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Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Mer 18 Juil 2018 - 15:05
Encore une nuit où je n'arrivais pas à trouver le sommeil. Encore une fois où je ne voulais pas déranger ma moitié. Encore une nuit, donc, où je quittais le lit pour aller tourner en rond dans le salon. Plus les jours passaient et plus j'étais nerveuse, je sentais mes tripes se faire retourner par la main sanglante, froide et sadique de la tétanie. Mon éventuelle future condition m'effrayait, ça allait chambouler toute ma vie. Autant pour mon couple je ne m'en faisais pas, autant pour cette potentielle nouvelle transformation, c'était un drame. Il fallait que j'oublie… ce soir encore… et puisque j'avais déjà fait plusieurs fois le tour de l'université, cette nuit, je voulais aller voir ailleurs si j'y étais.
Donc encore une fois je sortais du lit en catimini pour aller m'habiller avec mon T-shirt noir, mon jeans, et mon blouson en cuir noir par-dessus mes épaules. Malgré la température, hors de question que je présente aux yeux du monde la mutilation que mon corps avais subi. Pas tant que je l'avais accepté moi-même en tout cas.
Alors, pour la première fois depuis mon accident, j'osais sortir des murs de l'université, et arrivée devant le portail, je ne perdais pas une seconde pour transplaner jusqu'à Inverness. Pour oublier mon amour avant mon accident, je m'étais un peu perdue dans l'alcool, et ça marchait plutôt bien sur l'instant. Alors pourquoi ne ferai-je pas la même chose ce soir alors que je souhaitais oublier que j'étais peut-être une future créature de la nuit ? Les mains dans les poches de mon blouson alors que j'atterrissais au Myrddin Wyllt District, je regardais autour de moi, avec l'idée de me rendre au Vampire's Night, comme à l'époque. Pourtant, une affiche placardée sur un espace publicitaire attirait mon regard. Un nouvel endroit, nommé le "Rainbow Club" venait d'ouvrir ses portes, et si j'arrivais à décoder convenablement les couleurs et les sous-entendus du tract, j'avais une petite idée de l'ambiance qui devait régner là-bas. Et maintenant que mon couple était confirmé, et qu'il n'était plus un rêve… pourquoi ne pas essayer ?
Je changeais alors de cape, me rendant dans ce fameux nouveau club. Le gros bras surveillant l'entrée me stoppa net avec sa grosse main posée sur mon épaule.
- Ce n'est pas pour les enfants ici.
Les enfants ? non mais sérieux il m'avait bien regardé ? … oui, sûrement que oui. Je soupirais tout en fouillant une poche intérieure de ma veste.
- J'ai vint-cinq ans….
- Et moi je suis la reine d'Angleterre.
Je détestais devoir me justifier de la sorte, il y avait sans cesse la même réaction qui s'affichait sur ce genre de personne, à savoir, une hilarité folle, comme si je leur refaisais leur soirée. Il croyait sincèrement que c'était facile à vivre d'être constamment prise pour une jeunette de quinze ans ? Des fois c'était pénible, surtout sans Adélaïde. Ainsi, pour couper court à ses moqueries, je plaçais ma carte d'identité juste sous son nez, dégainée de ma veste. Lorsqu'il y prit connaissance, son sourire s'effaça petit à petit, son regard valsant entre ma carte, et moi, qui haussait un sourcil insistant. Oui, oui, j'ai vint-cinq ans connard, laisse-moi rentrer ou je te défonce la gueule, kessta ? J'ai maté un loup-garou, tu veux test ? Balourd…
Avec un air mécontent il finit par me laisser entrer et en récupérant ma pièce d'identité je lui accordais un fin sourire victorieux.
- Merci.
Salopard… Mais bref, une fois à l'intérieur, je constatais avec amusement que je ne m'étais pas trompée sur le thème du lieu. Amusant tiens. Ainsi, je déambulais entre les danseurs, les personnes déjà ivres et les chasseurs de tête, déclinant les invitations non sans un léger air de dégoût, jusqu'à atteindre mon Graal, le bar. Lorsque le barman posait les yeux sur moi, je lui souriais en m'accoudant au bar.
- Ce que vous avez de plus fort.
Ce soir, je voulais me faire tourner la tête. Oublier… mon Royaume pour oublier, par pitié.
Donc encore une fois je sortais du lit en catimini pour aller m'habiller avec mon T-shirt noir, mon jeans, et mon blouson en cuir noir par-dessus mes épaules. Malgré la température, hors de question que je présente aux yeux du monde la mutilation que mon corps avais subi. Pas tant que je l'avais accepté moi-même en tout cas.
Alors, pour la première fois depuis mon accident, j'osais sortir des murs de l'université, et arrivée devant le portail, je ne perdais pas une seconde pour transplaner jusqu'à Inverness. Pour oublier mon amour avant mon accident, je m'étais un peu perdue dans l'alcool, et ça marchait plutôt bien sur l'instant. Alors pourquoi ne ferai-je pas la même chose ce soir alors que je souhaitais oublier que j'étais peut-être une future créature de la nuit ? Les mains dans les poches de mon blouson alors que j'atterrissais au Myrddin Wyllt District, je regardais autour de moi, avec l'idée de me rendre au Vampire's Night, comme à l'époque. Pourtant, une affiche placardée sur un espace publicitaire attirait mon regard. Un nouvel endroit, nommé le "Rainbow Club" venait d'ouvrir ses portes, et si j'arrivais à décoder convenablement les couleurs et les sous-entendus du tract, j'avais une petite idée de l'ambiance qui devait régner là-bas. Et maintenant que mon couple était confirmé, et qu'il n'était plus un rêve… pourquoi ne pas essayer ?
Je changeais alors de cape, me rendant dans ce fameux nouveau club. Le gros bras surveillant l'entrée me stoppa net avec sa grosse main posée sur mon épaule.
- Ce n'est pas pour les enfants ici.
Les enfants ? non mais sérieux il m'avait bien regardé ? … oui, sûrement que oui. Je soupirais tout en fouillant une poche intérieure de ma veste.
- J'ai vint-cinq ans….
- Et moi je suis la reine d'Angleterre.
Je détestais devoir me justifier de la sorte, il y avait sans cesse la même réaction qui s'affichait sur ce genre de personne, à savoir, une hilarité folle, comme si je leur refaisais leur soirée. Il croyait sincèrement que c'était facile à vivre d'être constamment prise pour une jeunette de quinze ans ? Des fois c'était pénible, surtout sans Adélaïde. Ainsi, pour couper court à ses moqueries, je plaçais ma carte d'identité juste sous son nez, dégainée de ma veste. Lorsqu'il y prit connaissance, son sourire s'effaça petit à petit, son regard valsant entre ma carte, et moi, qui haussait un sourcil insistant. Oui, oui, j'ai vint-cinq ans connard, laisse-moi rentrer ou je te défonce la gueule, kessta ? J'ai maté un loup-garou, tu veux test ? Balourd…
Avec un air mécontent il finit par me laisser entrer et en récupérant ma pièce d'identité je lui accordais un fin sourire victorieux.
- Merci.
Salopard… Mais bref, une fois à l'intérieur, je constatais avec amusement que je ne m'étais pas trompée sur le thème du lieu. Amusant tiens. Ainsi, je déambulais entre les danseurs, les personnes déjà ivres et les chasseurs de tête, déclinant les invitations non sans un léger air de dégoût, jusqu'à atteindre mon Graal, le bar. Lorsque le barman posait les yeux sur moi, je lui souriais en m'accoudant au bar.
- Ce que vous avez de plus fort.
Ce soir, je voulais me faire tourner la tête. Oublier… mon Royaume pour oublier, par pitié.
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Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Jeu 19 Juil 2018 - 13:45
Le Rainbow Club, nouvel établissement, ouvert récemment. Tu y es allé à l'inauguration (en fait tu avais surtout squatté) et tu avais adoré l'ambiance. Ce soir tu y retournes, dans l'objectif d'y mettre le feu (façon de parler hein, tu va pas brûler un endroit que tu aimes) et finir sous l'une des tables (Ce qui ne change pas vraiment de d'habitudes à vrai dire). En cette occasion, tu as mis une petite robe noire et un peu de maquillage.
À l'entrée le vigile se tape un peu la discute avec toi. Il te parle d'une petite minette qu'il a prise pour une gamine de quinze piges.
- J'pouvais pas savoir qu'elle avait vingt-cinq balais.
- Parce que faut avoir la gueule d'un vieux fossile pour s'amuser maintenant ?
- Rentres à l'intérieur avant que je change d'avis. Essaye de pas mettre trop le bordel.
La réputation que tu as, tient bien la route en tout cas. Pourtant, tu n'as pas encore mis le dawa au Rainbow. C'est vrai aussi que c'est seulement, la deuxième fois que t'y mets les pieds.
Tu mets ta veste au vestiaire et entre dans la salle. Un mec déjà bien entamé se permet de te faire des avances. Ce à quoi tu lui répond, que c'est ton genou qui risque d'avoir un rendez-vous avec ça. Que tu va lui refaire le remake de Casse-Noisettes si il continue de te taper sur le système. Tu lui empoignes fermement ce qui est sous entendu par le ça avant de relâcher le tout et de permettre au gugusse d'aller voir ailleurs si tu y es. T'avais dit au vigile que tu ne mettrais pas le bordel ce soir, tu commences plutôt bien.
Toutes ses émotions t'ont donné soif. C'est donc, d'un pas décidé que tu te faufiles parmi les clients pour atteindre le Graal. À savoir le bar. Tu reconnais Aby et vas donc à côté d'elle. Tu l'entends demander ce qu'il y a de plus fort au bar. Tu commandes la même chose au barman, avant de te retourner vers Aby en lui souriant chaleureusement.
- Alors comme ça on veut se mettre la tête à l'envers ? Comptes sur moi pour t'accompagner !
En attendant qu'on vous prépare ce que vous avez commandé, tu continues la conversation.
- Alors qu'est-ce qui t'amènes ici bichette ?
À l'entrée le vigile se tape un peu la discute avec toi. Il te parle d'une petite minette qu'il a prise pour une gamine de quinze piges.
- J'pouvais pas savoir qu'elle avait vingt-cinq balais.
- Parce que faut avoir la gueule d'un vieux fossile pour s'amuser maintenant ?
- Rentres à l'intérieur avant que je change d'avis. Essaye de pas mettre trop le bordel.
La réputation que tu as, tient bien la route en tout cas. Pourtant, tu n'as pas encore mis le dawa au Rainbow. C'est vrai aussi que c'est seulement, la deuxième fois que t'y mets les pieds.
Tu mets ta veste au vestiaire et entre dans la salle. Un mec déjà bien entamé se permet de te faire des avances. Ce à quoi tu lui répond, que c'est ton genou qui risque d'avoir un rendez-vous avec ça. Que tu va lui refaire le remake de Casse-Noisettes si il continue de te taper sur le système. Tu lui empoignes fermement ce qui est sous entendu par le ça avant de relâcher le tout et de permettre au gugusse d'aller voir ailleurs si tu y es. T'avais dit au vigile que tu ne mettrais pas le bordel ce soir, tu commences plutôt bien.
Toutes ses émotions t'ont donné soif. C'est donc, d'un pas décidé que tu te faufiles parmi les clients pour atteindre le Graal. À savoir le bar. Tu reconnais Aby et vas donc à côté d'elle. Tu l'entends demander ce qu'il y a de plus fort au bar. Tu commandes la même chose au barman, avant de te retourner vers Aby en lui souriant chaleureusement.
- Alors comme ça on veut se mettre la tête à l'envers ? Comptes sur moi pour t'accompagner !
En attendant qu'on vous prépare ce que vous avez commandé, tu continues la conversation.
- Alors qu'est-ce qui t'amènes ici bichette ?
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Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Ven 20 Juil 2018 - 7:37
Sterenn ?? Qu'est-ce qu'elle faisait ici ? Je ne cachais pas mon étonnement de la voir dans un lieu aussi… enfin, je ne l'imaginais pas de ces bords-là. J'écarquillais alors de grands yeux de poissons en la voyant s'installer à côté de moi et commander la même chose que moi. Je connaissais l'Ethelred depuis notre entrée à Hungcalf, normal, puisque nous étions de la même maison et que je restais attentive aux membres des gris. Néanmoins, comme la plupart des universitaires, je ne la connaissais que peu, d'autant plus qu'elle n'était pas le genre de personne que je fréquentais. Non pas que nous ne puissions pas nous entendre, mais je craignais qu'elle soit trop explosive pour moi au quotidien… et ce soir, c'était plutôt bien, j'avais justement envie de me faire exploser la tête. Je savais que si Adoraçión retrouvait ma trace cette nuit, et ici qui plus est, elle irait sans doute me pendre par les pieds à sa fenêtre pour que je dorme suspendue dans le vide, mais il fallait savoir vivre dangereusement après tout, non ? Rendant son sourire à la jeune femme, je lui répondais d'une voix peu assurée, le temps de me mettre en confiance. Je restais très déroutée par les derniers événements de ma vie et ma timidité n'aidait pas.
- À l'envers ? Non pas spécialement, je veux juste oublier le shit de ma vie.
Je remerciais le barman lorsqu'il nous servait… deux shots. Quoi sérieusement ? C'était vraiment ce qu'il avait de plus fort ? Dans des minis verres ? Encore une fois, je ne cachais pas mon étonnement, pourtant je me gardais de tout commentaire. Je fixais l'homme qui me tournait déjà le dos, puis balayait le bar de mes yeux marron jusqu'à revenir sur mon interlocutrice à côté de moi. Attrapant mon verre de ma main gauche, je le ramenais vers moi tout en m'adressant à elle.
- Et toi ? Qu'est-ce que tu fais ici ? Je ne t'imaginais pas dans un genre LGBT.
Un sourire nerveux se dessinait sur mes lèvres alors que je prenais conscience de l'absurdité de ce que je venais de dire Il était moins surprenant de la voir elle ici, que moi, petite nenette qui ne s'était jamais intéressée aux choses de l'amour jusqu'à il y a peu. C'était un peu l'hôpital qui se foutait de la charité… Et je savais que ma remarque allait sans doute se retourner contre moi. Merde, il me fallait vite trouver une sortie de secours.
Je levais alors mon verre dans sa direction pour trinquer puis boire cul sec le contenu de mon verre. Le goût était particulièrement amer, et une fois avalé, je me mis à tousser, sursautant de ma chaise pour me lever tant il m'arrachait la gorge. Je devenais aussi rouge qu'un dragon européen lorsqu'il est en colère, et j'ouvrais la bouche, sans qu'aucun son n'en sorte. Des larmes montèrent aux coins de mes yeux alors que je ne me remettais pas du feu que j'avais dans la bouche. Ah oui… c'était putin de fort son truc. Je tournais sur moi-même comme si je venais d'avaler un piment entier, le temps que ça passe. Après avoir fait un ou deux tours sur moi-même, je réussissais enfin à retrouver l'usage de mes cordes vocales.
- EUUUWWWWAAAHHH… ça arrache la tronche !!!
Je secouais la tête en clignant plusieurs fois des yeux pour reprendre mes esprits, venant taper le bar du plat de ma main. Après m'être essuyée les yeux, je rappelais le serveur.
- La tite sœur !
Je devais faire attention, je me savais particulièrement influençable et instable ces derniers jours. Il ne fallait pas que la soirée se termine mal, surtout si je rentrais ivre aux côtés de ma dulcinée, et voilà pourquoi en général j'évitais les personnes comme Sterenn… mais… ça peut attendre demain. Là, maintenant, j'ai soirée LGBT.
- À l'envers ? Non pas spécialement, je veux juste oublier le shit de ma vie.
Je remerciais le barman lorsqu'il nous servait… deux shots. Quoi sérieusement ? C'était vraiment ce qu'il avait de plus fort ? Dans des minis verres ? Encore une fois, je ne cachais pas mon étonnement, pourtant je me gardais de tout commentaire. Je fixais l'homme qui me tournait déjà le dos, puis balayait le bar de mes yeux marron jusqu'à revenir sur mon interlocutrice à côté de moi. Attrapant mon verre de ma main gauche, je le ramenais vers moi tout en m'adressant à elle.
- Et toi ? Qu'est-ce que tu fais ici ? Je ne t'imaginais pas dans un genre LGBT.
Un sourire nerveux se dessinait sur mes lèvres alors que je prenais conscience de l'absurdité de ce que je venais de dire Il était moins surprenant de la voir elle ici, que moi, petite nenette qui ne s'était jamais intéressée aux choses de l'amour jusqu'à il y a peu. C'était un peu l'hôpital qui se foutait de la charité… Et je savais que ma remarque allait sans doute se retourner contre moi. Merde, il me fallait vite trouver une sortie de secours.
Je levais alors mon verre dans sa direction pour trinquer puis boire cul sec le contenu de mon verre. Le goût était particulièrement amer, et une fois avalé, je me mis à tousser, sursautant de ma chaise pour me lever tant il m'arrachait la gorge. Je devenais aussi rouge qu'un dragon européen lorsqu'il est en colère, et j'ouvrais la bouche, sans qu'aucun son n'en sorte. Des larmes montèrent aux coins de mes yeux alors que je ne me remettais pas du feu que j'avais dans la bouche. Ah oui… c'était putin de fort son truc. Je tournais sur moi-même comme si je venais d'avaler un piment entier, le temps que ça passe. Après avoir fait un ou deux tours sur moi-même, je réussissais enfin à retrouver l'usage de mes cordes vocales.
