- InvitéInvité
lose yourself in the music, the moment, you own it (mehdi)
Mer 16 Sep 2020 - 19:10
Lundi 14 septembre 2020
@mehdi saouli
Il avait des idées plein la tête.
Ces dix semaines de vadrouille à suivre la troupe Ballarini lui avaient libéré la créativité et il n'en finissait pas de trouver des pistes, des amorces de réflexion, des bribes d'inspiration. Alors quand, à peine revenu à l'Université, Hunter avait demandé à son supérieur s'il pouvait intégrer quelques idées qu'il avait pour le spectacle de fin d'année, et qu'il avait reçu comme réponse une carte blanche, il avait jubilé de joie. Carte blanche, cela voulait donc dire qu'il gérerait le spectacle de la conception à la production, tel le chorégraphe qu'il aspirait à être, peut-être, plus tard, à son compte.
Seulement voilà, être l'organisateur, c'était aussi énormément de travail et de responsabilités. Hunter n'était pas certain d'avoir les épaules pour porter ce projet à bout, mais il allait essayer. Après tout, c'est bien beau de rêver de grandeur, mais il ne s'agit pas de se défiler et de rester dans l'oubli. Il avait bien réussi à gérer la paperasse, l'année dernière. Une production entière relevait d'une gestion bien plus organisée, mais l'esprit idéaliste du danseur ne se rendait pas encore compte de la charge de travail. Pour le moment, il était obnubilé par son inspiration délirante et ses nouvelles idées chaque minute pour réfléchir sur le long terme.
Il savait seulement qu'il allait avoir besoin d'aide.
Et il connaissait exactement la personne à qui s'adresser. "Mehdi ! My man !" fut l'accueil réservé à l'assistant en musique, aussi placide et réservé qu'Hunter était fougueux et extraverti. Le Lufkin étant occupé avec les premiers cours de l'année, l'Americain avait pris rendez-vous le jour même après les cours, pour discuter de ses idées (et être assez guidé pour ne pas s'éparpiller).
A dix-sept heures pétantes, il était derrière la porte, l'ouvrant à la volée, très enjoué à l'idée de partager la nouvelle. Il n'attendit pas longtemps, d'ailleurs, à peine le temps que les étudiants sortent de la salle de classe. "Guess who got the opportunity to create the summer show from start to finish ?" Grand sourire de gamin qui laissait peu de place au doute, le danseur ne laissa pas le temps au musicien de deviner, si excité qu'il était. "Me ! I did !" L'exclamation en levant les bras, suivie des petits sauts d'Hunter montraient sa joie, mais il se calma assez vite, entrant dans le vif du sujet avec une voix plus posée, ancrant ses avant-bras sur le piano. "So I'm gonna need your help man, 'cause I got a crazy idea, multiple ideas even, and you know how I am, I can't choose between them ! And ob-vious-ly, I'm gonna need music. So, you down ?"
- InvitéInvité
Re: lose yourself in the music, the moment, you own it (mehdi)
Sam 26 Sep 2020 - 23:06
La rentrée signifie un retour à la normalité ; une routine qui s'installe à nouveau, de nombreuses tâches à accomplir, des cours auxquels assister et enseigner, des devoirs à rendre et à corriger. Mehdi se sent plus à l'aise, cette année – sa nièce est rentrée à la maison et il la croise fréquemment dans les couloirs de l'université, son poste en tant qu'assistant est devenu confortable et il n'a plus vraiment peur sous les regards curieux des élèves lors des cours. Il se sent bien, ce qui relève presque du miracle lorsqu'on sait qu'un rien peut le perturber et rompre l'équilibre bancal de sa routine. Les premiers cours de l'année commencent sur de la théorie, et Mehdi, assis au piano, se fait une joie de jouer les morceaux donnés en exemple par le professeur, guider les élèves lors d'analyses musicales, rectifier des erreurs de composition d'accompagnement. Il est une présence discrète mais efficace ; placide mais perspicace. Utile. Il aime se sentir utile. Le bon déroulement de ce début d'année le conforte dans son idée de garder ce poste d'assistant, une fois ses études finies ; peut-être tentera-t-il à nouveau sa chance dans un orchestre, plus tard, mais il a besoin de temps.
