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I'm a cat, I'm a boss FT. Érèbe
Mer 3 Juin 2020 - 3:43
I'm a cat, I'm a boss
◇ ◆ ◇ ◆ ◇ ◆ ◇
"Like the cat you are, you were just minding your own f*cking business."
Une ambiance plutôt relaxe et ensoleillée avait prédominance sur la journée d'aujourd'hui et à ton plus grand bonheur. Qui n'aime pas se laisser réchauffer par le soleil en étant vautré dans l'herbe et se la couler douce? Toi qui, habituellement, ne tiens jamais bien longtemps en place, tu apprécies grandement te coucher dans l'herbe pour te laisser réchauffer par les rayons solaires et spécialement sous ta forme de chat. Bien que tu apprécies ton corps d'humain, il attire beaucoup trop l'attention quand tu ne veux que te prélasser en paix. Tu adores ses regards, mais il t'arrive bien souvent de vouloir fuir tout ce qui ressemble à un être humain de près ou de loin. Alors, tu te revêtes de ta forme féline sombre aux poils long et luxueux afin de pouvoir partir à l'aventure en paix dans les grands parcs de l'Université. Tel était ton plan pour la journée ; marcher du haut de tes deux pommes à travers les herbes entourant le château. Tu allais autant courir que grimper que te prélasser un peu partout. Telle est la vie de chat que tu aimes tant. Après un petit moment à te promener, tu décides d'aller t'installer dans un coin un peu plus reculer, entre les tulipes fraîchement pousser après la venue du printemps. Tu évites soigneusement de piétiner les fleurs afin de te coucher entre elles. Savourant le calme t'entourant, tu finis pas fermer les yeux sous les rayons réconfortants de ta boule de feu préférée.
Ft. @Érèbe Holloway
:copyright: SWIRLY
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Re: I'm a cat, I'm a boss FT. Érèbe
Ven 5 Juin 2020 - 19:08
EUNOIA
I don’t pay attention to the world ending, it has ended for me many times and began again in the morning.
❝ C’est dans la plus belle des robes que je désire arriver chez le prophète. Sa lumière, sa clarté et sa beauté méritent le bonheur de mourir. ❞
Et les pages tournèrent et s’enlacèrent auprès de ses doigts, cette fois-ci nulle magie et mandibules dévorant le tracé infime du papier mais seulement la faible première couverture l’ayant rempli de curiosité. Les œuvres moldues — tout un art à découvrir pour celui qui amoureux de l’univers ne pouvait que constater les failles puis la beauté de leur monde imaginaire. Lui qui n’aurait nullement dû les lire, mais qui n’en avait que faire des regards et des attentes de la famille creuse. L’une des premières phrases de l’œuvre et déjà toute la complexité qui le force à se plonger dans la poésie, se dissimuler sous les arbres et la rosée de l’herbe, près de ses fleurs dont il ne cesserait jamais d’aimer respirer l’odeur. Le jour était ensoleillé, un peu plus qu’en temps normal et les quelques souvenirs cachés à double tour dans sa psyché parure le déranger. C’était une curieuse impression de déjà-vu doublée d’un avertissement à ce qu’il ne traîne trop longtemps au dehors, il n’avait pas envie de souffrir de brûlures insupportables qui lui prendraient la nuit entière. Cependant, il aimait le soleil sur le haut de leur tête et le doux velouté du vent sur le derme, il aimait parfois traîner quelques instants lorsque le printemps se finissait et l’été naissait simplement pour apprécier la liberté causée par des journées plus longues. La page se tourna sur les témoignages, il effleura sa crinière dorée du bout des doigts tout en avisant un peu plus loin ce qui semblait être un félin se promener à ses côtés. « Sirius ? » Il questionna sans entendre le miaulement agréable de son félin et sachant par conséquent que ce n’était pas lui qui venait ronronner auprès de ses cuisses. La nuque se plia, il évita un rayon solaire pénétrant entre les feuilles lui heurter un de ses iris, puis souleva les yeux pour rencontrer la boule de poils noire se prélasser entre les fleurs et rosiers. « Tiens donc, bonjour toi. » Le velouté de la voix fût si bas qu’il ne fit que susurrer ses mots, tendant délicatement la main afin que l’animal puisse humer son odeur vanillée puis lui gratouillant le haut de la tête avec légèreté. Cela n’avait été qu’un simple instant de caresse et aussitôt il se repositionna contre le tronc de son arbre, reprenant la lecture de son livre. Par expérience, Érèbe savait que les chats n’appréciaient pas de se faire caresser trop longtemps par des inconnus. Les minutes découlant bien