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- le Mar 28 Nov 2017 - 20:19
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- Sujet: how i need you (dorian)
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how i need you (dorian)
{@=623}alexis theirin{/@} & @dorian o'blake
HOW I NEED YOU
La brutalité de la rencontre te laisse un vertige étrange dans l’âme. Tu ne t’attendais pas à la trouver là. Tu ne t’attendais pas à ce que vos regards se croisent, à ce que tes pas la fuient, à ce qu’elle vienne à ta suite. Rien dans cette fin d’après-midi n’avait prédit son retour, tu ne t’y étais préparé. Fusses-tu prêt un jour… A ce moment-là, tout autour de toi semble se déformer ; le temps, l’espace, ta haine et la blessure que tu subis tous les jours depuis ce dernier face à face.
Tu t’appuis sur le mur à ta droite, la tête baissée. Ton poing serré tremble, faisant remonter le tressaut de tes tendons jusqu’à ton épaule. Tu le cache tant bien que mal le long de ton corps. « Dorian, s'il te plait, regarde-moi. » Tes yeux fermés, tu essayes de ne pas te concentrer sur ses mots. Tu tentes de la faire fuir de tes pensées, de te la représenter sans visage, sans silhouette, d’en faire un fantôme comme les autres. Mais cette voix ; sa voix, cette mélodie, ce poison. Elle t’enferme dans son image et tu n’as pas besoin de te retourner pour la voir. « Pourquoi tu me fais ça ? », accuse-t-elle. Entre tes dents, tu lui retournes la question : « Pourquoi est-ce que tu me fais ça ? » Tu aurais aimé lui montrer un côté de toi non atteint par la douleur qu’elle t’avait infligé. Tu aurais aimé lui servir un visage figé comme tu as l’habitude de présenter à n’importe qui. La surprise ne t’a pas donné le temps de te composer ; elle t’a foudroyé, t’a fait sauter les plombs. Le masque est tombé.
Il en avait toujours été ainsi : elle avait toujours su faire apparaître les parties de toi que tu tenais à garder cachée. Comme un idiot, tu t’y étais faire prendre. Elle t’avait séduite pour te pousser à ça. Ou peut-être était-ce toi qui tu t’étais tout simplement confié. L’idiot. Tu ne savais plus très bien. Tout était confus. Le plus grave était que tu lui offrais la vision de quelqu’un de faible, de brisé, de foutu… et que tu te détestais de lui permettre d’assister à cela. Spectatrice de ton âme qui se déchire, de ton équilibre qui fond à mesure que tu entends son souffle dans ton dos.
« Est-ce que tu veux que je m'en aille ? » Elle pouvait partir, fuir, disparaître, courir, fuir ta vision ! Elle pouvait se perdre dans l’infini, retourner dans sa famille, chez ses semblables, chez ses ancêtres. Qu’elle s’évapore de ce couloir, de ce château, de ce pays à jamais, pour le restant de l’appelé éternité… elle pouvait partir faire un tour du monde et s’arrêter en chemin pour s’enterrer avec les siens. Tu lui souhaitais de trouver l’endroit le plus loin de toi, qu’elle souffre, guérisse et t’oublie. Tu n’en avais rien à faire de ce qui lui arriverait, si elle trouverait le bonheur ou l’enfer. Si elle devait brûler, devenir martyr et mourir. Qu’elle s’en aille, oui, qu’elle s’en aille…
« Non », tu articulais de tes lèvres sans émettre un seul son, malgré toutes les horreurs que ton cerveau fabriquait pour te protéger. « Reste », tu pensais au plus profond de ton être. Tu ouvris finalement la bouche mais les paroles te manquèrent. Elle venait de prendre ton air, d’aspirer le vent de tes poumons. « Si je pars maintenant, je ne reviendrais plus. » A sa menace, à son sérieux, ton cœur manqua un battement. Tu ne voulais pas qu’elle disparaisse une fois de plus. Tu relevais la tête, t’apprêtant à te retourner. « Je ferais comme si je te connaissais pas. » La distinction entre la noirceur de ton cœur et la purge de ses paroles te donne le vertige… tu ne parvenais pourtant pas à la pardonner pour ce qu’elle avait fait.
Lentement, tu articules quelques paroles. « Tu me regardes et tu sais qui je suis. » Levant brusquement tes yeux vers les siens, un frisson traverse tout ton être. Elle est si belle. Elle est tout ce qui t’a manqué ces derniers mois. Quelques centimètres et tu serais capable de la prendre dans tes bras et de ne plus jamais la laisser s’échapper. Mais ton cœur froid et ta rancœur accumulée te pousse à la gaciale provocation : « Mais moi… je ne sais même plus à qui j’ai à faire… » Silence. Tu observes ses yeux et tu as l’impression que cette infime mais féroce étincelle en toi qui l’aime toujours, qui espère son retour dans ta vie, va te pousser à ses lèvres. Ses yeux brillent, occupés de larmes qui menacent de strier ses joues de porcelaine. C’est ta voix qui sonne le glas. « …à ce que j’ai à faire. » Ton cœur se brise aux paroles que tu prononces. Cette dernière phrase, tu n’y penses pas un instant mais voilà que ta Alexis, dans ta bouche, s’est transformée en monstre.
Tu t’appuis sur le mur à ta droite, la tête baissée. Ton poing serré tremble, faisant remonter le tressaut de tes tendons jusqu’à ton épaule. Tu le cache tant bien que mal le long de ton corps. « Dorian, s'il te plait, regarde-moi. » Tes yeux fermés, tu essayes de ne pas te concentrer sur ses mots. Tu tentes de la faire fuir de tes pensées, de te la représenter sans visage, sans silhouette, d’en faire un fantôme comme les autres. Mais cette voix ; sa voix, cette mélodie, ce poison. Elle t’enferme dans son image et tu n’as pas besoin de te retourner pour la voir. « Pourquoi tu me fais ça ? », accuse-t-elle. Entre tes dents, tu lui retournes la question : « Pourquoi est-ce que tu me fais ça ? » Tu aurais aimé lui montrer un côté de toi non atteint par la douleur qu’elle t’avait infligé. Tu aurais aimé lui servir un visage figé comme tu as l’habitude de présenter à n’importe qui. La surprise ne t’a pas donné le temps de te composer ; elle t’a foudroyé, t’a fait sauter les plombs. Le masque est tombé.
Il en avait toujours été ainsi : elle avait toujours su faire apparaître les parties de toi que tu tenais à garder cachée. Comme un idiot, tu t’y étais faire prendre. Elle t’avait séduite pour te pousser à ça. Ou peut-être était-ce toi qui tu t’étais tout simplement confié. L’idiot. Tu ne savais plus très bien. Tout était confus. Le plus grave était que tu lui offrais la vision de quelqu’un de faible, de brisé, de foutu… et que tu te détestais de lui permettre d’assister à cela. Spectatrice de ton âme qui se déchire, de ton équilibre qui fond à mesure que tu entends son souffle dans ton dos.
« Est-ce que tu veux que je m'en aille ? » Elle pouvait partir, fuir, disparaître, courir, fuir ta vision ! Elle pouvait se perdre dans l’infini, retourner dans sa famille, chez ses semblables, chez ses ancêtres. Qu’elle s’évapore de ce couloir, de ce château, de ce pays à jamais, pour le restant de l’appelé éternité… elle pouvait partir faire un tour du monde et s’arrêter en chemin pour s’enterrer avec les siens. Tu lui souhaitais de trouver l’endroit le plus loin de toi, qu’elle souffre, guérisse et t’oublie. Tu n’en avais rien à faire de ce qui lui arriverait, si elle trouverait le bonheur ou l’enfer. Si elle devait brûler, devenir martyr et mourir. Qu’elle s’en aille, oui, qu’elle s’en aille…
« Non », tu articulais de tes lèvres sans émettre un seul son, malgré toutes les horreurs que ton cerveau fabriquait pour te protéger. « Reste », tu pensais au plus profond de ton être. Tu ouvris finalement la bouche mais les paroles te manquèrent. Elle venait de prendre ton air, d’aspirer le vent de tes poumons. « Si je pars maintenant, je ne reviendrais plus. » A sa menace, à son sérieux, ton cœur manqua un battement. Tu ne voulais pas qu’elle disparaisse une fois de plus. Tu relevais la tête, t’apprêtant à te retourner. « Je ferais comme si je te connaissais pas. » La distinction entre la noirceur de ton cœur et la purge de ses paroles te donne le vertige… tu ne parvenais pourtant pas à la pardonner pour ce qu’elle avait fait.
Lentement, tu articules quelques paroles. « Tu me regardes et tu sais qui je suis. » Levant brusquement tes yeux vers les siens, un frisson traverse tout ton être. Elle est si belle. Elle est tout ce qui t’a manqué ces derniers mois. Quelques centimètres et tu serais capable de la prendre dans tes bras et de ne plus jamais la laisser s’échapper. Mais ton cœur froid et ta rancœur accumulée te pousse à la gaciale provocation : « Mais moi… je ne sais même plus à qui j’ai à faire… » Silence. Tu observes ses yeux et tu as l’impression que cette infime mais féroce étincelle en toi qui l’aime toujours, qui espère son retour dans ta vie, va te pousser à ses lèvres. Ses yeux brillent, occupés de larmes qui menacent de strier ses joues de porcelaine. C’est ta voix qui sonne le glas. « …à ce que j’ai à faire. » Ton cœur se brise aux paroles que tu prononces. Cette dernière phrase, tu n’y penses pas un instant mais voilà que ta Alexis, dans ta bouche, s’est transformée en monstre.
couleur de dorian : {#}669999{/#}
- le Mer 22 Nov 2017 - 22:27
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- Sujet: how i need you (dorian)
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how i need you (dorian)
{@=623}alexis theirin{/@} & @dorian o'blake
HOW I NEED YOU
Assis sur ton lit, tu refermais d’un geste ample et théâtral, la dernière page de ton livre. Un roman passionnant, l’histoire d’un homme privé de son père, de sa mère, trahit par son oncle. Un homme guidé par un fantôme. C’est la folie qui l’a emprisonné du début à la fin. Une folie de vengeance qui le pousse à l’impardonnable. Tranquillement, tu laisses le livre glisser à côté de toi, ne lâchant pas du regard le mouvement et la poussée des corps. Un coup d’œil à ta table de chevet, tu soupires. Il était le dernier que tu avais en réserve, le dernier que tu avais pu emprunter.
