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(!) shazmin || daddy issues.
Mar 23 Oct 2018 - 17:00
daddy issues The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you. |
Disposées un peu partout dans la salle obscure, les danseuses de feu ondulent de manière délicate ; réchauffant de leur lueur les murs de pierres froides. Silence de plomb ; il n’y a que le bruit des plumes contre le papier qui brise la douce quiétude de ce cours si particulier. Ou presque. Des petits ricanements se font parfois entendre dans la pièce, ici et là, faisant grincer des dents le professeur qui perd de plus en plus patience. « Toujours les mêmes », dit-il dans sa barbe revêche. Ronchon qui n’est pas en tort pourtant, t’es souvent la complice avec qui on rit en ce moment, et qu’on met dehors ensuite. Soit disant élève modèle, tu parles ; tu deviens une vraie petite cancre en étant dans la même pièce que « Monsieur Muller ! » Nouveau sourire en coin, tu te dépêches de détourner le regard qui s’est momentanément trop attardé sur le beau brun ; tandis que lui, se retourne faisant de l’œil à ce parchemin qui visiblement l’ennui au plus haut point. Tu retournes à ton propre bout de papier, gribouillant plus que tu n’écris. Tu n’es pas concentrée, du moins, tu ne l’es plus depuis qu’il est arrivé. À cause de lui. Tout ça c’est de sa faute, évidemment. Cours optionnel pour Muller, il pourrait très bien le sécher, non ? En sa présence, tu redeviens cette petite fille insouciante, cette adolescente fougueuse. Il a encore gagné une bataille aujourd’hui en te déconcentrant, toi, la major de promo. Tu jures que tu lui feras payer ce soir, d’une manière ou d’une autre. DFCM, n’est-ce pas ton cours préféré, mais surtout un cours obligatoire pour toi ? On ne dirait pas. Tu glousses plus que tu n’apprends ces derniers temps. Allez, concentre-toi ! Le sujet d’aujourd’hui porte sur quoi déjà ?
Tu soupires, à croire qu’il t’entend, parce qu’il se retourne de nouveau ; un sourire suffisant sur les lèvres. Tu le regardes en retour, tes pupilles lui promettant horreur et désolation ce soir à l’appartement. Tu repousses le parchemin loin de toi, résolue à être une bonne à rien, et à voir tes notes chutées. Prépare-toi, ça ne fera qu’empirer dans quelques mois. Pensées négatives que tu jettes, préférant penser à ces petites choses dans ton ventre que tu commences à sentir bouger. Ils sont réveillés ? Même eux t’embêtent. Tu déchires un bout de papier sur lequel tu écris un mot pour le trouble fait. ‘Tu crois que j’ai au moins cette espèce de rayonnement qu’on attribue aux femmes enceintes ?’ D’un coup de baguette, le bout de papier atterrit sur sa table, qu’il ouvre sans se faire attendre. Tu ne vois que son dos, mais tu sais qu’il rit ce qui te fait un peu rougir ; et tu le vois te répondre. Coup de baguette, le bout de papier se retrouve devant toi. Tu t’empresses de l’ouvrir ‘Oui, il y a un peu de ça … Je dirais, que tu as l’air d’une ampoule.’ Tes lèvres forment un ‘o’ parfait. T’es outrée. Tu attends que le professeur se tourne, et d’un « Locomotor barda. » chuchoté, tu le fais valser de quelques centimètres lui et son stupide bureau faisant tomber toutes ses affaires ; provoquant bruits et rires en même temps. Professeur qui se retourne, énervé, évidemment. « Dehors Muller ! » Ah, voilà. Tout redevient normal, dans l’ordre. Lui dehors, toi en cours. Tu passes les dernières trente minutes à rattraper ton retard, ta petite vengeance te requinquant, te redonnant motivation et énergie. Sonnerie qui retentit dans les couloirs. Les cours se terminent, mais toi, tu restes encore dans la salle pour continuer à bosser ; si bien que tu ne l’entendes pas arriver.
Tu soupires, à croire qu’il t’entend, parce qu’il se retourne de nouveau ; un sourire suffisant sur les lèvres. Tu le regardes en retour, tes pupilles lui promettant horreur et désolation ce soir à l’appartement. Tu repousses le parchemin loin de toi, résolue à être une bonne à rien, et à voir tes notes chutées. Prépare-toi, ça ne fera qu’empirer dans quelques mois. Pensées négatives que tu jettes, préférant penser à ces petites choses dans ton ventre que tu commences à sentir bouger. Ils sont réveillés ? Même eux t’embêtent. Tu déchires un bout de papier sur lequel tu écris un mot pour le trouble fait. ‘Tu crois que j’ai au moins cette espèce de rayonnement qu’on attribue aux femmes enceintes ?’ D’un coup de baguette, le bout de papier atterrit sur sa table, qu’il ouvre sans se faire attendre. Tu ne vois que son dos, mais tu sais qu’il rit ce qui te fait un peu rougir ; et tu le vois te répondre. Coup de baguette, le bout de papier se retrouve devant toi. Tu t’empresses de l’ouvrir ‘Oui, il y a un peu de ça … Je dirais, que tu as l’air d’une ampoule.’ Tes lèvres forment un ‘o’ parfait. T’es outrée. Tu attends que le professeur se tourne, et d’un « Locomotor barda. » chuchoté, tu le fais valser de quelques centimètres lui et son stupide bureau faisant tomber toutes ses affaires ; provoquant bruits et rires en même temps. Professeur qui se retourne, énervé, évidemment. « Dehors Muller ! » Ah, voilà. Tout redevient normal, dans l’ordre. Lui dehors, toi en cours. Tu passes les dernières trente minutes à rattraper ton retard, ta petite vengeance te requinquant, te redonnant motivation et énergie. Sonnerie qui retentit dans les couloirs. Les cours se terminent, mais toi, tu restes encore dans la salle pour continuer à bosser ; si bien que tu ne l’entendes pas arriver.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mar 23 Oct 2018 - 21:44
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Quelques regards échangés entre deux étudiants, rien d’extraordinaire, sauf que le prof de défense contre les forces du mal est bien trop rôdé à ton manège, le même grincement de dents depuis dix ans de l’enseignant irrité par ta désinvolture et ton manque d’implication. Cette fois, c’est différent, ce n'est pas de la drague, tu ne fais pas le fanfaron pour épater une jolie demoiselle, non ; tu échanges des regards, des grimaces, discussion muette avec l’exception à ta règle. Il fallait que vous partagiez un cours, ce n’est pas bon pour ta moyenne, du tout ça, mais pour ton morale, par contre… Vos regards se croisent une nouvelle fois, l’unique, pour vous servir réponds-tu avec un clin d’œil à destination de ta belle. Regard sur la droite, tu croises celui de ton cousin et vous pouffez de rire ensemble. Griffonnage sur ton parchemin, tes notes sont brouillons, promesses de travail au domicile, mais ce n’est pas grave, il faudra simplement qu’elle t’en laisse le temps, son regard n’est pas annonciateur de bonnes nouvelles. T’es certains qu’elle va t’en faire voir de toutes les couleurs la mexicaine, et le pire, c’est que tu sembles aimer ça, t’en redemande foutu maso. Petite boutade, elle te demande si elle rayonne, tu lui réponds qu’elle ressemble à une ampoule, ça te fait rire, mais ça n’a pas le même effet sur la jeune femme dont les lèvres se courbent pour former un joli ovale , t’es tellement belle quand t’es offusquée. Pensées qui se traduisent par un sourire satisfait alors que ton regard lui retrouve la couleur dorée du parchemin. WOW. T’es affaires volent, tandis que ta grande carcasse se déplace. Instinctivement, tu tournes le regard vers elle, amusé et frustré à la fois, elle te ridiculise devant toute une classe, mais le pire est à venir ; DEHORS MULLER. Quoi? Liés comme les doigts de la mains, deux voix s’élèvent en chœur, les cousins Muller jouent les imbéciles Lequel ? Regard noir du prof, tu ramasses tes affaires, donne une tape sur l’épaule de ton cousin et jette un regard pleins de promesses à Jazmin. T’as intérêt à te faire pardonner. Adossé au mur, tu attends, écoute la fin du cours à travers la porte, jusqu’à ce qu’enfin la fin sonne.
