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HYSTERIA (eustache)
Mar 12 Déc 2017 - 23:11
— Eustache Victorien Desjardins
Je suis un Ethelred | pré-lien| soundtrack
« tu n'appartiens pas à la race des dieux, tu n'es que le déchet de ce que tu aurais pu être »
WIZARD CARD INFORMATIONS | ©️ vinyles idylles ◈ adam driver |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
"Tu tends ta petite main frêle pour saisir cet instant. Un nouveau-né qui s'agrippe à tes doigts et te sers si fort qu'on dirait qu'il ne te lâchera plus jusqu'à la fin de sa vie. Ses yeux s'emplissent de rires et ses gazouillies éclatent dans tes oreilles comme un feu d'artifice. Un souvenir granitique qui t'ébranle à chaque fois que tu croises le regard de cette petite créature qui grandit à tes côtés, se parant de robes en dentelles et de sourires vrais. Et tu la regardes encore et encore, murmurant du bout de tes lèvres son prénom qui sonne comme une rengaine mélancolique à tes oreilles. Un temps révolu qui te rappelle que la princesse ne voit plus qu'en toi une ombre, pareille à un fantôme qui erre dans les couloirs du manoir familial. De brefs regards en biais, cachés sous une lourde couche d'indifférence. Ton cœur se brise quand ses yeux verts t'ignorent. La rancœur est trop forte en elle. Mais tu n'arrives pas à regretter tes gestes et tes paroles, s'en est regrettables, toi qui aurais pu tant lui apporter. Orgueilleux, va."
I. MÉMOIRE
On la connaît partout dans le Nord de la France cette famille. Le nom s'affiche dans les magazines, à la télévision, à la radio. Le monde moldu est merveilleux quand il s'agit de popularité. Tu caresses doucement ce portrait de famille qui luit sur le papier glacé de la revue. La famille parfaite, dit-on. Un rictus moqueur s'esquisse sur tes traits fatigués par les pilules. Une le matin, une le midi, deux le soir. Rituel plus que vicieux qui te rend accro à la fluoxétine. Tu pourrais gravement déraper si Maman ne te les donnait pas chaque jour. C'est triste tout de même qu'à dix-sept ans, tu sois entièrement dépendant de simples gélules. Tu aimerais savoir pourquoi ils te droguent comme ça. Pourquoi depuis des années, tes parents frémissent que tu oublies de prendre ce médicament précieux. Tu n'as jamais tenté le diable, de peur de voir la vérité.
C'est le rire éclatant de ta sœur qui te sort de tes pensées.
"'Stache ! Amène-toi, regarde le soleil comme il brille ! Pourquoi on irait pas dehors, faire un tour ? Ca fait longtemps ! C'est tellement rare de voir le ciel bleu à Wattrelos, viens on prend l'air !"
Sa silhouette menue danse devant les rayons du soleil qui traverse la vitre de ta chambre. Tu ne résistes pas une seconde, et la suis dans le domaine Desjardins. Des fleurs et des arbres à perte de vue, taillés proprement en un labyrinthique jardin, à la façon de Versailles. Aliénor caresse les broussailles qui dépassent, un sourire large sur les lèvres roses. Tu la suis, dans ton costume trois pièces d'une élégance presque ridicule. Stoïque, droit, strict. On dirait presque ton père. Ta jeune sœur te le fait d'ailleurs remarquer.
"Tu en tires une tête. Qu'est-ce qui ne va pas ?"
Sa voix est fluette, douce. Elle n'a que douze ans, mais tu sens dans son regard une maturité qu'elle n'aurait pas dû atteindre si tôt. Une maturité qu'elle-même n'a pas conscience d'avoir. Tu ne réponds qu'avec un simple sourire.
"Rien du tout."
Aliénor est agacée par cette nonchalance qui te caractérise tant.
"Tu n'as jamais rien, mais je vois bien que depuis trop longtemps quelque chose te tracasse. Mais tu ne veux jamais parler. Tu ne veux jamais ME parler. C'est pénible à la fin, Eustache."
