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Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Lun 25 Avr 2022 - 15:03
Je suis une Wright | scénario
« Je crois en la magie, je suis née et j’ai grandi à un moment magique, dans une ville magique, parmi des magiciens. La plupart des gens ne se rendaient pas compte
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
WIZARD CARD INFORMATIONS nom masculin 1. Opinion qui va à l'encontre de l'opinion communément admise. 2. Association de deux faits, de deux idées contradictoires. Être ou ne pas être ? Et pourquoi pas les deux ? Il existe des gens qui sont faciles à cerner. Ce n'est pas le cas d'Inaya. La première fois que vous la rencontrerai, vous verrez une jeune femme sûre d'elle. Très engagée dans ses études et les activités extrascolaire, on se demande si ses batteries peuvent tomber à plat un jour, car à quatre heure du matin, elle sera toujours prête à relancer la fête. C'est elle qui viendra vers vous pour entamer la discussion, et vous aurez l'impression que vous la connaissez depuis toujours. Et vous ne serez pas le seule, car elle aura littéralement une coure autour d'elle, formée de ses très nombreux prétendants et des celles qui espèrent que son aura les rendra un instant visible elles aussi. Parce que quand elle est dans une pièce, elle attire tous les regards, et elle le sait. Si vous vous en tenez là, vous vous direz donc que c'est une très belle jeune femme, extravertie et abordable. Mais être une queen bee a son revers de la médaille. Être l'objet de jalousies oblige à se forger une carapace de plomb pour ne plus être atteint par ce qu'on pourrait dire d'elle, encore plus lorsqu'on est une femme de couleur. Grâce à ça, elle parvient à se soucier finalement très peu de l'avis des autres sur sa personne et à vivre comme elle l'entend. Ainsi, on ne la verra jamais autrement que savamment habillée, maquillée, coiffée, because it's never too much babe. La perfection n'est pas de ce monde et elle non plus, sauf peut-être lorsqu'elle organise quelque chose. Attention à celui qui n'écouterai pas ses consignes pour l'organisation de la soirée, il passera un très mauvais moment, face à sa rancune tenace. On dit d'elle qu'elle peut faire et défaire une réputation en moins de cinq minutes. Du moins, ce n'est que la surface. Si jamais vous commencez à la fréquenter un peu plus régulièrement, et que par hasard, des sentiments naissent pour elle, gardez vous bien de le lui dire. Rien ne lui fait plus peur que de perdre sa liberté, c'est d'ailleurs pour cette raison que son épouvantard représente une cage. Et elle considère toute relation amoureuse comme une prison. Contentez vous de profiter de son corps, qu'elle vous offrira sans trop de réticence tant que vous correspondez au standing minimum de ce genre de fille, ou si vous usez d'amortentia, mais gare à vous car il est rare que son verre se mette à sentir l'essence de rose, le chocolat noir et le cuir sans raison. Si en revanche, vous avez envie de devenir son ami, il faudra vous accrocher pour suivre le rythme endiablé de la vie de la jeune femme. Entre ses études, les clubs, les soirées, son stage dans la brigade anti-loups et la boxe - qu'elle pratique depuis ses six ans - il faudra être capable de rester dans le mouvement perpétuel. Vous commencerez à découvrir aussi que cette rigueur s'applique à bien des choses, dont la loi. Ayant développé un sens aigu de la justice, elle a très jeune décidé que ce serait son travail plus tard. Bien loin d'elle l'idée néanmoins d'être une gratte papier ou de plaider bien à l'abris d'un tribunal, alors que les matières théoriques l'intéresse pourtant, histoire de ne pas agir sans comprendre. Mais elle a besoin que l'adrénaline coule dans ses veines, et c'est sur le terrain qu'elle veut faire appliquer la loi. Même si, parfois, elle trouve la loi injuste. Mais ce n'est pas elle qui les écrit, elle n'est que celle qui les fait respecter, et ce n'est pas à elle de juger du bien fondé de celles-ci. Bon, sauf pour les soirées après le couvre feu dans des locaux pas toujours occupés avec autorisations, mais ça, ça met personne en danger, non ? Et puis un jour, vous deviendrez