Tu sais qu’il va falloir traverser tous les bâtiments pour gagner la bibliothèque et pendant une seconde, la paresse te fait hésiter. Mais tu penses à ce soir et le vide de lecture et tu te mords la lèvre. Es-tu vraiment prêt pour un tête à tête avec tes seules pensées ? Un rendez-vous avec ta conscience ? Tu fermes les yeux et les serrent fort comme lorsqu’on cherche à se débarrasser d’un mauvais souvenir. Tu ne te sens pas prêt à faire ce pari ; tu guettes l’insomnie.
Un soupir échappe tes lèvres. Ash relève la tête quand, d’un geste rapide et efficace, tu enfiles tes chaussures, passe un écharpe autour de ton cou et te muni de ton long manteau noir. Tu disparais presque sous l’attirail. Un geste suffit à rassembler les cinq ouvrages entassé sur et au pied de ta table de chevet.
Tes pas résonnent dans les couloirs à moitié vide. D’ordinaires peuplés d’élèves dans les recoins, ceux-ci ont été désertés. Tu ne t’y attardes pas ; marche courbé pour ne pas laisser le froid s’immiscer là où s’arrêtent tes vêtements et laisse à l’air vif ta peau. Tu n’aimes pas ce froid, cet hiver qui glace le paysage, qui fait frissonner les corps et les rend inerte. Tu entres dans le bâtiment et monte sans bruit le premier étage. Tenant la porte pour laisser sortir deux personnes, tu te faufiles à leur suite, entrant dans cet univers dans lequel tu es certain d’avoir le contrôle. Tu en connais, les coins, les recoins, chaque livre, chaque pierre ; de la chaise qui grince à la table bancale.
C’est le fantôme de tes cauchemars qui vient violer ce périmètre, ce lieu, ce sanctuaire. A sa vision, tu en viens presque à lâcher les livres que tu tiens au creux de poings. Tu restais là, figé, paralysé ; mais à l’intérieur de toi, tu sentais chaque veine de ton corps se remplir d’un sang bouillant. L’émotion et les sensations vinrent tenir d’une poigne de fer les battements de ton cœur. C’était de la rage qui montait, une haine si brutale que tu eus peur de te consumer sur place. Contrôlant à peine la violence qui irradiait de toi, tu reposais bruyamment la pile de livre que tu tenais sur une des tables en érable qui se trouvait là et tournait les talons. Dans un vent de rage, tu poussais la porte que tu venais de passer et dégringolait les premières marches de pierre du bâtiment. Sa voix résonna derrière toi, criant ton prénom.
Tu te figeais sur le champ, continuant de lui tourner le dos. Tu ne voulais pas la voir, ne voulais pas la regarder. Tu l’entendis s’approcher à petit pas, gagnant du terrain par rapport à toi. A ta paralysie. Tu fermais les yeux, ton esprit sonnant un boucle un sermon que tu ne parvenais pas à sortir à voix haute : « Laisse-moi. Laisse-moi. Pars ! Ne t’approche pas ». Aucun son ne sortait de ta gorge. Tu entends sa voix à elle qui continue. La douleur qui pénètre ton corps est indescriptible. Elle te brise petit à petit. « Arrête de m’ignorer », elle appelle une fois de plus. Tu fermes les yeux, dos à elle. Mais cette voix, cette voix qui te transperce…
Tu ne lui as pas fait face depuis cette fameuse nuit, cette dispute. Mais dans ton esprit, sa posture derrière toi est claire. Tu devines ses traits, son visage, ses lèvres, la couleur de ses joues…ses yeux. Tu n’as rien oublié d’elle : pas son odeur, pas le battement de son corps, pas la chaleur de sa peau. Tu sens ta main trembler et l’envie de te faire mal pour oublier ces souvenirs qui te déchirent de l’intérieur. « Qu’est-ce que tu veux ? » tu marmonnes entre tes dents, d’un ton claquant et accusateur.
Tu sais qu’il va falloir traverser tous les bâtiments pour gagner la bibliothèque et pendant une seconde, la paresse te fait hésiter. Mais tu penses à ce soir et le vide de lecture et tu te mords la lèvre. Es-tu vraiment prêt pour un tête à tête avec tes seules pensées ? Un rendez-vous avec ta conscience ? Tu fermes les yeux et les serrent fort comme lorsqu’on cherche à se débarrasser d’un mauvais souvenir. Tu ne te sens pas prêt à faire ce pari ; tu guettes l’insomnie.
Un soupir échappe tes lèvres. Ash relève la tête quand, d’un geste rapide et efficace, tu enfiles tes chaussures, passe un écharpe autour de ton cou et te muni de ton long manteau noir. Tu disparais presque sous l’attirail. Un geste suffit à rassembler les cinq ouvrages entassé sur et au pied de ta table de chevet.
Tes pas résonnent dans les couloirs à moitié vide. D’ordinaires peuplés d’élèves dans les recoins, ceux-ci ont été désertés. Tu ne t’y attardes pas ; marche courbé pour ne pas laisser le froid s’immiscer là où s’arrêtent tes vêtements et laisse à l’air vif ta peau. Tu n’aimes pas ce froid, cet hiver qui glace le paysage, qui fait frissonner les corps et les rend inerte. Tu entres dans le bâtiment et monte sans bruit le premier étage. Tenant la porte pour laisser sortir deux personnes, tu te faufiles à leur suite, entrant dans cet univers dans lequel tu es certain d’avoir le contrôle. Tu en connais, les coins, les recoins, chaque livre, chaque pierre ; de la chaise qui grince à la table bancale.
C’est le fantôme de tes cauchemars qui vient violer ce périmètre, ce lieu, ce sanctuaire. A sa vision, tu en viens presque à lâcher les livres que tu tiens au creux de poings. Tu restais là, figé, paralysé ; mais à l’intérieur de toi, tu sentais chaque veine de ton corps se remplir d’un sang bouillant. L’émotion et les sensations vinrent tenir d’une poigne de fer les battements de ton cœur. C’était de la rage qui montait, une haine si brutale que tu eus peur de te consumer sur place. Contrôlant à peine la violence qui irradiait de toi, tu reposais bruyamment la pile de livre que tu tenais sur une des tables en érable qui se trouvait là et tournait les talons. Dans un vent de rage, tu poussais la porte que tu venais de passer et dégringolait les premières marches de pierre du bâtiment. Sa voix résonna derrière toi, criant ton prénom.
Tu te figeais sur le champ, continuant de lui tourner le dos. Tu ne voulais pas la voir, ne voulais pas la regarder. Tu l’entendis s’approcher à petit pas, gagnant du terrain par rapport à toi. A ta paralysie. Tu fermais les yeux, ton esprit sonnant un boucle un sermon que tu ne parvenais pas à sortir à voix haute : « Laisse-moi. Laisse-moi. Pars ! Ne t’approche pas ». Aucun son ne sortait de ta gorge. Tu entends sa voix à elle qui continue. La douleur qui pénètre ton corps est indescriptible. Elle te brise petit à petit. « Arrête de m’ignorer », elle appelle une fois de plus. Tu fermes les yeux, dos à elle. Mais cette voix, cette voix qui te transperce…
Tu ne lui as pas fait face depuis cette fameuse nuit, cette dispute. Mais dans ton esprit, sa posture derrière toi est claire. Tu devines ses traits, son visage, ses lèvres, la couleur de ses joues…ses yeux. Tu n’as rien oublié d’elle : pas son odeur, pas le battement de son corps, pas la chaleur de sa peau. Tu sens ta main trembler et l’envie de te faire mal pour oublier ces souvenirs qui te déchirent de l’intérieur. « Qu’est-ce que tu veux ? » tu marmonnes entre tes dents, d’un ton claquant et accusateur.
couleur de dorian : {#}669999{/#}
- le Mar 21 Nov 2017 - 22:15
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- Sujet: QUIDDITCH CUP - Soirée des supporters
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QUIDDITCH CUP - Soirée des supporters
@les supporters
QUIDDITCH CUP
« Y’a des choses que je ne veux pas savoir Sir. » Un rire s’échappe de tes lèvres lorsqu’une étudiante vous rejoint. Le bar se remplit, un temps mort a sans doute été décrété ou était-ce seulement l’heure. Tu vois {@=554}Gideon McKinnon{/@} arriver, des élèves de tous horizons se pressent à ton bar, récupèrent leur consommation et vont discuter un peu plus loin. S’ils ne te connaissaient pas tu pouvais mettre un nom sur chacun de leur visage et tu avais au moins une anecdote à raconter sur la plus part. C’était le principe de travailler de l’autre côté du bar.
Un instant tu observes la salle, {@=246}Holly de Launay{/@} évolue au milieu de la salle, son ventre rond laisse maintenant totalement imaginer son état et tu aurais bien préféré qu’elle ne se trouve pas ici ce soir. Si elle n’avait pas insisté tu aurais certainement refusé son aide. Une commande, tu la perds de vue et à peine quelques secondes plus tard, c’est le chaos. Des cris, des coups, tu vois une masse de sorciers prête à en découvre. Interdite tu entames un mouvement vers eux avant que l’une de tes collègues t’interpeler.
« Mais… » Tu vois {@=518}Primerose MacNaughton{/@} s’avancer vers la bagarre, et vaciller lorsqu’un coup perdu la percute. Si tu savais habituellement gérer les bagarres, ce n’était pas pareil lorsqu’elle concernait des amis. Tu voyais Holly et sa soeur s’éloigner légèrement, Sasha qui tentait de rassurer Emma, Jazz était déjà revenu à son verre. Les supporters s’échauffaient encore, tu repenses aux paroles de Prim. Improviser. D’un geste tu te redresses en montant sur le bar pour « Tout le monde se calme ! » Quelques visages se tournent vers toi, notamment quelques uns des protagonistes de la bagarre. « Je vous annonce officiellement qu’un tournois de Beer Pong est lancé, l’équipe gagnante remportera une tournée offerte par la maison ! » Tu ne doutais pas que tes patrons préfèreraient ça qu’une première page dans le journal en raison d’une descente de la brigade magique.