Des mots se bousculent dans ta gorge. Tu as l'impression de lui devoir une vérité qui te paraît encore trop floue. Tu ne peux rien lui dire, toi-même, tu n'es pas sûr. Mais elle a raison. Depuis quelque temps, des flashs t'apparaissent, des flashs horribles, des souvenirs enfouies, des scènes vues par des yeux d'enfants. Les choses cachées par les antidépresseurs. Tu ne veux pas savoir, tu as peur de cette vérité que tu nies. Tes mains se mettent à trembler. Ta jeune sœur le remarque. Ses yeux s'agrandissent d'inquiétude.
"Eustache ?"
"J'ai...J'ai pas pris mes médocs."
Tu rebrousses chemin rapidement, le démon dans les yeux, les mains portées aux lèvres. Un relent de pourriture qui arrache ton œsophage. Douleur aigre qui t'arrache une grimace. Tes pas s'accélèrent alors que ta sœur hurle ton nom, en te poursuivant dans le jardin. Tu ne te retiens plus, un liquide orangeâtre s'échappe de ta bouche en éraflant ta gorge, la mettant à sang. Tu halètes, un genou à terre. Et la mémoire te revient, comme un horrible rêve que tu avais oublié.
II. TRAHISON
"Tu te rends compte Eustache ?! Est-ce que tu te rends compte de tout ça ?!"
Tu regardais dans le vide, tes yeux verts perdus dans l'infinité du carrelage blanc.
"Tu ne pouvais pas lui dire ça ! Tu n'avais pas le droit !"
Ta mère hurle dans le grand salon, des larmes noires de mascara qui coulent le long de ses joues. Son visage est bouffi de colère.
"C'était ton rôle de la protéger de la vérité Eustache ! Tu es son grand frère et j'avais confiance en toi ! Qu'est-ce qu'elle va devenir avec cette information aussi néfaste qu'une plaie suppurante ? Tu crois que ça lui fait du bien de savoir qu'elle est issue d'un viol ?! TU CROIS ?!"
La gifle part toute seule. Elle résonne avec fracas dans la spacieuse pièce. Tu ne bronches pas. Pas un mot ne sort de ta bouche. Tu assumes ton choix, tu assumes les conséquences. Aliénor avait le droit de savoir. La famille avait le droit de savoir. Savoir que cette femme, Madame Desjardins s'était faite souiller par un ignoble associé de son propre époux. Et que cette petite fille qui grandit à le sang de ce monstre en elle. Un secret trop bien gardé, jamais dit au père Desjardins, ignorant les tragiques conditions de la conception de sa chère et tendre fillette. Mais toi, tu étais là ce jour-là. Caché dans le bureau de ton père, tu jouais secrètement avec ses bibelots qu'il t'avait pourtant interdit de toucher. Et la tornade est entrée. Ta mère, le collant baissé par une main inquisitrice, l'autre plaquée sur sa bouche. Ses fesses se posent sur le bureau avec fracas, faisant tomber les papiers dit importants. Ses gémissements plaintifs sont couverts par l'aliénation de l'homme qui commence son horrible besogne. Et tu assistes impuissant à la scène, sous le bureau, sans un mot, ne voyant que deux paires de jambes s'agiter frénétiquement. Tu n'as que quatre ans, tu ne comprends pas bien ce qu'il se passe, mais tu sais que c'est grave.
Tu faisais des cauchemars répétitifs que ta mère s'empressait de calmer, de peur que tu ne craches la vérité. Sont venus les médicaments lorsque le ventre d'Apolline s'est arrondi. Et tu as oublié, les souvenirs embrumés par les pilules. Jusqu'à il y a à peine quelques semaines. Un simple oubli de ce médicament t'as fait revivre la scène avec des couleurs saturées, comme si tu y étais. Et rien ne te le fera oublier. Tu dois continuer de prendre tes pilules si tu ne veux pas revivre des épisodes comme dans le jardin. Mais tu n'oublieras plus.
