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~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 11:08
Aïtana Shern
Je suis une sorcière, je suis un perso inventé
« Visez toujours la Lune car même si vous la manquez vous atterrirez parmi les étoiles »
WIZARD CARD INFORMATIONS De toujours, je parais comme quelqu'un de timide et réservée qui préfère rester dans son coin avec ses livres ou les gens que je connais plutôt que d’aller vers les autres, surtout s’il s’agit de garçons ou d'hommes qui montrent un intérêt hors propos envers moi. Ils restent pour moi synonyme d’embêtements, de questionnements inutiles et superflus dans la vie. Ce sont des êtres dont il faut se méfier. Pourtant lorsque je suis décidée à m’ouvrir aux autres (oui cela m'arrive mais seulement en petit comité ou entre amis) je dévoile une personnalité ouverte, enjouée et bien vivante. Totalement différente. Vous l'aurez compris ma carapace est tellement solide que j'ai du mal à accorder ma confiance et à être naturelle en public. Du haut de mes 38 printemps à présent, je garde encore un coté femme-enfant, peut-être est-ce dû à ma petite taille, à cet air fragile et naïf ou à ma voix doucereuse qui s'échappe d'entre mes lèvres lorsque je m'adresse à mes vis à vis... Toujours est-il qu'il ne vaut mieux pas trop se fier aux apparences. Comme tous, au fil des années la frêle Aïta à grandi, pas par la taille certes. Mais j'ai appris de mes erreurs, me suis forgé un caractère. Je sais ce que je veux ou ne veux pas et je sais parfaitement à présent obtenir ce que je désire. Si vous me faite un coup bas, je saurai vous le rendre au moment où vous vous y attendrez le moins. Je ne me rebelle jamais par goût de vengeance. Mon pardon n'en est qu'une figure. Je ne suis pas fourbe, je suis futée. Autrefois pas téméraire pour un sou, j'évitais avec plaisir le duel si cela m'étais possible. Au quitte de passer pour la première des trouillardes, je partais à toutes jambes devant un quelconque danger. Pourtant une fois dans le feu de l'action j' agissais avec calme usant de mes connaissances pour contrer ou attaquer avec justesse. En grandissant j'ai révisé ma façon d'agir, je calcule mes intérêts ou mes pertes. Ne perdez donc pas de l'esprit que chaque rose, aussi douce qu'elle soit, cache forcément des épines… Enfant, je n'étais pas une jeune fille qui attirait le regard des gens que je croisais et je ne faisais rien pour. Mes tenues vestimentaires étaient plus que classiques et jamais provocatrices. En revanche j'attachais et attache toujours une grande importance à la propreté, qu’elle soit vestimentaire ou corporelle. Maintenant adulte, j'ai adoptée la longue robe verte conforme à l’hôpital lorsque je suis de service. -et non je ne suis pas nue sous celle ci-. Mais habillée. Simplement mais habillée. Tailleurs et autres vêtements de femme sont devenus mes alliés de tous les jours. Comme quoi la mode change avec les années. De nature discrète, je noue mes longs cheveux bruns bouclés en une natte qui repose la plupart du temps sur mon épaule. Sous mon bras sont souvent empilés quelques bouquins ou j' aime y plonger mon regard vert de velours. Je ne suis pas très grande et cela m’a complexé pendant toute ma scolarité. A 17ans, je n’avais plus d’espoir de dépasser les un mètre cinquante cinq... Mes formes sont pourtant bien faites et parfaitement bien proportionnées avec un poids plume. 