Les minutes s’égrainent, les étudiants sortent un à un, t’échanges quelques sourires et regards amusés, le prof sort sans t’adresser le moindre signe, oups. Impossible de rater la brune et pourtant, elle n’est pas passée devant toi, tu entres, avances vers le bureau d’une Jazmin particulièrement concentrée. Dans un claquement sonore, tes mains s’abattent de part et d’autre de sa table, elle lève le regard et tu souris , à la fois moqueur et redoutable. Bien joué mademoiselle Trejo, grâce à votre manipulation redoutable je me suis lamentablement affiché face à tout mes fans. Oui, ce n’est pas la modestie qui t’étouffe, c’est bien connu. Arrête de bosser, on a fini pour aujourd’hui, ça sonne comme un ordre, t’es l’alpha, tu obéis à tes propres règles et tu attends des autres qu’ils fassent de même. T’es pas con, tu sais qu’elle ne va pas te faciliter la tâche, tu sais qu’elle va même tout faire pour te faire tourner en bourrique, elle te mène pas le bout du nez cette petite.
Les minutes s’égrainent, les étudiants sortent un à un, t’échanges quelques sourires et regards amusés, le prof sort sans t’adresser le moindre signe, oups. Impossible de rater la brune et pourtant, elle n’est pas passée devant toi, tu entres, avances vers le bureau d’une Jazmin particulièrement concentrée. Dans un claquement sonore, tes mains s’abattent de part et d’autre de sa table, elle lève le regard et tu souris , à la fois moqueur et redoutable. Bien joué mademoiselle Trejo, grâce à votre manipulation redoutable je me suis lamentablement affiché face à tout mes fans. Oui, ce n’est pas la modestie qui t’étouffe, c’est bien connu. Arrête de bosser, on a fini pour aujourd’hui, ça sonne comme un ordre, t’es l’alpha, tu obéis à tes propres règles et tu attends des autres qu’ils fassent de même. T’es pas con, tu sais qu’elle ne va pas te faciliter la tâche, tu sais qu’elle va même tout faire pour te faire tourner en bourrique, elle te mène pas le bout du nez cette petite.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mer 24 Oct 2018 - 12:48
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Sur ce parchemin, ta plume forme des lettres parfaites, écriture soignée pour une élève modèle ; image qui pourtant se tare à cause de ce sourire satisfait placardé sur ton joli visage. Tu n'es pas concentrée, tu ne l'es pas du tout en fait. Inutile de persister. Voyageur, ton esprit divague et vagabonde, se perd entre les lignes bien droite que tu dessines à l'encre noire ; te rappelant ainsi avec amusement ce qui s'est passé à l'instant, quelques minutes auparavant. Petits jeux d'enfant qui t'amuse depuis un moment ; tu te rends compte que les parties se succèdent, et ne te lasses jamais. Sans doute plus amusée par l'adversaire que le jeu en lui-même. Cet homme est pleins de promesses, comme le regard qu'il t'a lancé en sortant. Tu sais qu'il y aura une suite, il y en a toujours avec lui. Rancune tenace. T'es prise d'une excitation que tes yeux ne cache pas ; joueuse effrénée. T'es impatiente. Vite, que le soleil se couche que tu puisses le rejoindre à son appartement. T'as encore envie de jouer, gamine. Sauf que son tour, tu ne le vois pas venir. Tu ne t'y attendais pas. L'esprit perdu, Sasha te ramène dans cette salle de cours dans un bruit sourd. Les mains placardées sur ta table, tu lèves les yeux observant ainsi un sourire goguenard sur son visage. Communicatif, tu lui souris à ton tour, amusée à l'entente de sa semi-plainte. Pauvre beau gosse, ton image en a pris un coup ?
« Nulle inquiétude, une ballade torse nu avec un sourire ravageur dans les couloirs, et tout sera vite oublié après quelques culottes mouillées. » Tu ne fais aucun effort pour le dissimuler, ce petit rire moqueur qui se propage entre les murs de la salle de cours. Tu aimes vos échanges, vos boutades, et vos moqueries à moitié voilées. Tu as un sens de la répartie que tu aiguises sans cesse avec lui. Peste, tu veux le rendre chèvre. Ça t'amuse, et il te le rend bien. Toujours. À croire que les petits pains apprécient eux aussi, ça gigote là-dedans ; de vrais athlètes. Tu poses ta plume, croisant les bras faussement agacée en lui disant « Non, je suis loin d'avoir fini. Un troll m'a mise en retard, mais heureusement d'un coup de baguette, je l'ai foutu dehors. » Tu le taquines, les yeux rieurs qui toutefois te trahissent. Il peut la voir cette lueur curieuse dans ton regard ? Tu ne contiens plus ton impatience. Ce phénomène bipède est bien plus intéressant que tes cours, tu le sais, et tu sais qu'il le sait. Parce qu'il a ce pouvoir Sasha, celui d'attirer ton attention. C'est énervant, n'est-ce pas ? Tu fais fit, mais ne dupe personne ; surtout pas lui. Tu te rapproches ; un peu trop près, cédant à ce magnétisme. Lui offrant alors la possibilité de sentir ton souffle glisser contre sa peau, et de voir cette chemise qu'il doit bien connaître vu que c'est la sienne. Trop grande, mais que t'ajustes d'un nœud. Tu chapardes dans son armoire quand tes habits propres se font rares. Manque de place oblige. « Mais si tu as quelque chose de plus intéressant que les trolls, je t'écoute. » Attentivement. T'es joueuse, aventureuse, tes deux croissants charnus esquissant un sourire sournois.
