- InvitéInvité
(m) max irons ★ amis d'enfance, attirance, drama romantique.
Jeu 13 Juil 2017 - 16:52
Alastor Prénom² Nom
Je suis un grymm/wright
« C’est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se trainer, et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans. Et l’enfance tout ce qui l’en reste ça tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée. »
WIZARD CARD INFORMATIONS & HISTOIRE Rédigez quelques lignes sur les particularités (physiques, intellectuelles ou magiques) de votre personnage ainsi que sa baguette, son épouvantard, son animal de compagnie, sa matière préférée ... bref, tout ce qui vous passe par la tête ! ♥ Embryon de caractère (à vous de développer): têtu - déterminé - rusé - franc - direct - revanchard - joueur - possessif - audacieux - ambitieux - sportif - sens de l'honneur - valeureux et simple dans ses valeurs - | © MØRPHINE. ◈ max irons |
NOTRE LIEN
Nori et Alas. Alastor et Honoria. Ils se connaissent par cœur, amitié d'enfance. Amis des temps enfantins, des temps reculés de l'innocence. De l'époque où leurs familles étaient amicales, permettant alors à Alastor de s'intégrer en Angleterre, confié aux bons soins d'Octavian, si proche en âge. Mais quand on se lie à un Black, on se lie souvent à la tribu, à la fratrie. Compagnons de jeux, de débat et d'imagination. Premier baiser taquin et innocent d'un Noël blanc. Liaison amicale et platonique en apparence, idylle d'enfant, jusqu'à ce que le corps ne se forme et que l'adolescence s'abatte. Le cœur en émoi, le corps émoustillé, l'amitié perdura au sein du gang sans qu'aucun faux pas ne soit commis malgré l'évidence germant au fond de leur palpitant. Première désillusion, première jalousie. Une incompréhension risible qui fut rapidement détournée d'un geste de la main, l'écart d'âge œuvrant sournoisement dans les méandres tortueux des deux adolescents. Comme une évidence d'une impossible liaison imaginaire, moqué par les amis proches mis au courant, incapables d'être dupés. Ils restent pourtant proches, Alas et Nori, de ses amis trop proches dont on prend soin mais qu'on s'évertue à dire qu'il n'y a rien. Jusqu'à l'université où ils se retrouvent. Jusqu'à ce fatal mois d'Avril où l'article de Proserpina Black sort dans le Wizard World, mettant à mal l'industrie et la famille d'Alastor. La colère le submerge et il ne trouve rien de mieux que de s'en prendre à la jeune femme, défouloir de ses élans amoureux inavoués et enfouis et d'une vérité déroutante déconcertant les limites de son petit monde bâti. En froid, ils n'échangent que des regards courroucés, des piques acerbes et pleines de rancœur. Il reconnaît à contre-cœur s'être énervé sur elle, par sa ressemblance avec sa mère, ayant finalement peur de la véracité de l'article. La vérité fait mal et détruit parfois tout sur son passage mais elle est nécessaire. Nécessaire pour faire ouvrir les yeux, l'absence de l'un manquant cruellement à l'autre. Deux années passent avant que la conversation ne revienne un tant soit peu normale mais toujours vivier de tensions à cause de cette attirance qui déchire les limites de la bienséance, de l'entendement tacite entre l'homme et son cerveau, laissant de côté le palpitant qui reprend son droit. Ils n'arrivent plus à se parler sans se bouffer le nez, à défaut de laisser tomber les barrières qui les retiennent jusqu'à ce soir alcoolisé. Il s'est toujours amusé de sa faculté à vouloir le dernier mot et cette soirée ne dérogea pas à la règle, sauf que cette fois-ci ce sont ses lèvres qui s'abattirent avec force sur les siennes dans l'opaque fumée du bar. Arrivant pour une fois à lui clouer le bec. Arrivant pour une fois à franchir la ligne invisible. Se délectant l'un de l'autre mais le bonheur et le plaisir ressentis ne furent que de courte durée, la belle s'éclipsant dans la nuit alors qu'il retournait chercher sa veste. La panique du bonheur et du malheur combinée dans ses veines, elle la pure, ne pouvant plus se résoudre à s'adonner à l'amour, alors que l'inévitable s'imposait à elle, s'imposait à eux. Fous l'un de l'autre. Il la traque le lendemain, gala de charité dont leur famille réciproque obligent leur présence et la questionne, pensant alors la véracité de leur attraction aussi forte que les sentiments mais elle se débine, refuse d'entreprendre quoi que se soit, de conforter quoi que se soit alors qu'il sent son corps répondre de nouveau à l'appel du sien. Il ne comprend plus mais sait lire en elle la retenue qu'elle s'impose à son égard, le rendant vert de jalousie. Il l'insulte pour la faire réagir, la traitant de menteuse, la poussant pour de nouveau avoir à la confronter, la faire sortir de ses gonds pour que seule la passion des sentiments abnégés resurgissent. De son rejet, il n'en croit rien, ne veut pas croire en cette alternative, la belle ayant préféré se taire que d'affirmer quoique se soit, de mentir ouvertement. De eux deux, il a toujours été le plus déterminé, le plus direct et il compte bien l'amener à sortir de son terrier, à obtenir la véracité qu'il lit sur son visage et dans ses iris étoilées. Par tous les moyens, par toutes les ruses, même celles menant à la jalousie pourtant si destructrice. Pour que gagne leur amour.
