Page 2 sur 2 • 1, 2
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Lun 1 Jan 2024 - 12:20
« Il ne m’en a pas interdit l’accès et t’a convié : C'est une forme d’approbation. » Le Hill prend une grand inspiration tandis que la colère risque d’inonder son âme. Colère contre la Blackthorn de l’avoir manipulée. Mais surtout colère contre lui même, de s’être laissé avoir à son jeu. Cette fille allait finir par annihiler toute forme de patience en lui un jour, c’était sûr.
Blackwood n’était sûrement pas au courant de ce qui avait motivé la Blackthorn en ces lieux. Il avait toujours méprisé tout ce qui touchait aux débats sur le statut du sang, lui qui était capable de s’enticher d’une créature magique. Il répétait sans cesse que ces dynasties sorcières étaient ridicules et n’oeuvrait absolument pas au service de la magie, malgré ce qu’ils prétendaient ardemment.
- Un jour tu apprendras le sens du mot discipline, Blackthorn. Ou dois-je dire… Villanueva ?
C’était petit. C’était vil. Mais il en avait assez d’être baladé et il était plus que temps que la jeune femme soit honnête envers lui et envers elle même. « Soit libre de partir ; j'invoquerai mon mentor en cas de besoin. C'est pas comme si j'espérais encore que tu remplisses son rôle. » Si elle essayait de le contrarier, la tentative était plutôt pathétique et désespérée qu’autre chose.
- Ah oui ? Mais je t’en prie. Fait donc. Ton obsidienne ne fonctionne-t-elle donc plus ?
Il l’observe se déplacer comme une souris qui essaye d’échapper au chat.
- Tu es ridicule, Cataleya. Il est évident que si je te voulais du mal, le mal serait déjà fait. Tout comme il est évident que tu n’aurais pas les moyens de t’en échapper.
Blackwood n’était sûrement pas au courant de ce qui avait motivé la Blackthorn en ces lieux. Il avait toujours méprisé tout ce qui touchait aux débats sur le statut du sang, lui qui était capable de s’enticher d’une créature magique. Il répétait sans cesse que ces dynasties sorcières étaient ridicules et n’oeuvrait absolument pas au service de la magie, malgré ce qu’ils prétendaient ardemment.
- Un jour tu apprendras le sens du mot discipline, Blackthorn. Ou dois-je dire… Villanueva ?
C’était petit. C’était vil. Mais il en avait assez d’être baladé et il était plus que temps que la jeune femme soit honnête envers lui et envers elle même. « Soit libre de partir ; j'invoquerai mon mentor en cas de besoin. C'est pas comme si j'espérais encore que tu remplisses son rôle. » Si elle essayait de le contrarier, la tentative était plutôt pathétique et désespérée qu’autre chose.
- Ah oui ? Mais je t’en prie. Fait donc. Ton obsidienne ne fonctionne-t-elle donc plus ?
Il l’observe se déplacer comme une souris qui essaye d’échapper au chat.
- Tu es ridicule, Cataleya. Il est évident que si je te voulais du mal, le mal serait déjà fait. Tout comme il est évident que tu n’aurais pas les moyens de t’en échapper.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Lun 1 Jan 2024 - 18:52
Disciplinée, elle l’était sous les mains parentales. Elle le redevenait maladivement lorsque la voix de son précédent mentor claquait derrière elle. Elle tendait à le redevenir quand les inspirations d’Arthur lui laissaient entrevoir son profond mécontentement, et l’avait longtemps été devant le Hill. Un regard de biche braqué sur ses corrections, et une moue étonnamment concernée par ses exercices puisqu’à l’instar des potions, elle s’était toujours efforcée de briller dans ses cours. Longtemps elle avait été cette fille en tout point impeccable dont les cheveux joliment ramassés derrière son nœud de jais souriait sur commande et s’inclinait d’une seule pression de regard, puisque parfaitement dressée sur les attentes de sa mère. Sans doute le redeviendrait-elle plus aisément que ce dont elle essayait de se convaincre, puisque indéniablement conditionnée, mais s’il y avait bien une personne devant laquelle elle s’efforçait de ne plus plier, c’était bien devant Andrew depuis qu’il avait prit la tête des chauffes-plat. A croire qu’elle avait développé un rejet systématique de chacun de ses ordres ou même idée : définitivement capable de chopper la crève dehors en réponse à un simple “Rentre te réchauffer.”
