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Once Upon Time in Norwich, two girls ...
Lun 24 Mai 2010 - 21:46
C'était le week-end, un matin sans aucun cours. Certaines jeunes femmes installées dans le dortoir des summerbee dormaient profondément, tandis que d'autres hésitait entre se rendormir et se lever. Pour ce qui est Trisha, elle restait allongée, les yeux grands ouverts. Elle réfléchissait, comme tous les matins. Se remémorait toutes ses petites pensées de la matinée et celles de la veille, c'était son petit train-train quotidien, celui qu'elle prenait toujours la peine d'accomplir. Se dressant sa petite liste des choses à faires dans la journée, des petits objectifs très simple et pour ce qui est du reste, elle partait simplement en freestyle, du moment que ce qui devait être fait, était fait, rien ne lui importait vraiment, elle aimait se surprendre elle-même, mais pas trop non plus. C'est comme ces résolutions que vous faites en début d'année, celles que vous faites juste pour les défaires ensuite dès la première occasions et bien la petite liste de Trish', c'était exactement ça, sauf qu'elle évitait autant que possible de se désister. Tout d'abord, elle devrait prendre une douche. Intéressant n'est-ce pas ? Puis elle devrait retrouver cette fille à qui elle avait prêtée un vêtement à elle et que celle-ci ne lui avait jamais rendu. La mauvaise foi de Trisha risquerait d'être piquée à vif, elle détestait que l'on lui pique ses affaires. Il est vrai qu'elle était un peu riche - un peu beaucoup même - mais ce n'était pas une raison pour se servir. Il suffisait simplement de demander, certes Trisha ne vous dira pas toujours "oui", soit parce qu'elle ne veut tous simplement pas, soit parce qu'elle ne vous aime pas, dans ce dernier cas passer votre chemin, car elle ne changera pas d'avis, mais à part ça c'était une question de principe et des principes, il est clair que Trisha en a beaucoup.. Après cela il faudrait qu'elle accompagne Orphée au centre commerciale pour qu'elle s'achète une robe de bal ... Le Bal ... le rêve de toutes adolescentes normalement constituées. Orphée n'échappe pas à la règle, alors que Trisha elle, se démarquait un petit peu. Sortait d'une autre planète. Elle n'avait pas particulièrement envie d'y aller ... Du moins essayait-elle de s'en convaincre, il est vrai qu'elle n'aurait pas dit non, pour rejoindre les rangs des guignes en robes de soirées et valser sur la piste de danse ... cependant, elle n'avait toujours pas de cavalier et cela la déprimait de plus en plus chaque jour. Mais elle avait suffisamment de fierté pour ne pas piquer sa crise. Après tout ce n'était pas bien grave, elle n'était qu'à sa première année à Hungcalf, elle aurait le temps .... des années même, pour s'amuser ! Et puis, tous n'était pas encore perdue, il se pourrait peut-être qu'il y est une occasion de dernière minute, qui sait ?
Après toutes ses petites réflexions, la jeune Hamilton finit par quitter les draps de son lit et s'étira de tous son long, mettant en valeur sa fine silhouette seulement habillée d'un petit short et d'un débardeur. Les cheveux légèrement - beaucoup - en bataille. Lorsqu'elle aperçue cette fille à l'autre bout de la pièce qui l'observait, elle se rendit compte que c'était-elle et passant une main sur son visage, elle se dit qu'heureusement personne n'était suffisamment réveillé pour voir sa tête de déphasé ! C'est pour cela qu'elle se dépêcha de prendre quelques affaires dans sa commode - une fine robe noire, une ceinture et des sous-vêtements - et se dirigea vers la salle de bain, sans que personne ne l'aperçue. Une fois à l'intérieur, elle s'y enferma et posa ses affaires sur un tabouret avant de se débarrasser de ses vêtements de nuit qui glissèrent à ses