? Tu jetes un regard distrait sur le livre qu'elle tient, t'es réellement intéressé ou c'est juste une manœuvre pour avoir une raison de rester avec elle ? Peut-être un peu les deux. Tu as beau être un connard pour la majorité, quand tu veux, avec les personnes que tu estimes mériter l'effort, tu es attentionné, pouvant même te montrer prévenant plus que nécessaire. Une facette peu connue et pourtant plus proche de la personne que tu es réellement. Cette personne que tu voudrais qu'elle voit ? Pourquoi ? Tu sais que t'es moche à l'intérieur, perdu toi-même dans la multitude de tes personnalités, est-ce que tu sais encore qui tu es?
Pied de nez de cet enfoiré de destin, tu pouvais la croiser n'importe où ta concentration ne serait pas requise, mais ici ? C'est pas sérieux ! Comment tu pourrais retourner à tes parchemins en sachant que son corps se trouve à quelques mètres ? Tu la sens vibrer alors que tu n'as pas encore posé un seul geste sur elle. Ça t'amuse pas vrai ? T'aimes cette sensation, cette tension, même si t'es le premier frustrer au fond. T'es fier, comme d'hab, petit con de compet', ton regard détaille ce corps que tu connais désormais, pas assez cependant. Mutine, ironique, Jazmin répond, quelques mots qui mettent en lumière tellement plus. Toujours plus. Tu devrais te décider sur tes intentions, parce que tu veux la voir, l'avoir, plus, t'as envie de son corps contre le tien chaque nuit. Tu veux ce silence, ce calme. Oeil du cyclone, tu sais qu'elle est redoutable, c'est ça qui te plait, t'attire, lumière trop puissante pour l'insecte que tu es, tu te brûlerais cent fois pour une nuit en plus avec elle. Une nuit d'un sommeil sans rêve, nuit douce et apaisée, elle à ce pouvoir Jazmin. Elle inhile tes démons, démolis tes murailles, tu veux savoir jusqu'où tu peux aller, mais t'es pas sûr d'être prêt à ça. Pourquoi ? Ça t'intéresse ? T'arques un sourcil amusé, d'un bref passage, tu humidifies ta lèvre inférieure. T'as la bouche sèche, c'est elle qui te rend nerveux ? Possible. Elle, belle provocatrice, innocente d'apparence, pourtant tu sais qu'elle n'est pas celle-là. Elle joue avec toi, comme personne avant elle, elle est l'inconnue de ton équation.
T'aurais pu dire aurevoir... yeux dans les yeux, tu ne cilles pas, tu soutiens son regard, tu plonges, t'as pas envie de bouger et elle a fait référence au bal, tu réponds sur ce qui c'est passé plus tard, bien après le bal, les murailles, vos ébats dans tes draps. T'iras pas jusqu'à dire que t'as été véxé, tu l'admettrais jamais, mais te réveiller seul, après avoir senti la chaleur de son corps contre le tien, t'as ressenti un vide, un manque, tu n'as pas aimé ça du tout. Cette sensation de froid dans ton lit, dans ton corps, comme si la chaleur t'avait abandoné, tu t'es ouvert un peu, elle est partie, elle voulait jouer. Tout était dans l'intitulé de la nuit. Et si on jouait aux vivants. Une fois le matin venu tu étais mort à nouveau, déambulant dans les couloirs, scrutant les ombres, les silhouettes, sans jamais la voir apparaitre. Maline petite Jazmin, elle t'évite ? La belle semble vouloir mettre de la distance entre vous, elle recule, fait le tour d'une table, elle n'imagine pas que c'est un morceau de bois qui va te dissuader de t'approcher. À ton tours tu contournes l'obstacle, tu viens te poser a côté d'elle, moins d'un mètre vous sépares, juste assez pour ne pas la toucher dans un mouvement, mais pour pouvoir sentir son parfum à la fois sucré et épicé, pour pouvoir observer le mouvement de ses boucles sur ses épaules. Tu dois mordre ta lèvre pour te retenir de la toucher, t'es faible, c'est horrible. T'étudies quoi ? Tu jetes un regard distrait sur le livre qu'elle tient, t'es réellement intéressé ou c'est juste une manœuvre pour avoir une raison de rester avec elle ? Peut-être un peu les deux. Tu as beau être un connard pour la majorité, quand tu veux, avec les personnes que tu estimes mériter l'effort, tu es attentionné, pouvant même te montrer prévenant plus que nécessaire. Une facette peu connue et pourtant plus proche de la personne que tu es réellement. Cette personne que tu voudrais qu'elle voit ? Pourquoi ? Tu sais que t'es moche à l'intérieur, perdu toi-même dans la multitude de tes personnalités, est-ce que tu sais encore qui tu es?
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Lun 18 Juin 2018 - 1:59
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Intéressée ? Évidemment, bien sûr que oui. Revirement qu’elle n’aurait jamais cru possible jusqu’à maintenant, quel que soit le mignon avec qui elle partage le lit. Pourtant, la gamine aimerait en apprendre un peu plus sur Sasha, scanner cette âme qu’elle sait esseulée. Elle aimerait le connaître tout entier, son corps et son esprit qu’elle aimerait entraver. Mieux qu’une envie, qu’une curiosité avide ; une force la pousse à le faire. La même qui l’a tenté d’un petit-déjeuner, celle responsable de cette addiction empoissonnée. Ça n’a plus rien d’une simple attirance, ou d’une tension charnelle ; ça, elle ne peut pas le contrôler. Elle bouffe, elle saccage, elle met à mal. C’est la malédiction du bourreau. Jolie Jazmin qui dévaste et détruit ; le karma te revient en pleine figure cette fois-ci. Elle rembourse, paye son caractère de merde, les erreurs commises à autrui. Elle ne s’en rend pas encore compte, mais la facture est bien ahurissante pour une fille si petite. « Oui parce que si j’ai déçu, il va falloir que j’y remédie. » Sourire sournois, ses paroles se veulent ambiguës, provocantes. C’est fait exprès parce qu’il l’a encore fait ; humidifié ses lèvres. Ne lui a–t-elle pas dit ? Si, au bal. Cette mauvaise habitude qui l’a, ça engendre chez elle un véritable tsunami. Une vague qui la submerge d’une envie, et d’un désir infini. Voilà, elle veut son rail, sa dose là maintenant sur cette table ; et elle est sûr qu’il l’a fait exprès, petit con. En plus elle s’imagine très bien la scène, devenue maîtresse de cet exercice. Une table comme nid, deux corps qui s’unissent. Elle s’en mord la lèvre. T’es qu’une faiblarde Trejo.
Belliqueuse, elle ne se laisse pourtant pas aller, détachant son regard de cette vile table tentatrice. L’intrigante ne doit rien montrer, par contre elle suggère. Avec insolence, et une petite pointe d’innocence. « Te dire au revoir ? Mais le jeu n’est pas fini. » C’est subtil, implicite ; encore une fois il faut lire entre les lignes. Elle veut plus. Plus de sensations, moins de vide, plus de lui. ‘Je voulais rester moi aussi’. Ce n’est pas fini qu’elle dit, ce n’est pas terminer, ‘on peut recommencer’. Tu parles de ce que t’appelles un ‘jeu’ ? Et la belle se cache derrière ces trois lettres. Tout se justifie parce que ce n’est qu’un jeu. Elle joue et rejoue. Elle relance les dés, recommence une partie qu’elle ne veut pas terminer. C’est plus simple. Alors pourquoi tu fuis ? Elle s’éloigne, contourne cette table. Ludique, elle s’amuse de ce qu’elle peut dire ; de ce qu’elle peut faire aussi. Elle range une de ses mèches brunes derrière son oreille, ondule cette coquille qui se veut constamment vide de manière lascive. Suis là, et elle te fuit. Jazmin ne sait pas vraiment ce qu’elle veut ; en contournant l’obstacle, il choisit involontairement ou non pour elle. Il est trop proche, encore. Elle fixe ses lèvres qu’il mordille. C’est dur de se retenir. « J’étudie les runes. » Jazmin dit ça avec un dégoût certain aux bords des lèvres. Elle n’aime pas cette matière, ça lui abime les yeux, l’ennui plus que de raison. Matière obligatoire, elle n’a pas vraiment le choix. « Et toi ? » La jolie jette un œil sur les mains de l’Ethelred, exagérant volontairement son geste l’air de dire ‘tu travailles sans livre ?’. Ironique, elle ne le quitte pas des yeux. Si elle ne le touche pas avec ses mains, la belle le caresse de son regard. Tout le long du corps. Les gestes sont parfois plus éloquents que les mots ; et l’atmosphère se mue. L’odeur des livres n’est plus, laissant place à un parfum plus suave. « Je vais retourner à ma Syllabaire Lunerousse. » Tu risques de craquer. Jeu méchant, le wicked game.
