- InvitéInvité
Go To Nawakland
Lun 14 Jan 2019 - 16:36
Les vacances de noël sont terminées, la reprise des cours à eu lieu. Si comme à ton habitude tu en rates certains volontairement parce que tu as décidé de faire la bringue jusqu'à pas d'heure ou que tu te fais virer pour x raison, il y a un endroit où l'on te retrouve souvent : la salle commune des Ethelred. Tu avais hâte de retrouver Aby afin que vous puissiez vos racontez vos dernières vacances. Sauf que ça fait un moment que tu ne l'a pas vu. Est-ce qu'elle va bien ? Tu commences à te faire des films. T'aurais pas du regarder un film d'horreur, sachant que tu es une vraie flipette quand tu regardes ce genre de films et que tu as tendance à vite les transposer dans la réalité. Et si un taré l'avait kidnappé ? Ça te fout la trouille. Quoi de mieux que de le savoir que d'aller voir directement chez elle à son appartement. Tu fumes ton énième clope, motivée comme jamais à ta mission. Sans demander ton reste tu quitte l'enceinte de l'Université. Tu passes chez toi prendre une bouteille d'un tord boyaux quelconque que tu met dans un sac plastique . Tu veux pas arriver les mains vides. Dans le meilleur des cas, vous trinquerez ensemble. Dans le pire, c'est à dire si elle bien séquestrer par un taré, tu pourras foutre un coup de bouteille sur la gueule du psychopathe. Et ensuite picoler. Tu arrives à destination. Tu es devant la porte. Avec ta délicatesse Sterienne légendaire tu te met à la tambouriner comme une dingo.
- TOC TOC TOC TOC TOC TOC TOC ! C'EST MOI ! OUVRE !
Si elle ne le fais pas, il y a des chances pour que ses voisins t'es entendu. C'est au moment qu'une petite vieille te regarde comme si tu étais une extraterrestre. Quoique ya pas beaucoup de différence. Que la porte qui aurait pu tomber à force que tu la martèle comme une frapadingue s'ouvre enfin. Ouf ! C'est Aby qui l'ouvre et pas un mec avec un couteau de boucher dans les poches. Tu lui sautes dans les bras pour lui faire un maxi câlin.
- Bordel tu m'as tellement manqué ! J'te jure , j'ai flippé sévère.
Tu rentres chez elle en mode incruste. Tu sors la bouteille du sac et la tend à ton amie.
- J'allais pas arriver les mains vides héhé.
- TOC TOC TOC TOC TOC TOC TOC ! C'EST MOI ! OUVRE !
Si elle ne le fais pas, il y a des chances pour que ses voisins t'es entendu. C'est au moment qu'une petite vieille te regarde comme si tu étais une extraterrestre. Quoique ya pas beaucoup de différence. Que la porte qui aurait pu tomber à force que tu la martèle comme une frapadingue s'ouvre enfin. Ouf ! C'est Aby qui l'ouvre et pas un mec avec un couteau de boucher dans les poches. Tu lui sautes dans les bras pour lui faire un maxi câlin.
- Bordel tu m'as tellement manqué ! J'te jure , j'ai flippé sévère.
Tu rentres chez elle en mode incruste. Tu sors la bouteille du sac et la tend à ton amie.
- J'allais pas arriver les mains vides héhé.
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Re: Go To Nawakland
Lun 14 Jan 2019 - 17:52
Nom de dieu de putain de bordel de merde de saloperie de connard d'enculé de ta mère. Qui est-ce qui pouvait bien frapper à ma porte de cette manière ? La discrétion et les gens des fois, ça faisait vraiment zéro. Il y avait intérêt que ce ne soit pas un témoin de Jéhovah sinon il allait m'entendre, je pouvais hurler plus fort qu'il ne martyrisait ma pauvre porte. C'est en me précipitant vers celle-ci, le cœur battant à cause de la surprise, que je reconnaissais enfin la voix en question. Mon battant s'interrompit alors un instant, de joie. Depuis combien de temps ne nous étions pas vues ? D'aussi lui que je me souvenais, c'était à Halloween. C'est tout sourire que je lui ouvrais alors, mais qu'elle ne fut pas ma deuxième surprise lorsqu'elle me sautait dans les bras.