Les heures défilent, les cours s'enchaînent, les élèves vont et viennent dans la salle de cours en un flot régulier ; les doigts de Mehdi sont habiles sur le clavier, le bruit des plumes grattant le parchemin est familier. Les mots lui viennent naturellement, aujourd'hui, ne restent pas logés dans sa gorge, ne s'emmêlent pas sur sa langue. La routine est fluide, bien huilée, chaque chose se déroulant comme prévu, sans un seul pas de côté – si bien que lorsque la dernière heure se termine, Mehdi reste figé par la surprise en apercevant Hunter. Il avait oublié. « Mehdi ! My man ! » le Lufkin se détend, un petit sourire logé au coin des lèvres ; Hunter est spontané et parfois imprévisible, mais il est également une variable connue, familière. « Hello, Hunter. » le danseur s'avance dans la salle et s'approche du piano en de grandes enjambées enjouées ; toujours assis au piano, Mehdi range ses partitions pour se donner quelque chose à faire, ayant compris depuis une poignée d'années que son habituelle immobilité statuesque pouvait mettre mal à l'aise. « Guess who got the opportunity to create the summer show from start to finish ? Me ! I did ! » Grand sourire aux lèvres, sautillements, bras levés – Mehdi devine qu'il s'agit d'enthousiasme. Hunter est expressif, facile à lire. Le sourire de l'algérien se fait plus prononcé (c'est la bonne réaction physique pour exprimer la joie, non?) : « Congratulations, it is a great opportunity. I am happy for you. »
Le danseur s'appuie contre le piano, son langage corporel se fait plus calme tandis qu'il explique à Mehdi qu'il va avoir besoin d'aide pour mener ce projet à bien. Trier les idées, organiser le spectacle ; « I'm gonna need music. So, you down ? » Mehdi fronce les sourcils, Yes, I am indeed sitting down, wh- oh, that's not what you meant. La pointe de confusion quitte son regard rapidement tandis qu'il comprend que Hunter lui demande s'il accepte de faire partie de l'organisation du spectacle (il se sent stupide pendant une demi seconde). Il prend le temps de réfléchir : organisation, triage, rangement, réflexion, préparation, répétitions... et surtout, Musique. Oui, il s'en sent capable. « Yes, of course, it would be my pleasure. » Réellement ; cela lui donnerait l'occasion de travailler avec les musiciens et les danseurs du cursus d'Arts du Spectacle, et il est certain qu'à eux deux, ils pourraient faire des merveilles. « Do tell me more. What do you have in mind, exactly ? I- I can help you sort it out. »
- InvitéInvité
Re: lose yourself in the music, the moment, you own it (mehdi)
Mer 21 Oct 2020 - 17:19
La drôle de dynamique du duo formé par le danseur extraverti et le renfermé musicien avait toujours paru étrange aux yeux des autres. Depuis leur jeunesse, les deux artistes se côtoyaient, mais jamais ils ne s'étaient vraiment connu. Hunter était trop casse-cou, trop populaire, trop extraverti pour tenter de faire connaissance avec Mehdi. Au fur et à mesure des années, les deux continuaient de se croiser, portés par leurs ambitions professionnelles respectives, mais ce ne fut qu'à partir de septembre dernier que les deux sorciers ont vraiment commencé à se fréquenter. Soucieux de se lier des amitiés avec ses nouveaux collègues, Hunter avait mis un point d'honneur à tous les connaître, au moins superficiellement. Avec les années, et surtout le coup à l'honneur qu'Althea lui avait porté en s'évaporant, le danseur s'était mis du plomb dans le crâne et était plus posé, bien que son naturel hyperactif prenait souvent le dessus. Mehdi avait été bien plus difficile à atteindre que d'autres collègues assistants, comme @Evan Wakefield ou @Judith Thorne, mais le danseur appréciait vraiment passer du temps avec lui. Alors quand on lui donna la production entière du spectacle de fin d'année sur un plateau d'argent, il ne réfléchit pas plus à l'identité de la personne qui composerait la bande originale. Enfin, s'il était d'accord, bien sûr.