« Nulle inquiétude, une ballade torse nu avec un sourire ravageur dans les couloirs, et tout sera vite oublié après quelques culottes mouillées. » Tu ne fais aucun effort pour le dissimuler, ce petit rire moqueur qui se propage entre les murs de la salle de cours. Tu aimes vos échanges, vos boutades, et vos moqueries à moitié voilées. Tu as un sens de la répartie que tu aiguises sans cesse avec lui. Peste, tu veux le rendre chèvre. Ça t'amuse, et il te le rend bien. Toujours. À croire que les petits pains apprécient eux aussi, ça gigote là-dedans ; de vrais athlètes. Tu poses ta plume, croisant les bras faussement agacée en lui disant « Non, je suis loin d'avoir fini. Un troll m'a mise en retard, mais heureusement d'un coup de baguette, je l'ai foutu dehors. » Tu le taquines, les yeux rieurs qui toutefois te trahissent. Il peut la voir cette lueur curieuse dans ton regard ? Tu ne contiens plus ton impatience. Ce phénomène bipède est bien plus intéressant que tes cours, tu le sais, et tu sais qu'il le sait. Parce qu'il a ce pouvoir Sasha, celui d'attirer ton attention. C'est énervant, n'est-ce pas ? Tu fais fit, mais ne dupe personne ; surtout pas lui. Tu te rapproches ; un peu trop près, cédant à ce magnétisme. Lui offrant alors la possibilité de sentir ton souffle glisser contre sa peau, et de voir cette chemise qu'il doit bien connaître vu que c'est la sienne. Trop grande, mais que t'ajustes d'un nœud. Tu chapardes dans son armoire quand tes habits propres se font rares. Manque de place oblige. « Mais si tu as quelque chose de plus intéressant que les trolls, je t'écoute. » Attentivement. T'es joueuse, aventureuse, tes deux croissants charnus esquissant un sourire sournois.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Jeu 25 Oct 2018 - 9:28
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Ego blessé, frustration enfantine, tu veux jouer et on te retire ton jouet favoris, c'est pô juste. Tu comptes bien avoir ta revanche, aujourd’hui ou demain, ce soir ou un autre, mais elle sait la jolie que tu n'en resteras pas là. C'est le jeu, le vôtre, depuis le premier soir et ce ne sont pas deux clandestins qui changent ça à ton plus grand bonheur. Elle se pavane, rire moqueur que tu aimes entendre, tu soupires presque agacé tout en levant le regard vers le plafond, puis tu souris à nouveau, passe la langue sur cette lèvre inférieure qui ne peut que subir ce mouvement à longueur de journée, quand tu es tour à tour joueur ou séducteur, t'as raison, je devrais peut-être y aller maintenant le bout de tes doigts glissent lentement le long de la boutonnière de ta chemise. Tu n'en feras rien, parce que quelques jours plus tôt tu lui as promis d'être à elle tant qu'elle sera à toi, t'es un homme de parole. Elle commence à le découvrir. C'est tout pour aujourd’hui, tu veux rentrer avec elle, parce que tu as envie de t'amuser, parce que depuis quelque temps t'es beaucoup mieux chez toi qu'ailleurs, depuis qu'elle squatte tes pièces et tes chemises. Vos regards se jaugent, comme toujours, c'est à celui qui fera céder l'autre, elle prend cet air agacé, voulant se rendre impressionnante en croisant les bras au-dessus de ce ventre qui prend de plus en plus de place. Tu dois faire un effort pour tenir ton sérieux, visage impassible, tu l'écoutes se pavaner, elle est fière de son coup la p'tite conne. Toujours appuyé sur sa table, elle se redresse, approche, son souffle caressant ta joue, tu avales ta salive un peu difficilement, réprime un sourire et entre dans son espace. Du bout du nez, tu caresses sa joue, tes lèvres glissant à quelques centimètres de son oreille, j'ai toujours plus intéressant sans crier gare, une main vient frôler sa nuque et dans une sourire tu enchaînes j'ai touuuuut un assortiment de gâteaux qui t'attends, mais ... Peut-être que je les mangerai avant toi si tu préfères rester ... tu as pu remarqué avec le temps qu'elle était gourmande la belle, gourmandise amplifiée depuis quelques semaines, envies parfois étranges dictée par deux petits pains qu'elle dit. Tu t'éloignes, mais pas trop, vos regards se captent à nouveau, le tien glisse alors sur elle, ta main suit le mouvement frôlant sa gorge, dessinant ce décolleté bien plus fourni, satanés gosses, je pensais aussi que les gâteaux ne seraient pas les seuls gourmandises de la soirée, mais ... si tu as mieux à faire sourire mutin au coin des lèvres, tu l'observes un instant avant de venir lui voler un baiser. elle te va bien mieux qu'à moi dis-tu en te redressant.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Ven 26 Oct 2018 - 23:46
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Une lueur de défi brille dans le regard que tu lui adresses, 'vas-y, fais-le' qu'il dit ; bien qu'au fond tu n'en penses pas un mot. T'as toujours été possessive, tu le sais, mais tu n'as jamais osé l'être avec lui ; le loup solitaire. Comme quoi, ne jamais dire jamais. Ce qu'il a en dessous de sa chemise est désormais à toi ; autant que ce qu'il y a en dessous de la tienne est à lui. Accord plus explicite que tacite, une première entre vous, établi après plusieurs cris, et quelques larmes aussi. Le vent se laisse doucement entravé, lui qui ne s'attarde pourtant jamais. Et ça lui convient, ça te convient. Concept toujours un peu étrange certes, mais dans lequel tu trouves ton compte. Tu finis par sourire. Il fanfaronne, tu fais ta petite conne. T'as du retard à rattrapé à cause de lui, soit disant ; pourtant, tu te laisses convaincre facilement. Du moins, tu l'invites de façon claire à te soudoyer. Et il sait s'y prendre, comme à chaque fois. Il a la maîtrise évidemment, mais commence à te connaître aussi. Il t'imite en s'approchant, mange les derniers centimètres qui vous sépare ; et du bout du nez te caresse le visage. J'ai toujours plus intéressant ; un chuchotement équivoque, un appel à la débauche. Tu ne peux réprimer un frisson qui se propage de façon électrique, quand une de ses mains se glisse par 'mégarde' sur ta nuque. « Tu n'oserais pas. » Manger mes gâteaux. Si ? Oui, t'es possessive aussi avec les friandises, tu serais même d'humeur à arracher des yeux pour avoir ta part. La faute aux petits pains. Faut toujours un deux coupable, pas vrai ? Eux, sont tous trouvés. Sasha s'éloigne. Déjà ? Tu habites squattes presque chez lui, pourtant t'en as jamais assez de sa présence. Tu veux plus, tout le temps. Faim insatiable, il contient – ou entretien plutôt ? - cet appétit en baladant ses doigts jusqu'à ce décolleté qui grossit à vu d’œil autant que ton ventre. Et il ne s'arrête pas là, évidemment. Continuant sur sa lancée avec des mots ampli de promesses. Ce n'est pas que ta curiosité qu'il titille là. « Les pauses c'est important, et je peux en prendre une maintenant. » Tu t'en mords la lèvres, imaginant déjà ce que vous pourriez faire entre les murs de son appartement. C'est que t'es imaginative, surtout quand il s'agit de ça. Pensées lubriques qui s'éparpillent avec délice dans ton ventre dans un baiser volé que t'essaie de rallonger. Il t'adresse un compliment. T'es flattée qu'il ait remarqué, bien que ce n'était pas le but recherché ; mais t'aimes savoir qu'il te regarde toujours malgré ce ventre déjà trop gros. « Dommage, parce que tu vas me l'enlever. » Chemise, et tout ce qui suit. D'un coup de baguette tu ranges rapidement tes affaires dans ton petit sac que tu as doté d'un sortilège d'extension indétectable, et tu te lèves. T'es pressée, impatiente. Tu veux rentrer. Maintenant. T'évites toujours de transplaner vu ta 'condition' mais là, tu ne te sens pas capable de faire le chemin. Tu cherches ta broche, une pensée pour ce salon où tu aimes flâner, et tu disparais avec ton Ethelred de la salle de cours.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Dim 28 Oct 2018 - 19:45
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Cette lueur dans son regard, sans équivoque, joueuse, elle te défie, mais sait aussi que tu ne mettras pas tes paroles à exécutions. Cette promesse faite étant bien trop importante à tes yeux. T'es engagé dans une aventure dont tu ignores tout, pauvre fou, t'as plongé dans le vide pour ses beaux yeux et deux brioches, tu as fait pour elle plus de concessions que pour n'importe qui d'autre sur cette terre et ça ne fait que commencer. Il est inutile de faire semblant, tu as changé, même si tu restes le même petit con ridiculement impulsif, tu trouves avec elle un équilibre, une balance, malgré qu'elle te pousse à bout et qu'elle t’énerve par moment souvent, pour le première fois depuis longtemps, tu es bien. Menace ultime, tu ne te gênerais pas pour manger ses précieux gâteaux dont elle ignorait la présence, petite lettre aux cuisines du manoir et Sky s'est fait un bonheur de ramener la moitié des vivres de la demeure principale chez toi. Tu veux parier ? Je garderais la dernière bouchée pour ton arrivée... Le pire, c'est que tu es capable de le faire, dévorer la dernière bouchée sous son nez, juste parce que la frustration t'amuse, tu joues avec elle, du bout des doigts caresse cette peau dorée qui n'a plus aucun secret pour toi avant de te redresser. Elle craque. Sourire de vainqueur sur les lèvres, le défi dans le regard ; toujours. Ah oui ? Elle range ses affaires, après avoir attiré toute ton attention, tu m'intéresses là. Inutile de jouer au plus con, c'est pas son ventre qui t'empêche de la désirer avec toujours autant de passion, c'est juste plus compliqué, mais ça rend le jeu plus agréable encore, l'innovation, les surprises les coups de pieds surprenants au moment où tu t'y attends le moins, il ne fait aucun doute que les petits pains auront été habitué au sport durant leur évolution, en espérant qu'ils ne seront pas aussi dépravés que leurs parents.
