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(shalia) make a wish
Jeu 25 Avr 2019 - 9:47
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Shalia
Les amis et la famille, se sont des choses qui te semblent plus importantes que jamais. Tu sais ce que ça fait de se sentir seul et un peu perdu, de se donner à fond sans un instant de repos, c'est pour ça que tu as voulu faire une petite surprise à Laelia. La brune travaille trop, beaucoup trop, et même si ta thèse n'avancera pas seule, tu as aussi droit à un peu de repos dans toutes ces journées bien chargées. Pour une fois, c'est ta mère qui vient s'occuper des enfants le temps de ton absence, elle souhaitait passer un peu de temps avec ses premiers petits-enfants, c'était l'occasion rêvée. Tu envoies un message à la créatrice : Toi et moi, ce weekend, t'as deux heures pour préparer ta valise je passe te prendre. PS. pense à prendre un maillot. C'est toujours mieux de préciser, après tout un passe-montagne dans les Bahamas, c'est moyen. Tes bagages sont rapidement faits, pour la simple raison que tu prépares une surprise intégrale, de même qu'une petite blague à la jeune femme, tu as hâte de voir la tête qu'elle fera une fois sur place.
L'heure du départ arrive, tu as le portoloin avec toi, un simple coquillage qui vous mènera sur l'île paradisiaque. Trois coups à la porte, des couinements se font entendre derrière et tu souris en pensant à la petite bestiole rosée qui attend de pouvoir se faire caresser, comme à chaque fois que tu entres dans l'antre de la fleur. Salut Cerdo ! la porte s'ouvre seule, tu en déduis qu'elle est toujours plongée dans ses vêtements. Si dans deux minutes ta maîtresse n'est pas là, on part tous les deux dis-tu à l'adresse du petit cochon en haussant légèrement la voix histoire que la brune l'entende. Une minute cinquante-deux plus tard, elle arrive dans le hall d'entrée avec un nécessaire de voyage et tu l’accueilles avec un large sourire, tu es ravissante, comme toujours, prête ? Tu lui laisses le temps de dire au revoir à sa petite bête, et lui tend un bout de coquillage tout en regardant ta montre, le départ est donné.
L'air chaud, la brise marine qui agite les quelques mèches rebelles sur ton crâne, vous voilà arrivé dans un hall majestueux à la décoration raffinée, le luxe dégoulinant de tous les côtés. Tu retiens de rire en imaginant la suite. Mets ça sur tes yeux et laisse-toi guider, délicatement, tu places un masque de nuit sur le visage de la belle, prenant sa main pour la guider à travers le hall de l'hôtel. Bonjour, j'ai une réservation au nom de Muller, l'employé fait glisser son doigt le long du registre et relève les yeux sur Laelia en souriant, la suite est prête, nous vous souhaitons un excellent séjour au Royal Bahamas, un elfe s'occupera de vos bagages. Parfait. Tu réceptionnes la clé de la chambre, la suite, et diriges la demoiselle vers l'ascenseur, encore un peu de patience. Attente de courte durée, tu déverrouilles la porte, et te retiens d'éclater de rire en voyant la décoration kitshissime de la chambre. Ils ont fait un travail de fous, il y a des cochons partout, en décoration, en imprimés, une énorme peluche sur le lit et un panier garnis de fruit vous attends, tu la fais avancer jusqu'au centre de la pièce, tes mains autours de sa taille, le menton sur son épaule, tu lui murmures au creux de l'oreille tu peux regarder...
L'heure du départ arrive, tu as le portoloin avec toi, un simple coquillage qui vous mènera sur l'île paradisiaque. Trois coups à la porte, des couinements se font entendre derrière et tu souris en pensant à la petite bestiole rosée qui attend de pouvoir se faire caresser, comme à chaque fois que tu entres dans l'antre de la fleur. Salut Cerdo ! la porte s'ouvre seule, tu en déduis qu'elle est toujours plongée dans ses vêtements. Si dans deux minutes ta maîtresse n'est pas là, on part tous les deux dis-tu à l'adresse du petit cochon en haussant légèrement la voix histoire que la brune l'entende. Une minute cinquante-deux plus tard, elle arrive dans le hall d'entrée avec un nécessaire de voyage et tu l’accueilles avec un large sourire, tu es ravissante, comme toujours, prête ? Tu lui laisses le temps de dire au revoir à sa petite bête, et lui tend un bout de coquillage tout en regardant ta montre, le départ est donné.
L'air chaud, la brise marine qui agite les quelques mèches rebelles sur ton crâne, vous voilà arrivé dans un hall majestueux à la décoration raffinée, le luxe dégoulinant de tous les côtés. Tu retiens de rire en imaginant la suite. Mets ça sur tes yeux et laisse-toi guider, délicatement, tu places un masque de nuit sur le visage de la belle, prenant sa main pour la guider à travers le hall de l'hôtel. Bonjour, j'ai une réservation au nom de Muller, l'employé fait glisser son doigt le long du registre et relève les yeux sur Laelia en souriant, la suite est prête, nous vous souhaitons un excellent séjour au Royal Bahamas, un elfe s'occupera de vos bagages. Parfait. Tu réceptionnes la clé de la chambre, la suite, et diriges la demoiselle vers l'ascenseur, encore un peu de patience. Attente de courte durée, tu déverrouilles la porte, et te retiens d'éclater de rire en voyant la décoration kitshissime de la chambre. Ils ont fait un travail de fous, il y a des cochons partout, en décoration, en imprimés, une énorme peluche sur le lit et un panier garnis de fruit vous attends, tu la fais avancer jusqu'au centre de la pièce, tes mains autours de sa taille, le menton sur son épaule, tu lui murmures au creux de l'oreille tu peux regarder...
(c) DΛNDELION
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Re: (shalia) make a wish
Jeu 25 Avr 2019 - 12:05
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Shalia
Tintement particulier de la sonnerie de son cellulaire, un simple regard et la jeune femme s’en allait jusqu’au dressing, palace des tissus, palais des accessoires. Taille disproportionnée, à la mesure de la villa dans laquelle la précieuse vivait. Valise sortie, à compartiments, évidemment trafiquée à l’aide de la magie, elle sortait ses plus beaux affublements, jouant la carte du « on ne sait jamais », notamment avec cinq bikinis et une ribambelle de tissus plus beaux les uns des autres. Nécessaire beauté emporté, elle entendait Sasha dans le hall en train de parler plus fort, une menace qui la faisait rire. « Non, tu laisses Cerdo ! » Affaires bouclées, une pochette à bandoulière autour des épaules, la féline descendait les escaliers, détonation particulièrement de ses escarpins à talons aiguilles. Une risette délicate étirait ses pulpes tandis que Cerdo quittait les bras de Sasha pour venir se blottir dans ceux de la Princesse, étreintes et caresses affectueuses, Darius allait s’en occuper ce week-end, le temps de son absence. « Toujours prête. » Assurait la ronce avec un clin d’œil appuyé.
Coquillage dans une main, valise dans l’autre, le duo apparaissait dans un hall d’hôtel luxueux. Sans se plaindre, Laelia le laissait couvrir ses yeux et s’agrippait à sa paume, déstabilisée par ce début de surprise et l’inconnu mais excitée, impatiente de voir la suite. Rares étaient les personnes qui lui avaient fait des cadeaux pareils, la brune aimait le mystère et être surprise. La montée dans l’ascenseur était stressante, s’accrochant à ses mains en se laissant guider par Sasha jusqu’à la chambre. « Je suis impatiente. » Cela s’entendait dans la tonalité de sa voix, une voie lactée dans les prunelles lorsque le masque glissait. « Quoi ? » La créatrice avançait, analysant la décoration de la suite : tapisserie, décoration et autres gadgets cochons, le tout provoquait l’hilarité de l’orchidée, attrapant la peluche contre elle, clairement étonnée. « Je ne m’attendais pas à ça... » Elle riait de bon cœur la poupée, explorant les recoins de l’antre splendide et personnalisé, émerveillée, sautillant sur place parfois en analysant chaque élément soigneusement placé, irradiante de bonheur.