Sterenn n'avait pas changé, et de cela au moins j'étais rassurée. Même si tout nous opposait, nous étions devenues amies et plutôt proches toutes les deux. J'appréciais son franc parlé, et elle avait des expériences qui me manquaient cruellement, et inversement pour moi dans son cas.
Après le court instant d'émotion, je réussissais à rassembler mes esprits pour la prendre à mon tour dans mes bras en une accolade parfaitement amicale.
- Purée tu m'as manqué aussi ! Mais pourquoi t'as eu peur ? Il n'y avait pas de raison
Je la laissais entrer chez moi sans m'offusquer qu'elle puisse ainsi s'incruster. Elle était comme ça ma consœur grise, et je l'appréciais telle quelle. En réalité, elle était un peu le miroir qui reflétait mon reflet lorsque j'étais sous ma véritable apparence. En feu, joyeuse, fêtarde. Mais tout ça était la plupart du temps camouflé derrière ma timidité et ma politesse. Cependant, les braises restaient chaudes et n'attendaient qu'à être soufflées pour s'embraser à nouveau.
Laissant un rire m'échapper en voyant la bouteille qu'elle me tendait, je l'attrapais pour aller la poser dans ma cuisine.
- Ah mais fallait pas. On va se l'ouvrir à l'occasion. Fais comme chez toi.
Je savais que je n'avais pas spécialement besoin de préciser ce dernier point à Sterenn, mais je le faisais quand même. George, sur son perchoir à côté du canapé au salon, fixa l'Ethelred d'un œil mauvais. Évidemment, elle l'avait tiré de sa sieste diurne.
Sur la table basse entre le dit canapé et la télévision se trouvaient divers ouvrages sur mes cours de défense contre les forces du mal. Comme à mon habitude, je planchais sur des sujets que nous n'avions pas encore vus, pour être certaines de ne pas avoir de retard puisque la plupart du temps je révisais seule. À côté des livres trônaient deux flacons que j'avais rapportés de l'université. Il y avait eu une distribution de boisson de la part de certains élèves en potion aux effets apparemment vivifiant. D'ordinaire je ne prenais pas ce genre de chose mais j'étais dans un bon jour de serviabilité.
- Tu as passé de bonnes fêtes ?
Lui désignant l'une des bouteilles du menton, je rajoutais.
- J'ai ramené ça de l'université. Si tu veux m'aider à les descendre. Ils en distribuaient, pour les études des élèves en potion, un truc du genre.
Sterenn n'avait pas changé, et de cela au moins j'étais rassurée. Même si tout nous opposait, nous étions devenues amies et plutôt proches toutes les deux. J'appréciais son franc parlé, et elle avait des expériences qui me manquaient cruellement, et inversement pour moi dans son cas.
Après le court instant d'émotion, je réussissais à rassembler mes esprits pour la prendre à mon tour dans mes bras en une accolade parfaitement amicale.
- Purée tu m'as manqué aussi ! Mais pourquoi t'as eu peur ? Il n'y avait pas de raison
Je la laissais entrer chez moi sans m'offusquer qu'elle puisse ainsi s'incruster. Elle était comme ça ma consœur grise, et je l'appréciais telle quelle. En réalité, elle était un peu le miroir qui reflétait mon reflet lorsque j'étais sous ma véritable apparence. En feu, joyeuse, fêtarde. Mais tout ça était la plupart du temps camouflé derrière ma timidité et ma politesse. Cependant, les braises restaient chaudes et n'attendaient qu'à être soufflées pour s'embraser à nouveau.
Laissant un rire m'échapper en voyant la bouteille qu'elle me tendait, je l'attrapais pour aller la poser dans ma cuisine.
- Ah mais fallait pas. On va se l'ouvrir à l'occasion. Fais comme chez toi.
Je savais que je n'avais pas spécialement besoin de préciser ce dernier point à Sterenn, mais je le faisais quand même. George, sur son perchoir à côté du canapé au salon, fixa l'Ethelred d'un œil mauvais. Évidemment, elle l'avait tiré de sa sieste diurne.
