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mi tuto mundo fine ♦ elena
Mer 27 Sep 2017 - 13:23
Elena Mariangela Vafani
Je suis une Lufkin | perso inventé
« Chi si scusa senza esser accusato, Fa chiaro il suo peccato. » Qui s’excuse sans que cela soit requis s’accuse réellement.
WIZARD CARD INFORMATIONS « Tu sais, tu peux être cette princesse là, en haut de sa tour d’or, mais n’oublie jamais que même si tu deviens populaire, on continuera de cracher du venin sur ton dos, de te ridiculiser. Alors, ma chérie, reste froide, égocentrique, calculatrice, fais-toi des amis, couche à tout va, mais fais en sorte que cela ne se sache jamais, et surtout… Ne te mêle pas trop aux autres, ils savent être dangereux. Trouve un homme fort, il te protégera pendant que lentement, dans son dos, tu le poignardera. Sois une veuve noire, c’est ce que ta famille fait de mieux, cultiver l’argent et les meurtres. » | © .cranberry ◈ Evan Rachel Wood. |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
☆ « Ma natu sole, cchiù bello, oje ne o sole moi sta nfronte a te! O sole, o sole mio, sta nfronte a te! sta nfronte a te!Ma natu sole, cchiù bello, oje ne o sole moi sta nfronte a te! O sole, o sole mio, sta nfronte a te! sta nfronte a te! » Tu te rappelles cette comptine, toi, sur les genoux de ta mère, ses lèvres pulpeuses, tes mains jouant dans ses boucles rousses, et cette odeur… A l’époque, ce n’était que quelques notes de whisky, glissées subtilement entre la menthe et la vanille, odeurs venant des bonbons qu’elle mangeait à longueur de temps, sans prendre un kilo, sans jamais sembler s’arrêter. Tu avais trois ans, tu étais « son soleil », jouant avec tes frères, une époque calme, pleine de rires et de découvertes. La voix qui te chantonnait cette comptine était douce, rassurante, tu étais si bien entre ces bras pâles, contre cette peau froide… Ta mère te souriait à l’époque, de grands sourires qui ne faisaient qu’accentuer ton bonheur, tu la trouvais belle, si belle… Une vraie princesse dans un château d’ivoire.
☆ Tu passais tes journées à l’école, jouant avec tes nombreux copains et copines, tu avais plusieurs amoureux, il faut dire que ta frimousse rendait déjà tous les garçons désireux de te faire des bisous. A huit ans, lorsque tu rentrais, tu te mettais devant la télé, puis ta mère rentrait avec ton grand frère aîné ; il faisait du judo, et rien n’indiquait jusque là que vous soyez des sorciers. Les années passaient, il eut onze ans et partit pour Beauxbâtons, une école de magiciens, la plus proche de chez vous, en France. Il t’envoyait des cartes, plus souvent même que ton propre père, qui faisait des voyages partout, n’étant pas souvent là. Ta mère n’avait pas à travailler, elle te consacrait la majorité de son temps.
☆ Beauxbâtons était toute à toi ; prestigieuse école enseignant charme, jeu, histoire ; c’est là que tu as appris à observer, à noter chaque détail des gens avant d’aller leur parler, c’était un vrai havre de plaisir et de connaissance, chaque vacance était pour toi une déception totale, tu ne voulais pas quitter ton école. Tout en France était si raffiné ! Tu appris le français, commençais à connaître les bases de l’anglais, te faisais quelques amies… A treize ans, ta mère te parla de ta famille, de son histoire ; passionnée par ce que tu appris alors, tout particulièrement sur le pouvoir qu’avait exercé tes ancêtres ; tu passais de longues heures dans ta chambre à lire des manuels sur la politique en Italie, et d’autres sur les histoires des grandes familles napolitaines ; quel prestige que de voir le nom de tes parents inscrit là-dedans !
☆ Les années passaient, ta silhouette s’affinait, tu devenais une magnifique fleur, rose séductrice, pâquerette fleurissante, jouant sans cesse avec les cœurs des autres, ton corps plaisait, tu le savais, et toutes ces séductions te permettaient notamment de t’initier à la manipulation et aux jeux des mots, des notions essentielles dans ta passion, la politique. Le violon était là dans tes moments de blues, aussi rares soient-ils. Tu appris à jouer de la guitare, fit partie intégrante d’un groupe, vous donniez des concerts ; ta scolarité à Beauxbâtons fit de toi une fille belle, forte, populaire, et aspirant au tout-pouvoir. C’est là-bas également que se dévoila ta passion pour le quidditch ; tu étais une attrapeuse d’exception, et ton équipe gagna quelques compétitions à domicile. Ta chambre arborait quelques posters de Vif d’Or et quelques autres de stars masculines (ou féminines) répondant à tes critères de beauté.
