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{ L'univers est un immense livre} Evie & Aedan [terminé]
Mer 26 Sep 2018 - 11:53
Evie & Aedan
Je quitte mon lieu de travail, étant en temps-partiel, je ne travail que quelques heures dans la semaine pour arrondir les fins de mois. Les mains dans les poches de mon manteau, j’arpente la rue animée où bon nombre de sorciers vaquent à leurs occupations. Le temps est doux, agréable, il fait humide également, le même temps qu’en Irlande, j’aime énormément l’Ecosse, similaire sur bien des points à mon pays natal. Parfois je repense aux souvenirs d’enfance, nos courses folles avec Niamh sur les plaines, cueillir des fleurs pour maman, se laisser rouler sur l’herbe encore humide par la rosée du matin et arriver au pied de la colline, mouillé et parfois pleins de boue, je souris, oui nous en avons des souvenirs, je me remémore l’odeur du feu de bois sortant de la cheminée, le résonnement des sabots des chevaux sauvages qui claquent sur le sol, on essayaient de les apercevoir sans leur faire peur parfois avec ma jumelle. Il y avait de longue balade dans la forêt avec mon grand-frère également, on marchait sur les feuilles aux couleurs automnales, nous faisait peur en imitant les cris d’animaux…Je souris de nouveau, l’Ecosse me rappelle de nombreux souvenirs heureux et agréable, j’arrive maintenant à ne plus avoir un pincement au cœur lorsque je repense à mes parents. Sans m’en rendre compte, je passe devant la vitrine de ma librairie préférée ainsi que de ma libraire préférée. J’ai toujours aimé la devanture, elle a gardé l’aspect ancien tout en y alliant la modernité qui lui ait propre. Je pousse la porte où un carillon retentit pour faire entendre ma présence. L’odeur de livre, d’encre, de poussière sur les pages, de cuirs et d’un parfum fruité fait danser mon sens de l’odorat que j’ai appris à développer avec les cours de potions et mes recherches. Je me sens bien ici, c’est un des premiers endroits que j’ai visité à mon arrivée et depuis je ne l’ai jamais quitté, disons que c’est un des premiers endroits où je me suis sentie bien en arrivant à Hung. C’est un endroit où on ne peut que se sentir à son aise, un endroit où tu oublies instantanément ce que tu avais prévu de faire, pour tous les amoureux des livres, cette librairie est l’endroit qu’il faut. Je ne peux que sourire en étant ici. Je descends les deux marches qui sont présente dès l’ouverture de la porte d’entrée et accède à la première étagère qui me saute aux yeux, celui des ouvrages anciens, pour certains ce sont des copies, mais l’aspect, le cuir, le dos usé, le nerf presque effacée, un marque page présent mais partie presque en lambeau donne à celui qui découvre un livre, comme s’il était l’original. Un claquement de talon qui résonne sur l’arrière boutique me fait sortir de ma contemplation. Avant elle était une connaissance, dorénavant elle est devenue une amie, une précieuse amie. Une des rares personnes en qui je fais confiance. |
codage par LaxyDunbar
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Re: { L'univers est un immense livre} Evie & Aedan [terminé]
Mer 26 Sep 2018 - 20:27
l'univers est un immense livre
Aidan & Evelyn
« Aimez-vous le passé et rêver d’histoires évocatoires aux contours effacés ? »
Evelyn Blackwood était de ces personnes qui vivaient au jour le jour et c'est un soir après le travail, qu'elle était allée à une soirée, fortement alcoolisée pour la belle libraire. Cependant, ce qu'Evie n'avait pas calculé, était qu'elle devait travailler le lendemain et c'est en se réveillant, plus de deux heures après la sonnerie de son réveil, qu'Evie se rendit compte de l'étendue de sa gueule de bois ainsi que le peu de sommeil qu'elle avait emmagasiné. La brune soupirait douloureusement, son lit se situait dans le salon, côtoyant de peu la cuisine. Son loyer de misère, si peu meublé et peu confortable, lui foutait un peu plus le cafard en sachant que la sorcière avait du mal à le payer. Une grimace étirait les traits fatigués de la sorcière, qui peinait à se lever et encore plus à se préparer, par question de sécurité, la petite femme laissait de côté sa collection d'escarpins pour enfiler une paire de derbies plates et une robe noire à manches longues, autour de son col, un long nœud blanc était accroché. Ensuite, Evie se servit de la magie pour se coiffer et ne portait pas de maquillage, manger était plus important. La brune doutait de voir de la queue devant son commerce mais pourtant, la Blackwood se devait d'y être toute la semaine. Puisque si elle ne bossait pas, la brune ne gagnait pas d'argent et à ce moment, c'était ce qu'il y avait de plus important.