48 kilos. Je suis un peu comme un condensé miniature de perfection qui ferait facilement perdre la tête à certain. Encore faut-il bien entendu pouvoir m'approcher. La confiance se gagne durement et peut se perdre si facilement... Mon visage, lui, n'a de cesse que d'être plongé dans les dossiers et autres livres, ce qui empêche tout un chacun de véritablement admirer et apprécier ma peau claire aux joues légèrement rosées, mes lèvres fines et mes traits angéliques. Je connais mon métier sur le bout des doigts. Sans lui je suis sans rime ni raison, je ne peux vivre. Aucune potion ne résiste à mon chaudron ainsi qu'a mon doigté légendaire pour préparer les ingrédients. Ma connaissance poussée sur les plantes et les créatures magiques vient compléter ce tableau parfait. Seul point noir, mon manque de confiance face à tous ces animaux bizarroïdes. Plus la bestiole est grande, moins je suis présente. Heureusement j'ai rarement l'occasion de traiter avec des créatures vivantes et -entières-. Mon jeu favori est de créer de nouveaux breuvages et pour cela, le laboratoire de l’hôpital est l'endroit rêvé. Ingrédients à foison et cobayes sur place avec pour certain l'impossibilité de se plaindre de quoi que se soit. Mon patronus est un colibri, oiseau que je trouve d'une délicatesse sans égal. Discret et vif. Sobre et subtil avec ces touches de couleurs. La première fois que je l'ai fait apparaître je n'ai bien entendu pas été étonnée qu'il soit si petit. Il va de paire avec moi. Mon épouvantard est quand à lui, mon chaudron de potion qui explose. Lorsque l'on connait mon histoire c'est à se demander si c'est un pied de nez du destin ou un fait exprès. | ©moi. ◈ célébrité |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
♥
Je naquis dans la petite ville d' Aberdeen en Écosse le lundi 26 juillet, rien de bien extraordinaire… Ma mère Laureen Harold dirige une taverne où la bière y coule à flot, où les clients se mettent aussi ronds que des queues de pelles mais jamais sans se douter un seul instant que l’établissement fut créé par un magicien. Par Jensen Upton, mon père, magicien maîtrisant plus les sorts pour boire une bonne chopine que pour aider son prochain. Il décède d'ailleurs rapidement après ma naissance. Je n’en ai aucun souvenir, hors mis celui des photos où il paraissait comme « un bon vivant. » J'ai certainement hérité ma joie de vivre de lui ...
L’ambiance qui régnait dans l'établissement m'a cependant vaccinée dès mon plus jeune âge, j'ai vite vu où toutes sortes d’excès pouvaient mener les hommes, et leurs travers. Je suis tout de même restée ouverte sur le monde qui m’entourait même si les livres et les études moldues étaient comme une échappatoire, comme une bouffée d’oxygène, mon jardin secret.
Très jeune, j'ai démontrée des talents et des aptitudes magiques, m’amusant à changer en lait les choppes de bière des ivrognes notoires ou en expédiant d’un claquement de doigts les corvées ménagères. Ma mère ne m'a jamais interdit d’user de magie malgré ses questionnements permanents sur l'origine de ce don. Mais cacha jalousement ce secret, de peur de passer pour hérétique ou dieu sait quoi encore. Elle considérait la rencontre avec son époux comme un instant magique et intense, même si sa disparition fut rapide et même s’il lui a caché sa nature de magicien. Elle croyait en son amour sincère et m'a transmis ces valeurs, sa croyance en l’âme sœur, espérant que je garde longtemps et que je fasse bon "usage" de ma virginité. (chose que j'ai naturellement fait) J'étais une fierté en tout point pour ma maman même si l'arrivée de la fameuse lettre de Poudlard fut une surprise qui l'emplit de peur. Étant elle moldue et étrangère en tout point au monde magique, je dus me débrouiller presque seule pour me rendre au poudlard express, me procurer mes fournitures scolaire et baguette. Au chemin de traverse, c'est un peu déçue que je me retrouva avec un bout de bois à mon image. 22 cm de pin et contenant une épine de monstre du Fleuve Blanc. Une baguette parfaitement bien équilibrée et faisant des prouesses lorsqu'il s’agissait de lancer des enchantements.
