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Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste ! (cours d'astronomie n°1)
Jeu 28 Sep 2017 - 17:19
Tonight, we sleep among the stars
Je pense que les étoiles sont éclairées pour que chacun puisse un jour retrouver la sienne. Ca mérite bien de s'user les pieds, non ?
Premier cours d'astronomie
Sur la porte de la salle d’astronomie, se trouvait accroché un petit mot écrit dans une encre noire :
« Chers étudiants, chères étudiantes,
Les cours du jour et de demain sont annulés, et vu que vous pourrez faire la grasse matinée demain, je vous propose de me retrouver ce soir pour observer les étoiles ensemble. À vingt-et-une heure, vous trouverez près de la cabane du garde-chasse, un portoloin (une longue-vue, mais j’imagine que vous l’auriez deviné de vous même). Je ne serais pas présent au départ, alors je compte sur vous pour vous attendre les uns, les autres, le départ se fera à vingt-et-une trente. Soyez sûrs d'être bien à l'heure, il serait dommage de rater ce cours à une minute près.
Pour plus de mystère, il en faut toujours un peu, je tiens le lieu de notre destination secret. Je vous conseille cependant de prévoir :
- Votre panoplie d’astronomie (vous pouvez la partager entre vous par gain de place, il va de soi que j’aurais de quoi dépanner les plus têtes en l’air d’entre vous)
- De quoi écrire et noter, si possible de larges parchemins pour de la cartographie (cela reste, malheureusement, un cours et il se peut que je vous demande un travail à me rendre)
- Des couches de vêtements supplémentaires (la nuit est fraiche), couvertures, duvets, plaides, des peluches, des bouillottes (humaines ou non), éventuellement des tentes pour les plus courageux (vive la magie)
- Du thé, du café, des gâteaux, de la nourriture en tout genre (on travaille mieux le ventre plein et votre professeur pèche plus par gourmandise qu'avarice)
- De bonnes chaussures (la pente est parfois raide)
Cette sortie quelque peu improvisée est ouverte à tous les curieux, élèves et professeurs.
À cette nuit,
Hikoboshi Fujiwara. »
Coll, Ecosse.
Le professeur avait le regard plongé dans les étoiles, il était à peine éclairé par la lune, les étoiles étaient parfaitement visibles ce soir. Cet endroit était véritablement magique, le ciel se reflétait dans la mer en contre-bas si bien qu’on pourrait presque les confondre et vouloir nager dans les astres.
Il était présent depuis le début de l’après-midi, cet endroit était particulièrement calme et dépeuplé en cette saison. Ce fut l’ancien professeur d’astronomie qui lui avait fait découvrir cet endroit, et le japonais se demandait encore pourquoi aucune sortie scolaire y avait été organisée. Coll était la seconde île la plus étoilée du monde, un véritable joyau pour l’Écosse et idéal pour une initiation aux mystères de l’astronomie.
À regret, Hikoboshi se détacha de sa contemplation, il était bientôt l’heure. Il revint au camp improvisé, il avait installé un petit feu de camp, une grande table débordée de matériels en tout genre pour observer, une immense carte du ciel était au centre. Bien-sûr, il y avait à disposition des télescopes (certains étaient moldus d’autres avaient des lentilles permettant de voir de plus les astres). Il s’était lui-même installé un petit coin avec divers livres, un immense cousin (vive les sacs à dos magique) une tasse de thé et des gâteaux en tout genre (aussi prévu pour les élèves). Cette installation se trouvait sur le point le plus haut de l’île qui jouissait d’aucune pollution lumineuse, mise à part le feu de camp (mais il était si faible que si on s’éloignait de quelques pas, le ciel était parfaitement intact).
Étonnamment, il ne faisait pas spécialement froid, si ce n’était une légère brise qui se levait de temps à autres. Le professeur n’était pas spécialement couvert, un jean troué, des baskets usées et un pull blanc, mais il avait cette écharpe semblable à un plaid sur ses épaules. On pourrait difficilement le prendre pour un professeur avec cette tenue.
21h30, il leva sa baguette et appela son patronus. Le renard farceur se détacha dans la nuit et parti chercher les élèves en bas de la pente, celle-ci était raide et sinueuse. Et oui, il fallait souffrir pour accéder aux étoiles.
Quand le groupe apparut à sa vue, son renard vint à ses côtés et il ouvrit grand les bras comme pour les accueillir avec un sourire. D’un geste, il désigna le campement improvisé autour de lui :
« Bonne nuit à tous ! J’espère que le trajet n’a pas été trop mouvementé, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Hikoboshi Fujiwara et je me charge de vous faire comprendre et apprécier les astres et leur fonctionnement. Nous sommes tous au complet ? Si c’est le cas, installez-vous confortablement, assis ou debout, avec ou sans nourriture, et un peu à l’écart du feu pour une meilleure visibilité. »
Lui-même se détourna, après avoir salué quelques têtes déjà connues et se mit en tailleur sur son immense grand coussin.
« Bien, j’espère que l’ascension n’a pas été trop difficile ! Mais au moins, on a l’impression d’être littéralement plongé dans les étoiles, pas vrai ? Sortez donc votre matériel, pour ce premier cours de l’année, je compte observer vos connaissances. Dites-moi donc qui est présent dans le ciel ce soir, quels oiseaux, quels animaux, quels héros, quelles princesses ? Qui se sont déjà couchés et qui d’autres attendons-nous cette nuit ? »
« Chers étudiants, chères étudiantes,
Les cours du jour et de demain sont annulés, et vu que vous pourrez faire la grasse matinée demain, je vous propose de me retrouver ce soir pour observer les étoiles ensemble. À vingt-et-une heure, vous trouverez près de la cabane du garde-chasse, un portoloin (une longue-vue, mais j’imagine que vous l’auriez deviné de vous même). Je ne serais pas présent au départ, alors je compte sur vous pour vous attendre les uns, les autres, le départ se fera à vingt-et-une trente. Soyez sûrs d'être bien à l'heure, il serait dommage de rater ce cours à une minute près.