Bon, la question était peut-être posée avec un peu trop de détails, mais l'idée était là. "So, you down ?" Les yeux rivés sur le visage du Lufkin avec un peu trop d'insistance, Hunter découvrit une moue d'incompréhension, comme si les paroles de l'ancien Pokeby n'avaient pas été tout de suite comprises, avant que le visage de Mehdi se métamorphose en assentiment. "Yes, of course, it would be my pleasure." Tendu tout le long que l'Algérien réfléchit à sa proposition, Hunter relâcha la tension en s'éloignant vivement du piano, vers l'arrière, levant les bras au ciel. "Yes ! So great ! Oh we're gonna have so much fuuuuuuuuuun, brooooo !" Connaissant les difficultés du musicien avec les effusions d'affection tactiles, le danseur se concentre sur lui-même à la place, gesticulant dans tous les sens, tournant plusieurs fois sur lui-même.
Lorsqu'il reprit un peu de contenance, et se calma, Hunter découvrit le regard circonspect de Mehdi. "Do tell me more. What do you have in mind, exactly ? I- I can help you sort it out." Se concentrant, le sorcier reposa ses avant-bras sur le piano à queue, pour s'ancrer dans la réalité. "Yes, yes. So it's, like, really messy up in here-" D'un geste du doigt, il indiqua son crâne, lançant ses cheveux vers l'avant par la même occasion, avant de les plaquer vers l'arrière pour les remettre en place. "So bare with me. I wanna make, like, a musical. The story would be one of Beedle the Bard's Tales. But I don't know which one, yet. I like the Tale of the three brothers, but I feel like that's too obvious, you know. There's also the Fountain of Fair Fortune, I think that could work." Non, il n'était pas attiré par cette histoire uniquement par le fait qu'il y ait un personnage qui soit malade, pas du tout. "But I wanna make something really weird, but cohesive, you know ? Like, you know this no-maj Broadway Musical, Hamilton ? Like, how they took something rooted in history but made it really modern with the music ? I wanna do that." Au fur et à mesure qu'Hunter parlait, il avait l'impression de s'embourber dans ses idées. Elles étaient trop fouillis et trop nombreuses pour qu'il puisse avoir quelque chose de cohérent. "Ideally, I'd like for every student in the performance arts program to find their moment to shine. So, there would be different types of dancing : classical, of course, but also jazz, tap, lyrical... And same with the music ! But it needs to be coherent." A la fin de sa tirade, le chorégraphe amateur se dit qu'il devrait vraiment coucher ses idées sur le papier pour que le tout soit plus digeste. Alors il attira un rouleau de parchemin d'un accio silencieux. Depuis un an qu'il était revenu à temps plein dans la société magique, il avait fini par retrouver des automatismes. "What do you think ?"