- EUUUWWWWAAAHHH… ça arrache la tronche !!!
Je secouais la tête en clignant plusieurs fois des yeux pour reprendre mes esprits, venant taper le bar du plat de ma main. Après m'être essuyée les yeux, je rappelais le serveur.
- La tite sœur !
Je devais faire attention, je me savais particulièrement influençable et instable ces derniers jours. Il ne fallait pas que la soirée se termine mal, surtout si je rentrais ivre aux côtés de ma dulcinée, et voilà pourquoi en général j'évitais les personnes comme Sterenn… mais… ça peut attendre demain. Là, maintenant, j'ai soirée LGBT.
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Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Sam 21 Juil 2018 - 1:51
Boire pour oublier, c'est une chose que tu fais rarement. Tu n'en as pas de souvenirs. Bon en même temps ça t'es déjà arrivé d'avoir un black-out dans ta vie mouvementée. Ou peut-être deux, ou trois. Ou plus. Tu bois tout simplement, parce que tu as envie. Aby, elle boit pour oublier, le shit de sa vie, selon ses propres paroles. Tu ne lui demandes pas de quoi il s'agit. Libre à elle de t'en parler. Ou pas. Après tout, tu ne parles pas forcément de tes problèmes, alors pourquoi tu lui demanderais de te raconter les siens ? Ce serait la paille qui se fout de la gueule de l'hôpital, dans la poutre de l'oeil de la charité.
Par contre, ce que tu peux faire, c'est l'accompagner dans ses envies d'ivresses. Te connaissant, tu ne va pas pouvoir t'empêcher de veiller sur elle, mine de rien. Même avec un peu de sang dans ton alcool et ton oeil droit qui dit merde à l'autre, tu as toujours cet instinct de protection. Tu remarques qu'Aby n'a pas l'habitude de venir ici. C'est étonnant, qu'elle te pose la question sur le même sujet. Amusée, tu lui répond avec un clin d'oeil.
- Ah et tu imaginais quoi ? Je suis bien curieuse.
Tu lèves ton shot pour trinquer avec ta camarade de soirée. À sa réaction, tu vois que la boisson à bien été surprenante pour elle.
- Le premier est toujours le plus dur à avaler.
Une fois le tien fini, tu le poses sur le bar avec délicatesse (enfin la tienne, tout est relatif) et commande la suite.
- C'est ma tournée.
Monsieur Casse-Noisette, relou de la soirée élu à l'unanimité par toi-même, décide de faire un come back. Il commence à s'approcher de vous d'un pas décidé, avant de faire marche arrière en te voyant. Tu décide de lui faire un petit coucou en imitant le geste d'une personne qui serre un objet. Histoire de lui faire rappeller tes paroles d'il y a moins de cinq minutes. Tu te retournes ensuite vers ta camarade après avoir bu cul sec ton second shot.
- Tu vois le shot est petit mais puissant. Ce mec, c'est l'inverse. Un gros balourd et rien dans le pantalon.
Tu commandes une bouteille de whisky. Peut être la seule que tu pourras payer, avant un bon moment. Mais après tout ce soir c'est un jour de fête.
Par contre, ce que tu peux faire, c'est l'accompagner dans ses envies d'ivresses. Te connaissant, tu ne va pas pouvoir t'empêcher de veiller sur elle, mine de rien. Même avec un peu de sang dans ton alcool et ton oeil droit qui dit merde à l'autre, tu as toujours cet instinct de protection. Tu remarques qu'Aby n'a pas l'habitude de venir ici. C'est étonnant, qu'elle te pose la question sur le même sujet. Amusée, tu lui répond avec un clin d'oeil.
- Ah et tu imaginais quoi ? Je suis bien curieuse.
Tu lèves ton shot pour trinquer avec ta camarade de soirée. À sa réaction, tu vois que la boisson à bien été surprenante pour elle.
- Le premier est toujours le plus dur à avaler.
Une fois le tien fini, tu le poses sur le bar avec délicatesse (enfin la tienne, tout est relatif) et commande la suite.
- C'est ma tournée.
Monsieur Casse-Noisette, relou de la soirée élu à l'unanimité par toi-même, décide de faire un come back. Il commence à s'approcher de vous d'un pas décidé, avant de faire marche arrière en te voyant. Tu décide de lui faire un petit coucou en imitant le geste d'une personne qui serre un objet. Histoire de lui faire rappeller tes paroles d'il y a moins de cinq minutes. Tu te retournes ensuite vers ta camarade après avoir bu cul sec ton second shot.
- Tu vois le shot est petit mais puissant. Ce mec, c'est l'inverse. Un gros balourd et rien dans le pantalon.
Tu commandes une bouteille de whisky. Peut être la seule que tu pourras payer, avant un bon moment. Mais après tout ce soir c'est un jour de fête.
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Sam 21 Juil 2018 - 7:51
Je riais un peu nerveusement à la question de ma collègue grise. Et bien oui, j'imaginais quoi moi d'abord ? C'était quoi ces préjugés que j'avais en ce moment ? Moi qui était la personne qui jugeait le moins les gens, pourquoi est-ce que soudainement me faisais-je une idée erronée d'eux ? J'étais décidément bien perdue en ce moment… Les pensées me dépassaient, je n'étais plus moi-même, et plus les jours, ou plutôt les nuits, défilaient, et plus je sentais que je perdais pied… comme ce soir. Fuyant le regard de mon interlocutrice un instant, j'adoptais ce comportement typique des timides, à essayer de trouver un échappatoire, un trou dans lequel se cacher, avec un regard fuyant tout en enfonçant ma tête dans mes épaules… mais je ne devais pas me faire d'illusion, ici, personne n'allait me sauver, ainsi, il me fallait bien lui répondre d'une manière ou d'une autre… et j'allais le faire comme je le faisais toujours, franchement.
- Et bien… je t'avoue en fait que je n'en sais rien. J'imagine qu'avec toi tout est possible.
Loin de vouloir paraître arrogante ou blessante, je lui souriais doucement et amicalement. Vraiment oui avec elle, ne serait-ce que par son apparence, je m'étais toujours dit que tout était possible en sa compagnie. Et sans doute que c'était un mal comme un bien.
En bonne partenaire de beuverie, elle lève son verre pour boire avec moi, mais à l'inverse de moi, elle reste parfaitement stoïque en avalant le feu dans le verre. Elle n'avait plus de palais ou quoi ? Ou alors c'était déjà une habituée des lieux et elle avait déjà goûté à toutes les boissons. C'était l'un ou l'autre, si ce n'est les deux.
- Oui, le premier il anesthésie pour tout le reste…
Je souriais à la grise tout en reprenant ma place assise alors qu'elle m'invitait tout en commandant du whisky. D'accord, d'entrée de jeu comme ça ? Décidément il ne fallait pas que je rentre chez ma bien-aimée tout à l'heure, mais dans ma chambre à moi… Elle sera sûrement surprise si ce n'est inquiète de s'être endormie à mes côtés et réveillée sans moi… mais ma fois tant pis. C'était plus fort que moi, j'avais besoin d'une bonne oubliette.
Suivant la personne qu'elle me désignait tout en me parlant, je ne pouvais m'empêcher de rire, oubliant toutes mes barrières de timidité et de conduite. Me penchant vers Sterenn au point que nos épaules se frôlent, je me permets une réponse plutôt grasse qui ne me ressemble pas lorsqu'on me connait en dehors des fêtes.
- La plupart des mecs sont comme ça, à penser avec ce qu'il y a dans le pantalon… pourtant ce n'est pas la taille qui compte.
Je venais m'enfiler mon deuxième verre de shot, qui eut cette fois juste pour effet de me faire secouer la tête et souffler en lâchant une légère toux. Il me décalquait ce truc, c'était génial !
Et lorsque la bouteille de whisky arrivait, je me permettais de faire moi-même le service.
- T'as pas répondu à ma question du coup… tu fais quoi ici ?
- Et bien… je t'avoue en fait que je n'en sais rien. J'imagine qu'avec toi tout est possible.
Loin de vouloir paraître arrogante ou blessante, je lui souriais doucement et amicalement. Vraiment oui avec elle, ne serait-ce que par son apparence, je m'étais toujours dit que tout était possible en sa compagnie. Et sans doute que c'était un mal comme un bien.
En bonne partenaire de beuverie, elle lève son verre pour boire avec moi, mais à l'inverse de moi, elle reste parfaitement stoïque en avalant le feu dans le verre. Elle n'avait plus de palais ou quoi ? Ou alors c'était déjà une habituée des lieux et elle avait déjà goûté à toutes les boissons. C'était l'un ou l'autre, si ce n'est les deux.
- Oui, le premier il anesthésie pour tout le reste…
Je souriais à la grise tout en reprenant ma place assise alors qu'elle m'invitait tout en commandant du whisky. D'accord, d'entrée de jeu comme ça ? Décidément il ne fallait pas que je rentre chez ma bien-aimée tout à l'heure, mais dans ma chambre à moi… Elle sera sûrement surprise si ce n'est inquiète de s'être endormie à mes côtés et réveillée sans moi… mais ma fois tant pis. C'était plus fort que moi, j'avais besoin d'une bonne oubliette.
Suivant la personne qu'elle me désignait tout en me parlant, je ne pouvais m'empêcher de rire, oubliant toutes mes barrières de timidité et de conduite. Me penchant vers Sterenn au point que nos épaules se frôlent, je me permets une réponse plutôt grasse qui ne me ressemble pas lorsqu'on me connait en dehors des fêtes.
- La plupart des mecs sont comme ça, à penser avec ce qu'il y a dans le pantalon… pourtant ce n'est pas la taille qui compte.
Je venais m'enfiler mon deuxième verre de shot, qui eut cette fois juste pour effet de me faire secouer la tête et souffler en lâchant une légère toux. Il me décalquait ce truc, c'était génial !
Et lorsque la bouteille de whisky arrivait, je me permettais de faire moi-même le service.
- T'as pas répondu à ma question du coup… tu fais quoi ici ?
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 22 Juil 2018 - 20:42
Quand Aby te dis qu'avec toi tout est possible tu as un rire amusé.
- Et encore tu es loin du compte.
Tu as toujours fait ce que tu voulais faire. Qu'importe si ça plait ou non. Qu'importe les jugements que l'on porte sur toi, sur ton apparence, sur ton comportement.
- Et tu peux en faire autant, rien ne t'en empêches.
Tu rigoles à sa remarque. Il semblerait que l'alcool commence à faire effet. Et dire que c'est le début de la soirée. Le whisky que tu as commandé risque de bien être efficace pour l'objectif fixé. Tu manques de cracher ton second short, après la remarque d'Aby sur les hommes et leur...on devine quoi. Tu ne l'imaginais pas être comme ça. Comme quoi, après quelques verres, les paroles se libèrent.
- Par chance ici, les relous sont plutôt rares. Casse-Noisettes ne devrait pas revenir avant un bon moment. Ou alors c'est qu'il est plus con qu'il en a l'air.
Tu laisses ta comparse vous servir des verres de whisky. Elle n'a pas la main légère et ça te plait. Elle te demandes alors ce que tu viens faire ici. Tu avales une gorgée et lui répond, avec un sourire amical.
- Une simple envie de faire la fête. J'aime bien venir ici pour m'amuser, l'ambiance est bonne. Boire, danser, boire, flirter, boire. Je profite à fond. Advienne que pourra !
En fait, ça ne change pas de tes habitudes. Tu remarques qu'une fille regarde Aby, avec beaucoup d'intérêt. Tu décides de partager l'information à ta compagne de beuverie.
- Je crois que tu viens de taper dans l'oeil de la fille là-bas. Elle te reluque depuis tout à l'heure.
Ton verre se vide au fur et à mesure de la conversation. Il faut reconnaître, que tu as plutôt une bonne descente.
- C'est la première fois que tu viens ici ?
En tout cas c'est la première fois que tu la vois au Rainbow.
- En tout cas pour t'amuser et te changer les idées, tu as fais le bon choix bichette. En tout cas, c'est cool de te voir ici.
- Et encore tu es loin du compte.
Tu as toujours fait ce que tu voulais faire. Qu'importe si ça plait ou non. Qu'importe les jugements que l'on porte sur toi, sur ton apparence, sur ton comportement.
- Et tu peux en faire autant, rien ne t'en empêches.
Tu rigoles à sa remarque. Il semblerait que l'alcool commence à faire effet. Et dire que c'est le début de la soirée. Le whisky que tu as commandé risque de bien être efficace pour l'objectif fixé. Tu manques de cracher ton second short, après la remarque d'Aby sur les hommes et leur...on devine quoi. Tu ne l'imaginais pas être comme ça. Comme quoi, après quelques verres, les paroles se libèrent.
- Par chance ici, les relous sont plutôt rares. Casse-Noisettes ne devrait pas revenir avant un bon moment. Ou alors c'est qu'il est plus con qu'il en a l'air.
Tu laisses ta comparse vous servir des verres de whisky. Elle n'a pas la main légère et ça te plait. Elle te demandes alors ce que tu viens faire ici. Tu avales une gorgée et lui répond, avec un sourire amical.
- Une simple envie de faire la fête. J'aime bien venir ici pour m'amuser, l'ambiance est bonne. Boire, danser, boire, flirter, boire. Je profite à fond. Advienne que pourra !
En fait, ça ne change pas de tes habitudes. Tu remarques qu'une fille regarde Aby, avec beaucoup d'intérêt. Tu décides de partager l'information à ta compagne de beuverie.
- Je crois que tu viens de taper dans l'oeil de la fille là-bas. Elle te reluque depuis tout à l'heure.
Ton verre se vide au fur et à mesure de la conversation. Il faut reconnaître, que tu as plutôt une bonne descente.
- C'est la première fois que tu viens ici ?
En tout cas c'est la première fois que tu la vois au Rainbow.
- En tout cas pour t'amuser et te changer les idées, tu as fais le bon choix bichette. En tout cas, c'est cool de te voir ici.
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Lun 23 Juil 2018 - 16:54
Loin du compte ? Non franchement je n'étais pas certaine que je sois si loin du compte, après tout j'avais un bon instinct et son allure montrait bien qu'elle était prête à tout. Après, je savais bien que l'habit ne faisait pas le moine, donc je préférais garder le bénéfice du doute, même si après ses paroles il n'y en avait plus trop à avoir. Je me contentais donc de lui sourire comme toute réponse. Faire ce que je voulais, non ce n'était pas vraiment possible, et quelque chose m'en empêchait… une chose particulièrement importante et qui devait dormir à l'heure actuelle, si elle ne me cherchait pas. Je savais que je devais faire attention, ce n'était juste pas garanti que j'y arrive totalement. Je le craignais, mais dans un sens, je m'en fichais aussi. J'étais fatiguée d'avoir peur sans cesse.
Je descendais ainsi mon second shot avec un simple frisson en commençant déjà à ressentir les effets de l'alcool. Après tout, j'avais demandé quelque chose de fort, j'avais été servie c'était le moins qu'on puisse dire. C'était parfait, et en plus, j'avais la prétention de croire que j'étais en bonne compagnie.
Me lâchant alors même sur ma façon de parler, je voyais la réaction de mon interlocutrice qui manquait de s'étouffer en avalant son alcool à ma remarque. Je ne pouvais donc pas m'empêcher d'élargir sensiblement mon sourire. Étonnant venant de moi n'est-ce pas ? Et bien, c'était ça qui me distrayait dans ma vie. Montrer mon vrai visage, subrepticement comme ça. C'était bien plus intéressant de paraître ennuyeux.
- Je ne suis pas trop inquiète pour les relous, les ignorer reste la meilleure façon de leur montrer qu'ils ne sont pas à la hauteur.
Attrapant mon verre de whisky en le rapprochant de moi, je l'écoutais me répondre enfin. Je ne pouvais m'empêcher d'adopter une mine amusée. Profiter à fond. C'était sans doute ce que faisait le commun des mortels comme elle, pas timide. C'était même sans doute ce que faisait ma sœur lorsqu'elle en avait le temps et l'envie : profiter à fond. Moi je ne le faisais que lorsque j'étais en présence des dragons. Cette pensée me révéla presque douloureusement que je n'arrivais même pas à profiter totalement d'être dans les bras de mon aimée à cause de ma phobie de la pleine lune… n'étais-je pas en train de gâcher peut-être les instants les plus importants de ma vie ? Je le craignais… Et j'avais conscience que me souler ici n'était pas une manière de profiter comme je l'aurai voulu, mais voilà en ce moment j'étais dépassée par tout, j'avais besoin de ça. D'être différente. D'essayer de conjurer le sort.
Et alors que je buvais une gorgée de mon verre, elle me signalait que j'avais une touche. Avalant de travers mon whisky en apprenant la nouvelle, je tournais le visage en direction de l'inconnue, non sans tousser un peu. Étais-je véritablement une personne qu'on avait envie de reluquer ? Moi et mon allure d'adolescente pas finie ? Avec de grands yeux ronds, je la considérais et devais bien admettre que… oui, oui en effet, elle me reluquait. Rougissant, sans trop savoir où me mettre, je revenais sur Sterenn en enfonçant ma tête dans mes épaules. Avant ça m'aurait indifférée… mais maintenant que j'étais en couple, comment est-ce que je devais réagir ? Je regardais l'Ethelred comme si elle avait la solution miracle.