Pour plus de mystère, il en faut toujours un peu, je tiens le lieu de notre destination secret. Je vous conseille cependant de prévoir :
- Votre panoplie d’astronomie (vous pouvez la partager entre vous par gain de place, il va de soi que j’aurais de quoi dépanner les plus têtes en l’air d’entre vous)
- De quoi écrire et noter, si possible de larges parchemins pour de la cartographie (cela reste, malheureusement, un cours et il se peut que je vous demande un travail à me rendre)
- Des couches de vêtements supplémentaires (la nuit est fraiche), couvertures, duvets, plaides, des peluches, des bouillottes (humaines ou non), éventuellement des tentes pour les plus courageux (vive la magie)
- Du thé, du café, des gâteaux, de la nourriture en tout genre (on travaille mieux le ventre plein et votre professeur pèche plus par gourmandise qu'avarice)
- De bonnes chaussures (la pente est parfois raide)
Cette sortie quelque peu improvisée est ouverte à tous les curieux, élèves et professeurs.
À cette nuit,
Hikoboshi Fujiwara. »
+++
Coll, Ecosse.
Le professeur avait le regard plongé dans les étoiles, il était à peine éclairé par la lune, les étoiles étaient parfaitement visibles ce soir. Cet endroit était véritablement magique, le ciel se reflétait dans la mer en contre-bas si bien qu’on pourrait presque les confondre et vouloir nager dans les astres.
Il était présent depuis le début de l’après-midi, cet endroit était particulièrement calme et dépeuplé en cette saison. Ce fut l’ancien professeur d’astronomie qui lui avait fait découvrir cet endroit, et le japonais se demandait encore pourquoi aucune sortie scolaire y avait été organisée. Coll était la seconde île la plus étoilée du monde, un véritable joyau pour l’Écosse et idéal pour une initiation aux mystères de l’astronomie.
À regret, Hikoboshi se détacha de sa contemplation, il était bientôt l’heure. Il revint au camp improvisé, il avait installé un petit feu de camp, une grande table débordée de matériels en tout genre pour observer, une immense carte du ciel était au centre. Bien-sûr, il y avait à disposition des télescopes (certains étaient moldus d’autres avaient des lentilles permettant de voir de plus les astres). Il s’était lui-même installé un petit coin avec divers livres, un immense cousin (vive les sacs à dos magique) une tasse de thé et des gâteaux en tout genre (aussi prévu pour les élèves). Cette installation se trouvait sur le point le plus haut de l’île qui jouissait d’aucune pollution lumineuse, mise à part le feu de camp (mais il était si faible que si on s’éloignait de quelques pas, le ciel était parfaitement intact).
Étonnamment, il ne faisait pas spécialement froid, si ce n’était une légère brise qui se levait de temps à autres. Le professeur n’était pas spécialement couvert, un jean troué, des baskets usées et un pull blanc, mais il avait cette écharpe semblable à un plaid sur ses épaules. On pourrait difficilement le prendre pour un professeur avec cette tenue.
21h30, il leva sa baguette et appela son patronus. Le renard farceur se détacha dans la nuit et parti chercher les élèves en bas de la pente, celle-ci était raide et sinueuse. Et oui, il fallait souffrir pour accéder aux étoiles.
Quand le groupe apparut à sa vue, son renard vint à ses côtés et il ouvrit grand les bras comme pour les accueillir avec un sourire. D’un geste, il désigna le campement improvisé autour de lui :
« Bonne nuit à tous ! J’espère que le trajet n’a pas été trop mouvementé, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Hikoboshi Fujiwara et je me charge de vous faire comprendre et apprécier les astres et leur fonctionnement. Nous sommes tous au complet ? Si c’est le cas, installez-vous confortablement, assis ou debout, avec ou sans nourriture, et un peu à l’écart du feu pour une meilleure visibilité. »
Lui-même se détourna, après avoir salué quelques têtes déjà connues et se mit en tailleur sur son immense grand coussin.
« Bien, j’espère que l’ascension n’a pas été trop difficile ! Mais au moins, on a l’impression d’être littéralement plongé dans les étoiles, pas vrai ? Sortez donc votre matériel, pour ce premier cours de l’année, je compte observer vos connaissances. Dites-moi donc qui est présent dans le ciel ce soir, quels oiseaux, quels animaux, quels héros, quelles princesses ? Qui se sont déjà couchés et qui d’autres attendons-nous cette nuit ? »
- Spoiler:
- Voici pour le cours d'astronomie un cours un peu particulier, mais je commence en douceur, en attendant de voir vos réactions n'hésitez pas à me mpoter, si vous avez des questions !
Oh, et voici une petite antisèche mes chenapans (bah oui, le ciel bouge donc autant partir sur une base commune, j'ai mis comme paramètre Inverness car le simulateur ne connaissait pas Coll ) :
- InvitéInvité
Re: Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste ! (cours d'astronomie n°1)
Sam 30 Sep 2017 - 22:04
Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste !
Exploration nocturne du ciel étoilé
ft. les élèves d'astronomie
« Chers étudiants, chères étudiantes,
Les cours du jour et de demain sont annulés, et vu que vous pourrez faire la grasse matinée demain, je vous propose de me retrouver ce soir pour observer les étoiles ensemble. »
Quoi ? Je lus et relus plusieurs fois la note de mon directeur de maison, qui s’avérait être aussi l’enseignant de l’une des matières principales de mon cursus. Ce n’était pas tant à cause des cours annulés et de la possibilité de faire une grasse matinée qu’à cause de la perspective de passer toute une nuit à observer les étoiles. Et je savais que je n’y serais pas seule, en plus ! Je ne doutais pas d’y trouver Eliott et Adrian. Eliott parce qu’il suivait le même cursus que moi, deux années au-dessus de moi, et Adrian parce qu’il avait astronomie en architecture, ainsi que Louise qui suivait le même cursus que lui. Une possibilité de passer la soirée en amoureux ? Sans doute. . Par contre, je ne comprenais pas pourquoi il nous demandait de nous attendre les uns les autres. Un portoloin partait à l’horaire fixé, qu’on soit là ou pas pour le prendre. Cette précision ne servait donc strictement à rien. J’étais, cependant, totalement d’accord avec lui qu’il valait mieux prendre garde à être bien à l’heure. Me concernant, c’était ce que je comptais faire, et je comptais aussi m’assurer que mes amis le seraient aussi. Hors de question qu’ils loupent ça. Surtout hors de question de rater la perspective de passer une soirée comme celle-ci avec Adrian. Etant en permanence un peu perdue sur mes sentiments, et sur l’avenir que nous pouvions avoir ensemble, les moments que nous passions tous les deux étaient particulièrement précieux.
Je m’empressai donc de noter sur un parchemin ce que je devais apporter, même si pour une bonne partie, c’était la même chose que pour l’excursion en Arizona, le télescope en plus. Je savais, en tout cas, comment j’allais pouvoir caser tout ça. Il n’y avait pas à dire, mais j’adorais littéralement mon sac sans fond. Lorsque j’eus tout noté, je m’empressai de retourner à la chambre que je partageais avec Louise, jetant un coup d’œil à l’ancien lit d’Alexine qui n’était pas revenue à la rentrée – pour l’instant. « Louise !!!! On a une sortie en astronomie ! C’est toutes années confondues !!! » Je m’empressai de tout lui raconter, en préparant mon sac. « Il faut prévoir plein de couches de vêtements, des boissons chaudes, de quoi écrire, sans doute de quoi dessiner une carte du ciel, aussi, vu ce qu’il a demandé comme parchemin, et puis un télescope aussi ! » conclus-je en utilisant ma baguette pour faire rentrer mon télescope de voyage à l’intérieur de mon sac. Par précaution, je pris aussi ma tente, celle que j’avais prise pour aller en Arizona et que j’avais partagée avec la sœur d’Adrian. Quand j’y repensais, c’était la dernière fois que j’avais parlé à la jeune fille, et celle-ci me manquait horriblement. Mais bon… Avec un peu de chance, je n’aurais pas besoin de l’utiliser. Ou alors, je pourrais la partager avec Louise, Adrian et Eliott… Ca serait cool…
L’heure du rendez-vous approchant, je pressai Louise de finir de se préparer, avant d’aller frapper à la porte de la chambre des deux autres Ethelred. S’il y avait bien trois personnes que je ne voulais pas voir rater le portoloin, c’étaient ces trois là.
21h30
Le portoloin nous mena tous à bon port, où nous attendait un renard blanc. Un patronus. Nous le suivîmes tous jusqu’au campement installé par le professeur Fujiwara. La montée avait été un peu compliquée, et je devais bien admettre que j’étais un peu essoufflée à l’arrivée. J’attrapai une bouteille d’eau dans mon sac pour me réhydrater un peu, tout en écoutant les instructions de mon professeur. M’empressant de suivre ses consignes, je m’écartais un peu du feu de camp et sortis un couverture de mon sac que j’étendis devant moi. Celle-ci pouvait accueillir plusieurs personnes et je me demandais qui viendrait me rejoindre. Mais pour l’instant, il fallait que je commence par repérer les étoiles. Comme à chaque fois, je commençai par chercher l’étoile polaire, celle indiquant le nord. La première étoile à se lever le soir, celle qui était le point de repère des navigateurs autrefois, lorsque les GPS n’existaient pas. Cette étoile qui servait aussi bien aux moldus qu’aux sorciers. Je me perdis tellement dans mon observation que j’en oubliais de répondre à la question du sorcier.
Les cours du jour et de demain sont annulés, et vu que vous pourrez faire la grasse matinée demain, je vous propose de me retrouver ce soir pour observer les étoiles ensemble. »
Quoi ? Je lus et relus plusieurs fois la note de mon directeur de maison, qui s’avérait être aussi l’enseignant de l’une des matières principales de mon cursus. Ce n’était pas tant à cause des cours annulés et de la possibilité de faire une grasse matinée qu’à cause de la perspective de passer toute une nuit à observer les étoiles. Et je savais que je n’y serais pas seule, en plus ! Je ne doutais pas d’y trouver Eliott et Adrian. Eliott parce qu’il suivait le même cursus que moi, deux années au-dessus de moi, et Adrian parce qu’il avait astronomie en architecture, ainsi que Louise qui suivait le même cursus que lui. Une possibilité de passer la soirée en amoureux ? Sans doute. . Par contre, je ne comprenais pas pourquoi il nous demandait de nous attendre les uns les autres. Un portoloin partait à l’horaire fixé, qu’on soit là ou pas pour le prendre. Cette précision ne servait donc strictement à rien. J’étais, cependant, totalement d’accord avec lui qu’il valait mieux prendre garde à être bien à l’heure. Me concernant, c’était ce que je comptais faire, et je comptais aussi m’assurer que mes amis le seraient aussi. Hors de question qu’ils loupent ça. Surtout hors de question de rater la perspective de passer une soirée comme celle-ci avec Adrian. Etant en permanence un peu perdue sur mes sentiments, et sur l’avenir que nous pouvions avoir ensemble, les moments que nous passions tous les deux étaient particulièrement précieux.