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Lun 18 Juin 2018 - 17:57
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sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Son attitude est une insulte au bon sens. Elle provoque du regard, de ce sourire qui t’ensorcèle, parce qu’elle sait comment on fait. Cette seconde nature qui fait d’elle cette femme unique à tes yeux. La seule qui attise ta convoitise, qui te rend dépendant, cocaïne à l’état pur, elle s’insinue dans tes veines, ton esprit, elle t’envoie dans l’espace quand elle s’approche. Insolente innocence, la jolie te nargue, tu pinces tes lèvres sans répondre, préférant laisser ton regard parler pour toi. Tu as l'impression qu’elle comprend ce qu’il se passe dans ton esprit, peut-être mieux que toi. Taquin, tu lui reproches de ne pas t’avoir dit au revoir, c’est vrai que tu as été déçu ce matin-là, tu espérais peut-être pouvoir remettre ça au petit matin ? Remplir le trou qui reste béant au creux de ta poitrine, le colmater un peu avec ce baume qu’est l’Américaine. Tu souris, elle t’amuse autant qu’elle génère une frustration inégalable. Le jeu n’est pas fini. T’aimes cette phrase, promesse à peine voilée, elle n’a donc pas tirer un trait sur vous. Vous ? Tiens, tu parles au pluriel, toi ? J’ai cru que tu préférais fuir Mince rictus sur tes lèvres, tu sous-entends qu’elle a pris peur la gamine, mais tu sais qu’elle ne va pas apprécier. C’est pas une frileuse, elle est aventureuse, âme guerrière déguisée sous une couche de dentelle, t’aimes titiller son ego, parce qu’il est aussi important que le tien. L’affrontement est délicieux.
Bien décidé à ne pas la laisser s’éloigner, tu rejoins la belle de l’autre côté de la table, tu t’intéresses à elle, sincèrement, sans vraiment d’arrières-pensées, tu remarques sa grimace quand elle mentionne les runes, tu saisis son livre pour regarder la couverture d’un air appréciateur. Tu n’as pas cette matière, mais tu l’étudies par toi-même, tu aimes la symbolique des runes, ce langage ancestrale et inter-culturel, ces implications magiques. Tu hoches la tête simplement et tout en lui rendant son livre tu réponds Histoire politique magique. Tu fais le même genre de mimique qu’elle, ce n’est vraiment pas une matière que tu apprécies, la prof est quelqu’un qui représente tout ce que tu abhorres, elle est conservatrice et bien trop rigide pour toi. La belle semble s’amuser de l’absence d’un quelconque livre de référence dans tes mains, tu souris et tourne la tête vers la tête vers la table du fond où règne un véritable capharnaüm, vestige de la bataille que tu mènes contre ce travail sur la place de la femme. C’est le bordel dans ta tête, tu n’as plus envie de retourner à tes parchemins, t’as envie de sentir son corps chaud contre ton coeur froid, la courbe de sa mâchoire appelle tes lèvres. Tu retiens pourtant tes gestes, tu veux un peu d’aide ? Dis-tu en rompant la distance, tu t’approches, passe derrière elle, tu frôles la belle demoiselle, t’arrêtes dans son dos je suis plutôt doué… en runes et en bien d’autre chose, pour preuve de ton intérêt, les nombreux tatouages que tu possèdes, certains sont runiques, symboles d’une histoire, d’une épreuve, d’un manque. Effleurement de son dos du bout des doigts, tu cherches à l'électriser, tu veux l’attirer à toi, tu veux jouer ici, ailleurs, maintenant, demain, partout et à chaque instant, tu veux Jazmin.
Bien décidé à ne pas la laisser s’éloigner, tu rejoins la belle de l’autre côté de la table, tu t’intéresses à elle, sincèrement, sans vraiment d’arrières-pensées, tu remarques sa grimace quand elle mentionne les runes, tu saisis son livre pour regarder la couverture d’un air appréciateur. Tu n’as pas cette matière, mais tu l’étudies par toi-même, tu aimes la symbolique des runes, ce langage ancestrale et inter-culturel, ces implications magiques. Tu hoches la tête simplement et tout en lui rendant son livre tu réponds Histoire politique magique. Tu fais le même genre de mimique qu’elle, ce n’est vraiment pas une matière que tu apprécies, la prof est quelqu’un qui représente tout ce que tu abhorres, elle est conservatrice et bien trop rigide pour toi. La belle semble s’amuser de l’absence d’un quelconque livre de référence dans tes mains, tu souris et tourne la tête vers la tête vers la table du fond où règne un véritable capharnaüm, vestige de la bataille que tu mènes contre ce travail sur la place de la femme. C’est le bordel dans ta tête, tu n’as plus envie de retourner à tes parchemins, t’as envie de sentir son corps chaud contre ton coeur froid, la courbe de sa mâchoire appelle tes lèvres. Tu retiens pourtant tes gestes, tu veux un peu d’aide ? Dis-tu en rompant la distance, tu t’approches, passe derrière elle, tu frôles la belle demoiselle, t’arrêtes dans son dos je suis plutôt doué… en runes et en bien d’autre chose, pour preuve de ton intérêt, les nombreux tatouages que tu possèdes, certains sont runiques, symboles d’une histoire, d’une épreuve, d’un manque. Effleurement de son dos du bout des doigts, tu cherches à l'électriser, tu veux l’attirer à toi, tu veux jouer ici, ailleurs, maintenant, demain, partout et à chaque instant, tu veux Jazmin.
(c) DΛNDELION
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Lun 18 Juin 2018 - 23:07
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sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Fuir ? T’as toujours tes fringues, mais en cet instant tu te sens nue. Il nargue, il défi, se moque même ; pourtant il vise juste. Précision tranchante. Elle n’est pas restée, n’a pas pris ce foutu petit-déjeuner pour se rassurer. Pour s’assurer que rien n’a changé, pour se convaincre qu’il ne la transforme pas petit à petit en quelque chose qu’elle n’a jamais voulu incarner. En quoi Jazmin ? Elle n’en sait rien, ne préfère pas imaginer. Parce qu’elle est dans le déni, encore une fois, rejetant ce qui lui déplaît comme elle jetterait de vieux jouets. Parce qu’elle ne veut pas être cette fille qui chiale en se regardant dans une glace. Jamais. Petit air boudeur sur le visage, elle se sent vexée. Froissée qu’on puisse lire en elle, elle qui s’est toujours voulu pleine de mystères. Pourtant, c’était le deal de se montrer, de ‘voir’ l’autre comme il est. T’as déjà oublié ? « C’est moi qui te ferait fuir. » Ça sonne comme une prédiction résignée, un avertissement. La gamine n’est pas dupe ; elle se sait difficile. Difficile à vivre, à supporter surtout. Il ne serait pas le premier à être exaspéré, et elle le laisserait partir sans difficulté. Alors pourquoi t’es heureuse quand t’en apprend un peu plus sur lui ? Ah les questions qui fâchent, il y avait longtemps. Pourtant, c’est vrai. Sasha n’aime pas beaucoup l’histoire politique magique apparemment. C’est juste un petit détail, mais il la ravie ; comme si chaque infime information le concernant était une perle rare. Elle se veut experte, collectionneuse de nacre. Avec lui, et seulement lui. Étrange vérité, il y a favoritisme ; elle ne peut l’expliquer.
Esquissant un sourire ; la jolie brune souligne le fait qu’il n’a pas de livre. Ce à quoi il répond d’un geste de tête qu’elle suit, observant la table au fond de la pièce. Table qu’on ne voit plus, camouflée par une montagne de livres. « Tu serais donc un élève sérieux ? » Les yeux ronds, Jazmin joue faussement la fille surprise pour se moquer un peu de lui. Elle aime leurs taquineries ; elle a toujours apprécié les gens avec de la répartie. Regards qui se croisent, proposition alléchante. Il n’y a pas qu’une pyromane dans cette bibliothèque. « Je veux oui … De l’aide. » C’est comme si tu avais les manches relevées, t’es prête à te shooter malheureuse droguée. Le séducteur s’approche, mange cette distance que la gamine trouve encore trop grande. Il passe à côté d’elle, se glisse dans son dos. La belle ne bouge pas d’un pouce, subjugué par ce qu’il fait ; il n’y a que sa poitrine qui se soulève à chaque inspiration. Respiration qui commence à devenir saccadée d’ailleurs, plus difficile à mesure que les minutes défilent. Ça craint. Vraiment. Dans l’attente, elle est impatiente ; écoute difficilement ses louanges concernant ses talents en rune. Pas de sursaut cette fois-ci. Ce sont des spasmes qui traversent son corps lorsqu’elle sent ses doigts lui caresser le dos. Elle est prête à l’overdose ; prête à se laisser corrompre les veines par son héroïne. Encore, mais ce n’est pas grave, la jolie se décide, elle ne comptera plus le nombre de piqûre à partir d’aujourd’hui. Héroïnomane, elle commence à s’assumer.
Les doigts de Sasha ; cette caresse est comme un appel, une invitation silencieuse et discrète. Dans cette bibliothèque. « Ah c’est vrai … Il me semble avoir entrevu une rune sur ton torse que je ne trouve pas dans mon livre. » Résister ? C’était le plan. Sauf qu’au fond, t’as pas vraiment envie. Tu le veux. Depuis la première fois qu’elle l’a vu. Elle se retourne, elle replonge ; tête la première. L’américaine pose sa main sur son torse à l’endroit exact où elle a vu la dite rune. Elle a bonne mémoire, surtout quand il s’agit de ‘ça’. Exerçant une légère pression dessus pour le pousser contre cette table qui bascule un peu, elle le regarde avec un air de défi. « Montre-moi. » Ce n’est pas une demande. Elle ne sous-entend plus. Plus du tout.