L'avantage de ce logement miteux, était qu'elle vivait à quelques minutes de la librairie. Aujourd'hui n'était pas un jour radieux pour la femme, qui affichait un air fatigué et un mal de crâne incessant, elle savait qu'elle ne cesserait de se plaindre toute la journée. Pourtant, Evelyn recommençait à chaque fois : boire, encore et encore, comme ces lâches qui voulaient oublier, mais qui n'étaient pas conscients que tout revenait et était pire le lendemain. De son côté, Evie le faisait pour une raison inconnue, faisait-elle partie de ces lâches ? Probablement. Mais également pour ne plus se sentir seule le temps d'une soirée et bien que la brune refusait de s'engager, un peu de compagnie, aussi futile soit-elle, ne dérangeait pas la sorcière. Tant qu'il ne s'agissait pas d'un homme collant, d'un fardeau ou de quelqu'un qui l'empêcherait de se sentir libre, la Blackwood en était ravie.
La journée s'était déroulée normalement, bien que chaque geste s'avérait compliqué et douloureux pour la courbaturée Evelyn. Elle se mouvait d'une agilité de personne âgée et grimaçait à chaque fois : sa tête lui faisait un mal affreux. Et, Evie ne connaissait aucun sort pour lutter contre, l'école remontait à longtemps et, la brune doutait qu'ils apprennent un tel sort. Dans la réserve, la petite cloche retentissait et d'une lenteur folle, sa paume appuyée contre le mur, la tornade Blackwood glissait jusqu'à la pièce principale en grimaçant. Elle reconnut son ami et tentait d'afficher un sourire, tandis que ses traits fatigués, essayait de retranscrire quelque chose d'autre que de la souffrance. « Salut. » Lui adressa-t-elle en parvenant jusqu'à un des sièges de la librairie. « Désolée je suis pas au top de ma forme aujourd'hui. »
L'avantage de ce logement miteux, était qu'elle vivait à quelques minutes de la librairie. Aujourd'hui n'était pas un jour radieux pour la femme, qui affichait un air fatigué et un mal de crâne incessant, elle savait qu'elle ne cesserait de se plaindre toute la journée. Pourtant, Evelyn recommençait à chaque fois : boire, encore et encore, comme ces lâches qui voulaient oublier, mais qui n'étaient pas conscients que tout revenait et était pire le lendemain. De son côté, Evie le faisait pour une raison inconnue, faisait-elle partie de ces lâches ? Probablement. Mais également pour ne plus se sentir seule le temps d'une soirée et bien que la brune refusait de s'engager, un peu de compagnie, aussi futile soit-elle, ne dérangeait pas la sorcière. Tant qu'il ne s'agissait pas d'un homme collant, d'un fardeau ou de quelqu'un qui l'empêcherait de se sentir libre, la Blackwood en était ravie.
La journée s'était déroulée normalement, bien que chaque geste s'avérait compliqué et douloureux pour la courbaturée Evelyn. Elle se mouvait d'une agilité de personne âgée et grimaçait à chaque fois : sa tête lui faisait un mal affreux. Et, Evie ne connaissait aucun sort pour lutter contre, l'école remontait à longtemps et, la brune doutait qu'ils apprennent un tel sort. Dans la réserve, la petite cloche retentissait et d'une lenteur folle, sa paume appuyée contre le mur, la tornade Blackwood glissait jusqu'à la pièce principale en grimaçant. Elle reconnut son ami et tentait d'afficher un sourire, tandis que ses traits fatigués, essayait de retranscrire quelque chose d'autre que de la souffrance. « Salut. » Lui adressa-t-elle en parvenant jusqu'à un des sièges de la librairie. « Désolée je suis pas au top de ma forme aujourd'hui. »
(c) DΛNDELION
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Re: { L'univers est un immense livre} Evie & Aedan [terminé]
Jeu 27 Sep 2018 - 15:52
Evie & Aedan
Je range le livre que je venais de prendre du rayon pour regarder mon amie, en effet elle a une petite mine. Je ne sais pas ce qu’elle a fait hier soir et cela ne me regarde en rien, mais il semblerait qu’elle soit rentrée tard. Je m’approche d’elle et d’un geste professionnel, je m’assure qu’elle n’ait aucune fièvre en posant le bout de mes lèvres sur son front, elle a une température normale, je prends doucement son poignet et comptes les battements de son cœur par minute à l’aide de ma montre. Je veux vérifier que son pouls n’est pas trop élever ou encore trop lent. Elle doit avoir l’habitude, ce n’est pas la première fois que je l’ausculte ainsi. Je regarde son visage, elle est pâle, ses yeux sont un peu rouges et de jolies cernes sont formés sur le coin de ses yeux, à part cela, rien d’alarmant pour moi. Je sais qu’elle n’est pas véritablement à l’aise lorsque je fais cela, mais c’est pour son bien, je ne tiens pas à ce qu’elle fasse un malaise. Par son mouvement de sourcils, je distingue une migraine ou en tout cas la devine aisément, j’ai bien entendu quelque chose contre cela, pas une sort ou une potion nouvellement trouvée, mais une recette dites de « grands-mères » que ma mère faisait souvent. - Je peux emprunter ta cuisine ? Je te la rends par la suite. Nous échangeons un sourire, ce n’était pas une blague très drôle mais elle est bien trop fatiguée pour en faire une quelconque remarque. J’entre donc dans l’arrière boutique et arrive à sa cuisine où je me permets d’ouvrir les placards, la mixture que je m’apprête à faire n’est pas très agréable par l’odorat, mais elle est efficace. Bouillir de l’eau, mettre de la gélatine –je dois en avoir un extrait dans ma veste, ça sert toujours pour les préparations de pommade.- . - Tu as de la chance que j’ai toujours sur moi de quoi faire une pommade basique, je regarde juste si tu as de la tisane à la camomille, je devrais me contenter de cela. Je touille la préparation jusqu'à ce que cela forme une pâte consistante et bien transparente, le feu doit rester moyen, pas doux parce que cela ne va pas prendre et pas fort parce que cela pourrait supprimer les vertus, les bienfaits de la pommade. J’ouvre le placard juste au dessus de moi et prends un pot de confiture vide, propre. Je transvase la préparation dedans et doit attendre que cela refroidisse. Elle va encore avoir mal à la tête le restant de la journée. Je reviens vers elle, vers la boutique. - Je t’ai fais une pommade, tu pourras passer sur tes tempes ce soir, ça fait passer les migraines, tu vas voir c’est efficace. Désolée d’avoir pris possession de ta cuisine, j’ai fais un peu comme chez moi… |
codage par LaxyDunbar
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Re: { L'univers est un immense livre} Evie & Aedan [terminé]
Sam 29 Sep 2018 - 8:59
l'univers est un immense livre
Aidan & Evelyn
« Aimez-vous le passé et rêver d’histoires évocatoires aux contours effacés ? »
Les traits tirés qu'affichait Evelyn n'échappaient pas au brun, en même temps, ils n'avaient échappé à personne. Elle était dans un tel état de fatigue et de souffrance que la brune ne pouvait pas agir comme si de rien n'était. La libraire se tenait à chaque mur pour avancer, son mal de dos était également causé par son manque de confort chez elle. Vivre dans une semi-misère n'était pas facile au quotidien et bien qu'Evie était reconnaissante d'avoir un toit, le manque de confort était parfois déstabilisant. Son ami ne perdit pas de temps et se mit à l'ausculter : dès qu'il ne la trouvait pas assez en forme, il agissait ainsi et à force, Evie se moquait de lui. C'était presque incongru comme comportement, il devait juste se rendre compte que la brune avait beaucoup trop bu la veille, ainsi que trop peu dormi. Elle se mit à rire malgré tout. « Oui, je t'en prie. » Elle levait ses bras au-dessus de son visage et s'étirait, la petite cuisine n'était pas des plus fonctionnelles mais très utile lorsque Evie ne rentrait pas chez elle pour manger et pour se concocter des infusions.
Elle attendit quelques minutes le retour d'Aedan, la brune avait l'impression que sa cuisine n'allait pas résister très longtemps en vue de l'odeur qui s'en dégageait. Cela lui provoquait presque la nausée. Lorsqu'il revint, un nouveau rire franchit ses pulpes avant qu'une grimace prenne la relève : son dos ainsi que sa tête lui faisaient un mal de chien. « Défaut professionnel. » Ajoutait la petite femme d'un clin d’œil tout en déposant sa petite paume contre son front. Son regard vitreux glissait sur la pommade fraîchement concoctée par le futur médicomage, elle espérait sincèrement que cela suffirait à calmer sa migraine, pas la faire disparaître, mais simplement l'apaiser. « Tu ne peux pas m'en mettre maintenant ? » Attendre ce soir semblait être insurmontable pour Evie, qui ne cessait de grimacer.
Evelyn tentait de se redresser sur son fauteuil, mais la douleur était trop intense. Elle se sentait presque désolée de se montrer ainsi, pourtant la brune assumait toujours le moindre de ses agissements, aussi tordus soient-ils. « Tu ne connais pas un sortilège ou une recette miracle pour maintenant, sait-on jamais ? » Essayait-elle de négocier avant qu'Evie ne penche son visage en arrière. « Je n'aurai pas du sortir, je sais que je dis cela à chaque fois mais.. » Contradictoire parfois, Evelyn l'était. Ses démons se manifestaient parfois et laissaient la Blackwood, dans un état pitoyable.
Elle attendit quelques minutes le retour d'Aedan, la brune avait l'impression que sa cuisine n'allait pas résister très longtemps en vue de l'odeur qui s'en dégageait. Cela lui provoquait presque la nausée. Lorsqu'il revint, un nouveau rire franchit ses pulpes avant qu'une grimace prenne la relève : son dos ainsi que sa tête lui faisaient un mal de chien. « Défaut professionnel. » Ajoutait la petite femme d'un clin d’œil tout en déposant sa petite paume contre son front. Son regard vitreux glissait sur la pommade fraîchement concoctée par le futur médicomage, elle espérait sincèrement que cela suffirait à calmer sa migraine, pas la faire disparaître, mais simplement l'apaiser. « Tu ne peux pas m'en mettre maintenant ? » Attendre ce soir semblait être insurmontable pour Evie, qui ne cessait de grimacer.
Evelyn tentait de se redresser sur son fauteuil, mais la douleur était trop intense. Elle se sentait presque désolée de se montrer ainsi, pourtant la brune assumait toujours le moindre de ses agissements, aussi tordus soient-ils. « Tu ne connais pas un sortilège ou une recette miracle pour maintenant, sait-on jamais ? » Essayait-elle de négocier avant qu'Evie ne penche son visage en arrière. « Je n'aurai pas du sortir, je sais que je dis cela à chaque fois mais.. » Contradictoire parfois, Evelyn l'était. Ses démons se manifestaient parfois et laissaient la Blackwood, dans un état pitoyable.
(c) DΛNDELION
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Re: { L'univers est un immense livre} Evie & Aedan [terminé]
Jeu 4 Oct 2018 - 12:47
Evie & Aedan
Je la regarde tout en gardant mon sourire à la fois compatissant et amusée. On dit tous ça le lendemain d’une soirée trop arrosée, combien de fois je m’étais promis de ne pas recommencer lorsque j’avais décidé l’année dernière de lâcher prise. Je connais donc ce qu’elle ressent et justement pour avoir concoctée cette pommade un milliard de fois pour mes migraines à répétitions, je sais qu’elle fait effet rapidement. Je sors ma baguette de ma cape et d’un mouvement de poignet, refroidit la préparation pour que je puisse application immédiatement. Je ne connais pas encore plus efficace que cette pommade, il y a probablement un sort, une potion, mais je n’ai pas encore eu cet apprentissage. J’ouvre le bocal, mets sur mon index et mon majeur de mes deux mains et lui demande de dégager son visage pour que je puisse masser ses tempes. Je me positionne derrière elle et lui demande de bien poser sa tête sur le fauteuil pour que je puisse procéder. Elle soupire profondément, je souris, pose mes doigts sur ses tempes et commence à dessiner des cercles doucement sans appuyer, pour que qu’elle s’habitue à mon contact dans un premier temps et pour faire imprégner la pommade dans un second temps. Je lui murmure de se relaxer, se détendre, s’il y a quelqu’un qui arrive, je prendrais le relais, c’est possible qu’elle s’assoupisse un court instant pendant ma relaxation. - Tu peux te relâcher Evie, la pommade va agir rapidement et tu vas probablement t’endormir, je te dis cela par expérience. Je n’arrive pas encore à comprendre quel ingrédient donne cet effet de somnolence, mais sois tranquille, ta boutique est bien gardée avec moi. Je travaille dans une librairie également, c’est un peu le concurrent de mon amie, je suis seul la plupart du temps, mais lorsqu’il manque un ouvrage et que je suis certain qu’il se trouve ici, j’envoie le client chez elle. Pour ma part je préfère que cela fonctionne comme un partenariat. J’appuie un peu plus fort sur les tempes pour que cela agisse pénètre correctement. Je constate déjà que ses sourcils ne forment plus un pli sur son front, cela me fait sourire, c’est que cela commence à arriver, commence à agir. - Si tu es seule et que personne ne peut appliquer sur tes tempes, tu peux le faire seules sans aucun soucis, après si tu as besoin, je suis là, tu le sais, je n’ai plus besoin de te le dire maintenant. D’ailleurs, je lui en parlerais après, mais j’ai peut-être quelques choses pour faire venir plus de personnes ici. Durant une nuit à Ste Mangouste où j’aide bénévolement, j’ai eu a soigner une auteure qui commence à se faire connaître, un livre romantique il me semble, elle s’appelle Louisa Rabonet et elle a acceptée de venir faire une séance de dédicace dans cette petite ville qu’est Inverness. J’ai bien entendu tout de suite pensée à Evie, cela va attirer plus de monde ici, j’ai déjà pensé aux affiches, aux tracs à distribuer, une mise en scène dans la rue pour présenter rapidement le livre aider de quelques sortilège de farce et attrape pour attirer. J’hoche la tête, je lui en parlerais, ce ne sont que des idées, cela ne pourrait pas lui plaire également. A voir donc, parfois je pars un peu loin et trop rapidement dans mes idées. |
codage par LaxyDunbar