Et pour les plus courageux, les amoureux du détail, voici les extraits de ma fiche pour une mise en scène des passages marquants :
- Spoiler:
- L'orgueil est un vice qui s'apprend tôt (8 ans) « Allez sautes, je te rattraperai ! » Coincée en haut du grand magnolia, elle hésite pourtant la gamine. C’est pour avoir voulu regarder la mer se fracassait contre les rochers et surtout prouver à Alastor qu’elle était capable de grimper aussi bien qu’un garçon qu’elle était arrivée dans l’arbre, la petite Honoria. Après avoir clamé qu’elle était capable, elle ne pouvait pas faire machine arrière mais voilà, si l’ascension fut aisée grâce aux nombreuses prises, la descente allait se révéler périlleuse et l’angoissait terriblement. « Je ne peux pas… » bredouille-t-elle entre ses lèvres, sentant le vide s’immiscer et grandir sous ses pieds, au point d’en arriver à faire glisser son pied gauche. Décharge électrique, elle resserre sa prise au niveau de l’arbre et refuse catégoriquement de bouger de nouveau, fermant les yeux pour ne plus voir les trois mètres la séparant du sol, telle une enfant capricieuse. « Honoria, tu dois avoir confiance en moi. » clame de nouveau le petit garçon au sol alors qu’elle s’énerve la gamine qu’on ne la pousse là où elle n’arrive pas à avancer seule, lui laissant cet arrière-goût de défaite et d’assistance dans la gorge. « Non, je ne peux pas ! » hurle-t-elle pour qu’on la laisse tranquille, gamine effarouchée piquant une crise car n’arrivant pas à contrôler cette terreur surgissant dans son être. C’était comme si la branche se dérobait sous elle en devant supporter son poids. « Comme tu veux mais on voit sous ta jupe. » Le coup de sang fut automatique, faisant ouvrir rapidement les yeux de la gamine. « Quoi ?! … aaaaah. » Si prestement d’ailleurs que son corps suit le mouvement et elle perd l’équilibre, tombant en avant de l’arbre majestueux ayant perdu ses feuilles. La chute n’est pourtant pas si douloureuse que çà bien que son genou la lance au point qu’elle n’en grimace. Quelque chose de mou remue alors sous elle et elle se rend compte qu’elle a directement atterrit sur Alastor. Relevant le buste pour dégager ses cheveux longs dorés de son visage, elle s’enquière de son état. « Alas’, ca va ? dis-moi quelque chose. Fais quelque chose.» Inquiète, elle s’était encore plus rapprochée de lui. Des larmes commençaient à hydrater en masse ses prunelles alors qu’elle imaginait le pire alors que sans prévenir, d’un simple mouvement du cou, il appose ses lèvres très rapidement sur les siennes dans un smack victorieux. Devant l’air courroucé et atterré de la gamine, il rigole en se justifiant. « Bah quoi ? Tu avais dis que tu m’embrasserais si je te montrais que j’étais bien un chevalier comme Lancelot le pourfendeur de dragon. Je t’ai récupéré alors que tu m’as écrasé sous ton poids, ca méritait bien un baiser quand même ? » Le visage tout rouge de la gamine répond avec plus d’éloquence que ses mots alors que dans la seconde qui suit, ses petits poings tambourinent le poitrail du garçon qui rigole en tentant de se protéger. Furibonde, elle se relève en rabaissant ses jupes, se sentant victime de la supercherie et de la ruse de son compagnon de jeu et le plante au milieu du jardin en rentrant rapidement dans la demeure tandis qu’il s’époumone face à sa mauvaise foi : « mais il y avait du gui en plus dans l’arbre ! » Saleté de Noël blanc.