Sur la table basse entre le dit canapé et la télévision se trouvaient divers ouvrages sur mes cours de défense contre les forces du mal. Comme à mon habitude, je planchais sur des sujets que nous n'avions pas encore vus, pour être certaines de ne pas avoir de retard puisque la plupart du temps je révisais seule. À côté des livres trônaient deux flacons que j'avais rapportés de l'université. Il y avait eu une distribution de boisson de la part de certains élèves en potion aux effets apparemment vivifiant. D'ordinaire je ne prenais pas ce genre de chose mais j'étais dans un bon jour de serviabilité.
- Tu as passé de bonnes fêtes ?
Lui désignant l'une des bouteilles du menton, je rajoutais.
- J'ai ramené ça de l'université. Si tu veux m'aider à les descendre. Ils en distribuaient, pour les études des élèves en potion, un truc du genre.
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Re: Go To Nawakland
Lun 28 Jan 2019 - 17:40
Selon Aby, il n'y avait aucune raison pour que tu t'inquiètes. Ouai, c'est vrai. Sauf que tu as regardé tout récemment un film d'horreur et qu'à chaque fois que tu en regardes, tu prends peur pour rien.
- Bha en fait on s'est maté un film d'horreur avec des potes. J'ai voulu faire genre que ça me faisait rien, que j'étais pas une trouillarde, alors j'ai pas allumé la lumière.
Tout ça par soucis de préserver ta carapace de dure à cuire. Tu poursuis le fil de ton récit.
- Je te jure à plusieurs reprises j'ai failli me pisser d'ssu. C'était un truc horrible avec des jeunes qui s'font kidnapper et couic !
Tu en as encore des sueurs froides, rien que d'en parler. Pour avoir passer la soirée d'Halloween ensemble, ton amie sait que ce genre de film ce n'est pas pour toi.
- Et comme je te voyais plus, j'ai eu la trouille qu'il te sois arrivé un sale truc. Ya de ces tarés qui rôdent.
Tu enlèves tes chaussures. Aby t'a dis de faire comme chez toi. Par chance tu n'as pas mis les chaussures qui te font puer des pieds. Ta coupine te demande si tu as passé de bonnes fêtes, tu lui répond alors en te roulant une clope pour plus tard :
- Ça avait bien commencé et c'est parti en couille.
Tu laisses le suspens pendant quelques secondes. Le temps de finir de rouler et de mettre ta clope derrière l'oreille. Tu avoues la terrible vérité à ton amie.
- Karl est mort...
Karl, qui a été compagnon pendant des années. Que tu sois en solo ou en couple, il a toujours été là pour te faire du bien. Il t'a toujours satisfaite. À Noël, il a rendu l'âme dans ta main. Il va falloir que tu prenne un autre Karl. Tu ne vas pas rester longtemps sans sextoy.
- Et toi ça s'est bien passé les fêtes bichette ?
Aby te montre des bouteilles. Des fioles que des élèves en potions distribuaient un peu partout. Tu ne sais pas du tout ce qu'il y a dedans. Il te vient alors une idée stupide. C'est à dire de génie selon toi.
- On pourrait faire un cocktail sympa en mélangeant les potions et la gnôle que j'ai apporté et voir ce que ça donne. Chiche ?
- Bha en fait on s'est maté un film d'horreur avec des potes. J'ai voulu faire genre que ça me faisait rien, que j'étais pas une trouillarde, alors j'ai pas allumé la lumière.
Tout ça par soucis de préserver ta carapace de dure à cuire. Tu poursuis le fil de ton récit.
- Je te jure à plusieurs reprises j'ai failli me pisser d'ssu. C'était un truc horrible avec des jeunes qui s'font kidnapper et couic !
Tu en as encore des sueurs froides, rien que d'en parler. Pour avoir passer la soirée d'Halloween ensemble, ton amie sait que ce genre de film ce n'est pas pour toi.
- Et comme je te voyais plus, j'ai eu la trouille qu'il te sois arrivé un sale truc. Ya de ces tarés qui rôdent.
Tu enlèves tes chaussures. Aby t'a dis de faire comme chez toi. Par chance tu n'as pas mis les chaussures qui te font puer des pieds. Ta coupine te demande si tu as passé de bonnes fêtes, tu lui répond alors en te roulant une clope pour plus tard :
- Ça avait bien commencé et c'est parti en couille.