Je m’empressai donc de noter sur un parchemin ce que je devais apporter, même si pour une bonne partie, c’était la même chose que pour l’excursion en Arizona, le télescope en plus. Je savais, en tout cas, comment j’allais pouvoir caser tout ça. Il n’y avait pas à dire, mais j’adorais littéralement mon sac sans fond. Lorsque j’eus tout noté, je m’empressai de retourner à la chambre que je partageais avec Louise, jetant un coup d’œil à l’ancien lit d’Alexine qui n’était pas revenue à la rentrée – pour l’instant. « Louise !!!! On a une sortie en astronomie ! C’est toutes années confondues !!! » Je m’empressai de tout lui raconter, en préparant mon sac. « Il faut prévoir plein de couches de vêtements, des boissons chaudes, de quoi écrire, sans doute de quoi dessiner une carte du ciel, aussi, vu ce qu’il a demandé comme parchemin, et puis un télescope aussi ! » conclus-je en utilisant ma baguette pour faire rentrer mon télescope de voyage à l’intérieur de mon sac. Par précaution, je pris aussi ma tente, celle que j’avais prise pour aller en Arizona et que j’avais partagée avec la sœur d’Adrian. Quand j’y repensais, c’était la dernière fois que j’avais parlé à la jeune fille, et celle-ci me manquait horriblement. Mais bon… Avec un peu de chance, je n’aurais pas besoin de l’utiliser. Ou alors, je pourrais la partager avec Louise, Adrian et Eliott… Ca serait cool…
L’heure du rendez-vous approchant, je pressai Louise de finir de se préparer, avant d’aller frapper à la porte de la chambre des deux autres Ethelred. S’il y avait bien trois personnes que je ne voulais pas voir rater le portoloin, c’étaient ces trois là.
21h30
Le portoloin nous mena tous à bon port, où nous attendait un renard blanc. Un patronus. Nous le suivîmes tous jusqu’au campement installé par le professeur Fujiwara. La montée avait été un peu compliquée, et je devais bien admettre que j’étais un peu essoufflée à l’arrivée. J’attrapai une bouteille d’eau dans mon sac pour me réhydrater un peu, tout en écoutant les instructions de mon professeur. M’empressant de suivre ses consignes, je m’écartais un peu du feu de camp et sortis un couverture de mon sac que j’étendis devant moi. Celle-ci pouvait accueillir plusieurs personnes et je me demandais qui viendrait me rejoindre. Mais pour l’instant, il fallait que je commence par repérer les étoiles. Comme à chaque fois, je commençai par chercher l’étoile polaire, celle indiquant le nord. La première étoile à se lever le soir, celle qui était le point de repère des navigateurs autrefois, lorsque les GPS n’existaient pas. Cette étoile qui servait aussi bien aux moldus qu’aux sorciers. Je me perdis tellement dans mon observation que j’en oubliais de répondre à la question du sorcier.
ECK
@Louise de la Vallière ; @Eliott Darling; @Adrian O'Connor
- InvitéInvité
Re: Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste ! (cours d'astronomie n°1)
Lun 2 Oct 2017 - 15:58
« Chers étudiants, chères étudiantes, les cours du jour et de demain sont annulés. »
What ?! Sapphire McBee haussa les sourcils d'effroi, figée devant la porte de la salle d'astronomie. Il ne pouvait pas lui faire ça, c'était son cours préféré ! Une sensation assourdissante de colère et de déception s'empara d'elle.
« Vu que vous pourrez faire la grasse matinée demain, je vous propose de me retrouver ce soir pour observer les étoiles ensemble. » Ouffff. Un peu honteuse de s'être emportée avant d'avoir tout lu, Sapphire se pinça les lèvres et soupira pour retrouver son calme. Elle lut les instructions, s'excusa intérieurement d'avoir douté du professeur Fujiwara, et entreprit de trouver son amie Reagan pour l'informer du cours nocturne.
Le soir même, à 21h10, un peu en retard parce que Reagan avait trainé, les deux jeunes femmes atteignirent la cabane du garde-chasse. Le portoloin, une longue-vue, se trouvait à l'endroit indiqué. Sapphire avait revêtu une robe à manches longues, couvrante mais suffisamment ample aux jambes pour pouvoir marcher. Ses pieds, dans des chaussettes épaisses, étaient glissés dans des chaussures de marche. Dans son sac en besace ensorcelé se trouvaient sa baguette, du parchemin, sa plume à papote, du thé au jasmin, des amandes et une couverture polaire. Il fallait attendre l'heure du départ pour que personne ne manque le cours. Sapphire, impatiente, faisait les cent pas en énumérant les lieux possibles pour l'excursion universitaire. Le professeur n'avait pas indiqué où il les emmenait, et elle espérait découvrir un nouveau lieu propice à l'observation.
A 21h30, le groupe des étudiants arriva en bas d'une colline, dans l'obscurité. Un renard lumineux vint à leur rencontre. Sapphire sourit doucement en découvrant le patronus du professeur. Elle monta la pente aux côtés de Reagan, saluant au passage sa camarade Louise, qui était de la partie également. L'Irlandaise remarqua que le cours était suivi par plusieurs personnes qu'elle ne connaissait pas du tout. Il fallait dire qu'elle n'était pas la personne la plus sociable au monde, et elle ne faisait jamais attention aux gens autour d'elle quand elle se trouvait en classe, trop occupée à écouter et à noter le cours. En haut, le campement du professeur Fujiwara semblait accueillant. La Lufkin se dit qu'il cherchait à chouchouter les élèves qui étaient arrivés jusque là.
"Bonne nuit à tous ! J’espère que le trajet n’a pas été trop mouvementé, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Hikoboshi Fujiwara et je me charge de vous faire comprendre et apprécier les astres et leur fonctionnement. Nous sommes tous au complet ? Si c’est le cas, installez-vous confortablement, assis ou debout, avec ou sans nourriture, et un peu à l’écart du feu pour une meilleure visibilité."