pieds, avant qu'elle ne se glisse dans la cabine de douche. Dès que le jet d'eau eu percuter sa fine silhouette, Trisha lâcha un soupir d'aise particulièrement audible qui se traduit ensuite par la montée de la chaleur, d'autant plus agréable. Elle plaqua sa longue chevelure brune contre l'arrière de son crâne, puis passa ses mains sur son visage, effaçant les dernières traces du sommeil. Une trentaine de minutes plus tard, après s'être lavée avec minutie, la jeune Hamilton quitta la cabine de douche ruisselante, enveloppée dans une serviette de bain, prenant garde à ne pas faire comme d'habitude, c'est-à-dire ; se casser le coxys sur le sol, en glissant sur le carrelage. Alors qu'elle dirigeait sa main vers ses vêtements, quelqu'un toqua à la porte, l'arrêtant dans son geste et Trisha releva la tête, alors qu'une voix s'élevait à travers le panneau de la porte ; « Depêche-toi Trish' ! Y a pas que toi qui dois prendre une douche ! » Trisha reconnue la voix de l'une de ses camarades de chambre, la jeune summerbee eu un sourire narquois et elle répondit sèche et cynique « T'inquiète pas Beth' de toute manière, pour toi ça ne fait pas de différence, doucher ou pas, t'es toujours aussi sale ! Sang-de-bourde va ! » Elle entendit un claquement de langue énervé derrière la porte qui s'éloigna et alors qu'elle aurait dû être fière d'elle, Trish' ne ressentait que de la culpabilité. Elle n'aimait pas se conduire ainsi avec les autres, mais elle n'avait pas le choix, c'était être dure, ou être faible, rien de plus. Et elle n'avait pas le droit d'être inoffensive. Elle était une Hamilton après tout ... le coeur de la jeune summerbee se serra et évitant d'y penser, elle commença à s'habiller et sécha ses cheveux d'un coup de baguette, parfait. Elle maquilla ses lèvres de rouge et son regard de noirs, faisant ressortir celui-ci et enfila des collants opaques avant de sortir pour enfiler une paire de talons vernis et un serre-tête. Elle remarqua que Beth' n'était plus là et Trish' baissa les yeux, honteuse sans que personne ne soit là pour le voir et dans un sens, il valait mieux. Elle finit par soupirer et prit un gilet noir qu'elle enfila sur ses épaules et quitta la salle commune pour prendre son petit déjeuner.
Une heure plus tard, les deux jeunes femmes étaient en route pour le centre commercial, bras-dessus bras-dessous, discutant gaiement, comme elles avaient l'habitude. Trish' appréciait particulièrement la compagnie de Orphée, car elle n'avait pas besoin de mentir avec elle .... la summerbee savait exactement qui elle était, qu'elle n'avait pas le choix ... c'était reposant de mettre le rôle de garce au placard le temps de quelques heures. Pour l'instant, elle pouvait être Trish', rien que Trisha.
Lorsqu'elles arrivèrent, les deux demoiselles s'arrêtèrent et Trisha se tourna vers son amie, un sourire aux lèvres et demanda « Alors chaton, on commence par quoi ? »
Après toutes ses petites réflexions, la jeune Hamilton finit par quitter les draps de son lit et s'étira de tous son long, mettant en valeur sa fine silhouette seulement habillée d'un petit short et d'un débardeur. Les cheveux légèrement - beaucoup - en bataille. Lorsqu'elle aperçue cette fille à l'autre bout de la pièce qui l'observait, elle se rendit compte que c'était-elle et passant une main sur son visage, elle se dit qu'heureusement personne n'était suffisamment réveillé pour voir sa tête de déphasé ! C'est pour cela qu'elle se dépêcha de prendre quelques affaires dans sa commode - une fine robe noire, une ceinture et des sous-vêtements - et se dirigea vers la salle de bain, sans que personne ne l'aperçue. Une fois à l'intérieur, elle s'y enferma et posa ses affaires sur un tabouret avant de se débarrasser de ses vêtements de nuit qui