In the true, we're fallen in hell (19 ans) « Ta mère n’est qu’une salope ! Une salope de menteuse. » L’insulte fuse dans les airs et vient la gifler rapidement au point de la déconcertée l’espace d’un instant. Alastor était entré en trombe dans la salle commune et semblait avoir trouvé la victime qu’il souhaitait. Elle pince les lèvres, Honoria, alors que son visage se ferme et que sa langue siffle. « Retire çà, tout de suite ! » Si l’affaire de Proserpina avait fait les gros titres et s’était répandue comme de la poudre et que l’adolescente concédait à qualifier sa mère de belle garce sur ce coup, elle n’admettait pas qu’un autre qu’elle ne le pense ou ne le dise à haute voix. De ses mains gracieusement posées sur la table, elle se relève doucement pour faire face au jeune homme, dardant son regard dans le sien alors qu’il la dépassait d’une tête. Si Honoria était bien connue pour une chose, c’était pour cette impulsivité agressive qui la lançait sur bon nombre de sujets et de discordes où elle n’était jamais certaine d’en ressortir. Octavian en savait quelque chose. « Avoues qu’elle prend son pied à rabaisser les sorciers, ta frigide de mère. Telle mère, telle fille, hein ? » Les paroles écorchent, bloquant sa respiration dans sa cage thoracique sur le point d’exploser. « Pour des petits crétins dans ton genre sans cervelle, c’est même un réel plaisir. » persifle-t-elle, laissant la colère couler dans ses veines, serrant les poings pour ne pas balancer sa main sur le visage trop parfait lui faisant face. « Si tu cherches un coupable, regardes donc du côté de ton père. Ma mère n’a fait que montrer la vérité, elle n’est coupable de rien d’autres. Ton bourreau, ce n’est pas elle mais lui ! » La réplique est cinglante, tout autant que son allure hautaine. « Ah moins que la vérité ne te dérange ?! » Après un dernier regard noir, elle quitte la salle commune des Grymm pour rejoindre son dortoir en se forçant de ralentir la cadence pour ne pas faire voir qu’elle fuit cette confrontation absurde entre eux dont elle a pourtant le dernier mot. Dont elle tient toujours à avoir le dernier mot. Même si cela scelle la fin d'une amitié, d'une romance en construction, ne laissant que le chaos de l'orgueil et de la fierté prendre le dessus.
Dès lors, les coups bas commencèrent. Railleries sarcastiques, piques incendiaires, les anciens amis étaient bouffés par l'égo familial, perdus au milieu d'une joute qui ne les regardait pas mais les touchée de plein front, les noyant dans l'abysse de la rancœur.
fallen in love with your broken dreams (22 ans) « Madame Black ! Miss Black ! Puis-je vous emprunter votre fille le temps d’une danse ? Les cavalières aussi charmantes se font rares de nos jours. » Roulant des yeux en pinçant les lèvres, Honoria aurait reconnu cette voix entre mille. Remarquant que sa propre mère l’abandonnait en acceptant la demande du sorcier, elle dépose sa coupe sur le premier plateau passant, reconnaissant cette défaite. A moins de faire un scandale en pleine réception, elle ne pourrait pas en réchapper. Ce qu’elle payerait cher de sa personne plus tard, à n’en pas douter. Et ni Octavian, ni Isadora ne seront là pour lui sauver la mise. Elle laisse la main du brun se glisser jusqu’à sa taille alors que de l’autre, il lui attrape la main pour la rapprocher de lui dans une inspiration de dédain. Pourtant, elle reconnaît sa beauté et sa prestance, surtout dans ce costume taillé pour ses épaules bâtis, modèle sur-mesure.