III. INDIFFÉRENCE
Tu es entré à Hungcalf sans trop de problèmes. Papa a de nombreux avantages, et malgré ta turbulence à Beauxbâtons, l'Université Prestigieuse t'a accepté. Tu as quitté la maison familiale, laissant tes parents en froid, parlant presque de divorce depuis la révélation, ton frère Constance d'à peine huit ans, ne comprenant pas vraiment la teneur des évènements. Et ta sœur. Aliénor. Aliénor autrefois pleine de vie et de joie. Aujourd'hui ombre d'elle-même, ne t'adressant plus aucun mot. Rancœur qui t'en veut de ne rien lui avoir dit, de ne rien avoir fait. Elle, la fille d'un moins-que-rien. La fille d'un mensonge. Tu laisses la France derrière toi, la boule au ventre, mais pleinement conscient et sûr de tes choix. Tu ne reviendras pas sur tes pas, tu pars seul, ta boîte de pilules dans la main, une bague de fiançailles autour de l'annulaire, et un soupçon d'indifférence dans le regard lorsque tu laisses cette famille déchirée sur le pas de la porte.
On la connaît partout dans le Nord de la France cette famille. Le nom s'affiche dans les magazines, à la télévision, à la radio. Le monde moldu est merveilleux quand il s'agit de popularité. Tu caresses doucement ce portrait de famille qui luit sur le papier glacé de la revue. La famille parfaite, dit-on. Un rictus moqueur s'esquisse sur tes traits fatigués par les pilules. Une le matin, une le midi, deux le soir. Rituel plus que vicieux qui te rend accro à la fluoxétine. Tu pourrais gravement déraper si Maman ne te les donnait pas chaque jour. C'est triste tout de même qu'à dix-sept ans, tu sois entièrement dépendant de simples gélules. Tu aimerais savoir pourquoi ils te droguent comme ça. Pourquoi depuis des années, tes parents frémissent que tu oublies de prendre ce médicament précieux. Tu n'as jamais tenté le diable, de peur de voir la vérité.
C'est le rire éclatant de ta sœur qui te sort de tes pensées.
"'Stache ! Amène-toi, regarde le soleil comme il brille ! Pourquoi on irait pas dehors, faire un tour ? Ca fait longtemps ! C'est tellement rare de voir le ciel bleu à Wattrelos, viens on prend l'air !"
Sa silhouette menue danse devant les rayons du soleil qui traverse la vitre de ta chambre. Tu ne résistes pas une seconde, et la suis dans le domaine Desjardins. Des fleurs et des arbres à perte de vue, taillés proprement en un labyrinthique jardin, à la façon de Versailles. Aliénor caresse les broussailles qui dépassent, un sourire large sur les lèvres roses. Tu la suis, dans ton costume trois pièces d'une élégance presque ridicule. Stoïque, droit, strict. On dirait presque ton père. Ta jeune sœur te le fait d'ailleurs remarquer.
"Tu en tires une tête. Qu'est-ce qui ne va pas ?"
Sa voix est fluette, douce. Elle n'a que douze ans, mais tu sens dans son regard une maturité qu'elle n'aurait pas dû atteindre si tôt. Une maturité qu'elle-même n'a pas conscience d'avoir. Tu ne réponds qu'avec un simple sourire.
"Rien du tout."
Aliénor est agacée par cette nonchalance qui te caractérise tant.
"Tu n'as jamais rien, mais je vois bien que depuis trop longtemps quelque chose te tracasse. Mais tu ne veux jamais parler. Tu ne veux jamais ME parler. C'est pénible à la fin, Eustache."
Des mots se bousculent dans ta gorge. Tu as l'impression de lui devoir une vérité qui te paraît encore trop floue. Tu ne peux rien lui dire, toi-même, tu n'es pas sûr. Mais elle a raison. Depuis quelque temps, des flashs t'apparaissent, des flashs horribles, des souvenirs enfouies, des scènes vues par des yeux d'enfants. Les choses cachées par les antidépresseurs. Tu ne veux pas savoir, tu as peur de cette vérité que tu nies. Tes mains se mettent à trembler. Ta jeune sœur le remarque. Ses yeux s'agrandissent d'inquiétude.
"Eustache ?"
"J'ai...J'ai pas pris mes médocs."