Le serpent se retournait vers Sasha, touchée par les attentions du jeune homme. Bras autour de sa taille, la Trejo le fixait, lèvres crispées d’un air amusé, chamboulée par le cadeau de son partenaire. « J’adore. » L’orchidée déposait un lent baiser contre ses croissants de chairs. « Je ne suis jamais venue aux Bahamas. » Éclair de génie, Laelia reculait et jetait un œil dehors, à travers la baie vitrée. « Est-ce que tu m’as emmené à l’île aux cochons ? » Des étoiles dans les yeux, elle avait toujours rêvé d’y aller, adoratrice des cochons. Dégainant son petit appareil photo, la Texane prenait quelques clichés de la suite afin de conserver quelques souvenirs de cette épopée fabuleuse. Objet pendu autour de sa nuque, ses doigts trouvaient ceux de Sasha, baisant le dessus de sa paume. « Merci beaucoup. » Voix tendre et plus basse, fusion intense des iris, un sourire aux lèvres, elle était heureuse.
Coquillage dans une main, valise dans l’autre, le duo apparaissait dans un hall d’hôtel luxueux. Sans se plaindre, Laelia le laissait couvrir ses yeux et s’agrippait à sa paume, déstabilisée par ce début de surprise et l’inconnu mais excitée, impatiente de voir la suite. Rares étaient les personnes qui lui avaient fait des cadeaux pareils, la brune aimait le mystère et être surprise. La montée dans l’ascenseur était stressante, s’accrochant à ses mains en se laissant guider par Sasha jusqu’à la chambre. « Je suis impatiente. » Cela s’entendait dans la tonalité de sa voix, une voie lactée dans les prunelles lorsque le masque glissait. « Quoi ? » La créatrice avançait, analysant la décoration de la suite : tapisserie, décoration et autres gadgets cochons, le tout provoquait l’hilarité de l’orchidée, attrapant la peluche contre elle, clairement étonnée. « Je ne m’attendais pas à ça... » Elle riait de bon cœur la poupée, explorant les recoins de l’antre splendide et personnalisé, émerveillée, sautillant sur place parfois en analysant chaque élément soigneusement placé, irradiante de bonheur.
Le serpent se retournait vers Sasha, touchée par les attentions du jeune homme. Bras autour de sa taille, la Trejo le fixait, lèvres crispées d’un air amusé, chamboulée par le cadeau de son partenaire. « J’adore. » L’orchidée déposait un lent baiser contre ses croissants de chairs. « Je ne suis jamais venue aux Bahamas. » Éclair de génie, Laelia reculait et jetait un œil dehors, à travers la baie vitrée. « Est-ce que tu m’as emmené à l’île aux cochons ? » Des étoiles dans les yeux, elle avait toujours rêvé d’y aller, adoratrice des cochons. Dégainant son petit appareil photo, la Texane prenait quelques clichés de la suite afin de conserver quelques souvenirs de cette épopée fabuleuse. Objet pendu autour de sa nuque, ses doigts trouvaient ceux de Sasha, baisant le dessus de sa paume. « Merci beaucoup. » Voix tendre et plus basse, fusion intense des iris, un sourire aux lèvres, elle était heureuse.
(c) DΛNDELION
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Re: (shalia) make a wish
Mer 8 Mai 2019 - 14:52
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Shalia
Envie de faire plaisir, sans raison particulière, sans attentes de retour juste parce qu'elle est elle et que son sourire n'a pas de prix. Jouant de mystère, tu ne laisses rien paraître, ne divulgues aucun indice, tu veux que la surprise soit totale. La chambre est magnifique, spacieuse et sous le kitsh cochon on devine aisément le luxe dans chacun des détails, que ce soit la qualité des draps ou celle des rideaux. Bas les masques. Elle rit la ronce de bon coeur et avec une sincérité insoupçonnable, tu souris à ton tour, si elle savait ce que tu manigances. Stoïque, tu restes droit au milieu de la pièce, observant la jeune femme avec ravissement, elle sautille à travers les pièces avant de venir se planter devant toi, ses doigts glissant contre tes bras, ses lèvres contre les tiennes tu gardes le silence lorsqu'elle te remercie, elle aussi t'a fait plaisir après tout. Soudain, la jeune femme semble avoir un eclair de génie, une révélation, elle s'empresse de prendre son appareil photo pour immortaliser le moment. L'épine ne t'a jamais semblé plus radieuse, elle embrasse le dessus ta paume et tu déposes simplement un baiser contre son front.
Toujours sans un mot, tu l'emmènes dans la partie salon à côté où se trouve le grand balcon offrant une vie magnifique, imprenable, un angle différent et qui lui plaira, tu en es certain. J'espère que ça va te plaire, tu ouvres la porte du balcon et invites la jeune femme à te suivre, la plage s'étale sous vos yeux, une eau turquoise rappelant son regard et puis, il y a ces petites tâches roses, ces cochons qui font la fierté de ce lieu. Tu regardes la belle en souriant, bienvenue au paradis. Trois coups résonnent à la porte, ça doit être les bagages. En effet, la phase deux du plan vient de s'activer. Tu mords l'intérieur de ta joue afin de ne pas rire, Bonjour monsieur, nous sommes vraiment désolés, il semblerait que vos bagages aient été confondues, nous mettons tout en oeuvre pour les retrouver, discrètement tu adresses un sourire à l'employé , c'est vraiment embêtant ! J'espère que vous les retrouverez d'ici peu. L'employé te tends un paquet, l'hotel met un nécessaire à votre disposition, dans l'attente de vos bagages. Dernier regard lancé avant de fermé la porte pour retrouver ta sirène du jour, tu vas être contrariée, princessa, ils ont égarés nos bagages, mais... tout n'est pas perdu, tu lui tends le sac luxueux dans lequel se trouve un maillot deux pièces, un pyjama, des pantoufles et une tenue short/tee-shirt, le tout ... en motifs cochon bien entendu. Tu n'es pas en reste, parce que sinon ça ne serait pas cohérent, tu hérites d'un short de bain, d'un tee-shirt et d'un short aux même motifs que les siens. Vous allez être magnifiques.
Toujours sans un mot, tu l'emmènes dans la partie salon à côté où se trouve le grand balcon offrant une vie magnifique, imprenable, un angle différent et qui lui plaira, tu en es certain. J'espère que ça va te plaire, tu ouvres la porte du balcon et invites la jeune femme à te suivre, la plage s'étale sous vos yeux, une eau turquoise rappelant son regard et puis, il y a ces petites tâches roses, ces cochons qui font la fierté de ce lieu. Tu regardes la belle en souriant, bienvenue au paradis. Trois coups résonnent à la porte, ça doit être les bagages. En effet, la phase deux du plan vient de s'activer. Tu mords l'intérieur de ta joue afin de ne pas rire, Bonjour monsieur, nous sommes vraiment désolés, il semblerait que vos bagages aient été confondues, nous mettons tout en oeuvre pour les retrouver, discrètement tu adresses un sourire à l'employé , c'est vraiment embêtant ! J'espère que vous les retrouverez d'ici peu. L'employé te tends un paquet, l'hotel met un nécessaire à votre disposition, dans l'attente de vos bagages. Dernier regard lancé avant de fermé la porte pour retrouver ta sirène du jour, tu vas être contrariée, princessa, ils ont égarés nos bagages, mais... tout n'est pas perdu, tu lui tends le sac luxueux dans lequel se trouve un maillot deux pièces, un pyjama, des pantoufles et une tenue short/tee-shirt, le tout ... en motifs cochon bien entendu. Tu n'es pas en reste, parce que sinon ça ne serait pas cohérent, tu hérites d'un short de bain, d'un tee-shirt et d'un short aux même motifs que les siens. Vous allez être magnifiques.