« Tu es rapidement partie, hier soir. » Alastor ne tournait jamais autour du pot. Rapide et concis, du style à jeter parfois les conclusions hâtives l’arrangeant. Elle évite de le regarder, faisant mine d’être absorbée par la danse et le jeu des partenaires les entourant. « Je ne pouvais pas arriver fatiguée à cet événement. » La réponse est évasive, autant qu’elle n’est tendue dans ses bras, offrant un contraste saisissant alors qu’elle s’était montrée plus détendue et séductrice, quelques heures auparavant. « Cela n’empêche que tu as disparu dans la nuit. » Le souffle chaud glisse dans son oreille, la déstabilisant face aux flashes d’une soirée étoilée au cœur du bar enfumé d’Inverness qu'elle quitta prestement, les joues et les lèvres en feu alors qu'il s'en allait rechercher sa veste. Son esprit s’échappe, en quête des souvenirs doucereux visant à la détendre, à lui faire perdre pied alors qu’elle ne peut se le permettre. « c’était une erreur. » clame-t-elle sèchement avant de tourner sur elle-même sur les tonalités de la valse. « Ravi de te l’entendre dire. » Il sourit, Alas’, de ce sourire qui l’avait fait craquer la veille, du même sourire qui l'avait charmé du haut de leur huit ans, alors que le taux d’alcool était déjà bien élevé dans son sang, vestige d’une soirée bien arrosée. Dissociation de deux vies bien distinctes. Il la serre contre lui tout en la réceptionnant et son palpitant se serre alors qu’elle se doit de mettre les freins, de l’éconduire en le rejetant tandis que son corps est attiré par le sien, ne demandant qu’à poser les armes face à cette nouvelle trêve. Face à cette révélation inattendue due à l’étourdissement du liquide brûlant leur œsophage et leurs neurones, laissant les chamailleries s’étouffer sous les embrassades impulsives.
Comme son contact la brûle alors, Honoria remettant un espace entre eux, déstabilisant le sorcier autant par l’acte que la parole. « Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.. pas dans ce sens. » Elle se doit d’être directe. Elle se doit d’être froide et lointaine. Pour le faire souffrir sans avoir à le détruire. Avant qu’il ne soit trop tard sur la route de l’amertume et des rancœurs, préférant que les regrets n’emplissent d’affres sanguinolentes son cœur amouraché. « Expliques-toi. » La voix d’Alas’ est plus froide et sèche, comprenant le rejet avant qu’il ne soit officiel dit. Meurtri dans son orgueil de sorcier, ne lui laissant qu’une image fendillant les airs et laissant à cette journée de charité une amertume aigre. Pourtant, elle ne perd pas pied ni ne change d’avis, convaincue que la solution réside dans l’abnégation de tout sentiment, de toute attirance pour le bien de tous. Pour son bien à lui. « Hier soir était une erreur. » L’air lui manque, l'étouffant et pourtant, ses iris ne quittent pas les siennes. Elle le sent fouiller le fond de ses prunelles comme à la recherche de son âme, en quête de vérité, et ce n’est qu’en se mordant l’intérieur de la bouche qu’elle arrive à rester sérieuse et fermée, intransigeante. « Je vois. Et puis-je savoir pourquoi ? » Elle n’en sait rien ou trop bien. Son frère venant d’être fiancé, elle était convaincue que son tour ne tarderait pas. Les épées de Damoclès des fiançailles avaient toujours été brandies au-dessus de sa tête, comme un rappel qu’aucun attachement profond ne pouvait être permis. Et c’est ce à quoi elle s’était tenue. Séduisant que ceux avec qui elle ne restait guère longtemps, refusant tout attachement véritable. Ils se connaissaient depuis longtemps, ils se connaissaient trop. Et malgré les coups durs de ces trois dernières années de disputes et d’orgueil blessés, elle ne pouvait pas faire ce pas en avant qu’elle était pourtant prête à franchir à l’aube de sa vingtième année. Pour lui éviter l’ivresse d’un moment éphémère pouvait détruire leurs âmes, elle préféra briser son cœur avant qu’il ne soit trop tard : conviction se logeant dans son cervelle, devenant alors une évidence clairsemée. « Non. » Ferme, elle refuse d’avoir à lui répondre. D’avoir à lui mentir, sachant pertinemment que la vérité serait vite balayée par la logique, mettant alors en danger ses illusions et son plaidoyer. Sans crier gare, il la rapproche de lui afin de pouvoir continuer cette conversation à voix basse, au creux de l’oreille tandis que les dernières notes de musique retentissaient. « Donc tu peux t’envoyer en l’air avec n’importe quel sorcier, pur ou mêlé, mais pas être vu en compagnie d’un pur dont la famille a été lavé de tout soupçon lors de cette affaire révélée par ta mère et ayant jeté le déshonneur sur notre famille. Un déshonneur désuet, bien entendu. Regardes donc comme ils reviennent lécher les bottes de mon père. » Au loin, l’homme était en effet en grande conversation avec quelques membres du ministère reconnus pour être influents, montrant bien que l’affaire était entérinée. Autant qu’elle ne l’était pour elle, Honoria n’ayant jamais fait grand cas de figure de cette histoire, n’étant brouillée avec son ami qu’à cause de la virulence de ses agressions verbales à son encontre. Et pourtant, elle décida de se servir de cet événement pour couvrir la vérité qui la rongeait, ne pouvait décemment pas trouver meilleur mensonge – alors que ce dernier était déjà minable en soi – « Je ne te crois pas. Menteuse. » Les mots susurrés glissent sur elle comme un affront, déshonneur ultime alors que le timbre de voix la fait frissonner. Et il n’y avait pas pire insulte pour Honoria alors qu’il la laissait au milieu de la piste de danse après l’avoir salué galamment, comme le voulait la tradition.
