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[Edimbourg] à la rencontre d'un nouvel ami à quatre pattes [PV]
Ven 1 Fév 2019 - 21:09
Le 1er février 2019,
Je m'étais portée volontaire pour faire une visite à domicile dans la magnifique capitale de l'Ecosse. Normalement, les sorciers devaient se déplacer à la clinique. Mais, là nous avions fait une exception, Madame Purplebottom était une sorcière très âgée qui prenait soin de ses familiers et qui était engagée dans la protection des créatures magiques.
Mes collègues m'avaient parlé d'elle et j'étais curieuse de faire sa connaissance. Je décidai de prendre le magicobus et le conducteur me déposa à quelques rues de son manoir.
D'un pas rapide, je rejoignis sa demeure, je sonnai et une elfe de maison minuscule m'ouvrit la porte. Elle me fit signe d'entrer et je constatai surprise et ravie qu'elle portait une tenue propre et soignée.
Madame Purplebottom me salua chaleureusement et elle m'expliqua que Peregrin, son fléreur, s'était battu avec un animal et qu'il avait une blessure qui refusait de cicatriser. Je m'approchai de lui et je lui parlai avec douceur pour le rassurer. Je lui prodiguai quelques caresses. Il était vraiment magnifique. Sa plaie n'était pas belle à voir mais, elle était facilement soignable. Je rassurai sa maîtresse avant de procéder aux soins.
Puis, je lui donnai une baume de ma création à appliquer matin et soir. Il serait guéri en quelques jours. Pour me remercier, elle m'offrit une écharpe qu'elle avait tricotée. Je la remerciai chaleureusement et je la mis en souriant. Elle était très colorée et elle avait réussi à reproduire plein de petits Peregrin. Je ne pouvais pas douter de son affection pour lui.
Comme il était encore tôt et que personne ne m'attendait à Inverness, je décidai de me rendre dans un refuge. Je sortis un plan de ma besace pour me repérer. La chance était avec moi, il n'était pas très loin.
Au bout d'une quinzaine de minutes, j'arrivai à destination. Je poussai la porte et je me dirigeai vers la bénévole présente pour lui demander quelles étaient les conditions pour adopter l'un de leurs protégés. Elle me les expliqua et elle m'invita à aller les voir.
Je ne pus résister à leur parler pour voir si l'un d'entre eux montrerait de l'intérêt. Mon regard de noisette s'arrêta sur un ou une sacré de Birmanie qui n'avait plus de queue. J'allai la voir, son regard bleu exprimait tellement de tristesse. Je remarquai vite qu'il s'agissait d'une femelle. Je me mis à lui parler d'une voix rassurante :
- Bonjour, ma toute Belle… Qu'est-ce qui t'es arrivée ? Tu aimerais devenir mon ami et venir vivre chez moi ou plutôt chez toi ?
Je lui parlai comme si elle était un être humain. Et pour moi, elle l'était sans penser que les présents pourraient m'entendre et me trouvaient bizarre.
Je m'étais portée volontaire pour faire une visite à domicile dans la magnifique capitale de l'Ecosse. Normalement, les sorciers devaient se déplacer à la clinique. Mais, là nous avions fait une exception, Madame Purplebottom était une sorcière très âgée qui prenait soin de ses familiers et qui était engagée dans la protection des créatures magiques.
Mes collègues m'avaient parlé d'elle et j'étais curieuse de faire sa connaissance. Je décidai de prendre le magicobus et le conducteur me déposa à quelques rues de son manoir.
D'un pas rapide, je rejoignis sa demeure, je sonnai et une elfe de maison minuscule m'ouvrit la porte. Elle me fit signe d'entrer et je constatai surprise et ravie qu'elle portait une tenue propre et soignée.
Madame Purplebottom me salua chaleureusement et elle m'expliqua que Peregrin, son fléreur, s'était battu avec un animal et qu'il avait une blessure qui refusait de cicatriser. Je m'approchai de lui et je lui parlai avec douceur pour le rassurer. Je lui prodiguai quelques caresses. Il était vraiment magnifique. Sa plaie n'était pas belle à voir mais, elle était facilement soignable. Je rassurai sa maîtresse avant de procéder aux soins.
Puis, je lui donnai une baume de ma création à appliquer matin et soir. Il serait guéri en quelques jours. Pour me remercier, elle m'offrit une écharpe qu'elle avait tricotée. Je la remerciai chaleureusement et je la mis en souriant. Elle était très colorée et elle avait réussi à reproduire plein de petits Peregrin. Je ne pouvais pas douter de son affection pour lui.