une de ces personnes, beaucoup plus rare qu'on ne l'imagine, qu'elle considère réellement comme un ami. Pour ces gens là, elle donnerait sa vie sans hésiter une seule seconde. Et elle leur confis la sienne. Une vie qui, au delà de la surface, n'est pas aussi simple qu'elle voudrait le laisser croire. Vous l'entendrez pester contre ces lois qu'elle juge injuste, qui ne protège pas réellement les gens, et les contrôles au facies dont elle est toujours victime parce qu'elle n'a pas le privilège d'être née blanche. Vous saurez tout de ses insécurités quand à sa relation chaotique avec sa mère, et de sa peur absolue de l'abandon, du fait que l'immobilisme la terrorise et qu'un avenir à la métro-boulot-dodo ou comme mère au foyer serait la pire chose pour elle. Vous la verrez revenir de la boxe en sueur, démaquillée, les cheveux en bataille, et avec des hématomes avec qu'elle ne les fasse disparaître par magie. Vous verrez cette lueur sauvage dans ses yeux. Vous comprendrez que le croisement qu'elle affiche entre la petite fille modèle le jour et la perfect bitch la nuit n'est qu'une façade. Vous comprendrez tout le paradoxe qu'est Iniya. Et pourtant, il y a une chose que vous ne saurez jamais. Qu'elle est une hybride. C'est ironique pour une personne dont le patronus représente un zèbre, symbole d'un courage qui la caractérise bien mais aussi de métissage et d'harmonie des races. Mais oui, Inaya a honte du sang de vélane qui coule dans ses veines, à cause de l'image que sa mère a pu lui donner de leur héritage. Cette honte est telle qu'elle s'en ait mise à détester l'hybridation sous toutes ses formes, jugeant que c'est contre nature pour un sorcier de s'être accouplé avec une créature. C'est son lourd secret, et si Merlin le veut, elle l'emmènera dans sa tombe. Et pour se faire, elle n'use jamais du charme qu'elle a pu hériter des femmes de sa famille, afin de ne pas se trahir. Une honte à laquelle la vie fait un sacré pied de nez, puisque sa propre baguette, en bois de cerisier, contient en son cœur nul autre qu'un cheveux de vélane. Un raison de plus pour qu'elle ne l'utilise que très rarement, bien contente d'avoir appris la manumagie durant ses études secondaires. D'autant plus incompréhensible lorsque l'on sait qu'elle revendique son métissage ethnique et affiche fièrement des rappels de ses origines africaines dans ses tenues et coiffures. | :copyright:️ poesies cendrées ◈ zendaya coleman |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Quand j'étais petite, ma mère me disait toujours la même chose. "Tu sais Inaya, ce monde est un monde d'hommes. Quoi que tu fasses, ils seront toujours persuadés de le faire mieux que toi. Mais quand tu grandiras, tu comprendras que tu possèdes un grand pouvoir sur eux." À l'époque, j'étais trop jeune pour savoir ce dont elle parlait. J'ai compris avec l'âge, lorsque ma grand-mère me racontait les histoires de sa propre mère. Ou comment une vélane n'avez pas la moindre idée de qui pouvait être l'homme qui l'avait engrossé et ne s'en souciais pas plus que ça, puisqu'elle pouvait faire croire à cinq d'entre eux que l'enfant était le leur, et chacun subvenait donc à ses besoins. Sauf que là où ma mère idolâtrait cette femme qui selon elle avait tout compris au fonctionnement du monde, ma grand-mère avait connu la même enfance que moi. Pas de père, et une mère très souvent absente, nous n'avions pas manquée d'argent, mais largement plus de cadre et d'amour. C'est pour cette raison qu'elle avait quittée son Allemagne natale pour les Etats Unis à peine majeure, et était tombée dans les bras d'un beau moldu, dont la famille originaire du congo avait succombée au rêve américain. Elle était profondément amoureuse de lui, et l'épousa très jeune, en partie parce qu'elle était en ceinte, et que ses beaux-parents très catholiques ne pouvaient concevoir l'idée d'un enfant hors mariage. Bon, ce n'était sans doute pas très catholique non plus d'abandonner femme et enfant après dix années pour une autre. Je crois qu'elle pensera toute sa vie que c'est cet abandon qui a crée chez elle une haine des hommes, et qu'elle se considèrera toujours un peu responsable que j'ai eu la même enfance qu'elle.