Esquissant un sourire ; la jolie brune souligne le fait qu’il n’a pas de livre. Ce à quoi il répond d’un geste de tête qu’elle suit, observant la table au fond de la pièce. Table qu’on ne voit plus, camouflée par une montagne de livres. « Tu serais donc un élève sérieux ? » Les yeux ronds, Jazmin joue faussement la fille surprise pour se moquer un peu de lui. Elle aime leurs taquineries ; elle a toujours apprécié les gens avec de la répartie. Regards qui se croisent, proposition alléchante. Il n’y a pas qu’une pyromane dans cette bibliothèque. « Je veux oui … De l’aide. » C’est comme si tu avais les manches relevées, t’es prête à te shooter malheureuse droguée. Le séducteur s’approche, mange cette distance que la gamine trouve encore trop grande. Il passe à côté d’elle, se glisse dans son dos. La belle ne bouge pas d’un pouce, subjugué par ce qu’il fait ; il n’y a que sa poitrine qui se soulève à chaque inspiration. Respiration qui commence à devenir saccadée d’ailleurs, plus difficile à mesure que les minutes défilent. Ça craint. Vraiment. Dans l’attente, elle est impatiente ; écoute difficilement ses louanges concernant ses talents en rune. Pas de sursaut cette fois-ci. Ce sont des spasmes qui traversent son corps lorsqu’elle sent ses doigts lui caresser le dos. Elle est prête à l’overdose ; prête à se laisser corrompre les veines par son héroïne. Encore, mais ce n’est pas grave, la jolie se décide, elle ne comptera plus le nombre de piqûre à partir d’aujourd’hui. Héroïnomane, elle commence à s’assumer.
Les doigts de Sasha ; cette caresse est comme un appel, une invitation silencieuse et discrète. Dans cette bibliothèque. « Ah c’est vrai … Il me semble avoir entrevu une rune sur ton torse que je ne trouve pas dans mon livre. » Résister ? C’était le plan. Sauf qu’au fond, t’as pas vraiment envie. Tu le veux. Depuis la première fois qu’elle l’a vu. Elle se retourne, elle replonge ; tête la première. L’américaine pose sa main sur son torse à l’endroit exact où elle a vu la dite rune. Elle a bonne mémoire, surtout quand il s’agit de ‘ça’. Exerçant une légère pression dessus pour le pousser contre cette table qui bascule un peu, elle le regarde avec un air de défi. « Montre-moi. » Ce n’est pas une demande. Elle ne sous-entend plus. Plus du tout.
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Mer 20 Juin 2018 - 15:33
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sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
La jolie muse se mue, air renfrogné, t’as touché un point sensible, tu fais vibrer une corde qui résonne dans l’ensemble de son corps, elle tente de montrer que ça ne l’atteint pas, mais tu sais bien que c’est tout l’inverse. Elle n’apprécie pas ta remarque, petite gamine râleuse. Elle est encore plus mignonne quand elle est contrariée. Tu aimes son regard noir, ses lèvres pincées et le froncement de ses sourcils, c’est une chose que tu vas aimer faire, la contrarier. T’es peut-être tombée que sur des poltrons ? Tu n’es pas vite impressionné, t’es un peu maso, beaucoup même, alors c’est pas une petite brune qui va te faire fuir. Est-ce que tu penses vraiment que je suis le genre à avoir froid aux yeux ? Brin de défis dans la voix, tu souris à la fois curieux, mais aussi provocateur, tu joues avec elle, comme elle le fait avec toi, c’est un juste retour des choses.
Son sourire éclipse le soleil, tu te passerais de l’astre pour te chauffer par elle, même si chacun de ses sourires est plus malicieux, plus enjôleur ou moqueur que le précédent. Je n’aime pas la médiocrité. Hautain et satisfait, t’es le digne fils de famille de sang-pur là, pourtant c’est vrai que tu supportes pas ça, tu te donnes à fond dans tout ce que tu fais, même dans tes conneries tu ne fais pas les choses à moitié. T’es pas idiot, tu vois bien qu’elle se moque de toi, c’est de bonne guerre, mais tu lui proposes de l’aide. Le pire dans l’histoire, c’est que t’es sincère, au-delà de ton attitude charmeuse, de ce frôlement le long de sa peau, si elle le veut tu peux l’aider. La belle accepte, t’es étonné, elle précise cependant, qu’elle veut de l’aide, tu souris, mince rictus, dommage, tu pourrais lui donner tout ce qu’elle veut. Tu te vends plutôt bien, ton regard sur sa poitrine qui se soulève au rythme de sa respiration, spectacle hypnotisant s’il en est. Elle se réveille, se révèle, se rappelle d’un jeu que vous disputez, elle se tourne vers toi, son regard qui te caresse, tout comme sa main qu’elle pose à l’endroit précis de l’un de tes tatouages, l’un des plus récents, deux ou trois mois seulement. Tu souris T’es plus attentive à mon corps qu’à ton livre, elle veut voir, c’est pour le bien de ses études après tout ? Pas vrai ?
Elle te pousse, te fait entrer en contact avec la table derrière toi, du bout des doigts tu déboutonnes ta chemise tout en écartant les pans, une rune Eihwaz et une Haglaz, dans un motif complexe, un enchevêtrement de nœud, mélange de runes nordique et de tradition celtes. Ode à un être disparu, dessiné par Adrian qui bien que curieux, ne t’as posé aucune question quand à la signification de ces choix, certains que si tu voulais lui donner une explication, tu l’aurais fait à ce moment-là. Tu prends sa main, délicatement avec le bout de son index tu redessines l’Eihwaz, la désolidarisant ainsi de l’Haglaz, Eihwaz, c’est la rune la plus magique, puissante, elle fait appel à la mort, au renouveau, au dépassement de soi, tu n’en dis pas plus, glissant son index vers l’Haglaz, la rune du changement, de la transformation, mais aussi du mystère et de l’irrationnel. Dans un sourire tu mordilles ta lèvre, tu prends bien évidement soin de passer sous silence l’initiale représenté dans l’Haglaz, le ‘H’ … H comme Héloïse. Cicatrice que tu t’es imposé, non pas pour ne pas l’oublié, mais pour te l’approprié à ta manière. Des runes, tu passes au décor, celtiques certes, mais on le retrouve également dans les manuels, quant à ceci .. l’attachement à la famille, d’un parent à son enfant, si elle te demande, tu mentiras. Ta mains glisse sur la sienne, délicate caresse, tu remontes son bras, son épaule, sa nuque, ton regard ne quitte pas le sien, captif de ses iris sauvages tu as envie de céder, mais aujourd’hui, tu veux pousser le jeu, le jeu des vivants. T’en avait vu d’autre ? Tu pousses le vice, tu vas te retrouver à poil si tu continues, parce que oui, des runes t’en a dans le dos, dans la nuque, sur le bras, le mollet, chaque fois mélangées à d’autre symboles, dessins, mais elles sont toutes exploitables si elle le souhaite. Tu es à sa disposition. Aujourd’hui, demain, depuis le premier soir dans ce bar.
Son sourire éclipse le soleil, tu te passerais de l’astre pour te chauffer par elle, même si chacun de ses sourires est plus malicieux, plus enjôleur ou moqueur que le précédent. Je n’aime pas la médiocrité. Hautain et satisfait, t’es le digne fils de famille de sang-pur là, pourtant c’est vrai que tu supportes pas ça, tu te donnes à fond dans tout ce que tu fais, même dans tes conneries tu ne fais pas les choses à moitié. T’es pas idiot, tu vois bien qu’elle se moque de toi, c’est de bonne guerre, mais tu lui proposes de l’aide. Le pire dans l’histoire, c’est que t’es sincère, au-delà de ton attitude charmeuse, de ce frôlement le long de sa peau, si elle le veut tu peux l’aider. La belle accepte, t’es étonné, elle précise cependant, qu’elle veut de l’aide, tu souris, mince rictus, dommage, tu pourrais lui donner tout ce qu’elle veut. Tu te vends plutôt bien, ton regard sur sa poitrine qui se soulève au rythme de sa respiration, spectacle hypnotisant s’il en est. Elle se réveille, se révèle, se rappelle d’un jeu que vous disputez, elle se tourne vers toi, son regard qui te caresse, tout comme sa main qu’elle pose à l’endroit précis de l’un de tes tatouages, l’un des plus récents, deux ou trois mois seulement. Tu souris T’es plus attentive à mon corps qu’à ton livre, elle veut voir, c’est pour le bien de ses études après tout ? Pas vrai ?
Elle te pousse, te fait entrer en contact avec la table derrière toi, du bout des doigts tu déboutonnes ta chemise tout en écartant les pans, une rune Eihwaz et une Haglaz, dans un motif complexe, un enchevêtrement de nœud, mélange de runes nordique et de tradition celtes. Ode à un être disparu, dessiné par Adrian qui bien que curieux, ne t’as posé aucune question quand à la signification de ces choix, certains que si tu voulais lui donner une explication, tu l’aurais fait à ce moment-là. Tu prends sa main, délicatement avec le bout de son index tu redessines l’Eihwaz, la désolidarisant ainsi de l’Haglaz, Eihwaz, c’est la rune la plus magique, puissante, elle fait appel à la mort, au renouveau, au dépassement de soi, tu n’en dis pas plus, glissant son index vers l’Haglaz, la rune du changement, de la transformation, mais aussi du mystère et de l’irrationnel. Dans un sourire tu mordilles ta lèvre, tu prends bien évidement soin de passer sous silence l’initiale représenté dans l’Haglaz, le ‘H’ … H comme Héloïse. Cicatrice que tu t’es imposé, non pas pour ne pas l’oublié, mais pour te l’approprié à ta manière. Des runes, tu passes au décor, celtiques certes, mais on le retrouve également dans les manuels, quant à ceci .. l’attachement à la famille, d’un parent à son enfant, si elle te demande, tu mentiras. Ta mains glisse sur la sienne, délicate caresse, tu remontes son bras, son épaule, sa nuque, ton regard ne quitte pas le sien, captif de ses iris sauvages tu as envie de céder, mais aujourd’hui, tu veux pousser le jeu, le jeu des vivants. T’en avait vu d’autre ? Tu pousses le vice, tu vas te retrouver à poil si tu continues, parce que oui, des runes t’en a dans le dos, dans la nuque, sur le bras, le mollet, chaque fois mélangées à d’autre symboles, dessins, mais elles sont toutes exploitables si elle le souhaite. Tu es à sa disposition. Aujourd’hui, demain, depuis le premier soir dans ce bar.