- InvitéInvité
Re: lose yourself in the music, the moment, you own it (mehdi)
Jeu 29 Oct 2020 - 18:29
Il suffit que Mehdi donne son accord pour que Hunter exprime son enthousiasme, les bras levés au ciel, se projetant en arrière pour le plus grand soulagement de l'algérien, qui n'aurait su comment réagir si c'était sur lui qu'il se serait jeté. L'assistant en musique apprécie énormément le danseur, s'étant fait à son expressivité petit à petit après des années à s'être croisés tout au long de leurs parcours respectifs – en son fond intérieur il remercie d'ailleurs Hunter pour être si facile à lire, lui qui a tant de mal à reconnaître et percevoir les émotions d'autrui. Cependant, les effusions d'émotions et d'affection le laisse toujours mal à l'aise si elles viennent de quelqu'un d'autre que de son noyau familial ; les émotions sont imprévisibles, après tout, parfois même irrationnelles, et tout ce qui ne suit pas un pattern et une logique bien précise déconcertent énormément le musicien. « Yes ! So great ! Oh we're gonna have so much fuuuuuuuuuun, brooooo ! » Mehdi ne retient pas un léger sourire tandis qu'il regarde Hunter gesticuler ; lui-même doit bien admettre ressentir un drôle de chatouillement dans son ventre à l'idée de pouvoir s'occuper de la musique d'un spectacle entier. Oh, les possibilités semblent soudainement infinies, surtout avec l'énergie et l'imagination débordante du danseur.
Mehdi se doit cependant de calmer son ami, lui demandant avec sérieux de lui faire part de ses idées pour qu'ils puissent les trier ensemble. Hunter s'appuie à nouveau contre le piano, se concentrant à nouveau : « Yes, yes. So it's, like, really messy up in here, so bear with me... » d'abord immobile sur son siège, il écoute attentivement le fil des idées du danseur, se mettant tout doucement à se balancer d'avant en arrière tandis qu'il se plonge de plus en plus dans la réflexion. Il aime beaucoup l'idée d'une comédie musicale, ce genre de spectacle offrant la possibilité d'une grande diversité musicale et artistique – et le faire sur l'un des contes de Beedle le Barde rend la chose accessible à l'immense majorité des sorciers, tout en offrant la possibilité aux né-moldus d'en apprendre plus sur les histoires traditionnelles sorcière. La comparaison avec Hamilton, que Mehdi a écouté par curiosité après avoir mainte fois entendu les chanteurs de sa filière en parler, éclaire un peu plus le projet de Hunter. Le tout, comme souligne le danseur, serait de parvenir à une certaine cohérence dans le spectacle. « What do you think ? » Mehdi réorganise cette foule d'informations dans son cerveau, rangeant soigneusement chaque idée dans une petite boîte mentale soigneusement étiquetée ; « Well, there's a lot to go over, » songe-t-il à l'oral, « but with what you already thought of, I think we can start something interesting. »
Distraitement, ses doigts caressent le claviers tandis qu'il cherche à mettre de l'ordre dans ses pensées, décidant de reprendre le raisonnement depuis le début. « okay, so. I think the Fountain of Fair Fortune would be a good story to build on. There are four, wildly different and easily defined main characters, a quest, a love story... there's some for everyone. And also, the different parts of the story can easily be divided in Acts. » Il note dans un coin de sa tête qu'il devra relire le conte le plus vite possible – il lui semble qu'un exemplaire du recueil traîne quelque part sur une des étagères, chez ses parents. « There are several ways to make the whole show cohesive and coherent. We can assign a different genre to all four of the main characters for exemple, and have recurring musical themes for each of them as well. Same goes for the trials they have to go through in order to get to the fountain – we can give it its theme and style. » Il s'interrompt lorsqu'il se rend compte qu'il vient probablement de prononcer le plus de mots que Hunter aient jamais entendu de sa part. Brutalement embarrassé, sans aucune raison valable, il baisse le nez, le rougissement de ses oreilles témoignant de sa gêne soudaine. « Would that be something you could work with ? or... »
- InvitéInvité
Re: lose yourself in the music, the moment, you own it (mehdi)
Dim 13 Déc 2020 - 18:40
Le parchemin était parvenu jusqu'au piano et Hunter s'empressa d'attirer vers lui un stylo de son sac à dos, traînant au sol non-loin de l'entrée de la salle de musique. "Well, there's a lot to go over, but with what you already thought of, I think we can start something interesting." Le danseur l'espérait vivement, et son hochement de tête associé à un haussement de sourcils le montrait très bien. Connaissant Mehdi assez bien pour savoir qu'il ne fallait pas l'interrompre tandis qu'il parlait (erreur qu'il avait fait plusieurs fois par le passé), il se tut. "Okay, so. I think the Fountain of Fair Fortune would be a good story to build on. There are four, wildly different and easily defined main characters, a quest, a love story... there's some for everyone. And also, the different parts of the story can easily be divided in Acts." Concentré sur les idées de l'Algérien, le danseur se mit à noter les différentes idées du musicien. Son écriture désordonnée formait les mots Fountain of Fair Fortune au centre du parchemin, puis les rôles principaux, et enfin les idées en vrac : love story, trials. Il avait bien entendu relu les différents contes de Beedle le Barde durant les vacances, donc il savait précisément de quoi Mehdi parlait.