Parce que lorsqu'elles sont arrivées à New York toutes les deux pour commencer une nouvelle vie, ma grand mère a bien vite usée de son don pour pouvoir payer les factures, et ma mère a vu comme c'était facile. Elle n'aspirait à rien de plus, en grandissant, que de soutirer de l'argent aux hommes pour vivre le plus richement possible. C'est naturellement qu'elle ne fit pas d'études, et entra comme danseuse érotique dans un cabaret renommé. Un lieu idéal pour repérer ses futures proies. Oui, je parle de proie à ce stade, car ils n'étaient que viande fraîche et billets de banque pour elle. Elle raconte encore avec fierté comment elle avait repéré cet homme d'affaire qui revenait toujours à la même époque de l'année, particulièrement généreux en pourboire. Elle avait un plan pour lui, mais un jour, il est venu avec son fils. Je pense que des dollars auraient pu remplacer ses pupilles quand elle a comprit ça, et a abandonné sa première idée. Exit le père, le fils serait une proie tellement plus simple à manipuler. Elle le charma, lui donna son numéro, et l'utilisa pour procréer. Elle comptait utiliser ce scandale. Une danseuse de charme en ceinte d'un jeune homme même pas majeur, héritier d'un - elle le savait à présent - diplomate fortuné. Elle menacerait de tout révéler à la presse si ils n'acceptaient pas de lui verser une coquette pension alimentaire chaque mois. Le problème, c'est que ni le père ni le fils ne sont jamais revenus dans le club où elle travaillait, et qu'elle n'était pas censée connaître leur identité. C'est prise à son propre piège qu'elle donna naissance à un enfant, moi.
J'ai pas eu une enfance malheureuse, loin de là en fait. J'avais beaucoup d'amis, très populaire, et pas mal d'argent. Mais pas de mère. Elle n'était jamais là, trop occupée à chasser. Je crois que dans le fond, elle me considérait un peu comme coupable du fait que l'homme ne soit jamais revenu, car elle me raconte toujours cette histoire avec une amertume à mon égard dans le regard. J'ai dû grandir très vite, appliquer une grande rigueur à ma vie dès l'enfance si je voulais manger correctement, être à l'école à l'heure et bien habillées. Je faisais tout pour être l'élève modèle, histoire qu'on ne convoque jamais ma mère. Qui sait ce qu'elle aurait pu vouloir soutirer de mes professeurs. Heureusement, ma grand mère était là. C'est elle qui a compris très tôt que j'étais active. Très active. Trop active ? Elle m'a inscrit à la boxe, pour me défouler, et je l'en remercierai jamais assez. C'est elle aussi qui a devinée que mon père devait être un sorcier, car j'avais des dons différents de celui des femmes de ma famille. Et ça lui a été confirmé lorsque l'école de sorcellerie Ilvermorny a contacté ma mère pour parler de mon inscription chez eux.
J'étais très heureuse, loin de ma mère et de ses histoires. Cette école est devenue une seconde maison, plus safe que celle où je ne savais jamais si j'allais tomber sur ma mère en train de copuler sur le canapé du salon en rentrant de l'école. Là bas, j'ai appris à canaliser beaucoup de choses, compris ce qu'était une vélane, et décidait que jamais je n'userai de mon don, de peur de devenir comme ma mère, et que je refusais que quiconque le sache, car un enfant hybride de vélane, c'était forcément le fruit de quelque chose de foncièrement mauvais, l'histoire et mon expérience personnelle concordaient sur ce sujet. J'ai découvert le métier d'auror, qui m'a tout de suite attiré, parce qu'il conjuguait l'énergie que j'avais avec un soif de justice toute naissante. Parce que j'ai aussi appris ce que ça voulait dire d'être afro-américaine. Disons le clairement, j'ai pris le racisme systémique en plein dans la tronche, et je me suis rendu compte que je n'avais aucune arme contre ça, parce que je ne connaissais pas grand chose de mes origines. Difficile de revendiquer une identité ethnique et de la porter fièrement quand on en ignore tout. J'ai donc pris la décision de demander mon transfert à Uagadou, après ma quatrième année. C'est cette décision qui créa une fracture définitive entre ma mère et moi. Elle jugeait comme une trahison que je veuille découvrir le continent de mon grand-père, l'homme qui était pour elle à l'origine de tous les maux. J'ai coupé tout contact avec elle à partir de ce jour.