Mon arrivée au château restera gravé dans ma mémoire tant je me sentis insignifiante dans tant d’immensité. A 11 ans, j'étais déjà -la plus petite- de mes camarades. Même le choixpeau, lorsqu'il fut mis sur ma tête, retomba sur mes yeux avant même d'avoir pu prononcer le nom de "Poufsouffle". Mes années à l'école se déroulèrent sans presque aucune encombre, je me fondait dans le décor à merveille. Et pour rien au monde je n'aurais voulu en sortir.. J'étais l'élève modèle pour les professeurs ; toujours impeccablement soignée, mon travail toujours fait. Pour les élèves, j'étais celle qui agaçait. Trop parfaite. J'étais pourtant morte de trouille. Timide, réservée, coincée pour d'autre, je n'adressais la parole qu'a peu de personne et fuyais les garçons qui eux me voyaient comme un trophée. Je passais mon temps à bouquiner, ou à la bibliothèque. Mais tout ce temps passé à étudier paya. La meilleure ! Je fus celle qui sortie diplômée avec les meilleures notes que l'on pouvait avoir ! Cela me permit par la suite de poursuivre des études approfondies à l’Université d'Hungcalf en Écosse, mon berceau. Cursus Sciences Occultes avec en option le soin aux créatures magiques ainsi que les sortilèges et enchantements. Deux matières complémentaires pour le métier que je visais. Potionniste ou professeur. En parallèle j'étudiais avec assiduité les potions avec un maître en la matière que je connaissais depuis Poudlard et qui finalement après bon nombres d'années passées auprès de lui à fait de moi sa femme l'année de mon doctorat. Nous sommes ensuite partis faire un petit tour du monde en guise de lune de miel mais également pour aiguiser nos connaissances en matière de potion. A notre retour en Angleterre forts de notre instruction, Chase se fit embaucher au ministère, moi, je continuais mes recherches. Mon but étant de publier mon livre: "Potions pour sorciers désespérés." Un recueil de diverses potion soignant toutes sortes de maux. Allant des dents grises aux pires incidents magiques. J'étais une femme heureuse et épanouie, espérant devenir mère bientôt, jusqu'à sa disparition brutale. Accident commandité ou non, toujours est-il que le chaudron remplit de potion sur lequel mon mari travaillait à explosé, le faisant passer à trépas dans la seconde même. Le ministère pour qui il travaillait m'a immédiatement dédommagé avant même que l’enquête eut commencée comme pour taire une bavure ou je ne sais quoi. Leurs galions je n'en avais que faire, ils ne pouvaient combler un tant soit peu le vide qui régnait dans ma poitrine.
J'ai passé plus d'une année à Ste Mangouste suite à l'accident pour soigner mon mal de l'âme. Une année à hurler dans ma chambre comme une démente, accusant le ministère d'avoir volontairement éliminé mon époux. Une année à tenter de m'éliminer moi, par n'importe quel moyen ne voyant aucune raison de surmonter cette tragique absence. La douleur dans mes tripes ne passa pas mais mes cris eux se turent au fils du temps me donnant ainsi l'autorisation de sortir. Je n'étais en rien guérie mais j'étais libre. Libre de réintégrer l’hôpital. Non pas en temps que patiente mais en temps que potionniste. Les potions me guériraient, la clef était là. En m'y plongeant corps et âme comme je l'avais toujours fait finalement. Je trouverai dans le fond de mon chaudron une infime partie de mon âme sœur qui, ne me quittera alors jamais. Je finaliserai ma formation afin que le ministère n'ait pas le dernier mot. Si il visait mon mari pour nous éliminer "nous", leur plan serait alors loupé.
Les places étaient cependant limitées et je parvins qu'a décrocher un mi temps, heureusement la rente du ministère complétait mon salaire et me permettait de vivre correctement. Mon temps libre, je le passais naturellement à créer de nouvelles potions cherchant constamment la perfection, le Graal. Pour publier un second volume de mon livre. Les amis j'en avais que faire, ils étaient de simple connaissances avec qui je passais de bons moments certes mais superficiels pour mon esprit préoccupé. Quand aux hommes, ils sont inexistants aucun parvenant à me faire tourner la tête. Ou battre des cils pendant une longue période.