De la salle de classe austère, tu arrives en bonne compagnie dans ton salon, de plus en plus envahi par des choses qui ne sont pas les tiennes, mais que tu prends plaisir à rangerpour l'instant. Jazmin à quelques pas, tu attrapes sa taille et l'attires à toi, ta main libre glissant sous le tissu de la chemise. Alors, on commence par quoi ? La chemise ou la bouffe. Un odeur de viande grillée te parvient, suivie de celle d'un gratin de légumes, ça y est, entre la mexicaine et l'odeur de nourriture, t'es affamé. Deux faims différentes, l'une plus insatiable que l'autre. C'est cette faim qui te fait poser les affaires de la brune sur la commode de l'entrée, tes doigts glissant le long de la boutonnière pour libérer, bouton après bouton, le buste de la jolie, finalement, j'ai très faim, tes lèvres se posent sur sa clavicule, avant de remonter jusqu'à sa nuque.
De la salle de classe austère, tu arrives en bonne compagnie dans ton salon, de plus en plus envahi par des choses qui ne sont pas les tiennes, mais que tu prends plaisir à ranger
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mar 30 Oct 2018 - 9:02
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Tu cèdes. Rien d'étonnant quand il s'agit de lui, la finalité étant toujours la même à chacune de vos rencontres plus aussi hasardeuses qu'avant. Tu joues, et tu succombes dans les bras du bel Apollon. Souvent. La résistance quasi-inexistante. Pourtant, le goût de la défaite n'est pas présent dans ta bouche. Tu ne te sens pas perdante, loin delà, mais conquérante. Tu t'inclines pour mieux envahir ; tant l'esprit que le corps. Tu m'intéresses là. Évidemment. Après la promesse d'une chemise enlevée, quel fou ne le serait pas ? Tu sais éveiller l'intérêt de la gente masculine, petite diablesse. Des mots toujours bien choisi, ampli de promesse que l'Ethelred sait toujours vrais. Ou presque. T'aimes aussi entretenir le flou, l'insécurité ; tu le sais, rien ni personne n'est acquis. Tant lui que toi. Tu fais donc semblant, feint que t'as mieux à faire ; mais ton petit manège ne dure qu'un temps. Qui y croit de toute façon ? Quelques échanges fugaces, et la tension est à son comble. T'imagines déjà assez aisément ce qui va se passer dans son appartement, logement que vous rejoignez en transplanant parce que visiblement tu n'es pas patiente. Tu ne t'attendais pas, par contre, à sentir toutes ces bonnes odeurs. Viande grillée et gratin de légumes dit ton petit nez. Alléchant. Ton ventre en est déjà ravi, et ta poitrine se réchauffe à l'idée que ce soit lui qui ait demandé tout ça ; mais ce n'est pas cette faim que tu veux sustenter dans l'immédiat. Il y a plus urgent là. Il y a cette appétence violente et insatiable qui te brûle le ventre. Chemise ou bouffe ? L'indécision de Sasha te fait sourire, car il n'hésite pas longtemps. Il t'attire vers lui, glisse ses mains froides sous ta chemise. Tu frissonnes à cause de la différence de température mais pas que ; elles sont magiques ses mains. Tu es une femme de parole ; elles viennent déboutonner cette chemise comme tu lui as promis, dévoilant ainsi une poitrine déjà saccadé par une respiration accélérée. « Par chance, je commence à bien connaître tes goûts. » Lui aussi, apparemment. Ses lèvres s'attardent sur ton cou, une zone sensible, si érogène chez toi. Tu t'en mords la lèvre après lui avoir laissé entendre un petit soupir de plaisir, ne perdant pas pour autant ton objectif. Tes mains se baladent également sur lui, tâtonnant chaque muscle de ce corps qui a de moins en moins de secrets pour toi. Tes doigts font céder avec lenteur bouton par bouton, pour que sa chemise finisse sa course sur le sol du salon. Tu l'admires, tu le dévores du regard. T'es en terrain conquis, et ça te plaît. T'es vraiment beau que lui disent tes yeux. Tu viens t'accrocher à lui, ton ventre commençant à devenir une gêne ; mais dans l'immédiat tu t'en fous. Tes lèvres emprisonnent les siennes, les scellant d'un baiser sauvage, fougueux à l'image parfaite de cette faim incontrôlable. « Déshabille-moi. » Ça sonne comme un ordre, bien que tu succombes, tu n'en perds pas pour autant cette envie de jouer.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mar 30 Oct 2018 - 16:47
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Elle joue, tout comme toi, impossible de savoir lequel de vous cède le premier, mais la finalité est toujours la même, au fond il n'y a pas de perdant. Pas encore. Jamais. Sans même avoir le temps de réaliser tu te retrouves chez toi, tu l'aguiches, des caresses subtiles du bout des doigts, des lèvres, tu connais ses faiblesses et les exploites sans vergognes; délicieux dessert que voilà. Ses mains imitent les tiennes, déboutonnent ta chemise et la laisse glisser sur le sol qu'est-ce qu'il doit en avoir marre de se ramasser vos fringues sur le nez, déshabille-moi, elle commande et tu obéis. T'es docile quand tu veux, avec elle, la chemise empruntée rejoint celle de son propriétaire au sol, le marquage de son soutient-gorge te tire un sourire quand tu dégrafes ce-dernier, c'est bien serré tout ça dis-tu avec une certaine malice dans le regard, mais également une envie non dissimulée. Le bout de lingerie va rejoindre la chemise tandis que du bout des lèvres tu t'amuses à titiller cette poitrine devenue bien plus sensible, c'est très amusant, surtout quand tu pinces très légèrement le bout entre tes dents avec un sourire de petit con fier sur le visage. Tes mains glissent sur ses fesses avant de détacher ce pantalon un peu étriqué, à genoux face à elle, tu embrasses sa hanche, ce ventre qui grossit chaque jour, tout en faisant glisser le tissus sur ses jambes dans une caresse. Amusé, tu tiens ta vengeance, lentement, dispersant les baisers et les caresses, tu remontes jusqu'à ses lèvres que tu embrasses dans un sourire. T'as pas été sage aujourd'hui... Sourcil arqué, tu la défies du regard, je vais pas me gêner. Tu es déshabillée, on va manger? Ça t'amuse réellement, même si t'es probablement autant, si pas plus, frustré qu'elle. Une petite claque sur ses jolies fesses rebondies tu t'éclipses à la cuisine, ne lui laissant que le temps de réaliser que, oui tu la laisses mariner, et que oui, c'est ta vengeance pour t'avoir fait sortir du cours. P'tit con.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mer 31 Oct 2018 - 13:15
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D'une sommation sensuelle, le beau brun s'exécute. Tu l'aimes docile autant que revêche, en rien difficile quand c'est lui ; deux pièces d'un seul et même puzzle. Vous vous adaptez tous les deux, créant homogénéité et symbiose parfaite. D'abord la promise immaculée qui rejoint vite sa comparse sur le parquet, il continue de te dénuder en s'attaquant à cette lingerie qui oui, te compresse plus qu'elle ne te maintiens visiblement. Si ça l'amuse, toi t'es un peu gênée ; la pénombre voilant avec délicatesse la rougeur de tes joues. Au moins un qui aime les changements de ton corps, bien qu'au fond, t'apprécies le voir presque émerveillé quand il constate les bouleversements physiques que tu subi à cause de vos brioches. « Tu sais quoi m'offrir la prochaine fois. » Tu saisis toujours les bonnes occasions, rendant les situations qui te sont gênantes, profitables en toutes circonstances. Sourire et regard ampli de malice qui s'amenuise à mesure que l'Ethelred s'attarde sur ta poitrine ; il joue, s'amuse. Titille et mords. Tu t'accroches à la commode, le corps naturellement cambré, l'appelant à faire davantage, plus que ce qu'il ne fait déjà. T'es envieuse, avide. Tu ne caches pas du tout ce désir que t'as pour lui. Il s'arrête néanmoins, continuant sa quête. Tu lui as donné une mission après tout, qu'il tient à mener à bien en glissant ses mains sur tes fesses. À genoux, il te libère de cet horrible pantalon de grossesse, embrassant quelques bouts de peau qui brûle au passage de ses lèvres. 'Donne moi en plus' tu veux lui sommer, mais d'un baiser il t'en empêche.