Le problème, c'est qu'à quinze ans, on ne peut pas vivre seule. Elle m'avait donné le nom de mon père, peut-être dans l'espoir qu'un jour j'aille le chercher et lui rapporte le pécule qu'il lui devait - selon elle. C'est exactement ce que j'ai fait, sauf qu'elle n'était plus dans l'équation. J'ai fait me recherche durant l'été, me suis présentée à son bureau pour une soit disant demande d'entretien pour un devoir pour le lycée. "Bonjour, tu es mon père, je sais que t'es un sorcier, donne moi du veritaserum, je te raconte toute mon histoire, et après ça tu me reconnais officiellement." À ma grande surprise, il a dit oui. Bon, je résume peut-être un peu la conversation, mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'avant ma rentrée, les démarches étaient lancées pour que je devienne l'héritière officielle de celui qui entre temps était devenu un riche homme d'affaire.
Comment résumer les années suivantes ? J'ai adorée Uagadou. La manumagie m'a semblait tellement plus simple, plus naturelle. J'ai appris beaucoup sur mes origines, ma culture. J'ai appris à être fière de qui je suis. Je suis devenue championne nationale de boxe féminine à mes dix-huit ans. J'ai eu un parcours scolaire exemplaire, et je suis rentrée à la fac sans problème. Je me suis investie dans plein d'association, j'ai découvert les joies des fêtes étudiantes et j'ai adorée ça. Je fais partie de ces filles populaires qu'on n'arrive pas à détester parce que sauf si tu me fais une crasse, je suis pas une connasse. Et j'oublie pas mon projet professionnel pour autant. Je voulais faire mon stage de septième année au bureau des aurors. Le problème, c'est qu'avec les affaires sensibles de ces derniers temps, ils refusent les nouvelles têtes, alors j'ai dû me rabattre sur l'unité de capture des loups-garous. Ca ne me dérange pas tant que ça, c'est super pour une pile comme moi, y'a plein d'action, et j'en viens à sérieusement ré envisager ma future carrière pour rejoindre leurs rangs. Franchement, ce serait cool non ?
Parce que lorsqu'elles sont arrivées à New York toutes les deux pour commencer une nouvelle vie, ma grand mère a bien vite usée de son don pour pouvoir payer les factures, et ma mère a vu comme c'était facile. Elle n'aspirait à rien de plus, en grandissant, que de soutirer de l'argent aux hommes pour vivre le plus richement possible. C'est naturellement qu'elle ne fit pas d'études, et entra comme danseuse érotique dans un cabaret renommé. Un lieu idéal pour repérer ses futures proies. Oui, je parle de proie à ce stade, car ils n'étaient que viande fraîche et billets de banque pour elle. Elle raconte encore avec fierté comment elle avait repéré cet homme d'affaire qui revenait toujours à la même époque de l'année, particulièrement généreux en pourboire. Elle avait un plan pour lui, mais un jour, il est venu avec son fils. Je pense que des dollars auraient pu remplacer ses pupilles quand elle a comprit ça, et a abandonné sa première idée. Exit le père, le fils serait une proie tellement plus simple à manipuler. Elle le charma, lui donna son numéro, et l'utilisa pour procréer. Elle comptait utiliser ce scandale. Une danseuse de charme en ceinte d'un jeune homme même pas majeur, héritier d'un - elle le savait à présent - diplomate fortuné. Elle menacerait de tout révéler à la presse si ils n'acceptaient pas de lui verser une coquette pension alimentaire chaque mois. Le problème, c'est que ni le père ni le fils ne sont jamais revenus dans le club où elle travaillait, et qu'elle n'était pas censée connaître leur identité. C'est prise à son propre piège qu'elle donna naissance à un enfant, moi.