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Re: (shalia) make a wish
Mer 8 Mai 2019 - 17:07
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Shalia
Sincèrement heureuse face au présent de Sasha, le sourire radieux de la fleur ne quittait pas ses lèvres. Les yeux plissés, la risette semblait figer, imprégner dans sa chair, rayon de soleil vivant. Celui-ci se déplaçait dans la suite tout en sautillant, fluidité accompagnée par le tissu éthéré de sa longue robe lilas. Confectionnée par ses soins, doigts de fée, Laelia semblait être sur un petit nuage de douceur, immortalisant de son appareil photo la suite. Sous le regard attendri et fier du Muller, l’orchidée lui souriait, grignotant quelques raisins, la chevelure qui virevoltait. Personne ne lui avait fait une surprise aussi belle, de quoi faire battre plus fort son palpitant. Excitation difficilement contenue, Sasha la guidait sur le balcon. De là, une vue époustouflante s’offrait à eux, déposant dans l’océan de ses yeux, des tâches brillantes, des étoiles, une Voie lactée. Toujours aussi souriante, il y avait de l’admiration dans ses prunelles, tant que la brune en oubliait de parler, contemplant, là, au loin, les taches roses, brunes, noires, beiges, des animaux que l’étudiante chérissait énormément. « Bienvenue au paradis... » Répétait la Texane en balayant progressivement le paysage idyllique de l’île, la chaleur ainsi que le soleil frappaient son derme basané, au goût subtil de cannelle et de miel.
Sasha s’absentait et Laelia se penchait, les avant-bras contre le rempart du balcon. Perdue dans ses pensées, le brun revenait en lui tendant un paquet. « Qu’est-ce que c’est ? » Le ciel semblait s’écrouler sur elle, sa précieuse valise... perdue. Elle pâlissait à vue d’œil la poupée et mimait un malaise sur le canapé de la terrasse, une main posée dramatiquement contre son front. Immobile un instant, Laelia se relevait, fixant Sasha, sûrement habitué aux réactions de la fleur. « Qu’est-ce que je vais faire sans ma valise ? Sha, il y a mes créations, mon kit de couture dedans... » Un rapide coup d’œil au contenu du sac et Laelia éclatait de rire : un pyjama avec ses pantoufles, un maillot de bain et une tenue... cochon. Elle sentait la blague à plein nez, la jolie, mais attrapait les tissus en jetant un regard amusé au brun. « Sasha... » Rictus diverti malgré le ton inquisiteur, Laelia se levait et rentrait à l’intérieur afin d’ôter sa magnifique robe suivie de sa belle dentelle, donnant son appareil photo à Sasha. « Puisqu’ils ont perdu nos bagages, tu devras te contenter d’un maillot cochon à retirer. » Sourcil arqué en guise de provocation, le serpent enfilait le maillot de bain rose avec des petits motifs, avec le pyjama fin et les pantoufles. Jamais, la Trejo ne s’était vêtue de la sorte. Elle prenait ceci avec légèreté et se mettait à défiler dans l’immense suite vêtue de la sorte, ondulant des hanches, démarche confiante et exagérée : la créatrice était magnifique, surtout radieuse, vêtue de son plus beau vêtement : son sourire, celui qui dévoilait ses dents.
« Avant que je n’oublie. » Se dirigeant vers son sac à main ensorcelé, Laelia en sortait une boîte à pâtisserie blanche suivie d’une à bijou bordeaux. Plus sérieuse, la fleur s’approchait de Sasha en lui montrant le contenu des pâtisseries : quatre tartelettes au citron, dont la pâte était parfaitement cuite mais dans un piteux état. « J’ai passé la journée d’hier à les faire. » Elle faisait volontairement l’impasse sur toutes celles qui avaient fini à la poubelle. « Ensuite... Ferme les yeux. » Le temps que l’apollon ferme ses paupières, l’orchidée sortait une chaîne dorée avec un médaillon rond, identique au sien. Elle lui nouait autour du cou. « Tu peux regarder. Il y a les initiales de tes enfants gravés derrière : H pour Héloïse, L pour Luna et N pour Noah. » Reculant, une paume glissait dans sa tignasse épaisse. « J’ai le même avec les initiales de mes parents. » Ses ongles indiquaient le collier et embarrassée par son geste, elle esquissait un maigre sourire, prenant la fuite comme d’habitude, pour s’isoler sur le balcon, une fois le pyjama et les pantoufles ôtées.
Sasha s’absentait et Laelia se penchait, les avant-bras contre le rempart du balcon. Perdue dans ses pensées, le brun revenait en lui tendant un paquet. « Qu’est-ce que c’est ? » Le ciel semblait s’écrouler sur elle, sa précieuse valise... perdue. Elle pâlissait à vue d’œil la poupée et mimait un malaise sur le canapé de la terrasse, une main posée dramatiquement contre son front. Immobile un instant, Laelia se relevait, fixant Sasha, sûrement habitué aux réactions de la fleur. « Qu’est-ce que je vais faire sans ma valise ? Sha, il y a mes créations, mon kit de couture dedans... » Un rapide coup d’œil au contenu du sac et Laelia éclatait de rire : un pyjama avec ses pantoufles, un maillot de bain et une tenue... cochon. Elle sentait la blague à plein nez, la jolie, mais attrapait les tissus en jetant un regard amusé au brun. « Sasha... » Rictus diverti malgré le ton inquisiteur, Laelia se levait et rentrait à l’intérieur afin d’ôter sa magnifique robe suivie de sa belle dentelle, donnant son appareil photo à Sasha. « Puisqu’ils ont perdu nos bagages, tu devras te contenter d’un maillot cochon à retirer. » Sourcil arqué en guise de provocation, le serpent enfilait le maillot de bain rose avec des petits motifs, avec le pyjama fin et les pantoufles. Jamais, la Trejo ne s’était vêtue de la sorte. Elle prenait ceci avec légèreté et se mettait à défiler dans l’immense suite vêtue de la sorte, ondulant des hanches, démarche confiante et exagérée : la créatrice était magnifique, surtout radieuse, vêtue de son plus beau vêtement : son sourire, celui qui dévoilait ses dents.
« Avant que je n’oublie. » Se dirigeant vers son sac à main ensorcelé, Laelia en sortait une boîte à pâtisserie blanche suivie d’une à bijou bordeaux. Plus sérieuse, la fleur s’approchait de Sasha en lui montrant le contenu des pâtisseries : quatre tartelettes au citron, dont la pâte était parfaitement cuite mais dans un piteux état. « J’ai passé la journée d’hier à les faire. » Elle faisait volontairement l’impasse sur toutes celles qui avaient fini à la poubelle. « Ensuite... Ferme les yeux. » Le temps que l’apollon ferme ses paupières, l’orchidée sortait une chaîne dorée avec un médaillon rond, identique au sien. Elle lui nouait autour du cou. « Tu peux regarder. Il y a les initiales de tes enfants gravés derrière : H pour Héloïse, L pour Luna et N pour Noah. » Reculant, une paume glissait dans sa tignasse épaisse. « J’ai le même avec les initiales de mes parents. » Ses ongles indiquaient le collier et embarrassée par son geste, elle esquissait un maigre sourire, prenant la fuite comme d’habitude, pour s’isoler sur le balcon, une fois le pyjama et les pantoufles ôtées.
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Re: (shalia) make a wish
Jeu 9 Mai 2019 - 19:00
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Shalia
Connaissant la fleur et ses exigences, tu voulais la déstabiliser, l'extirper de son carcan de perfection, la pousser un peu car après tout, le ridicule ne tue pas. Collaboration d'exception, ton cerveau et le savoir faire de l’hôtel, rien ne fût laisser au hasard, tu ris intérieurement quand elle découvre avec effroi que son nécessaire vital lui a été enlevé. Tu survivras, je te le promets. La jolie brune regarde l'intérieur du luxueux sac et éclate de rire, Sasha . T'es presque sûr qu'elle a comprit, la futée, mais tu restes stoïque, il est inconcevable pour toi de trahir ta surprise, tu feins l’innocence à merveille, arborant le même regard curieux que ton fils semble déjà posséder, QUOI? Expression outrée, tu agis de la manière la plus naturelle possible en haussant les épaules jusqu'à ce qu'elle enchaîne et te tire un rire franc suivit d'un regard complice, tu sais que je te préfère sans aucun artifice . Ce n'est pas comme si tu t'étais déjà dissimulé derrière une quelconque barrière, aucun voile ne serait assez épais pour toi, elle est belle et elle sait que tu la désires, ce n'est un secret pour personne, en tout cas pour aucun de vous. Troquant sa tenue d'arrivée pour la totale cochonne, tu immortalises son défilé avec l'appareil qu'elle vient de te glisser entre les mains, même avec le truc le plus moche du monde, t'es magnifique dis-tu, sourire aux lèvres et appareil entre les mains.