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Mer 20 Juin 2018 - 22:49
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sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Elle aime son ton provoquant ; son air de petit con assuré et assumé. Ça la fait sourire, lui fait plaisir. Il n'a pas froid aux yeux qu'il dit, résistant à toutes les tempêtes qu'on annonce pourtant si dangereuses et violentes à souhait. Ah oui ? Un poil présomptueux peut-être ? Elle fait mine, mais ne doute pas vraiment. Elle est même séduite par l'idée ; connaissant assez son partenaire de jeu pour savoir qu'il dit vrai. Oui, la belle a toujours su apprécier les hommes de caractère, pouvant lui résister un minimum sans plier. Bien plus amusants que tous ceux qui courbe l'échine à la moindre de ses volontés. Finalité bien vite choisit en somme, pour une gamine qui se lasse très vite. « Bien. Le jeu n'en sera que plus amusant. » Tu te caches encore derrière trois lettres. Elle esquisse un petit sourire, motivée par le défi, stimulée par la suite des événements qu'elle sait déjà forts prometteurs ; car elle l'a remarqué, la jolie brune ne s'ennuie jamais en sa compagnie. Ce n'est pas que sexuel ; elle aime davantage cette intimité qui se tisse doucement entre les deux. Deux comme 'on' ; comme 'vous'. Bizarre. Si ce n'est de Elios, jamais, tu ne t'affilies à quelqu'un d'autre. Depuis quand ? Depuis quand le pluriel s'incruste aussi naturellement ? Cette nouveauté est à la fois effrayante et alléchante. Ce que Jazmin redoute le plus depuis toujours, arrive finalement. Ce n'est pas aussi horrible, terrible qu'elle se l'imagine. C'est plutôt doux, agréable même. Parce que c'est lui. Il brise la coquille, la met peu à peu en ruine. Pour sûr, il est dangereux ; peut-être bien plus qu'elle au final.
« Ça tombe bien, moi non plus. » C'est la sang-pur qui parle. La sirène n'est pas de ses héritières qui brandit son pedigree à la vue de tous. Néanmoins, certains traits la trahissent sans qu'elle n'ait besoin d'énumérer son arbre généalogique. La médiocrité par exemple. Elle qui excelle dans les études ; elle s'est toujours refusée de ne pas apparaître sur le tableau d'honneur ; tragédie qui n'est encore jamais arrivé jusqu'ici. Jamais. La belle se retourne, capte le regard clair de cet homme qu'elle considère un peu plus chaque jour. Une main qui se pose à l'endroit précis d'un tatouage, d'une rune qu'elle revendique, et elle le pousse contre la table. C'est toujours dans la provocation, la tentation. Car si la demoiselle vibre, elle veut qu'il frémisse lui aussi. Merveilleuse quintessence qu'elle cajole. « Mon livre, lui, je le connais. Je l'ai assez vu. » Contrairement au corps. Il déboutonne sa chemise, et il accapare le regard de la Wright. Les mouvements sont lents, agréable slow ; et elle les voit. Ses runes. Son torse. Si elle regarde avec plaisir, elle a aussi envie de toucher ; belle sybarite. Mais elle n'en fait rien, c'est lui qui prend sa main.
Elle se laisse faire, se laisse guider ; écoutant les explications avec attention. Il parle de l'Eihwaz, de l'Haglaz ; des runes qui ne lui sont pas étrangères ; elle a peut-être menti sur ses capacités à retenir. Il parle de famille et d'enfant aussi. Jazmin fronce les sourcils. Enfant ? Si elle a très envie de poser des questions indiscrètes, elle se tait pourtant. Elle sait ô combien les tatouages peuvent être intimes. Elios lui rappelant chaque jour, lui, qui arbore aujourd'hui plus d'encre qu'il n'a de peau. Ça la démange pourtant ; une vague de questions lui brûle les lèvres. Elle, reine des curieuses. Chaque réponse est d'or venant de lui ; même si elle a conscience que le mensonge peut s'y insinuer à tout moment. Tais-toi. Bien que difficile, elle rétracte cette envie. Elle ne veut pas se montrer envahissante ; mal placée, elle a aussi ses secrets. Patiente, il te le dira de lui-même un jour, peut-être. La jolie se raccroche à ça ; et elle n'a pas le temps d'y penser davantage. Une caresse qui longe son bras, et qui termine sa course dans sa nuque. Elle frisonne, ferme les yeux quelques instants. « Oui. Tu en as dans le dos, dans la nuque, sur le bras, et le mollet. » Elle se trahit un peu. Jazmin ne lui a peut-être pas dit au revoir ce jour-là, mais elle l'a regardé longuement ; endormi au milieu des draps.
« Ça tombe bien, moi non plus. » C'est la sang-pur qui parle. La sirène n'est pas de ses héritières qui brandit son pedigree à la vue de tous. Néanmoins, certains traits la trahissent sans qu'elle n'ait besoin d'énumérer son arbre généalogique. La médiocrité par exemple. Elle qui excelle dans les études ; elle s'est toujours refusée de ne pas apparaître sur le tableau d'honneur ; tragédie qui n'est encore jamais arrivé jusqu'ici. Jamais. La belle se retourne, capte le regard clair de cet homme qu'elle considère un peu plus chaque jour. Une main qui se pose à l'endroit précis d'un tatouage, d'une rune qu'elle revendique, et elle le pousse contre la table. C'est toujours dans la provocation, la tentation. Car si la demoiselle vibre, elle veut qu'il frémisse lui aussi. Merveilleuse quintessence qu'elle cajole. « Mon livre, lui, je le connais. Je l'ai assez vu. » Contrairement au corps. Il déboutonne sa chemise, et il accapare le regard de la Wright. Les mouvements sont lents, agréable slow ; et elle les voit. Ses runes. Son torse. Si elle regarde avec plaisir, elle a aussi envie de toucher ; belle sybarite. Mais elle n'en fait rien, c'est lui qui prend sa main.
Elle se laisse faire, se laisse guider ; écoutant les explications avec attention. Il parle de l'Eihwaz, de l'Haglaz ; des runes qui ne lui sont pas étrangères ; elle a peut-être menti sur ses capacités à retenir. Il parle de famille et d'enfant aussi. Jazmin fronce les sourcils. Enfant ? Si elle a très envie de poser des questions indiscrètes, elle se tait pourtant. Elle sait ô combien les tatouages peuvent être intimes. Elios lui rappelant chaque jour, lui, qui arbore aujourd'hui plus d'encre qu'il n'a de peau. Ça la démange pourtant ; une vague de questions lui brûle les lèvres. Elle, reine des curieuses. Chaque réponse est d'or venant de lui ; même si elle a conscience que le mensonge peut s'y insinuer à tout moment. Tais-toi. Bien que difficile, elle rétracte cette envie. Elle ne veut pas se montrer envahissante ; mal placée, elle a aussi ses secrets. Patiente, il te le dira de lui-même un jour, peut-être. La jolie se raccroche à ça ; et elle n'a pas le temps d'y penser davantage. Une caresse qui longe son bras, et qui termine sa course dans sa nuque. Elle frisonne, ferme les yeux quelques instants. « Oui. Tu en as dans le dos, dans la nuque, sur le bras, et le mollet. » Elle se trahit un peu. Jazmin ne lui a peut-être pas dit au revoir ce jour-là, mais elle l'a regardé longuement ; endormi au milieu des draps.
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Jeu 21 Juin 2018 - 10:27
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Le défi se lit sur vos visages, sales gosses qui défient la vie depuis des années désormais, vous n'avez peur de rien, parce que vous n'avez rien à perdre. Il faut le vivre pour le comprendre, c'est peut-être pour ça qu'elle fait fuir la belle ? Parce qu'ils ne comprennent pas, parce qu'ils ne sont pas aussi déglingués que vous, ces autres qui lui font croire qu'elle est terrifiante, alors qu'elle est tout le contraire, elle est la lumière qui attire, le soleil qui réchauffe les âmes en perditions. Le jeu n'en sera que plus amusant, certes, mais est-ce que vous êtes toujours dans le jeu ? Uniquement le jeu ? Probablement pas. T'es trop attentif à elle, ses mouvements, ses regards, tu cherches un peu trop ses courbes dans les couloirs que pour être un simple petit joueur. Tu te fiches des mots qui vous qualifie, tu crées les règles, elle les déconstruit, les modifies, ça t'importe peu, tant que tu peux être avec elle. Tu diras que ce n'est qu'une femme, sexy et brûlante, avec qui tu as passé un bon moment, mais tu ne peux pas te mentir à toi-même, tu sais que les dégâts sont toujours bien supérieurs au mensonge. T'avais compris que vous étiez du même monde, ça crève les yeux de toute façon, mais vous vous ressemblez bien plus que tu ne l'aurais pensé le premier soir, vos attitudes, vos attentes, votre dévouement à outrepasser les règles établies par vos géniteurs, c'est ça qui vous donne votre adrénaline ? Le fait de leur dire merde avec le majeur bien en évidence ? Pourtant, tout deux semblez exécré la médiocrité, elle n'a pas sa place dans votre quotidien. Rien à voir avec tes parents, c'est ça ? Les longues leçons des précepteurs, les attentes bien au-dessus de ce qu'un gamin de huit ans pourrait atteindre et pourtant tu le faisais, pour prouver que t'étais encore meilleur que ce qu'ils pouvaient penser, tu t'ennuyais rapidement, trop intelligent, trop fier, trop con, tu t'es toujours battu pour avoir ce à quoi tu prétends, aujourd'hui, c'est Jazmin, demain ça sera quoi ? Elle, parce que tu sais que t'aurais pas assez d'une vie pour faire le tour des nombreuses faces cachées de cet astre-là.