trop rapidement pour qu’il ne puisse profiter des dernières paroles de ses pages, qu’il avisa sur loin encore un jeune élève tendre sa baguette, visiblement un première année désirant prouver quelque chose. En temps normal, Érèbe n’aurait rien fait, ce n’était pas ses affaires et il savait que chaque première année recherchait sa propre identité. Mais lorsqu’il vit le bois de chêne être pointé en direction du félin, ce fut à son tour de sortir l’âme cerisier et prononcer un simple sort désarmant l’espiègle. « Expelliarmus. » Et le sort fluide et vif partit comme un éclair, faisant voleter la baguette de l’autre un peu plus loin alors qu’il l’entendit pester dans une langue étrangère. Aussitôt, Érèbe rangea son bien, frôlant du bout de ses doigts le dos rond de l’animal jusqu’a atteindre une de ses oreilles qu’il chatouilla. « Rendors-toi, il ne reviendra pas de sitôt. » Il murmura avec douceur, profitant de ses derniers instants de soleil pour se caler au plus profond sous l’arbre et reprendre sa lecture moldue.
Et les pages tournèrent et s’enlacèrent auprès de ses doigts, cette fois-ci nulle magie et mandibules dévorant le tracé infime du papier mais seulement la faible première couverture l’ayant rempli de curiosité. Les œuvres moldues — tout un art à découvrir pour celui qui amoureux de l’univers ne pouvait que constater les failles puis la beauté de leur monde imaginaire. Lui qui n’aurait nullement dû les lire, mais qui n’en avait que faire des regards et des attentes de la famille creuse. L’une des premières phrases de l’œuvre et déjà toute la complexité qui le force à se plonger dans la poésie, se dissimuler sous les arbres et la rosée de l’herbe, près de ses fleurs dont il ne cesserait jamais d’aimer respirer l’odeur. Le jour était ensoleillé, un peu plus qu’en temps normal et les quelques souvenirs cachés à double tour dans sa psyché parure le déranger. C’était une curieuse impression de déjà-vu doublée d’un avertissement à ce qu’il ne traîne trop longtemps au dehors, il n’avait pas envie de souffrir de brûlures insupportables qui lui prendraient la nuit entière. Cependant, il aimait le soleil sur le haut de leur tête et le doux velouté du vent sur le derme, il aimait parfois traîner quelques instants lorsque le printemps se finissait et l’été naissait simplement pour apprécier la liberté causée par des journées plus longues. La page se tourna sur les témoignages, il effleura sa crinière dorée du bout des doigts tout en avisant un peu plus loin ce qui semblait être un félin se promener à ses côtés. « Sirius ? » Il questionna sans entendre le miaulement agréable de son félin et sachant par conséquent que ce n’était pas lui qui venait ronronner auprès de ses cuisses. La nuque se plia, il évita un rayon solaire pénétrant entre les feuilles lui heurter un de ses iris, puis souleva les yeux pour rencontrer la boule de poils noire se prélasser entre les fleurs et rosiers. « Tiens donc, bonjour toi. » Le velouté de la voix fût si bas qu’il ne fit que susurrer ses mots, tendant délicatement la main afin que l’animal puisse humer son odeur vanillée puis lui gratouillant le haut de la tête avec légèreté. Cela n’avait été qu’un simple instant de caresse et aussitôt il se repositionna contre le tronc de son arbre, reprenant la lecture de son livre. Par expérience, Érèbe savait que les chats n’appréciaient pas de se faire caresser trop longtemps par des inconnus. Les minutes découlant bien trop rapidement pour qu’il ne puisse profiter des dernières paroles de ses pages, qu’il avisa sur loin encore un jeune élève tendre sa baguette, visiblement un première année désirant prouver quelque chose. En temps normal, Érèbe n’aurait rien fait, ce n’était pas ses affaires et il savait que chaque première année recherchait sa propre identité. Mais lorsqu’il vit le bois de chêne être pointé en direction du félin, ce fut à son tour de sortir l’âme cerisier et prononcer un simple sort désarmant l’espiègle. « Expelliarmus. » Et le sort fluide et vif partit comme un éclair, faisant voleter la baguette de l’autre un peu plus loin alors qu’il l’entendit pester dans une langue étrangère. Aussitôt, Érèbe rangea son bien, frôlant du bout de ses doigts le dos rond de l’animal jusqu’a atteindre une de ses oreilles qu’il chatouilla. « Rendors-toi, il ne reviendra pas de sitôt. » Il murmura avec douceur, profitant de ses derniers instants de soleil pour se caler au plus profond sous l’arbre et reprendre sa lecture moldue.