Sourire aux lèvres, la tempête se dirige vers son sac à main et en sort deux boites. Gamin curieux, tu tends le cou pour observer, la première est une boite à patisserie, la seconde un écrin, lorsqu'elle ouvre la boite blanche un sourire nait sur tes lèvres tartes au citron ! Elles ont l'air très bonnes, connaissant les qualités culinaires de la Trejo, mieux vaut se méfier de l'air, mais tu es cependant touché par son attention, ce n'est rien comparé à l'émotion qui te prend aux tripes quand elle ouvre la seconde boite. Sous ses doigts fins se dévoile une chaîne, un médaillon sur lequel la belle à fait gravé les trois initiales de ta chair, de ton sang, de ses enfants qu'elle sait si important pour toi. La gorge serrée, impossible pour toi d’émettre le moindre son. Tu te contentes d'observer le bijou avec un débordement d'affection, tu le caresses du bout des doigts, les iris voilés par cette même tendresse que tu leur offres à chaque instant ; ils sont ta fierté et ton bonheur dans ce monde sombre.
Il t'aura fallu quelques secondes pour prendre la mesure de ce présent, la belle à déjà disparu sur le balcon. Chaîne autour du cou, tu caresses les gravures en t'approchant du balcon, prenant place dans le dos de la jolie fleur, une main sur le balcon, l'autre contre son ventre, tu embrasses le creux créé par ses omoplates, merci. Caresse du bout des doigts contre l'étoffe, tu es touché par son attention, plus encore que par n'importe quelle autre attention, plus que par n'importe qui d'autre, c'est elle, pour eux. Finalement, c'est peut-être toi le plus surpris de la journée. Tu serres la sorcière contre toi, ton menton sur son épaule, tu prends quelques instants pour profiter de la vue et surtout récupérer un minimum de contenance, pour finalement proposer dans un murmure tu veux aller sur la plage ?
Sourire aux lèvres, la tempête se dirige vers son sac à main et en sort deux boites. Gamin curieux, tu tends le cou pour observer, la première est une boite à patisserie, la seconde un écrin, lorsqu'elle ouvre la boite blanche un sourire nait sur tes lèvres tartes au citron ! Elles ont l'air très bonnes, connaissant les qualités culinaires de la Trejo, mieux vaut se méfier de l'air, mais tu es cependant touché par son attention, ce n'est rien comparé à l'émotion qui te prend aux tripes quand elle ouvre la seconde boite. Sous ses doigts fins se dévoile une chaîne, un médaillon sur lequel la belle à fait gravé les trois initiales de ta chair, de ton sang, de ses enfants qu'elle sait si important pour toi. La gorge serrée, impossible pour toi d’émettre le moindre son. Tu te contentes d'observer le bijou avec un débordement d'affection, tu le caresses du bout des doigts, les iris voilés par cette même tendresse que tu leur offres à chaque instant ; ils sont ta fierté et ton bonheur dans ce monde sombre.
Il t'aura fallu quelques secondes pour prendre la mesure de ce présent, la belle à déjà disparu sur le balcon. Chaîne autour du cou, tu caresses les gravures en t'approchant du balcon, prenant place dans le dos de la jolie fleur, une main sur le balcon, l'autre contre son ventre, tu embrasses le creux créé par ses omoplates, merci. Caresse du bout des doigts contre l'étoffe, tu es touché par son attention, plus encore que par n'importe quelle autre attention, plus que par n'importe qui d'autre, c'est elle, pour eux. Finalement, c'est peut-être toi le plus surpris de la journée. Tu serres la sorcière contre toi, ton menton sur son épaule, tu prends quelques instants pour profiter de la vue et surtout récupérer un minimum de contenance, pour finalement proposer dans un murmure tu veux aller sur la plage ?
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Re: (shalia) make a wish
Ven 10 Mai 2019 - 7:30
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Shalia
Elle se dandinait, jetant sa longue chevelure étincelante en arrière, mannequin en herbe ou simple parodie, Laelia jouait des vêtements prêtés, se doutant fortement de la farce que lui jouait l’apollon. Au fond, cela lui plaisait de sortir de son confort, de s’éloigner de ses étoffes sophistiquées, s’aérer l’esprit et s’ouvrir à de nouveaux horizons. Sasha photographiait l’énergumène, tous deux portaient un sourire étincelant, celui de la joie dans les moments agréables. « Tu exagères. » Bien évidemment que la fleur se savait belle, mais certainement pas avec cet accoutrement. Aux yeux du brun, elle l’était toujours, dans toutes les situations possibles et au final, Laelia avait le même avis que lui le concernant. Échange réciproque de tendresse et d’affection, l’orchidée enchaînait ensuite par deux cadeaux, relativement différents. Des tartelettes au citron dans un état lamentable ainsi qu’un collier qui émouvait Sasha, percevant l’humidité dans ses prunelles ébène. Attention particulière pour sa chair et son sang, le serpent se sentait mal à l’aise, davantage par le silence imposé. S’éclipsant sur le balcon dans son accoutrement de cochonne, la belle admirait les cochons, la famille de Cerdo et bientôt, de sa nouvelle petite bête.
Une main contre son ventre plat, l’autre contre la sienne sur le balcon, elle ne détournait pas le regard. Embrassée et câlinée par Sasha, un sourire délicat étirait ses pulpes rosées, caressant sa joue barbue d’une paume. « Je veux que tu sois heureux. » D’où ce cadeau particulier que l’orchidée avait hésité à lui offrir. « Et si c’est avec moi... » L’épine s’interrompait, le cœur qui parlait bien trop, certainement. Femme pudique, la danseuse se taisait, acquiesçant avec une certaine joie à la proposition du brun. « Bien sûr. » Pivotant, Laelia lui faisait face, attrapant son visage à l’intérieur de ses mains chaudes, le regard débordant de tendresse. Sans un mot, juste la fusion des iris, la ronce l’embrassait, lentement, plusieurs fois, glissant jusqu’à sa nuque et son épaule, lâchant un long soupir de bien-être. « Je me sens déjà bien ici. » Ce fut le temps d’enfiler la tenue de l’hôtel, bien qu’elle aurait pu conserver sa robe, la Trejo jouait le jeu, enfilant le short en jean simple avec le débardeur rose pastel, avec de petits visages de cochon. Le tout était assorti à son bikini dont la coupe était flatteuse, échancrée comme il le fallait. « Des baskets ? » Regard qui dénigrait les chaussures, une paire de vans. C’était simple : la belle n’en portait que pour la salle de sport. Elle se sentait comme dans un corps étranger Laelia, les enfilant comme si elle mettait les pieds dans la boue. Petite taille qui n’était pas avantagée dans un tel accoutrement, la brune semblait mal à l’aise dans ses chaussures. Marchant à la manière d’un chevalier qui portait sa première armure.
Cette vision lui arrachait un rire en reprenant le sac ainsi que le nécessaire de plage proposé par l’hôtel, jetant un coup d’œil au brun, lui-même vêtu d’une tenue cochon. « Pas mal... » Tous deux ridicules, Laelia immortalisait cet instant avec son appareil photo, artiste jusqu’au bout des ongles. Enfin, les compagnons prenaient le chemin de la plage, sous les regards amusés du personnel et des autres touristes. Sa main trouvait naturellement celle de Sasha, échangeant ce même sourire complice, descendant le petit chemin en bois jusqu’à la plage. Dès l’instant où ses prunelles croisaient celles des bêtes colorées, Laelia souriait, une galaxie dans les iris. Déposant son sac sur le sable, elle se mettait à courir derrière les cochons, eux-mêmes lui courant après en lâchant des couinements plus prononcés que ceux de Cerdo. « Il est énorme, Sha ! » Lançait-elle en indiquant le plus grand des cochons. « C’est sûrement leur chef. » Sourire émerveillé d’enfant, ses paumes venaient caresser les bestioles qui allaient à sa rencontre. « Est-ce qu’on peut en ramener un pour Cerdo ? » Demandait la précieuse en riant lorsqu’un cochon venait couiner à son oreille, tandis qu’elle s’était mise sur les genoux, sans prendre la peine de se protéger du soleil ni de retirer ses vêtements.