Sapphire fit quelques pas aux alentours, en tournant le dos au feu et en levant les yeux pour examiner l'endroit choisi. Ils se trouvaient apparemment sur une île, et le ciel étoilé se reflétait dans l'eau en contre-bas. Les lèvres entrouvertes par l'admiration, Sapphire ne pouvait s'empêcher de s'émerveiller. Elle tourna doucement sur elle-même pour prendre des étoiles plein les yeux, avant de s'adresser à l'enseignant. "Cette île est fabuleuse, Professeur ! Nous sommes à Coll, n'est-ce pas ?" Elle avait déjà profité plusieurs fois de l'emplacement pour des nuits d'observation, Coll se trouvant du bon côté de l'Ecosse quand on vivait à Dublin. Sapphire voulait féliciter le choix du professeur mais n'osa pas le formuler. Son enthousiasme s'entendait suffisamment dans sa voix.
La jeune sorcière revint vers la table au centre du campement, pour jeter un œil satisfait aux cartes du ciel proposées. "Dites-moi donc qui est présent dans le ciel ce soir, quels oiseaux, quels animaux, quels héros, quelles princesses ? Qui se sont déjà couchés et qui d’autres attendons-nous cette nuit ?" Prompte à répondre aux questions posées malgré l'étrange formulation du professeur, Sapphire pivota pour retourner à un endroit propice à l'observation du ciel. Debout, la tête renversée, déversant sa chevelure blonde jusqu'à ses fesses, elle prit le temps de repérer les constellations. "D'ici on voit bien Andromède et Pégase ! Je crois bien que les Pléiades sont là-bas au bout, et dans quelque temps nous devrions voir apparaître Orion." Elle n'avait pas parlé trop fort. Si l'enseignait ne l'entendait pas, ce n'était pas vraiment grave non plus. Il y avait peut-être des étudiants moins à l'aise avec le sujet qui auront plus besoin de son attention. Pour Sapphire, c'était presque aussi facile que de contempler une photo de famille.
What ?! Sapphire McBee haussa les sourcils d'effroi, figée devant la porte de la salle d'astronomie. Il ne pouvait pas lui faire ça, c'était son cours préféré ! Une sensation assourdissante de colère et de déception s'empara d'elle.
« Vu que vous pourrez faire la grasse matinée demain, je vous propose de me retrouver ce soir pour observer les étoiles ensemble. » Ouffff. Un peu honteuse de s'être emportée avant d'avoir tout lu, Sapphire se pinça les lèvres et soupira pour retrouver son calme. Elle lut les instructions, s'excusa intérieurement d'avoir douté du professeur Fujiwara, et entreprit de trouver son amie Reagan pour l'informer du cours nocturne.
Le soir même, à 21h10, un peu en retard parce que Reagan avait trainé, les deux jeunes femmes atteignirent la cabane du garde-chasse. Le portoloin, une longue-vue, se trouvait à l'endroit indiqué. Sapphire avait revêtu une robe à manches longues, couvrante mais suffisamment ample aux jambes pour pouvoir marcher. Ses pieds, dans des chaussettes épaisses, étaient glissés dans des chaussures de marche. Dans son sac en besace ensorcelé se trouvaient sa baguette, du parchemin, sa plume à papote, du thé au jasmin, des amandes et une couverture polaire. Il fallait attendre l'heure du départ pour que personne ne manque le cours. Sapphire, impatiente, faisait les cent pas en énumérant les lieux possibles pour l'excursion universitaire. Le professeur n'avait pas indiqué où il les emmenait, et elle espérait découvrir un nouveau lieu propice à l'observation.
A 21h30, le groupe des étudiants arriva en bas d'une colline, dans l'obscurité. Un renard lumineux vint à leur rencontre. Sapphire sourit doucement en découvrant le patronus du professeur. Elle monta la pente aux côtés de Reagan, saluant au passage sa camarade Louise, qui était de la partie également. L'Irlandaise remarqua que le cours était suivi par plusieurs personnes qu'elle ne connaissait pas du tout. Il fallait dire qu'elle n'était pas la personne la plus sociable au monde, et elle ne faisait jamais attention aux gens autour d'elle quand elle se trouvait en classe, trop occupée à écouter et à noter le cours. En haut, le campement du professeur Fujiwara semblait accueillant. La Lufkin se dit qu'il cherchait à chouchouter les élèves qui étaient arrivés jusque là.
"Bonne nuit à tous ! J’espère que le trajet n’a pas été trop mouvementé, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Hikoboshi Fujiwara et je me charge de vous faire comprendre et apprécier les astres et leur fonctionnement. Nous sommes tous au complet ? Si c’est le cas, installez-vous confortablement, assis ou debout, avec ou sans nourriture, et un peu à l’écart du feu pour une meilleure visibilité."
Sapphire fit quelques pas aux alentours, en tournant le dos au feu et en levant les yeux pour examiner l'endroit choisi. Ils se trouvaient apparemment sur une île, et le ciel étoilé se reflétait dans l'eau en contre-bas. Les lèvres entrouvertes par l'admiration, Sapphire ne pouvait s'empêcher de s'émerveiller. Elle tourna doucement sur elle-même pour prendre des étoiles plein les yeux, avant de s'adresser à l'enseignant. "Cette île est fabuleuse, Professeur ! Nous sommes à Coll, n'est-ce pas ?" Elle avait déjà profité plusieurs fois de l'emplacement pour des nuits d'observation, Coll se trouvant du bon côté de l'Ecosse quand on vivait à Dublin. Sapphire voulait féliciter le choix du professeur mais n'osa pas le formuler. Son enthousiasme s'entendait suffisamment dans sa voix.