Tu laisses le suspens pendant quelques secondes. Le temps de finir de rouler et de mettre ta clope derrière l'oreille. Tu avoues la terrible vérité à ton amie.
- Karl est mort...
Karl, qui a été compagnon pendant des années. Que tu sois en solo ou en couple, il a toujours été là pour te faire du bien. Il t'a toujours satisfaite. À Noël, il a rendu l'âme dans ta main. Il va falloir que tu prenne un autre Karl. Tu ne vas pas rester longtemps sans sextoy.
- Et toi ça s'est bien passé les fêtes bichette ?
Aby te montre des bouteilles. Des fioles que des élèves en potions distribuaient un peu partout. Tu ne sais pas du tout ce qu'il y a dedans. Il te vient alors une idée stupide. C'est à dire de génie selon toi.
- On pourrait faire un cocktail sympa en mélangeant les potions et la gnôle que j'ai apporté et voir ce que ça donne. Chiche ?
- InvitéInvité
Re: Go To Nawakland
Lun 28 Jan 2019 - 19:32
Je ne peux m’empêcher de pouffer de rire en entendant les histoires de Sterenn. En connaissance de son secret, c’est-à-dire que c’était un cœur tendre derrière ses allures de brutes, je ne pouvais que comprendre et l’imaginer flipper sa race devant ce film d’horreur. Retenant mon hilarité, elle pouvait toutefois la voir à mes yeux rieurs et au grand sourire qui barrait mes lèvres. Elle m’avait manqué ma consœur Ethelred, vraiment. Cette bonne humeur, j’en avais besoin, même si chaque jour qui passait je me sentais toujours un peu mieux. Mon avenir semblait beau, et malgré les obstacles qui pouvaient se présenter, j’avais confiance.
- Ho désolée, je vais me mettre un rappel sur mon téléphone, comme ça je te donnerai régulièrement des nouvelles
Évidemment, je me moquais d’elle, toutefois son attention me touchait profondément. Il était rare que mes proches paniquent à ce point lors de mes absences prolongées. Ceux qui n’arrivaient pas à s’y faire étaient mes parents, surtout à cause de mes expéditions en dragonologie, mais même Aileas s’était habituée. Après tout, tout le monde savait que j’étais prudente, même si la seule fois où je ne l’avais pas été avait failli me tuer.
Pourtant, je perdais mon magnifique sourire dès qu’elle me résumait ses vacances. Karl est mort ? Bordel de merde c’était qui ? Connaissant Sterenn ça ne devait sans doute pas être très grave, mais l’annonce d’un décès, même si c’était d’un hamster, ce n’était pas réjouissant, surtout en période de fête. Clignant rapidement des yeux, je me raclais la gorge, un peu gênée.
- Ho merde désolée… mais… c’était qui Karl ? Puis, l’invitant à prendre place sur mon canapé, j’allais chercher des verres à la cuisine. Moi s’est allé, tranquillement en famille. Classique quoi, mais le bon classique qui fait du bien.
Les Dowell étaient soudés entre eux, c’était notre force, ce qui rendait les moments entre nous très agréables et surtout très précieux.
Et alors que je prenais place à côté de mon amie, je l’écoutais avec son idée de génie, et encore une fois, je ne pouvais m’empêcher de rire. Il n’y avait qu’elle qui pouvait me suggérer à boire de l’alcool et avec qui je me prenais au jeu, parce que je savais que je ne risquais rien et nous avions la même descente, ou presque. J’étais tout de même plus sensible car pas habituée. La prenant aux mots, je saisissais la première potion que je versais dans un premier verre avant d’ouvrir la bouteille qu’elle avait apporté.
- Aller hein, on ne va pas perdre le Nord.
Je servais généreusement les deux verres en mélangeant potions et alcool, puis je lui tendais son verre en la fixant dans les yeux de mes prunelles sombres. Levant mon contenant, je prenais la parole d’un air un peu théâtrale.
- À la tienne ! Que la nouvelle année soit couronnée de trucs positifs pour nous deux, comme l’amour, des fleurs, des papillons, et pas de chiasse !
Puis je buvais de grandes gorgées de mon verre. Même pas peur.