Une main contre son ventre plat, l’autre contre la sienne sur le balcon, elle ne détournait pas le regard. Embrassée et câlinée par Sasha, un sourire délicat étirait ses pulpes rosées, caressant sa joue barbue d’une paume. « Je veux que tu sois heureux. » D’où ce cadeau particulier que l’orchidée avait hésité à lui offrir. « Et si c’est avec moi... » L’épine s’interrompait, le cœur qui parlait bien trop, certainement. Femme pudique, la danseuse se taisait, acquiesçant avec une certaine joie à la proposition du brun. « Bien sûr. » Pivotant, Laelia lui faisait face, attrapant son visage à l’intérieur de ses mains chaudes, le regard débordant de tendresse. Sans un mot, juste la fusion des iris, la ronce l’embrassait, lentement, plusieurs fois, glissant jusqu’à sa nuque et son épaule, lâchant un long soupir de bien-être. « Je me sens déjà bien ici. » Ce fut le temps d’enfiler la tenue de l’hôtel, bien qu’elle aurait pu conserver sa robe, la Trejo jouait le jeu, enfilant le short en jean simple avec le débardeur rose pastel, avec de petits visages de cochon. Le tout était assorti à son bikini dont la coupe était flatteuse, échancrée comme il le fallait. « Des baskets ? » Regard qui dénigrait les chaussures, une paire de vans. C’était simple : la belle n’en portait que pour la salle de sport. Elle se sentait comme dans un corps étranger Laelia, les enfilant comme si elle mettait les pieds dans la boue. Petite taille qui n’était pas avantagée dans un tel accoutrement, la brune semblait mal à l’aise dans ses chaussures. Marchant à la manière d’un chevalier qui portait sa première armure.
Cette vision lui arrachait un rire en reprenant le sac ainsi que le nécessaire de plage proposé par l’hôtel, jetant un coup d’œil au brun, lui-même vêtu d’une tenue cochon. « Pas mal... » Tous deux ridicules, Laelia immortalisait cet instant avec son appareil photo, artiste jusqu’au bout des ongles. Enfin, les compagnons prenaient le chemin de la plage, sous les regards amusés du personnel et des autres touristes. Sa main trouvait naturellement celle de Sasha, échangeant ce même sourire complice, descendant le petit chemin en bois jusqu’à la plage. Dès l’instant où ses prunelles croisaient celles des bêtes colorées, Laelia souriait, une galaxie dans les iris. Déposant son sac sur le sable, elle se mettait à courir derrière les cochons, eux-mêmes lui courant après en lâchant des couinements plus prononcés que ceux de Cerdo. « Il est énorme, Sha ! » Lançait-elle en indiquant le plus grand des cochons. « C’est sûrement leur chef. » Sourire émerveillé d’enfant, ses paumes venaient caresser les bestioles qui allaient à sa rencontre. « Est-ce qu’on peut en ramener un pour Cerdo ? » Demandait la précieuse en riant lorsqu’un cochon venait couiner à son oreille, tandis qu’elle s’était mise sur les genoux, sans prendre la peine de se protéger du soleil ni de retirer ses vêtements.
(c) DΛNDELION
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Re: (shalia) make a wish
Mer 15 Mai 2019 - 19:46
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Shalia
Tu exagères, qu'elle dit, si peu, pas du tout en réalité. Ses proportions sont délicieuses, son regard ... n'importe qui pourrait s'y noyer sans même y prêter attention. Elle est de ces beautés dont parle les livres, une beauté pour laquelle un homme pourrait devenir fou, être prêt à tout pour obtenir ses faveurs. Chanceux que tu es, c'est toi qui semble les avoirs pour l'instant, ses faveurs - et tu ne vas pas t'en plaindre. Blottie entre tes bras, le regard sur l'horizon, la fleur semble plus douce que jamais, une pointe de fragilité dans la voix, la phrase qu'elle laisse en suspend n'as pas besoin d'être terminée. Surpris, tu ne réponds pas, préférant garder le silence face à ce malaise qui vient de te frapper en pleine face, tu ne sais pas comment réagir, ce qu'elle attend ou espère comme réaction, tu n'es pas doué dans ce genre de moment. Les mots, très peu pour toi. Autant que les pseudo relations, tu t'es promis de vivre sans questionnement, sans attache, ta vie étant suffisamment complexe à ce stade. Le regard sur l'horizon, les lèvres sur son épaule, tu changes de sujet, glissant une idée bien plus amusante que toutes ces histoires : les cochons ! Après tout, vous êtes là pour ça, non ?
Heureusement, la belle ne rate pas la perche, elle glisse entre tes bras avec la grâce typique de la ballerine. Ses mains encadrent ton visage, tandis que tu arrives à lire le bonheur dans son regard, elle n'a pas besoin de dire qu'elle est bien, tu le vois, le ressens et au fond, tu es content d'avoir visé juste pour cette surprise. Chaque baisé est rendu avec autant de douceur qu'il est donné, tu souris contre ses lèvres, ce n'est que le début. Tu as préparé des surprises plus ou moins grosses durant ce séjour, la première étant la perte de vos bagages, elle se retrouve en tenueridicule, mais surtout ... des baskets ? Tu hausses les épaules d'un air innocent, tout en conservant ton petit sourire au coin des lèvres; en même temps, des talons aiguilles sur la plage ... tu risquerais de blesser un cochon. Imagination débordante, tu imagines une pauvre bête piquée par son talon qui s'envole en se dégonflant tel un baudruche, image qui te fait rire, mais que tu n'expliquera pas à la Mère des Cochons. A ton tours de jouer le jeu, tu enfiles un bermuda qui faisait partie du kit de survie en secouant la tête, le ridicule ne tue pas, mais tout de même. un tee-shirt rose sur l'épaule, tu préfères te balader à moitié nu qu'avec la totale cochonne. Tout comme elle, tu écopes d'une paire de basket, identiques aux siennes, mais en modèle homme - encore heureux.
La fleur sort son appareil photo pour immortaliser le moment, tu prends la pose bodyguard, moue sérieuse, juste pour la photo avant de sourire en l’entraînant vers l'extérieur. Quelque chose te dit qu'après tu devras la traîner pour rentrer à l'hôtel. Les regards glissent sur vous, deux marginaux totalement fêlés du bocal, voilà ce pour quoi on doit vous prendre, mais tu t'en fiches et en plus tu ne connais personne ici. Sa main trouve la tienne rapidement, les doigts qui s'entremêlent le temps d'une caresse, le temps de traverser ce petit chemin qui sépare l'hôtel du paradis sur terre de la brune. Rapidement évincé par un gros cochon - tu pourrais presque te vexer d'être si vite remplacer, tu t'installes sur le sable à côté du sac déposé par la tornade. La bride de son appareil photo dépassant, tu le saisis pour immortaliser cette course folle et improbable. Sa question innocente te fait rire, sincèrement, avec une pointe de tendresse, tu secoues la tête, laisses ces pauvres bêtes en famille ! Cerdo est très bien à la maison, qu'est)ce que tu veux qu'il fasse avec un de cette grosseur ?! Pauvre Cerdo, il serait vite écraser, tu ajoutes en souriant déjà avec le petit j'ai difficile d'avoir une place dans le lit, alors celui-là, j'en parle même pas. Tu poses l'appareil photo sur le sac, ton tee-shirt sur l'appareil photo pour approcher de la jeune femme et ses créatures. Habitués aux hommes, les cochons viennent sans rechigner dès qu'on leur accorde une seconde d'attention, et quand ils n'en ont pas suffisamment ils viennent la chercher, comme ce petit qui vient grignoter la corde de ton bermuda, tu l'attrapes avec délicatesse, caresse sa petite tête et le tends à Laelia, il est déjà presque deux fois comme Cerdo, mais tout aussi adorable. Je sais que ton anniversaire n'est pas avant un moment, mais je voulais te faire un cadeau ... original, un cadeau à sa hauteur, j'espère sincèrement que ce weekend te plaira.