Un certain nombre de personnes traverse la salle pour participer au tournois, et tu y vois un peu plus clair. La bagarre n’est pas encore totalement terminée mais il semble que l’ambiance soit un peu moins tendue. Tu descends de ton perchoir et récupère quelques sacs de glaçons avant de te diriger vers le groupe sans prêter attention aux personnes que tu bousculais et qui te bousculaient. « Prim ? Prim tu vas bien ? Assied toi, t’es un peu assommée. » Tu entraines ton amie jusqu’à une chaise et dépose un sac de glaçons devant elle avant de jeter un oeil autour de toi : certains sont encore entrain d'échanger des coups. « Je vous jure que si vous continuez à vous battre dans l'enceinte de ce bar je vous fait enfermer ! » Siffles-tu en les poussant avec toute la force que tu avais.
couleur de ravena : {#}669999{/#}
- x.:
résumé de post : ravena observe la bagarre totalement éberluée avant de tenter de déconcentrer certains avec un tournois de beerpong (n'hésitez pas à participer et à utiliser un système de dés ça peut être fun). Elle passe de l'autre côté du bar pour aller s'occuper des blessés et des derniers idiots bêtes qui se battent
- le Ven 17 Nov 2017 - 12:42
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- Sujet: QUIDDITCH CUP - Soirée des supporters
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QUIDDITCH CUP - Soirée des supporters
@les supporters
QUIDDITCH CUP
Le match avait débuté depuis maintenant quelques jours, c’était inouï mais le vif d’or se faisait plus que discret et les joueurs continuaient à se battre comme des lions pour le plus grand plaisir des spectateurs. Ce soir là certains avaient abandonné leur place dans les gradins pour se réchauffer dans les établissements du quartier sorcier. Pour l’occasion, le Vampire’s Night avait revêtu ses habits de finale et les supporters se pressaient au bar pour profiter de l’offre de la soirée : un verre offert pour chaque personne qui se présentait arborant les couleurs de son équipe favorite. C’était une marrée jaune et verte qui avait investi le club dès son ouverture et, malgré l’ambiance bon enfant qui régnait on sentait bien que la compétition était dans toutes les têtes. Dans un coin du club, un Beer Pong à la mode moldu se disputait avec passion tandis que, dans une alcôve plus calme les plus sérieux suivaient les évolutions du match débattant avec animation de l’équipe qui méritait le plus, selon eux, de soulever le trophée. Au centre, les danseurs se déhanchaient au rythme des compositions d’un groupe local.
La fête battait déjà son plein et les discussions étaient animées. Accoudée derrière le bar tu observais les élèves de l’université et les sorciers qui s’amusaient et se détendaient avec un sourire détaché. Ton service se terminerait bientôt et tu pourrais rejoindre les fêtards de l’autre côté. Déjà habillée aux couleurs de ton équipe, les Loups de Sherwood tu t’impatientais en guettant l’heure : si tu n’étais pas un grande adepte de la fête, il fallait avouer que l’ambiance qui régnait en ce mois de novembre dans la ville déliait un peu ton esprit. Surtout que tu adorais le Quidditch et ce même si tu étais totalement incapable de grimper sur un balai tu étais fervente supportrice et passionnée du sport aérien.
« Navrée mais on offre pas de verre à ceux qui se sont trompés d’équipe ! » Taquinas-tu un supporter des Tornades d’Edimbourg qui s’était approché du bar. « Qu’est ce que je vous sers ? » Repris-tu d’une voix enjouée en te penchant vers lui pour pouvoir entendre sa réponse malgré le bruit environnant.
couleur de ravena : {#}669999{/#}
- x.:
- vous êtes tous conviés à cette soirée au vampire's night à l'occasion de la quidditch cup, privilégiez les posts courts et surtout amusez vous ! que la meilleure gagne ! je vous conseille de mettre un court résumé de votre post en spoiler pour que les nouveaux arrivants puissent rapidement rattraper ce qu'il s'est passé
participants potentiels : {@=300}eliott darling{/@} ; {@=366}grace de launay{/@} ; {@=554}gideon mckinnon{/@} ; {@=250}vindictus bell{/@} ; {@=605}dione hessenthal{/@} ; {@=598}lou nabokov{/@} ; {@=518}primerose macNaughton{/@} ; {@=593}caleb blackwood{/@} ; {@=606}ealasaid ranthker{/@} ; {@=592}jazz st-james{/@} ; {@=165}adrian o'connor{/@} ; {@=527}cristobal lovingblow{/@} ; {@=542}alaina fitzgerald{/@} ; {@=528}iris fitzgerald{/@} ; {@=387}cordelia warrington{/@} ; {@=323}naïa llewellyn{/@} ; {@=614}charlie caighanan{/@} ; {@=22}coleen mcbee{/@} ; {@=94}ceilynn fraser{/@} ; {@=470}kerr fraser{/@} ; {@=509}elena vafani{/@} ; {@=442}reagan bale{/@} ; {@=432}emma blackwood{/@} ; {@=390}landry mormont{/@} ; {@=475}sasha muller{/@} ; {@=604}junghwa zhang{/@} ; {@=244}saoirse hamilton{/@} ; {@=246}holly de launay{/@} ; {@=449}coronis reeves{/@} ; {@=275}cormac fitzalan-howard{/@} ; {@=529}emrys cadfael{/@} ; {@=582}ravena vautier{/@} ; {@=502}fynn o'ceallaigh{/@} ; {@=623}alexis theirin{/@}
résumé de post : ravena est derrière le bar et interpelle un supporter de l'autre équipe.
- le Dim 1 Oct 2017 - 18:17
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- Sujet: Our devious little secret • Dorian O'Blake
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Our devious little secret • Dorian O'Blake
{@=432}emma blackwood{/@} & @dorian o'blake
DEVIOUS LITTLE SECRET
L’énergie que dégage Emma devant toi t’impressionne. Tu aurais pu rapidement la sous-estimer, t’amuser à l’emmener ici et là, la manipuler comme parfois il t’arrivait à le faire, le tout pour te divertir. Mais il y a quelque chose en elme, une énergie, une belle énergie qui la pousse à ne pas se laisser faire. Et ce fil à retordre, ces pics et ce ton sarcastique qu’elle emploie parfois en te regardant droit dans les yeux, ça te fait sourire. Elle te touche.
Cela te fait plaisir d’avoir quelqu’un chez qui les blagues à demi-ton et les attaques espiègles ne déclenchent pas seulement un roucoulement enfantin et des joues rosées. L’allusion que tu fais de son geste lui déclenche un étonnant sourire aux lèvres : « I wouldn’t give you the pleasure. » La phrase est plaisantine, légère, espiègle. Elle lui ressemble bien d’une certaine manière. Si bien que tu es à peine surpris en entendant les mots s’échapper de ses lèvres. Et pourtant tu acquiesces d’un hochement de tête compris, amusé par sa répartie et soulagé qu’elle ne s’étende pas sur le sujet.
Quand tu évoques le livre, c’est presque une fuite pour la jeune femme. Elle ne sait plus si elle a envie d’en parler ou pas, tu t’apprêtes à la voir décamper. Elle passe à plusieurs reprises ses yeux sur ton visage, soudant quelques secondes tes yeux avant de les éviter d’un mouvement de gêne. Mais elle recommence, elle les recroise et se défile à nouveau. Que cherche-t-elle en leur travers ? Une réponse ? Son attitude instable t’intrigue et t’amuse. Le comique de répétition amène tes lèvres à sourire. Elle tente alors une approche : « To help me ? Unfortunately, I don’t have any souvenir about me asking for your help, Dorian, do you ? » Sa voix est sèche et cherche la provocation. Elle n’est pas sereine. Il n’y a qu’à voir ses mains qui s’agitent, qui se contracte et se décontracte, ses expressions faciales qui passent de la colère à l’angoisse. « Should I remind you that you never seemed reluctant when I offered you advice on books in the past ? », tu commençais, d’une voix basse avant de continuer : « And by the way, if you didn’t want it, why haven’t you already throw it away ? I didn’t force you to read it…» Un simple haussement d’épaule et les quelques mots prononcés d’un ton detaches suffisent à t’innocenter. Une manoeuvre bien simplette face à la jeune Lufkin qui semble toujours agacée.
« Listen… You’re pretty smart, right ? » Sa voix est un peu plus calme. Elle a pris position, quelque chose a presque changer dans son attitude, dans l’énergie que dégage ses yeux. Tu ne réponds pas à sa question, ne hausse ni épaule, ni sourcil. C’est la suite qui t’intrigue. « I… I made some calculations and if I ever get caught… Well, I’d rather not think about this possibility, but the thing is… The chances are very high that I will. And this is because of you. » Tu t’es reculé dans ta chaise, bien contre ton dossier tandis que Ash a prit place sur tes genoux. Il ne s’est pas endormi et regarde Emma comme si il comprenait chaque mot qui sortait de sa bouche.
Tu ne dis rien, cherchant à évaluer la situation dans ta tête. Avais-tu vraiment dépassé les bornes ? Tes bornes ? Le futur d’Emma était-il vraiment en train de se jouer ? Allait-elle vraiment se faire renvoyer pour un essai qui serait sûrement et certainement mieux documenté que ses précédents ? Ton visage reste figé tandis que ces questions tournent dans tes pensées. Ce sont les perspectives qu’elle donne à tout cela qui sont gigantesques et dangereuses : pas ton geste. « Maybe you didn’t intend all of this, but I feel… Trapped. » Tes yeux sondent avec intensité le visage d’Emma, tentent de lire le roman qu’offre ses yeux. Tu as l’impression qu’une bonne partie de ce qu’elle avait sur les pensées vient de sortir.