☆ La Catastrophe eut lieu. Ta mère changea du tout au tout ; tu adoptais alors une attitude condescendante à son égard, qui donna lieu à des disputes épiques avec le reste de tes frères et sœurs ; au moins, ce malheur fit oublier à ta mère les fiançailles qu’elle avait prévu d’arranger ; ainsi, ton cœur restait libre de faire chavirer d’un coup de cils tous les mâles du coin. Par simple esprit de contradiction, tu couchais avec le garçon avec lequel tes parents voulaient te marier autrefois, une façon de leur faire un pied de nez. Puis, tu le jetais ; tu ne voulais toujours pas d’un statut conjugal fixe. Tu décidais de rester un an encore vers Naples, afin de soutenir un peu, pilier central de la fratrie, la famille, ne souhaitant pas que les Vafani s’écroulent une nouvelle fois.
☆ A 19 ans, tu partis pour Hungcalf, université renommée, à plus de trois mille kilomètres de chez toi, poursuivre tes études ; on parlait là-bas d’une professeure de politique extraordinaire, qui te permettrait d’enrichir tes connaissances et ton pouvoir de manipulation ; tu rejoins la Maison Lufkin, arborant fièrement tes couleurs bleues -elles te rappelaient beaucoup ton pays natal et sa mer. Quelques temps après, tu rejoins leur équipe de quidditch, en tant qu’attrapeuse, et cela te fit plus que plaisir. Ton attraction phénoménale continuait de s’exercer, tu rencontrais de nouvelles personnes tous les soirs, et pas une seule rumeur ne pouvait t’effleurer, tu étais un roc glacial face à elles.
☆ Tu rentrais dans ta deuxième année ; là, tu rencontra ce professeur de théâtre, et directement, c’était une affaire de sentiments entre vous. Comme tous les hommes que tu rencontres, tu couchais avec lui, mais tu finis par t’y attacher ; c'était réciproque, et tu fus confrontée à ton éternel souci. La peur de s’engager, la crainte d’être délaissée, la terreur de devenir comme tout le monde, de rentrer dans un moule duquel tu ne pourrais te défaire, les frissons que te provoquait la seule pensée de ne plus pouvoir t’amuser, de ne plus pouvoir vivre comme avant. Tu prenais tes distances ; pour la première fois, tu pleurais pour un homme autre que ton père, cette ombre furtive. Ce fut dur pour vous deux ; tu l’ignores depuis, mais son charme continue d’exercer son irrémédiable attraction sur toi.
☆ Six ans d’études, et tu continues de rencontrer des nouvelles personnes, de coucher avec de nouveaux garçons -et de nouvelles filles-, d’avoir [b]ce minois irréprochable avec les professeurs[/b… Et ta vie poursuis son cours, rythmée par tes amours, par tes rencontres et par tes aventures dans la belle ville d’Inverness.
☆ Tu passais tes journées à l’école, jouant avec tes nombreux copains et copines, tu avais plusieurs amoureux, il faut dire que ta frimousse rendait déjà tous les garçons désireux de te faire des bisous. A huit ans, lorsque tu rentrais, tu te mettais devant la télé, puis ta mère rentrait avec ton grand frère aîné ; il faisait du judo, et rien n’indiquait jusque là que vous soyez des sorciers. Les années passaient, il eut onze ans et partit pour Beauxbâtons, une école de magiciens, la plus proche de chez vous, en France. Il t’envoyait des cartes, plus souvent même que ton propre père, qui faisait des voyages partout, n’étant pas souvent là. Ta mère n’avait pas à travailler, elle te consacrait la majorité de son temps.
☆ Beauxbâtons était toute à toi ; prestigieuse école enseignant charme, jeu, histoire ; c’est là que tu as appris à observer, à noter chaque détail des gens avant d’aller leur parler, c’était un vrai havre de plaisir et de connaissance, chaque vacance était pour toi une déception totale, tu ne voulais pas quitter ton école. Tout en France était si raffiné ! Tu appris le français, commençais à connaître les bases de l’anglais, te faisais quelques amies… A treize ans, ta mère te parla de ta famille, de son histoire ; passionnée par ce que tu appris alors, tout particulièrement sur le pouvoir qu’avait exercé tes ancêtres ; tu passais de longues heures dans ta chambre à lire des manuels sur la politique en Italie, et d’autres sur les histoires des grandes familles napolitaines ; quel prestige que de voir le nom de tes parents inscrit là-dedans !
☆ Les années passaient, ta silhouette s’affinait, tu devenais une magnifique fleur, rose séductrice, pâquerette fleurissante, jouant sans cesse avec les cœurs des autres, ton corps plaisait, tu le savais, et toutes ces séductions te permettaient notamment de t’initier à la manipulation et aux jeux des mots, des notions essentielles dans ta passion, la politique. Le violon était là dans tes moments de blues, aussi rares soient-ils. Tu appris à jouer de la guitare, fit partie intégrante d’un groupe, vous donniez des concerts ; ta scolarité à Beauxbâtons fit de toi une fille belle, forte, populaire, et aspirant au tout-pouvoir. C’est là-bas également que se dévoila ta passion pour le quidditch ; tu étais une attrapeuse d’exception, et ton équipe gagna quelques compétitions à domicile. Ta chambre arborait quelques posters de Vif d’Or et quelques autres de stars masculines (ou féminines) répondant à tes critères de beauté.