glissèrent à ses pieds, avant qu'elle ne se glisse dans la cabine de douche. Dès que le jet d'eau eu percuter sa fine silhouette, Trisha lâcha un soupir d'aise particulièrement audible qui se traduit ensuite par la montée de la chaleur, d'autant plus agréable. Elle plaqua sa longue chevelure brune contre l'arrière de son crâne, puis passa ses mains sur son visage, effaçant les dernières traces du sommeil. Une trentaine de minutes plus tard, après s'être lavée avec minutie, la jeune Hamilton quitta la cabine de douche ruisselante, enveloppée dans une serviette de bain, prenant garde à ne pas faire comme d'habitude, c'est-à-dire ; se casser le coxys sur le sol, en glissant sur le carrelage. Alors qu'elle dirigeait sa main vers ses vêtements, quelqu'un toqua à la porte, l'arrêtant dans son geste et Trisha releva la tête, alors qu'une voix s'élevait à travers le panneau de la porte ; « Depêche-toi Trish' ! Y a pas que toi qui dois prendre une douche ! » Trisha reconnue la voix de l'une de ses camarades de chambre, la jeune summerbee eu un sourire narquois et elle répondit sèche et cynique « T'inquiète pas Beth' de toute manière, pour toi ça ne fait pas de différence, doucher ou pas, t'es toujours aussi sale ! Sang-de-bourde va ! » Elle entendit un claquement de langue énervé derrière la porte qui s'éloigna et alors qu'elle aurait dû être fière d'elle, Trish' ne ressentait que de la culpabilité. Elle n'aimait pas se conduire ainsi avec les autres, mais elle n'avait pas le choix, c'était être dure, ou être faible, rien de plus. Et elle n'avait pas le droit d'être inoffensive. Elle était une Hamilton après tout ... le coeur de la jeune summerbee se serra et évitant d'y penser, elle commença à s'habiller et sécha ses cheveux d'un coup de baguette, parfait. Elle maquilla ses lèvres de rouge et son regard de noirs, faisant ressortir celui-ci et enfila des collants opaques avant de sortir pour enfiler une paire de talons vernis et un serre-tête. Elle remarqua que Beth' n'était plus là et Trish' baissa les yeux, honteuse sans que personne ne soit là pour le voir et dans un sens, il valait mieux. Elle finit par soupirer et prit un gilet noir qu'elle enfila sur ses épaules et quitta la salle commune pour prendre son petit déjeuner.
Une heure plus tard, les deux jeunes femmes étaient en route pour le centre commercial, bras-dessus bras-dessous, discutant gaiement, comme elles avaient l'habitude. Trish' appréciait particulièrement la compagnie de Orphée, car elle n'avait pas besoin de mentir avec elle .... la summerbee savait exactement qui elle était, qu'elle n'avait pas le choix ... c'était reposant de mettre le rôle de garce au placard le temps de quelques heures. Pour l'instant, elle pouvait être Trish', rien que Trisha.
Lorsqu'elles arrivèrent, les deux demoiselles s'arrêtèrent et Trisha se tourna vers son amie, un sourire aux lèvres et demanda « Alors chaton, on commence par quoi ? »
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Re: Once Upon Time in Norwich, two girls ...
Lun 31 Mai 2010 - 17:53
Trisha K. Hamilton && Orphée S. Cameron
J’aime ces samedis matins, où je peux rester au chaud dans mon lit jusqu’à tard dans la matinée. Quand le soleil vient caresser ma peau couleur albâtre et la réchauffe un peu plus à chaque fois qu’un rayon vient s’abattre sur mon corps. Je reste aux creux de mes draps à regarder le jour faire son apparition, j’admire ces couleurs qui changent au fur et à mesure que le soleil fait son apparition derrières les collines. Qui y a-t-il de plus fantastique que des week-ends comme celui-ci, les oiseaux chantent et s’envolent dans un ciel bleu azur, la mélodie des cigales ou bien des criquets qui montent jusqu’au fenêtre, et le vent frais qui rentre par la vitre légèrement ouvert..
