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(( murphy )) who the frick are you // terminé.
Jeu 11 Avr 2019 - 19:19
murphy fraser & tiki tamaharu
who the frick are you
Tu grimaces un sourire à un client, remarquant le peu de pourboire qu’il a laissé à sa table. Crevard, penses-tu en le remerciant d’être revenu par ici. Quand il te demande quel sera le prochain mot de passe, tu t’autorises un air arrogant : « You’re not important enough to come here three weeks in a row. » Il s’offusque, s’apprête à rétorquer mais préfère tourner les talons, manquant de bousculer une serveuse au passage. Quoi ? Tu as simplement été honnête, il faut être un sacré privilégié pour foutre les pieds ici aussi souvent et ce petit truand n’a pas plus de valeurs qu’un autre aux yeux des grands patrons du bar. Au fond, il doit bien le savoir et c’est sûrement pour cela qu’il a tourné les talons. Ça ou la peur d’être définitivement banni du lieu si jamais il venait à avoir un conflit avec l’homme à tout faire d’Oswald -qui d’ailleurs semblait s’être éclipsé dans la soirée, parle d’un exemple pour ses employés. Tu ne comprends toujours pas pourquoi ce dernier te fait autant confiance avec l’argent et la gestion des clients -un bisounours ce type- mais vu qu’il peut te mettre à la rue du jour au lendemain quand il veut, tu ne préfères pas tout faire foirer. C’est aussi pour cela que tu t’es retenu d’insulter quelques mères avec tes clients du soir. Tu ne sais pas quelle mouche les a piqués pour être aussi chiants mais tu as bien besoin d’une pause.
« You, come here. » Tu appelles l’autre barman et lui montre la caisse. « Take care of it, I’m taking a break. I’ll be back in ten minutes. » Et sans transition, tu remontes les escaliers. La nuit est calme, plus grand monde devrait arriver et t’as envie de fumer une clope, seul. C’est d’ailleurs pour ça que dès que tu arrives à l’entrée, tu dis au vigile de retourner à l’intérieur malgré sa réticence. Il ne t’aime pas, normal, et tu lui rends bien la faveur. Pourtant, il finit par lâcher l’affaire et descend, surement pour s’assurer que tu n’as pas laissé la salle sans surveillance. Et puis, personne ne peut entrer sans le mot de passe -à croire que Landry Mormont aime gaspiller de l’argent ou qu’il est parano.
Une figure connue du speakeasy se pointe et tu t’écartes pour le laisser passer, l’entendant marmonner le mot de passe au passage. Commençant ensuite les cent pas sur le trottoir et galérant à allumer ton tube à cancer, tu remarques une autre silhouette remontant la rue. Putain, tu voulais être tranquille. Tu ne dis rien, t’occupant de tes affaires, mais le comportement de l’inconnue t’intrigue. Elle semble chercher quelque chose et tu te prends à la fixer. Une cliente ? Une très jolie cliente, le roux lui allant à merveille mais vu son attitude, elle ne sait pas exactement ce qu’elle fait ici. Ta paranoïa est parfois utile, tu sens les problèmes arriver à des kilomètres. Elle ne serait pas la première à vouloir forcer le passage pour entrer.
Quand elle est à ta hauteur, tu te contentes de tirer sur ta cigarette et de souffler doucement la fumée en la regardant du coin de l’œil. Elle semble vouloir soudainement te parler et aussitôt tu la coupes : « No, I can’t help you. » Tu la jauges de haut en bas. Bon, elle est quand même fort jolie, mais tu veux profiter du peu de solitude qu’il te reste. Tu dois vite retourner à l’intérieur au cas-où le patron se pointe pile quand tu n’es pas là. Et puis, si c’était vraiment une cliente, elle te donnerait le mot de passe. « Ain’t a place for you here. » Ajoutes-tu sur le ton de la conversation, puis tu jettes un coup d’œil aux alentours pour guetter si de nouveaux arrivants indésirables étaient aussi dans les parages.
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Re: (( murphy )) who the frick are you // terminé.
Sam 13 Avr 2019 - 22:35
Oz n’est pas venu me retrouver à la fin de mon service. Il a l’habitude de venir plusieurs fois par semaine à l’hôpital, coïncidant généralement avec le moment où je finis le travail. Ensemble, on se balade, on se raconte nos journées, on va boire un café ou manger un goûter en fonction de l’heure de la journée. Parfois, il me conte des anecdotes de son voyage en Amérique. Parfois, je lui parle de ma famille. Souvent, il me raccompagne jusque chez moi, transplanant non loin du phare et parcourant les derniers mètres ensemble. Toujours, je me retrouve à vouloir faire traîner le moment, à espérer retarder la séparation, tentant de gagner quelques précieuses minutes près de lui. L’amitié est revenue très vite, l’aisance aussi. Tous deux des adultes, il a fallu retrouver un rythme. Il n’est plus possible de passer la plupart de nos journées ensemble, comme on a pu le faire à Hungcalf. En plus de l’évidence de nos emplois du temps souvent incompatibles, il y a la gêne apparue entre nous. Elle n’existait pas, avant.