J'ai pas eu une enfance malheureuse, loin de là en fait. J'avais beaucoup d'amis, très populaire, et pas mal d'argent. Mais pas de mère. Elle n'était jamais là, trop occupée à chasser. Je crois que dans le fond, elle me considérait un peu comme coupable du fait que l'homme ne soit jamais revenu, car elle me raconte toujours cette histoire avec une amertume à mon égard dans le regard. J'ai dû grandir très vite, appliquer une grande rigueur à ma vie dès l'enfance si je voulais manger correctement, être à l'école à l'heure et bien habillées. Je faisais tout pour être l'élève modèle, histoire qu'on ne convoque jamais ma mère. Qui sait ce qu'elle aurait pu vouloir soutirer de mes professeurs. Heureusement, ma grand mère était là. C'est elle qui a compris très tôt que j'étais active. Très active. Trop active ? Elle m'a inscrit à la boxe, pour me défouler, et je l'en remercierai jamais assez. C'est elle aussi qui a devinée que mon père devait être un sorcier, car j'avais des dons différents de celui des femmes de ma famille. Et ça lui a été confirmé lorsque l'école de sorcellerie Ilvermorny a contacté ma mère pour parler de mon inscription chez eux.
J'étais très heureuse, loin de ma mère et de ses histoires. Cette école est devenue une seconde maison, plus safe que celle où je ne savais jamais si j'allais tomber sur ma mère en train de copuler sur le canapé du salon en rentrant de l'école. Là bas, j'ai appris à canaliser beaucoup de choses, compris ce qu'était une vélane, et décidait que jamais je n'userai de mon don, de peur de devenir comme ma mère, et que je refusais que quiconque le sache, car un enfant hybride de vélane, c'était forcément le fruit de quelque chose de foncièrement mauvais, l'histoire et mon expérience personnelle concordaient sur ce sujet. J'ai découvert le métier d'auror, qui m'a tout de suite attiré, parce qu'il conjuguait l'énergie que j'avais avec un soif de justice toute naissante. Parce que j'ai aussi appris ce que ça voulait dire d'être afro-américaine. Disons le clairement, j'ai pris le racisme systémique en plein dans la tronche, et je me suis rendu compte que je n'avais aucune arme contre ça, parce que je ne connaissais pas grand chose de mes origines. Difficile de revendiquer une identité ethnique et de la porter fièrement quand on en ignore tout. J'ai donc pris la décision de demander mon transfert à Uagadou, après ma quatrième année. C'est cette décision qui créa une fracture définitive entre ma mère et moi. Elle jugeait comme une trahison que je veuille découvrir le continent de mon grand-père, l'homme qui était pour elle à l'origine de tous les maux. J'ai coupé tout contact avec elle à partir de ce jour.
Le problème, c'est qu'à quinze ans, on ne peut pas vivre seule. Elle m'avait donné le nom de mon père, peut-être dans l'espoir qu'un jour j'aille le chercher et lui rapporte le pécule qu'il lui devait - selon elle. C'est exactement ce que j'ai fait, sauf qu'elle n'était plus dans l'équation. J'ai fait me recherche durant l'été, me suis présentée à son bureau pour une soit disant demande d'entretien pour un devoir pour le lycée. "Bonjour, tu es mon père, je sais que t'es un sorcier, donne moi du veritaserum, je te raconte toute mon histoire, et après ça tu me reconnais officiellement." À ma grande surprise, il a dit oui. Bon, je résume peut-être un peu la conversation, mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'avant ma rentrée, les démarches étaient lancées pour que je devienne l'héritière officielle de celui qui entre temps était devenu un riche homme d'affaire.
Comment résumer les années suivantes ? J'ai adorée Uagadou. La manumagie m'a semblait tellement plus simple, plus naturelle. J'ai appris beaucoup sur mes origines, ma culture. J'ai appris à être fière de qui je suis. Je suis devenue championne nationale de boxe féminine à mes dix-huit ans. J'ai eu un parcours scolaire exemplaire, et je suis rentrée à la fac sans problème. Je me suis investie dans plein d'association, j'ai découvert les joies des fêtes étudiantes et j'ai adorée ça. Je fais partie de ces filles populaires qu'on n'arrive pas à détester parce que sauf si tu me fais une crasse, je suis pas une connasse. Et j'oublie pas mon projet professionnel pour autant. Je voulais faire mon stage de septième année au bureau des aurors. Le problème, c'est qu'avec les affaires sensibles de ces derniers temps, ils refusent les nouvelles têtes, alors j'ai dû me rabattre sur l'unité de capture des loups-garous. Ca ne me dérange pas tant que ça, c'est super pour une pile comme moi, y'a plein d'action, et j'en viens à sérieusement ré envisager ma future carrière pour rejoindre leurs rangs. Franchement, ce serait cool non ?