Comme chaque matin je m’étirais sous mes draps, commençant d’abord par mes bras, puis mes jambes et pour finir tout le reste de mon dos. Par la suite je me tournais sur le ventre puis décidais de me bouger avant que la fin de la journée n’arrive déjà. Je prenais le temps de m’installer devant ma fenêtre pour regarder le paysage qui s’offrait à moi et laisser les rayons du soleil venir lécher mon visage une dernière fois. Jusqu’à ce que l’appel de la faim fasse son entrée, mon ventre réclamait à manger, en poussant des petits gazouillis comme les bébés. Je me décidais donc à prendre un petit déjeuner rapide, j’avais toujours de quoi manger dans ma chambre il faut dire que j’étais un estomac sur pattes aussi, toujours à avoir faim et à manger, je ne savais même pas comment je me débrouillais pour garder la ligne. Ce matin ça serait pain au chocolat avec chocolat chaud agrémenté d’une cuillère de miel. Une fois tout ça fini, direction salle de bain, une bonne douche : de bon matin c’était toujours apaisant et puis c’est toujours plus agréable de sentir le monoï qu’une vieille odeur de renfermé. Après venait les soins : gommage, crème sur tout le corps, brossage de crinière et lissage par la même occasion. Les boutiques avec Trisha ce n’étaient pas du n’importe quoi, on tapait dans le luxe, le shopping mon seul pêché mignon après le chocolat bien sûr et la glace au caramel ainsi que la guimauve et euh.. Je m’éloigne là. Il faut dire que les douches froides de bon matin ce n’est pas forcément intelligent, oui ça réveil, tous vos sens sont alors en alerte mais votre cerveau lui en prend un coup Quoi qu’il en soit aujourd’hui était une journée shopping et pas n’importe qu’elle journée shopping, du genre banale où on ne fait qu’acheter des tee-shirts, robe d’été et jeans. Non bien au contraire aujourd’hui c’était les robes de bal notre priorité, oui il nous fallait nos robes pour ce bal inauguré en l’honneur de nos chers correspondants et chères correspondantes. Il fallait bien sûr que chaque élève soit sur son 31 et il n’était pas question de perdre une minute. Et pire, il fallait faire vite, ne restait plus que quelques jours avant les jours j et nous avions quelques centaines de magasins à faire avant de trouver notre bonheur et puis connaissant Trisha ainsi que moi-même je savais pertinemment que nous passerions par la case café et marchand de glace. Même si notre but était de nous acheter deux robes splendides, nous ferions aussi un tour par les magasins de lingerie, pâtisserie, maillot de bain, et autre peut-être même que nous referions même toute notre garde robe. Une fois lavée, coiffée, maquillée et vêtue d’un jeans délavé ainsi que d’un débardeur léopard accompagné d’une paire de talon compensé, je m’aventurais hors de ma chambre à la recherche de ma meilleure amie d’enfance. Ma petite Trisha à moi, personne ne la connaissait réellement, tout le monde s’imaginait une petite peste incapable d’aimer, d’éprouver le moindre sentiment, ou encore une fille qui passait son temps à faire chier le monde mais tout ça était faux. Ce n’était qu’une carapace, et quand j’y repense peut-être que j’aurais du apprendre à faire pareil malheureusement je suis plus fragile, moins forte et certainement trop sotte alors que Trisha, elle, elle est vraiment forte et je l’admire pour ça de plus qu’elle à su préserver notre amitié coûte que coûte, elle n’a pas changé son point de vue de moi car je n’ai pas su me transformer face à ce monde cruelle, et moi j’ai fait de même de toute façon il n’y a qu’avec les autres qu’elle est différente ou peut-être simplement plus froide. Avec moi elle reste Trsiha, ma douce et belle Trisha.
Nous nous étions rejoint à l’entrée du château et nous avions par la suite directement filé en ville tout en discutant. Ahh nos fameuses discutions, jamais il n’y avait de blanc, chacune avait toujours de quoi argumenter les idées de l’une ou de l’autre les futures tendances, les points positifs et négatifs de la saison, nous parlions d’absolument tout et de rien. Le temps défilait sous nos yeux mais nous, nous en fichions puisque nous étions ensemble. Une fois arrivé en plein centre ville nous nous arrêtâmes pour regarder l’espace d’un instant ce qu’il se passait autours de nous. Je pris le temps de regarder les passant, le mélange moldu et sorcier, au final la différence ne se voyait pas. La voix mélodieuse de ma tendre amie me sortie de ma contemplation de paysage.
« Alors chaton, on commence par quoi ? »
Alors que je faisais mine de réfléchir mes doigts vinrent se poser sur mon menton, et tout en souriant c’est d’une voix douce et amicale que je proposais notre première activité à Trish.
« Et si nous allions d’abord prendre un café dans un bar ? Après nous pourrions faire les magasins qui ne nous prendrons que peu de temps, comme les magasins d’esthétique ou encore de chaussures et sous vêtement, on prend la matinée pour ça et cet après-midi nous nous occuperons de nos robes de bal et du reste si nous avons le temps. Enfin si tu es d’accord bien sûr. »
J’avais cette façon d’être toujours organisée, parfois ça énervait les gens mais Trisha ne m’avait jamais fait de reproche par rapport à ça, non elle était toujours à mon écoute. Je la regardais tout en souriant serrant sa paume dans la mienne.