A mesure que tu réfléchis à tout cela, tu l’entraînes vers ta lecture présente : Poe. Elle feuillette le livre avant, d’un geste délicat de sa baguette, de l’ouvrir sur poème bien particulier : [color:8fda= #99CCCC]« But, this is my favourite one ! ». Le titre t’est familier mais le reste garde son flou. Alors que tu reprends connaissance de la plume et des mots écrit par le poète, la voix d’Emma accompagne ta lecture. Tu te laisses emmener par les mots et leur mystère. Le dernier mot s’échappe et le ton se baisse, plongeant vers un silence. « It is, indeed, a very nice one », tu conclus lentement, refermant le recueil.
Ton regard est intrigué par une vision que tu penses avoir, à travers la vitre. Comme si tu venais de voir quelque chose … Un bref instant, tu laisses tes pensées t’échapper et, folle, elles vont la rejoindre. La fameuse silhouette, les cheveux bruns et longs… son visage, d’ordinaire si gai, brisé par tes paroles. Tu baisses la tête vers Ash, change ton sentiment de culpabilité par le toucher doux de son pelage noir. Voilà ce qui arrive quand tu ne les tiens pas en place tes pensées... « May I ask you something ? », articule Emma.
D’un geste lisse, tu la regardes et d’un haussement d’épaule, prononce à ton tour : « Just give me your essay and I’ll tear it up for you if you want. » Tu prends alors conscience que ton visage a retrouvé son expression sérieuse et tâche alors de l’illuminer d’un sourire. Sincère, celui-ci tarde cependant un peu. « You already took all of this way out of proportion, don’t lose any more sleep over it. »
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- le Dim 1 Oct 2017 - 13:48
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- Sujet: LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
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LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
{@=370}leez wilson{/@} & @dorian o'blake
LONDON IS A MODERN BABYLON
Le brouhaha et le monde qui foulait les dalles du chemin de traverse te firent presque immédiatement oublier ta virée au chemin des embruns. Pas tout à fait, évidemment. Une partie de toi resterait là-bas, goûtant à ce danger, à cet interdit. Ce morceau de toi qui serait disputé pendant les prochaines heures, les prochains jours entre ta conscience t’indiquant qu’il s’agissait d’une grande erreur de ta part, l’autre lui répondant que la curiosité ne signifiait pas le début d’une dangereuse descente. Toi-même était persuadé qu’il n’y avait là aucun soucis : d’ici là deux jours, tu serais de retour à Hungcalf pour une nouvelle année, loin de ce lieu, à penser à bien autre chose qu’à des sorts pour « disloquer un être de bas en haut ».
Tu proposais d’une voix claire et posée d’aller boire un verre, se poser un peu suite à ces émotions. Il était temps que les paparazzis retrouvent la trace de leur chère idole, beaucoup risquerait de poser des questions si elle était trop longtemps absente des flashs. Vous déambuliez sur le Chemin de Traverse, papotant légèrement, proposant quelques cafés qui avaient l’air confortable et côtoyables. « Dark arts could be usefull. I mean, some of defense spells were from dark arts before being used by white wizards. I'm speaking about very old magic, considerate as dark at this time. » Tu hochais la tête, réfléchissant à ce qu’elle était en train de te dire. Il était vrai que de simples sorts de défenses étaient autrefois presque refusés et interdits. Ce n’est qu’avec le temps que les sorciers parfois agressés se défendaient en les utilisant, faisant remonter leur notoriété au sein de la société. Leez continua : « Also, don't you think that the unbreakable vow is interresting ? In case of condemnation? A kind of death penality but less terrible, because it is the tendency to recur, the wizard's fault, that brings him to his loss. »
C’était là une grande question, un grand débat. « It is, indeed, a very interesting spell and surely it would be useful. But condemning people to death because they lied or backslided… I don’t know about that. It would be cruel. But if someone broke the vow and were punished with… a fate less morbid as death… this would be definitely very useful! » Délivrer la mort, même à des récidiveurs, ce n’était pas comme ça que tu voulais imaginer ton gouvernement. Des punitions, un sort de petrificus permettant aux Aurors d’aller le chercher, ou même un retour direct à Azkaban pour leurs fautes, ça oui. Mais la mort… pour toi, la limite aurait été franchie. Quels arguments le Gouvernement pourrait bien vous embobiner avec après cela ?
Observant un court instant autour de toi, la Une de Sorcière-Hebdo attire soudainement ton attention. Même de loin tu reconnais ce silhouette non très grande et ces cheveux tirant sur le blond… il s’agit de toi, à côté de la silhouette élancée de Leez. La photo date à peine d’une heure, elle fait déjà la Une d’un des journal à scandale les plus populaires de Grande-Bretagne. Tu indiques ta belle trouvaille à ton acolyte, le visage tout sourire et le rire léger. « I'm very sorry Dorian, i'm so embarassed. » Tu la regardes, réellement embarassée mais le visage non surpris. Elle devait être habituée à ce genre de choses. Moins au fait de faire partager les spots à quelqu’un d’autre. « Don’t worry about that! This is actually quite flattering… Not the boyfriend part ─ you couldn’t handle me ─ just the picture in the first page. » Tu plaisantes évidemment, d’autant plus amusé qu’à une période, vos familles avaient imaginé que vous finiriez ensemble. Une bien grosse bêtise. « I have a bar in mind… no one will recognize me. You will understand. »
Tu n’as pas le temps d’en savoir plus. Leez t’attrape déjà le bras et vous envois tous les deux dans un lieu qu’elle seule connait. Tu ne reconnais pas tout de suite l’endroit, persuadé même pendant une minute que vous aviez quitté Londres. « Maybe you ignored that part of me, but i like being no one, sometimes. » C’est nouveau pour toi, cet endroit. Le ton également de Lee zest inhabituel. Que veut-elle dire par là ? « How did you find this place in the first place ? » tu demandes à la Rouquine tandis qu’elle passe devant, écartant la porte du bar lounge. Il n’y a pas beaucoup de monde, les rares conversations se tiennent à voix basse et la musique d’ambiance couvre à peine le silence.
Tu n’attends pas le geste du barman pour aller t’assoir à une table libre. Elle est un peu dans le fond, dans le coin du mur. « I need to go to the Muggle-part of the world more often… they do have nice places… », tu confies, un peu pour toi, un peu pour elle. Ta voix s’est faîte un peu plus supérieur en prononçant ces paroles. Tu apprécies les moldus mais en a côtoyer peu dans ta vie. Tes cours sur les études des moldus t’ont permis d’en apprendre plus mais ce sont surtout leurs œuvres d’arts et leur littérature que tu apprécies. Leur présence, tu y restes encore un peu ignorant. « So… », tu reprends d’une voix claire et distincte, « what are the good points of being no one ? »
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- x.:
- à moi de m'excuser pour le retard... faut aussi que je régule mieux mes rps et mes venues
merci beaucoup
- le Dim 24 Sep 2017 - 18:57
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- Sujet: [soirée entre grymm] green party !
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[soirée entre grymm] green party !
@les grymm
GREEN PARTY
Tes lèvres souriantes, tes yeux allant de Rosie à Landry, tu avais perdu le sens de leur conversation. Il avait été question d’un pint très important au début qui ne pouvait désormais plus s’expliquer. Tu avais oublié le sujet. Tu laisses un rire échapper ta bouffe, un rire léger, un peu moqueur mais admiratif aussi, de cette relation qu’il y a entre ton meilleur ami et sa petite sœur. Tu L’envies presque un peu d’être le grand et elle la petite. Te rasseyant sur le muret derrière toi, tu prends une gorgée de ton verre. Tu grimaces et jettes le reste du contenu derrière toi dans ce qui a forme de pelouse. « Je ne sais pas ce que c’est mais je ne recommande pas. »
Tu la vois arriver droit devant toi mais tu n’arrives pas tout de suite à y croire. « Par. La. Barbe. De. Merlin… », tu souffles, découpant tes mots. En quelques pas, à peine, elle se trouve à quelques centimètres de vous, sourire aux lèvres, verre à la main, rayonnante. « vous n’avez pas changé tous les deux décidément ! », affirme-t-elle, d’une voix titillante. Tu restes figé, une demi-seconde avant de te mettre rapidement sur tes pieds, de faire un pas vers elle et de la serrer dans tes bras. « neva ! » tu laisses échapper dans un souffle, ne sachant pas trop quoi dire. Ça faisait si longtemps, tellement longtemps, trop longtemps… Tu t’écartes finalement d’elle après quelques secondes. Tu ne comptais plus les mois depuis qu’elle avait disparu, tu savais simplement qu’ils étaient longs et qu’il y avait des choses, des sorties que vous faisiez à deux avec Landry qui étaient des moments perdus sans elle.
Neva, elle aurait pu être ta sœur, comme Landry aurait pu être ton frère. Il y avait un lien entre vous, que tu ne pouvais pas expliquer. Son départ t’avait, dans un premier temps rendu perplexe et silencieux. Puis au fur et à mesure, tu t’étais rendu compte que tu lui en voulais, que t’étais même furieux qu’elle soit partie ainsi. « Elle doit avoir ses raisons », tu te disais parfois… avant de trouver un million de moyens avec lesquels elle aurait pu vous prévenir ou donner davantage de nouvelles.
Mais maintenant qu’elle était devant toi, tes émotions étaient confuses. tu voulais des réponses à tes questions, quelques excuses, des explications… et en même temps, l'accueillir en la bombardant de questions, ne te semblait pas un si bonne idée. « qu’est-ce que ça fait du bien de te revoir ! », tu avouais, un demi-sourire sur tes lèvres, tâchant de rester toi-même face à ce fantôme qui avait réapparu. « le trio de nouveau au complet! », tu affirmais, levant ton verre vide.