T'as pas été sage aujourd'hui ... Tu le connais. Tu le connais assez pour savoir que derrière ses mots se cachent un coup fourré. Un frisson te parcourt l'échine, un frisson qui n'a rien de plaisant cette fois-ci. 'Non, pas ça' que tes yeux disent. Ta tête fait presque non elle aussi. Il ne peut pas te faire ça, pas maintenant. Et bien si. Vous qui n'avez pas besoin de mots. Tu le vois dans son regard ; le défi, la provocation. La vengeance. Le fameux 'je ne vais pas me gêner' qu'on trouve dans tous les kits du parfait petit con. « Tu es déshabillée, on va manger ? » Tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même gamine, t'aurais dû le voir venir. N'étais-tu pas excitée il y a quelques minutes à peine, à l'idée de recevoir sa punition ? Une petite claque sur tes fesses te réveille. T'es outrée, mais tu ne montres rien. Tu ne veux pas lui laisser cette satisfaction de voir le dépit dans tes pupilles, de toute manière il s’éclipse vite dans la cuisine. Vas-y fuis pendant qu'il est temps ! Tu te mords la lèvre, te remettant doucement de tes émotions. Frustrée et débitée, tu n'en es pas moins bonne joueuse. Tu ramasses une des chemises que tu enfiles sans la boutonner, et tu prends ton téléphone en main. Tes doigts embrassent frénétiquement l'écran, fomentant le dessein de tes représailles ; un 'simple' petit message. Un message équivoque ne laissant place à aucune imagination, un message tout en poésie lui expliquant par a+b ce qu'il aurait pu te faire, mais surtout ce que toi tu lui aurais fait. T'as toujours eu les mots pour parler de ce genre de choses. Envoyé. Tu le rejoins dans la cuisine où tu le retrouves attablé. Tu fais de même, prenant place en face de lui ; la chemise sur tes épaules laissant autant de place à la rêverie que tonsexto message. Tu sais que sa poche à vibrée. Tu attends qu'il l'ouvre, le lise ; et d'un « Bon appétit ... » tu enfourches ta part de gratin. « C'est très bon. »
T'as pas été sage aujourd'hui ... Tu le connais. Tu le connais assez pour savoir que derrière ses mots se cachent un coup fourré. Un frisson te parcourt l'échine, un frisson qui n'a rien de plaisant cette fois-ci. 'Non, pas ça' que tes yeux disent. Ta tête fait presque non elle aussi. Il ne peut pas te faire ça, pas maintenant. Et bien si. Vous qui n'avez pas besoin de mots. Tu le vois dans son regard ; le défi, la provocation. La vengeance. Le fameux 'je ne vais pas me gêner' qu'on trouve dans tous les kits du parfait petit con. « Tu es déshabillée, on va manger ? » Tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même gamine, t'aurais dû le voir venir. N'étais-tu pas excitée il y a quelques minutes à peine, à l'idée de recevoir sa punition ? Une petite claque sur tes fesses te réveille. T'es outrée, mais tu ne montres rien. Tu ne veux pas lui laisser cette satisfaction de voir le dépit dans tes pupilles, de toute manière il s’éclipse vite dans la cuisine. Vas-y fuis pendant qu'il est temps ! Tu te mords la lèvre, te remettant doucement de tes émotions. Frustrée et débitée, tu n'en es pas moins bonne joueuse. Tu ramasses une des chemises que tu enfiles sans la boutonner, et tu prends ton téléphone en main. Tes doigts embrassent frénétiquement l'écran, fomentant le dessein de tes représailles ; un 'simple' petit message. Un message équivoque ne laissant place à aucune imagination, un message tout en poésie lui expliquant par a+b ce qu'il aurait pu te faire, mais surtout ce que toi tu lui aurais fait. T'as toujours eu les mots pour parler de ce genre de choses. Envoyé. Tu le rejoins dans la cuisine où tu le retrouves attablé. Tu fais de même, prenant place en face de lui ; la chemise sur tes épaules laissant autant de place à la rêverie que ton
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mer 31 Oct 2018 - 19:57
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C'est très bon, petite garce. Tu poses les yeux sur cet écran qui vient de vibrer dans ta poche, hausse un sourcil et remet l'appareil à sa place. Tu ne laisses rien paraitre, mais putain tu râles. T'es pas le seul à jouer, elle manie aussi bien, si pas mieux, les règles que toi. Elle se joue de tes attitudes fières et souvent revêches, ce soir, c'est en dégustant ce gratin certes très bon, mais qui te parait cependant un peu fade à présent. T'as voulu jouer Muller, faut assumer. Tu te doutais qu'elle ne se laisserait pas faire, c'est ce qui te plait, autant que ce qui t'énerve. Tu gardes le silence, avales la viande délicieusement baisée, braisée ! Concentre-toi bordel ! sans quitter la brune une seule seconde du regard. Impossible de masquer ces petits rictus qui se tapent l'incruste au coin de tes lèvres lorsqu'une pensée plutôt salace traverse ton esprit, c'est pas compliqué pour toi d'imaginer la suite, si suite il y à, parce que t'es créatif en la matière, mais que ce soir tu as l'impression que tu vas devoir redoubler d'effort pour avoir ce que tu veux, sans lui donner la satisfaction d'une victoire. Bonne chance ! C'est vrai que c'est bon, tu rajoutes de l'huile, ta langue venant humidifier la lèvre inférieure, tu la bouffes du regard. Si ton estomac est bientôt rempli, c'est pas le cas de cette coupe que tu ne cesses de remplir, l'appelle de la luxure, toujours.