☆ La Catastrophe eut lieu. Ta mère changea du tout au tout ; tu adoptais alors une attitude condescendante à son égard, qui donna lieu à des disputes épiques avec le reste de tes frères et sœurs ; au moins, ce malheur fit oublier à ta mère les fiançailles qu’elle avait prévu d’arranger ; ainsi, ton cœur restait libre de faire chavirer d’un coup de cils tous les mâles du coin. Par simple esprit de contradiction, tu couchais avec le garçon avec lequel tes parents voulaient te marier autrefois, une façon de leur faire un pied de nez. Puis, tu le jetais ; tu ne voulais toujours pas d’un statut conjugal fixe. Tu décidais de rester un an encore vers Naples, afin de soutenir un peu, pilier central de la fratrie, la famille, ne souhaitant pas que les Vafani s’écroulent une nouvelle fois.
☆ A 19 ans, tu partis pour Hungcalf, université renommée, à plus de trois mille kilomètres de chez toi, poursuivre tes études ; on parlait là-bas d’une professeure de politique extraordinaire, qui te permettrait d’enrichir tes connaissances et ton pouvoir de manipulation ; tu rejoins la Maison Lufkin, arborant fièrement tes couleurs bleues -elles te rappelaient beaucoup ton pays natal et sa mer. Quelques temps après, tu rejoins leur équipe de quidditch, en tant qu’attrapeuse, et cela te fit plus que plaisir. Ton attraction phénoménale continuait de s’exercer, tu rencontrais de nouvelles personnes tous les soirs, et pas une seule rumeur ne pouvait t’effleurer, tu étais un roc glacial face à elles.
☆ Tu rentrais dans ta deuxième année ; là, tu rencontra ce professeur de théâtre, et directement, c’était une affaire de sentiments entre vous. Comme tous les hommes que tu rencontres, tu couchais avec lui, mais tu finis par t’y attacher ; c'était réciproque, et tu fus confrontée à ton éternel souci. La peur de s’engager, la crainte d’être délaissée, la terreur de devenir comme tout le monde, de rentrer dans un moule duquel tu ne pourrais te défaire, les frissons que te provoquait la seule pensée de ne plus pouvoir t’amuser, de ne plus pouvoir vivre comme avant. Tu prenais tes distances ; pour la première fois, tu pleurais pour un homme autre que ton père, cette ombre furtive. Ce fut dur pour vous deux ; tu l’ignores depuis, mais son charme continue d’exercer son irrémédiable attraction sur toi.
☆ Six ans d’études, et tu continues de rencontrer des nouvelles personnes, de coucher avec de nouveaux garçons -et de nouvelles filles-, d’avoir [b]ce minois irréprochable avec les professeurs[/b… Et ta vie poursuis son cours, rythmée par tes amours, par tes rencontres et par tes aventures dans la belle ville d’Inverness.
RÉSERVE TON AVATAR
- Code:
<bottin><span class="pris">●</span> <b>evan rachel wood</b> ━ elena vafani</bottin>
- InvitéInvité
Re: mi tuto mundo fine ♦ elena
Mer 27 Sep 2017 - 13:26
LA MEILLEURE EST LA (encore)
Re-bienvenue et bon courage pour la validation !
Re-bienvenue et bon courage pour la validation !
- InvitéInvité
Re: mi tuto mundo fine ♦ elena
Mer 27 Sep 2017 - 13:57
T'es la plus belle des plus belles :sex:
Keur sur toi et re-bienvenue
Keur sur toi et re-bienvenue
- InvitéInvité
Re: mi tuto mundo fine ♦ elena
Mer 27 Sep 2017 - 15:43
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
Have fun sur Hung !
PS: Voilà ce qu'on appelle une jeune femme accomplie ! Et une nouvelle italienne à Hungcalf, pas pour me déplaire ! Rebienvenue avec cette demoiselle qui promet d'envoyer du pâté !
- InvitéInvité
Re: mi tuto mundo fine ♦ elena
Mer 27 Sep 2017 - 15:44
Et bien décidément, que de compliments, merci gentleman Alarik !
merciiiii
merciiiii
- InvitéInvité
Re: mi tuto mundo fine ♦ elena
Mer 27 Sep 2017 - 19:22
Wesh, j'ai même pas eu le temps de te dire re-bienvenue
T'es toujours aussi canon en tout cas, c'est un vraie bombe ton Elena
T'es toujours aussi canon en tout cas, c'est un vraie bombe ton Elena
- InvitéInvité
Re: mi tuto mundo fine ♦ elena
Mer 27 Sep 2017 - 19:31
personne n'en a eu le temps
ouah merci du compliment honey
ouah merci du compliment honey
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