La jeune sorcière revint vers la table au centre du campement, pour jeter un œil satisfait aux cartes du ciel proposées. "Dites-moi donc qui est présent dans le ciel ce soir, quels oiseaux, quels animaux, quels héros, quelles princesses ? Qui se sont déjà couchés et qui d’autres attendons-nous cette nuit ?" Prompte à répondre aux questions posées malgré l'étrange formulation du professeur, Sapphire pivota pour retourner à un endroit propice à l'observation du ciel. Debout, la tête renversée, déversant sa chevelure blonde jusqu'à ses fesses, elle prit le temps de repérer les constellations. "D'ici on voit bien Andromède et Pégase ! Je crois bien que les Pléiades sont là-bas au bout, et dans quelque temps nous devrions voir apparaître Orion." Elle n'avait pas parlé trop fort. Si l'enseignait ne l'entendait pas, ce n'était pas vraiment grave non plus. Il y avait peut-être des étudiants moins à l'aise avec le sujet qui auront plus besoin de son attention. Pour Sapphire, c'était presque aussi facile que de contempler une photo de famille.
- InvitéInvité
Re: Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste ! (cours d'astronomie n°1)
Sam 7 Oct 2017 - 14:53
Le premier cours d'astronomie de l'année était prévu en début d'après-midi et, le moins que l'on puisse dire, c'était que Reagan avait tout particulièrement hâte d'y assister. Depuis toute petite déjà, elle se sentait proche des étoiles et de leurs histoires – pour la simple et bonne raison qu'en ce temps-là, sa mère ne cessait jamais d'en parler dès qu'une occasion se présentait. Après tout, elle n'était pas ingénieure en aérospatial pour rien. Ainsi, elle avait partagé sa passion pour les astres et la voûte céleste avec sa fille, plutôt que des contes d'enfants sans queues, ni têtes.
Lorsqu'elle arriva devant la salle d'astronomie, elle découvrit la note du Professeur Fujiwara punaisée sur la porte, à la vue de tous. De prime abord, elle eut peur que le cours soit tout bonnement annulé – et d'un côté, cela ne l'aurait pas surprise, au sens où un cours d'astronomie n'avait que trop rarement lieu en début d'après-midi, le ciel étant trop voilé et ne laissant apercevoir aucun astre si ce n'est le soleil. Au fil de sa lecture, ses yeux atteignirent enfin la ligne manuscrite fixant l'heure et le lieu de rendez-vous du cours, reporté au soir même donc. Un large sourire étira alors ses lèvres rosées. Elle apprécia instantanément l'initiative que prenait l'enseignant. Un peu d'imprévisibilité, dans une matière souvent sous-estimée, était une motivation inégalable pour un auditoire n'étant pas aussi enthousiaste que pouvait l'être Reagan – la curiosité était piquée. Elle lut attentivement les instructions avant de redescendre les marches, d'ores et déjà impatiente que le jour tombe.
En prévision de la soirée, Reagan s'était chaudement habillée, peu désireuse d'être incommodée par les températures automnales glaciales des Highlands. Elle avait aussi chaussé ses bottines de marche marron en cuir souple et avait rempli son sac d'affaires particulièrement utiles à l'observation des étoiles. Le tout était accompagné d'un large parchemin, d'une plume solide et d'un thermos de café chaud. Elle était désormais complètement parée pour affronter cette soirée prometteuse. La seule chose qu'elle regrettait à cet instant, c'était de ne pas connaître la localisation du cours en avance. En vérité, elle avait horreur des portoloins : la sensation était la même que lors d'un transplanage et dans la mesure où elle ne maîtrisait absolument pas la locomotion d'usage sorcière, c'était très désagréable pour elle. Pour ainsi dire, même s'il n'y avait pas de risques possibles avec les portoloins, la sensation identique la faisait craindre la désartibulation. La belle rousse aurait donc préféré conduire sa Ford Anglia jusqu'à bon port, mais soit. Elle n'était pas du genre à trop se plaindre. Dans la journée, elle avait croisé Sapphire et les deux jeunes femmes s'étaient donné rendez-vous pour partir ensemble jusqu'au portoloin. Lorsque 21h30 sonnèrent, la plupart des élèves devant assister au cours étaient présent, la main posée sur la longue vue. Reagan ferma les paupières, se concentrant pour garder le contrôle de son estomac. Ils disparurent dans un tourbillon désagréable et la seconde suivante, leurs pieds heurtèrent la terre ferme, sous la brise de l'île de Coll.
Un renard argenté leur servit de comité d'accueil, ce qui la perturba légèrement, car il ressemblait fortement à son propre patronus. Il était plus qu'évident qu'il fallait suivre ce dernier jusqu'au sommet et les étudiants se préparèrent à une belle ascension. Reagan n'était pas particulièrement féru d'escalades, néanmoins, étant de nature sportive, elle n'eut pas énormément de mal à atteindre le sommet. Une fois en haut, elle tendit la main à McBee pour l'aider à monter les dernières enjambées. Le Fujiwara les attendait là, installé patiemment près d'un feu de camp. Après les présentations et congratulations, tout le monde s'installa et le cours débuta.
« Dites-moi donc qui est présent dans le ciel ce soir, quels oiseaux, quels animaux, quels héros, quelles princesses ? Qui se sont déjà couchés et qui d’autres attendons-nous cette nuit ? »
Il y eut un petit instant de silence, rapidement comblé par la réponse plutôt précise de Sapphire. Cette dernière n'avait fait que murmurer, mais Reagan était certaine qu'elle avait été suffisamment audible pour que le professeur l'entende.
« Au Nord, on peut aussi voir la Grande Ourse, la constellation du Dragon est pile au-dessus de nos têtes... Moins distinctement, il y a la chevelure de Bérénice la couronne boréale. » Ajouta-t-elle.
Bien que distinguant très précisément toutes les constellations présentées au-dessus d'eux, elle préféra se taire pour donner aux autres la possibilité de répondre eux aussi. Elle sortit de son sac le thermos de café qu'elle avait préparé un peu plus tôt et en but une longue gorgée, avant d'en proposer à Sapphire.