Depuis qu'elle s'invite chez toi, t'as le frigo remplit avec plus que deux bièraubeurre et trois saucissons, tu t'étends pour prendre de quoi boire et, après avoir déposer une boisson devant la brune, tu portes lentement la bouteille que tu viens d'ouvrir à tes lèvres sans quitter son regard, mais avec un sourire moqueur fièrement affiché, faut que tu arrêtes de jouer, tu vas vraiment te casser la gueule un jour. Elle prend son temps pour terminer son assiette, une fois que c'est chose faite, tu te lèves et d'un coup de baguette tu laisses la magie faire la vaisselle. Tu ouvres une porte, puis une seconde comme si tu cherchais quelque chose, mais en réalité tu veux juste te rapprocher de la jolie sans qu'elle ne le remarque, une fois dans son dos, tes lèvres trouvent à nouveau sa nuque, son cou, et glissent jusqu'à son oreille, c'est pas sympa ce genre de message miss Trejo, tu souris dans son dos, qu'est-ce que je vais faire de toi ? Question. Promesse tacite de représaillestendres, tu es joueur, si tes lèvres taquinent sa nuque, tes mains glissent sur ses cuisses, caresses légères qui laissent rapidement place à quelque chose de plus puissant, de plus brute. Y'a du dessert prévu..., d'un geste une farandole de petits gateaux apparaissent, crème au beurre ou fouettée, fruités ou chocolatés, macarons, biscuits, c'est pas le choix qui manque, il y en a pour une armée. Main tendue, tu saisis un cupcake avec une crème à la pistache, pas ta préférée, mais pas mauvaise, du bout de l'index tu prends un peu de crème que tu étales sur la gorge de la mexicaine avant de venir la lécher du bout de la langue, oui, c'est très bon...
Depuis qu'elle s'invite chez toi, t'as le frigo remplit avec plus que deux bièraubeurre et trois saucissons, tu t'étends pour prendre de quoi boire et, après avoir déposer une boisson devant la brune, tu portes lentement la bouteille que tu viens d'ouvrir à tes lèvres sans quitter son regard, mais avec un sourire moqueur fièrement affiché, faut que tu arrêtes de jouer, tu vas vraiment te casser la gueule un jour. Elle prend son temps pour terminer son assiette, une fois que c'est chose faite, tu te lèves et d'un coup de baguette tu laisses la magie faire la vaisselle. Tu ouvres une porte, puis une seconde comme si tu cherchais quelque chose, mais en réalité tu veux juste te rapprocher de la jolie sans qu'elle ne le remarque, une fois dans son dos, tes lèvres trouvent à nouveau sa nuque, son cou, et glissent jusqu'à son oreille, c'est pas sympa ce genre de message miss Trejo, tu souris dans son dos, qu'est-ce que je vais faire de toi ? Question. Promesse tacite de représailles
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Ven 2 Nov 2018 - 21:41
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Il l'a lu ; ce petit mot personnalisé signé d'une Mexicaine frustrée joueuse. Des mots choisi avec l'émotion du moment, doux mélange d'une frustration, et d'un désir non dissimulé. Tu le regardes, tu ne perds pas une miette de sa réaction après chaque tournure de phrase, chaque point de suspension de ton message. Et s'il ne montre rien, toi tu le sais. Tu sais qu'il bout de l'intérieur, tu entendrais presque son juron de là où tu es ; ce qui fait apparaître ce sourire sur tes lèvres, un sourire narquois et provocateur qui lui dit 'prend ça'. T'es habile dans ce jeu qui depuis le premier jour vous n'avez toujours pas fini ; tu aguiches ses traits que tu as vite cernés dans sa personnalité fleuri. Sa curiosité, sa fierté et son désir aussi. Des caractéristiques qu'il met toujours en avant quand il joue justement. Parce que l'adversaire se doit d'être de taille (sans mauvais jeu de mots) ; toujours. C'est essentiel pour que tu t'amuses n'est-ce pas gamine ? Duel incessant, voilé d'un 'simple' repas. Tu dégustes avec appétit ton assiette, sans pour autant le quitter des yeux. Ce qu'il fait lui aussi. L'un comme l'autre avait peur de perdre, même cette bataille du regard. À celui qui cédera le premier alors. Il prend l'initiative des boissons. Une bièraubeure pour lui, et … un jus multi-vitaminé pour toi. Tu en tires presque la tronche ; tu donnerais cher pour avoir un bon cru français là maintenant, mais tu ne montres rien toi non plus. Tu fais déjà des sacrifices pour ces petits, c'est ce que tu te dis, jurant que dans dix-huit ans ils vont payer pour te consoler. Tu le laisses vaquer ; erreur. Il faut toujours faire attention à ses arrières. Tu te fais avoir comme une bleue là ; par des lèvres tentatrices. Des félonnes qui se posent de nouveau sur ton cou. Si tu étouffes un soupire, tu n'arrives pas à dissimuler ce petit soubresaut qui longe tout ton dos. Comme un petit chat. « J'aurais juré le contraire pourtant. » Énième provocation, tu attises le feu ; chaque fait et geste étant une allumette. Petite pyromane. Néanmoins, tu fais moins la maligne, bien que rien ne transparaisse sur ton visage. Il pose ses mains sur tes cuisses, caresses qui se dissolvent sur tes volutes féminines, et qui disparaissent de manière tout aussi 'subtile'. D'un geste des mets promettant un diabète de type 2 s'invitent sur la table. Des pâtisseries et des gâteaux qui ne te laissent pas indifférentes tes petites brioches. Oui ce sont elles les coupables. Mais tu n'as pas le temps de goûter, c'est lui qui te goûte ; étalant de la crème sur cette zone si sensible chez toi. Il veut te faire craquer. Il veut que tu lui montres, et que tu lui dises que t'as envie de lui. Vous êtes pareils. De quelque matière que soient faites vos âmes, les vôtres se ressemblent. « Tu es plus affamé que moi ce soir ... » Tu te retournes, tu ne veux pas qu'il ait l’ascendant trop longtemps. Pratiquement nue, ta chemise ne laisse place à presque aucune rêverie ; offrant au sorcier une jolie vue sur certaines parties de ton corps. Tu croises, et recroises les jambes. Clin d’œil à un certain film. Tu lui prends une de ses mains, glissant ses doigts sur ton cou puis entre les courbes de ta poitrine ; passant sur ton ventre. « Je suis repu. » Ah oui ? Le voyage s'arrête net, après avoir passé la frontière du nombril tu le relâches.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Lun 5 Nov 2018 - 9:29
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Elle ne prête pas attention à tes déplacements, elle te laisse le bénéfice du doute, presque innocemment, quelle idée. Lorsque tes lèvres frôlent cette nuque si sensible, tu la vois, tu la sens, frissonner. T'es fier, pas vrai ? T'aimes avoir continuellement cet effet sur elle, savoir la surprendre, attiser son désir, la frustrer pour mieux la
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mar 6 Nov 2018 - 22:41