- Ho désolée, je vais me mettre un rappel sur mon téléphone, comme ça je te donnerai régulièrement des nouvelles
Évidemment, je me moquais d’elle, toutefois son attention me touchait profondément. Il était rare que mes proches paniquent à ce point lors de mes absences prolongées. Ceux qui n’arrivaient pas à s’y faire étaient mes parents, surtout à cause de mes expéditions en dragonologie, mais même Aileas s’était habituée. Après tout, tout le monde savait que j’étais prudente, même si la seule fois où je ne l’avais pas été avait failli me tuer.
Pourtant, je perdais mon magnifique sourire dès qu’elle me résumait ses vacances. Karl est mort ? Bordel de merde c’était qui ? Connaissant Sterenn ça ne devait sans doute pas être très grave, mais l’annonce d’un décès, même si c’était d’un hamster, ce n’était pas réjouissant, surtout en période de fête. Clignant rapidement des yeux, je me raclais la gorge, un peu gênée.
- Ho merde désolée… mais… c’était qui Karl ? Puis, l’invitant à prendre place sur mon canapé, j’allais chercher des verres à la cuisine. Moi s’est allé, tranquillement en famille. Classique quoi, mais le bon classique qui fait du bien.
Les Dowell étaient soudés entre eux, c’était notre force, ce qui rendait les moments entre nous très agréables et surtout très précieux.
Et alors que je prenais place à côté de mon amie, je l’écoutais avec son idée de génie, et encore une fois, je ne pouvais m’empêcher de rire. Il n’y avait qu’elle qui pouvait me suggérer à boire de l’alcool et avec qui je me prenais au jeu, parce que je savais que je ne risquais rien et nous avions la même descente, ou presque. J’étais tout de même plus sensible car pas habituée. La prenant aux mots, je saisissais la première potion que je versais dans un premier verre avant d’ouvrir la bouteille qu’elle avait apporté.
- Aller hein, on ne va pas perdre le Nord.
Je servais généreusement les deux verres en mélangeant potions et alcool, puis je lui tendais son verre en la fixant dans les yeux de mes prunelles sombres. Levant mon contenant, je prenais la parole d’un air un peu théâtrale.
- À la tienne ! Que la nouvelle année soit couronnée de trucs positifs pour nous deux, comme l’amour, des fleurs, des papillons, et pas de chiasse !
Puis je buvais de grandes gorgées de mon verre. Même pas peur.
- InvitéInvité
Re: Go To Nawakland
Mar 29 Jan 2019 - 12:38
Par le slip de Merlin ! C'est fou que ça te fais du bien de la retrouver. À chaque fois que tu vois Aby, vous passez des moments de folies sous le signe du n'importe quoi. Et toujours dans la bonne humeur. T'aurais peut être dû préciser que le fameux Karl n'est pas humain ni animal.
- C'tait mon gode !
À la tête que tire Aby, tu imagines qu'elle était loin de se douter qu'il s'agissait d'un objet. Et ça se comprend. Tu poursuis sur ta lancée, comme si tu parlais de la pluie et du beau temps.
- Je lui ai donné un p'tit nom comme on est intime. T'en donnes pas un au tien ? Je vais devoir m'en racheter un autre.
Tu souris à Aby. Ton idée n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde et la voilà qui mélange alcool et potions. Tu ne fais pas attention à la dose de gnôle qu'elle met.
- Ya pas de montée chez toi ! Mais on à une bonne descente ! Hehe !
Tu applaudis le discours de ta soeur de maison et rajoutes. Il est si vivifiant. Tu bois de grosses rasades de ta boissons. Le goût est pas fameux, mais osef. Vous buvez tranquillement, quand on frappe à la porte d'Aby. Ton amie ça ouvrir. Une femme se tient devant la porte elle a l'air passablement agacée et ennuyée :
- Je viens d'avoir un dégât des eaux chez moi. Ça n'a pas coulé chez toi ? C'est une vraie galère. Comme si j'avais des travaux de réparations à payer...
Tu ne le sais pas pourquoi, mais pour une fucking raison inconnue, tu as l'impression qu'il s'agit de la meilleure vanne du siècle du monde entier. Tu regardes la voisine. Elle te regarde. Et...
- AHAHAHAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !
Elle a l'air outrée. Sa tête te fais marrer de plus belle. À tes yeux on dirait qu'elle est en train d'essayer de faire caca en étant constipé. Tu n'écoutes pas les remarques qu'elle te fait, trop occupé à te fendre la poire comme une baleine.
- C'tait mon gode !
À la tête que tire Aby, tu imagines qu'elle était loin de se douter qu'il s'agissait d'un objet. Et ça se comprend. Tu poursuis sur ta lancée, comme si tu parlais de la pluie et du beau temps.
- Je lui ai donné un p'tit nom comme on est intime. T'en donnes pas un au tien ? Je vais devoir m'en racheter un autre.
Tu souris à Aby. Ton idée n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde et la voilà qui mélange alcool et potions. Tu ne fais pas attention à la dose de gnôle qu'elle met.
- Ya pas de montée chez toi ! Mais on à une bonne descente ! Hehe !
Tu applaudis le discours de ta soeur de maison et rajoutes. Il est si vivifiant. Tu bois de grosses rasades de ta boissons. Le goût est pas fameux, mais osef. Vous buvez tranquillement, quand on frappe à la porte d'Aby. Ton amie ça ouvrir. Une femme se tient devant la porte elle a l'air passablement agacée et ennuyée :
- Je viens d'avoir un dégât des eaux chez moi. Ça n'a pas coulé chez toi ? C'est une vraie galère. Comme si j'avais des travaux de réparations à payer...
Tu ne le sais pas pourquoi, mais pour une fucking raison inconnue, tu as l'impression qu'il s'agit de la meilleure vanne du siècle du monde entier. Tu regardes la voisine. Elle te regarde. Et...
- AHAHAHAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !
Elle a l'air outrée. Sa tête te fais marrer de plus belle. À tes yeux on dirait qu'elle est en train d'essayer de faire caca en étant constipé. Tu n'écoutes pas les remarques qu'elle te fait, trop occupé à te fendre la poire comme une baleine.
- InvitéInvité
Re: Go To Nawakland
Mar 29 Jan 2019 - 19:14
J’arrondissais mes yeux grands comme des soucoupes lorsqu’enfin j’avais connaissance de qui était Karl. Bordel pourquoi est-ce que je lui ai posé la question ? Parce que venant de Sterenn, je n’aurai pas dû être étonnée d’une telle conclusion. Je m’étonnais même de pouvoir encore être surprise et confuse de ce genre de sujet avec elle. Pourtant, je détournais le regard en sentant le rouge gagner mes joues, et ce n’était pas le petit rouge mignon non, c’était plus du genre le rouge piment mexicain. Moi, je n’y connaissais rien dans l’usage de ces trucs, je n’avais même pas envisagé de m’en procurer et d’en utiliser, alors forcément lorsque ma consœur vint ironiquement me demander le nom du mien, je ne pouvais m’empêcher de sursauter un peu.
- Bah… c’t….gpff… c'est-à-dire que… j’ai jamais essayé ça.
Ce genre de sujet ne devrait plus me gêner en présence de Sterenn, d’autant plus qu’avec Levius, il m’arrivait d’être passablement dévergondée, ce qui m’étonnait moi-même d’ailleurs. Pourtant voilà, mettre des mots sur ces actions intimes me gênait toujours.
Fort heureusement, le temps de la picole vint, et j’espérais pouvoir passer à un autre sujet, même si j’avais la sensation que mon amie n’allait pas me lâcher. Surtout si elle devait racheter un Karlito, elle allait encore m’embarquer… et le pire, c’est que je la suivrai. J’étais bien naïve, mais dans le fond, j’avais sans doute du plaisir à suivre ainsi la jeune femme, je découvrais toujours des choses, aussi intimes soient-elles.
Tandis que nous étions en train de commencer nos descentes, je trouvais que l’alcool qu’elle avait amené avec un goût super bizarre… à moins que ce ne soit les potions ? Aucune idée, quoiqu’il en soit, je sentais ma gêne se dissiper un peu, même si l’image de mon aimé me hantait davantage alors que nous parlions de god. De son visage, je le voyais à présent torse nu, ce qui me crispait légèrement. Je ne savais pas s’il était possible que je puisse rougir encore, mais pourtant, je commençais à avoir chaud. Très chaud. Alors, quand la porte retentit, je sursautais, mes pensées intimes s’estompant à peine. Me relevant pour aller ouvrir, je me surprenais à murmurer à l’attention de mon amie.