Tu rebrousses chemin rapidement, le démon dans les yeux, les mains portées aux lèvres. Un relent de pourriture qui arrache ton œsophage. Douleur aigre qui t'arrache une grimace. Tes pas s'accélèrent alors que ta sœur hurle ton nom, en te poursuivant dans le jardin. Tu ne te retiens plus, un liquide orangeâtre s'échappe de ta bouche en éraflant ta gorge, la mettant à sang. Tu halètes, un genou à terre. Et la mémoire te revient, comme un horrible rêve que tu avais oublié.
"Tu te rends compte Eustache ?! Est-ce que tu te rends compte de tout ça ?!"
Tu regardais dans le vide, tes yeux verts perdus dans l'infinité du carrelage blanc.
"Tu ne pouvais pas lui dire ça ! Tu n'avais pas le droit !"
Ta mère hurle dans le grand salon, des larmes noires de mascara qui coulent le long de ses joues. Son visage est bouffi de colère.
"C'était ton rôle de la protéger de la vérité Eustache ! Tu es son grand frère et j'avais confiance en toi ! Qu'est-ce qu'elle va devenir avec cette information aussi néfaste qu'une plaie suppurante ? Tu crois que ça lui fait du bien de savoir qu'elle est issue d'un viol ?! TU CROIS ?!"
La gifle part toute seule. Elle résonne avec fracas dans la spacieuse pièce. Tu ne bronches pas. Pas un mot ne sort de ta bouche. Tu assumes ton choix, tu assumes les conséquences. Aliénor avait le droit de savoir. La famille avait le droit de savoir. Savoir que cette femme, Madame Desjardins s'était faite souiller par un ignoble associé de son propre époux. Et que cette petite fille qui grandit à le sang de ce monstre en elle. Un secret trop bien gardé, jamais dit au père Desjardins, ignorant les tragiques conditions de la conception de sa chère et tendre fillette. Mais toi, tu étais là ce jour-là. Caché dans le bureau de ton père, tu jouais secrètement avec ses bibelots qu'il t'avait pourtant interdit de toucher. Et la tornade est entrée. Ta mère, le collant baissé par une main inquisitrice, l'autre plaquée sur sa bouche. Ses fesses se posent sur le bureau avec fracas, faisant tomber les papiers dit importants. Ses gémissements plaintifs sont couverts par l'aliénation de l'homme qui commence son horrible besogne. Et tu assistes impuissant à la scène, sous le bureau, sans un mot, ne voyant que deux paires de jambes s'agiter frénétiquement. Tu n'as que quatre ans, tu ne comprends pas bien ce qu'il se passe, mais tu sais que c'est grave.
Tu faisais des cauchemars répétitifs que ta mère s'empressait de calmer, de peur que tu ne craches la vérité. Sont venus les médicaments lorsque le ventre d'Apolline s'est arrondi. Et tu as oublié, les souvenirs embrumés par les pilules. Jusqu'à il y a à peine quelques semaines. Un simple oubli de ce médicament t'as fait revivre la scène avec des couleurs saturées, comme si tu y étais. Et rien ne te le fera oublier. Tu dois continuer de prendre tes pilules si tu ne veux pas revivre des épisodes comme dans le jardin. Mais tu n'oublieras plus.
Tu es entré à Hungcalf sans trop de problèmes. Papa a de nombreux avantages, et malgré ta turbulence à Beauxbâtons, l'Université Prestigieuse t'a accepté. Tu as quitté la maison familiale, laissant tes parents en froid, parlant presque de divorce depuis la révélation, ton frère Constance d'à peine huit ans, ne comprenant pas vraiment la teneur des évènements. Et ta sœur. Aliénor. Aliénor autrefois pleine de vie et de joie. Aujourd'hui ombre d'elle-même, ne t'adressant plus aucun mot. Rancœur qui t'en veut de ne rien lui avoir dit, de ne rien avoir fait. Elle, la fille d'un moins-que-rien. La fille d'un mensonge. Tu laisses la France derrière toi, la boule au ventre, mais pleinement conscient et sûr de tes choix. Tu ne reviendras pas sur tes pas, tu pars seul, ta boîte de pilules dans la main, une bague de fiançailles autour de l'annulaire, et un soupçon d'indifférence dans le regard lorsque tu laisses cette famille déchirée sur le pas de la porte.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>adam driver</b> ━ eustache desjardins</bottin>
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mar 12 Déc 2017 - 23:20
Piiiiiisssstttttaaaaaaccccchhhhheeeee ...