- Ah ben… mince… je fais quoi du coup ?
Calmant un peu ma descente, comme si le regard de la jeune fille non loin avait eu l'effet d'une douche froide sur moi, je regardais autour de nous comme si je craignais qu'une autre personne me regarde. Me penchant vers ma camarade, je reprenais.
- Toi aussi t'en as une là-bas, en plus elle est toute seule.
Je désignais une femme debout, rouquine, plutôt mignonne dans son genre, esseulée non loin de la piste de danse. Je reprenais une gorgée, pour oublier.
- Oui c'est la première fois, je ne savais pas que ça avait ouvert. Toi tu es déjà une habituée à ce que je vois.
Puis je lui souriais tout en tapant doucement mon verre contre le sien avant de me l'enfiler, cul sec.
- Et bien merci, c'est chouette de pouvoir mieux se parler et faire plus amples connaissances. Ce n'est pas toujours facile à l'université !
Je descendais ainsi mon second shot avec un simple frisson en commençant déjà à ressentir les effets de l'alcool. Après tout, j'avais demandé quelque chose de fort, j'avais été servie c'était le moins qu'on puisse dire. C'était parfait, et en plus, j'avais la prétention de croire que j'étais en bonne compagnie.
Me lâchant alors même sur ma façon de parler, je voyais la réaction de mon interlocutrice qui manquait de s'étouffer en avalant son alcool à ma remarque. Je ne pouvais donc pas m'empêcher d'élargir sensiblement mon sourire. Étonnant venant de moi n'est-ce pas ? Et bien, c'était ça qui me distrayait dans ma vie. Montrer mon vrai visage, subrepticement comme ça. C'était bien plus intéressant de paraître ennuyeux.
- Je ne suis pas trop inquiète pour les relous, les ignorer reste la meilleure façon de leur montrer qu'ils ne sont pas à la hauteur.
Attrapant mon verre de whisky en le rapprochant de moi, je l'écoutais me répondre enfin. Je ne pouvais m'empêcher d'adopter une mine amusée. Profiter à fond. C'était sans doute ce que faisait le commun des mortels comme elle, pas timide. C'était même sans doute ce que faisait ma sœur lorsqu'elle en avait le temps et l'envie : profiter à fond. Moi je ne le faisais que lorsque j'étais en présence des dragons. Cette pensée me révéla presque douloureusement que je n'arrivais même pas à profiter totalement d'être dans les bras de mon aimée à cause de ma phobie de la pleine lune… n'étais-je pas en train de gâcher peut-être les instants les plus importants de ma vie ? Je le craignais… Et j'avais conscience que me souler ici n'était pas une manière de profiter comme je l'aurai voulu, mais voilà en ce moment j'étais dépassée par tout, j'avais besoin de ça. D'être différente. D'essayer de conjurer le sort.
Et alors que je buvais une gorgée de mon verre, elle me signalait que j'avais une touche. Avalant de travers mon whisky en apprenant la nouvelle, je tournais le visage en direction de l'inconnue, non sans tousser un peu. Étais-je véritablement une personne qu'on avait envie de reluquer ? Moi et mon allure d'adolescente pas finie ? Avec de grands yeux ronds, je la considérais et devais bien admettre que… oui, oui en effet, elle me reluquait. Rougissant, sans trop savoir où me mettre, je revenais sur Sterenn en enfonçant ma tête dans mes épaules. Avant ça m'aurait indifférée… mais maintenant que j'étais en couple, comment est-ce que je devais réagir ? Je regardais l'Ethelred comme si elle avait la solution miracle.
- Ah ben… mince… je fais quoi du coup ?
Calmant un peu ma descente, comme si le regard de la jeune fille non loin avait eu l'effet d'une douche froide sur moi, je regardais autour de nous comme si je craignais qu'une autre personne me regarde. Me penchant vers ma camarade, je reprenais.
- Toi aussi t'en as une là-bas, en plus elle est toute seule.
Je désignais une femme debout, rouquine, plutôt mignonne dans son genre, esseulée non loin de la piste de danse. Je reprenais une gorgée, pour oublier.
- Oui c'est la première fois, je ne savais pas que ça avait ouvert. Toi tu es déjà une habituée à ce que je vois.
Puis je lui souriais tout en tapant doucement mon verre contre le sien avant de me l'enfiler, cul sec.
- Et bien merci, c'est chouette de pouvoir mieux se parler et faire plus amples connaissances. Ce n'est pas toujours facile à l'université !
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Mer 25 Juil 2018 - 0:16
Aby à une solution efficace pour éviter les relous. Celle de les ignorer. Solution que tu as bien du mal à appliquer.
- Comment tu fais pour arriver à les ignorer ? Je vois un relou, direct j'ai envie de lui mettre un coup de genou dans les glaouis.
Sauf que tu as promis que tu serais calme. Ton frère bosse ici, si tu te mets dans la merde, il le sera aussi. Forcement, tu dois ronger ton frein. Tu n'as pas envie qu'il perde son taff et puis le Rainbow est cool. Ça t'embêterais, pour être polie, de ne plus pouvoir venir.
Ta compagne de beuverie remarque que la jeune fille dont tu lui as parlé la reluque, comme tu lui a dis. Tandis que vos verres se vident au fur et à mesure, elle te demande ce qu'elle doit faire, l'air paniquée.
- Je sais pas. Elle te plait ou pas ? Tu fais ce que tu veux.
Tu remarques qu'elle regarde partout comme si elle était gênée.
- Qu'est ce qu'il se passe bichette. On dirait un évadé d'Azkaban qui cherche à passer incognito.
Tu as un fou rire.
- T'en fais pas, personne viendra t'arrêter ici. Toute façon, tu fais rien de mal. On boit, on discute. On s'amuse. Il n'y a pas mort d'homme.
Elle te fait remarquer que tu plais à une jeune femme. Plutôt mignonne, tu dois l'avouer. T'aurais pas dit non...si tu avais été seule en soirée. Sauf, que là tu as envie surtout de passer une soirée avec l'Ethelred.
- Je verrais plus tard si elle est toujours là ou pas. Et si j'en ai envie. Pour l'instant, on a encore une bouteille à finir.
Aby répond à ta question et te dis que tu as l'air d'une habituée. Tu lui réponds en souriant.
- Il est pas là ce soir mais mon frère bosse ici en tant que serveur. C'est super cool ici.
Vos verres s'entrechoquent. Tout comme elle, tu finis le tien cul sec, tandis qu'elle te dis qu'elle est contente que vous puissiez apprendre à mieux vous connaître. Ce qui est bien vrai.
- Le plaisir est réciproque. C'est vraiment cool de te voir ici.
Tu serres à nouveau des verres. Ce soir, il n'y pas de limites.
- Tu trouves pas qu'on est tombée dans la meilleure maison de l'université ?
Bon d'accord tu sèches plus souvent les cours que tu y vas, mais tu dois bien avouer que tu es tombée dans la meilleure maison. Tu commences à avoir un petit coup dans le nez.
- On devrait faire un hymne pour les gris !
- Comment tu fais pour arriver à les ignorer ? Je vois un relou, direct j'ai envie de lui mettre un coup de genou dans les glaouis.
Sauf que tu as promis que tu serais calme. Ton frère bosse ici, si tu te mets dans la merde, il le sera aussi. Forcement, tu dois ronger ton frein. Tu n'as pas envie qu'il perde son taff et puis le Rainbow est cool. Ça t'embêterais, pour être polie, de ne plus pouvoir venir.
Ta compagne de beuverie remarque que la jeune fille dont tu lui as parlé la reluque, comme tu lui a dis. Tandis que vos verres se vident au fur et à mesure, elle te demande ce qu'elle doit faire, l'air paniquée.
- Je sais pas. Elle te plait ou pas ? Tu fais ce que tu veux.
Tu remarques qu'elle regarde partout comme si elle était gênée.
- Qu'est ce qu'il se passe bichette. On dirait un évadé d'Azkaban qui cherche à passer incognito.
Tu as un fou rire.
- T'en fais pas, personne viendra t'arrêter ici. Toute façon, tu fais rien de mal. On boit, on discute. On s'amuse. Il n'y a pas mort d'homme.
Elle te fait remarquer que tu plais à une jeune femme. Plutôt mignonne, tu dois l'avouer. T'aurais pas dit non...si tu avais été seule en soirée. Sauf, que là tu as envie surtout de passer une soirée avec l'Ethelred.
- Je verrais plus tard si elle est toujours là ou pas. Et si j'en ai envie. Pour l'instant, on a encore une bouteille à finir.
Aby répond à ta question et te dis que tu as l'air d'une habituée. Tu lui réponds en souriant.
- Il est pas là ce soir mais mon frère bosse ici en tant que serveur. C'est super cool ici.
Vos verres s'entrechoquent. Tout comme elle, tu finis le tien cul sec, tandis qu'elle te dis qu'elle est contente que vous puissiez apprendre à mieux vous connaître. Ce qui est bien vrai.
- Le plaisir est réciproque. C'est vraiment cool de te voir ici.
Tu serres à nouveau des verres. Ce soir, il n'y pas de limites.
- Tu trouves pas qu'on est tombée dans la meilleure maison de l'université ?
Bon d'accord tu sèches plus souvent les cours que tu y vas, mais tu dois bien avouer que tu es tombée dans la meilleure maison. Tu commences à avoir un petit coup dans le nez.
- On devrait faire un hymne pour les gris !
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Mer 25 Juil 2018 - 20:20
Je ne retiens pas mon rire alors qu'elle m'explique ne pas pouvoir supporter certaines personnes. C'est vrai que la plupart était agaçant, et sans doute que leur faire la tête au carré ça devait défouler, mais en réalité, ça ne m'avait jamais vraiment traversé l'esprit, à croire que j'étais bien trop douce ou dénuée de méchanceté. Je préférais lui expliquer autrement.
- C'est vrai que c'est tentant, mais tu sais je ne suis pas quelqu'un qui s'impose. Alors j'ai appris à ignorer, et … ben c'est efficace en fait.
Je continuais à pouffer en ayant une scène amusante en tête, que je n'hésitais pas à partager avec elle.
- Tu ne voudrais pas t'essayer à quelques séances de yoga pour essayer d'être zen ?
Bien sûr j'avais du mal à imaginer la jeune femme en train de faire des exercices de respiration pour rester calme, mais après tout pourquoi pas ?
Mais à l'instant, c'était plutôt à moi de faire des exercices pour rester calme alors que la jeune femme non loin me reluquait et que je commençais à paniquer un peu. Toutes mes pensées étaient tournées vers mon aimée, et j'aurai vraiment voulu que là, maintenant, tout de suite, elle apparaisse dans la foule et vienne m'embrasser devant tout le monde pour me sortir de ce mauvais pas… évidemment, c'était impossible, déjà par la nature secrète de notre relation et… ben elle viendrait foutre quoi dans un bar LGBT d'abord ? Et putin, qu'est-ce que j'y foutais moi ??!
Dans ma panique mentale je ne prenais donc pas la peine de réponse à Sterenn qui riait devant mon air d'échappée de prison… et elle n'avait pas tort en fait, ça devait sûrement être tordant de me voir comme ça, je m'en rendais compte, mais c'était plus fort que moi, surtout avec un verre dans le nez. Ce soir, j'avais laissé un peu ma timidité dans le placard et je devenais beaucoup plus spontanée, un aperçu de ce que j'étais vraiment. De ce qu'Aileas connaissait pleinement de moi. Comme pour imiter alors une autruche, je plongeais mon visage dans mon verre, à défaut de pouvoir le mettre en terre, pour faire des bulles dans le whisky en rougissant, la tête enfoncée dans mes épaules comme si ça allait me permettre de disparaître ou de me faire oublier.
C'était la fidélité de la grise à côté de moi qui me fit oubliée la jolie inconnue, parce que oui, je la trouvais jolie mine de rien. J'aurai pensé qu'elle irait la voir et qu'elle me laisserait un moment seule, mais non, et je lui en étais reconnaissante. Me redressant alors je la regardais, un peu étonnée.
- Seulement une bouteille ?
Et alors qu'elle me parlait de son frère, je hochais la tête, comprenant mieux la raison de sa présence régulière ici. Ça devait avoir ces avantages, comme ces inconvénients. Tandis qu'elle serre un deuxième verre d'alcool, je vois le liquide de la bouteille descendre, mais peut-être pas assez vite. Je lui réponds tout de même en rapprochant le précieux breuvage vers moi.
- Je pourrai songer à revenir de temps en temps.
Puis je riais à sa suggestion concernant les maisons, prenant bien garde à ne rien révéler sur le projet de notre groupe de musique.
- Un hymne, bonne idée !! Genre…."Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis"
Le tout en parlant comme une camionneuse, ironique avec ma voix fluette d'habitude, en agitant un peu mes bras de droite à gauche, secouant mon verre sans pour autant en faire tomber le liquide… jusqu'à ce que ma fameuse admiratrice vienne m'effleurer l'épaule pour attirer mon attention. Je tournais alors vivement la tête dans sa direction, surprise, manquant de sursauter, et de vraiment renverser mon verre.
- Ffffalut, fa vas ?
J'arrondissais de grands yeux surpris. Wow... elle était plus mignonne de loin... C'était quoi cette manière de parler ? C'était quoi cette bouche ? C'était quoi cette façon de m'aborder ? C'était quoi cette femme ? Au secours… un miracle s'il vous plait.
- C'est vrai que c'est tentant, mais tu sais je ne suis pas quelqu'un qui s'impose. Alors j'ai appris à ignorer, et … ben c'est efficace en fait.
Je continuais à pouffer en ayant une scène amusante en tête, que je n'hésitais pas à partager avec elle.
- Tu ne voudrais pas t'essayer à quelques séances de yoga pour essayer d'être zen ?
Bien sûr j'avais du mal à imaginer la jeune femme en train de faire des exercices de respiration pour rester calme, mais après tout pourquoi pas ?
Mais à l'instant, c'était plutôt à moi de faire des exercices pour rester calme alors que la jeune femme non loin me reluquait et que je commençais à paniquer un peu. Toutes mes pensées étaient tournées vers mon aimée, et j'aurai vraiment voulu que là, maintenant, tout de suite, elle apparaisse dans la foule et vienne m'embrasser devant tout le monde pour me sortir de ce mauvais pas… évidemment, c'était impossible, déjà par la nature secrète de notre relation et… ben elle viendrait foutre quoi dans un bar LGBT d'abord ? Et putin, qu'est-ce que j'y foutais moi ??!
Dans ma panique mentale je ne prenais donc pas la peine de réponse à Sterenn qui riait devant mon air d'échappée de prison… et elle n'avait pas tort en fait, ça devait sûrement être tordant de me voir comme ça, je m'en rendais compte, mais c'était plus fort que moi, surtout avec un verre dans le nez. Ce soir, j'avais laissé un peu ma timidité dans le placard et je devenais beaucoup plus spontanée, un aperçu de ce que j'étais vraiment. De ce qu'Aileas connaissait pleinement de moi. Comme pour imiter alors une autruche, je plongeais mon visage dans mon verre, à défaut de pouvoir le mettre en terre, pour faire des bulles dans le whisky en rougissant, la tête enfoncée dans mes épaules comme si ça allait me permettre de disparaître ou de me faire oublier.
C'était la fidélité de la grise à côté de moi qui me fit oubliée la jolie inconnue, parce que oui, je la trouvais jolie mine de rien. J'aurai pensé qu'elle irait la voir et qu'elle me laisserait un moment seule, mais non, et je lui en étais reconnaissante. Me redressant alors je la regardais, un peu étonnée.
- Seulement une bouteille ?
Et alors qu'elle me parlait de son frère, je hochais la tête, comprenant mieux la raison de sa présence régulière ici. Ça devait avoir ces avantages, comme ces inconvénients. Tandis qu'elle serre un deuxième verre d'alcool, je vois le liquide de la bouteille descendre, mais peut-être pas assez vite. Je lui réponds tout de même en rapprochant le précieux breuvage vers moi.
- Je pourrai songer à revenir de temps en temps.
Puis je riais à sa suggestion concernant les maisons, prenant bien garde à ne rien révéler sur le projet de notre groupe de musique.
- Un hymne, bonne idée !! Genre…."Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis"
Le tout en parlant comme une camionneuse, ironique avec ma voix fluette d'habitude, en agitant un peu mes bras de droite à gauche, secouant mon verre sans pour autant en faire tomber le liquide… jusqu'à ce que ma fameuse admiratrice vienne m'effleurer l'épaule pour attirer mon attention. Je tournais alors vivement la tête dans sa direction, surprise, manquant de sursauter, et de vraiment renverser mon verre.
- Ffffalut, fa vas ?
J'arrondissais de grands yeux surpris. Wow... elle était plus mignonne de loin... C'était quoi cette manière de parler ? C'était quoi cette bouche ? C'était quoi cette façon de m'aborder ? C'était quoi cette femme ? Au secours… un miracle s'il vous plait.
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Mer 25 Juil 2018 - 21:48
Vous discutez de vos différentes techniques pour lutter contre les remous. Deux solutions opposées. Aby, te dis qu'elle n'a pas le gabarit adéquat pour casser la margoulette des enquiquineurs.