Tu distiles tes gestes, tu sais jouer autant qu'elle. Pourquoi se précipiter ? Il n'y a personne dans la bibliothèque, et quand bien même, c'est pas ça qui va te déranger. Tu souris quand elle affirme connaitre son livre, cette lassitude dans la voix, cette flamme dans le regard, tu t'amuses de ses attentes. Le frôlement de ses doigts sur ta peau te fait frissonner, mais monsieur le professeur dispense sa science, explications brèves bien que détaillées, elle en apprend autant sur toi que sur ces fameuses runes. Ça ne te dérange pas, pour une fois tu acceptes de te dévoiler réellement, sans faux-semblant, sans mensonge, de toute façon tu ne mens jamais. Jamais ? Sauf quand ça concerne une certaine fillette. Est-ce vraiment un mensonge ? Omettre de parler de quelqu'un que tu ne connais pas, c'est la même chose que si elle n'existait pas ? Tu ne peux pas te résigner à ça, elle existe, elle a existé et elle existera toujours pour toi. Tu perçois le froncement de ses sourcils, ni elle ni toi ne relève pourtant, merci. Tu n'as pas envie de lui mentir. Le tour est rapidement fait, tu remontes jusqu'à sa nuque dans une caresse légère, tendre aussi, fier du frisson que tu lui arraches. C'est con, mais t'aime sentir son corps frémir à ton contact, c'est la preuve indéniable que tu ne la laisses pas de marbre. Moue exagérée, tu baisses le visage en riant okay ... je sais pas si c'est impressionnant ou inquiétant ! Elle a fait le tour de ton corps bien plus que toi tu n'as pu le faire du sien visiblement. T'es étonné, c'est bien la première fois que quelqu'un est capable de te rendre chaque emplacement exact, même toi parfois tu oublies l'un ou l'autre, mais elle t'impressionne. Tu relèves le regard vers elle, lèvre entre tes dents, faut que t'arrêtes tu vas la bouffer si tu continues. Tu redresses ton corps, t'approche d'elle pour la faire buter à son tour contre la table derrière, ta main glisse sur sa nuque, s'arrêtant à un endroit précis, la jonction entre la nuque et le haut du dos, là où se trouve l'une des nombreuses runes pré-citéées Là ... c'est Kenaz, tu dessines de ton doigt la rune sur sa peau, un sourire à la fois charmeur et amusé affiché fièrement. c'est la rune de la créativité, de la récupération mais aussi... tu prends une seconde pour réprimer un rire, tes lèvres se crispent et tu reprends, ton regard dans le sien, clairement amusé, de la passion et du désir sexuel. Bon, celle-là tu aurais pu t'en passer, mais tu l'aimes réellement.
Tu distiles tes gestes, tu sais jouer autant qu'elle. Pourquoi se précipiter ? Il n'y a personne dans la bibliothèque, et quand bien même, c'est pas ça qui va te déranger. Tu souris quand elle affirme connaitre son livre, cette lassitude dans la voix, cette flamme dans le regard, tu t'amuses de ses attentes. Le frôlement de ses doigts sur ta peau te fait frissonner, mais monsieur le professeur dispense sa science, explications brèves bien que détaillées, elle en apprend autant sur toi que sur ces fameuses runes. Ça ne te dérange pas, pour une fois tu acceptes de te dévoiler réellement, sans faux-semblant, sans mensonge, de toute façon tu ne mens jamais. Jamais ? Sauf quand ça concerne une certaine fillette. Est-ce vraiment un mensonge ? Omettre de parler de quelqu'un que tu ne connais pas, c'est la même chose que si elle n'existait pas ? Tu ne peux pas te résigner à ça, elle existe, elle a existé et elle existera toujours pour toi. Tu perçois le froncement de ses sourcils, ni elle ni toi ne relève pourtant, merci. Tu n'as pas envie de lui mentir. Le tour est rapidement fait, tu remontes jusqu'à sa nuque dans une caresse légère, tendre aussi, fier du frisson que tu lui arraches. C'est con, mais t'aime sentir son corps frémir à ton contact, c'est la preuve indéniable que tu ne la laisses pas de marbre. Moue exagérée, tu baisses le visage en riant okay ... je sais pas si c'est impressionnant ou inquiétant ! Elle a fait le tour de ton corps bien plus que toi tu n'as pu le faire du sien visiblement. T'es étonné, c'est bien la première fois que quelqu'un est capable de te rendre chaque emplacement exact, même toi parfois tu oublies l'un ou l'autre, mais elle t'impressionne. Tu relèves le regard vers elle, lèvre entre tes dents, faut que t'arrêtes tu vas la bouffer si tu continues. Tu redresses ton corps, t'approche d'elle pour la faire buter à son tour contre la table derrière, ta main glisse sur sa nuque, s'arrêtant à un endroit précis, la jonction entre la nuque et le haut du dos, là où se trouve l'une des nombreuses runes pré-citéées Là ... c'est Kenaz, tu dessines de ton doigt la rune sur sa peau, un sourire à la fois charmeur et amusé affiché fièrement. c'est la rune de la créativité, de la récupération mais aussi... tu prends une seconde pour réprimer un rire, tes lèvres se crispent et tu reprends, ton regard dans le sien, clairement amusé, de la passion et du désir sexuel. Bon, celle-là tu aurais pu t'en passer, mais tu l'aimes réellement.
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Jeu 21 Juin 2018 - 21:26
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sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Des secrets ; comme tous, il en a lui aussi. Des gros, des petits. Des doux et des plus durs aussi. La belle a la prévenance de ne rien demander, de ne pas questionner. Elle est curieuse pourtant la petite tempête du Texas, mais elle comprend. Elle qui s'est toujours caché dans l’œil de l'ouragan, elle sait qu'il est rude de se dévoiler tout entier. Alors tu vas attendre. Parce qu'elle ne peut faire que ça, attendre. Jusqu'à ce qu'il la trouve ; jusqu'à ce qu'elle effeuille la dernière couche de la muraille. Elle est prête, pour une fois, à offrir de son temps. Pour lui. Pour eux. Indéfectible incompréhension, c'est d'une bizarrerie incessante. Néanmoins, Jazmin veut donner, comme Sasha lui offre. Mettre un petit peu d'âme dans cette histoire. Sujette à des expériences inédites ; elle vit des 'premières fois' avec lui. Donner, offrir. Partager, échanger. Tout est nouveau, sans doute un peu trop beau. Et si elle avait peur, aujourd'hui, la gamine prend des risques ; intrépide elle se plaît dans cette aventure imprévisible, inédite. Et elle se perd. Dans cette caresse, lui procurant des frissons appuyés ; annonciatrice d'un plaisir péremptoire. Elle ne se cache plus vraiment. Il lui plaît, sans aucun doute. Aurait-elle renouvelée l'expérience si non ? Elle fait entendre un petit rire à sa remarque. « C'est sans doute aussi inquiétant qu'un mec qui te suit en pleine nuit dans une ruelle sombre. » Ça veut dire merci, 'merci de m'avoir suivi' ; auquel cas, ils ne seraient pas là. Il la regarde, lèvres entre ses dents. Elle fait de même. Qui va bouffer l'autre en premier ? Que ce soit derrière un bar, dans un lit, ou dans une bibliothèque. De toute évidence, ce n'est pas le lieu qui les arrête.
Il s'avance, la contraint à entrer en contact avec la table derrière elle. Ça devient intéressant, éveille ses sens. Il glisse avec douceur sa main dans sa nuque, et elle étouffe un soupir en se pinçant les lèvres. La nuque, le point sensible. Coïncidence ou non, il commence à savoir où la titiller ; il dessine une rune à l'endroit dit ; Kenaz, d'après lui. Qui symbolise la créativité, la récupération, la passion et … le désir sexuel. La belle ne peut réprimer un petit rire ; se perdant volontiers dans ses yeux. « Oh, ça explique ce tempérament ? » Sa voix se veut aguicheuse, sensuelle. Appuyant ses dires, Jazmin glisse ses doigts sur le bas de son ventre, accrochant volontairement sa ceinture pour le tirer, et le plaquer contre elle. C’est plus souvent le soir que s’allume l’incendie. Fièvre du désir, excessive et dérisoire, la gamine le sait ; se le répète assez : rituel magique, fanatique, obligatoire, comme lorsque toute mioche, captive dans sa chambre, elle mijotait dans la grippe, providentielle prison. Aujourd’hui, c’est lui, Sasha, son délicieux tourment, son délire, sa fièvre, mais nulle envie de guérir. Non, elle n'a pas envie. Une seule partition. Il écrit, tu griffonnes ; vous improvisez à l'aveuglette ; et l'hymne te plaît. Elle fait tomber cette chemise qui la gêne, la laissant choir misérablement sur le sol. Elle ne compte pas la laisser seule, bien décidée à faire chuter d'autres bouts de tissus qui vont la rejoindre ; au fur et à mesure que la nuit s'avance.