Cette année est l'année des changements. Une place de professeur de potion s'est libérée à l'université et j'ai bien entendu postulé. Faisant une pierre deux coups, je réalise alors mes deux projets professionnels. Mon prochain but sera d'atteindre le statut de Maître en potion. Mais pour cela les têtes blondes devront me supporter pendant de longues heures jusqu'à ce que leurs résultats me satisfassent complètement.
Quand au ministère, je ne compte pas en rester là.
Je naquis dans la petite ville d' Aberdeen en Écosse le lundi 26 juillet, rien de bien extraordinaire… Ma mère Laureen Harold dirige une taverne où la bière y coule à flot, où les clients se mettent aussi ronds que des queues de pelles mais jamais sans se douter un seul instant que l’établissement fut créé par un magicien. Par Jensen Upton, mon père, magicien maîtrisant plus les sorts pour boire une bonne chopine que pour aider son prochain. Il décède d'ailleurs rapidement après ma naissance. Je n’en ai aucun souvenir, hors mis celui des photos où il paraissait comme « un bon vivant. » J'ai certainement hérité ma joie de vivre de lui ...
L’ambiance qui régnait dans l'établissement m'a cependant vaccinée dès mon plus jeune âge, j'ai vite vu où toutes sortes d’excès pouvaient mener les hommes, et leurs travers. Je suis tout de même restée ouverte sur le monde qui m’entourait même si les livres et les études moldues étaient comme une échappatoire, comme une bouffée d’oxygène, mon jardin secret.
Très jeune, j'ai démontrée des talents et des aptitudes magiques, m’amusant à changer en lait les choppes de bière des ivrognes notoires ou en expédiant d’un claquement de doigts les corvées ménagères. Ma mère ne m'a jamais interdit d’user de magie malgré ses questionnements permanents sur l'origine de ce don. Mais cacha jalousement ce secret, de peur de passer pour hérétique ou dieu sait quoi encore. Elle considérait la rencontre avec son époux comme un instant magique et intense, même si sa disparition fut rapide et même s’il lui a caché sa nature de magicien. Elle croyait en son amour sincère et m'a transmis ces valeurs, sa croyance en l’âme sœur, espérant que je garde longtemps et que je fasse bon "usage" de ma virginité. (chose que j'ai naturellement fait) J'étais une fierté en tout point pour ma maman même si l'arrivée de la fameuse lettre de Poudlard fut une surprise qui l'emplit de peur. Étant elle moldue et étrangère en tout point au monde magique, je dus me débrouiller presque seule pour me rendre au poudlard express, me procurer mes fournitures scolaire et baguette. Au chemin de traverse, c'est un peu déçue que je me retrouva avec un bout de bois à mon image. 22 cm de pin et contenant une épine de monstre du Fleuve Blanc. Une baguette parfaitement bien équilibrée et faisant des prouesses lorsqu'il s’agissait de lancer des enchantements.