Heureusement, la belle ne rate pas la perche, elle glisse entre tes bras avec la grâce typique de la ballerine. Ses mains encadrent ton visage, tandis que tu arrives à lire le bonheur dans son regard, elle n'a pas besoin de dire qu'elle est bien, tu le vois, le ressens et au fond, tu es content d'avoir visé juste pour cette surprise. Chaque baisé est rendu avec autant de douceur qu'il est donné, tu souris contre ses lèvres, ce n'est que le début. Tu as préparé des surprises plus ou moins grosses durant ce séjour, la première étant la perte de vos bagages, elle se retrouve en tenue
La fleur sort son appareil photo pour immortaliser le moment, tu prends la pose bodyguard, moue sérieuse, juste pour la photo avant de sourire en l’entraînant vers l'extérieur. Quelque chose te dit qu'après tu devras la traîner pour rentrer à l'hôtel. Les regards glissent sur vous, deux marginaux totalement fêlés du bocal, voilà ce pour quoi on doit vous prendre, mais tu t'en fiches et en plus tu ne connais personne ici. Sa main trouve la tienne rapidement, les doigts qui s'entremêlent le temps d'une caresse, le temps de traverser ce petit chemin qui sépare l'hôtel du paradis sur terre de la brune. Rapidement évincé par un gros cochon - tu pourrais presque te vexer d'être si vite remplacer, tu t'installes sur le sable à côté du sac déposé par la tornade. La bride de son appareil photo dépassant, tu le saisis pour immortaliser cette course folle et improbable. Sa question innocente te fait rire, sincèrement, avec une pointe de tendresse, tu secoues la tête, laisses ces pauvres bêtes en famille ! Cerdo est très bien à la maison, qu'est)ce que tu veux qu'il fasse avec un de cette grosseur ?! Pauvre Cerdo, il serait vite écraser, tu ajoutes en souriant déjà avec le petit j'ai difficile d'avoir une place dans le lit, alors celui-là, j'en parle même pas. Tu poses l'appareil photo sur le sac, ton tee-shirt sur l'appareil photo pour approcher de la jeune femme et ses créatures. Habitués aux hommes, les cochons viennent sans rechigner dès qu'on leur accorde une seconde d'attention, et quand ils n'en ont pas suffisamment ils viennent la chercher, comme ce petit qui vient grignoter la corde de ton bermuda, tu l'attrapes avec délicatesse, caresse sa petite tête et le tends à Laelia, il est déjà presque deux fois comme Cerdo, mais tout aussi adorable. Je sais que ton anniversaire n'est pas avant un moment, mais je voulais te faire un cadeau ... original, un cadeau à sa hauteur, j'espère sincèrement que ce weekend te plaira.
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Re: (shalia) make a wish
Jeu 16 Mai 2019 - 9:36
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Shalia
Allure ridicule, Laelia souriait en détaillant la tenue de son partenaire : ne serait-ce pas une pointe de jalousie concernant ce short de bain ? Si, probablement : il était beaucoup plus beau que les motifs miniatures, semblables à des pois, sur son bikini rose. Position légendaire immortalisée, l’orchidée et l’apollon s’en allaient, traversant le hall de l’hôtel où les regards s’accrochaient sur les deux énergumènes présents. Duel de regard avec une de ces femmes plus âgées qui avait baissé les yeux sur Sasha, pointe de possessivité, elle l’assassinait du regard avant que celle-ci ne retourne vers son mari. Va te faire foutre. Sourire satisfait aux lèvres, la jeune femme ne tardait pas à courir auprès des cochons, sur la plage paradisiaque où aucun touriste ne s’y trouvait. Immergée dans un univers plaisant, la belle ronce admirait la diversité des cochons, s’arrêtant devant le plus grand d’entre eux, celui qui faisait presque la taille de Laelia tant était-elle petite.
La Trejo était rejointe par Sasha, celui-ci lui tendait un cochon plus imposant que Cerdo. Ce dernier grouinait proche de son visage, donnant parfois des coups de groin pour demander davantage d’affection. Petit à petit, les caresses s’accentuaient et la créatrice l’enlaçait fermement, fixant la créature rose, bercée par la voix de son partenaire adoré. « Ce séjour me plaît déjà énormément. » Regard gratifiant, le petit animal regagnait le sol tandis que Laelia retournait aux affaires, retirant enfin ses baskets et sa tenue pour adopter son maillot superbe. La plante des pieds contre le sable fin était un contact aussi délicieux qu’une caresse. Rapidement, la Texane se retrouvait encerclée par les cochons, leur donnant à tous des caresses dans des éclats de rire heureux, débordant de joie et d’allégresse. « Un bébé, Sha ! On dirait Cerdo ! » Un cochon nain sortait de l’endroit où pouvaient dormir les cochons, courant vers eux en faisant des grouinements semblables à ceux de sa bestiole favorite : non pas un ours mais un cochon.
Enfin, libérée des animaux qui circulaient autour d’eux, la fleur rejoignait Sasha, l’enlaçait de ses bras frêles. « Mes cadeaux d’anniversaire étaient en retard, contrairement à toi. » Risette tendre, une main glissait contre son dos musclé. « Ce cadeau me plaît énormément et je me dis que tu me réserves beaucoup de surprises encore. » Si petite que la danseuse s’était hissée sur la pointe des pieds, caressant d’une main protectrice, la chevelure du beau. « Il faut mettre de la crème. » Elle s’emparait du tube de protection solaire et en étalait sur le corps de Sasha afin de le protéger des coups de soleil. Ceci, jusqu’à ce que la tête d’un cochon ne vienne percuter ses fesses : si la surprise était présente, le rire ne tardait pas à perler. « D’accord Monsieur le cochon, je ne m’occupe plus de cet homme. » Abandonnant la protection solaire, elle se jetait finalement à l’eau après avoir levé les mains en signe d’innocence, là où des cochons nageaient, barbotaient, sous le regard brillant de Laelia, entourée des bestioles qui couinaient en demandant de l’affection.
La Trejo était rejointe par Sasha, celui-ci lui tendait un cochon plus imposant que Cerdo. Ce dernier grouinait proche de son visage, donnant parfois des coups de groin pour demander davantage d’affection. Petit à petit, les caresses s’accentuaient et la créatrice l’enlaçait fermement, fixant la créature rose, bercée par la voix de son partenaire adoré. « Ce séjour me plaît déjà énormément. » Regard gratifiant, le petit animal regagnait le sol tandis que Laelia retournait aux affaires, retirant enfin ses baskets et sa tenue pour adopter son maillot superbe. La plante des pieds contre le sable fin était un contact aussi délicieux qu’une caresse. Rapidement, la Texane se retrouvait encerclée par les cochons, leur donnant à tous des caresses dans des éclats de rire heureux, débordant de joie et d’allégresse. « Un bébé, Sha ! On dirait Cerdo ! » Un cochon nain sortait de l’endroit où pouvaient dormir les cochons, courant vers eux en faisant des grouinements semblables à ceux de sa bestiole favorite : non pas un ours mais un cochon.
Enfin, libérée des animaux qui circulaient autour d’eux, la fleur rejoignait Sasha, l’enlaçait de ses bras frêles. « Mes cadeaux d’anniversaire étaient en retard, contrairement à toi. » Risette tendre, une main glissait contre son dos musclé. « Ce cadeau me plaît énormément et je me dis que tu me réserves beaucoup de surprises encore. » Si petite que la danseuse s’était hissée sur la pointe des pieds, caressant d’une main protectrice, la chevelure du beau. « Il faut mettre de la crème. » Elle s’emparait du tube de protection solaire et en étalait sur le corps de Sasha afin de le protéger des coups de soleil. Ceci, jusqu’à ce que la tête d’un cochon ne vienne percuter ses fesses : si la surprise était présente, le rire ne tardait pas à perler. « D’accord Monsieur le cochon, je ne m’occupe plus de cet homme. » Abandonnant la protection solaire, elle se jetait finalement à l’eau après avoir levé les mains en signe d’innocence, là où des cochons nageaient, barbotaient, sous le regard brillant de Laelia, entourée des bestioles qui couinaient en demandant de l’affection.