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Faux-semblant dissimulé par une déception aussi artificielle que théâtrale. Il le sait aussi bien que toi, mais le bluff façonne le jeu, nourrit l'intérêt. Tu n'es pas repu évidemment ; t'es affamée de ses lèvres tentatrices qui se posent sur toi, et tu as cette envie perpétuellement inassouvi de ses mains qui effleure volutes et bout de peau ; d'un corps que tu lui offres maintenant de manière exclusive. T'auras pu lui glisser sensuellement à l'oreille, lui faire part de cette concupiscence omniprésente dans l'attente qu'il t'amène au lit, tu l'aurais sans doute fait d'ailleurs dans un de tes trop rares bons jours ; mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer ? Non, aujourd'hui, t'es d'humeur joueuse, tu veux te faire désirer, tu veux que ce soit lui qui quémande pour donner le change. Chacun son tour. Qu'il saisit en s'approchant de nouveau, il s'agenouille face à toi le géant ; glissant ses doigts sous ton menton pour te guider dans une danse langoureuse. Tu te laisses entraîner, tu goûtes, mordilles. Alors que son autre main s'engage dans la conquête d'une cuisse, qu'il longe pour se fixer dans la zone de l'aine ; il libère tes lèvres, s'attardant sur ton cou. Nouveau frisson qui devient beaucoup trop habituel en sa compagnie. Il glisse sur tes épaules ta chemise, ou plutôt la sienne, sans pour autant l'ôter complètement. Lit-il dans tes pensées ? Vague de caresses sur cette arabesque féminine, tu sens le désir monter peu à peu, à mesure qu'il te touche. De ses lèvres, de ses mains. Tu vas devenir folle ; littéralement. T'as toujours apprécié qu'il prenne un soin tout particulier à te montrer tendresse et affection avant de te dévorer. Néanmoins, il s'arrête poussant la frustration jusqu'au bout ; allant jusqu'à poser son menton sur ce ventre déjà trop gros. C'est avec Godzilla qu'il veut faire affaire, c'est ça ? T'as pas le temps de t'offusquer ni de sortir les griffes ; et si tu ramenais le reste de tes affaires ? Ses mots te percutent, te heurtent de plein fouet ; pas de manière douloureuse ou gênante, mais en bien. Tu ne sais pas pourquoi, tu ne sais pas l'expliquer ; mais l'idée de vivre avec lui de manière officielle te ravit. Peut-être parce que t'apprécies vraiment cette vie à deux, que tu te surprends à t'y accommoder plus que bien ? Refusant de t'embrouiller l'esprit avec des mièvreries dégoulinantes de sentiments, ton esprit reste toutefois pragmatique. Toujours. T'es pas une rêveuse, une autre cartouche pour protéger de toute futilité. Vivre avec lui serait beaucoup plus simple au quotidien, pas vrai ? Oui, voilà. Ça va t’éviter les aller-retours incessants par manque d'affaire. « Plus pratique, hein ? » Tu temporises, si bien que t'en as oublié de lui répondre, se sentant donc obliger de rajouter que t'as aucune obligation. Tu souris, espiègle dans l'âme, toi on ne t'oblige pas ; jamais. Sale gamine. Puis ici, tu ne veux pas parler d'obligation ou de devoir, pas avec lui, mais d'envie et de désir sincère. Plus que les devoirs, plus que tout le reste, c'est ce que vous voulez qui t'importe vraiment. Tu le regardes, tu joues sur sa patience, bien que dans tes yeux noisette, il peut y lire la réponse qu'il attend. « D'accord, mais je veux les tiroirs du haut. » Parce que Godzilla a de plus en plus de mal à se baisser. T'acceptes les yeux rieurs sans la moindre hésitation, te jetant dans une aventure qui t'es inconnue, mais t'es comme ça, tu fonces tête baissé par l'impulsivité du moment. Parce que t'as envie d'être là, ici, avec lui. Tes doigts se mêlent à ses cheveux, scellant cet accord d'un baiser que tu ne lui as encore jamais donné. À la fois tendre et séditieux. Doux et passionné. Le genre de baiser qu'on ne donne pas à un simple amant. Il ne l'est plus. « Aussi affamé l'un que l'autre, tu ne dormiras plus beaucoup à partir de maintenant. » Et tu ne parles pas des bébés à venir, tu te mords la lèvre. « Cómeme. » Tu lui murmures, lui mordillant l'oreille.
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Jeu 8 Nov 2018 - 10:39
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Si elle pouvait te tuer d'un regard, là, tu serais probablement mort et d'une mort lente et douloureuse en plus. Elle n'apprécie pas que tu arrêtes ta progression vers un plaisir certain et cette promesse de jeu tant attendu, tant pis. Tu te laisses emporter par le moment et lui proposes de venir vivre avec toi sous couvert de c'est plus pratique parce qu'une partie de toi n'assume pas totalement ce cap et que si elle refuse, t'auras l'air moins con, surtout. Cette évolution pourrait te faire peur, mais ce n'est pas le cas. En s'installant chez toi, elle n'est plus seulement une femme, les questions vont commencer, mais tu t'en fous. Tu veux juste qu'elle soit la première chose que tu vois en ouvrant les yeux le matin, tu veux pouvoir l'embêter comme tu sais si bien le faire, tu veux qu'elle s'endorme dans tes bras tous les soirs. Tu ne veux plus avoir à te demander où elle se trouve
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mar 13 Nov 2018 - 9:21
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On négociera ça, je te fais confiance pour me convaincre. Tes lèvres s'étirent dans un sourire. Plus chez lui que chez toi ces derniers temps, il t'est aisé d'imaginer ce que pourrait être la vie à deux. Tu en as même une idée bien distincte, entre les jeux enfantins et les brouilles en dessous des draps, les repas prit ensemble tout en s'amusant, ou les disputes pour le prochain film moldu à regarder. Tu aimes ce que t'offres ce mot qui auparavant était si étranger à ton langage, 'ensemble' ; ironique n'est-ce pas ? Toi, t'as toujours été cet oiseau solitaire, et te voilà à construire branche après branche, un petit nid ; le tien, le vôtre. Des enfants à venir, une famille qui se profile. L'inconnu te fait peur, mais ici, t'es rassurée. C'est lui. Il n'y a pas que ce magnétisme incompréhensible que tu ressens en le regardant, il y a aussi cette confiance ; nulle au départ, mais qui grandit chaque jour qui passe, au fur et à mesure que tu découvres les éclats de cette complexe personnalité. Tu sais pourtant ce qu'il en coûte de faire confiance à autrui, jusque-là tu l'as toujours éviter pour te protéger, mais cette fois-ci tu veux prendre le risque. Ce que tu construis avec Sasha est important, tant, que les concessions et sacrifices tu veux bien les prendre. Parce que c'est lui. Encore et toujours. L'exception, la contradiction de toutes tes croyances. Une certitude ; cet homme est né pour contrarier tes plans, saccager ton mode de vie et tes habitudes certes douteuses, mais plus simples. Chacun posant une pierre à cet édifice dont vous ne connaissez pas les plans, mais que le monde verra. Car le secret se meurt doucement tout comme le hasard, laissant naître quelque chose de plus officielle, de plus vraie. « Rien n'est inutile ici. » évocation de ce corps que tu lui offres, de ce moment intime que vous partagez de nouveau, mais qui tarde à avancer. Tu sais qu'il aime autant que toi se faire désirer le petit con ; ça t'amuse plus que ça ne t'agace au final. Néanmoins d'un 'mange-moi' impatient, tu lui fixes un départ, l'invite à te caresser la peau d'une autre manière qu'avec son regard racoleur. Ce qu'il fait. D'un mouvement brusque il immobilise tes bras et tes mains avec la chemise, la traîtresse ; t'ordonnant presque silencieusement de te lever dos à lui. Tu ne te sens aucunement bousculée jolie fleur, non, tu te sens chavirer. T'as toujours aimé qu'on te malmène un peu, flirtant sans cesse avec la douce sauvagerie. T'aimes ça aussi chez lui, d'être à la fois tendre comme les nuages, et féroce comme l'orage. Tu te laisses emporter, n'opposant aucune résistance au géant. Tu n'en as plus la force, et surtout, tu n'en as pas envie. Tu veux connaître la fin, les aboutissants de cet érotisme. Une main qui entrave les tiennes, tandis que l'autre, aventurière, explore bout de peau et volute. Peut-il sentir cette odeur subtile de jasmin ? Dans tes cheveux et sur ta peau.