Des caresses inédites, de torrides impros, variantes à l’infini qu'elle veut bien tester en toute ingénuité : juste votre folie pimentée de tendresse, le bel et bon jouir, le plaisir dans toute son outrance et sa magnificence, sa poésie, son innocence, sa compulsion, son humour, toujours ... Elle emprisonne une de ses mains dans les siennes ; et la guide vers sa poitrine, là où son palpitant tambourine. Elle la pose. C'est fort, intense. « Je me sens vivante. » En cet instant. « Fais en sorte que ça dur encore un peu. » Juste un peu. La belle veut l'attraper au grain de sa peau élastique, le piégé aux lacs de ses cheveux bruns. Et d'un geste maîtrisé elle s’appuie contre la table pour s’asseoir dessus. Elle est un peu plus grande comme ça, ça lui donne des airs de féline. Un sourire envoûtant lui dévore le visage ; elle le regarde. C'est qu'elle est assurée la gamine. À son tour, elle déboutonne lentement sa chemise, ne le lâchant pas du regard. Le tissu glisse de ses frêles épaules, mais ne l'enlève pas pour autant. Now you say I got a touch. So good, so good. Make you never wanna leave. So don't, so don't.
Il s'avance, la contraint à entrer en contact avec la table derrière elle. Ça devient intéressant, éveille ses sens. Il glisse avec douceur sa main dans sa nuque, et elle étouffe un soupir en se pinçant les lèvres. La nuque, le point sensible. Coïncidence ou non, il commence à savoir où la titiller ; il dessine une rune à l'endroit dit ; Kenaz, d'après lui. Qui symbolise la créativité, la récupération, la passion et … le désir sexuel. La belle ne peut réprimer un petit rire ; se perdant volontiers dans ses yeux. « Oh, ça explique ce tempérament ? » Sa voix se veut aguicheuse, sensuelle. Appuyant ses dires, Jazmin glisse ses doigts sur le bas de son ventre, accrochant volontairement sa ceinture pour le tirer, et le plaquer contre elle. C’est plus souvent le soir que s’allume l’incendie. Fièvre du désir, excessive et dérisoire, la gamine le sait ; se le répète assez : rituel magique, fanatique, obligatoire, comme lorsque toute mioche, captive dans sa chambre, elle mijotait dans la grippe, providentielle prison. Aujourd’hui, c’est lui, Sasha, son délicieux tourment, son délire, sa fièvre, mais nulle envie de guérir. Non, elle n'a pas envie. Une seule partition. Il écrit, tu griffonnes ; vous improvisez à l'aveuglette ; et l'hymne te plaît. Elle fait tomber cette chemise qui la gêne, la laissant choir misérablement sur le sol. Elle ne compte pas la laisser seule, bien décidée à faire chuter d'autres bouts de tissus qui vont la rejoindre ; au fur et à mesure que la nuit s'avance.
Des caresses inédites, de torrides impros, variantes à l’infini qu'elle veut bien tester en toute ingénuité : juste votre folie pimentée de tendresse, le bel et bon jouir, le plaisir dans toute son outrance et sa magnificence, sa poésie, son innocence, sa compulsion, son humour, toujours ... Elle emprisonne une de ses mains dans les siennes ; et la guide vers sa poitrine, là où son palpitant tambourine. Elle la pose. C'est fort, intense. « Je me sens vivante. » En cet instant. « Fais en sorte que ça dur encore un peu. » Juste un peu. La belle veut l'attraper au grain de sa peau élastique, le piégé aux lacs de ses cheveux bruns. Et d'un geste maîtrisé elle s’appuie contre la table pour s’asseoir dessus. Elle est un peu plus grande comme ça, ça lui donne des airs de féline. Un sourire envoûtant lui dévore le visage ; elle le regarde. C'est qu'elle est assurée la gamine. À son tour, elle déboutonne lentement sa chemise, ne le lâchant pas du regard. Le tissu glisse de ses frêles épaules, mais ne l'enlève pas pour autant. Now you say I got a touch. So good, so good. Make you never wanna leave. So don't, so don't.
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Lun 25 Juin 2018 - 9:55
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
La tête que tu portes haute et fière se baisse légèrement à sa remarque, tu ne quittes pas son regard pour la cause, mais un sourire apparaît sur tes lèvres je t'ai pas suivi, je voulais qu'on soit à égalité, je connaissais ton prénom, je te rendais la politesse simplement. Rien de plus. Qu'est-ce que t'es menteur quand t'es fier quand même ! Bien que tes paroles disent une part de vérité, le regard qui la caresse ne saurait mentir lui, tu l'as suivie parce qu'elle a ce magnétisme qui t'attire et tu ne le regrettes pas une seule seconde. Non, pas même quand le doute naît dans ton esprit, quand tu te questionnes sur le bien-fondé de ce qui vous unit, de cette relation spéciale, unique, qui n'appartient qu'à vous et que probablement personne ne pourrait comprendre. En remontant la main sur sa peau, tu effleures plus subtilement sa nuque, tu as bien remarqué que c'est un point intéressant, comme chez toi au fond. Tu regardes la belle se contenir et toi, tu fais comme si de rien n'était, tu continues tes explications pouffant de rire au passage quand tu donnes la signification complète de Kenaz. Le rire de Jazmin se joint au tien, la remarque ne se fait pas attendre, c'est de bonne guerre. Je n'ai jamais eu besoin de rune ou de quoique ce soit pour être ... ce que je suis, Oh ça non. Tu es le même depuis toujours, tu as grandi avec les frustrations qu'imposent le mode de vie de tes parents et dès que tu en as eu l'occasion, aidée d'Evie, tu as montré des ressources intarissables en matière de connerie, mais aussi un peu plus tard en appétit charnel. T'es pas la luxure pour rien, pas vrai ? Les doigts de la brune glissent sur ton ventre, allant à la rencontre de ta ceinture, tu la défies du regard. Une ruelle, c'est une chose, la bibliothèque de l’école, s'en est une autre. Elle impose les mouvements et tu suis docilement. Pourquoi est-ce que tu voudrais faire autre chose que t'approcher de l'incendie ? Toi aussi t'es pyromane.
La chemise qui était jusqu'alors ouverte tombe à terre, t'arque un sourcil, sourit et te laisse surprendre quand elle saisit l'une de tes mains pour la mener sur sa poitrine, ses paroles résonnes, percutent, trouvent une résonance en toi, parce que toi aussi, t'es vivant là. Elle se hisse sur la table et avec la main toujours logée dans sa nuque t'attire son visage au tien, tu l'embrasses avec passion, mais aussi avec une tendresse rare, qui te surprend toi-même. Encore un truc qui n'arrive qu'avec elle, La belle déboutonne sa chemise, tu regardes le tissus glisser lorsqu'il dévoile la peau de ses épaules au grain parfait. Délicieuse gourmandise que tu pourrais consommer jusqu'à l'overdose. Tu poses des baisers sur son cou, son épaule, tu descends jusqu'à sa poitrine tout en enlevant la chemise, l'envoyant rejoindre la tienne. Les tissus se mêlent autant que leurs propriétaires. T'écartes ses jambes pour te rapprocher d'elle. Tes mains s'aventurent, curieuses, à l’exploration de cette peau déjà parcourue, et pourtant c'est comme si c'était la première fois qu'elles la rencontraient. A la lumière de cette bibliothèque, vos corps sont vulnérables, ils s'offrent à la vue de l'autre. Ta peau porte les même teintes du sud que la sienne, tu ressembles trop à ta mère sur bien des points. T'as hérité de ça aussi, mais tu t'en plaindras pas. Le charme latin est plus reconnu que le charme britannique. La froideur tant de l'âme que de la peau, très peu pour toi. Un éclair de lucidité transperce ton esprit, tu prends la baguette qui se trouve à l'arrière de ton jean pour lancer un simple sortilège afin de verrouiller la porte, t'as pas vraiment envie que quelqu'un entre. C'est pas le fait d'être vu, ça tu t'en fiche totalement, c'est le fait d'être interrompu qui te poserait problème. C'est bien partit pour que tu puisses avoir ta dose d'elle ce soir, t'as pas envie de prendre un risque inutile. Qu'un étudiant vienne interrompre ce qu'il se passe entre vous, parce qu'il se passe quelque chose. Quoi, tu sais pas, tu connais pas ce sentiment et cette envie qui se mélange, mais t'aime ça. T'es ivre de cette envie. Ton coeur bat bien plus vite qu'il ne le devrait, mais tes gestes restent sûrs, Tes lèvres quittent sa peau, ton visage proche du sien, tu souris tout en l'observant si ça continue ça va devenir une habitude... Et les habitudes c'est pas trop truc en général. Tu réitères rarement avec les même filles, un coup d'un soir et tu passes à autre chose, elle... c'est différent. C'est l'oxygène qu'il faut à ton feu pour ne pas qu'il s'éteigne, elle est ce qui t'apprend comment on vit, c'est drôle quand on sait qu'elle l'ignore autant que toi. Enseignant l'un à l'autre, vous êtes les âmes perdues du Styx, rien ne peut vous sauver. Rien? Pas même elle ? Pourquoi tu te prends à espérer Sasha ?