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Re: (shalia) make a wish
Dim 19 Mai 2019 - 17:56
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Shalia
Habitué aux regards discrets ou non à ton passage, tu ne te formalises plus, tu n'y prête plus attention depuis des années, tout ce qui compte est là, à tes côtés ; cette grande gamine aux yeux brillants d'admiration pour ces créatures souvent mal comprises comme elle. La voir courir dans tous les sens à la conquête des porcs t'amuse, elle a quelque chose de pataud malgré la grâce qui émane de chaque parcelle de son corps, elle semble en symbiose parfaite avec les animaux alors qu'elle est bien souvent incapable d'échanger une parole avec un être humain. Drôle de créature que celle-là.
Petit cochon entre les bras, tu lui tends, elle saura probablement quoi en faire bien mieux que toi. Silencieux jusque là, tu prends la parole pour justifier ce cadeaucette folie, tu voulais la remercier pour son attention, sa présence, tu voulais lui offrir un moment pour souffler, penser à autre chose que son travail et ses projets, un cadeau d'anniversaire hors norme pour adoucir une vie un peu compliquée. L'un comme l'autre ayant besoin d'air, d'autre chose, de lâcher prise tu as posé un choix, il est visiblement payant. Fleur admirative face à la diversité porcine, elle est aussi belle qu'attendrissante en cet instant, ses grands yeux océans débordant d'amour, personne ne peut soupçonner ça d'elle, tu te trouves être à nouveau le témoin privilégié de cette facette. Mesures tu ta chance ? C'est un cochon, princesa, ils se ressemblent tous ! Réponse hilare, tu ne sais pas garder ton sérieux face à son air offusqué, visiblement elle voit des différences entre les animaux.
A ton tour, tu retires tes chaussuresmais tu gardes le bermuda, faut pas déconner, une fois les cochons dispersés la Texane enlace ta taille, plaquant son corps contre le tien, tu lui souris, mais ils sont parfait, le geste trahissant l'émotion, tu fermes un bras autours de sa taille fine, la main libre se logeant dans sa nuque pour l'attirer vers toi, il peut se passer bien des choses en deux jours. Mystère dans le regard, le sourire et le baiser, tu lui adresses un simple clin d’œil qui se veut complice; d'autre surprises arriveront, mais tu ne lui divulguera rien avant le moment, préférant garder la surprise intacte. Il faut mettre de la crème. Quoi ? Pourquoi ? Pas le temps de comprendre que tu te retrouves tartiné d'une pâte blanchâtre qui sent plutôt bon, grimace digne du gosse que tu peux être tu la regardes en coin t'es sérieuse ? Tu n'as jamais rien mis pour protéger ta peau, le côté latin te protégeant des coups de soleil, teint hâlé toute l'année, tu ne vois vraiment pas l'intérêt. La fleur se trouve projetée contre toi, rapidement le coupable est tout trouvé et si Laelia rit en affirmant ne plus jamais s'occuper de toi, tu claques ses fesses en regardant l'animal, rire au bord des yeux, j'étais le premier sur son jambon, continue, tu finis en bacon. Innocence feinte à la perfection, la jeune femme se jette à l'eau, il ne te faut pas très longtemps pour l'imiter, plongeant dans les vagues, fraîcheur délicieuse.
Sous l'eau, tu admires les poissons et la végétation, la nature est si belle, jusqu'à ce que tu aperçoives deux jambes fines surmontées d'un maillot connus, d'un geste vif tu attrapes la cheville de la créatrice pour la faire tomber à la renverse. Enfantillage, c'est aussi ça qui est plaisant dans ce genre de moment. Nez à nez sous l'eau, tu souris en croisant son regard avant de laisser glisser le tien le long de sa silhouette, appréciant chaque centimètre dévoiléou non, avant de remonter à la surface pour reprendre un peu d'air. Cochon nageur, qui l'eut cru, ils vous suivent même à l'eau, tu t'amuses de les voir agiter leurs petites pattes pour avancer, un spécimen plutôt impressionnant arrive en face de toi, tu grattouilles son menton comme tu le fais avec Cerdo et il semble ravit. Finalement, petit ou gros qu'importe, ils aiment tous la même chose. Laelia derrière toi, tu te retournes pour lui faire face, attrapant sa taille et l'attirant contre toi, corps parcouru d'un frisson causé par la différence de température entre le sable et l'eau ou pas, je suis content d'avoir eu cette idée, d'être juste avec toi.
Petit cochon entre les bras, tu lui tends, elle saura probablement quoi en faire bien mieux que toi. Silencieux jusque là, tu prends la parole pour justifier ce cadeau
A ton tour, tu retires tes chaussures
Sous l'eau, tu admires les poissons et la végétation, la nature est si belle, jusqu'à ce que tu aperçoives deux jambes fines surmontées d'un maillot connus, d'un geste vif tu attrapes la cheville de la créatrice pour la faire tomber à la renverse. Enfantillage, c'est aussi ça qui est plaisant dans ce genre de moment. Nez à nez sous l'eau, tu souris en croisant son regard avant de laisser glisser le tien le long de sa silhouette, appréciant chaque centimètre dévoilé
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Re: (shalia) make a wish
Dim 19 Mai 2019 - 19:17
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Shalia
La Princesse était plus à l’aise avec les animaux, plus particulièrement les cochons. Si la jolie avait du mal à communiquer avec les Hommes, elle n’éprouvait aucune difficulté à parler et à aimer les bestioles. Heureuse, si ce n’était euphorique, Laelia courait, sautait partout, incapable de tenir en place face aux cochons qui déambulaient tout en venant à sa rencontre. Ce week-end lui faisait déjà du bien, la simple rencontre avec les animaux peuplant l’île la faisait sourire, tendre enfant aux étoiles dans les yeux. « Non, ils sont tous différents ! » Air offusqué, offensé, la créatrice le fixait tout en étant entourée de nombreux cochons, grouinant à son encontre afin d’obtenir des caresses. Évidemment : l’orchidée était aux petits soins, en enlaçant certains de ses bras frêles, amoureuse des bêtes. Celle-ci s’en allait, s’approchant de son animal préféré en enlaçant sa taille, les yeux dans les siens, sans perdre ce sourire sincère, irradiant d’allégresse.
Laelia roulait des yeux, mimant un faux air innocent, bouille adorable qu’elle détenait. « J’ai hâte de voir. » La fleur avait déjà fait l’impasse sur sa valise et ses multiples tenues, l’exploit était déjà important. Quelques baisers, sans jamais se quitter des yeux, la brune fut attaquée par un cochon. Once de jalousie de l’animal ? La jolie levait les mains en signe d’innocence, s’écartant de Sasha en fixant le cochon, la malice dans les iris, dans le sourire également. Une fessée qui laissait une trace contre sa peau brune et l’apollon l’attirait de nouveau contre lui, défiant l’animal. « Mais arrête, il va se vexer ! » Elle tapait son torse en guise de punition avant de caresser puis de suivre le cochon jusqu’à l’eau. « Ça ira, Monsieur le cochon. Il est un peu brutal sur les bords... » Rire non dissimulé, ses propos avaient été murmurés, de manière à ne se faire entendre que par l’animal, partageant un secret ensemble.