- Hanw… c’est peut-être Levius.
Pourquoi j’avais dis ça ? Il ne venait jamais à l’improviste. Pourtant, j’avais espoir jusqu’à ce que j’ouvre et découvre l’air de… ma voisine moche. Surprise, je reculais légèrement, puis enfonçait ma tête dans mes épaules alors que j’entendais Sterenn se marrer comme une baleine dans mon canapé.
- B… bonjour madame Schlienger… n… non pas de soucis chez moi, désolée. J’espère que votre problème sera rapidement réglé.
Après un rapide coup d’œil dans le couloir, je constatais avec regret que mon compagnon ne venait pas. Sans rien ajouter, je refermais la porte au nez de ma voisine, l’air absente et rêveuse. En lâchant un soupir, mais sentant que je me mettais à transpirer, je rejoignais mon amie tout en prononçant d’un air très enjôleur, ce qui ne me ressemblait pas.
- C’est moi ou il fait chaud ?... Je suis en sudation… Parle-moi encore de ton Karl s’il te plait.
D’une œillade pleine de sous-entendus, je terminais mon verre, achevant de me faire serrer les cuisses alors que je songeais encore une fois à mon beau fermier.
- Bah… c’t….gpff… c'est-à-dire que… j’ai jamais essayé ça.
Ce genre de sujet ne devrait plus me gêner en présence de Sterenn, d’autant plus qu’avec Levius, il m’arrivait d’être passablement dévergondée, ce qui m’étonnait moi-même d’ailleurs. Pourtant voilà, mettre des mots sur ces actions intimes me gênait toujours.
Fort heureusement, le temps de la picole vint, et j’espérais pouvoir passer à un autre sujet, même si j’avais la sensation que mon amie n’allait pas me lâcher. Surtout si elle devait racheter un Karlito, elle allait encore m’embarquer… et le pire, c’est que je la suivrai. J’étais bien naïve, mais dans le fond, j’avais sans doute du plaisir à suivre ainsi la jeune femme, je découvrais toujours des choses, aussi intimes soient-elles.
Tandis que nous étions en train de commencer nos descentes, je trouvais que l’alcool qu’elle avait amené avec un goût super bizarre… à moins que ce ne soit les potions ? Aucune idée, quoiqu’il en soit, je sentais ma gêne se dissiper un peu, même si l’image de mon aimé me hantait davantage alors que nous parlions de god. De son visage, je le voyais à présent torse nu, ce qui me crispait légèrement. Je ne savais pas s’il était possible que je puisse rougir encore, mais pourtant, je commençais à avoir chaud. Très chaud. Alors, quand la porte retentit, je sursautais, mes pensées intimes s’estompant à peine. Me relevant pour aller ouvrir, je me surprenais à murmurer à l’attention de mon amie.
- Hanw… c’est peut-être Levius.
Pourquoi j’avais dis ça ? Il ne venait jamais à l’improviste. Pourtant, j’avais espoir jusqu’à ce que j’ouvre et découvre l’air de… ma voisine moche. Surprise, je reculais légèrement, puis enfonçait ma tête dans mes épaules alors que j’entendais Sterenn se marrer comme une baleine dans mon canapé.
- B… bonjour madame Schlienger… n… non pas de soucis chez moi, désolée. J’espère que votre problème sera rapidement réglé.
Après un rapide coup d’œil dans le couloir, je constatais avec regret que mon compagnon ne venait pas. Sans rien ajouter, je refermais la porte au nez de ma voisine, l’air absente et rêveuse. En lâchant un soupir, mais sentant que je me mettais à transpirer, je rejoignais mon amie tout en prononçant d’un air très enjôleur, ce qui ne me ressemblait pas.
- C’est moi ou il fait chaud ?... Je suis en sudation… Parle-moi encore de ton Karl s’il te plait.
D’une œillade pleine de sous-entendus, je terminais mon verre, achevant de me faire serrer les cuisses alors que je songeais encore une fois à mon beau fermier.
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