Mais ça fait trois jours que je ne l’ai pas vu. Et j’ai très envie de le voir. Jusqu’à maintenant, j’étais principalement occupée par la reprise du travail à Sainte Marie, et le fait de retrouver l’Anglais à la sortie de mon service me faisait oublier que je ne sais presque rien de son nouveau travail. Le sorcier m’a juste appris qu’il possédait son propre bar, appelé le Filet du Diable. La deuxième information qu’il m’a apprise est qu’il faut un mot de passe pour y entrer. Cependant, il n’a pas voulu me le confier. Frustrée sur le coup, je n’y ai cependant plus vraiment pensé. Jusqu’à ce soir. Il me manque et j’ai envie de le voir. Je peux peut-être essayer de trouver ce fameux bar. Alors j’ai décidé de déambuler dans les rues d’Inverness à la recherche de n’importe quel endroit paraissant correspondre à la description sommaire que m’a faite son propriétaire. J’ai d’ailleurs un peu de mal à comprendre comment il a fait pour réunir l’argent nécessaire à l’achat d’un établissement nocturne. Il faut croire qu’avoir des parents dans le milieu bancaire a ses avantages.
Une bonne demi-heure après être sortie de l’hôpital, j’ai mal aux pieds et je suis exténuée. Lasse, déçue, je suis prête à retourner chez moi. Mais le mouvement d’une silhouette dans une ruelle m’interpelle. Se peut-il que… je m’avance, essayant de faire mon choix : est-ce que je tente de poser une question au garçon devant la porte ? Oh et puis, qu’est-ce que je risque ? Esquissant un mouvement vers lui, le brun m’arrête net. “No, I can’t help you.” Clouée sur place, les bras ballant, interdite, j’ouvre la bouche pour poser une question, mais le vigile est trop rapide pour moi. “Ain’t a place for you here.” Comme indifférent, il se met à observer la rue. Rougissant légèrement, je tente tout de même ma chance. “Is this the Devil’s Snare ?” Ma voix est incertaine, feutrée dans le calme du crépuscule. Essayant de me faire une contenance, je reprends avec un peu plus d’assurance. “I know the owner. Oswald, is he here ?”
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Re: (( murphy )) who the frick are you // terminé.
Dim 14 Avr 2019 - 22:51
murphy fraser & tiki tamaharu
who the frick are you
La fumée s’échappe doucement de tes lèvres alors que la figure se fige sous la surprise. Tu ricanes, son expression ahurie vaut vraiment le détour. Sans scrupule, tu la coupes de nouveau quand elle ressaie de poser une question. Tu n’as pas été assez clair ? Tes yeux la sondent de nouveau. À son allure, elle semble avoir passé une longue journée et la fatigue se lit sur ses épaules. Pauvre chou, tu en aurais presque pitié. Mais ce n’est pas ton style de faire dans la charité, alors tu joues la carte de l’indifférence moqueuse -celle qui te va le mieux dans ton boulot. Jusqu’à ce que tu tombes sur plus fort que toi et que tu finis avec un œil au beurre noire. Ce qui arrive beaucoup plus souvent que tu veux l’admettre.
Ton regard l’abandonne pour vagabonder dans la rue, la fin de la cigarette déjà à l’orée de tes lèvres. Alors que tu pensais qu’elle allait lâcher l’affaire, sa voix s’élève mais si doucement que tu aurais pu très bien ne pas l’entendre. Ses joues ont légèrement rougies, s’accommodant de ses cheveux. Elle prononce le nom du lieu et tu tiques, le coin de la bouche crispé et les paupières plissées. Silencieux, tu jettes ta cigarette à terre, entre vous, et l’écrase d’un geste nerveux. « Congrats, you want a fucking medal ? » Dis-tu en sortant déjà une nouvelle de ton paquet. Lui mentir aurait été inutile, tes gestes t’avaient déjà trahi et surtout ce qu’elle dit juste après te rend soupçonneux. Elle évoque Oz et ça te stoppe nette. C’est bon, elle a toute ton attention.