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- x.:
- dorian est trop content de retrouver {@=485}nevaeh d'alverny{/@}
- le Jeu 21 Sep 2017 - 9:16
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- Sujet: Our devious little secret • Dorian O'Blake
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Our devious little secret • Dorian O'Blake
{@=432}emma blackwood{/@} & @dorian o'blake
DEVIOUS LITTLE SECRET
C’est le sourire déviant sur tes lèvres qui a l’air de la rendre de plus en plus extatique. Ta paix et ton silence se retrouve bousculés et en temps normal, tu en voudrais à la personne responsable de cette perturbation. Mais les yeux bleus d’Emma Blackwood et son fulminent à peine maintenu prétendu, t’ont déjà permit de la pardonner. Tu murmures quelques mots et ce sont ceux qui suffisent à la faire sortir de ses gonds. Un rire noir s’échappe de ses lèvres avant qu’il ne se transforme en vocifération : « How dare you ? »
Tes yeux ne quittant pas les siens, tu la fixe, toujours un mi-sourire sur tes lèvres. C’est toujours de l’amusement que tu vois en elle, une attente perverse et à la fois innocente, pour voir jusqu’où elle irait dans ses menaces. Tu ne bouges pas, immobile, cherchant la lecture de ses émotions dans la couleur de ses yeux. Tu la perds un court instant pour dévisager les élèves derrière qui viennent de la rappeler à l’ordre. Haussant d’un sourcil, tu te demandais si elle allait faire demi-tour et repartir de là où elle venait. « Watch out, you’re gonna make ennemies », tu lui soufflais en te rapprochant d’elle, pour qu’elle puisse entendre ce que tu avais à lui dire. Tu l’observais se satisfaire (ou se dépiter) de cette rapide pointe de célébrité au travers de la bibliothèque. Quelques élèves lui lançaient encore des regards noirs. Parfois c’était justement leur silence qui était le plus difficile à supporter.
« How dare you writing in this valuable book? It is an original copy from the 19th century, you should be more careful… » se risqua-t-elle d’une voix fluette. Tu pouvais entendre les vibrations, rendant un peu moins convaincante l’excuse qu’elle avait concoctée. Etonnement, les étudiants qui la fixaient d’un air farouche commencèrent à se reconcentrer sur leurs livres et leurs essais. « That wasn’t very impressive. You could have done better than that », tu admis en rigolant presque, toujours le sourire aux lèvres. Tout ce qu’elle faisait avec l’allure d’une blague pour toi.
Tirant la chaise à côté de toi du invitait d’un geste approximatif, Emma à s’assoir à côté de toi. Elle n’avait pas besoin d’attirer plus l’attention. Elle s’y assit et posa ses mains sur ton avant-bras. « What are… » « Please, shut up ! You’ve already brought me so much trouble… », te coupa-t-elle, à demi-voix. Gardant un visage qui ne laissait rien transparaître, tu te demandais cependant pourquoi elle avait l’air aussi contrariée. Tu sentis les doigts de la jeune fille glisser jusqu’à ta paume de main et tu ne pus t’empêcher de lui faire remarquer : « Emma… what are you trying to pull with that ? » tu lui demandais d’une voix claire en désignant sa main dans la mienne. Elle sembla se réveiller, s’excusa et te laissa dégager ta main. « Flirting won’t get you anywhere. I don’t work like that. », tu l’informais de manière creuse.
Elle tendit alors la main vers Ash, tentant certainement de le caresser. Ce dernier se recula de quelques centimètres, feulant et montrant les dents. Il se rapprocha de toi sur la table, prenant bien l’espace pour s’éloigner de l’invitée en question. Il s’assit sans bruit, la fixant toujours de ses yeux jaunes. « Doesn’t seem to enjoy my company neither… », soupira Emma. Tu haussais les épaules, connaissant le caractère fort de ton partenaire à fourrure noire : « He always does that. Don’t worry, he’ll come around. Everyone does. » Tu regardais la jeune fille à côté de toi.
Tu te demandais intérieurement si cette attitude était un acte cachant toujours une rancune qui t’avait presque couté quelques phalanges ou si quelque chose n’allait vraiment pas. La tromperie, faire semblant, jouer un acte derrière le masque… Peut-être avais-tu simplement beaucoup trop trainé avec des Grymm : souvent à cacher leur jeu et à manipuler ─ des gens comme toi. « I gave you the book to help you, I can’t do better than that. », tu assumais, un sourire toujours aux lèvres. Si cela n’avait pas pu lui faire plaisir, lui faire gagner du temps sur son essai, tu ne savais pas ce que tu pouvais faire en plus. Tu n’avais pas trop envie de poser la question pour savoir si tout allait bien. Forcer la personne à parler, lui demander de verser des parties d’elle, l’écouter en train de pleurnicher… les débordements d’émotions, tu évitais désormais. Tu savais comment tu fonctionnais et les pièges à contourner.
Poussant le livre qu’elle avait abattu sur la table, tu lui posais l’œuvre d’Edgar Allan Poe devant elle. « Have your read that ? He is a muggle writer. A pretty impressive one… »
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- le Mer 13 Sep 2017 - 10:16
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- Sujet: Our devious little secret • Dorian O'Blake
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Our devious little secret • Dorian O'Blake
{@=432}emma blackwood{/@} & @dorian o'blake
DEVIOUS LITTLE SECRET
Ah dream too bright to last!
Ah starry Hope! that didst arise
But to be overcast!
A voice from out of the future cries,
'On! on!' - but o'er the Past
(Dim Gulf!) my spirit hovering lies
Mute, motionless, aghast!
Ton souffle s’est ralenti quand tu as entamé les premiers vers. Réfléchi, calme et posé, il s’est rythmé à la ponctuation du poème. Tu lis les mots une fois, deux fois, te laissant t’imprégner du thème dur et mélancolique du chef d’œuvre. Edgar Allan Poe. Un homme sombre, languissant. Un Moldu à l’âme noire mais à la plume légère. Tu as trouvé ses œuvres sur une des étagères de la bibliothèque. Confiant, sans jeter un œil curieux à ce qu’il contenait, tu l’avais saisi et avait entrepris d’en lire la douleur. Roulé en boule sur tes genoux, Ashes ronronnait. Les yeux fermés, les moustaches confondues avec son pelage noir luisant, il ne formait qu’une masse sombre comme la nuit.
Te redressant, tu laissais quelques instants tes yeux se perdre dans le vague en face de toi. Ces mots, ils te faisaient penser à une silhouette, à une odeur, à un contact qui t’avait été électrique autrefois avant de devenir glacial. Tu repensais à des moments joyeux transformés aujourd’hui en hantise ; la palette étonnante de sentiments vulnérables exposée, utilisée et manipulée pour parvenir à te tromper. Ton expression se durcit un court instant. Tes doigts effleurèrent le papier, la page ; tu jetais un dernier coup d’œil au titre maudit qui t’avait ramené ces souvenirs avant de tourner la page d’une manière résignée.
Tu continuais ta lecture, cessant de penser aux sentiments mais te penchant sur l’analyse. Mister Poe avait décidément une âme bien tourmentée, aiguisée pour en éclaire les merveilles. La beauté de la souffrance, le chant douloureux des poètes, traduit en des vers pompeux. Tu en continuais la lecture pendant un temps dont tu avais perdu trace, mesuré seulement par les expirations de ton compagnon au poil noir. Celui-ci se redressa finalement, sauta sur la table et tâcha de te regarder de ses yeux jaunes.
Perdu dans ton propre silence, tu n’entendis pas arriver les bruits de pas derrière toi. Sans comprendre tout de suite de quoi il était question, deux bras abattirent un lourd ouvrage juste en face de toi. Surpris sur le coup, tu n’eus qu’un mouvement de recul assez vite pour en dégager tes doigts. Ashes, toujours sur le bureau montra ses dents et hissa un feulement de mécontentement. Bon sang !
Un regard noir sur le visage, tu le tournais d’un geste vif vers la personne responsable, prêt à siffler entre tes dents quelques bonnes paroles. En reconnaissant sur le champ l’auteur de cette animation déplacée, ton expression évolua de la colère à de l’amusement espiègle. Un peu de provocation ? Un certain contentement de provoquer de telle réaction ? Sans doute. « Emma Blackwood », tu murmurais, exagérant sur chaque syllabe comme s’il s’agissait d’une bonne blague. Ta satisfaction grandissait de seconde en seconde en voyant son expression de furiosité. « I guess the thing you wanted to say was… thank you ? »
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- le Dim 10 Sep 2017 - 22:09
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- Sujet: Loi de Murphy (LIBRE)
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Loi de Murphy (LIBRE)
{@=416}rosie mormont{/@} & @dorian o'blake
LOI DE MURPHY
Temps : nuageux. Vent : 37 km/h est. Quelques bourrasques parfois te prenaient au dépourvu mais tu restais fermement prostré là où tu étais. Certains joueurs, moins expérimentés, se faisaient parfois emmenés, glissant de quelques centimètres non négligeables. Il s’agissait de peu de distance mais au Quidditch, cela pouvait faire la différence entre défaite et victoire, entre attraper et laisser tomber. « Morgan ! Replace-toi ! Anticipe les courants d’air ! », tu criais, non pas par colère mais pour te faire entendre. Attrapant le Souaffle, tu avançais de quelques mètres avant de le transmettre à une coéquipière. Synchronisant ta montée avec elle, tu tentais d’éviter les Cognards qui te menaçait et les membres nommés « défenseurs » pour l’exercice.
L’année avait reprise et avec ça les entraînements de Quidditch. Tous n’avait pas pu être présents pour y participer et tu avais donc décidé de prendre la tête de ceux qui avaient pris la peine de venir. Baignant dans ce sport depuis des années, il n’avait pas été compliqué pour toi d’être assez autoritaire et assez imaginatif pour organiser une séance. Celle-ci, malgré les conditions venteuses, s’était jusqu’à présent bien déroulée.
