- InvitéInvité
thunder ◊ nevaeh
Sam 16 Sep 2017 - 10:55
— Nevaeh Amelia D'Alverny
Je suis une grymm | personnage inventé
« C’est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se trainer, et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans. Et l’enfance tout ce qui l’en reste ça tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée. »
WIZARD CARD INFORMATIONS sarcastique - théâtrale - possessive - capricieuse - expressive - distinguée - coquette - égoïste - fausse - joueuse - instable - observatrice - réfléchie - autoritaire - distante - séductrice - contrôlée - ambitieuse - secrète | ©️ glamourus ◈ emilia clarke |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
L’horloge centenaire battait la cadence, seul le bruit du balancier régulier donnait l’impression que le temps n’était pas figé dans le manoir d’Alverny. Stoïques, Damien D’Alverny et sa femme, Kate semblaient à peine respirer, attentifs à chaque craquement, à chaque soupir, à chaque éclat de voix. Bientôt, un claquement de porte résonne dans le manoir silencieux et des pas pressés qui dévalent les marches de marbre. Il ne faut pas plus de temps pour qu’un homme d’un certain âge entre dans le petit salon, resserrant sa cape noire sur ses épaules. Levant les yeux vers le nouvel arrivant les parents inquiets se glacent un peu plus. « Que pensez-vous de la situation très cher? » S’enquit Damien en resserrant ses doigts sur le pommeau de sa canne. Le psychomage semble perplexe, mais, redressant ses fines lunettes sur son nez il répond dans un murmure : « Cela me semble ressembler à une banale dépression post-natale Monsieur. » Agacée, Kate secoue la tête et se redresse brusquement du fauteuil sur lequel elle était assise : « Cela n’a rien de banal lorsque cela concerne ma fille. Trouvez une solution. » Elle se sentait dépourvue de tout recours, elle ne pouvait rien faire pour aider sa fille, elle ne la comprenait même pas et se sentait plus que coupable de son état : c’était elle qui avait insisté pour que sa fille soit déscolarisée le temps de sa grossesse. Aujourd’hui elle avait perdu sa fille, elle ne semblait plus être la même. « Ramenez-moi ma fille. » Sa voix se brise dans un sanglot. Pourtant l’américaine n’avait pas l’habitude de se fondre en sentiments. « Maman, tout va bien? » Perdus dans leur pensées aucun n’avait entendu que la principale intéressée s’étaient joints à eux. Les yeux cernés et le teint pale que tu arboraient détonnaient avec l’élégance de tes parents. « J’ai besoin d’aide avec Heloïse. » Reprends-tu en baissant légèrement la tête avant de te reculer rapidement et de repartir sur tes pas. Tu te sentais mal dans cette pièce, à la vue de tous, et tu sentais surtout la nécessité de rejoindre ce petit être qui t’attendait dans ta chambre, ton coeur se serrait rien qu’à l’idée qu’il pouvait lui arriver quelque chose. T’avais entendu ce que disait le psychomage, il avait tord, tu aimais ton enfant, mais il y avait autre chose… Quelque chose que tu ne pouvais pas décrire qui te maintenait hors du temps, hors du monde, tu n’arrivais pas à les rejoindre.
« Maman… » La voix enfantine résonne dans tes oreilles comme une douce mélodie t’arrachant à ton demi sommeil peuplé de cauchemars. Dehors, la lune est haute dans le ciel, éclairant ta chambre de ses rayons froids. Tu ne peines guère trouver ton chemin jusqu’au berceau d’Héloïse qui te fixe avec ses grands yeux clairs. « Je veux un calin, fais moi un câlin… » Ses lèvres ne bougent pas, à son âge, elle ne pouvait pas parler. Mais il te semblait entendre clairement sa voix. Te penchant sur le berceau tu t’étires pour la prendre dans tes bras. Son corps parait si petit, si fragile, t’as peur de la briser rien qu’en la touchant. Un baiser déposé sur son front et tu la portes jusqu’à ton lit, enroulé dans une couverture brodée de fils d’or. « Serres-moi fort s'il te plait, j’ai froid maman… » Enjambant le cadre du lit tu veilles à ne pas la blesser : « Ca va aller ma puce… Maman est là… » Murmures-tu en t’asseyant avec précaution, le dos appuyé contre la tête de lit.
Berçant doucement le petit être dans tes bras tu commences à chantonner doucement une berceuse que ta mère te chantait étant enfant…
« Lullaby and good night,
With pink roses bedight,
With lilies o'er spread
Is my baby's sweet head.
Lay thee down now and rest,
May thy slumber be blessed.