Ton corps se cambre naturellement sous les douces tortures, un frisson plus violent encore te parcourant l'échine en sentant ses lèvres dans ton cou, mais ce n'est rien comparé à la suite. Il joue avec l'élastique de ta culotte, et tu te fais violence pour ne pas te débattre. « Sasha ... » Donne-moi plus. Une supplication qu'il réussit à te soutirer, tu te mords la lèvre pour ne pas en dire plus. Sans le regarder tu sais qu'il sourit, tu le connais. Petit con. Il se décideenfin à arrêter la 'punition', te donnant ce que tu veux vraiment. Il te mord le cou, sa main qui outrepasse la limite, au-dessous de ta petite culotte. Il se montre cajoleur, expert, pouvoir qui te fait quelque peu gémir ; qui te rend fébrile aussi. Et il te relâche, d'un geste, tu te retrouves face à lui. Il n'aurait pas dû te relâcher parce que c'est « mon tour maintenant. ». et tu comptes bien le torturer comme il vient de le faire. Il te dévore du regard, tu fais de même ; tu ne caches pas du tout cette envie de lui, tout ton corps l'exprime. Dans tes yeux, dans ta respiration, jusqu'à l'humidité entre tes jambes. Tu viens l'embrasser, violentes et affamée. Lèvres qui descendent dans son cou, que tu mords toi aussi ; tu parsèmes son corps de tes baisers, te dirigeant doucement vers le sud. Tes mains s'attardent peut-être un peu trop longtemps sur les monts saillants de cette montagne entretenu par le sport ; et tu finis accroupi devant lui. Face à un pantalon que t'aimes d'ordinaire moulant à la perfection ses fesses, mais qui te gêne dans l'immédiat, tu viens lui déboutonner. Tu le baisses prenant avec toi son boxer tout aussi inutile à ce que tu t'apprêtes à faire. Tu le regardes, une lueur amusée dans les yeux. « Tu préfères dormir ou faire ça ? » Tu n'attends pas de réponse, du moins, pas tout de suite. Tes mains se saisissent doucement de sa virilité, que ta langue vient ensuite titiller de manière faussement timide. À l'évidence toi-aussi tu sais te faire désirer, jouer avec les nerfs. « Alors ? » Tu ne le fais plus patienter.
Ton corps se cambre naturellement sous les douces tortures, un frisson plus violent encore te parcourant l'échine en sentant ses lèvres dans ton cou, mais ce n'est rien comparé à la suite. Il joue avec l'élastique de ta culotte, et tu te fais violence pour ne pas te débattre. « Sasha ... » Donne-moi plus. Une supplication qu'il réussit à te soutirer, tu te mords la lèvre pour ne pas en dire plus. Sans le regarder tu sais qu'il sourit, tu le connais. Petit con. Il se décide
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Dim 25 Nov 2018 - 19:13
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En effet, rien n'est inutile. Surtout pas elle. Encore moins en ce moment. La belle empoisonneuse est joueuse, tu t'élèves à son niveau au fil des jours, jugeant au moment ce qu'il est opportun ou non de faire, dire. Là, tu joues un autre jeu, tu te positionnes dans son dos, prends le contrôle de ses sensations. Tu fais durer le
Elle frissonne la jolie fleur, tu souris en embrassant son épaule, petit con satisfait, t'en es pas moins émoustillé, tu te fais violence pour continuer de la faire languir. Tu touches au but quand ton prénom s'échappe d'entre ses lèvres, tu continues ta tendre torture quelques instant encore avant d'enfin laisser place à son
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Re: (!) shazmin || daddy issues.
Jeu 29 Nov 2018 - 16:45
daddy issues The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you. |
Donner et recevoir. Règle immuable pour atteindre un plaisir partagé ; un jeu que tu maîtrises bien, mais dont tu peaufines encore la technique avec lui aujourd'hui. Un vrai défi, à la fois gourmand et plaisant ; poussée par cette envie dévorante de lui faire perdre la raison. Par faim, par plaisir surtout. Qu'il en oublie son nom, tu veux le rendre dingue, annihilant tout discernement ; et tu le tiens. Entre tes lèvres, et dans tes mains. Tu es à genoux devant lui, petite fleur prête à être cueilli. Néanmoins d'une certaine manière, cette sensation de « pouvoir » que tu as est bien présente, ascendance que tu manipules toutefois avec tendresse. Ça t’exalte tout ça ; lui, vous, ce jeu sans fin. Qu'il t'en réclame davantage, tel est ton dessein, et t'es prête à tout pour l'atteindre sauf que ... 'J'ai même mieux à proposer.' Un sourire se dessine sur tes lèvres, t'es en cet instant cette gosse à qui on cède monde et caprice. Pupilles dilatées comme une véritable droguée, tu le regardes de la manière la plus explicite qui soit. 'Fait-le, donne' décrit le marron de tes yeux. Tu te relèves, et il t'embrasse. Baiser sauvage, qui en rien ne te malmène, mais te fait chavirer plutôt ; car il t'informe d'une chose : cette envie de toi. T'es de ces filles, celles qui aiment qu'on la désir ; et lui il a le chic pour te le faire ressentir. Il est même très fort, sans doute le meilleur. Tu lui rends bien. « Je n'en attendais pas moins. » Il te porte, tes jambes s'enroulant naturellement à son bassin ; comme les deux pièces d'un même puzzle. T'as cette excitation de savoir où il t'emmène cette fois, le lieu toujours différent selon l'humeur. T'aimes ça aussi, l'imprévisibilité omniprésente entre vous, et t'es persuadée que tes fesses auront marqués tous les meubles de l'appartement avant la naissance des deux marmots. Prévention et sécurité post-naissance n'est-ce pas ? Son choix se porte sur le canapé, sur lequel il te pose ; et il te regarde. C'est celui-là. C'est ce regard que tu convoites, que tu cherches quand vous êtes dans la même pièce ; depuis que tu l'as vu la première fois. En cet instant, tu te sens reine, précieux joyau d'un trésor magnifique et convoité … Tu veux qu'il te regarde encore comme ça longtemps, très longtemps. « Ce regard, il est à moi. » Je le veux. Le ton de ta voix tue le doute ; ta possessivité tu ne la caches même plus. C'est que tu as l'âme impérieuse, gamine. Il s'allonge sur toi, et d'un mouvement de hanche expert il met un terme à ce doux supplice ; tu ne fais enfin plus qu'un avec cet homme. Corps qui s'imbriquent avec une symbiose évidente, tu te surprends pourtant à découvrir ou redécouvrir cette sensation qu'il t'offre à chaque fois que tu te retrouves dans ses bras. Ce n'est pas la première fois que vous entamez cette danse, pourtant, les pas ne sont jamais les mêmes ; réinventant sans cesse cette chorégraphie qui n'a, ni pour l'un ni pour l'autre, plus aucun secret. Alors tu profites. Tu te laisses entraîner par le rythme qu'il impose, chaque mouvement provoquant une série de tsunamis dans ton ventre. Soupirs de plaisir que tu étouffes en l'embrassant, tu le veux plus proche ; alors tes jambes resserrent leur emprise sur ses hanches.
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- InvitéInvité
Re: (!) shazmin || daddy issues.
Mar 4 Déc 2018 - 23:09
daddy issues The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you. |
C’est toujours comme ça, ça l’est depuis le premier soir où tu l’as possédée derrière ce bar, depuis que tu as croisé son regard de feu derrière son bar, c’est un jeu dangereu à l’issue duquel l’un de vous va forcément se brûler. Ce n’est pas d’actualité. Pas ce soir en tout cas. La seule chose qui t’importe, c’est elle, là, maintenant, qu’importe la suite, qu’importe le futur et comment vous allez le construire. Probablement de manière peu conventionnelle, parce que tout ça, toutes ces conneries romantiques avec lesquelles ont vous rabâches les oreilles depuis que vous êtes gosses, c’est pas pour vous. Vous êtes au-dessus de ça, pas vrai? Petite plume
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