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Re: I'm a cat, I'm a boss FT. Érèbe
Lun 8 Juin 2020 - 1:42
I'm a cat, I'm a boss
◇ ◆ ◇ ◆ ◇ ◆ ◇
Bien que tu ne prêtais pas vraiment attention à tous êtres se trouvant dans les environs, tu as bien remarqué celui qui avait semblé te prendre pour un autre chat, un certain Sirius. Jolis nom, mais non, ce n'était pas toi. Tu n'es qu'un petit chat libre de tout maître. Bon, tu n'es pas un vrai chat à part entière, mais tu adores plus que tout être sous ta forme féline. Tu te sens un peu plus proche de la nature ainsi. Amoureuse de celle-ci, tu y passes le plus clair de ton temps. Tu adores te promener entre ses arbres, ses plantes et toutes les petites merveilles qu'elle a pu donner à ce monde. Tout, sauf l'humanité. Tu aimes peut-être les contacts physiques, mais l'humanité, moldue comme sorcier, a le don de t'exaspérer au plus haut point, et ce, à chaque jour. Tu adores tes pouvoirs, mais déteste faire partie d'une espèce aussi stupide envers les siens et son propre environnement. S'il n'y avait pas toutes ses lois t'interdisant de sortir de l'ombre dans le monde moldu, tu serais déjà intervenue il y a bien longtemps afin de les empêcher de détruire ta magnifique planète. — Malgré la présence de cet inconnu, tu décides tout de même de venir t'installer entre les fleurs à ses côtés, il est plutôt mignon et il ne fait que lire, il n'allait certainement pas trop te déranger. Finissant par t'endormir paisiblement, la sensation d'une main finit par te tirer de tes songes bien heureux d'être retrouvés. Il ne s'agissait certes que de simples petites caresses affectueuses, mais elles avaient suffi à te réveiller. Toutefois, tu laissas ce jeune sorcier faire. Après tout, tu aimes les caresses et il était plutôt mignon. Néanmoins, quelque chose chez lui vint chatouiller ta mémoire. Tu as l'impression de le connaître, mais tu n'arrives pas à le replacer. Tu te surprends alors à le fixer depuis quelques minutes alors que ce dernier est retourné à sa lecture. Tu ne remarques même pas ce première année s'apprêtant à te faire passer un mauvais moment avec sa magie. Sous ta forme de chat, tu n'as pas accès à ta baguette, tu ne peux donc pas te défendre. Heureusement pour ta peau, l'inconnu à tes côtés a vite remarqué son jeu. Tu le vois bien vite prendre sa baguette, pensant alors qu'il allait te faire quelque chose, tu te redresses rapidement, mais son sortilège envers l'autre étudiant t'arrête dans ta lancée. Il l'a désarmé. Le sort t'ayant fait sursauté, tu sembles être un peu encore sur le stresse, ton dos est rond et tes oreilles baissées vers l'arrière. Quant à ton regard, celui-ci est tourné vers celui qui t'aurait fait du mal, tu veux graver ses traits dans ta mémoire. Il n'a peut-être pas pu te faire quoi que ce soit, mais tu as quand même envie de te venger plus tard de ce gamin sans cervelle. Tu sens alors de nouveau la main de ton sauveur te toucher, probablement pour te calmer. Tu sens alors ton dos se rabaisser alors qu'il retourne à sa lecture. Tu en veux toutefois plus et vins dès lors t'installer directement entre lui et son livre pour coller ta tête poilue sur son torse. Tu comptes bien dormir là.
Ft. @Érèbe Holloway
:copyright: SWIRLY
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