Mon arrivée au château restera gravé dans ma mémoire tant je me sentis insignifiante dans tant d’immensité. A 11 ans, j'étais déjà -la plus petite- de mes camarades. Même le choixpeau, lorsqu'il fut mis sur ma tête, retomba sur mes yeux avant même d'avoir pu prononcer le nom de "Poufsouffle". Mes années à l'école se déroulèrent sans presque aucune encombre, je me fondait dans le décor à merveille. Et pour rien au monde je n'aurais voulu en sortir.. J'étais l'élève modèle pour les professeurs ; toujours impeccablement soignée, mon travail toujours fait. Pour les élèves, j'étais celle qui agaçait. Trop parfaite. J'étais pourtant morte de trouille. Timide, réservée, coincée pour d'autre, je n'adressais la parole qu'a peu de personne et fuyais les garçons qui eux me voyaient comme un trophée. Je passais mon temps à bouquiner, ou à la bibliothèque. Mais tout ce temps passé à étudier paya. La meilleure ! Je fus celle qui sortie diplômée avec les meilleures notes que l'on pouvait avoir ! Cela me permit par la suite de poursuivre des études approfondies à l’Université d'Hungcalf en Écosse, mon berceau. Cursus Sciences Occultes avec en option le soin aux créatures magiques ainsi que les sortilèges et enchantements. Deux matières complémentaires pour le métier que je visais. Potionniste ou professeur. En parallèle j'étudiais avec assiduité les potions avec un maître en la matière que je connaissais depuis Poudlard et qui finalement après bon nombres d'années passées auprès de lui à fait de moi sa femme l'année de mon doctorat. Nous sommes ensuite partis faire un petit tour du monde en guise de lune de miel mais également pour aiguiser nos connaissances en matière de potion. A notre retour en Angleterre forts de notre instruction, Chase se fit embaucher au ministère, moi, je continuais mes recherches. Mon but étant de publier mon livre: "Potions pour sorciers désespérés." Un recueil de diverses potion soignant toutes sortes de maux. Allant des dents grises aux pires incidents magiques. J'étais une femme heureuse et épanouie, espérant devenir mère bientôt, jusqu'à sa disparition brutale. Accident commandité ou non, toujours est-il que le chaudron remplit de potion sur lequel mon mari travaillait à explosé, le faisant passer à trépas dans la seconde même. Le ministère pour qui il travaillait m'a immédiatement dédommagé avant même que l’enquête eut commencée comme pour taire une bavure ou je ne sais quoi. Leurs galions je n'en avais que faire, ils ne pouvaient combler un tant soit peu le vide qui régnait dans ma poitrine.
J'ai passé plus d'une année à Ste Mangouste suite à l'accident pour soigner mon mal de l'âme. Une année à hurler dans ma chambre comme une démente, accusant le ministère d'avoir volontairement éliminé mon époux. Une année à tenter de m'éliminer moi, par n'importe quel moyen ne voyant aucune raison de surmonter cette tragique absence. La douleur dans mes tripes ne passa pas mais mes cris eux se turent au fils du temps me donnant ainsi l'autorisation de sortir. Je n'étais en rien guérie mais j'étais libre. Libre de réintégrer l’hôpital. Non pas en temps que patiente mais en temps que potionniste. Les potions me guériraient, la clef était là. En m'y plongeant corps et âme comme je l'avais toujours fait finalement. Je trouverai dans le fond de mon chaudron une infime partie de mon âme sœur qui, ne me quittera alors jamais. Je finaliserai ma formation afin que le ministère n'ait pas le dernier mot. Si il visait mon mari pour nous éliminer "nous", leur plan serait alors loupé.
Les places étaient cependant limitées et je parvins qu'a décrocher un mi temps, heureusement la rente du ministère complétait mon salaire et me permettait de vivre correctement. Mon temps libre, je le passais naturellement à créer de nouvelles potions cherchant constamment la perfection, le Graal. Pour publier un second volume de mon livre. Les amis j'en avais que faire, ils étaient de simple connaissances avec qui je passais de bons moments certes mais superficiels pour mon esprit préoccupé. Quand aux hommes, ils sont inexistants aucun parvenant à me faire tourner la tête. Ou battre des cils pendant une longue période.
Cette année est l'année des changements. Une place de professeur de potion s'est libérée à l'université et j'ai bien entendu postulé. Faisant une pierre deux coups, je réalise alors mes deux projets professionnels. Mon prochain but sera d'atteindre le statut de Maître en potion. Mais pour cela les têtes blondes devront me supporter pendant de longues heures jusqu'à ce que leurs résultats me satisfassent complètement.
Quand au ministère, je ne compte pas en rester là.
RÉSERVE TON AVATAR
- Code:
<bottin><span class="pris">●</span> <b>Kate Beckinsale </b> ━Aïtana Shern</bottin>
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 11:09
bienvenue officiellement chère professeure!