Restait la question de la cohérence. Le chorégraphe pensait s'être peut-être un peu emporté en voulant faire quelque chose de très éclectique, mais il persistait à croire que ce serait très cool à organiser, et que le rendu final serait magnifique. "There are several ways to make the whole show cohesive and coherent. We can assign a different genre to all four of the main characters for exemple, and have recurring musical themes for each of them as well. Same goes for the trials they have to go through in order to get to the fountain – we can give it its theme and style." Assidu, l'Américain notait les idées du musicien, qu'il trouvait particulièrement intéressantes. "Would that be something you could work with ? or..." Les yeux baissés sur le parchemin, il n'avait pas remarqué la gêne soudaine de son ami avant de relever le regard sur lui. "Oh yeah, that's plenty to work with, mate !" Il était heureux de pouvoir échanger avec quelqu'un sur ses idées, de pouvoir doucement les démêler, de créer quelque chose de clair et logique à partir de son brouillon mental.
Le stylo qui cliquait répétitivement contre le parchemin trahissait sa réflexion ainsi que son naturel hyperactif. "And I guess we'd follow the tale for the different pieces, and lyrics to the songs... You'd be down to write them ? I guess you'd be the best one to choose which style to give every role and trial ? I think it'd be cool for every character to have their leitmotiv, like, and then it could be transposed in each song, depending on the style. What'd you think ?" Réfléchir à vois haute, avec son ami, était une sensation très plaisante qu'il n'avait pas ressenti depuis des lustres. Il avait l'impression d'être utile. De contribuer à quelque chose, de ne pas simplement être un pantin destiné à plaire aux autres, se courbant à chaque caprice du chorégraphe. Et cela le confortait dans son idée : il voulait être celui imposant ses caprices aux danseurs. Il débordait d'énergie créative, mais la présence calme de Mehdi l'apaisait et lui permettait de se poser pour réfléchir.
Levant les yeux vers la scène non loin d'eux, derrière les pupitres vides de l'orchestre, il imaginait déjà les danseurs et chanteurs s'agiter en coulisses, et apparaître avec un visage lisse et parfait devant les spectateurs. "There's one piece of music that I'd like to do by myself, though." Le regard pétillant, il se retourna vers le Saouli. "I want to introduce the show with a tap piece. It could be like, an explanation of the fountain's powers, or something. I'm inspired by that really silly tap moment in the opera The Nose. You've heard of it ?" Son sourire s'était élargi en repensant à ce moment, qu'il avait vécu parmi les spectateurs, à l'opéra de Londres. Il avait ri à voix haute en découvrant les danseurs habillés en nez géants, chaussés de claquettes. "It would be a one-time thing, but it could include a leitmotif for the fountain, that we could use in every trial piece." L'idée lui était venue un soir d'Août, alors qu'il tentait de s'endormir dans la chambre d'hôtel qu'il occupait à Berlin. "Now, do you think we should open the show to every student ?" C'était une autre considération, purement administrative, mais à laquelle il fallait réfléchir.
|
|