Voler t’avait manqué. Tu avais passé tes vacances en vadrouille dans l’Angleterre pour aller voir jouer les plus grands champions mais cela n’avait qu’assoiffer ton envie de prendre ton balai et d’aller jouer. Tu aimais la vitesse, le danger, la responsabilité lourde que tu avais sur les épaules : celle de représenter plus qu’un simple jeu d’équipe. Tu jouais pour ceux qui ne jouaient pas. Tu avais une maison à soutenir. Et tu pouvais le faire en sentant le vent sur ton visage et l’adrénaline circuler dans chacun de tes nerfs. Tu avais toujours été quelqu’un de calme, de posé, de réfléchi. Mais quand tu grimpais sur ce balai, tu ne pouvais plus tenir en place, te nourrissant du risque.
Une nouvelle bourrasque arracha deux de tes joueurs de leur place. Glissant sur de nombreux centimètres, Alycia Morgan ne parvint pas à rattraper le souaffle, le laissant filer entre ses bras. Celui-ci tomba. Te penchant sur ton balai, tu pris rapidement de la vitesse, tentant le plus rapidement possible de gagner du terrain sur sa descente. Là était l’évidence, tu ne parviendrais pas à le récupérer à temps. Sortant ta baguette, tu n’hésitais pas une minute : « Arresto Momentum ».
Ralenti, le souaffle finit par parvenir au sol, heurtant la tête d’une personne posée dans l’herbe. Tandis que tu continuais ta descente, la distance qui te séparait d’elle ne fut pas suffisante pour camoufler la plainte. « Est-ce que ça va ? » tu demandais rapidement une fois sur la terre ferme. Reconnaissant Rosie Mormont, tu te penchais vers elle, inquiet. « Tu as besoin d’aller à l’infirmerie ? »
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- le Dim 10 Sep 2017 - 19:26
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- Sujet: LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
- Réponses: 12
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LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
{@=370}leez wilson{/@} & @dorian o'blake
LONDON IS A MODERN BABYLON
Peut-être t’étais-tu comporté de manière un peu trop audacieuse. Amener Leez, grande rouquine habillée en blanc, entre les ruelles froides de l’allée des embruns n’avait sûrement pas été une idée brillante. Tu avais succombé à la tentation, aux questions et aux curiosités qui avaient bourdonné dans ta tête depuis que tu avais croisé quelques recommandations de « se tenir éloigné de toute forme de magie noire et mortelle ». Tu n’aimais pas qu’on te dise quoi faire, cela n’en résultait qu’à ton être, te poussant à en faire exactement le contraire. Esprit de contradiction. Mode de survie dans une famille de sang pur. Comment obtenir l’attention.
Mais peut-être que tu aurais dû attendre un meilleur moment. Ce n’était pas la dénonciation ou le jugement que tu craignais, tu avais confiance en Leez. C’était tes pas dont tu avais peur. Ils t’avaient menés ici sans y penser du seconde fois, comme un réflexe. Pas de peur, pas de plan, juste ta pure curiosité et ton sentiment de fierté. Peut-être que Leez pouvait sentir ça émaner de toi : cette absence de peur, cette absence de doute. Tu n’avais pas l’impression d’avoir quelque chose à perdre. Elle, si.
Il était clair qu’elle ne passait pas inaperçue. Habillée en blanc, matériaux rares et riches, personne ne s’habillait ainsi ici. Personne n’en n’avait le caractère, sûrement pas les moyens. Les passants de l’allée ne cherchaient pas nécessairement à affirmer leur présence ici. Ils se collaient aux murs, se confondaient avec les ombres, ajustaient leur capuche pour cacher leur visage. Ils n’étaient ni hommes, ni femmes, ni fantômes, ils n’étaient que silhouettes.
Tu savais que tu jouais avec le feu, avec sa réputation, avec la tienne. Elle ne devait pas être vue ici. Mais tu ne ressentais aucune peur, aucun sentiment de violation morale… juste de l’excitation. Vingt minutes, c’était le temps qu’elle t’avait donné. Tu hésitais entre utiliser ce sablier jusqu’au dernier grain de sable ou quitter cet endroit parce que tu n’avais pas une noise à y dépenser. Faisant circuler tes doigts sur un grimoire, puis sur un autre, tu t’absorbais de l’interdit. « Sortilège d’invocation des Esprits », « Potion pour faire tomber les doigts », « Onguent contre la morsure du Temps »… Pour la moitié, tu ne voulais même pas imaginer les effets. L’encre était parfois imprimée en caractères inconnus, en langues anciennes, en glyphes oubliés. Le moins tu comprenais, le plus noire la magie devait être. Existait-il seulement un sorcier assez puissant dans ce monde pour exécuter ce genre de sorts ? Ou tenter de s’y atteler ?
Te rapprochant de Leez qui semblait figée, tu lui chuchotais quelques mots, tentant de l’inclure dans ce bad trip que tu lui avais proposé. Tu ne cherchais pas à la défier, à la retrancher dans ses limites, tu n’avais pas besoin de la Leez qu’on essayait de piéger. Ton respect, Leez l’avait obtenu depuis de nombreuses années. C’est pourtant à demi-voix qu’elle répond : « Well, for a good reason. I don't need it. I bet you haven't read any books about darks arts too... Did you ? » Elle te fixe du regard. Si tu mentais et disais que oui, son air sérieux se transformerait-il en peur ? Ce n’est pas quelque chose sur lequel tu as envie de parier. « No, I did not. », tu chuchotes, d’une voix honnête et posée. « And me, wanting to come here, doesn’t mean that I intend to. », tu continues, tentant de la rassurer. « I was just curious. You don’t really find this kind of books in the library. », tu finis par ponctuer, d’un haussement d’épaule.
Il y avait des choses dans la vie que, petit, tu avais souhaité changer. Un sort, une malédiction, un philtre… tu aurais donné n’importe quoi pour que d’une potion ou de quelques mots prononcés, te vienne une vie plus simple. L’attention de ton père, la présence de ta mère, de l’aide de ton frère…
C’était de là qu’était née une partie de ta curiosité. Toute ta vie avait été une sorte de chasse aux trésors, de traque à la solution facile. Mais aujourd’hui, avec ces possibilités à portée de main, tu ne ressentais pas en toi la noirceur d’en faire usage. Leurs vies ne méritaient pas le sacrifice qu’utiliser de la magie noire impliquait. Tu ne vendrais pas ton âme au diable pour eux.
Un coup d’œil au vieil homme au visage déformé t’indique qu’il vous suit toujours du regard. Finalement, ce serait peut-être lui qui écourtera ces vingt minutes en vous jetant dehors. Décidant de ne pas lui donner cette satisfaction, tu chuchotais à Leez les mots qu’elle voulait entendre depuis que vous aviez tourné dans l’allée. « Okay, let’s go. » Une main dans le creux de son dos, vous vous dirigiez vers la sortie. « And not even buying anything. What a waste of my time… », grommela le vendeur à l’allure sombre d’une voix rocailleuse. Tenant la porte à Leez, tu lançais une de tes politesses ironiques « Thank you for your warm welcome » avant d’emboiter le pas à ton amie.
C’est d’une allure rapide que vous quittèrent l’allée des embruns. Tout ton être presque poussa un soupir quand ton pied foula les dalles du Chemin de Traverse. Le soleil réchauffa tes mains devenues froides tandis que la lumière redonnait aux cheveux de Leez sa couleur flamboyante. « Let’s go grab a drink, what do you think ? I’ll let you choose the place. » Tu avais assez choisi pour aujourd’hui, il te semblait. Et tu savais que l’endroit préféré de Leez ne se trouvait pas très loin. Commençant à la suivre, tu remarquais quelque chose du coin de l’œil. « Leez, you should look at this… » La Une de Sorcière-Hebdo venait de changer. Une grande photo de Leez et toi prenait toute la page. Considérant l’arrière plan de l’image, elle avait été prise plus tôt, quand vous vous étiez retrouvé devant chez elle. Accompagnée d’un titre digne des magazines gossips, l’édition du journal promettait de nombres spéculations et de nombreuses informations sur vous deux. « Well… that was fast…», tu lançais avant de laisser résonner un petit rire cristallin.
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- le Dim 10 Sep 2017 - 19:21
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- Sujet: [soirée entre grymm] green party !
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[soirée entre grymm] green party !
@les grymm
GREEN PARTY
Les conversations autour de toi ont été dénudées de leurs sens. Il y a des prénoms qui passent, quelques rumeurs, des éclats de rire, des anecdotes de vacance. Un deuxième année raconte comme lui et sa famille se sont retrouvés nez à nez avec un manticore pendant leur escapade en Grèce. Certains le regarde avec des yeux grands ouverts, buvant ses paroles, tandis que d’autres pouffent et mettent la légende sur le compte de l’alcool. Tu portes toi-même ton verre à tes lèvres. Si il avait vraiment croisé un manticore, il ne serait pas ici pour en parler, voilà ce que tu penses de cette histoire. Mais tu n’ouvres ta bouche que pour prendre une gorgée supplémentaire du mélange que tu as dans ton verre. Tu ne sais plus trop ce que tu bois, plus trop ce que tu as demandé.
Relevant la tête, tu repères un visage familier qui s’approche entre les gens de la foule. Te redressant en le voyant, tu lèves le bras pour lui faire signe, pour ne pas qu’il te perde de vue, tandis qu’un sourire se fait désormais grand et satisfait sur ton visage. Un signe bref suffit à faire passer son message. Quelques secondes à peine s’écoulent. Tu salues la personne que tu considères comme un frère. La soirée venait de devenir intéressante. « Alors ces vacances, c’était comment ? », commence-t-il, curieux. « Raconte-moi tout vieux frère. » « Le Championnat de Quidditch, Landry. T’aurais vraiment dû venir ! 7 villes pendant 7 semaines… C’était vraiment géant ! Les joueurs étaient… » Tu n’as pas le temps de continuer. Un main vient d’attraper le brun.