- Le gabarit c'est pas si important que que ça. Faut juste viser les points sensibles. Coup de genou, manchette, balayette. Bim !
Tu as un fou rire quand elle te conseilles d'essayer le Yoga.
- J'ai essayé une fois. Ça a été un échec retentissant.
Ton frère avait réussi à te convaincre d'essayer d'en faire pour calmer tes nerfs. Sauf qu'au bout de trois seconde, tu en avais ras la casquette de tout ces exercises de respirations et tout le tralala.
Aby semble être bien motivée à finir non pas une seule bouteille. Mais plusieurs. Décidément, elle est pleine de surprise.
- On ne va boire une bouteille sans ses petites soeurs.
Au loin tu vois Coyote, le patron du bar qui agite exprès un torchon dans ta direction. Tu sais que si tu ne peux pas payer, il n'hésitera pas à te coller à la plonge. Et comme tu n'es pas raisonnable, bah tu t'y colle souvent.
L'idée de faire un hymne pour les gris est une illumination. Aby commence à lancer la chanson. Tu suis en choeur.
Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis"
- Les griiiiiiiis ! C'est pas des z'abrutiiiiiiis ! Y z'ont un directeur de maisooooooon qu'est pas en cartooooooon !
Tu enchaînes l'hymne avec ta voix, façon Robert de Niro qui chante bourré. Tu en es sûre (dans ton état) que votre hymne sera un succès. C'est alors qu'une femme apparait et drague ton amie, qui a l'air de ne pas savoir où se mettre. Pour sauver Aby de la situation, car tu vois que la femme en question n'est pas du tout à son goût (ni au tien d'ailleurs), tu passe un bras autour de son épaule et tu t'adresses à l'inconnue avec un regard noir.
- Écoutes-moi bien, ma pouliche, c'est à ma copine que tu parles et ça me plait pas des masses !
- Pfarfon F'avais pas ! Bonne pfoirée.
L'inconnue, vous laisse tranquille. C'est que tu es connue pour ton côté un peu barbare dans la maison. Et le regard que tu as employé aurait pu faire peur à Chuck Norris. Coyote passe rapidement vous voir et vous demande si vous passez une bonne soirée, après vous avoir salué. Il ajoute en s'adressant à Aby, qu'en cas de soucis, de ne pas hésiter à aller le voir. Puis, il s'en va afin de virer le relou qui s'est trouvé une nouvelle cible. Tu t'adresses à ta camarade.
- C'est Coyote, le patron du Rainbow. Il est super cool comme gars.
Voyant que la bouteille se vide bien vite, tu prends les devant.
- J'crois bien qu'on va bientôt manquer d'carburant, héhé !
Qui dit picole, dit envie de soulager sa vessie au bout d'un moment.
- Faut que j'fasse la vidange !
Oui tu es très classe. Une vraie pouete pouete. Après être partie aux toilettes pour pisser un coup, tu reviens.
- Ah que ça fait du bien de s'vider un bon coup !
- Le gabarit c'est pas si important que que ça. Faut juste viser les points sensibles. Coup de genou, manchette, balayette. Bim !
Tu as un fou rire quand elle te conseilles d'essayer le Yoga.
- J'ai essayé une fois. Ça a été un échec retentissant.
Ton frère avait réussi à te convaincre d'essayer d'en faire pour calmer tes nerfs. Sauf qu'au bout de trois seconde, tu en avais ras la casquette de tout ces exercises de respirations et tout le tralala.
Aby semble être bien motivée à finir non pas une seule bouteille. Mais plusieurs. Décidément, elle est pleine de surprise.
- On ne va boire une bouteille sans ses petites soeurs.
Au loin tu vois Coyote, le patron du bar qui agite exprès un torchon dans ta direction. Tu sais que si tu ne peux pas payer, il n'hésitera pas à te coller à la plonge. Et comme tu n'es pas raisonnable, bah tu t'y colle souvent.
L'idée de faire un hymne pour les gris est une illumination. Aby commence à lancer la chanson. Tu suis en choeur.
Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis"
- Les griiiiiiiis ! C'est pas des z'abrutiiiiiiis ! Y z'ont un directeur de maisooooooon qu'est pas en cartooooooon !
Tu enchaînes l'hymne avec ta voix, façon Robert de Niro qui chante bourré. Tu en es sûre (dans ton état) que votre hymne sera un succès. C'est alors qu'une femme apparait et drague ton amie, qui a l'air de ne pas savoir où se mettre. Pour sauver Aby de la situation, car tu vois que la femme en question n'est pas du tout à son goût (ni au tien d'ailleurs), tu passe un bras autour de son épaule et tu t'adresses à l'inconnue avec un regard noir.
- Écoutes-moi bien, ma pouliche, c'est à ma copine que tu parles et ça me plait pas des masses !
- Pfarfon F'avais pas ! Bonne pfoirée.
L'inconnue, vous laisse tranquille. C'est que tu es connue pour ton côté un peu barbare dans la maison. Et le regard que tu as employé aurait pu faire peur à Chuck Norris. Coyote passe rapidement vous voir et vous demande si vous passez une bonne soirée, après vous avoir salué. Il ajoute en s'adressant à Aby, qu'en cas de soucis, de ne pas hésiter à aller le voir. Puis, il s'en va afin de virer le relou qui s'est trouvé une nouvelle cible. Tu t'adresses à ta camarade.
- C'est Coyote, le patron du Rainbow. Il est super cool comme gars.
Voyant que la bouteille se vide bien vite, tu prends les devant.
- J'crois bien qu'on va bientôt manquer d'carburant, héhé !
Qui dit picole, dit envie de soulager sa vessie au bout d'un moment.
- Faut que j'fasse la vidange !
Oui tu es très classe. Une vraie pouete pouete. Après être partie aux toilettes pour pisser un coup, tu reviens.
- Ah que ça fait du bien de s'vider un bon coup !
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Jeu 26 Juil 2018 - 8:28
Je partais en fou rire en entendant ce qu'elle avait à me répondre. D'ordinaire je me serai contentée de simplement sourire, mais j'étais ici pour évacuer, l'alcool m'aidant bien à me dévergonder un peu. Bon… je me doutais que d'ici quelques heures j'allais sans doute devoir évacuer le trop plein d'alcool, mais je n'avais pas envie de m'en faire pour le moment. Ce qui était à l'origine de mon hilarité, c'était les images qui me venaient à l'esprit. Moi, baraquée comme une chauffarde du dimanche, la cigarette au coin du bec comme une cow-girl, en train de mettre la raclée à une montagne russe de 2 mètres de haut, tatoué de partout qu'on surnommait amoureusement "Poppy". Ensuite, je voyais bien Sterenn dans une salle toute blanche immaculée, avec quelques bamboos de ci, de là, habillée avec des vêtements en pur coton écologique, ramassé dans le respect de la nature et de l'humain, un collier à fleur autour du cou en train de faire son yoga en murmurant "namaste". Ces images me firent pleurer de rire alors que je m'effondrais sur le bar, posant mon front sur mes bras. Nous étions le couple de l'année. Tant bien que mal, j'essayais de lui faire partager mon hilarité.
- J'te vois bien avec un collier à fleur dans une position de yogi en train de dire "namaste" et moi en rambo en train de péter la gueule à un vigile russe, la cigarette à la bouche.
Et le dire à voix haute me renvoyait davantage l'absurdité de la scène, ce qui me fit partir dans un nouveau fou rire. J'en avais mal aux abdominaux, et c'est le souffle court, après de longue seconde de rire que je réussissais à me redresser du bar tout en venant essuyer mes joues et mes yeux débordant de larmes de joie.
Putin par la Sainte-Mère, ça faisait un bien fou de rire comme ça. J'avais l'impression d'évacuer tout mon stress de ces derniers mois. Je me sentais plus légère, et plus prête à affronter le monde. Mais demain, là j'avais soif après avoir autant ris.
Reprenant ainsi une nouvelle gorgée de whisky, j'allais partir dans un second fou rire alors que je l'entendais continuer mon début d'hymne avec un clin d'œil à monsieur Helsing. Je me sentais ainsi obligée de reprendre à mon tour en reprenant une grosse voix. Celle de Gail, la camionneuse. Parce que Abi était mignonne, et Gail c'était mon double maléfique. CQFD.
"Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis. Les griiiiiiiis ! C'est pas des z'abrutiiiiiiis ! Y z'ont un directeur de maisooooooon qu'est pas en cartooooooon !"
- Écoute bien c'te chansooonnnn parce qu'après tu ne voudras que rejoindre c'te maisooonnnn, les griiiiiis sonnnnnt vifs d'espriiiits !
Pourtant notre jubilation fut interrompue par cette Claudia Schiffer de loin devenue Claudia Chou-fleur de près. En la fixant, apeurée par tous les scénarios qui venaient se livrer une véritable guerre dans ma tête, la seule chose qui sonnait plus fort que toute les autres à l'instant, c'était un sketch moldu que j'appréciais beaucoup du groupe nommé "Les Inconnus", avec l'un d'eux disant stupidement "Ingrid, est-ce que tu baises ?".
Et dans mon ivresse alcoolisée et mes fous rire précédents, il m'était extrêmement difficile de cacher un nouveau rire alors que j'imaginais l'inconnue prononcer ces mots. Pourtant, la crainte de faire une bêtise prenait le dessus et je ne me rendais pas compte que je m'étais sensiblement reculée, et donc rapprochée de Sterenn qui, grâce au ciel, vint me sauver la mise. Sentant le contact de son bras par-dessus mes vêtements, entourant mes épaules, je ne pouvais que constater qu'elle avait une prise ferme et forte, ce qui était particulièrement rassurant… lorsque nous étions du bon côté évidemment. Ce n'était pas le cas de l'inconnue qui, heureusement, n'insistait pas et tournait les talons. Je ne pouvais alors pas m'empêcher de soupirer, puis de rire à nouveau, en approchant mon visage de celui de ma compagne de beuverie qui était toujours penchée sur mon épaule, lui murmurant.
- Ingrid… essske tu baizzes ?
Et alors que je recommençais à rire, sans être gênée, pour ma plus grande surprise, d'être presque dans les bras d'une autre, je voyais un homme au bar se rapprocher et discuter un peu avec nous. Je réussissais à retrouver un peu contenance en remerciant l'homme, puis j'écoutais les explications que la femme avec qui je passais la soirée me donnaient, me remettant droite sur ma chaise et ainsi rompant tout contact pour l'instant.
- Il a l'air d'être cool en effet.
Et alors que la jeune femme s'enfuyait aux toilettes, elle avait invoqué ma propre vessie qui me rappelait à l'ordre. Pourtant je ne bougeais pas, désireuse que nous puissions garder nos places au bar et non pas que les gens puissent penser que les sièges étaient vides. J'en profitais pour commander une nouvelle bouteille au serveur qui haussait un sourcil, l'air dubitatif. Je lui montrais alors que j'avais de quoi payer, car même si je ne gagnais pas ma vie comme étudiante, mes parents étaient plutôt compréhensifs. Mais il était vrai que me trouver un petit boulot prochainement pourrait être un plus… mais ça allait aussi être un plus dans mon emploi du temps. Je devais en parler à ma chérie. Voyant l'Ethelred revenir tandis que le serveur ramenait une seconde bouteille, l'air soucieux de notre état à devenir à toutes les deux, je me laissais glisser hors de ma chaise, souriant à la jeune femme en passant à côté d'elle.
- Mon tour.
Me soulageant rapidement, je m'occupais ce court instant en lisant les quelques tags écrit dans ma cabine. Me mordant les lèvres, je sortais le feutre que j'avais toujours sur moi au cas où j'avais une note sur les dragons à écrire. J'y couchais avec tendresse un cœur, sur la porte, en face des toilettes, pour que le prochain puisse chier avec amour… mais aussi parce que ce soir je n'étais qu'amour en pensant à ma tendre qui dormait tandis que moi j'allais sans doute finir la tête dans un caniveau.
Fière de mon petit cœur, je revenais en trottinant vers mon amie après un usage rudimentaire hygiénique puis je reprenais ma place en soupirant à mon tour, soulagée.
- Owi ça fait du bien… et sinon en dehors de casser quelques dents et quelques nez, tu fais quoi dans la vie ?
- J'te vois bien avec un collier à fleur dans une position de yogi en train de dire "namaste" et moi en rambo en train de péter la gueule à un vigile russe, la cigarette à la bouche.
Et le dire à voix haute me renvoyait davantage l'absurdité de la scène, ce qui me fit partir dans un nouveau fou rire. J'en avais mal aux abdominaux, et c'est le souffle court, après de longue seconde de rire que je réussissais à me redresser du bar tout en venant essuyer mes joues et mes yeux débordant de larmes de joie.
Putin par la Sainte-Mère, ça faisait un bien fou de rire comme ça. J'avais l'impression d'évacuer tout mon stress de ces derniers mois. Je me sentais plus légère, et plus prête à affronter le monde. Mais demain, là j'avais soif après avoir autant ris.
Reprenant ainsi une nouvelle gorgée de whisky, j'allais partir dans un second fou rire alors que je l'entendais continuer mon début d'hymne avec un clin d'œil à monsieur Helsing. Je me sentais ainsi obligée de reprendre à mon tour en reprenant une grosse voix. Celle de Gail, la camionneuse. Parce que Abi était mignonne, et Gail c'était mon double maléfique. CQFD.
"Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis. Les griiiiiiiis ! C'est pas des z'abrutiiiiiiis ! Y z'ont un directeur de maisooooooon qu'est pas en cartooooooon !"
- Écoute bien c'te chansooonnnn parce qu'après tu ne voudras que rejoindre c'te maisooonnnn, les griiiiiis sonnnnnt vifs d'espriiiits !
Pourtant notre jubilation fut interrompue par cette Claudia Schiffer de loin devenue Claudia Chou-fleur de près. En la fixant, apeurée par tous les scénarios qui venaient se livrer une véritable guerre dans ma tête, la seule chose qui sonnait plus fort que toute les autres à l'instant, c'était un sketch moldu que j'appréciais beaucoup du groupe nommé "Les Inconnus", avec l'un d'eux disant stupidement "Ingrid, est-ce que tu baises ?".
Et dans mon ivresse alcoolisée et mes fous rire précédents, il m'était extrêmement difficile de cacher un nouveau rire alors que j'imaginais l'inconnue prononcer ces mots. Pourtant, la crainte de faire une bêtise prenait le dessus et je ne me rendais pas compte que je m'étais sensiblement reculée, et donc rapprochée de Sterenn qui, grâce au ciel, vint me sauver la mise. Sentant le contact de son bras par-dessus mes vêtements, entourant mes épaules, je ne pouvais que constater qu'elle avait une prise ferme et forte, ce qui était particulièrement rassurant… lorsque nous étions du bon côté évidemment. Ce n'était pas le cas de l'inconnue qui, heureusement, n'insistait pas et tournait les talons. Je ne pouvais alors pas m'empêcher de soupirer, puis de rire à nouveau, en approchant mon visage de celui de ma compagne de beuverie qui était toujours penchée sur mon épaule, lui murmurant.
- Ingrid… essske tu baizzes ?
Et alors que je recommençais à rire, sans être gênée, pour ma plus grande surprise, d'être presque dans les bras d'une autre, je voyais un homme au bar se rapprocher et discuter un peu avec nous. Je réussissais à retrouver un peu contenance en remerciant l'homme, puis j'écoutais les explications que la femme avec qui je passais la soirée me donnaient, me remettant droite sur ma chaise et ainsi rompant tout contact pour l'instant.
- Il a l'air d'être cool en effet.
Et alors que la jeune femme s'enfuyait aux toilettes, elle avait invoqué ma propre vessie qui me rappelait à l'ordre. Pourtant je ne bougeais pas, désireuse que nous puissions garder nos places au bar et non pas que les gens puissent penser que les sièges étaient vides. J'en profitais pour commander une nouvelle bouteille au serveur qui haussait un sourcil, l'air dubitatif. Je lui montrais alors que j'avais de quoi payer, car même si je ne gagnais pas ma vie comme étudiante, mes parents étaient plutôt compréhensifs. Mais il était vrai que me trouver un petit boulot prochainement pourrait être un plus… mais ça allait aussi être un plus dans mon emploi du temps. Je devais en parler à ma chérie. Voyant l'Ethelred revenir tandis que le serveur ramenait une seconde bouteille, l'air soucieux de notre état à devenir à toutes les deux, je me laissais glisser hors de ma chaise, souriant à la jeune femme en passant à côté d'elle.
- Mon tour.
Me soulageant rapidement, je m'occupais ce court instant en lisant les quelques tags écrit dans ma cabine. Me mordant les lèvres, je sortais le feutre que j'avais toujours sur moi au cas où j'avais une note sur les dragons à écrire. J'y couchais avec tendresse un cœur, sur la porte, en face des toilettes, pour que le prochain puisse chier avec amour… mais aussi parce que ce soir je n'étais qu'amour en pensant à ma tendre qui dormait tandis que moi j'allais sans doute finir la tête dans un caniveau.
Fière de mon petit cœur, je revenais en trottinant vers mon amie après un usage rudimentaire hygiénique puis je reprenais ma place en soupirant à mon tour, soulagée.
- Owi ça fait du bien… et sinon en dehors de casser quelques dents et quelques nez, tu fais quoi dans la vie ?