Comme il était encore tôt et que personne ne m'attendait à Inverness, je décidai de me rendre dans un refuge. Je sortis un plan de ma besace pour me repérer. La chance était avec moi, il n'était pas très loin.
Au bout d'une quinzaine de minutes, j'arrivai à destination. Je poussai la porte et je me dirigeai vers la bénévole présente pour lui demander quelles étaient les conditions pour adopter l'un de leurs protégés. Elle me les expliqua et elle m'invita à aller les voir.
Je ne pus résister à leur parler pour voir si l'un d'entre eux montrerait de l'intérêt. Mon regard de noisette s'arrêta sur un ou une sacré de Birmanie qui n'avait plus de queue. J'allai la voir, son regard bleu exprimait tellement de tristesse. Je remarquai vite qu'il s'agissait d'une femelle. Je me mis à lui parler d'une voix rassurante :
- Bonjour, ma toute Belle… Qu'est-ce qui t'es arrivée ? Tu aimerais devenir mon ami et venir vivre chez moi ou plutôt chez toi ?
Je lui parlai comme si elle était un être humain. Et pour moi, elle l'était sans penser que les présents pourraient m'entendre et me trouvaient bizarre.
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Re: [Edimbourg] à la rencontre d'un nouvel ami à quatre pattes [PV]
Ven 22 Fév 2019 - 11:20
Nous sommes en plein hiver, le mois de février débutait et Matsuo ne pouvait pas dire le contraire, le froid se faisait ressentir. D’ailleurs, il n’avait pu faire autrement que de passer un bon manteau et une écharpe bien chaude ainsi qu’un bonnet et des bottines en cuir fourrées. Il était frileux, il en avait conscience et du coup, il faisait son maximum pour ne pas finir congeler à l’extérieur d’un bâtiment bien chaud. En tout cas, il se refusait de rester enfermé et puis, il faisait beau, et le soleil, ça n’a pas de prix, même si on a froid parfois. Le jeune danseur avait donc décidé de profiter de cette belle journée. Il se trouvait actuellement en Ecosse, plus précisément dans la capitale. Il avait eu envie de s’aérer l’esprit et donc de s’éloigner un peu de l’université. Il aimait parfois se retrouver seul face à lui-même pour réfléchir, se remettre en question pour ensuite revenir encore plus fort. C’était exactement ce qu’il comptait faire en venant ici.
Une fois bien emmitouflé, il prit donc la décision d’aller faire une balade. Il avait un programme déjà préétabli. Il aimait particulièrement les animaux et il savait qu’il y avait un refuge pas trop loin de l’endroit où il se logeait. Du coup, il avait pris la décision de s’y rendre pour aller voir les animaux et pour pourquoi pas proposer son aide. En tout cas, il voulait passer un petit moment avec ces petites bêtes fantastiques à ses yeux. Il n’avait mis guère plus d’une dizaine de minutes avant d’arriver devant le bâtiment du refuge. Il poussa finalement la porte de cette bâtisse pour entrer. Il ne mit guère longtemps avant de se retrouver face à une bénévole qui s’occupait de ce lieu. Le jeune homme lui fit comprendre qu’il était là pour venir rendre visite à ces petites créatures et pourquoi pas ne pas proposer son aide durant son court séjour.
La bénévole lui fit faire le tour du propriétaire avant de le laisser aller et venir tranquillement sans l’embêter. Elle lui fit comprendre qu’elle en parlerait au gérant de ce refuge pour sa proposition d’aide. Matsuo avait pris la nouvelle avec le sourire tout en évoluant par la suite seul dans ce lieu si important à ses yeux. En marchant tranquillement tout en observant les animaux présents dans ce refuge, il vit une jeune femme en train de parler à un chat. Il ne put s’empêcher de sourire face à cette vision. Non pas qu’il se moquait de cette jeune fille, non bien au contraire, il trouvait cela attendrissant. Il s’avança donc vers cette personne pour finalement se baisser à sa hauteur.
« - Je pense que ce chat vous a déjà adopté. Il vous dévore du regard. Vous comptez le prendre ? »
Matsuo était curieux, il le savait, mais que voulez-vous, il était comme ça.
« - Excusez-moi. Je suis malpoli. Je m’appelle Matsuo et vous ? »
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