Après les années passées en compagnie de Landry, tu connais de près ou de loin une grande partie de la famille Mormont. C’est de manière espiègle que Rosie, la jeune sœur de ton meilleur ami, vient s’accrocher à lui. « Je t’ai cherché partout Landry, tu ne viens plus m’accueillir quand je reviens à l’école ? » Elle est jeune, elle ne se soucie pas de beaucoup, elle regarde son frère avec un sentiment qui t’échappe. Des fois où tu les as vu ensembles, tu continues de te le confirmer, ils se ressemblent. Elle détourne la tête, croise ton regard et te salue. « Rosie », tu réponds simplement, d’un hochement de tête. « Je n’ai pas l’impression qu’il ai accueilli grand monde. », tu commençais avant de te tourner vers ton ami « Je ne savais même pas que tu étais déjà rentré, quand est-ce que ça s’est fait ? ». Regardant autour de toi, tu ne peux t’empêcher de rajouter un commentaire. « C’est dommage, on aurait pu s’occuper d’organiser la soirée au lieu de laisser le travail aux deuxièmes années... ». Un clin d’œil à Rosie, tu sais que c’est son année. Tu rajoutes finalement : « Alors cette année qu’est-ce que ça a été ? Vacances en famille ? Entre amis ? En solitaire ? »
couleur de dorian : {#}669999{/#}
- x.:
- dorian parle avec {@=390}landry mormont{/@} et {@=416}rosie mormont{/@} venez les gens! faut mettre le feu!
- le Ven 1 Sep 2017 - 17:45
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- Sujet: [soirée entre grymm] green party !
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[soirée entre grymm] green party !
@les grymm
GREEN PARTY
Les journaux tels que la Gazette du Sorcier avaient déjà commencé à titrer la fin de l’été, à défaut de nouvelles plus intéressantes. Vous aviez eu, ces derniers temps, quelques indices sur ce mois de septembre qui avait débarqué: le soleil se couchait plus tôt, les touristes disparaissaient des rues de Londres, les amis revenaient de leur destination de vacances… La plupart des élèves avaient d’ailleurs regagné les tours et les couloirs d’Hungcalf. Les cours, pourtant, ne commençaient que Lundi. Deux jours. Dernier weekend. Après, les choses sérieuses reprendraient.
Mais pour l’instant, il était question d’autre chose que de bouquins, cours et entraînements.
Attrapant entre tes doigts une cigarette qui était arrivée à tes côtés, tu la posais entre tes lèvres avant d’inspirer profondément. Tu fermais tes yeux à demi, concentré. Tu pensais à la manière réconfortante dont la substance parvenait à te brûler de l’intérieur. Tu tendis ton bras dans une direction et ta main se retrouva vide, débarrassée de ce que tu avais entre les doigts quelques secondes plus tôt. Laissant échapper ta bouffée de fumée, celle-ci prit la forme d’une spirale avant de s’évaporer. Tu avais cette règle de ne fumer que quand tu sortais, que quand tu buvais. Et déjà là, tu ne savais plus combien de verres tu avais fini. Sûrement un petit nombre étant donné que tes pensées étaient encore assez structurées, que tu souriais plus facilement mais pas nécessairement gratuitement.
Tu savais que Landry ne se trouvait pas loin. Tu pouvais entendre sa voix par moment. Dans le fond, il y avait de la musique. Beaucoup de musique, des cris et puis des corps que tu voyais. Ils n’étaient jamais statiques, jamais posés. Vous aviez d’ailleurs eu besoin d’un peu d’air ; c’est pour ça que vous vous étiez éloignés. Mais non loin de là, la soirée avait belle et bien commencée.
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- x.:
- dorian est sorti pour prendre l'air avec {@=390}landry mormont{/@} (si tu veux). la soirée est déjà bien commencée.
- le Dim 27 Aoû 2017 - 23:31
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- Sujet: LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
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LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
{@=370}leez wilson{/@} & @dorian o'blake
LONDON IS A MODERN BABYLON
c’est un peu à ta surprise que leez n’insiste pas sur le sujet. Soulagé de la voir accepter ton explication ─ un mensonge pathétique ─ tu la laisses reposer le bouquin sur les vampires à son endroit initial tandis que tu épis de votre hauteur le magasin. tu as détourné le regard, le visage toujours impassible. Tu notes cependant ton envie d’embarquer l’œuvre et de la lire. Comprendre. Savoir. Et pourtant… d’un autre côté, tu remarques également la colère, le monstre malsain et rageux qui bourdonne dans ta poitrine. Tu ne lui dois rien.
Tâchant de renvoyer au loin ces pensées auxquelles tu ne peux pas encore t’abandonner, tu observes comme un roi, les sorciers et sorcières qui s’affairent au rez-de-chaussée. Ils n’ont pas remarqué votre présence, ton regard ne croise celui de personne. De votre côté, vous avez beau éplucher les étagères, il n’y a rien qui te fait envie. Le regard de leez sur les titres n’est pas différent du tien d’ailleurs. Elle aussi cherche le titre idéal mais semble faire chou blanc. Te vient alors une curiosité en tête. Vous étiez tous les deux de forts lecteurs, ravageant tous les livres qui passaient sous votre main et il était donc difficile de trouver un sujet dans lequel vous n’étiez pas un minimum cultivé. Tous sauf un…
Proposant ton changement de boutique à leez, elle l’accepta sur le champ. Alors que vous vous dirigez vers la sortie, la présence de ton amie dans la boutique provoque un nouvel effet de foule. Certaines personnes commencent à lui demander photos et signatures. Un prompt souvenir. Restant proche pour ne pas la perdre de vue pendant qu’elle accomplit ce qui devait être, pour elle, un devoir, tu tentes de temps en temps un pas en avant. Souriant pour faire bonne figure, ce qui t’amuses le plus est l’attitude portée par leez. Tu ne savais dire si le fait que les gens la reconnaisse était quelque chose qui lui faisait plaisir ou l’embêtait. Elle écrivait, souriait, réconfortait… jouait en quelque sorte, la comédie. Tu savais qu’elle avait pour ambition de devenir quelqu’un d’important dans le monde politique sorcier et qu’il s’agissait de quelque chose auquel elle devait s’habituer, mais tout de même, ce peu de moment à elle, de vie privée, devait être pesant. Le seul fait de porter un héritage de famille et d’agir en fonction de tel était déjà épuisant.
La porte de Fleury & Botts une fois refermée derrière vous, tu entreprends de regarder discrètement autour de toi. La foule est restée à l’intérieur et les journalistes précédemment présents ne vous ont pas rattrapé. Leez te demande cependant : « Can you find a secret place ? I just want to enjoy a day with my friend without having everyone on my back… » Tu lui souris, en hochant de la tête : « I have a place in mind that should be less crowded. » Tu te demandais cependant comment elle réagirait. Continuant le Chemin de Traverse dans sa longueur, tu guettais le bon endroit. « Do you enjoy this? the attention, I mean… Doesn’t it annoy you sometimes ? », tu demandais à la rouquine alors que vous aviez reprit votre petite balade. Quelques mètres plus loin, tu tournais à gauche.
La petite ruelle dans laquelle vous vous étiez engagée avait brusquement assombrie l’atmosphère générale du Chemin de Traverse. Le haut des maisons, plus rapprochés les uns des autres, et le chemin étroit empêchait le passage de beaucoup de lumière. L’air y était plus frais, plus humide et tu sentais tes sens révillés. Il était clair que la foule avait disparu de votre passage. Seules quelques âmes s’étaient aventurées ici, en même temps que vous. Les paparazzis de Leez ne la suivraient certainement pas ici. Presque immédiatement, à l’entrée de ce qui était plus communément appelé l’allée des Embruns, tu poussais la porte d’un petit magasin. De tas d’articles étaient entreposés, tous plus étranges les uns que les autres. Beaucoup t’étaient inconnus. Même si le domaine de la magie noire n’était clairement pas quelque chose que tu voulais explorer en profondeur, le simple fait qu’elle vous étiez défendue et interdite en faisait quelque chose d’attractif. Ta curiosité n’avait pas pu s’attiser. « If it bothers you to be in a place like this, just tell me and we’ll leave. », tu chuchotas à Leez, même si partir maintenant serait à contre-coeur.
Te tournant vers les grimoires et les livres que la boutique offrait, tu en ouvrais un, tournant les pages lentement, scrutant les écritures. Potions pour parler aux morts, sortilèges impardonnables… ton impassibilité face aux choses t’aurait presque laissé échapper un frisson. « You shouldn’t be in here. This is not a place for kids like you. », murmura un homme qui s’était approché avec une voix grave, tel un râle. Tu croisais ses yeux éteints, enfoncés dans son crâne avant de retourner la tête vers le grimoire que tu avais dans les mains, sans piper mot. Ton indifférence face à son avertissement ne semblait guère l’enchanter. Il grommela quelque chose et fit un son de grognement. Afin de ne pas t’attirer des ennuis, tu prononçais d’une voix calme et sereine : « We’ll be out of your way soon enough… ». Pourtant tu n’avais pas l’intention de bouger tout de suite, occupé à satisfaire ta simple curiosité. « I bet you haven't seen any of these books anywhere else yet. », tu taquinais Leez d'un ton léger.
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(edit : mooon dieu! désolé de la taille j'ai été inspirée! te sens absolument pas obligé de faire autant de mots!! vraiment!! faut que je me contrôle mon dieeeu! )
- le Lun 21 Aoû 2017 - 17:44
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- Sujet: LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
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LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
{@=370}leez wilson{/@} & @dorian o'blake
LONDON IS A MODERN BABYLON
Tu laisses ton visage dégager un sourire quand tu l’entends s’emporter sur le nombre de livres à lire et le trop peu de temps qui vous étiez accordé. Un retourneur de temps, voilà ce dont elle avait besoin. Un seul coup d’œil à la couverture du premier livre que tu lui montres suffit à l’informer de son contenu. Fière de pouvoir dévoiler des informations, elle en profite pour ramener des souvenirs remontant au temps où vous faisiez partis tous les deux de l’équipe de Quidditch de Serpentard. « I remember that bludger backbeat ! How many times did it almost hit one of us ? », tu rétorques avec cette question rhétorique.