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 14:34
La vision de ta camarade Ethelred en dure à cuire façon Rambo (le personnage des films, pas ton rat) et de toi, assise dans la position du Lotus (la position du Yogi, pas la marque de PQ Moldu) avec un collier de fleurs autour du cou, en train de répéter Namaste, te fais éclater de rire. Au point, où tu manques d'avaler de travers.
- Tu viens de me mettre l'image en tête. Vais avoir du mal à me la sortir de l'esprit.
Tu passes une bonne soirée en sa compagnie. Elle est une bonne surprise. L'alcool à ses vertues. Tu trouves cela génial de découvrir des personnalités que tu ne verrais pas dans le cadre scolaire.
Vous êtes en accord sur la chanson improvisée avec l'aide de la Sainte Picole, pour le thème de votre maison.
"Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis. Les griiiiiiiis ! C'est pas des z'abrutiiiiiiis ! Y z'ont un directeur de maisooooooon qu'est pas en cartooooooon !"
"Écoute bien c'te chansooonnnn parce qu'après tu ne voudras que rejoindre c'te maisooonnnn, les griiiiiis sonnnnnt vifs d'espriiiits !"
- Ethelred on est raiiiide raiiiide des z'Ethelreeeeed !
L'arrivée inopinée de l'inconnue en chasse vous a interrompu dans votre créativité. Par chance, elle est aussi vite partie qu'elle est venue. Soudainement, Aby se rapproche de ton visage et te chuchote une des fameuses répliques d'un sketch des Inconnus, des humoristes français. Pour rajouter à la scène, tu te met à loucher. Niveau sexytude, vous avez toutes les deux la palme. Tu éclates d'un rire franc, comme ta camarade. Quand Coyote passe vous voir, tu expliques rapido qui il est.
- Oui il est super cool et avec lui tu peux être sûr qu'il n'y a pas de soucis dans le bar. Il est pas du genre à laisser les relous gâcher une soirée.
Tu va pisser un coup, quand tu reviens Aby prend le relai pour aller se vider à son tour. Tu gardes son verre, en attendant qu'elle fasse son affaire. Quand elle revient, elle t'annonce qu'elle est soulagée.
- Ya pas meilleure sensation !
Elle te demande ce que tu fais à part casser des dents.
- J'emmerde le monde aussi.
Tu lui répond en riant. Tu essayes de retrouver ton sérieux puisque la question l'est.
- À Hung, sinon, quand je ne sèche pas, je suis en Arts Journalistiques, et je suis aussi des cours de Métamorphose et de Divination. Et sinon à part ça j'adore profiter de la vie. Faire la fête, regarder des vidéos moldues, me balader en voiture et en moto. J'ai une vie super simple en fait. Et toi ?
- Tu viens de me mettre l'image en tête. Vais avoir du mal à me la sortir de l'esprit.
Tu passes une bonne soirée en sa compagnie. Elle est une bonne surprise. L'alcool à ses vertues. Tu trouves cela génial de découvrir des personnalités que tu ne verrais pas dans le cadre scolaire.
Vous êtes en accord sur la chanson improvisée avec l'aide de la Sainte Picole, pour le thème de votre maison.
"Héééé Dédéééé j'vais t'expliqueeerrrr qu'les griiiis, c'pas des moisiiiiis. Les griiiiiiiis ! C'est pas des z'abrutiiiiiiis ! Y z'ont un directeur de maisooooooon qu'est pas en cartooooooon !"
"Écoute bien c'te chansooonnnn parce qu'après tu ne voudras que rejoindre c'te maisooonnnn, les griiiiiis sonnnnnt vifs d'espriiiits !"
- Ethelred on est raiiiide raiiiide des z'Ethelreeeeed !
L'arrivée inopinée de l'inconnue en chasse vous a interrompu dans votre créativité. Par chance, elle est aussi vite partie qu'elle est venue. Soudainement, Aby se rapproche de ton visage et te chuchote une des fameuses répliques d'un sketch des Inconnus, des humoristes français. Pour rajouter à la scène, tu te met à loucher. Niveau sexytude, vous avez toutes les deux la palme. Tu éclates d'un rire franc, comme ta camarade. Quand Coyote passe vous voir, tu expliques rapido qui il est.
- Oui il est super cool et avec lui tu peux être sûr qu'il n'y a pas de soucis dans le bar. Il est pas du genre à laisser les relous gâcher une soirée.
Tu va pisser un coup, quand tu reviens Aby prend le relai pour aller se vider à son tour. Tu gardes son verre, en attendant qu'elle fasse son affaire. Quand elle revient, elle t'annonce qu'elle est soulagée.
- Ya pas meilleure sensation !
Elle te demande ce que tu fais à part casser des dents.
- J'emmerde le monde aussi.
Tu lui répond en riant. Tu essayes de retrouver ton sérieux puisque la question l'est.
- À Hung, sinon, quand je ne sèche pas, je suis en Arts Journalistiques, et je suis aussi des cours de Métamorphose et de Divination. Et sinon à part ça j'adore profiter de la vie. Faire la fête, regarder des vidéos moldues, me balader en voiture et en moto. J'ai une vie super simple en fait. Et toi ?
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 16:18
Nous rions beaucoup ensemble, et les bouteilles se vident au fur et à mesure. Je suis fière de notre hymne alors que je me rends compte que je commence à m'étaler de plus en plus sur le bar. C'est rare que je puisse rire autant dans une soirée, et je dois reconnaître que je regrette la réticence que j'avais à aller parler à la jeune femme jusqu'à ce soir. Comme quoi des fois la vie était étrange, il fallait qu'un événement dramatique arrive pour que nos habitudes se voient chamboulées. Je faisais des choses que je ne m'étais jamais imaginée faire avant, et je suis certaine que si je l'annonçais à ma sœur, elle en serait aussi surprise qu'heureuse. Peut-être qu'un jour nous viendrions ici les deux pour rire aussi, comme nous le faisions toujours. Au moins, maintenant, je pouvais partager plus facilement un bout de son univers.
Mais pour le moment, j'étais ici et maintenant avec ma collègue grise et je ne pouvais m'empêcher de continuer à rire. Même que des fois je me demandais pourquoi je riais, et ça me faisait rire, alors je recommençais de plus belle. Je terminais mon Xème verre lorsqu'elle répondait à ma question, et ça m'arrachait un grand sourire qui me fit pouffer. Mais puisqu'elle arrivait à être sérieuse, je me raclais la gorge, en clignant plusieurs fois des yeux tout en hochant la tête pour reprendre moi aussi contenance, le tout agrémenté d'un léger haussement de sourcil, passant ma main droite devant ma bouche pour me mordiller un ongle au passage. Ne pas rire, ne pas rire, ne pas rire.
Pourtant je remarquais que nous avions alors des points communs, il en était donc d'autant plus simple de devenir à nouveau scrupuleuse. Je lui souriais quand elle me retournait la question alors que je me servais encore un verre, et que je partageais le fond de la bouteille avec elle, la terminant. Nous avions une sacrée descente.
- Moi chu en Magizoologie, et j'ai aussi métamorphose, défense contre les forces du mal, sortilèges mais surtout dragonologie… roh c'est c'que je préfère. Les dragons.
Je secouais un peu la tête en fermant les yeux, mon verre à la main, je levais un index en direction du plafond. J'hésitais en fait avec la matière Sortilèges pour dire qu'elle était ma préférée, mais c'était uniquement à cause de mon couple... et bon les dragons je connaissais ça depuis plus longtemps que ma moitié, alors je finis par hocher du menton.
- Ouaip… les dragons c'est touuute ma vie.
J'écartais les bras pour bien mimer que c'était tout. Puis je reposais mon verre sur le bar en me penchant en avant.
- Mais j'aime aussi regarder des vidéos moldues, chu sang mêlé tu vois ? J'adore aussi les balades en voiture moldue, j'empreinte celle de mon père héhé, j'adore les jeux vidéo moldus aussi… ho et j'chante des fois… notre directeur il veut monter un groupe de musique c'trop bien.
Je trempais mes lèvres dans mon verre comme si j'avais envie de faire des bulles avec le whisky alors que je reluquais ma camarade, avec un regard qui commençait à devenir légèrement vitreux. L'idée du siècle me vint alors.
- Hé… toi qui aimes taper sur des trucs… tu ne saurais pas jouer d'la batterie par hasard ? C'est qu'on cherche un batteur pour notre groupe…
Je tanguais légèrement sur ma chaise. C'était moi ou la Terre tournait plus vite d'un coup là ?
Mais pour le moment, j'étais ici et maintenant avec ma collègue grise et je ne pouvais m'empêcher de continuer à rire. Même que des fois je me demandais pourquoi je riais, et ça me faisait rire, alors je recommençais de plus belle. Je terminais mon Xème verre lorsqu'elle répondait à ma question, et ça m'arrachait un grand sourire qui me fit pouffer. Mais puisqu'elle arrivait à être sérieuse, je me raclais la gorge, en clignant plusieurs fois des yeux tout en hochant la tête pour reprendre moi aussi contenance, le tout agrémenté d'un léger haussement de sourcil, passant ma main droite devant ma bouche pour me mordiller un ongle au passage. Ne pas rire, ne pas rire, ne pas rire.
Pourtant je remarquais que nous avions alors des points communs, il en était donc d'autant plus simple de devenir à nouveau scrupuleuse. Je lui souriais quand elle me retournait la question alors que je me servais encore un verre, et que je partageais le fond de la bouteille avec elle, la terminant. Nous avions une sacrée descente.
- Moi chu en Magizoologie, et j'ai aussi métamorphose, défense contre les forces du mal, sortilèges mais surtout dragonologie… roh c'est c'que je préfère. Les dragons.
Je secouais un peu la tête en fermant les yeux, mon verre à la main, je levais un index en direction du plafond. J'hésitais en fait avec la matière Sortilèges pour dire qu'elle était ma préférée, mais c'était uniquement à cause de mon couple... et bon les dragons je connaissais ça depuis plus longtemps que ma moitié, alors je finis par hocher du menton.
- Ouaip… les dragons c'est touuute ma vie.
J'écartais les bras pour bien mimer que c'était tout. Puis je reposais mon verre sur le bar en me penchant en avant.
- Mais j'aime aussi regarder des vidéos moldues, chu sang mêlé tu vois ? J'adore aussi les balades en voiture moldue, j'empreinte celle de mon père héhé, j'adore les jeux vidéo moldus aussi… ho et j'chante des fois… notre directeur il veut monter un groupe de musique c'trop bien.
Je trempais mes lèvres dans mon verre comme si j'avais envie de faire des bulles avec le whisky alors que je reluquais ma camarade, avec un regard qui commençait à devenir légèrement vitreux. L'idée du siècle me vint alors.
- Hé… toi qui aimes taper sur des trucs… tu ne saurais pas jouer d'la batterie par hasard ? C'est qu'on cherche un batteur pour notre groupe…
Je tanguais légèrement sur ma chaise. C'était moi ou la Terre tournait plus vite d'un coup là ?
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 17:17
Le contenu qu'il y a dans vos verres finissent par vous rendre complètement pompettes. À ça il faut rajouter, les effets des pétards que tu avais fumé juste avant de venir. Ton amie de beuverie est ronde comme un coing. Et de ton côté, tu n'es pas mieux lotie. Quand elle te dis ,être en métamorphose, tu as l'impression d'entendre la révélation du siècle.
- La métramophosme c'est ma matière préférée. Ooooooh dis-moi toi aussi tu es z'une mamigugus ?
Traduction en langage sobre : tu lui demandes si elle est une animagus. Elle te dis qu'elle est en sortilège et en dragonologie.
- Whaouuuuuu c'est troooop beaux les dragons ! T'as déjà vu des magyars z'a pintes ?
Au fil de la conversation, tu apprends qu'elle chante de temps en temps et qu'elle pique de temps en temps la voiture de son paternel. Elle te dis qu'elle est de sang mêlé et qu'elle aime aussi regarder des vidéos moldues. Un nouveau point commun !
- Moi z'aussi chui sang-mêlée ! On à trop de point communs ! C'est comme si on était des presque jumelles !
Au fil de la conversation, ta camarade, t'apprends que le directeur de votre maison compte monter un groupe de musique. Au passage, elle te demande si tu sais jouer de la batterie. Tu lui répond en riant.
- Des fois j'aime bien taper sur mes bocks de bière avec mon briquet héhé ou sur des casseroles avec des spatatules z'en bois. C'est rigolo le son que ça fait ! J'adore jouer au cap's aussi ! Tu connais ce jeu ?
Tu bois cul sec ton verre. À ce stade de la soirée, l'alcool c'est de l'eau pour toi.
- Faut pas se déz'hydradrater !
Tu prend alors ta nouvelle amie par les épaules et en la regardant tu lui fais une déclaration.
- T'es trop géniale comme fille. Je t'adore ! T'es ma soeur z'ethelred !
Il te prends l'envie de raconter une blague. Déjà que dans ton état normal, tu as un humour pourri, alors quand tu es complètement cuite, c'est pire encore. Le plus sérieusement possible du monde (Ce qui n'est absolument pas crédible) tu lui annonce fièrement :
- Tu sais que c'est quoi le dessert préféré de l'araignée ?! C'est la mouche au chocolat héhé !
Tu te met à rire de ta vanne moisie. Impossible de t'arrêter !
- La métramophosme c'est ma matière préférée. Ooooooh dis-moi toi aussi tu es z'une mamigugus ?
Traduction en langage sobre : tu lui demandes si elle est une animagus. Elle te dis qu'elle est en sortilège et en dragonologie.
- Whaouuuuuu c'est troooop beaux les dragons ! T'as déjà vu des magyars z'a pintes ?
Au fil de la conversation, tu apprends qu'elle chante de temps en temps et qu'elle pique de temps en temps la voiture de son paternel. Elle te dis qu'elle est de sang mêlé et qu'elle aime aussi regarder des vidéos moldues. Un nouveau point commun !
- Moi z'aussi chui sang-mêlée ! On à trop de point communs ! C'est comme si on était des presque jumelles !
Au fil de la conversation, ta camarade, t'apprends que le directeur de votre maison compte monter un groupe de musique. Au passage, elle te demande si tu sais jouer de la batterie. Tu lui répond en riant.
- Des fois j'aime bien taper sur mes bocks de bière avec mon briquet héhé ou sur des casseroles avec des spatatules z'en bois. C'est rigolo le son que ça fait ! J'adore jouer au cap's aussi ! Tu connais ce jeu ?
Tu bois cul sec ton verre. À ce stade de la soirée, l'alcool c'est de l'eau pour toi.
- Faut pas se déz'hydradrater !
Tu prend alors ta nouvelle amie par les épaules et en la regardant tu lui fais une déclaration.
- T'es trop géniale comme fille. Je t'adore ! T'es ma soeur z'ethelred !
Il te prends l'envie de raconter une blague. Déjà que dans ton état normal, tu as un humour pourri, alors quand tu es complètement cuite, c'est pire encore. Le plus sérieusement possible du monde (Ce qui n'est absolument pas crédible) tu lui annonce fièrement :
- Tu sais que c'est quoi le dessert préféré de l'araignée ?! C'est la mouche au chocolat héhé !
Tu te met à rire de ta vanne moisie. Impossible de t'arrêter !
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 17:45
Quand elle me posait la question de savoir si j'étais animagus ou pas, je regardais autour de moi en enfonçant ma tête dans mes épaules, me transformant soudainement en une James Bond girl. Je n'étais pas assez bourrée pour révéler à tout le Rainbow que j'étais Animagus, et tant mieux, c'est que je pouvais encore marcher droit dans la rue pour rentrer. Enfin, c'est ce que je croyais.
Pour lui répondre, je levais l'index et le collait sur mes lèvres, sauf que je visais mal, l'alcool troublant ma proprio perception. Ainsi, je me mettais presque le doigt dans l'œil et le pouce dans la bouche avant de répondre.
- Pssshhhhhppssshhhhh pas si fooooowwwrt…
Je me penche en avant vers Sterenn, et tout ce qui m'arrête c'est le contact de nos épaules, sinon je tombais dans ses bras. J'essayais de chuchoter alors. Essayais.
- Ouè… d'puis longtemps… gnéhéhé… et touè ? moi… chu un… cabot !
Je réussissais à me redresser tant bien que mal en m'accrochant en bar et sa question concernant les Maghyar me fit rire. J'en riais, alors que je lui répondais.
- C… c'toi la pinte… pfff ! Ouais j'en ai vu… et ils ont encore plus mauvais caractère que toi, j'te l'dis moi ouè… des vraies teignes… mais jeuu less aiiimmmeuuu
Les points communs ne cessent de se faire révéler, et je pouffe un peu en sirotant mon verre lorsqu'elle constate avec la même joie que moi que nous nous ressemblons.
- Des jumelles ouè… mais là on y voit pas grand-chose, fait tout noir. Ta gueule.
Je faisais référence encore une fois à un film français s'intituler RRRrrr, et puisque j'étais partie loin dans ma réflexion, je recommençais à rire bêtement en buvant encore une fois un peu de mon whisky. Amusée, je l'imagine taper sur ces… bocks avec un briquet. Je ne sais pas ce que c'est qu'un bocks, ni ce que c'est le jeu du cap's, mais c'était parfait, ça allait nous permettre de nous revoir. Parce que maintenant je ne voulais plus la quitter. Mais j'étais fière de lui avoir parlé du groupe des gris, peut-être que grâce à moi nous serions bientôt au complet. Monsieur Helsing pouvait me remercier !