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Re: Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste ! (cours d'astronomie n°1)
Sam 7 Oct 2017 - 16:44
Qui dit dix-huit heures dit fin des cours. Début de la détente, aussi. Je prévois de passer une soirée tranquille à me goinfrer et à me plonger dans mes lectures préférées. Malheureusement pour moi, mon programme est mis à rude épreuve quand Ceilynn débarque, une heure et demie plus tard, comme une furie dans notre dortoir. « Louise !!!! On a une sortie en astronomie ! C’est toutes années confondues !!! » Un peu abasourdie, je l'observe préparer son sac en quatrième vitesse, mon roman à la main. Je finis par le poser quelque part, alors que Ceilynn conclut son discours par. « Il faut prévoir plein de couches de vêtements, des boissons chaudes, de quoi écrire, sans doute de quoi dessiner une carte du ciel, aussi, vu ce qu’il a demandé comme parchemin, et puis un télescope aussi ! » Je hoche la tête et décide de l'imiter. Une demi-heure plus tard, nous étions prêtes à partir Je remercie ma décision, autrement elle aurait bien été capable de me traîner tel quel au cours d'astronomie. Je suis mes trois compères en direction du portoloin et je rumine en silence sur la raideur de la pente. Il faut vraiment que je me remette à danser, comme je l'ai dit à Ceilynn quelques jours plus tôt.
Vingt et une heures trente arrive plus rapidement que prévu et je m'étonne du nombre de personnes présentes. Je ne pensais pas qu'on serait si nombreux. Je repère rapidement Reagan, ma partenaire de travail tout aussi exigeante que moi, et Sapphire McBee, une Lufkin extrêmement brillante. J'admire son esprit. Sa timidité, un peu moins. Je suis sûre que si elle prenait confiance en elle, elle aurait une possibilité infinie d'avenirs à sa portée. Un renard nous attend, sagement assis. J'adore cet animal. Il tourne rapidement les pattes et nous conduit jusqu'au professeur qui nous accueille d'un large geste du bras, accompagné de paroles destinées à inaugurer le début du cours.
J'imite mes camarades et m'assieds sur le tapis de sol que j'ai déroulé quelques minutes auparavant. L'étude des astres et des étoiles m'a plus ou moins toujours fascinée, même si je suis moins calée sur ce sujet que d'autres. Je tourne la tête et souris en écoutant la réponse murmurée de la jolie blonde studieuse, située un peu plus loin, et acquiesce en silence au discours de Reagan, assise juste à côté. Je n'aime pas particulièrement attirer l'attention sur moi, moi non plus, mais je me force. « Personnellement, j'aurais tendance à distinguer la constellation du Cygne, Céphée et, à l'ouest, Orphiuchus. »
Je n'aime pas attirer l'attention sur moi, pour d'autres raisons que Sapphire, et je me camoufle très vite derrière mes cheveux. Néanmoins, le sujet me passionne tellement que je sens que je vais vite oublier ma réserve pour me lancer à esprit perdu dans le cours. L'astronomie me fait rêver, c'est un fait. J'échange un sourire rapide avec mes camarades les plus proches, Ceilynn, Reagan et Sapphire avant que l'admiration céleste perturbe notre échange. J'envie les astronautes moldus qui ont pu, eux, séjourner dans l'espaces quelques mois. La nuit et les murmures élogieux m'entourent, m'arrachant de nouveau un sourire. Je sais, à cet instant précis, que je vais devenir la première fan du professeur d'astronomie et de ses méthodes. S'il nous prépare ça à chaque fois, je veux bien me dévouer pour lui préparer, en guise de remerciement, des cookies faits maison.
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Re: Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste ! (cours d'astronomie n°1)
Dim 15 Oct 2017 - 14:53
Cours d'Astronomie - Groupe
“In one of those stars I shall be living. In one of them I shall be laughing. And so it will be as if all the stars were laughing, when you look at the sky at night. And when your sorrow is comforted you will be content that you have known me. You will always be my friend...I shall not leave you.”
Les cours du jour et de demain sont annulés, et vu que vous pourrez faire la grasse matinée demain, je vous propose de me retrouver ce soir pour observer les étoiles ensemble. Ce petit détail avait percuté mon esprit quand j'avais reçu la note de notre professeur d'astronomie et accessoirement directeur de notre maison. Seulement voilà, tête en l'air comme toujours j'avais totalement oublié ce détail une fois la nuit tombée. Je déambulais dans ma chambre, à moitié en pyjama alors que je cherchais une quelconque occupation. Cependant voir mes deux collocs en train de se préparer me mis la puce à l'oreille
-Merde .... le cours d'astro et j'ai rien préparé - Je ne savais si je devais me ruer sur mon matériel ou sur la tenue chaude recommandée par Hiko. Fais chier, jamais j'arriverais à être à l'heure quelque part. Je mettais de manière plutôt désorganisée des livres et de grands parchemins vierges dans mon sac tout en enfilant tant bien que mal un pull à la place de mon pyjama. Ajoutant par la suite de quoi noter ainsi que un ou deux livres de mon année alors que je sautillais maladroitement en enfilant un pantalon. L'avantage des sacs sans fond c'est qu'on peut mettre une demie tonne de trucs dedans sans qu'il ai des soucis à fermer. J'ajoutais à tout cela mon télescope pliable de voyage qui avait vu les constellations du bout du monde avec moi.
"J'arrive!!! On arrive attends" dis-je a l'attention de Lynn alors que je cherchais de quoi ne pas mourir de froid par cette sortie nocturne automnale tout en cherchant un petit sachet de biscuits et autres douceurs que j'avais fait moi même. C'est pas grave si on a une chaussette rouge et une noire n'est-ce-pas? ... Je n'avais pas eu le temps de chercher sa jumelle colorée alors j'avais pris la première qui s'était présentée à moi. J'avais mis le plus de matériel possible en le peu de temps dont je disposais à cause de mon étourderie naturelle. Finissant par rejoindre tous les autres élèves accompagné de mes amis. C'était donc avec mon don d'arriver pile poil à l'heure que nous nous étions présentés au Portoloin.