Pourtant, elle ne mentait jamais, Honoria. Hormis dans les cas de forces majeures. Pour Octavian. Pour Isadora. Pour Juliet.
Et pour lui.
Lien avec Octavian Black
Au départ, il l'aimait bien, Alastor. Il l'aimait bien parce qu'ils étaient pareils. Ils étaient tous les deux des héritiers de familles influentes et sang-pures, tous les deux des Serpentards ambitieux, et tous les deux beaucoup trop attachés à Nori. Alors forcément, ils sont devenus proches. Alas s'est fait une place dans le gang de Tavi -un petit groupe de (plus ou moins) riches héritiers, tous plombés par le poids de leur nom de famille, mais tous prêts à se sacrifier les uns pour les autres- et Tavi s'est fait une place dans le cœur d'Alas. Ils n'étaient pas meilleurs amis, loin de là, mais ils se respectaient et tentaient de donner le plus d'amour possible à Nori, ce qui les rapprochait beaucoup. Sauf que tout a basculé lors de ce fameux procès qui a tant coûté à la famille d'Alastor. Octavian a très vite retourné sa veste. On ne touche pas à un cheveux des filles Black. Pas un. Parce que les amis, c'est important, mais la famille, le clan, les Black, ça passe avant tout. Rejeté par Nori, haï par Tavi, il est vite devenu persona non grata parmi le gang. Ça a blessé son ego, ça a réveillé sa rancune. Et même si Nori et Alas s'aiment, il faudra passer sur le corps de Tavi. Parce qu'on ne le lui fait pas deux fois, à lui.
MES ATTENTES
Salut les chatons Si vous lisez cette partie, c'est qu'Alas' vous intéresse, vous plait et çà, çà me fait chaud au coeur vu le plaisir que j'ai eu à le créer et créer la relation
● Au niveau de l'avatar, j'avoue qu'à force d'écrire avec la tronche de Max devant les yeux, il me paraît idéal pour le rôle. Néanmoins, s'il te donne de l'urticaire (es-tu humain ? Regarde-le ), l'avatar est négociable pour un homme du même genre, avec son petit brin de mystère dans les yeux.
● Comme dit plus haut, le nom de famille est libre et le prénom peut ête changé s'il ne vous plait (néanmoins, j'aime beaucoup le diminutif d'Alas' du coup, il faudra me convaincre ). L'histoire, la fratrie et les relations annexes sont entièrement libres. Il s'agit de ton personnage alors appropries-toi le Et au niveau de la présence et de l'écriture, tant que cela convient au forum, cela me conviendra aussi.
En tout cas, sache que de nombreux liens pourront se rajouter au fur et à mesure car les membres sont très accueillants et les black sont in da place Je t'attends de pied ferme et j'ai vraiment hâte de pouvoir jouer avec toi, petit inconnu du web. On fera des bb, après la face de challenge "attrapes-moi si tu peux" Sachant que Nori est amoureuse, ca facilitera le travail bien que de nombreux aléas seront à prendre en compte
Ils sont beaux, ils sont chauds, ils n'attendent que toi pour les faire vivre et palpiter
- InvitéInvité
Re: (m) max irons ★ amis d'enfance, attirance, drama romantique.
Sam 22 Juil 2017 - 17:02
:015:
- InvitéInvité
Re: (m) max irons ★ amis d'enfance, attirance, drama romantique.
Sam 22 Juil 2017 - 19:47
BWAHAHA jvais adorer te détester toi :23:
- InvitéInvité
Re: (m) max irons ★ amis d'enfance, attirance, drama romantique.
Sam 22 Juil 2017 - 20:04
Hiiiiiiiiiiiiiiii love love love ! Épouses-moi
(excuse mon petit message, je suis sur le téléphone ce week-end. Si besoin de quoi que se soit, mpottes-moi )
Edit : Tavi, tu ne me l'abîmes pas trop hein
(excuse mon petit message, je suis sur le téléphone ce week-end. Si besoin de quoi que se soit, mpottes-moi )
Edit : Tavi, tu ne me l'abîmes pas trop hein
- InvitéInvité
Re: (m) max irons ★ amis d'enfance, attirance, drama romantique.
Sam 22 Juil 2017 - 23:20