- Cool ben j'parlerai d'toi alors ! Tu s'ras notre batteuse ! Et nan… c'quoi ton cap's ? Tu m'montreras ?
Et en l'imitant, je termine mon verre cul sec non sans tousser un peu. Ça commence à m'attaquer, et je ne sais pas si c'est très bon pour ma santé. Après tout, je n'avais jamais expérimenté de pousser l'alcool aussi loin malgré ma maladie. Mais il faut savoir vivre dangereusement il parait, surtout quand on s'en sort vivant d'entre les griffes d'un loup-garou.
Quand elle vient me prendre par les épaules en me faisant presque une déclaration d'amour, moi je fonds dans ses bras, passant mes mains dans son dos. Encore une fois, je n'étais pas assez avinée pour ne pas remarquer que je préférais largement le contact de ma bien-aimée, ainsi, cette accolade était pour moi totalement amicale et sincère.
- Moi aussi j't'aime putin. Vient on fait un pacte de coupines…
Je commande deux autres shots au serveur qui hésite de plus en plus mais qui s'exécute puisque j'ai de quoi payer. Et alors que j'attends ma commande, je me couche sur le bar en hurlant de rire à sa blague pourrie, qui au final est bien bonne. Une fois le fou rire passé, je renchérissais, parce que je ne voulais pas rester en reste.
- Hé hé… hééé ! 'coute… C'quoi les deux animaux les plus intelligents ? … Le cerf et le veau… paske le cerveau …
Je repartais en fou rire sans me soucier des décibels que je lâchais de ma gorge, tout en attrapant les deux shots qui venaient d'arriver. J'en tendais un à Sterenn et venait croiser mon bras avec le sien tout en levant nos verres.
- À la coupine !!
Pour lui répondre, je levais l'index et le collait sur mes lèvres, sauf que je visais mal, l'alcool troublant ma proprio perception. Ainsi, je me mettais presque le doigt dans l'œil et le pouce dans la bouche avant de répondre.
- Pssshhhhhppssshhhhh pas si fooooowwwrt…
Je me penche en avant vers Sterenn, et tout ce qui m'arrête c'est le contact de nos épaules, sinon je tombais dans ses bras. J'essayais de chuchoter alors. Essayais.
- Ouè… d'puis longtemps… gnéhéhé… et touè ? moi… chu un… cabot !
Je réussissais à me redresser tant bien que mal en m'accrochant en bar et sa question concernant les Maghyar me fit rire. J'en riais, alors que je lui répondais.
- C… c'toi la pinte… pfff ! Ouais j'en ai vu… et ils ont encore plus mauvais caractère que toi, j'te l'dis moi ouè… des vraies teignes… mais jeuu less aiiimmmeuuu
Les points communs ne cessent de se faire révéler, et je pouffe un peu en sirotant mon verre lorsqu'elle constate avec la même joie que moi que nous nous ressemblons.
- Des jumelles ouè… mais là on y voit pas grand-chose, fait tout noir. Ta gueule.
Je faisais référence encore une fois à un film français s'intituler RRRrrr, et puisque j'étais partie loin dans ma réflexion, je recommençais à rire bêtement en buvant encore une fois un peu de mon whisky. Amusée, je l'imagine taper sur ces… bocks avec un briquet. Je ne sais pas ce que c'est qu'un bocks, ni ce que c'est le jeu du cap's, mais c'était parfait, ça allait nous permettre de nous revoir. Parce que maintenant je ne voulais plus la quitter. Mais j'étais fière de lui avoir parlé du groupe des gris, peut-être que grâce à moi nous serions bientôt au complet. Monsieur Helsing pouvait me remercier !
- Cool ben j'parlerai d'toi alors ! Tu s'ras notre batteuse ! Et nan… c'quoi ton cap's ? Tu m'montreras ?
Et en l'imitant, je termine mon verre cul sec non sans tousser un peu. Ça commence à m'attaquer, et je ne sais pas si c'est très bon pour ma santé. Après tout, je n'avais jamais expérimenté de pousser l'alcool aussi loin malgré ma maladie. Mais il faut savoir vivre dangereusement il parait, surtout quand on s'en sort vivant d'entre les griffes d'un loup-garou.
Quand elle vient me prendre par les épaules en me faisant presque une déclaration d'amour, moi je fonds dans ses bras, passant mes mains dans son dos. Encore une fois, je n'étais pas assez avinée pour ne pas remarquer que je préférais largement le contact de ma bien-aimée, ainsi, cette accolade était pour moi totalement amicale et sincère.
- Moi aussi j't'aime putin. Vient on fait un pacte de coupines…
Je commande deux autres shots au serveur qui hésite de plus en plus mais qui s'exécute puisque j'ai de quoi payer. Et alors que j'attends ma commande, je me couche sur le bar en hurlant de rire à sa blague pourrie, qui au final est bien bonne. Une fois le fou rire passé, je renchérissais, parce que je ne voulais pas rester en reste.
- Hé hé… hééé ! 'coute… C'quoi les deux animaux les plus intelligents ? … Le cerf et le veau… paske le cerveau …
Je repartais en fou rire sans me soucier des décibels que je lâchais de ma gorge, tout en attrapant les deux shots qui venaient d'arriver. J'en tendais un à Sterenn et venait croiser mon bras avec le sien tout en levant nos verres.
- À la coupine !!
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 19:53
Niveau discrétion, c'est un échec total. Pour l'une comme pour l'autre. Pourtant dans ta tête, tu as l'impression d'être une ninja en mode furtivité. La perception change vite selon le point de vue auquel on se trouve.
Tu la regardes avec admiration quand elle t'annonce être un animagus chien. Tu veux lui révéler l'animagus que tu es. Tu te penches à son oreille et manque de te péter la gueule. Le sol est pas très droit. Tu penses être discrète quand tu lui annonces (Tu es aussi discrète qu'un troupeau de buffles dans un magasin de porcelaines)
- Chui un mamigugus z'herisson pik pik
Il te viens alors une idée de génie (même si en l'occurrence, le terme merdique serait plus approprié).
- Et si on faisait une mission secrète de mamigugus cabot et pikpik ! Comme James Bond !
Tu éclates d'un rire franc quand elle te dis que c'est toi la pintes. Vu comment vous êtes,vous riez pour un rien. Ça te fais vraiment du bien ! Quand elle te sors la replique du film moldu rrr, tu répétes en choeur avec elle le fameux ta gueule.
Comme ta partenaire ne connaît pas les règles du cap's tu essayes de lui expliquer. Sauf que dans ton état, les explications sont loin d'être claires et précises.
- Alors t'ata bière et après tu dois viser le machin de ton adversaire avec ton bidule ! Et quand tu arrives la personne bois et toi z'aussi tu bois !
Bras dessus, bras dessous, telles des championnes du jeu moldu Twister, Aby te propose de faire un pacte de coupine ! Tu adores cette idée !
- Putin c'est trop bien un pacte de coupines ! C'est trop la vie les pactes de coupines !
Aby se lance aussi dans les blagues. Tu rigoles comme un boeuf à sa blague animalière. Tu n'arrives pas à t'arrêter de t'esclaffer même quand elle vous commandes deux autres shots. Il te viens alors une nouvelle blague.
- T'sais c'est quoi qui court et s'jette ?! Une courgette !!!
Vous trinquez à nouveau ensemble. Aux coupines ! Le dj passe alors une chanson des Spice Girls. Un groupe moldu que tu adores ! Tout d'un coup tu te met à chanter.
- Yoooo bilibili awonawonte! Awawa awawa Wabibimaloveuhziziguiguizigza !
C'est clairement du yogourt que tu es en train de faire !
Tu la regardes avec admiration quand elle t'annonce être un animagus chien. Tu veux lui révéler l'animagus que tu es. Tu te penches à son oreille et manque de te péter la gueule. Le sol est pas très droit. Tu penses être discrète quand tu lui annonces (Tu es aussi discrète qu'un troupeau de buffles dans un magasin de porcelaines)
- Chui un mamigugus z'herisson pik pik
Il te viens alors une idée de génie (même si en l'occurrence, le terme merdique serait plus approprié).
- Et si on faisait une mission secrète de mamigugus cabot et pikpik ! Comme James Bond !
Tu éclates d'un rire franc quand elle te dis que c'est toi la pintes. Vu comment vous êtes,vous riez pour un rien. Ça te fais vraiment du bien ! Quand elle te sors la replique du film moldu rrr, tu répétes en choeur avec elle le fameux ta gueule.
Comme ta partenaire ne connaît pas les règles du cap's tu essayes de lui expliquer. Sauf que dans ton état, les explications sont loin d'être claires et précises.
- Alors t'ata bière et après tu dois viser le machin de ton adversaire avec ton bidule ! Et quand tu arrives la personne bois et toi z'aussi tu bois !
Bras dessus, bras dessous, telles des championnes du jeu moldu Twister, Aby te propose de faire un pacte de coupine ! Tu adores cette idée !
- Putin c'est trop bien un pacte de coupines ! C'est trop la vie les pactes de coupines !
Aby se lance aussi dans les blagues. Tu rigoles comme un boeuf à sa blague animalière. Tu n'arrives pas à t'arrêter de t'esclaffer même quand elle vous commandes deux autres shots. Il te viens alors une nouvelle blague.
- T'sais c'est quoi qui court et s'jette ?! Une courgette !!!
Vous trinquez à nouveau ensemble. Aux coupines ! Le dj passe alors une chanson des Spice Girls. Un groupe moldu que tu adores ! Tout d'un coup tu te met à chanter.
- Yoooo bilibili awonawonte! Awawa awawa Wabibimaloveuhziziguiguizigza !
C'est clairement du yogourt que tu es en train de faire !
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 20:22
Elle manquait de tomber en se penchant à mon oreille, et puisqu'elle s'appuyait contre moi, j'avais failli de tomber aussi. Heureusement que je me tenais au bar à ce moment. Et une fois qu'elle m'ait révélé sa forme Animagus, je ne pouvais m'empêcher de hurler de rire tout en remarquant un bourdonnement à mon tympan. Elle m'avait hurlé dessus alors que je l'avais pris comme pour un chuchotement. Mais qu'importe, je riais tellement que je ne m'en rendais pas compte. Cette femme, tatouée de partout, qui prenait la forme d'un hérisson ? Sérieusement ? Quoique ça lui allait bien, une créature mignonne mais qui pouvait avoir du piquant. Heureusement, moi je voyais le piquant amusant et sympathique, celui qui donnait de l'intérêt à la vie.
- Ouè on peut, comme Mulder et Sully, ou Tic et Tac, ou Han Solo et Chewbacca, ou…. Enfin t'as compris.
Je ne voyais pas trop ce qu'on pourrait faire comme mission secrète en tant qu'Animagus, mais j'étais encore une fois enchantée par cette proposition qui signifiait que nous allions nous revoir. Forcément, ça me plaisait, et jusqu'à aujourd'hui je n'avais jamais vraiment eu le plaisir de me faire un ami qui avait aussi ce talent, ce n'était donc que pur bonheur pour moi. Une nouvelle raison de me changer les idées et d'oublier mes malheurs.
Mais lorsqu'elle me racontait les règles de son jeu, j'ouvrais de grands yeux en clignant des paupières, la fixant d'un air d'autoroute. Je n'avais strictement rien compris à son truc.
- Ok… t'sais quoi ? Tu m'montreras hein…
Nan parce que là ce n'était même pas de la mauvaise volonté de ma part, c'était juste que je n'avais rien compris, et je ne savais pas trop s'il y avait quelque chose à comprendre en fait. Enfin surtout dans notre état. Mais c'est bras dessus, bras dessous que je buvais cul sec mon shot en m'esclaffant fortement tout en reposant le petit verre sur le bar, fière de notre pacte. Je me mis à pleurer d'émotion.
- C'est la première fois que je fais un pacte de coupine… chu trop émue putin c'est trop beau…
Je fondais en larmes, c'était des larmes de joie bien sûr, l'alcool n'aidant pas à me contrôler alors que j'étais déjà initialement une personne émotive. Et c'est toujours en chialant comme une madeleine que je riais à sa blague pourrie tout en renchérissant encore une fois.
- Tu sais ce qui est vert et qui pousse au fond du jardin ? Un alien qui fait caca.
Je riais de plus belle alors que j'avais les joues mouillées par mes larmes. Que d'émotion ce soir ça faisait véritablement du bien !
Et puisque nous parlions de chanson, je voyais ma camarade chanter à la musique qui passait maintenant. Je riais en entendant son yaourt et en plus à cause du groupe. C'était une vieille chanson et je n'avais jamais vraiment écouté ces femmes, pourtant, puisque j'adorais la musique, je connaissais bien les paroles. Je me relevais de ma chaise et me mettait à genoux dessus, me grandissant un peu tout en accompagnant ma copine de beuverie. Pour le moment je n'osais pas me mettre debout, j'étais certaine que j'allais tomber sinon.
- IFYU ANA BI MAY LOVEERRRR, YU GOTAGET WIZ MAY FRIEEDSSS, GOTAGET WIZ MAAYYYYY FRIEEEEDDSSS
- Ouè on peut, comme Mulder et Sully, ou Tic et Tac, ou Han Solo et Chewbacca, ou…. Enfin t'as compris.
Je ne voyais pas trop ce qu'on pourrait faire comme mission secrète en tant qu'Animagus, mais j'étais encore une fois enchantée par cette proposition qui signifiait que nous allions nous revoir. Forcément, ça me plaisait, et jusqu'à aujourd'hui je n'avais jamais vraiment eu le plaisir de me faire un ami qui avait aussi ce talent, ce n'était donc que pur bonheur pour moi. Une nouvelle raison de me changer les idées et d'oublier mes malheurs.
Mais lorsqu'elle me racontait les règles de son jeu, j'ouvrais de grands yeux en clignant des paupières, la fixant d'un air d'autoroute. Je n'avais strictement rien compris à son truc.
- Ok… t'sais quoi ? Tu m'montreras hein…
Nan parce que là ce n'était même pas de la mauvaise volonté de ma part, c'était juste que je n'avais rien compris, et je ne savais pas trop s'il y avait quelque chose à comprendre en fait. Enfin surtout dans notre état. Mais c'est bras dessus, bras dessous que je buvais cul sec mon shot en m'esclaffant fortement tout en reposant le petit verre sur le bar, fière de notre pacte. Je me mis à pleurer d'émotion.
- C'est la première fois que je fais un pacte de coupine… chu trop émue putin c'est trop beau…
Je fondais en larmes, c'était des larmes de joie bien sûr, l'alcool n'aidant pas à me contrôler alors que j'étais déjà initialement une personne émotive. Et c'est toujours en chialant comme une madeleine que je riais à sa blague pourrie tout en renchérissant encore une fois.
- Tu sais ce qui est vert et qui pousse au fond du jardin ? Un alien qui fait caca.
Je riais de plus belle alors que j'avais les joues mouillées par mes larmes. Que d'émotion ce soir ça faisait véritablement du bien !
Et puisque nous parlions de chanson, je voyais ma camarade chanter à la musique qui passait maintenant. Je riais en entendant son yaourt et en plus à cause du groupe. C'était une vieille chanson et je n'avais jamais vraiment écouté ces femmes, pourtant, puisque j'adorais la musique, je connaissais bien les paroles. Je me relevais de ma chaise et me mettait à genoux dessus, me grandissant un peu tout en accompagnant ma copine de beuverie. Pour le moment je n'osais pas me mettre debout, j'étais certaine que j'allais tomber sinon.
- IFYU ANA BI MAY LOVEERRRR, YU GOTAGET WIZ MAY FRIEEDSSS, GOTAGET WIZ MAAYYYYY FRIEEEEDDSSS
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 21:28
L'idée de revoir Aby en tant qu'animagus te plait d'avance. Tu trouves ça cool d'avoir une copine qui a la même capacité que toi. Tu te demandes bien pourquoi, tu n'as pas spécialement à chercher à la connaître avant. Tu passes un excellent moment avec elle. Le temps file bien trop vite.
- Ouaip j'te montrais ça ! Tu vas voir c'est rigolo comme jeu hihi !
Quand Aby se met à pleurer après toutes ces émotions. Tu es comme qui dirait connectée avec elle, par les liens sacrés de la bibine ! Te voilà en train de chialer comme une madeleine. Tu es joyeuse et câline.
JOTEM COUPINE !
Tu rigoles à en t'en décrocher la mâchoire, après sa blague de l'alien qui fait caca. Il s'agit là d'une blague bien merdique, sauf que dans ton état, tu la trouve révolutionnaire. Alors tu t'imagine l'alien faire son affaire et tu en ris davantage encore.
- Dis dis ! T'sais keski fait un poussin de deux tonnes ?!!
- PIOUUUU ! PIOUUUU!
Tu as gueulé le piou piou tel un camionneur. Aby et Ren, bientôt en tournée pour leur duo comique « Cabot et Pikpik». Dans cet état d'ivresse, elles ne sont pas qu'humoristes et deviennent aussi chanteuses de girlsband. Tu attrapes deux élastiques qui traînent dans tes poches et tu fais deux couettes. Tu montes sur ta chaise et encourage ta coupine à faire de même. Tandis que tu chantes de tout ton coeur.