Lay thee down now and rest,
May thy slumber be blessed. »
Les pleurs du nourrisson se taisent, et seule ta voix brise le silence en cette douce nuit de printemps. « Plus fort maman, ne me laisse pas, j'ai peur sans toi... Serres moi plus fort... »
Tu ne te souviens pas t’être endormie, ni avoir terminé de chanter la berceuse, tu ne rappelles pas non plus le réveil qui a suivi, seul persiste le souvenir de son petit corps froid, de ses petites lèvres bleuies par la mort. De tes pleurs, de la douleur, et du regard apeuré de ta mère lorsqu’elle avait déboulé dans ta chambre alarmée par tes cris de détresse. Héloïse n’était plus. Enterrée dans le caveau familial, à l’abris des regards elle n’a pas eu droit à quelconque plaque, après tout, elle n’aurait jamais dû voir le jour. Dans son dernier voyage, elle n’était accompagnée que de la petite couverture brodée à son nom : Héloïse D’Alverny. Et tandis que le caveau était à nouveau scellé ce nom disparaissait avec les souvenirs qui s’y rattachaient, il ne restait que toi pour la faire vivre, encore un peu, dans ton esprit.
« Tu sais ce que je crois? » Sortant de tes rêveries tu hausses un sourcil en te tournant vers l’homme qui t’accompagnait ce soir là. Allongé dans le lit, ce dernier n’avait pas pris la peine de se rhabiller. « Dis moi? » T’appuyant contre le fauteuil de ta coiffeuse tu refermes les pans de ton déshabillé avant de croiser les bras sous ta poitrine. « Tu fais semblant, tu mens, tout à l’heure, au bar, tu faisais semblant, j’en suis sûr. » Un léger rire s’échappe de tes lèvres, s’il savait à quel point il avait raison. Toute la soirée tu avais feins d’être une autre, feins d'être libre et feins de profiter de la fête. Te rapprochant de lui, avec une lenteur démesurée, tu susurres avec un regard malicieux : « Je vais te dire, ce que moi je crois… » Un léger sourire vient se plaquer sur tes lèvres et tu le rejoins dans le lit avant de l’attirer contre toi dans un baiser fougueux : « Qu’il vaudrait mieux que tu profites du peu de temps qu'il nous reste pour me faire l’amour plutôt que pour te poser des questions qui n’ont pas lieu d’être… » Réticent, il pose ses mains sur tes épaules pour t’empêcher d’approcher plus. « N'évite pas le sujet d'Alverny, pas de ça avec moi. » Surprise, tu fronces les sourcils avant de répondre d'un ton bien plus cassant en t'écartant à nouveau de lui : « Si cela ne te convient pas, rien ne t'empêche de partir. Je pense que je peux trouver quelqu’un d’autre pour passer le reste de la nuit avec moi. » Il n’en faut pas plus pour que le brun oublie ses interrogations, piqué dans son égo. Après tout, vous n’étiez pas là pour vous confier sur vos vies respectives.
« Maman… » La voix enfantine résonne dans tes oreilles comme une douce mélodie t’arrachant à ton demi sommeil peuplé de cauchemars. Dehors, la lune est haute dans le ciel, éclairant ta chambre de ses rayons froids. Tu ne peines guère trouver ton chemin jusqu’au berceau d’Héloïse qui te fixe avec ses grands yeux clairs. « Je veux un calin, fais moi un câlin… » Ses lèvres ne bougent pas, à son âge, elle ne pouvait pas parler. Mais il te semblait entendre clairement sa voix. Te penchant sur le berceau tu t’étires pour la prendre dans tes bras. Son corps parait si petit, si fragile, t’as peur de la briser rien qu’en la touchant. Un baiser déposé sur son front et tu la portes jusqu’à ton lit, enroulé dans une couverture brodée de fils d’or. « Serres-moi fort s'il te plait, j’ai froid maman… » Enjambant le cadre du lit tu veilles à ne pas la blesser : « Ca va aller ma puce… Maman est là… » Murmures-tu en t’asseyant avec précaution, le dos appuyé contre la tête de lit.
Berçant doucement le petit être dans tes bras tu commences à chantonner doucement une berceuse que ta mère te chantait étant enfant…
« Lullaby and good night,
With pink roses bedight,
With lilies o'er spread
Is my baby's sweet head.
Lay thee down now and rest,
May thy slumber be blessed.
Lay thee down now and rest,
May thy slumber be blessed. »
Les pleurs du nourrisson se taisent, et seule ta voix brise le silence en cette douce nuit de printemps. « Plus fort maman, ne me laisse pas, j'ai peur sans toi... Serres moi plus fort... »
Tu ne te souviens pas t’être endormie, ni avoir terminé de chanter la berceuse, tu ne rappelles pas non plus le réveil qui a suivi, seul persiste le souvenir de son petit corps froid, de ses petites lèvres bleuies par la mort. De tes pleurs, de la douleur, et du regard apeuré de ta mère lorsqu’elle avait déboulé dans ta chambre alarmée par tes cris de détresse. Héloïse n’était plus. Enterrée dans le caveau familial, à l’abris des regards elle n’a pas eu droit à quelconque plaque, après tout, elle n’aurait jamais dû voir le jour. Dans son dernier voyage, elle n’était accompagnée que de la petite couverture brodée à son nom : Héloïse D’Alverny. Et tandis que le caveau était à nouveau scellé ce nom disparaissait avec les souvenirs qui s’y rattachaient, il ne restait que toi pour la faire vivre, encore un peu, dans ton esprit.