Oui. Disciplinée, elle l’était ; dans sa déraisonnable obsession à faire continuellement front au Hill. Souvent en dépit du bon sens. C’est qu’il avait la fâcheuse tendance à piquer où ça faisait mal quand ses tentatives à elle glissaient irrémédiablement sur son armure ; et pour une peste dont la langue se faisait souvent bulldozer, c’était là un constat qu’elle ne pouvait accepter. Quelque part, Andrew était sa kryptonite. " [...]Ou dois-je dire… Villanueva ? "
“ Tant que je maintiens une politique de déni, c’est là un fait encore contestable.” Siffle t’elle aussitôt, quand bien même l’allure se fait intuitivement plus rase. Oui, chacun de ses mots glissait sur lui comme la pluie sur les plumes d’un canard. Il demeurait au sec lorsqu’elle se noyait sous des propos, attitudes, ou même absence de regard puisque tout émanant de lui semblait affecter la rousse plus que de raison. Elle se jure le haïr lorsqu’il l’enjoint de convoquer son prédécesseur, gronde ridiculement lorsqu’il pointe la méfiance démesurée dont elle fait preuve, mais en définitive, si elle s'acharne encore, les mains se reposent finalement sur la pensine.
“ On échappe sans cesse à ta surveillance et tu as été incapable de voir que ce n’est pas la première fois que je m’absentais pour venir ici. Alors même que je suis rentré au manoir Blackwood le visage gonflé de venin la dernière fois ; etre attentif n'est pas ton fort. Je sais que je pourrais t'échapper. ” le discours aurait pu se charger d'arrogance mais la vérité c'est qu'au lendemain d'une pleine lune, Cataleya est viscéralement épuisée. Aussi baisse t’elle un peu les armes. “ Du coup, on fait quoi ? Tu cris en claquant dramatiquement la porte ou tu m'aide à trouver des objets intéressants ?
Oui. Disciplinée, elle l’était ; dans sa déraisonnable obsession à faire continuellement front au Hill. Souvent en dépit du bon sens. C’est qu’il avait la fâcheuse tendance à piquer où ça faisait mal quand ses tentatives à elle glissaient irrémédiablement sur son armure ; et pour une peste dont la langue se faisait souvent bulldozer, c’était là un constat qu’elle ne pouvait accepter. Quelque part, Andrew était sa kryptonite. " [...]Ou dois-je dire… Villanueva ? "
“ Tant que je maintiens une politique de déni, c’est là un fait encore contestable.” Siffle t’elle aussitôt, quand bien même l’allure se fait intuitivement plus rase. Oui, chacun de ses mots glissait sur lui comme la pluie sur les plumes d’un canard. Il demeurait au sec lorsqu’elle se noyait sous des propos, attitudes, ou même absence de regard puisque tout émanant de lui semblait affecter la rousse plus que de raison. Elle se jure le haïr lorsqu’il l’enjoint de convoquer son prédécesseur, gronde ridiculement lorsqu’il pointe la méfiance démesurée dont elle fait preuve, mais en définitive, si elle s'acharne encore, les mains se reposent finalement sur la pensine.
“ On échappe sans cesse à ta surveillance et tu as été incapable de voir que ce n’est pas la première fois que je m’absentais pour venir ici. Alors même que je suis rentré au manoir Blackwood le visage gonflé de venin la dernière fois ; etre attentif n'est pas ton fort. Je sais que je pourrais t'échapper. ” le discours aurait pu se charger d'arrogance mais la vérité c'est qu'au lendemain d'une pleine lune, Cataleya est viscéralement épuisée. Aussi baisse t’elle un peu les armes. “ Du coup, on fait quoi ? Tu cris en claquant dramatiquement la porte ou tu m'aide à trouver des objets intéressants ?
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Ven 5 Jan 2024 - 11:20
Même s’il préférerait mourir plutôt que de l’avouer, il n’était pas toujours fier du comportement qu’il avait auprès de la Blackthorn. Pour toute défense, il n’y avait que ce talent certain qu’elle avait d ele pousser à bout. De lui rendre la vie plus impossible qu’il n’aurait pu l’envisager. Il était sûrement celle dont il avait sous-estimé le pouvoir de nuisance. Et il le regrettait amèrement.
“ Tant que je maintiens une politique de déni, c’est là un fait encore contestable.” Il le savait, et c’est bien pour ça qu’il savait que l’appeler ainsi ne ferait qu’épaissir la tension qui s’était créée entre eux au fil des mois qui passaient. Il ne pouvait même pas prétendre que c’était pour l’accompagner vers l’acceptation de ses origines, aussi difficile soit elle. La vérité c’est qu’il n’en avait cure et qu’il ne souhaitait que la blesser pour rétablir son égo, après avoir été bassement manipulé.