MEEEKIT LAZT FOWEVER FRIEEDSSSCHIPZ NEVEURENDZ IFIOU WONO BIIIMAALOVEUR, YOUAVGOTOUGIV TEKINGZTOUZIZI, BEUTZATSSS ZEUWOUAI ITIZ.
Tu es aussi devenue danseuse, puisque tu commences à twerker. Sauf que dans ton état, ça fait plus canard qui remue son popotin que danseuse sexy. Tu manques à plusieurs reprises de te casser la figure de ton piedestal. Quand soudain ! Ce qui devait arriver arriva....Une mauvaise perception de l'espace et BIM tu te retrouve au sol, les quatre fers en l'air. Si en état de sobriété, tu aurais eu un peu mal, là tu n'en ressens aucune douleur. Au contraire, ta gamelle te fais éclater d'un nouveau rire. Le temps de retrouver tes esprits, tu essayes de te relever dignement avant de dire en riant :
- Putin d'main j'vais avoir mal au cul !
Tu t'esclaffes à nouveau jusqu'à en avoir les larmes aux yeux. Bon dieu que cette soirée est géniale !
- Ouaip j'te montrais ça ! Tu vas voir c'est rigolo comme jeu hihi !
Quand Aby se met à pleurer après toutes ces émotions. Tu es comme qui dirait connectée avec elle, par les liens sacrés de la bibine ! Te voilà en train de chialer comme une madeleine. Tu es joyeuse et câline.
JOTEM COUPINE !
Tu rigoles à en t'en décrocher la mâchoire, après sa blague de l'alien qui fait caca. Il s'agit là d'une blague bien merdique, sauf que dans ton état, tu la trouve révolutionnaire. Alors tu t'imagine l'alien faire son affaire et tu en ris davantage encore.
- Dis dis ! T'sais keski fait un poussin de deux tonnes ?!!
- PIOUUUU ! PIOUUUU!
Tu as gueulé le piou piou tel un camionneur. Aby et Ren, bientôt en tournée pour leur duo comique « Cabot et Pikpik». Dans cet état d'ivresse, elles ne sont pas qu'humoristes et deviennent aussi chanteuses de girlsband. Tu attrapes deux élastiques qui traînent dans tes poches et tu fais deux couettes. Tu montes sur ta chaise et encourage ta coupine à faire de même. Tandis que tu chantes de tout ton coeur.
MEEEKIT LAZT FOWEVER FRIEEDSSSCHIPZ NEVEURENDZ IFIOU WONO BIIIMAALOVEUR, YOUAVGOTOUGIV TEKINGZTOUZIZI, BEUTZATSSS ZEUWOUAI ITIZ.
Tu es aussi devenue danseuse, puisque tu commences à twerker. Sauf que dans ton état, ça fait plus canard qui remue son popotin que danseuse sexy. Tu manques à plusieurs reprises de te casser la figure de ton piedestal. Quand soudain ! Ce qui devait arriver arriva....Une mauvaise perception de l'espace et BIM tu te retrouve au sol, les quatre fers en l'air. Si en état de sobriété, tu aurais eu un peu mal, là tu n'en ressens aucune douleur. Au contraire, ta gamelle te fais éclater d'un nouveau rire. Le temps de retrouver tes esprits, tu essayes de te relever dignement avant de dire en riant :
- Putin d'main j'vais avoir mal au cul !
Tu t'esclaffes à nouveau jusqu'à en avoir les larmes aux yeux. Bon dieu que cette soirée est géniale !
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Dim 29 Juil 2018 - 22:41
Le moins qu'on puisse dire, c'était que nous étions sur la même longueur d'onde toutes les deux. On parlait un peu le même langage, on avait les mêmes références moldues et on pleurait en synchronisation, comme si nos cerveaux étaient connectés. C'était sans doute l'alcool qui avait fait fil conducteur, je ne voyais pas d'autres explications plausibles à cette connexion soudaine que je pouvais avoir avec elle. Ce n'était pas pour me déplaire pourtant, bien au contraire. Et après notre étreinte, je ne pouvais m'empêcher d'éclater une nouvelle fois aux éclats à sa blague pourrie. On était trop forte ce soir, j'étais certaine qu'on pouvait monter un spectacle et faire des tournées mondiales. J'allais demander conseil à mon aimée, j'étais persuadée qu'elle allait nous aider. Après tout on était trop douées, fallait faire quelque chose pour nous, le monde devait nous connaître c'était le destin.
- PIOUUUUPIOUUUUU !!!
J'imitais le gros poussin en posant mes poings contre mes hanches, agitant mes bras pliés pour imiter des ailes, tout en gonflant mes joues, non sans loucher de surcroît. Je ne ressemblais à rien, et c'était le but, mais c'était d'autant plus accentué à cause de l'alcool. Bien sûr, je n'avais pas mis la sourdine en disant le pioupiou et il allait de soi que plusieurs personnes autour de nous se retournaient dans notre direction pour nous reluquer.
Et de surcroît maintenant que Sterenn montait sur sa chaise pour continuer à chanter. Prise d'un élan de folie, je faisais de même, tanguant de droite à gauche et d'avant en arrière, l'équilibre très précaire. J'essayais de prendre la position que j'adoptais lorsque je chantais de manière rock'n'roll, un peu penchée en arrière, mais en réalité, je ressemblais davantage à un sac à patate effondré.
- WOOOOOH, SO OUATYIU SINK EUBOUT TAT ??!! NO YIU NO HHHO I FIL !!! SAYIU CAN ANDLE MY LOOOOooooOOOOVE ARYIU 4 RIL ARYIU 4 RIL !!
Je regardais Sterenn s'essayer à une danse étrange que je n'arrivais pas à reconnaître à cause de l'alcool qui déformait ma perception mais qui rendait la danse juste… moche. Je ne voyais pas d'autres définitions, elle ressemblait à un vers qui se trémoussait au soleil en agonisant. Et ce qui devait arriver, arriva, elle trébuchait et tombait, s'étalant à terre. Alors que je tendais le bras en avant pour essayer de la rattraper, je perdais moi aussi l'équilibre et je lui tombais lourdement dessus. Mes genoux en avaient pris un coup, j'avais très mal, mais l'alcool anesthésiait tout. Je hurlais de rire contre l'épaule de l'Ethelred alors que nous faisions office de tapis. Je me laissais rouler sur le côté pour la libérer de mon poids tandis que madame cheval revenait en courant vers moi, se penchant au-dessus de mon visage. Je sursautais en la voyant, lâchant un petit jappement plaintif.
- Pfa bva ? Tu tfé pfa fait mlval ?
Je reculais jusqu'à être presque à nouveau dans les bras de mon amie de beuverie mais malgré la surprise, je parvenais à sourire. Décidément, l'alcool avait toutes les vertus ce soir.
- Ça va je te remercie.
Elle me tendait la main pour m'aider à me relever, ce que je faisais avec plaisir, puis je venais apporter mon aide à l'Ethelred, remerciant l'inconnue dans l'espoir de la congédier. Je ne voulais pas devenir méchante avec elle, même si j'étais ivre, je n'oubliais pas que mon cœur était envahi par un amour profond et sincère.
- PIOUUUUPIOUUUUU !!!
J'imitais le gros poussin en posant mes poings contre mes hanches, agitant mes bras pliés pour imiter des ailes, tout en gonflant mes joues, non sans loucher de surcroît. Je ne ressemblais à rien, et c'était le but, mais c'était d'autant plus accentué à cause de l'alcool. Bien sûr, je n'avais pas mis la sourdine en disant le pioupiou et il allait de soi que plusieurs personnes autour de nous se retournaient dans notre direction pour nous reluquer.
Et de surcroît maintenant que Sterenn montait sur sa chaise pour continuer à chanter. Prise d'un élan de folie, je faisais de même, tanguant de droite à gauche et d'avant en arrière, l'équilibre très précaire. J'essayais de prendre la position que j'adoptais lorsque je chantais de manière rock'n'roll, un peu penchée en arrière, mais en réalité, je ressemblais davantage à un sac à patate effondré.
- WOOOOOH, SO OUATYIU SINK EUBOUT TAT ??!! NO YIU NO HHHO I FIL !!! SAYIU CAN ANDLE MY LOOOOooooOOOOVE ARYIU 4 RIL ARYIU 4 RIL !!
Je regardais Sterenn s'essayer à une danse étrange que je n'arrivais pas à reconnaître à cause de l'alcool qui déformait ma perception mais qui rendait la danse juste… moche. Je ne voyais pas d'autres définitions, elle ressemblait à un vers qui se trémoussait au soleil en agonisant. Et ce qui devait arriver, arriva, elle trébuchait et tombait, s'étalant à terre. Alors que je tendais le bras en avant pour essayer de la rattraper, je perdais moi aussi l'équilibre et je lui tombais lourdement dessus. Mes genoux en avaient pris un coup, j'avais très mal, mais l'alcool anesthésiait tout. Je hurlais de rire contre l'épaule de l'Ethelred alors que nous faisions office de tapis. Je me laissais rouler sur le côté pour la libérer de mon poids tandis que madame cheval revenait en courant vers moi, se penchant au-dessus de mon visage. Je sursautais en la voyant, lâchant un petit jappement plaintif.
- Pfa bva ? Tu tfé pfa fait mlval ?
Je reculais jusqu'à être presque à nouveau dans les bras de mon amie de beuverie mais malgré la surprise, je parvenais à sourire. Décidément, l'alcool avait toutes les vertus ce soir.
- Ça va je te remercie.
Elle me tendait la main pour m'aider à me relever, ce que je faisais avec plaisir, puis je venais apporter mon aide à l'Ethelred, remerciant l'inconnue dans l'espoir de la congédier. Je ne voulais pas devenir méchante avec elle, même si j'étais ivre, je n'oubliais pas que mon cœur était envahi par un amour profond et sincère.
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Lun 30 Juil 2018 - 15:56
Boom Patratra ! Tu finis ta cascade au sol. Aby qui est aussi agile que toi, semble avoir eu le même soucis de perception puisqu'elle se retrouve affalée sur toi. Nouveau fou rires. On vous regarde bizarrement. Comme des bêtes de foire, mais tu n'en a rien à foutre. La fille qui était venue dragouiller Aby vient vers vous. Elle aide à se relever. Quand Aby la remercie, tu fais de même. Du moins entre deux éclats de rire. C'est que la situation est bien comique ! En guise de remerciement, tu lui offres un verre.
Le temps file à vitesse grand V. Tout comme l'alcool. Il est déjà bien tard. Coyote viens vous voir. C'est bientôt le moment de la fermeture. Il s'inquiète de savoir comment vous allez rentrer. Tu lui dis que tu es venu en BM double pieds, et que ça va aller. Et qu'en plus vous êtes à deux pour rentrer (quoique dans votre état, ça risque d'être une véritable expédition). Au vu de votre état, ce sera sans doute au petit bonheur la chance. Vous avancez tant bien que mal. C'est fou ce que le sol bouge. Tu as bien du mal à garder ton équilibre ! Pour réussir à marcher, quoi de mieux que de se motiver en chanson ?
- TERRE BRULEEEEEEE AUX VENTS DES LANDEUDEUUUH BIEEEEEEERE ! LE COMMEMARAAAAAAAAAAAA !
Pourquoi cette chanson d'un vieux chanteur moldu ? Tu en a aucune idée. C'est qu'elle est simplement venue à ton esprit. À ce stade de ton alcoolémie, il n'y a plus rien à comprendre.
Bras de dessus bras dessous avec Aby, tu va au vestiaire pour récupérer tes affaires (parce qu'on à dû te le faire rappeller). Une fois dehors, tu fumes une clope rapidement. Puis tu reprends le bras de ta coupine. Soudain, ton neurone semble avoir une illumination. Quelle direction prendre ? Dans ton état, tu ne sais plus où tu habites !
- On va pahou ?
En langage clair, tu lui demande, quelle direction choisir. De ton point de vue, tous les bâtiments se ressemble. Pendant que tu es en pleine réflexion, un gugusse dans un état qui n'est pas mieux que vous, commence à vous siffler et à vous interpeller.
- Hey ! Hey ! Ça vous dirait pas d'finir avec un vrai homme les bonnasses ?
Le temps file à vitesse grand V. Tout comme l'alcool. Il est déjà bien tard. Coyote viens vous voir. C'est bientôt le moment de la fermeture. Il s'inquiète de savoir comment vous allez rentrer. Tu lui dis que tu es venu en BM double pieds, et que ça va aller. Et qu'en plus vous êtes à deux pour rentrer (quoique dans votre état, ça risque d'être une véritable expédition). Au vu de votre état, ce sera sans doute au petit bonheur la chance. Vous avancez tant bien que mal. C'est fou ce que le sol bouge. Tu as bien du mal à garder ton équilibre ! Pour réussir à marcher, quoi de mieux que de se motiver en chanson ?
- TERRE BRULEEEEEEE AUX VENTS DES LANDEUDEUUUH BIEEEEEEERE ! LE COMMEMARAAAAAAAAAAAA !
Pourquoi cette chanson d'un vieux chanteur moldu ? Tu en a aucune idée. C'est qu'elle est simplement venue à ton esprit. À ce stade de ton alcoolémie, il n'y a plus rien à comprendre.
Bras de dessus bras dessous avec Aby, tu va au vestiaire pour récupérer tes affaires (parce qu'on à dû te le faire rappeller). Une fois dehors, tu fumes une clope rapidement. Puis tu reprends le bras de ta coupine. Soudain, ton neurone semble avoir une illumination. Quelle direction prendre ? Dans ton état, tu ne sais plus où tu habites !
- On va pahou ?
En langage clair, tu lui demande, quelle direction choisir. De ton point de vue, tous les bâtiments se ressemble. Pendant que tu es en pleine réflexion, un gugusse dans un état qui n'est pas mieux que vous, commence à vous siffler et à vous interpeller.
- Hey ! Hey ! Ça vous dirait pas d'finir avec un vrai homme les bonnasses ?
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Lun 30 Juil 2018 - 20:25
J'avais du mal à respirer tant je riais alors que j'étais étalée sur ma consœur Ethelred et que je roulais par terre pour me relever avec l'aide de madame cheval. De toute ma vie, je n'étais pas certaine que j'avais déjà autant ris, même pas avec ma sœur. Je laissais Sterenn offrir un verre à l'inconnue tandis que moi je passais une nouvelle commande pour nous. Je ne voudrais pas que la jeune femme se retrouve sur la paille alors que moi j'avais les moyens de payer.
Ainsi, la soirée continuait, bien arrosée d'alcool et de rire, jusqu'à la fermeture, bien tard, ou très tôt ? Je n'avais plus aucune notion du temps, et très sincèrement je ne pensais pas rester aussi longtemps, mais qu'importe, ça faisait du bien de rire et de se changer les idées. Depuis que ma compagne de beuverie était venue me parler j'en avais complétement oublié mes soucis, mais pas ma moitié, j'étais fière de ça, même bourrée.
Et alors que le responsable venait nous parler en s'inquiétant de notre retour, je le rassurais en disant que pour moi, c'était toujours les pieds. C'était vrai en plus, je détestais les transports rapides magiques, surtout le balai, et je n'avais pas de voiture ou de moto même si j'avais le permis que pour la première. Je l'accompagnais dans sa chanson moldue que je connaissais également alors que nous nous dirigions vers le vestiaire.
- Dééééééééé nouaaaaaaaaaaaaaaaagnouaaaaaaaaaaaaaars qui vièèèèèèèèène du noooooooooooord coloooooorent la tèèèèèèèèreuuuuuuuu, les laaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaachhhhs, les rivièèèèèèreuuuuuuuus, sssssssééééééé le décoooooooooooooooooooowwwr du ccccooooomeeemaraaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Étrange, je commençais à avoir mal à la gorge… peut-être que je chantais trop fort ? Possible. Une fois dehors, je humais l'air frais de la soirée avec plaisir, c'est qu'il faisait super chaud dans le Rainbow. Je laissais la jeune femme s'allumer une cigarette tandis que je regardais la rue presque vide autour de nous. À sa question, je la regardais en tanguant d'avant en arrière.
- Bhé… moi j'dois r'tourner à l'uni… kvvbbgnééné… c'par là…
Je pointais la direction correcte de l'index, un pur coup de chance, mais le temps que nous nous mettions en route, la jeune femme à mes côtés avec eu le temps de terminer sa cigarette. Elle fumait très vite ou on trainait ? Beuh… En louchant un peu, je la regardais.
- Toi t'vas par ou ?
Pour tenir plus ou moins droite, je revenais m'appuyer contre elle en passant mes bras autour d'elle tandis que je la voyais avoir encore assez d'esprit pour s'allumer autre chose qu'une cigarette. L'odeur me répugnait, et c'est en fronçant le nez que je reculais.
- Bouèèèèèh ça chlingue le caca séché de vieux dragon malade ton truc. Dégueulasse…
C'est à ce moment qu'un homme, à l'allure aussi intelligente que la nôtre venait nous aborder. Lui, viril ? P'tin même Adoración elle avait plus de couilles que lui…. Ah… Adora elle était parfaite, ze l'aimais… ma tite femme. Et c'est remontée par la manière dont il avait de s'adresser à nous, encouragée par l'alcool, je que venais frotter mon nez avec l'index de ma main droite, en essayant de me tenir droite face à lui.