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>zendaya coleman</b> ━ @"inaya sharqawi"</bottin>
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8256
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : wcstedrose (ava)
» multinick : arty / joe / keir
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
» particularité : animagus
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 8308
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Lun 25 Avr 2022 - 15:25
Rebienvenue (Zendaya )
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Lun 25 Avr 2022 - 15:27
Tu connais la maison, have fun avec cette magnifique panthère
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Lun 25 Avr 2022 - 20:06
Hello you, vous m'avez subjugué. Je pense porter plainte pour excès de beauté sur la voie publique. J'attends ton hibou
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 726
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1666
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Lun 25 Avr 2022 - 20:49
Re-bienvenue avec ce nouveau perso !
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
- pride:
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Lun 25 Avr 2022 - 20:50
*frappe l'arrière du crane de son jumeau*
Excusez le, il est insupportable.
(Re)Bienvenue love <3
Excusez le, il est insupportable.
(Re)Bienvenue love <3
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Lun 25 Avr 2022 - 21:27
Donc voilà l'origine de tout ce remu-ménage
Welcome back here
Welcome back here
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Mar 26 Avr 2022 - 17:07
@Maximilien Leroy thk's dear (et oui elle est tellement )
@Niamh Walsh merci
@Jefferson Gold hum, vous en avez d'autre des disquettes comme ça ? Va falloir faire mieux ...
@Calliope Muller merci chaaaaaat
@Alexander Gold faudrait voir à temporiser votre frère ( )
@Leksander Ó Fearghail je plaide non coupable
@Niamh Walsh merci
@Jefferson Gold hum, vous en avez d'autre des disquettes comme ça ? Va falloir faire mieux ...
@Calliope Muller merci chaaaaaat
@Alexander Gold faudrait voir à temporiser votre frère ( )
@Leksander Ó Fearghail je plaide non coupable
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Mar 26 Avr 2022 - 17:16
@Inaya Sharqawi Je n'aurai jamais cette prétention.. je sais bien que c'est impossible.
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Mar 26 Avr 2022 - 17:17
Bienvenue par ici ma chérie.
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Mer 27 Avr 2022 - 7:16
Ohlala cette profusion de multi compte en ce moment !
Bienvenue à ce nouveau personnage. Amuse toi bien avec elle.
Bienvenue à ce nouveau personnage. Amuse toi bien avec elle.
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Jeu 28 Avr 2022 - 7:14
Elle est parfaite
Merci à toi ! !!!!!
De mon côté je te valide !!!!
A bientôt
Merci à toi ! !!!!!
De mon côté je te valide !!!!
A bientôt
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Jeu 28 Avr 2022 - 11:56
@Alexander Gold @Jefferson Gold la paire de jumeaux me fatigue déjà mais merci quand même
@Emmy Robinson oui c'est le printemps, ça fleurit xD Merci ! <3
@Oliver Wilson ptdr t ki
@Emmy Robinson oui c'est le printemps, ça fleurit xD Merci ! <3
@Oliver Wilson ptdr t ki
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Jeu 28 Avr 2022 - 12:18
Rewelcome du coup !!!
Amuse toi bien avec elle.
Amuse toi bien avec elle.
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Jeu 28 Avr 2022 - 12:38
@Inaya Sharqawi Parle à ton père encore une fois comme ça, et tu vas pouvoir te trouver un job pour payer tes études ma grande.
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Jeu 28 Avr 2022 - 12:59
ohlala une semi-vélane avec un zèbre en patronus et qui accepte pas sa nature elle me rappelle tellement ma petite Aphro
Amuse-toi bien avec cette jolie Inaya, j'ai hâte de la voir évoluer en jeu !
Amuse-toi bien avec cette jolie Inaya, j'ai hâte de la voir évoluer en jeu !