La chemise qui était jusqu'alors ouverte tombe à terre, t'arque un sourcil, sourit et te laisse surprendre quand elle saisit l'une de tes mains pour la mener sur sa poitrine, ses paroles résonnes, percutent, trouvent une résonance en toi, parce que toi aussi, t'es vivant là. Elle se hisse sur la table et avec la main toujours logée dans sa nuque t'attire son visage au tien, tu l'embrasses avec passion, mais aussi avec une tendresse rare, qui te surprend toi-même. Encore un truc qui n'arrive qu'avec elle, La belle déboutonne sa chemise, tu regardes le tissus glisser lorsqu'il dévoile la peau de ses épaules au grain parfait. Délicieuse gourmandise que tu pourrais consommer jusqu'à l'overdose. Tu poses des baisers sur son cou, son épaule, tu descends jusqu'à sa poitrine tout en enlevant la chemise, l'envoyant rejoindre la tienne. Les tissus se mêlent autant que leurs propriétaires. T'écartes ses jambes pour te rapprocher d'elle. Tes mains s'aventurent, curieuses, à l’exploration de cette peau déjà parcourue, et pourtant c'est comme si c'était la première fois qu'elles la rencontraient. A la lumière de cette bibliothèque, vos corps sont vulnérables, ils s'offrent à la vue de l'autre. Ta peau porte les même teintes du sud que la sienne, tu ressembles trop à ta mère sur bien des points. T'as hérité de ça aussi, mais tu t'en plaindras pas. Le charme latin est plus reconnu que le charme britannique. La froideur tant de l'âme que de la peau, très peu pour toi. Un éclair de lucidité transperce ton esprit, tu prends la baguette qui se trouve à l'arrière de ton jean pour lancer un simple sortilège afin de verrouiller la porte, t'as pas vraiment envie que quelqu'un entre. C'est pas le fait d'être vu, ça tu t'en fiche totalement, c'est le fait d'être interrompu qui te poserait problème. C'est bien partit pour que tu puisses avoir ta dose d'elle ce soir, t'as pas envie de prendre un risque inutile. Qu'un étudiant vienne interrompre ce qu'il se passe entre vous, parce qu'il se passe quelque chose. Quoi, tu sais pas, tu connais pas ce sentiment et cette envie qui se mélange, mais t'aime ça. T'es ivre de cette envie. Ton coeur bat bien plus vite qu'il ne le devrait, mais tes gestes restent sûrs, Tes lèvres quittent sa peau, ton visage proche du sien, tu souris tout en l'observant si ça continue ça va devenir une habitude... Et les habitudes c'est pas trop truc en général. Tu réitères rarement avec les même filles, un coup d'un soir et tu passes à autre chose, elle... c'est différent. C'est l'oxygène qu'il faut à ton feu pour ne pas qu'il s'éteigne, elle est ce qui t'apprend comment on vit, c'est drôle quand on sait qu'elle l'ignore autant que toi. Enseignant l'un à l'autre, vous êtes les âmes perdues du Styx, rien ne peut vous sauver. Rien? Pas même elle ? Pourquoi tu te prends à espérer Sasha ?
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Lun 25 Juin 2018 - 22:27
wicked game
sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
« Je veux bien te croire. » Sourire aux coins des lèvres, la belle ne peut pas dire le contraire, elle qui a déjà goûté aux plaisirs avec lui plus d’une fois déjà. Elle le sait compétent dans cet art subtil, capable de la transporter plus loin que personne ne l’a déjà fait avant. Comme elle sait qu’il n’y a pas que son expérience qui la fait vibrer. Il y a ce truc aussi, cette chose qu’elle ne trouve pas chez les autres. On peut l’appeler magnétisme ou attirance, qu’importe ; les mots ne sont pas assez forts pour décrire ce qu’elle ressent actuellement. Précurseurs de plaisir, ils lui assurent de grimper aux rideaux. Dangereux, ils lui picorent la poitrine. Il n’y a aucune explication à tout ça. Jazmin change, n’est plus la même qu’avant. Un peu plus idiote, un peu plus sensible aussi. Un peu moins dans la retenue, beaucoup moins terre-à-terre. Elle vit dans les bras de cet homme ; tout simplement. Devenant accro à ces sensations, elle plonge tête la première. Elle n’a pas envie de faire semblant, n’a pas envie de se retenir non plus. Quand il est là, tout part en vrille. Comme ici. La studieuse élève s’est vue mise à la porte pour laisser place à la vorace affamée ; à cette droguée prête à tout pour se piquer. Parce qu’il est là. Rien que sa présence lui fait tourner la tête. Accrochant sa ceinture, elle l’attire vers elle. Invitation on ne peut plus explicite. Tu sais ce que tu veux comme toujours. Et la jolie Sybille lui fait comprendre, plaquant sa main contre sa poitrine. Elle est vivante. Avec lui ; dans ses bras, en cet instant. Un baiser pour seule réponse. Échange qui se veut passionner et tendre. On dit que l’univers est suspendu à un baiser ; tu veux bien le croire. La belle en a déjà embrassé des lèvres, mais pas de cette manière ; comme si les mots étaient inutiles ici, ils s’expriment tous les deux d’une autre façon ; la leur. Elle déboutonne lentement sa chemise, effeuille ce corps qu’elle lui offre sans aucune résistance. Oui, parce qu’elle n’a pas envie de jouer l’effarouchée ce soir ; elle veut tout ça ; tout de suite. Et Sasha ne se fait pas attendre. Il parsème sa peau halée de multiple baiser. Elle en frisonne, en sourit d’avidité ; et comme elle l’avait prédit, sa chemise rejoint la sienne. Encore quelques minutes, et un mont de vêtement va joncher le sol. Elle le sait, le veut, princesse capricieuse.
Il écarte ses cuisses, s’approche un peu plus ; mais pas encore assez pour elle. Alors comme un piège, ses jambes se referment autour de lui. Les mains du bel Apollon se veulent curieuses, tandis que les siennes sont un peu trop aventureuses. La gamine a beau l’avoir déjà vu, elle se plaît à redécouvrir son corps, à le caresser langoureusement du regard. Elle ne s’en lassera pas, elle en est certaine. Parce que tout est là pour qu’elle apprécie ce qu’elle touche et voit. Moment de lucidité, d’un sort, il ferme les portes de la bibliothèque. C’est bien, personne ne les dérangera comme ça. Horrible frustration que de se faire interrompre en si bon chemin. Rien que d’y penser ça la frustre d’avance. Non. Il ne faut surtout pas qu’ils s’arrêtent. Pourtant, ses lèvres quittent sa peau. Elle le regarde intriguer, et fini par sourire à ses dires. Il parle d’habitude. Même enfant elle n’a jamais aimé ce mot, elle, l’imprévisible tempête. « Alors pour la première fois, je m’y accoutumerai vite. » Pourtant là, elle se veut plus clémente. T’es déjà habituée au fond, ou du moins t’apprend à l’être. La jolie brune prend goût à sa présence, aux sensations qui se renouvellent ou qu’elle redécouvre, à leurs discussions aussi. Et Jazmin en redemande. Encore, toujours. C’est une droguée, prendre sa dose c’est plus qu’une histoire d’habitude. C’est un besoin, une nécessité vitale. Une exigence, une obligation. Comme les vivants ont besoin d’oxygène, toi, t’as besoin de ça. De quoi Jazmin ? De tout. De lui. C’est con à dire. L’indépendante peut aller se coucher, à ce jour plus prisonnière que libre. Elle déboucle sa ceinture, déboutonne avec lenteur ce pantalon qui certes lui sied à merveille, mais qui la dérange on ne peut plus en cet instant. Elle vient l’embrasser, caresse de ses lèvres le coin de sa mâchoire. « Ça a du bon parfois les habitudes. » Elle murmure, mordille le lobe de son oreille. Et s’aventure dans son cou qu’elle recouvre de baiser, pour retrouver ensuite ses lèvres qu’elle commence à un peu trop apprécié. T’es plus en train de jouer. Elle redescend de la table, fait glisser cette jupe le long de ses jambes fuselées. Sous cette lumière tamisée, les cheveux un peu emmêlés, elle le regarde. Elle se veut jolie, allumeuse d’incendie.
Il écarte ses cuisses, s’approche un peu plus ; mais pas encore assez pour elle. Alors comme un piège, ses jambes se referment autour de lui. Les mains du bel Apollon se veulent curieuses, tandis que les siennes sont un peu trop aventureuses. La gamine a beau l’avoir déjà vu, elle se plaît à redécouvrir son corps, à le caresser langoureusement du regard. Elle ne s’en lassera pas, elle en est certaine. Parce que tout est là pour qu’elle apprécie ce qu’elle touche et voit. Moment de lucidité, d’un sort, il ferme les portes de la bibliothèque. C’est bien, personne ne les dérangera comme ça. Horrible frustration que de se faire interrompre en si bon chemin. Rien que d’y penser ça la frustre d’avance. Non. Il ne faut surtout pas qu’ils s’arrêtent. Pourtant, ses lèvres quittent sa peau. Elle le regarde intriguer, et fini par sourire à ses dires. Il parle d’habitude. Même enfant elle n’a jamais aimé ce mot, elle, l’imprévisible tempête. « Alors pour la première fois, je m’y accoutumerai vite. » Pourtant là, elle se veut plus clémente. T’es déjà habituée au fond, ou du moins t’apprend à l’être. La jolie brune prend goût à sa présence, aux sensations qui se renouvellent ou qu’elle redécouvre, à leurs discussions aussi. Et Jazmin en redemande. Encore, toujours. C’est une droguée, prendre sa dose c’est plus qu’une histoire d’habitude. C’est un besoin, une nécessité vitale. Une exigence, une obligation. Comme les vivants ont besoin d’oxygène, toi, t’as besoin de ça. De quoi Jazmin ? De tout. De lui. C’est con à dire. L’indépendante peut aller se coucher, à ce jour plus prisonnière que libre. Elle déboucle sa ceinture, déboutonne avec lenteur ce pantalon qui certes lui sied à merveille, mais qui la dérange on ne peut plus en cet instant. Elle vient l’embrasser, caresse de ses lèvres le coin de sa mâchoire. « Ça a du bon parfois les habitudes. » Elle murmure, mordille le lobe de son oreille. Et s’aventure dans son cou qu’elle recouvre de baiser, pour retrouver ensuite ses lèvres qu’elle commence à un peu trop apprécié. T’es plus en train de jouer. Elle redescend de la table, fait glisser cette jupe le long de ses jambes fuselées. Sous cette lumière tamisée, les cheveux un peu emmêlés, elle le regarde. Elle se veut jolie, allumeuse d’incendie.