- Hé… Hééééééééééééééé !!!!.... Hé… on…. On parle pas comme ça aux filles…. D'abord… Hé ! Hééééé !!
- Ouais mais moi j'vous baise ! Ghuhu !
- Uèch vazi kesta ton haricot m'a pas décapsulée… j'ai maté un loup-garou moi… t'veux tester la baeyte ?
Un rire gras sortit de la gorge immonde du garçon alors qu'il posait sa main sur mon épaule. Ni une, ni deux, je prenais un peu d'élan et de toute la force dont j'étais capable, je venais fracasser ma main droite dans sa joue, sans l'ombre d'une hésitation, avec un coup étrangement précis. Lorsqu'il s'effondrait devant moi, je ne pouvais m'empêcher de glousser en remuant comme une boxeuse. Pourtant j'étais la personne la moins violente au monde... mais j'étais trop soule pour me rendre compte réellement de ce que je venais de faire.
- Ouèch vazi faut pas m'emmerder mouè, chu N'AMOUREUSE OKEY ?? NAAAMOUUUREUUUUSE !! P… P… PEEERSONNNE CH…. CHANGERA CA MA GUEULE !!!
Puis je secouais ma main droite, réalisant que j'avais mal.
- Aaaaayyeuuuuhhhhh
Ainsi, la soirée continuait, bien arrosée d'alcool et de rire, jusqu'à la fermeture, bien tard, ou très tôt ? Je n'avais plus aucune notion du temps, et très sincèrement je ne pensais pas rester aussi longtemps, mais qu'importe, ça faisait du bien de rire et de se changer les idées. Depuis que ma compagne de beuverie était venue me parler j'en avais complétement oublié mes soucis, mais pas ma moitié, j'étais fière de ça, même bourrée.
Et alors que le responsable venait nous parler en s'inquiétant de notre retour, je le rassurais en disant que pour moi, c'était toujours les pieds. C'était vrai en plus, je détestais les transports rapides magiques, surtout le balai, et je n'avais pas de voiture ou de moto même si j'avais le permis que pour la première. Je l'accompagnais dans sa chanson moldue que je connaissais également alors que nous nous dirigions vers le vestiaire.
- Dééééééééé nouaaaaaaaaaaaaaaaagnouaaaaaaaaaaaaaars qui vièèèèèèèèène du noooooooooooord coloooooorent la tèèèèèèèèreuuuuuuuu, les laaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaachhhhs, les rivièèèèèèreuuuuuuuus, sssssssééééééé le décoooooooooooooooooooowwwr du ccccooooomeeemaraaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Étrange, je commençais à avoir mal à la gorge… peut-être que je chantais trop fort ? Possible. Une fois dehors, je humais l'air frais de la soirée avec plaisir, c'est qu'il faisait super chaud dans le Rainbow. Je laissais la jeune femme s'allumer une cigarette tandis que je regardais la rue presque vide autour de nous. À sa question, je la regardais en tanguant d'avant en arrière.
- Bhé… moi j'dois r'tourner à l'uni… kvvbbgnééné… c'par là…
Je pointais la direction correcte de l'index, un pur coup de chance, mais le temps que nous nous mettions en route, la jeune femme à mes côtés avec eu le temps de terminer sa cigarette. Elle fumait très vite ou on trainait ? Beuh… En louchant un peu, je la regardais.
- Toi t'vas par ou ?
Pour tenir plus ou moins droite, je revenais m'appuyer contre elle en passant mes bras autour d'elle tandis que je la voyais avoir encore assez d'esprit pour s'allumer autre chose qu'une cigarette. L'odeur me répugnait, et c'est en fronçant le nez que je reculais.
- Bouèèèèèh ça chlingue le caca séché de vieux dragon malade ton truc. Dégueulasse…
C'est à ce moment qu'un homme, à l'allure aussi intelligente que la nôtre venait nous aborder. Lui, viril ? P'tin même Adoración elle avait plus de couilles que lui…. Ah… Adora elle était parfaite, ze l'aimais… ma tite femme. Et c'est remontée par la manière dont il avait de s'adresser à nous, encouragée par l'alcool, je que venais frotter mon nez avec l'index de ma main droite, en essayant de me tenir droite face à lui.
- Hé… Hééééééééééééééé !!!!.... Hé… on…. On parle pas comme ça aux filles…. D'abord… Hé ! Hééééé !!
- Ouais mais moi j'vous baise ! Ghuhu !
- Uèch vazi kesta ton haricot m'a pas décapsulée… j'ai maté un loup-garou moi… t'veux tester la baeyte ?
Un rire gras sortit de la gorge immonde du garçon alors qu'il posait sa main sur mon épaule. Ni une, ni deux, je prenais un peu d'élan et de toute la force dont j'étais capable, je venais fracasser ma main droite dans sa joue, sans l'ombre d'une hésitation, avec un coup étrangement précis. Lorsqu'il s'effondrait devant moi, je ne pouvais m'empêcher de glousser en remuant comme une boxeuse. Pourtant j'étais la personne la moins violente au monde... mais j'étais trop soule pour me rendre compte réellement de ce que je venais de faire.
- Ouèch vazi faut pas m'emmerder mouè, chu N'AMOUREUSE OKEY ?? NAAAMOUUUREUUUUSE !! P… P… PEEERSONNNE CH…. CHANGERA CA MA GUEULE !!!
Puis je secouais ma main droite, réalisant que j'avais mal.
- Aaaaayyeuuuuhhhhh
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Lun 30 Juil 2018 - 23:46
Aby doit rentrer à l'université. Toutes deux, vous parler le même langage, celui des personnes en état d'ébriété plus qu'avancée. Elle te demande où tu dois aller. Une question à laquelle tu répond avec difficulté.
- Chai plu...ah si j'dois rentrer à la clolococation...c'par là j'crois...ou rpalaaaa...
Tu lui montres à peu près toutes les directions avec ton doigt. L'odeur du joint que tu allumes donne des hauts le coeur à ta camarade Ethelred.
-Scuz'moi coupine.
Tu fumes quelques taffe avant d'écraser le joint contre un muret et le ranger pour plus tard. C'est à ce moment qu'un gros lourd catégorie grobeauf en puissance vient vers vous.
- T'baises sss'personne connaggggghhhhrd ! D'gage z'avec t'vermiceeeelrrrrrk !
Aby lui colle une raclée. Tu encourage ton amie en gueulant comme une charretière :
-VAZY COUPINE D'FONCE LUI LA GRUEULE A C'TE 'BRUUUTI ! CASSES LUI LES CHICHCOTS !
L'homme en question étant dans un état plus qu'aviné, il est mis k.o au premier round. Tu applaudit ta coupine.
- T'ES TROP UNE GUERIRERRRRRRE COUPINE ! ETHELRZEEEEEEEED Z'EN FORCSGUEUHZCHHH !
Elle avoue être amoureuse. Tu chiales de bonheur pour elle. L'alcool te rends bien empathique.
- P'tin c'trop beau l'arrrrrmour ! C'qui d'qui t'es z'amouuuuuuuureuse coupine ? Chu tell'ment conteeeeeeente pour toueee.
Aby t'annonces qu'elle a mal à la main. Sans doute est-ce du au coup portée à la gueule du relou.
- Faut z'y mett'de l'anica. C'crème moldu pour les bobos d'bagarre !
Mais tu n'en a pas sur toi. Tu essayes de connecter les deux neurones qui te reste jusqu'à trouvé une idée. Tu as alors un éclair de génie.
- M'freeeeere Ilililiaaaaas...Lily...a pititr'sa d'l'anica bobo ! Faut j'lui envoiiiie un seumeuseuseuuuuh !
Tu essaye de sortir ton portable de la poche de ta veste. Elle est plus grande que d'habitude et plus profonde. Une fois l'appareil en main, tu louches sur les touches pour essayer d'envoyer un message à ton frère. Les touches ne font que bouger. Au vu, de l'écriture, nul doute qu'il comprendra dans quel état tu es. Une fois ton message rédigé (Tu as vraiment galéré à le faire) tu te concentres au maximum, pour ne pas te tromper de destinataire.
- Chai plu...ah si j'dois rentrer à la clolococation...c'par là j'crois...ou rpalaaaa...
Tu lui montres à peu près toutes les directions avec ton doigt. L'odeur du joint que tu allumes donne des hauts le coeur à ta camarade Ethelred.
-Scuz'moi coupine.
Tu fumes quelques taffe avant d'écraser le joint contre un muret et le ranger pour plus tard. C'est à ce moment qu'un gros lourd catégorie grobeauf en puissance vient vers vous.
- T'baises sss'personne connaggggghhhhrd ! D'gage z'avec t'vermiceeeelrrrrrk !
Aby lui colle une raclée. Tu encourage ton amie en gueulant comme une charretière :
-VAZY COUPINE D'FONCE LUI LA GRUEULE A C'TE 'BRUUUTI ! CASSES LUI LES CHICHCOTS !
L'homme en question étant dans un état plus qu'aviné, il est mis k.o au premier round. Tu applaudit ta coupine.
- T'ES TROP UNE GUERIRERRRRRRE COUPINE ! ETHELRZEEEEEEEED Z'EN FORCSGUEUHZCHHH !
Elle avoue être amoureuse. Tu chiales de bonheur pour elle. L'alcool te rends bien empathique.
- P'tin c'trop beau l'arrrrrmour ! C'qui d'qui t'es z'amouuuuuuuureuse coupine ? Chu tell'ment conteeeeeeente pour toueee.
Aby t'annonces qu'elle a mal à la main. Sans doute est-ce du au coup portée à la gueule du relou.
- Faut z'y mett'de l'anica. C'crème moldu pour les bobos d'bagarre !
Mais tu n'en a pas sur toi. Tu essayes de connecter les deux neurones qui te reste jusqu'à trouvé une idée. Tu as alors un éclair de génie.
- M'freeeeere Ilililiaaaaas...Lily...a pititr'sa d'l'anica bobo ! Faut j'lui envoiiiie un seumeuseuseuuuuh !
Tu essaye de sortir ton portable de la poche de ta veste. Elle est plus grande que d'habitude et plus profonde. Une fois l'appareil en main, tu louches sur les touches pour essayer d'envoyer un message à ton frère. Les touches ne font que bouger. Au vu, de l'écriture, nul doute qu'il comprendra dans quel état tu es. Une fois ton message rédigé (Tu as vraiment galéré à le faire) tu te concentres au maximum, pour ne pas te tromper de destinataire.
- InvitéInvité
Re: Coucou, tu veux voir ma... [Sterenn][Terminé]
Mar 31 Juil 2018 - 12:09
L'alcool révélait les pires parties de moi-même, et sans doute que je n'allais pas en revenir d'avoir fait ce que j'étais en train de faire. Déjà boire à ce point ce n'était pas mon genre, alors frapper des gens… qui plus est, j'avais bien signifié à la jeune femme en début de soirée que je préférais ignorer les idiots plutôt que d'avoir envie de leur casser les dents. Heureusement, j'étais tombée sur une personne qui ne me voulait pas de mal, et avec qui je m'entendais étonnement bien. De là à savoir si elle avait une bonne influence je ne saurai le dire… pas ce soir en tout cas, c'était certain. Quoique, j'avais complètement oublié mes problèmes, et à présent j'étais dans la rue en pleine nuit avec elle, sans ressentir la moindre crainte qu'un loup-garou me saute dessus en sortant de derrière une poubelle.
Et alors que je remettais ma veste en cuir convenablement sur mes épaules, j'entendais Sterenn pleurer derrière moi après avoir beuglé comme un animal. Puisque ce soir, ou ce matin ? Nous parlions la même langue, je n'avais aucune peine à comprendre sa question. De qui j'étais amoureuse. C'est vrai que je venais de le hurler comme une bête à celui que je venais de frapper pour bien lui faire comprendre que je n'étais pas intéressée par ses "avances". Je regardais ma consœur Ethelred avec un grand sourire, alors que j'hésitais à lui dire. Elle était ma coupine de beuverie, je l'aimais, elle était ma future batteuse de groupe de musique, elle avait le droit de savoir. Pourtant, une sonnette d'alarme avait été allumée dans mon cerveau et je ne pouvais pas l'ignorer. Mais l'alcool prenait le dessus.
- J'vais t'le dire ouè ! Paske té ma coupine… c'est…. Hé ! 'coute bien… ! c'est…
Je tanguais d'avant en arrière en cherchant mes mots.
- C'est vone… saucisson !
Bordel, c'était dur à prononcer son prénom en langage bourré. Je choisissais donc une autre option. Levant mes bras vers mes cheveux, je faisais mine de les boucler un peu alors que je prenais un air de pimbêche en papillonnant des yeux. Je me dandinais de droite à gauche comme une prostituée… et pourtant dans ma tête, j'étais trop bien en train d'imiter l'enseignante de Sortilèges, avec son air autoritaire et tout… mais l'alcool déformait tout, encore une fois. Et c'est en dandinant de l'arrière-train que je revenais vers Sterenn en pouffant de rire, persuadée que mon imitation était digne du plus grand des mimes.
- T.. touè… aussi tè… zamoureuz ?
Remuant la main, je n'étais visiblement pas assez ivre pour percevoir que j'avais vraiment mal à la main, mais c'était déjà en train de passer alors que la grise à côté de moi sortait tant bien que mal son téléphone pour envoyer un message. Je n'avais pas compris ce qui l'avait mené à envoyer un message mais tant pis.
- Z'en avais ptite… mais pas en crème… en tite granule…
Puis je recommençais à rire comme une bossue à côté de la jeune femme.
- Dla drôôôôgue !
Je la laissais terminer son SMS jusqu'à la voir s'approcher du mec un peu KO à terre et attraper une bouteille de Vodka qu'il avait dans une poche. D'ordinaire, j'aurai dit que c'était mal de voler. D'ordinaire, je n'aurai pas frappé quelqu'un. D'ordinaire, je ne buvais pas autant. Mais cette nuit n'était pas ordinaire.
- Gwéhéhé, on va pas crever d'soif en rentrant… aller vient coupine, zpas envie dfaire pipi dans mon pantalon.
Revenant à sa hauteur, je lui prenais la main pour l'entrainer avec moi dans la rue, dans l'une des directions qu'elle avait pointée. Tous les chemins mènent au rhum de toute façon.
[Suite du RP ici]
Et alors que je remettais ma veste en cuir convenablement sur mes épaules, j'entendais Sterenn pleurer derrière moi après avoir beuglé comme un animal. Puisque ce soir, ou ce matin ? Nous parlions la même langue, je n'avais aucune peine à comprendre sa question. De qui j'étais amoureuse. C'est vrai que je venais de le hurler comme une bête à celui que je venais de frapper pour bien lui faire comprendre que je n'étais pas intéressée par ses "avances". Je regardais ma consœur Ethelred avec un grand sourire, alors que j'hésitais à lui dire. Elle était ma coupine de beuverie, je l'aimais, elle était ma future batteuse de groupe de musique, elle avait le droit de savoir. Pourtant, une sonnette d'alarme avait été allumée dans mon cerveau et je ne pouvais pas l'ignorer. Mais l'alcool prenait le dessus.
- J'vais t'le dire ouè ! Paske té ma coupine… c'est…. Hé ! 'coute bien… ! c'est…
Je tanguais d'avant en arrière en cherchant mes mots.
- C'est vone… saucisson !
Bordel, c'était dur à prononcer son prénom en langage bourré. Je choisissais donc une autre option. Levant mes bras vers mes cheveux, je faisais mine de les boucler un peu alors que je prenais un air de pimbêche en papillonnant des yeux. Je me dandinais de droite à gauche comme une prostituée… et pourtant dans ma tête, j'étais trop bien en train d'imiter l'enseignante de Sortilèges, avec son air autoritaire et tout… mais l'alcool déformait tout, encore une fois. Et c'est en dandinant de l'arrière-train que je revenais vers Sterenn en pouffant de rire, persuadée que mon imitation était digne du plus grand des mimes.
- T.. touè… aussi tè… zamoureuz ?
Remuant la main, je n'étais visiblement pas assez ivre pour percevoir que j'avais vraiment mal à la main, mais c'était déjà en train de passer alors que la grise à côté de moi sortait tant bien que mal son téléphone pour envoyer un message. Je n'avais pas compris ce qui l'avait mené à envoyer un message mais tant pis.
- Z'en avais ptite… mais pas en crème… en tite granule…
Puis je recommençais à rire comme une bossue à côté de la jeune femme.
- Dla drôôôôgue !
Je la laissais terminer son SMS jusqu'à la voir s'approcher du mec un peu KO à terre et attraper une bouteille de Vodka qu'il avait dans une poche. D'ordinaire, j'aurai dit que c'était mal de voler. D'ordinaire, je n'aurai pas frappé quelqu'un. D'ordinaire, je ne buvais pas autant. Mais cette nuit n'était pas ordinaire.
- Gwéhéhé, on va pas crever d'soif en rentrant… aller vient coupine, zpas envie dfaire pipi dans mon pantalon.
Revenant à sa hauteur, je lui prenais la main pour l'entrainer avec moi dans la rue, dans l'une des directions qu'elle avait pointée. Tous les chemins mènent au rhum de toute façon.
[Suite du RP ici]
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