Faisant jouer le livre entre tes doigts, tu en esquisses la lecture de la quatrième de couverture tandis qu’un homme avec une photo en noir et blanc semble chercher ton regard. Dai Llewellyn. Un nom qui te disait quelque chose. Demandant son avis à Leez, elle te répondit d’un haussement d’épaule : « Quite boring, sorry.. ! » Le livre que tu avais préalablement mis de côté pour acheter regagna le rang des invendus. La seule manière dont cet homme aurait pu t’aider pour ta propre carrière aurait été par la rediffusion de ses matchs.
Un coup d’œil au nouveau livre qui avait effleuré tes doigts suffit pour te faire hésiter. Appuyant sur la tranche pour le ranger, il n’eut pas le temps de s’aligner avec ses confrères qu’il était déjà dans les mains de ton amie. « What is it with this book ? » Haussant un sourcil et une épaule, tu sortis de manière naturelle et désintéressée : « Nothing. Someone told me it was garbage so I’m not gonna waste my time on it. If you want it, be my guest! » Maxine. Voilà ce qu’il y avait avec ce livre. Le secret entre elle et toi, la raison de vos chemins séparés. Peut-être que tu aurais dû laisser ta fierté de côté et lire ce stupide bouquin. Mais il s’agissait de choses que tu avais besoin de décider par toi-même et un secret que tu ne devais partager avec personne.
Jetant un coup d’œil aux sections de bouquins référencés par les vendeurs, une idée vint germer dans ton esprit. Maintenant que tu voyais toutes ces opportunités de lecture ici, tu remarquais celle qu’il n’y avait pas. Celle à laquelle tu avais envie de jeter un œil. « I’ll tell you what… keep your 5 gallions, I know where we gonna go after that. »
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- le Ven 18 Aoû 2017 - 18:50
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LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
{@=370}leez wilson{/@} & @dorian o'blake
LONDON IS A MODERN BABYLON
tu souris à ce que te raconte leez. La façon dont ces magazines chassaient leurs prochaines « victimes » était à la fois redoutable et ridicule. Une traque au scoop, sans faire attention aux fausses notes. « two month ago they thought i wasn't into men because i never dated one in public. they really want to know my futur fiancé. which i don't ! » tu retrouvais là leez. Concentrée sur ce qu’elle voulait et ne voulait pas, ne laissant personne d’autre qu’elle faire les décisions sur sa vie. Alors que pour certaines personnes de vos âges, avoir de nombreuses relations étaient un but, un signe de respect et de popularité ; vous aviez d’autres attentes… d’autres priorités.
Lui attrapant le bras, tu la prépares au départ d’une simple phrase. Disparaissant immédiatement, vous réapparaissez tout aussi vite au Chemin de Traverse. Véritable mine d’or de boutiques et de trésors pour les sorciers. Même si tu y es venu des milliers de fois durant les années passées, les premières secondes en ce lieu sont toujours celles qui te coupent le souffle. Et ce n’était pas à cause du Transplanage. Tu jettes un œil aux alentours. Allée toujours bondée, tu te laisses envahir par un sentiment de sécurité et d’aise. Les odeurs de citrouilles et de caramel se mélangent avec l’air et les sortilèges. L’ancien mêlé au nouveau. Le secret mêlé à l’extraordinaire. Le familier à l’étrange. Tu te demandes ce que cet endroit te réserve encore pour aujourd’hui.
Suivant Leez sur les talons, vous vous rapprochez rapidement de la boutique de livre Fleury & Bott. L’enseigne accueillante promet le mystique. Vieille boutique qui reste fidèle à sa réputation. Précédent Leez, un léger coin de ta bouche affiche un sourire au vue des piles de livres. L’illusion est presque qu’elles sont ce qui tiennent cette bâtisse en place. Certains volent dans les airs avant d’atterrir dans les mains de sorciers et sorcières. Quelqu’un derrière toi te bouscule pour entrer à son tour tandis que Leez se retourne vers toi, d’un air joueuse. « well, what give you interest today ? arithmancy, muggle studies, divination, study of ancient runes or care of magical creatures ? herbology ? oh i know, astronomy ? » entrant dans son jeu, tu fais mine de réfléchir, pose théâtralement ta main sous ton menton et plisse les yeux. Que venais-tu chercher en ce lieu ? Si tu n’avais pas d’idée, un seul coup d’œil aux titres alentours te donnerait l’envie de tout acheter. « astronomy ! I bet 5 gallions ! » Astronomie ? Le choix te paraissait juste. Il était vrai que te préparer aux heures à venir aurait pu être un choix sage et judicieux. « I’ll let you know what I want when I figure it out. »
Montant les escaliers pour aller regarder les nouveautés de l’étage, tu examines quelques manuscrits. « Haven’t you read like… almost every single books they offer here? », tu demandes à Leez. Elle était une excellente élève et une vériatble bookworm. Si tu n’étais pas mal non plus dans ce genre-là, tu avais tes sujets de prédilection. Sortant de son étagère une œuvre, tu lui montrais « This one, for example. He flew like a madman by Kennilworthy Whisp ?» Il devait certainement être question de Quidditch quelque part dans le livre. « Is it any good ? » tu demandais à ton amie, maintenant que tu venais de t’intéresser au contenu. Si c’était du Quidditch peut-être que tu devrais le prendre. Le posant de côté, tu repris ton petit quiz. Attrapant un livre au hasard, tu t’apprêtais à lui tendre quand tu aperçus le titre, Frères de Sang : ma Vie chez les Vampires. Pendant une seconde tu hésitais… avant de remettre le livre là où tu l’avais trouvé.
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- le Jeu 17 Aoû 2017 - 10:50
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LONDON IS A MODERN BABYLON ─ leez&dorian
{@=370}leez wilson{/@} & @dorian o'blake
LONDON IS A MODERN BABYLON
La cohue de journalistes présents en bas de l’immeuble est plus un rituel de passage qu’une surprise pour ton amie. Tout sourire, savourant la lumière allant et venante des flashs, tu la vois qui leur donne un minimum ce qu’ils recherchent. Quelques bons clichés, de quoi mettre dans leurs journaux potins. C’était l’avantage de ta propre famille : personne ne courrait après les vies des businessmen possédant quelques-uns des plus grands groupes d’infrastructures du monde magique. Après leur argent et les faux pas, peut-être, leur vie privée, loin de là. Si ce n’était dans le monde des affaires, ton nom ne signifiait rien.
La rouquine te rejoint rapidement. Niant ta remarque, elle rétorque, ses lèvres imitant le même sourire amusé qui s’est logé sur les tiennes. « I was never late in my life, and i'm not going to start right now, so, you are too earlier maybe ! anyway, never my fault. » Que pouvais-tu répondre à ça ? La demoiselle avait parlé et c’était vrai, le jeu fonctionnait souvent de cette manière-là : si tu perdais, elle gagnait. Si elle gagnait, tu perdais. Mais si tu gagnais, elle gagnait aussi. La fierté et le besoin de perfection coulait dans ses veines et c’était justement un point que tu admirais chez ton amie. Quelque chose qui vous rapprochiez…
Te saluant d’un baiser sur la joue, elle te charriait par la suite : « they will talk about that little kiss for years now, i'm sorry ! ». En effet, les flashs redoublent à quelques mètres de là, les objectifs sont sortis. Tu tentes de faire abstraction, grimaçant à moitié à ton ami, toujours de bon cœur et d’un humour léger : « Just what i needed ». Prenant le chemin opposé aux photographes, vous tentez de vous éloigner un peu : « We should see how long it takes before you make the front page of those dreadful people magazine », tu rajoutes, mettant les mains dans les poches de ta veste. « C’mon, let’s lose them ». Au coin d’une rue déserte, tu mis ta main sur l’avant-bras de Leez avant de transplaner. Le Chemin de Traverse, le Londres Sorcier s’ouvrait à vous.
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- le Mer 16 Aoû 2017 - 11:56
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LONDON IS A MODERN BABYLON
Arôme amer de café. La boisson moldue par excellence. De ce que tu avais pu lire et observer. Ils en consommaient tous, en permanence. Peu importait la saison ou le jour de la semaine. Même par une bonne journée d’été comme celle-ci, tu les voyais passer avec leurs petits gobelets, bien serrés entre leurs phalanges et le portant aux lèvres de manière régulière. Ils en avaient tous des différents : des grands, petits, cartonnés, en plastique, chaud et glacés. Et tu les observais passer dans les rues alentour, entrant parfois dans les boutiques à proximité pour en chercher un nouveau. Une obsession, un commerce, une véritable mode.
Appuyé sur un mur, tes yeux revenaient régulièrement sur la façade d’immeuble en face de toi. Il avait été conclu que votre lieu de rendez-vous serait ici : le bas de l’immeuble où résidait Leez quand elle était sur Londres. Et tu étais à l’heure. Tranquille et peu pressé, cela faisait quelques minutes que tu tenais ici, guettant le moment où la porte s’ouvrirait. Rapidement si elle voulait conserver son image de jeune femme jamais en retard.
Il s’agissait d’un été de peu de choses pour toi. Retourner au bercail ? Prendre le chemin des enfers, plutôt. Rester dans les murs de l’université et tenir compagnie aux fantômes ? N’y comptez pas plus de trois jours. Tout le monde était ici et là, réparti sur la surface du globe à faire… dieu tu ne savais quoi. Ton père avait pourtant compté sur ces mois pour t’envoyer à l’autre bout du monde, en « prendre de la graine » chez ton frère. Une offre qui avait élevé de nouveaux conflits entre vous quand tu l’avais poliment refusé. Suivre ton équipe favorite de Quidditch à travers l’Angleterre pendant quelques semaines, ça, ça avait été un bon plan. De quoi te motiver pour ce qui arrivait en septembre, pour apprendre et affiner tes capacités au Quidditch et pour ne pas perdre la main quand il s’agissait de célébrer.
Tu patientais encore quelques minutes, observant d’un air indifférent et peu intéressé les environs avant qu’enfin la rouquine daigne se montrer. Un sourire prenant place sur ton visage, tu avançais de quelques pas pour aller à sa rencontre. «you're late, red », tu accusais d’un ton léger et amical.
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