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Jeu 5 Juil 2018 - 10:19
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sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Elle sourit et tu sais que tu pourrais facilement te perdre dans cette simple contemplation. C'est comme ça depuis le premier soir, il suffit de rien pour que tu te retrouves désarmé face à sa beauté, son attitude mutine ou son regard sauvage. Représentation d'une féminité rare et assumée, elle sait qu'elle plaît, elle n'est pas folle pas à ce point la gamine et toi, toi t'es trop faible que pour reculer, alors t'avance, tu plonges au risque de te noyer dans un océan inconnu et trop violent. T'es vraiment prêt à ça ? Pour ça ? T'aimes le danger, l'inconnu, ces choses qui te faisaient te sentir vivant, aujourd'hui sont différentes. Fini les cascades sur ton balai à des dizaines de mètres du sol, fini les bagarres dans les bars, t'as pas besoin de te faire mal physiquement pour savoir que t'es en vie, t'as juste besoin de sentir la chaleur de sa peau sous tes doigts. Qu'est-ce que t'aimes ça.
Tu sens son corps, son souffle, tu vois son regard, tu goûtes ses lèvres et tout disparaît, la douleur, les questions, l'envie de fuir, il n'y a plus qu'elle et toi dans cette bibliothèque vierge. C'est vrai, t'as jamais été tenté de faire quoique ce soit dans la bibliothèque, c'est étonnant. Quand ses jambes enserrent ta taille, ce ne sont pas les idées qui se font rares, plutôt la résistance, t'as pas envie d'attendre une seconde de plus, tu veux sentir son corps contre le tien. Amusé, tu lui fais remarquer qu'une certaine récidive peut mener à une habitude, ce mot tabou pour toi, vous, mais comme elle, tu veux bien t'habituer à ce que vous partagez, parce que même si c'est physiquefaut pas déconner non plus, t'es pas un saint mon grand, y'a plus. Tu sais pas quoi. Tu sais pas pourquoi. Tu sais juste que c'est elle, que c'est avec elle et que personne t'as jamais intrigué autant que cette fleur-là.
Comme d'habitude, t'es menotté à ses envies, elle mène la danse, quoi que tu fasses, t'as beau essayer de changer ça, de reprendre les rennes, parce que les habitudes ça vas, mais la soumission t'aime pas, t'y arrives pas. Alors pourquoi tu te laisses enrôler une nouvelle fois dans ce jeu ? Parce que t'es un putain de connard faible. Ta faiblesse, tu la ressens dans chaque morceau de peau qu'elle frôle, caresse du doigt ou des lèvres, tu veux pas que ça s'arrête, tu soupires avant de sourire à sa remarque oui, ça a du bon parfois les habitudes, enfin, tu crois parce que j'en ai jamais eu. La demoiselle glisse de la table avec l'élégance d'une panthère, tu admires son corps, la jupe qui glisse lentement le long de ses jambes. Ta lèvre se retrouve une nouvelle fois entre tes dents, tu mords plus fort, tu te retiens de lui sauter dessus, de lui arracher ce qui reste, au lieu de ça, tu gardes un certain calme. Avant qu'une tempête ne vous emporte. Tu te perds, c'est la première fois que ça te prend comme ça. T'es happé par un truc que tu ne comprends pas, t'es poussé vers cette femme redoutable aux allures candides. T'es pas dupe. Tu sais. Pourtant, quand elle rallume l'incendie, tu t'approches d'elle, tes pupilles scrutent chaque centimètre de son visage que tu caresses du bout du doigt, j'veux bien voir ce que ça fait d'en avoir, avec toi. Il est où le jeu ? Elles sont où les règles ? Tu l'embrasses, pendant que tes lèvres sont sur les siennes, tes mains glissent sous son corps, frôlement discret sur les zones délicates, si allume le feu, tu l'alimentes. Qu'est-ce que tu fais de tes règles Muller ? Y'en a plus. Est-ce qu'il y en a seulement eu un jour ?
Tu sens son corps, son souffle, tu vois son regard, tu goûtes ses lèvres et tout disparaît, la douleur, les questions, l'envie de fuir, il n'y a plus qu'elle et toi dans cette bibliothèque vierge. C'est vrai, t'as jamais été tenté de faire quoique ce soit dans la bibliothèque, c'est étonnant. Quand ses jambes enserrent ta taille, ce ne sont pas les idées qui se font rares, plutôt la résistance, t'as pas envie d'attendre une seconde de plus, tu veux sentir son corps contre le tien. Amusé, tu lui fais remarquer qu'une certaine récidive peut mener à une habitude, ce mot tabou pour toi, vous, mais comme elle, tu veux bien t'habituer à ce que vous partagez, parce que même si c'est physique
Comme d'habitude, t'es menotté à ses envies, elle mène la danse, quoi que tu fasses, t'as beau essayer de changer ça, de reprendre les rennes, parce que les habitudes ça vas, mais la soumission t'aime pas, t'y arrives pas. Alors pourquoi tu te laisses enrôler une nouvelle fois dans ce jeu ? Parce que t'es un putain de connard faible. Ta faiblesse, tu la ressens dans chaque morceau de peau qu'elle frôle, caresse du doigt ou des lèvres, tu veux pas que ça s'arrête, tu soupires avant de sourire à sa remarque oui, ça a du bon parfois les habitudes, enfin, tu crois parce que j'en ai jamais eu. La demoiselle glisse de la table avec l'élégance d'une panthère, tu admires son corps, la jupe qui glisse lentement le long de ses jambes. Ta lèvre se retrouve une nouvelle fois entre tes dents, tu mords plus fort, tu te retiens de lui sauter dessus, de lui arracher ce qui reste, au lieu de ça, tu gardes un certain calme. Avant qu'une tempête ne vous emporte. Tu te perds, c'est la première fois que ça te prend comme ça. T'es happé par un truc que tu ne comprends pas, t'es poussé vers cette femme redoutable aux allures candides. T'es pas dupe. Tu sais. Pourtant, quand elle rallume l'incendie, tu t'approches d'elle, tes pupilles scrutent chaque centimètre de son visage que tu caresses du bout du doigt, j'veux bien voir ce que ça fait d'en avoir, avec toi. Il est où le jeu ? Elles sont où les règles ? Tu l'embrasses, pendant que tes lèvres sont sur les siennes, tes mains glissent sous son corps, frôlement discret sur les zones délicates, si allume le feu, tu l'alimentes. Qu'est-ce que tu fais de tes règles Muller ? Y'en a plus. Est-ce qu'il y en a seulement eu un jour ?
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Re: /!\ (shazmin) wicked game.
Lun 16 Juil 2018 - 17:01
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sasha & jazmin
« It’s strange. A lot of the time you don’t register the important moments as they happen. You only see that they were important when you look back. »
Son sourire en dit long sur ses pensées. Elle n'a pas envie d'arrêter la belle, pas plus que toi. Quand elle est là, tu n'as pas envie d'être ailleurs , tu ne penses à rien d'autre qu'Elle. Si belle. Si sauvage. Elle ne te donne pas ce que tu veux, mais ce qu'il te faut, tu t'en rends compte, elle sait et c'est d'autant plus étrange que personne avant elle n'avait pu y arriver. Parfois t'es con, d'autre tu es simplement drôle, timing parfait, vos rires se mêlent tandis que tu plaisantes, arguant que l'année ce clôt d'une merveilleuse manière, elle rétorque. Laisse sous-entendre que votre jeu pourrait bien survivre à la chaleur de l'été. Tu ne demanderais pas mieux, t'embrasses son épaule, sourit même quand elle pointe la longueur de cet été. T'y avais pas pensé, mais deux mois c'est long, très, trop probablement. Tu ne sais même pas où elle habite la brune, tu ne sais pas si elle va travailler durant ces mois de vacances méritées. Du bout des doigts tu glisses le long de son cou, arrive jusqu'à son menton et lève son visage vers le tien. Tes lèvres embrassent les siennes une nouvelle fois et entre deux baisers tu te surprends à susurrer si tu veux me trouver, tu sais où je vis... Tu ne comptes pas rentrer au manoir durant des jours, tu passeras voir tes parents en coup de vent, mais c'est bien à Inverness que tu passeras le plus grand de ton temps. Invitation avec carte blanche, elle vient quand elle veut, tu ne veux qu'elle de toute façon, voilà déjà quelques temps que tu n'as plus caresser d'autre corps, comme si pour une fois, t'étais satisfait. Passe me voir, si le corps coeur t'en dit, parce que toi tu demanderas pas mieux, elle peut même s'installer dans ton salon si elle le veut, tu lui ferais un place dans ton lit sans sourciller. Elle s'est déjà créée une place dans ta vie, sans même que tu t'en aperçoive, les habitudes sont dangereuses, tu le savais... mais avec elle, c'est différent.
(c) DΛNDELION
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