- InvitéInvité
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Dim 1 Mai 2022 - 21:41
Coucou! Désolée d'avoir été un peu longue avant de passer sur ta fiche, mais week-end de maj, oblige .
Déjà, les vélanes sont des créatures magiques, à la base, et connaissent donc forcément l'existence des écoles de sorcellerie, même si elles ne sont pas sorcières. Autre point, comment la mère et la grand-mère d'Inaya se sont-elles retrouvées chez les moldus? Ca, on ne le comprend pas dans ta fiche. Elles ont aussi parfaitement conscience de leur nature. Du coup, je ne comprends pas pourquoi Inaya semble le découvrir à Ilvermorny?
De plus, le charme agit de façon permanente. Il est latent. Une semi-vélane ne peut pas "éteindre" son aura de semi-vélane. Elle ne pourra jamais passer pour totalement "normale/basique". De même qu'un semi-vampire sera toujours reconnu par quelqu'un d'attentif. La semi-vélane va attirer quoiqu'elle fasse (surtout un moldu qui n'y connait rien à la magie). Du coup, même si Inaya rejette son hybridation, elle ne peut pas la cacher totalement. Ce n'est pas possible
Il est à noter que même si elle contrôle bien ses réactions/sentiments, si elle pète un câble pour X ou Y raison, elle va virer en mode harpye direct en perdant le contrôle.
Après, certes, Inaya attire en tant que semi-vélane ( la popularité est parfaitement justifiée). Par contre, si elle peut avoir plusieurs centres d'intérêt, elle ne peut pas être la meilleure partout. Il va falloir faire un choix. Les clubs (beer flop notamment) + championne de boxe + top de la classe + Quidditch + vie sociale + riche héritière, ça fait beaucoup. Il va falloir que tu fasses des choix et que tu nuances un peu. Elle ne peut pas tout gérer de front, ce n'est pas possible. Championne de boxe, ça oblige à un régime de vie strict, aussi bien alimentaire que régime de vie
Si tu as des questions, tu sais où me trouver, je serai ravie d'en discuter avec toi
Déjà, les vélanes sont des créatures magiques, à la base, et connaissent donc forcément l'existence des écoles de sorcellerie, même si elles ne sont pas sorcières. Autre point, comment la mère et la grand-mère d'Inaya se sont-elles retrouvées chez les moldus? Ca, on ne le comprend pas dans ta fiche. Elles ont aussi parfaitement conscience de leur nature. Du coup, je ne comprends pas pourquoi Inaya semble le découvrir à Ilvermorny?
De plus, le charme agit de façon permanente. Il est latent. Une semi-vélane ne peut pas "éteindre" son aura de semi-vélane. Elle ne pourra jamais passer pour totalement "normale/basique". De même qu'un semi-vampire sera toujours reconnu par quelqu'un d'attentif. La semi-vélane va attirer quoiqu'elle fasse (surtout un moldu qui n'y connait rien à la magie). Du coup, même si Inaya rejette son hybridation, elle ne peut pas la cacher totalement. Ce n'est pas possible
Il est à noter que même si elle contrôle bien ses réactions/sentiments, si elle pète un câble pour X ou Y raison, elle va virer en mode harpye direct en perdant le contrôle.
Après, certes, Inaya attire en tant que semi-vélane ( la popularité est parfaitement justifiée). Par contre, si elle peut avoir plusieurs centres d'intérêt, elle ne peut pas être la meilleure partout. Il va falloir faire un choix. Les clubs (beer flop notamment) + championne de boxe + top de la classe + Quidditch + vie sociale + riche héritière, ça fait beaucoup. Il va falloir que tu fasses des choix et que tu nuances un peu. Elle ne peut pas tout gérer de front, ce n'est pas possible. Championne de boxe, ça oblige à un régime de vie strict, aussi bien alimentaire que régime de vie
Si tu as des questions, tu sais où me trouver, je serai ravie d'en discuter avec toi
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1666
Re: Who run this mf world ? - Inaya Sharqawi
Ven 6 Mai 2022 - 22:25
Comme convenu, je déplace ta fiche. N'hésite pas quand tu as besoin qu'on la ressorte
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
- pride: