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Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mar 25 Déc 2018 - 19:22
Je suis un Ethelred | Scénario d'Irina Nygârden
« L'inspiration vient en embrassant le monde et en se détachant du matériel. »
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MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Les prémices ━ Je vins dans les larmes et les joies, un idylle peut être trop utopique pour se manifester dans une réalité qui traverse les âges… La date n’a pas d’importance. Il n’est pas crucial de savoir quand, mais de savoir que c’est bel et bien arrivé. La vie, n’est-ce pas d’exister ? Et pour exister, un environnement n’est-il pas nécessaire ?
Les bougies ━ Caprice, c’est un nom qu’on aurait autrefois pu me confier… J’étais cet angelot d’aspect trop sage, pourtant bien exigeant. A vrai dire, je ne le regrette pas. Si je n’ai jamais aimé les dates, qui pour moi n’ont aucune valeur, j’aime le partage, l’entraide… Un souvenir marquant ? Cet anniversaire en lequel je suis revenu avec un chien âgé, malade. « C’est mon cadeau. » affirmais-je à mes parents avec un grand sourire. En réalité. Cet anniversaire était pour lui. Il méritait de finir sa vie en de décentes conditions… Tu me manque, mon camarade.
L’échappée ━ Bien que j’ai un mal fou à comprendre ce besoin de ma famille de se tenir loin des moldus, j’avais mon cercle d’amis, avant d’entrer à Drumstrang. Il était courtaud... Les gens me mettaient… Mal à l’aise. Beaucoup de choses me mettent mal à l’aise à vrai dire, aujourd’hui encore. Souvent, lorsque j’esquivais à la surveillance de mon ascendance, nous fuyons, vivre une vie d’enfant, même si notre lieu préféré, c’était ce vieux disquaire dans un coin reclu en ville, qui m’a fait tomber amoureux de la musique.
L’arrachage ━ Un délogement, comme je le ressentais à l’époque, qui était un déménagement, pour être plus proche du collège. Je me suis vite isolé face à la quantité de personnes, et j’ai passé mes premières semaines enfermées dans la solitude. La diplomatie, l’entraide, chez les pré-adolescent est quelque peu… Grégaire. J’ai servis de bouc-émissaire pendant quelques semaines, avant de rencontrer cette personne… Ce professeur de musique, qui m’a fait découvrir les touches d’un piano. Pas celles que j’entendais à travers un disque. Celles que je touchais, effleurait du bout des doigts.
Soleil levant ━ Très vite, je me désintéresse d’une partie de mes cours pour me focaliser sur les seuls qui parviennent à capter mon attention. Musique, astronomie, soins aux créatures magiques. Il semble que j’ai des prédispositions naturelles dans ces domaines, problème, ce sont des domaines éloignés. Et alors que les lunes s’écoulent, que de nouveaux liens se créent, que mon intérêt se porte sur celui d’un individu de mon âge peut être en meilleure santé mentale, par je ne sais quel miracle, je parviens à me hisser jusqu’en dernier année. Peut-être que, sans parvenir à me l’avouer, un certain sentiment, fort, envers une certaine personne me contraignait à rester.
Midi ━ Si la fin d’un effort demeure récompense, quitter Durmstrang un an après elle ne m’enchantait pas. Incapable de savoir comment l’aborder, comment lancer le sujet, le silence fit gré de résignation… « Mon fils, tu dois devenir médicomage pour assurer le blason de ta famille. » Fragilisé par cette certitude de la perdre, je laissais aller cet enfer sur moi, sauvé in extremis par ce professeur de musique que je ne remercierais jamais assez pour avoir fait une lettre de recommandation pour que j’entre en arts du spectacle à l'université à la fin du collège et que je puisse consacrer le temps que je consacrais à la musique, bien que je me cachais de lui dire que c'était aussi pour la retrouver.
Soleil couchant ━ Hungcalf fut pour moi un calvaire. Le retour à la case départ, pour la troisième fois, et sûrement celle de trop. Mon premier semestre fut solitaire. Je n’esquissais mots en gros que pour répondre à ceux qui m’étaient destinés, le clair de mon temps était désigné à mon chat, à la musique et voyager à droite à gauche quand j’avais du temps libre.
Nuit ━ Au courant du deuxième semestre, le tout basculait avec le décès de Gustav, ce chat qui m’accompagnait depuis mes débuts à Durmstrang. La rupture fut brusque, sèche, inattendue. Trois jours d’absences injustifiées, trois jours de silence, trois jours d’isolement. Puis sept pour répartir ces cendres en tous les lieux que nous avions visité ensemble. Un tour du monde bref, un véritable enfer de fatigue, que je lui devais bien. Mon retour était nuancé.
En plus d’être distancier, je devenais froid, voir les gens se pavaner de fourrure et jeter une quantité astronomique de nourriture qui était autrefois du vivant créait une réelle frustration en moi. Ainsi, si les gens se servaient de la vie, pendant quelques mois, je me suis “vengé” sur les gens. Séduction, relations infimes, mais intimes, entre la perte de vue d’Irina et la perte définitive de Gustav, je m’enchaînais, et m’entraînais à une longue, et fastidieuse descente aux enfers.
Minuit ━ Si petit à petit la colère passait à la tristesse et que cette folie de me jouer des gens me passait pour revenir à mon usuel altruisme, la fin de ma première année fut un enfer à passer au vu de mon état qui se ressentait au niveau de ma santé. Par… Je ne sais quel miracle, j’ai été accepté en deuxième année. Pour autant, passer, redoubler, partir, ne m’importait plus vraiment autrement que pour faire plaisir à mes parents.
Ainsi le temps filait et les années prirent un cours plus simple. Revoir Irina avait suscité chez moi une once de quelque chose. Les braises ne sont pas éteintes, mais la flamme, elle, n’existe plus.
La rupture de tout cela, fut… Cet article du Chineur et tout le scandal autour, à l’aurore de ma sixième année, c’était un tout insurmontable. Je voyais gros le retour de karma, et ce qui allait me tomber dessus… Le temps est à l’exil.
Mais peu importe les nuits, le soleil finis chaque jours par revenir ━ Rien. Pas un vêtement, pas de baguette, rien de plus qu’une guitare, un carnet et un stylo bic. Pas un sous, pas une pièce d’identité. Mon voyage avait un sens précis et s’effectuait vers la Russie. Mon objectif était bien évidemment le conservatoire de Moscou. Mais soyons honnête un instant, un petit gars seul, pas très sportif, sans ressources ni défense, ayant toujours été choyé, songez-vous cela pensable ?
Étrangement, oui. Rencontrer des gens, sur les routes, parce que le besoin m’y poussait me permis de renouer des liens avec la vie humaine, la vie sociale notamment… Ce voyage était une forme de renaissance. J’ai côtoyé des routiers, fait des bouts de routes avec des gens du voyage, partagé des repas dans la rue, reçu l’aide de personnes qui venaient en aide au plus démunis alors que je ne l’avais pas même demandé… La vie prenait ainsi son sens à mes yeux.
La matière n’a pas de valeur, et l’absence de matière rends valeureux. C’est du moins ma conclusion.
Enfin, mon voyage a dérivé, beaucoup, et j’oubliais mon but initial tant je devenais en ce désire de rencontrer autrui, de partager. De la musique, de l’art, de l’expérience, des rires, des pleurs, de la nourriture, tout. Je me sentais comme un sac dans lequel on fourre toutes sortes de choses et qui ne semblait jamais être plein.
(...) pour toucher nos visages meurtris par la nuit ━ Enfin, il y a eu… Toi. J’aidais à l’ouvrage dans cette ferme depuis plusieurs jours, quand je les ai vus arriver avec toi. Incapable de marcher droit, en difficulté pour te nourrir seule, une musculature et des os extrêmement fragile, tu pouvais vivre, mais sans une attention toute particulière, ta vie aurait été un enfer… Alors que Sergueï, le type chez qui je logeais, était sur le point de mettre fin à tes souffrances, je l’en ai empêché et décidé de prendre soin de toi.
C’est en étudiant tes séquelles, en passant du temps avec toi que je comprenais dans quel état tu étais et que cela était bien l’oeuvre d’un maléfice ayant probablement ricoché, à moins que tu n’ait été cible d’une expérience cruelle…
Enfin, pris sens pour moi que l’enseignement était quelque chose de précieux. Et si j’avais conscience que la vie est précieuse, je n’avais clairement pas conscience que je pouvais aider la vie à suivre son cours et s’adoucir, du moins jusqu’à toi…
Notre retour fut plus rapide que l’allé. J’avais conscience maintenant du temps que je perdais depuis toutes ces années, mais mon remord était quelque chose de positif. Mes objectifs étaient moins centrés sur moi, ce qui me convenait plus que bien, et ainsi, peut-être qu’une forme de vigueur était née en moi, une motivation.
Notre voyage finissait de m’écrouler de fatigue, proche de l’université, ayant été retrouvé dans un coin de rue et transféré à l’hôpital.
Je sais. C’est étrange de refaire sa vie en étant dans un état d’inconscience, mais maintenant que je suis rentré, j’avais besoin de faire un bilan de tout ce qu’il c’est passé, après tout, je vais bientôt me réveiller. Pourvue que je n’ai pas dormis longtemps, je sais à quel point tu as besoin de moi, Esmée...
Les bougies ━ Caprice, c’est un nom qu’on aurait autrefois pu me confier… J’étais cet angelot d’aspect trop sage, pourtant bien exigeant. A vrai dire, je ne le regrette pas. Si je n’ai jamais aimé les dates, qui pour moi n’ont aucune valeur, j’aime le partage, l’entraide… Un souvenir marquant ? Cet anniversaire en lequel je suis revenu avec un chien âgé, malade. « C’est mon cadeau. » affirmais-je à mes parents avec un grand sourire. En réalité. Cet anniversaire était pour lui. Il méritait de finir sa vie en de décentes conditions… Tu me manque, mon camarade.
L’échappée ━ Bien que j’ai un mal fou à comprendre ce besoin de ma famille de se tenir loin des moldus, j’avais mon cercle d’amis, avant d’entrer à Drumstrang. Il était courtaud... Les gens me mettaient… Mal à l’aise. Beaucoup de choses me mettent mal à l’aise à vrai dire, aujourd’hui encore. Souvent, lorsque j’esquivais à la surveillance de mon ascendance, nous fuyons, vivre une vie d’enfant, même si notre lieu préféré, c’était ce vieux disquaire dans un coin reclu en ville, qui m’a fait tomber amoureux de la musique.
L’arrachage ━ Un délogement, comme je le ressentais à l’époque, qui était un déménagement, pour être plus proche du collège. Je me suis vite isolé face à la quantité de personnes, et j’ai passé mes premières semaines enfermées dans la solitude. La diplomatie, l’entraide, chez les pré-adolescent est quelque peu… Grégaire. J’ai servis de bouc-émissaire pendant quelques semaines, avant de rencontrer cette personne… Ce professeur de musique, qui m’a fait découvrir les touches d’un piano. Pas celles que j’entendais à travers un disque. Celles que je touchais, effleurait du bout des doigts.
Soleil levant ━ Très vite, je me désintéresse d’une partie de mes cours pour me focaliser sur les seuls qui parviennent à capter mon attention. Musique, astronomie, soins aux créatures magiques. Il semble que j’ai des prédispositions naturelles dans ces domaines, problème, ce sont des domaines éloignés. Et alors que les lunes s’écoulent, que de nouveaux liens se créent, que mon intérêt se porte sur celui d’un individu de mon âge peut être en meilleure santé mentale, par je ne sais quel miracle, je parviens à me hisser jusqu’en dernier année. Peut-être que, sans parvenir à me l’avouer, un certain sentiment, fort, envers une certaine personne me contraignait à rester.
Midi ━ Si la fin d’un effort demeure récompense, quitter Durmstrang un an après elle ne m’enchantait pas. Incapable de savoir comment l’aborder, comment lancer le sujet, le silence fit gré de résignation… « Mon fils, tu dois devenir médicomage pour assurer le blason de ta famille. » Fragilisé par cette certitude de la perdre, je laissais aller cet enfer sur moi, sauvé in extremis par ce professeur de musique que je ne remercierais jamais assez pour avoir fait une lettre de recommandation pour que j’entre en arts du spectacle à l'université à la fin du collège et que je puisse consacrer le temps que je consacrais à la musique, bien que je me cachais de lui dire que c'était aussi pour la retrouver.
Soleil couchant ━ Hungcalf fut pour moi un calvaire. Le retour à la case départ, pour la troisième fois, et sûrement celle de trop. Mon premier semestre fut solitaire. Je n’esquissais mots en gros que pour répondre à ceux qui m’étaient destinés, le clair de mon temps était désigné à mon chat, à la musique et voyager à droite à gauche quand j’avais du temps libre.
Nuit ━ Au courant du deuxième semestre, le tout basculait avec le décès de Gustav, ce chat qui m’accompagnait depuis mes débuts à Durmstrang. La rupture fut brusque, sèche, inattendue. Trois jours d’absences injustifiées, trois jours de silence, trois jours d’isolement. Puis sept pour répartir ces cendres en tous les lieux que nous avions visité ensemble. Un tour du monde bref, un véritable enfer de fatigue, que je lui devais bien. Mon retour était nuancé.
En plus d’être distancier, je devenais froid, voir les gens se pavaner de fourrure et jeter une quantité astronomique de nourriture qui était autrefois du vivant créait une réelle frustration en moi. Ainsi, si les gens se servaient de la vie, pendant quelques mois, je me suis “vengé” sur les gens. Séduction, relations infimes, mais intimes, entre la perte de vue d’Irina et la perte définitive de Gustav, je m’enchaînais, et m’entraînais à une longue, et fastidieuse descente aux enfers.
Minuit ━ Si petit à petit la colère passait à la tristesse et que cette folie de me jouer des gens me passait pour revenir à mon usuel altruisme, la fin de ma première année fut un enfer à passer au vu de mon état qui se ressentait au niveau de ma santé. Par… Je ne sais quel miracle, j’ai été accepté en deuxième année. Pour autant, passer, redoubler, partir, ne m’importait plus vraiment autrement que pour faire plaisir à mes parents.
Ainsi le temps filait et les années prirent un cours plus simple. Revoir Irina avait suscité chez moi une once de quelque chose. Les braises ne sont pas éteintes, mais la flamme, elle, n’existe plus.
La rupture de tout cela, fut… Cet article du Chineur et tout le scandal autour, à l’aurore de ma sixième année, c’était un tout insurmontable. Je voyais gros le retour de karma, et ce qui allait me tomber dessus… Le temps est à l’exil.
Mais peu importe les nuits, le soleil finis chaque jours par revenir ━ Rien. Pas un vêtement, pas de baguette, rien de plus qu’une guitare, un carnet et un stylo bic. Pas un sous, pas une pièce d’identité. Mon voyage avait un sens précis et s’effectuait vers la Russie. Mon objectif était bien évidemment le conservatoire de Moscou. Mais soyons honnête un instant, un petit gars seul, pas très sportif, sans ressources ni défense, ayant toujours été choyé, songez-vous cela pensable ?
Étrangement, oui. Rencontrer des gens, sur les routes, parce que le besoin m’y poussait me permis de renouer des liens avec la vie humaine, la vie sociale notamment… Ce voyage était une forme de renaissance. J’ai côtoyé des routiers, fait des bouts de routes avec des gens du voyage, partagé des repas dans la rue, reçu l’aide de personnes qui venaient en aide au plus démunis alors que je ne l’avais pas même demandé… La vie prenait ainsi son sens à mes yeux.
La matière n’a pas de valeur, et l’absence de matière rends valeureux. C’est du moins ma conclusion.
Enfin, mon voyage a dérivé, beaucoup, et j’oubliais mon but initial tant je devenais en ce désire de rencontrer autrui, de partager. De la musique, de l’art, de l’expérience, des rires, des pleurs, de la nourriture, tout. Je me sentais comme un sac dans lequel on fourre toutes sortes de choses et qui ne semblait jamais être plein.
(...) pour toucher nos visages meurtris par la nuit ━ Enfin, il y a eu… Toi. J’aidais à l’ouvrage dans cette ferme depuis plusieurs jours, quand je les ai vus arriver avec toi. Incapable de marcher droit, en difficulté pour te nourrir seule, une musculature et des os extrêmement fragile, tu pouvais vivre, mais sans une attention toute particulière, ta vie aurait été un enfer… Alors que Sergueï, le type chez qui je logeais, était sur le point de mettre fin à tes souffrances, je l’en ai empêché et décidé de prendre soin de toi.
C’est en étudiant tes séquelles, en passant du temps avec toi que je comprenais dans quel état tu étais et que cela était bien l’oeuvre d’un maléfice ayant probablement ricoché, à moins que tu n’ait été cible d’une expérience cruelle…
Enfin, pris sens pour moi que l’enseignement était quelque chose de précieux. Et si j’avais conscience que la vie est précieuse, je n’avais clairement pas conscience que je pouvais aider la vie à suivre son cours et s’adoucir, du moins jusqu’à toi…
Notre retour fut plus rapide que l’allé. J’avais conscience maintenant du temps que je perdais depuis toutes ces années, mais mon remord était quelque chose de positif. Mes objectifs étaient moins centrés sur moi, ce qui me convenait plus que bien, et ainsi, peut-être qu’une forme de vigueur était née en moi, une motivation.
Notre voyage finissait de m’écrouler de fatigue, proche de l’université, ayant été retrouvé dans un coin de rue et transféré à l’hôpital.
Je sais. C’est étrange de refaire sa vie en étant dans un état d’inconscience, mais maintenant que je suis rentré, j’avais besoin de faire un bilan de tout ce qu’il c’est passé, après tout, je vais bientôt me réveiller. Pourvue que je n’ai pas dormis longtemps, je sais à quel point tu as besoin de moi, Esmée...
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>aaron taylor-johnson</b> ━ @"svein haugen"</bottin>
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mar 25 Déc 2018 - 19:56
Re bienvenue chez toi chou
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mar 25 Déc 2018 - 22:31
Un chat.
Bienvenue chez toi !
Bienvenue chez toi !
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mar 25 Déc 2018 - 23:16
Rebienvenue Edsvein
Trop de vide dans cette fiche, je suis curieuse de lire ce que tu vas faire de ce scénario
Trop de vide dans cette fiche, je suis curieuse de lire ce que tu vas faire de ce scénario
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mar 25 Déc 2018 - 23:40
SVEEEEEEIN
Et puis Aaron sérieux
Irina, est une femme très heureuse et chanceuse
J'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec ce bonhomme !
Bon courage pour la suite de ta fichette !
Et rebienvenue à la maison avec cette nouvelle tête, chaton
Et puis Aaron sérieux
Irina, est une femme très heureuse et chanceuse
J'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec ce bonhomme !
Bon courage pour la suite de ta fichette !
Et rebienvenue à la maison avec cette nouvelle tête, chaton
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mer 26 Déc 2018 - 15:02
Trop contente que tu sois là
Amuse-toi bien avec Sveinou
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mer 26 Déc 2018 - 15:54
MON COUSIN Que tu es beau Merci de prendre ce scénario
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Mer 26 Déc 2018 - 21:34
(re) bienvenue parmi-nous et bon courage pour la suite de ta fiche.
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Jeu 27 Déc 2018 - 10:10
Mon Svein
Ta fiche est super, il y a juste un détail qui m'embête un peu
Irina est née en 1992 donc elle a deux ans de plus que Svein, et tu écris que Svein finit Durmstrang et entre à Hungcalf avant elle, alors que ça devrait être l'inverse.
En dehors de ça c'est génial et je valide totalement
Ta fiche est super, il y a juste un détail qui m'embête un peu
Irina est née en 1992 donc elle a deux ans de plus que Svein, et tu écris que Svein finit Durmstrang et entre à Hungcalf avant elle, alors que ça devrait être l'inverse.
En dehors de ça c'est génial et je valide totalement
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Jeu 27 Déc 2018 - 14:49
Merci tout le monde !
Et merci pour la remarque rapide Irina, le détail m'a effectivement échappé, mais il a son importance. J'ai modifié ça.
Contente que la fiche t'ai plu !
Et merci pour la remarque rapide Irina, le détail m'a effectivement échappé, mais il a son importance. J'ai modifié ça.
Contente que la fiche t'ai plu !
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Jeu 27 Déc 2018 - 15:05
ta nouvelle et grande famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer ici pour trouver un partenaire ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
★ T'es paumé ? Tu ne sais pas qui est dans quelle maison ou dans quels cours ? Tu te demandes qui sont les étudiant(e)s qui sont dans la même filière ou la même année que toi ? Tu aimerais savoir si ton voisin est un sang-pur ou un né-moldu ? Bah ne cherche plus ! Pour ça, y'a le : Référentiel de Hungcalf !
Have fun sur Hung !
PS :
Svein, tu es pré-validé !
Une admin passera te mettre la bonne couleur,
mais en attendant tu peux aller te recenser dans les registres, poster ta pensine et ta fiche de liens.
Bienvenue parmi nous !
Une admin passera te mettre la bonne couleur,
mais en attendant tu peux aller te recenser dans les registres, poster ta pensine et ta fiche de liens.
Bienvenue parmi nous !
- InvitéInvité
Re: Toutes les routes mènent à l'immensité.
Ven 28 Déc 2018 - 10:45
Message de Mme Référentiels
Svein, je t'informe que tu es bien référencé ici. Ce référentiel peut être utile pour savoir qui est du même sang que toi, qui vient de quelle école, ou encore qui suit les mêmes cours que toi ! Il est rempli manuellement donc n'hésite pas à me contacter en cas d'oubli, d'erreur ou de modification à faire.
Amuse toi bien sur le forum
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