« Oswald ? » Répètes-tu en allumant ta clope, tu te demandes bien ce qui pouvait les relier. Bon, t’as bien des idées mais d’un autre côté, pourquoi, si elle connaît ton patron, n’a-t-elle déjà pas donné le mot de passe ? En plus, elle en parle comme si c’était son pote. Peut-être que tu n’es pas le plus accueillant, mais tu ne peux rien faire contre quelqu’un qui prononce le mot magique. Putain, voilà que tu dois réfléchir, tu voulais juste un peu de solitude. Tu ne veux pas de problème avec le boss toi. Finalement, tu hausses les épaules en soufflant ta fumée. « Everybody knows him, and if you want to come inside it's not what you have to say to me. » Te plantant face à elle, tu ajoutes : « Sorry sweetie, I don’t know what’s going on between you and my boss but I can’t let you in. » Faisant semblant de réfléchir, tu lèves les yeux au ciel en te grattant le menton. « Y’know, maybe he doesn’t want you here ? »
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Re: (( murphy )) who the frick are you // terminé.
Mar 16 Avr 2019 - 14:29
Bon, au moins j’ai pas tout perdu ce soir, j’ai trouvé l’emplacement du lieu où travaille Oswald. L’espoir qui se répand en moi en voyant la réaction du sorcier lorsque je prononce le nom du lieu. Hey, je suis moins idiote que j’en ai l’air. “Congrats, you want a fucking medal ?” Ca a l’air de l’énerver, que je connaisse le nom du bar pour lequel il travaille. Je ne comprends pas vraiment pourquoi il est si suspicieux de moi. C’est une bonne chose, que les gens connaissent le lieu, non ? Pour la clientèle, ce genre de choses. Enfin, j’imagine. Enhardie par ma bonne réponse, pas vraiment effrayée par le jeune videur, qui doit bien avoir dix ans de moins que moi, je reprends avec une voix plus forte. “I know the owner. Oswald, is he here ?” Le gamin qui jouait les indifférents me regarde enfin en face. Je crois que j’ai dit le mot magique. Enfin, pas le mot de passe, sinon je pense qu’il m’aurait laissée entrer. “Oswald ?” Attendant la suite, je hoche la tête. Je n’ai pas vraiment besoin de répéter ce que j’ai déjà dit, il l’a très bien entendu.
Son attitude désinvolte commence à m’agacer. Son haussement d’épaule n’indique rien de bon, et lorsqu’il ouvre la bouche, c’est pire. “Everybody knows him, and if you want to come inside it's not what you have to say to me.” Contrariée par le zèle du videur, je lève les yeux au ciel. Not everybody knows him like I do. Frustrée, j’essaie de trouver un argument, quelque chose, pour contrer ses paroles, mais rien ne me vient assez vite. “Sorry sweetie, I don’t know what’s going on between you and my boss but I can’t let you in. Y’know, maybe he doesn’t want you here ?” Soufflée par la désinvolture du gosse, clairement agacée, je commence à sentir le rouge me monter aux joues - et pas celui de la timidité. “Of course he wants me here, he’s my b-” Mon quoi, d’ailleurs ? Boyfriend? Best friend ? Boyst friend ? “He’s my friend.” Sourcils froncés d’agacement, d’embarras de ne pas savoir comment qualifier ma relation avec l’Anglais, je serre les poings. “I have to talk to him. Can you at least tell me if he’s here ?” Pour lui dire quoi ? Je ne sais pas. Je sais juste que j’ai envie de le voir. De sentir son regard sur moi, de l’écouter se moquer gentiment, de le prendre par la main. “He’s gonna be real pissed when I tell him you didn’t let me in.” Impressionnée de ma propre audace mais tentant de ne pas le montrer, je croise les bras devant ma poitrine, un air de défi dans le regard.
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Re: (( murphy )) who the frick are you // terminé.
Ven 19 Avr 2019 - 22:06
murphy fraser & tiki tamaharu
who the frick are you
Déjà, tu sens la migraine arriver. Tu prends une seule pause dans la soirée, et c’est à ce moment là qu’une groupie du boss se pointe. Bon, t’es pas sûr qu’il en ait, des groupies, mais vu sa gueule d’ange ça ne t’étonnerait pas. C’est Oswald après tout, ce n’est pas rare que tu captes des clientes lui faire les yeux doux en espérant un sourire de sa part. Pas que des clientes d’ailleurs. Pas que ça te dérange non, chacun son délire, ce n’est juste pas le tien. Absolument pas le tien. Même si tu comprends tout à fait que l’on se chope un torticolis en voyant passer m’sieur Burgass dans la rue. Mais là n’est pas la question.
La question, c’est comment regagner la tranquillité quand une dame un peu trop bornée s’entête à rester planter devant toi. Même quand tu joues les désinvoltes à rabaisser ce qu’elle affirme être vrai, la moue frustrée qu’elle aborde montre qu’elle n’est pas prête à en démordre. Alors tu en remets une couche, souvent ceux qui veulent entrer sans mot de passe finissent par ne plus supporter l’humiliation et tourner les talons. Malgré sa rougeur et ses balbutiements, ce n’est pas son cas apparemment. C’est bien ta veine. Tu te moques ouvertement dans un petit rire face à son embarras. Tu trouverais presque ça mignon si elle n’avait pas le pire timing du monde. « Yes, your friend. » Répètes-tu d’un ton narquois. Au fond, tu commences à douter et à te demander si tu ne devrais pas envoyer quelqu’un le chercher. Mais personne n’est à l’horizon et laisser l’entrée déserte risque de mettre en rogne l’autre patron -le Mormont. Flemme de te faire crucifier pour les beaux yeux de la rousse.