“ On échappe sans cesse à ta surveillance et tu as été incapable de voir que ce n’est pas la première fois que je m’absentais pour venir ici. Alors même que je suis rentré au manoir Blackwood le visage gonflé de venin la dernière fois ; être attentif n'est pas ton fort. Je sais que je pourrais t'échapper. ”
Voilà précisément où était le problème. Ils n’étaient pas d’accord ni sur le fond, ni sur la forme que devait prendre ce tutorat. Andrew clamerait à qui voulait l’entendre que D. l’avait mal apprise. Après tout, ce n’était qu’une gamine… C’était bien ce qu’il pensait et pourtant… Ignorant volontairement sa dernière question qui relevait de la rhétorique, il rangea sa baguette dans sa manche avant de d’exiger :
- Arrête de me prendre pour ta baby-sitter Blackthorn, je vaux mieux que ça et toi aussi. Cesse de croire que je suis là pour vous surveiller ou vous dorloter. Tu n’es pas assez grande pour trouver la limite entre ce qui est utile et ce qui est stupide ? Ou vais-je devoir vous tatouer une rune de localisation de force pour vérifier que vous êtes tous bien dans votre lit à vingt-et-une heures tous les soirs ?
“ Tant que je maintiens une politique de déni, c’est là un fait encore contestable.” Il le savait, et c’est bien pour ça qu’il savait que l’appeler ainsi ne ferait qu’épaissir la tension qui s’était créée entre eux au fil des mois qui passaient. Il ne pouvait même pas prétendre que c’était pour l’accompagner vers l’acceptation de ses origines, aussi difficile soit elle. La vérité c’est qu’il n’en avait cure et qu’il ne souhaitait que la blesser pour rétablir son égo, après avoir été bassement manipulé.
“ On échappe sans cesse à ta surveillance et tu as été incapable de voir que ce n’est pas la première fois que je m’absentais pour venir ici. Alors même que je suis rentré au manoir Blackwood le visage gonflé de venin la dernière fois ; être attentif n'est pas ton fort. Je sais que je pourrais t'échapper. ”
Voilà précisément où était le problème. Ils n’étaient pas d’accord ni sur le fond, ni sur la forme que devait prendre ce tutorat. Andrew clamerait à qui voulait l’entendre que D. l’avait mal apprise. Après tout, ce n’était qu’une gamine… C’était bien ce qu’il pensait et pourtant… Ignorant volontairement sa dernière question qui relevait de la rhétorique, il rangea sa baguette dans sa manche avant de d’exiger :
- Arrête de me prendre pour ta baby-sitter Blackthorn, je vaux mieux que ça et toi aussi. Cesse de croire que je suis là pour vous surveiller ou vous dorloter. Tu n’es pas assez grande pour trouver la limite entre ce qui est utile et ce qui est stupide ? Ou vais-je devoir vous tatouer une rune de localisation de force pour vérifier que vous êtes tous bien dans votre lit à vingt-et-une heures tous les soirs ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Sam 10 Fév 2024 - 23:59
La communication Hill-Blackthorn était, en un sens, similaire à un gnome de jardin ; chaotique, véhémente, et franchement moche. Une chose un peu contre-nature dont Cataleya se passerait bien puisqu’elle ne pouvait pas l’éclater sous sa pelle. Tenue au-dessus de la pensine, sur le point de retourner aux livres pour emporter les plus intéressants, la Blackthorn suspend son geste devant la réponse que lui apporte son mentor et darde sur lui un regard hautement suffisant. Il ne répondait pas à la question du déplacement de l’objet et semblait encore moins prompt à l’aider, alors pourquoi demeurait-il figé sur place ? Le regard roule exagérément sous ses mots mais les doigts préfèrent courir sur la bibliothèque en quête de trésor.
-J’ai déjà une rune de localisation.
Répond t’elle pourtant au tac-au-tac, plus pour lui donner tord que réellement prêter attention à un discours qu’elle jugeait hautement contradictoire puisque plaqué à son visage d’un ton trop paternaliste pour se défaire de cette odieuse image de nounou. La réponse est pourtant fausse puisqu’il s’agissait là d’un tatouage de sang et non pas une rune à proprement parler, mais irait-il vérifier ? Il y avait peu de chance. La tête finit pourtant par se révulser en arrière de dépit, et sans un regard pour le professeur la rousse vient à reprendre.