Les pieds puis les jambes recouvertes d’eau, il ne fallait pas longtemps pour que le serpent soit entièrement recouverte de flotte. Mètre soixante, elle restait là où l’eau arrivait sous sa poitrine, entourée de ses compagnons atypiques. Ils étaient adorables à nager, leurs petites pattes en mouvement. Elle les voyait à travers l’étendue transparente avant de tomber en avant, la tête la première dans l’eau. Face à face avec Sasha, Laelia le poussait avec ses paumes, lui donnant un petit coup de pied en riant, des jeux d’enfants qu’ils aimaient tous les deux. La chevelure mouillée, l’orchidée remontait à la surface, barbotant sur quelques centimètres en s’occupant des cochons, qui semblaient être sa priorité. Sasha ne semblait pas de cet avis et l’entraînait contre lui, enlaçant sa peau humide de ses bras forts, musclés. Mh. Qu’il était beau et sauvage mouillé de la sorte, les cheveux en désordre, irrésistible apollon, incarnation divine qui la plaquait contre lui, plus fort encore. Chanceuse qu’elle était. Délicieux fils d’Adam.
Touchée par ses mots, la ronce glissait ses jambes suivies de ses bras autour de lui, s’y accrochant en déposant son front au sien. « J’aime ça aussi, être qu’avec toi. » Des confessions murmurées de deux cœurs pudiques, Laelia caressait délicatement sa joue, tendresse divulguée, fusion intense des dermes, des regards, les prunelles qui s’entrechoquaient et les palpitants qui battaient plus rapidement. Sa paume finissait par glisser contre son dos, humidifiant lentement sa peau afin de ne pas avoir de choc thermique en y retournant, un sourire tendre accroché aux lèvres. « T’es magnifique. » Œillade complice accompagné d’une moue légèrement boudeuse, gênée également. « Je crois que je n’ai pas aimé le regard de la femme, tout à l’heure. » Territoriale et possessive qu’elle était, il lui était difficile d’exprimer de tels mots. Pourtant, la poupée ne l’avait pas lâché du regard, tous deux plongés dans leur bulle. Union, symbiose, symphonie des âmes.
Laelia roulait des yeux, mimant un faux air innocent, bouille adorable qu’elle détenait. « J’ai hâte de voir. » La fleur avait déjà fait l’impasse sur sa valise et ses multiples tenues, l’exploit était déjà important. Quelques baisers, sans jamais se quitter des yeux, la brune fut attaquée par un cochon. Once de jalousie de l’animal ? La jolie levait les mains en signe d’innocence, s’écartant de Sasha en fixant le cochon, la malice dans les iris, dans le sourire également. Une fessée qui laissait une trace contre sa peau brune et l’apollon l’attirait de nouveau contre lui, défiant l’animal. « Mais arrête, il va se vexer ! » Elle tapait son torse en guise de punition avant de caresser puis de suivre le cochon jusqu’à l’eau. « Ça ira, Monsieur le cochon. Il est un peu brutal sur les bords... » Rire non dissimulé, ses propos avaient été murmurés, de manière à ne se faire entendre que par l’animal, partageant un secret ensemble.
Les pieds puis les jambes recouvertes d’eau, il ne fallait pas longtemps pour que le serpent soit entièrement recouverte de flotte. Mètre soixante, elle restait là où l’eau arrivait sous sa poitrine, entourée de ses compagnons atypiques. Ils étaient adorables à nager, leurs petites pattes en mouvement. Elle les voyait à travers l’étendue transparente avant de tomber en avant, la tête la première dans l’eau. Face à face avec Sasha, Laelia le poussait avec ses paumes, lui donnant un petit coup de pied en riant, des jeux d’enfants qu’ils aimaient tous les deux. La chevelure mouillée, l’orchidée remontait à la surface, barbotant sur quelques centimètres en s’occupant des cochons, qui semblaient être sa priorité. Sasha ne semblait pas de cet avis et l’entraînait contre lui, enlaçant sa peau humide de ses bras forts, musclés. Mh. Qu’il était beau et sauvage mouillé de la sorte, les cheveux en désordre, irrésistible apollon, incarnation divine qui la plaquait contre lui, plus fort encore. Chanceuse qu’elle était. Délicieux fils d’Adam.
Touchée par ses mots, la ronce glissait ses jambes suivies de ses bras autour de lui, s’y accrochant en déposant son front au sien. « J’aime ça aussi, être qu’avec toi. » Des confessions murmurées de deux cœurs pudiques, Laelia caressait délicatement sa joue, tendresse divulguée, fusion intense des dermes, des regards, les prunelles qui s’entrechoquaient et les palpitants qui battaient plus rapidement. Sa paume finissait par glisser contre son dos, humidifiant lentement sa peau afin de ne pas avoir de choc thermique en y retournant, un sourire tendre accroché aux lèvres. « T’es magnifique. » Œillade complice accompagné d’une moue légèrement boudeuse, gênée également. « Je crois que je n’ai pas aimé le regard de la femme, tout à l’heure. » Territoriale et possessive qu’elle était, il lui était difficile d’exprimer de tels mots. Pourtant, la poupée ne l’avait pas lâché du regard, tous deux plongés dans leur bulle. Union, symbiose, symphonie des âmes.
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Re: (shalia) make a wish
Mer 12 Juin 2019 - 19:00
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Shalia
Tous différents, tous différents ... c'est elle qui le dit ça. Pour toi ils ont tous quatre pattes, un groin et font beaucoup de bruit, mais bon, son bonheur est communicatif et tu ne peut que te réjouir pour elle après tout, c'était le but. Être loin de vos habitudes ne peut nuire à aucun de vous, déconnecté de la réalité, il n'y a que vous, la plage, le soleil et l'innocence propre à la jeunesse. Tête la première tu plonges à l'eau, tout comme dans la vie; tu ne réfléchis pas avant de te lancer imaginant certainement que tu auras bien le temps après. Les jambes de la sirène enfin, si les sirènes en avaient s'offraient à toi sous la surface, c'était trop tentant évidemment, comment ne pas rire face à la moue d'abord offensée de la fleur ? Elle te bouscule, te lance un coup de pied tout en riant sous l'azure avant de remonter à l'air libre. Cochons omniprésents, t'es obligé de forcé un peu pour obtenir de l'attention, gamin qui quémande, tu attires la jeune femme contre toi en souriant, elle ne touche plus le sable fin, finissant même pas s'agripper à toi, ses jambes nouées autours de ton bassin.
Elle est si différente de ce qu'on pourrait imaginer en la voyant, femme sûre d'elle qui bouffe l'adversité toujours perchée sur ses talons aiguilles, tu aimes la voir enfant des étoiles pleins les yeux. Touchantes petite étoile. Toi aussi tu es magnifique, particulièrement dans cette tenue, moqueur jusqu'au bout, ta langue passe sur ta lippe, sourire de p'tit con accroché au coin, t'es amusé de sa révélation. Étonné aussi. Dis donc, t'es jalouse, toi ? Curiosité piquée, t'es attendri par sa bouille de gamine, ça t'amuse parce que tu n'as pas remarqué la femme dont elle parle, tu n'as pas remarqué beaucoup de monde il faut dire, bien trop concentré sur le déroulé de la surprise, sur ta partenaire et ses nombreux sourires. Qu'ils regardent... on s'en moque, regard complice, tu déposes un baiser sur l'élégante ligne de sa mâchoire, ce weekend, c'est toi et moi, tu souris quand un cochon s'invite à vos côtés, bon ... et eux aussi.
Elle est si différente de ce qu'on pourrait imaginer en la voyant, femme sûre d'elle qui bouffe l'adversité toujours perchée sur ses talons aiguilles, tu aimes la voir enfant des étoiles pleins les yeux. Touchantes petite étoile. Toi aussi tu es magnifique, particulièrement dans cette tenue, moqueur jusqu'au bout, ta langue passe sur ta lippe, sourire de p'tit con accroché au coin, t'es amusé de sa révélation. Étonné aussi. Dis donc, t'es jalouse, toi ? Curiosité piquée, t'es attendri par sa bouille de gamine, ça t'amuse parce que tu n'as pas remarqué la femme dont elle parle, tu n'as pas remarqué beaucoup de monde il faut dire, bien trop concentré sur le déroulé de la surprise, sur ta partenaire et ses nombreux sourires. Qu'ils regardent... on s'en moque, regard complice, tu déposes un baiser sur l'élégante ligne de sa mâchoire, ce weekend, c'est toi et moi, tu souris quand un cochon s'invite à vos côtés, bon ... et eux aussi.
(c) DΛNDELION
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