Nous avions été accueillis par un petit renard que je connaissais bien et qui était similaire au mien. Brillant et espiègle tout comme celui que je pouvais faire apparaître. C'était assez curieux de voir que l'animal qui nous représentait était le même. Suivant donc notre guide nous étions arrivés à un observatoire absolument magnifique. J'avais vu beaucoup d'endroits superbes dans ma vie mais je dois avouer que ce petit coin d'espace près de la maison était à couper le souffle. J'eus d'ailleurs littéralement la tête dans les étoiles, le nez levé en direction de ce ciel qui semblait être à portée de main. La question de Hiko me fit partiellement revenir à la réalité. Je ne suis pas super doué en astronomie même si cette matière me passionne réellement. Je donnais mon maximum pour "briller" dans ce domaine car c'était l'une des principales matières de mon cursus scolaire et je ne pouvais pas passer à côté pour mon examen de dernière année qui arrivait à grand pas. Je me fis tout petit devant les réponses spontanées de mes camarades. Ce n'était clairement pas dans ce cours que j'allais pouvoir montrer de connaissances pointues mais je ferais de mon mieux.
"Effectivement il y a la Grande Ourse par ici ... je crois aussi remarquer tout comme Sapphire la constellation de Pégase" c'était pour moi plutôt compliqué de voir tout ces dessins étoilés dans ce ciel qui comptait des milliards et des milliards d'étoiles. Je pris place sur un petit rocher à proximité de où je me trouvais et commençais à essayer de distinguer d'autres constellations qui n'avaient pas été repérées histoire de ne pas passer le début du cours à répéter ce qui avait déjà été dit. "C'est ironique mais il y a la Constellation du Petit Renard qui semble être à l'Est ... cachée par une autre nuée d'étoiles." j'avais murmuré ça, par peur de dire une ânerie aussi grosse que moi..
-Merde .... le cours d'astro et j'ai rien préparé - Je ne savais si je devais me ruer sur mon matériel ou sur la tenue chaude recommandée par Hiko. Fais chier, jamais j'arriverais à être à l'heure quelque part. Je mettais de manière plutôt désorganisée des livres et de grands parchemins vierges dans mon sac tout en enfilant tant bien que mal un pull à la place de mon pyjama. Ajoutant par la suite de quoi noter ainsi que un ou deux livres de mon année alors que je sautillais maladroitement en enfilant un pantalon. L'avantage des sacs sans fond c'est qu'on peut mettre une demie tonne de trucs dedans sans qu'il ai des soucis à fermer. J'ajoutais à tout cela mon télescope pliable de voyage qui avait vu les constellations du bout du monde avec moi.
"J'arrive!!! On arrive attends" dis-je a l'attention de Lynn alors que je cherchais de quoi ne pas mourir de froid par cette sortie nocturne automnale tout en cherchant un petit sachet de biscuits et autres douceurs que j'avais fait moi même. C'est pas grave si on a une chaussette rouge et une noire n'est-ce-pas? ... Je n'avais pas eu le temps de chercher sa jumelle colorée alors j'avais pris la première qui s'était présentée à moi. J'avais mis le plus de matériel possible en le peu de temps dont je disposais à cause de mon étourderie naturelle. Finissant par rejoindre tous les autres élèves accompagné de mes amis. C'était donc avec mon don d'arriver pile poil à l'heure que nous nous étions présentés au Portoloin.
21h30 -
Nous avions été accueillis par un petit renard que je connaissais bien et qui était similaire au mien. Brillant et espiègle tout comme celui que je pouvais faire apparaître. C'était assez curieux de voir que l'animal qui nous représentait était le même. Suivant donc notre guide nous étions arrivés à un observatoire absolument magnifique. J'avais vu beaucoup d'endroits superbes dans ma vie mais je dois avouer que ce petit coin d'espace près de la maison était à couper le souffle. J'eus d'ailleurs littéralement la tête dans les étoiles, le nez levé en direction de ce ciel qui semblait être à portée de main. La question de Hiko me fit partiellement revenir à la réalité. Je ne suis pas super doué en astronomie même si cette matière me passionne réellement. Je donnais mon maximum pour "briller" dans ce domaine car c'était l'une des principales matières de mon cursus scolaire et je ne pouvais pas passer à côté pour mon examen de dernière année qui arrivait à grand pas. Je me fis tout petit devant les réponses spontanées de mes camarades. Ce n'était clairement pas dans ce cours que j'allais pouvoir montrer de connaissances pointues mais je ferais de mon mieux.
"Effectivement il y a la Grande Ourse par ici ... je crois aussi remarquer tout comme Sapphire la constellation de Pégase" c'était pour moi plutôt compliqué de voir tout ces dessins étoilés dans ce ciel qui comptait des milliards et des milliards d'étoiles. Je pris place sur un petit rocher à proximité de où je me trouvais et commençais à essayer de distinguer d'autres constellations qui n'avaient pas été repérées histoire de ne pas passer le début du cours à répéter ce qui avait déjà été dit. "C'est ironique mais il y a la Constellation du Petit Renard qui semble être à l'Est ... cachée par une autre nuée d'étoiles." j'avais murmuré ça, par peur de dire une ânerie aussi grosse que moi..
(c) Miss Pie
- InvitéInvité
Re: Sacrifiez votre voûte plantaire à la voûte céleste ! (cours d'astronomie n°1)
Mar 20 Fév 2018 - 12:04
Bonjour à tous Comme vous le voyez le sujet n'est plus actif depuis un long moment Du coup je vais l'archiver pour repartir bientôt sur de bonnes bases avec un nouveau sujet en début de semaine prochaine, si vous avez des envies particulières ou des idées, n'hésitez pas à me mp !
@Isalynn Fraser @Sapphire McBee @Reagan Bale
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