-Tu ne m’aurais pas suivi, si tu avais eu connaissance de la nature de cette expédition. Ou tu aurais argué que c’est stupide, comme chaque fois que tu as vent de mes actions ou projet. Le visage fermé, la lufkin s’enferme dans un état de vexation singulier puisque hautement frustré par le regard que pouvait poser Andrew sur chacune de ses actions. Elle se sentait constamment dépréciée par les mots ou silence de cet homme. Constamment écorché par son oeil trop sévère puisque rien ne semblait assez bien pour le contenter. Alors, puisque aucun effort ne venait à porter ses fruits, c’est dans le chaos qu’elle avait choisi de briller. Et je n’avais pas besoin que tu me répête que c’était stupide de venir ici ; je le fais déjà toute seule.
-J’ai déjà une rune de localisation.
Répond t’elle pourtant au tac-au-tac, plus pour lui donner tord que réellement prêter attention à un discours qu’elle jugeait hautement contradictoire puisque plaqué à son visage d’un ton trop paternaliste pour se défaire de cette odieuse image de nounou. La réponse est pourtant fausse puisqu’il s’agissait là d’un tatouage de sang et non pas une rune à proprement parler, mais irait-il vérifier ? Il y avait peu de chance. La tête finit pourtant par se révulser en arrière de dépit, et sans un regard pour le professeur la rousse vient à reprendre.
-Tu ne m’aurais pas suivi, si tu avais eu connaissance de la nature de cette expédition. Ou tu aurais argué que c’est stupide, comme chaque fois que tu as vent de mes actions ou projet. Le visage fermé, la lufkin s’enferme dans un état de vexation singulier puisque hautement frustré par le regard que pouvait poser Andrew sur chacune de ses actions. Elle se sentait constamment dépréciée par les mots ou silence de cet homme. Constamment écorché par son oeil trop sévère puisque rien ne semblait assez bien pour le contenter. Alors, puisque aucun effort ne venait à porter ses fruits, c’est dans le chaos qu’elle avait choisi de briller. Et je n’avais pas besoin que tu me répête que c’était stupide de venir ici ; je le fais déjà toute seule.
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Ven 16 Fév 2024 - 22:34
« J’ai déjà une rune de localisation. » Il se fichait pas mal pour qui, pour quoi. Mais il devait reconnaître que plus d’une fois il avait envisagé de profiter d’un instant d’inconscience (ou pire, de provoquer cet instant…) pour lui tatouer une rune qui lui permettrait de la retrouver si elle se mettait encore dans le pétrin.
- Une deuxième ne te contrariera donc pas.
S’il n’avait pas déjà rangé sa baguette, il se serait sûrement rendu vers elle pour simuler un commencement d’exécution. Les runes de localisation étaient particulièrement intrusives, seuls les ressortissants d’Azkaban les portaient volontairement, pour échapper quelques temps à ces terrifiantes geôles.
« Tu ne m’aurais pas suivi, si tu avais eu connaissance de la nature de cette expédition. Ou tu aurais argué que c’est stupide, comme chaque fois que tu as vent de mes actions ou projet. » La voila qui se mettait à se plaindre. Encore. Déclenchant en cascade une prise de respiration intense qui témoignait de l’agaçement du Professeur. « Et je n’avais pas besoin que tu me répête que c’était stupide de venir ici ; je le fais déjà toute seule. »
- Très bien. Tu sais comment rentrer dans ce cas ?
Question réthorique. Car plongeant la main dans sa poche, il en ressorti la petite boussole qui leur avait servi de portoloin. Quelques pas suffisent pour qu’il le pose sur le bord de la pensine a laquelle la rouquine restait nerveusement accrochée.
Pour sa part, il transplane. Paris et Pénélope ne sont pas si loin.
- Une deuxième ne te contrariera donc pas.
S’il n’avait pas déjà rangé sa baguette, il se serait sûrement rendu vers elle pour simuler un commencement d’exécution. Les runes de localisation étaient particulièrement intrusives, seuls les ressortissants d’Azkaban les portaient volontairement, pour échapper quelques temps à ces terrifiantes geôles.
« Tu ne m’aurais pas suivi, si tu avais eu connaissance de la nature de cette expédition. Ou tu aurais argué que c’est stupide, comme chaque fois que tu as vent de mes actions ou projet. » La voila qui se mettait à se plaindre. Encore. Déclenchant en cascade une prise de respiration intense qui témoignait de l’agaçement du Professeur. « Et je n’avais pas besoin que tu me répête que c’était stupide de venir ici ; je le fais déjà toute seule. »
- Très bien. Tu sais comment rentrer dans ce cas ?
Question réthorique. Car plongeant la main dans sa poche, il en ressorti la petite boussole qui leur avait servi de portoloin. Quelques pas suffisent pour qu’il le pose sur le bord de la pensine a laquelle la rouquine restait nerveusement accrochée.
Pour sa part, il transplane. Paris et Pénélope ne sont pas si loin.
Page 2 sur 2 • 1, 2