Bonne chance pour cette nouvelle fiche
Bonne chance pour cette nouvelle fiche
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mar 12 Déc 2017 - 23:25
oh! tu changes de perso? tu t'ennuyais avec Noor?
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mar 12 Déc 2017 - 23:37
OH SHIT ROMEO ELVIS
Déjà que tu m'épatais avec David Tennant mais là, c'en est finit de moi
Rebienvenue ici alors !
Déjà que tu m'épatais avec David Tennant mais là, c'en est finit de moi
Rebienvenue ici alors !
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mer 13 Déc 2017 - 0:41
ce personnage qui arrive, damn j'ai vraiment hâte de lire son histoire à ce Eustache (ce nom ptn) rebienvenue chez toi !
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mer 13 Déc 2017 - 6:58
Re bienvenue avec Moustache Eustache !
Bon courage pour cette nouvelle fiche !
Bon courage pour cette nouvelle fiche !
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mer 13 Déc 2017 - 9:53
Merci à vous tous pour vos messages de l'amour
Et oui @Adèle Hammerstein, je changes parce que Noor ne correspond plus à ce que je veux jouer maintenant !
Et oui @Adèle Hammerstein, je changes parce que Noor ne correspond plus à ce que je veux jouer maintenant !
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Jeu 14 Déc 2017 - 15:19
MAIS NAN JE MEURS !
Ma petite stache ! J'suis déjà en amour de ton peros de fifou !
Bon courage pour ta fiche chaton
Ma petite stache ! J'suis déjà en amour de ton peros de fifou !
Bon courage pour ta fiche chaton
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Jeu 14 Déc 2017 - 18:48
BONJOUR MONSIEUR MOUSTACHE Re-bienvenue chez toi Tu envoies du pâté avec ton nouveau perso en tout cas!
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Jeu 14 Déc 2017 - 19:33
Re-bienvenue (et soit dit en passant j'adore ce début de perso)
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Sam 16 Déc 2017 - 10:23
Un super couz à l'horizon, moi j'adooooore
J'ai hâte d'en lire plus moustache
Et puis re-bienvenue à la maison chaton
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Sam 16 Déc 2017 - 13:03
MAIS OUI LE RETOUR !
Re-bienvenue chaton !
Envoie-nous du rêve avec ce nouveau personnage de folie !
Re-bienvenue chaton !
Envoie-nous du rêve avec ce nouveau personnage de folie !
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mar 19 Déc 2017 - 7:31
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer [https://hungcalf.forumactif.com/t7951-trouver-un-partenaire-rp]ici[/url] pour trouver un partenaire ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
★ T'es paumé ? Tu ne sais pas qui est dans quelle maison ou dans quels cours ? Tu te demandes qui sont les étudiant(e)s qui sont dans la même filière ou la même année que toi ? Tu aimerais savoir si ton voisin est un sang-pur ou un né-moldu ? Bah ne cherche plus ! Pour ça, y'a le : Référentiel de Hungcalf !
Have fun sur Hung !
PS: mon cousin d'amour cette histoire ce perso jpp de toi qui nous fait des personnages de fous à chaque fois J'ai dévoré ta fiche, les Vautier / Desjardins ont vraiment des soucis c'est quand même problématique en tous cas c'est avec plaisir que je te valide j'ai hâte de voir Stache en jeu Rebienvenue chez toi mon chaton .
- InvitéInvité
Re: HYSTERIA (eustache)
Mar 19 Déc 2017 - 9:13
Merci ma couz chérie
Trop plaisir que Stache te plaise, hâte de faire des rps de folies avec toi petit chat
Trop plaisir que Stache te plaise, hâte de faire des rps de folies avec toi petit chat
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