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 11:27
bienvenue beauté fatale
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 12:44
Alors alors^^ Juste deux détails avant de pouvoir te valider:
- la plume de colibri dans ta baguette? Normalement, c'est un élément de créature magique, dans la baguette
- et l'entrée à Poudlard se fait à 11 ans, pas avant
Et puis quelle pochtronne, cette chauve-souris! aller jusqu'à Pré-au-Lard!
- la plume de colibri dans ta baguette? Normalement, c'est un élément de créature magique, dans la baguette
- et l'entrée à Poudlard se fait à 11 ans, pas avant
Et puis quelle pochtronne, cette chauve-souris! aller jusqu'à Pré-au-Lard!
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 13:05
Fiche modifiée très chère!
Si Framboise va là-bas, jamais elle revient vivante en effet
Si Framboise va là-bas, jamais elle revient vivante en effet
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 13:24
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de points, une boutique avec plein d'objets est à ta disposition ! *--*
Have fun sur Hung !
PS: Et voilà! c'est tout bon! elle me fait de la peine, quand même, ta madame! J'espère qu'elle va ouvrir son coeur à nouveau, quand même!! Elle le mérite! Par contre, comme je comprends que vu l'exemple qu'elle a eu, elle ne supporte pas l'alcool! Mais Framboise, J'ADORE!!
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» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
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Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 14:34
Oulaaaaaaa @ceilynn fraser t'as validée un peu trop vite ma très chère @aïtana shern ! Pour être prof à Hungcalf, l'âge minimum requis est : 35 ans. De plus, petit rappel du règlement : La célébrité (votre avatar) ne devra pas avoir plus de cinq ans de différence avec votre personnage (pour des soucis de réalisme). Néanmoins, le staff peut faire quelques exceptions. Kate Beckinsale à 43 ans (irl), donc elle ne peut pas avoir moins de 38 ans ici !
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 15:23
Merciiiii!!!
C'est vrai qu'elle peut paraître triste mais elle se suffit à elle même et puis il n'est pas exclu qu'elle accepte de la compagnie de temps en temps.
Pour ce qui est de l'alcool, la dépravée que je suis saura trouver un moyen pour la faire picoler jusqu'à danser nue sur les tables
Merci à tout le monde pour vos bienvenues.
Édit: Aita a 36ans (en juillet)
Pour l'avatar... s'vous plait, j'peux la garder? Elle a fait un lifting ou bien je la fait vieillir un peu?
C'est vrai qu'elle peut paraître triste mais elle se suffit à elle même et puis il n'est pas exclu qu'elle accepte de la compagnie de temps en temps.
Pour ce qui est de l'alcool, la dépravée que je suis saura trouver un moyen pour la faire picoler jusqu'à danser nue sur les tables
Merci à tout le monde pour vos bienvenues.
Édit: Aita a 36ans (en juillet)
Pour l'avatar... s'vous plait, j'peux la garder? Elle a fait un lifting ou bien je la fait vieillir un peu?
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Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 15:31
Tu peux garder l'avatar, seulement tu devras la vieillir un peu (38 ans minimum)
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 15:40
Voilà qui est fait Demoiselle Primerose. :shy: (elle va pouvoir jouer les Cougars dans les couloirs à présent )
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Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 15:45
Aïtana Shern a écrit:Voilà qui est fait Demoiselle Primerose. :shy: (elle va pouvoir jouer les Cougars dans les couloirs à présent )
Parfait ! J'ai hâte de voir ! :tong:
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Ven 30 Juin 2017 - 17:57
T'es déjà validée mais je te souhaite tout de même la bienvenue parmi nous belle prof !
- InvitéInvité
Re: ~La soie se manipule avec attention~
Sam 1 Juil 2017 - 8:35
Merci les filles pour la validation!!
@Gideon, tu es tout excusé. Merci de ta bienvenue. Au plaisir de tefesser croiser!
@Gideon, tu es tout excusé. Merci de ta bienvenue. Au plaisir de te
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Inventaire Sorcier
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Re: ~La soie se manipule avec attention~
Mar 4 Juil 2017 - 21:41
Mieux vaut tard que jamais, tout ça... Bon jeu parmi nous !
– the best –
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