Cette dernière serre les poings, tu jettes ta cigarette au sol et croises les bras. Elle dit avoir besoin de lui parler, ça te fait doucement rire, les sourcils levés sous un faux étonnement. Elle tente une menace, tu grimaces, l’agacement prend le pas sur le reste. Malgré ta position, t’as un peu le doute. « Listen, bi-… » Tu te retiens de justesse, pas que l’envie ne te manque mais si jamais -oh grand jamais- elle était vraiment proche d’Oz, elle pourrait aller lui chanter que tu l’as insultée. Tu prends une grande inspiration. Très bien, tu vas répondre à ses questions. « He has other things to do tonight sweetheart. He’s busy man, has a lot of relations and a business to run. I don't car if you think you are a priority. » Ta voix est basse, tes yeux un peu plus sombres. Tu ne te veux pas spécialement menaçant mais tu fais ton boulot -pour une fois. « Give me the bloody password or leave. You can try to cross the door by yourself but… » Tu fais une grimace pour finir ta phrase. « You can try. » Répètes-tu en haussant les épaules et t'écartant un peu. Pas qu’elle puisse se blesser en essayant d’ouvrir la porte, mais cette dernière ne se laissera pas ouvrir même avec la force d’un Hulk. Sait-on jamais, tu pourrais peut-être te marrer un bon coup en la voyant pousser de toutes ses forces ou se dégonfler.
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Re: (( murphy )) who the frick are you // terminé.
Jeu 25 Avr 2019 - 11:32
Quelle mauvaise idée que celle que j’ai eue d’aller chercher le lieu de travail d’Oz sans connaître ce foutu mot de passe. Il faut que je lui dise, d’ailleurs. J’ai besoin de le savoir, ce mot de passe. Et s’il m’arrivait un problème et que j’avais besoin de le voir immédiatement ? Et s’il arrivait quelque chose dans ce bar et qu’il y avait besoin d’une médicomage ? Il y a pas pensé, à ça, Ozzy. Vraiment, pourquoi ne veut-il pas que je puisse accéder à l’intérieur, il a honte ou quoi ? On se connait par coeur, on partagepresquetout et il continue de me cacher des choses. Agacée par la situation, frustrée, je tente une menace à l’attention du videur. Et il peut être certain que je vais la mettre à exécution, cette menace ! Franchement, c’est quoi cette idée de vouloir m’exclure de toute une partie de sa vie alors qu’il y a quelques jours il me disait que la place de petite amie est libre, comme s’il me la proposait ? A quoi ça sert de me proposer de partager sa vie s’il en cache toute une partie ? Oswald Burgess va m’entendre, c’est moi qui le dis.
“Listen, bi-…” Sourcil haussé. Il a failli dire quoi, là ? J’ai bien entendu ? J’ai bien entendu, oui. Me faire insulter par le jeune employé d’Oz, ce n’était pas dans mes plans et ça ne me plait absolument pas. Sentant le rouge me monter encore plus aux joues, je souffle fort par les narines pour essayer de calmer la colère qui commence à vraiment bouillir au fond de moi. “He has other things to do tonight sweetheart. He’s busy man, has a lot of relations and a business to run. I don't care if you think you are a priority.” Le voile de la déception m’entoure progressivement. “He’s not here, then.” A quoi ça sert, alors ? A rien, voilà. Ca ne sert à rien. Pourquoi j’essaierais d’entrer dans un bar où Oz ne se trouve pas ? Ca n’a aucun sens. “You could’ve just said that from the start.” Bougon, je plante le regard fixement vers le pan de mur à côté de la porte. Le videur en rajoute. “Give me the bloody password or leave. You can try to cross the door by yourself but… You can try.” Levant les yeux au ciel, je décroise les bras pour passer une main dans mes cheveux. Fatiguée. “Why would I try to go in if Oz’s not here ?” Me tournant vers la rue plus animée, je m’apprête à m’éloigner de l’entrée du Filet du Diable, avant de lever brusquement un doigt accusateur vers le gamin devant la porte. “Don’t think this is over. Your boss will know about this.” Plus bas, dans un souffle frustré, j’ajoute. “He doesn’t get to leave me out.” Tournant les talons, je suis presque certaine d’entendre le ricanement du gosse. Direction la maison pour dormir, maintenant. Oz va m’entendre, je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais il ne va pas s’en sortir ainsi.
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