« Tu sais ce que je crois? » Sortant de tes rêveries tu hausses un sourcil en te tournant vers l’homme qui t’accompagnait ce soir là. Allongé dans le lit, ce dernier n’avait pas pris la peine de se rhabiller. « Dis moi? » T’appuyant contre le fauteuil de ta coiffeuse tu refermes les pans de ton déshabillé avant de croiser les bras sous ta poitrine. « Tu fais semblant, tu mens, tout à l’heure, au bar, tu faisais semblant, j’en suis sûr. » Un léger rire s’échappe de tes lèvres, s’il savait à quel point il avait raison. Toute la soirée tu avais feins d’être une autre, feins d'être libre et feins de profiter de la fête. Te rapprochant de lui, avec une lenteur démesurée, tu susurres avec un regard malicieux : « Je vais te dire, ce que moi je crois… » Un léger sourire vient se plaquer sur tes lèvres et tu le rejoins dans le lit avant de l’attirer contre toi dans un baiser fougueux : « Qu’il vaudrait mieux que tu profites du peu de temps qu'il nous reste pour me faire l’amour plutôt que pour te poser des questions qui n’ont pas lieu d’être… » Réticent, il pose ses mains sur tes épaules pour t’empêcher d’approcher plus. « N'évite pas le sujet d'Alverny, pas de ça avec moi. » Surprise, tu fronces les sourcils avant de répondre d'un ton bien plus cassant en t'écartant à nouveau de lui : « Si cela ne te convient pas, rien ne t'empêche de partir. Je pense que je peux trouver quelqu’un d’autre pour passer le reste de la nuit avec moi. » Il n’en faut pas plus pour que le brun oublie ses interrogations, piqué dans son égo. Après tout, vous n’étiez pas là pour vous confier sur vos vies respectives.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>emilia clarke</b> ━ nevaeh d'alverny</bottin>
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Sam 16 Sep 2017 - 11:39
Han la belle Emilia Super choix de vava
ça sent le drama ce début
Rebienvenue sur chez toi Bonne chance pour la suite de ta fiche
ça sent le drama ce début
Rebienvenue sur chez toi Bonne chance pour la suite de ta fiche
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Sam 16 Sep 2017 - 12:41
OH MON DIEUUUUUUUUU !! :107:
Bae, mais ce début de fiche ! Ce perso de folie !
Pis emilia clarke quoi ! Marry me
Va falloir qu'on se trouve un lien bien chanmé !
Bae, mais ce début de fiche ! Ce perso de folie !
Pis emilia clarke quoi ! Marry me
Va falloir qu'on se trouve un lien bien chanmé !
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Sam 16 Sep 2017 - 12:44
omigod!
quel perso de fou que tu concottes là! !
j'ai trop hâte de te voir parmi les verts!
évidemment, il nous faudra un tit lien
quel perso de fou que tu concottes là! !
j'ai trop hâte de te voir parmi les verts!
évidemment, il nous faudra un tit lien
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Sam 16 Sep 2017 - 12:54
Merciiii pour les compliments les petits chats hâte de venir vous embêter sous ce compte
@Landry Mormont bien sur qu'il nous un lien de folie !
@Dorian O'Blake vouiii un lien!
@Landry Mormont bien sur qu'il nous un lien de folie !
@Dorian O'Blake vouiii un lien!
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Sam 16 Sep 2017 - 19:24
Re-bienvenue ici, Neva !
Je te l'ai déjà dis, mais j'adore la fiche !
Je te l'ai déjà dis, mais j'adore la fiche !
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Dim 17 Sep 2017 - 0:12
Emiliaaaaa CE VAVA CE PERSO JE
T'es trop belle en brune, Mama Wright, et je pressens un perso de folie
Re-bienvenue chez toi
(Et Sully va la tenir à l'oeil )
T'es trop belle en brune, Mama Wright, et je pressens un perso de folie
Re-bienvenue chez toi
(Et Sully va la tenir à l'oeil )
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Dim 17 Sep 2017 - 11:46
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
Have fun sur Hung !
PS: cette fiche et ce perso de malade, mamma je suis admirative de ce que tu as pu créer et de ton style d'écriture ! rebienvenue chez toi
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Dim 17 Sep 2017 - 11:50
ooooh merci beaucoup pour ces compliments et pour la validation !
- InvitéInvité
Re: thunder ◊ nevaeh
Dim 17 Sep 2017 - 12:03
ohhhh my gaaad ce personnage
re-bienvenue chez toi
hâte d'avoir un lien avec toi
re-bienvenue chez toi
hâte d'avoir un lien avec toi
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