« Alors prête à dévaliser les boutiques ? »
Comme chaque matin je m’étirais sous mes draps, commençant d’abord par mes bras, puis mes jambes et pour finir tout le reste de mon dos. Par la suite je me tournais sur le ventre puis décidais de me bouger avant que la fin de la journée n’arrive déjà. Je prenais le temps de m’installer devant ma fenêtre pour regarder le paysage qui s’offrait à moi et laisser les rayons du soleil venir lécher mon visage une dernière fois. Jusqu’à ce que l’appel de la faim fasse son entrée, mon ventre réclamait à manger, en poussant des petits gazouillis comme les bébés. Je me décidais donc à prendre un petit déjeuner rapide, j’avais toujours de quoi manger dans ma chambre il faut dire que j’étais un estomac sur pattes aussi, toujours à avoir faim et à manger, je ne savais même pas comment je me débrouillais pour garder la ligne. Ce matin ça serait pain au chocolat avec chocolat chaud agrémenté d’une cuillère de miel. Une fois tout ça fini, direction salle de bain, une bonne douche : de bon matin c’était toujours apaisant et puis c’est toujours plus agréable de sentir le monoï qu’une vieille odeur de renfermé. Après venait les soins : gommage, crème sur tout le corps, brossage de crinière et lissage par la même occasion. Les boutiques avec Trisha ce n’étaient pas du n’importe quoi, on tapait dans le luxe, le shopping mon seul pêché mignon après le chocolat bien sûr et la glace au caramel ainsi que la guimauve et euh.. Je m’éloigne là. Il faut dire que les douches froides de bon matin ce n’est pas forcément intelligent, oui ça réveil, tous vos sens sont alors en alerte mais votre cerveau lui en prend un coup Quoi qu’il en soit aujourd’hui était une journée shopping et pas n’importe qu’elle journée shopping, du genre banale où on ne fait qu’acheter des tee-shirts, robe d’été et jeans. Non bien au contraire aujourd’hui c’était les robes de bal notre priorité, oui il nous fallait nos robes pour ce bal inauguré en l’honneur de nos chers correspondants et chères correspondantes. Il fallait bien sûr que chaque élève soit sur son 31 et il n’était pas question de perdre une minute. Et pire, il fallait faire vite, ne restait plus que quelques jours avant les jours j et nous avions quelques centaines de magasins à faire avant de trouver notre bonheur et puis connaissant Trisha ainsi que moi-même je savais pertinemment que nous passerions par la case café et marchand de glace. Même si notre but était de nous acheter deux robes splendides, nous ferions aussi un tour par les magasins de lingerie, pâtisserie, maillot de bain, et autre peut-être même que nous referions même toute notre garde robe. Une fois lavée, coiffée, maquillée et vêtue d’un jeans délavé ainsi que d’un débardeur léopard accompagné d’une paire de talon compensé, je m’aventurais hors de ma chambre à la recherche de ma meilleure amie d’enfance. Ma petite Trisha à moi, personne ne la connaissait réellement, tout le monde s’imaginait une petite peste incapable d’aimer, d’éprouver le moindre sentiment, ou encore une fille qui passait son temps à faire chier le monde mais tout ça était faux. Ce n’était qu’une carapace, et quand j’y repense peut-être que j’aurais du apprendre à faire pareil malheureusement je suis plus fragile, moins forte et certainement trop sotte alors que Trisha, elle, elle est vraiment forte et je l’admire pour ça de plus qu’elle à su préserver notre amitié coûte que coûte, elle n’a pas changé son point de vue de moi car je n’ai pas su me transformer face à ce monde cruelle, et moi j’ai fait de même de toute façon il n’y a qu’avec les autres qu’elle est différente ou peut-être simplement plus froide. Avec moi elle reste Trsiha, ma douce et belle Trisha.
Nous nous étions rejoint à l’entrée du château et nous avions par la suite directement filé en ville tout en discutant. Ahh nos fameuses discutions, jamais il n’y avait de blanc, chacune avait toujours de quoi argumenter les idées de l’une ou de l’autre les futures tendances, les points positifs et négatifs de la saison, nous parlions d’absolument tout et de rien. Le temps défilait sous nos yeux mais nous, nous en fichions puisque nous étions ensemble. Une fois arrivé en plein centre ville nous nous arrêtâmes pour regarder l’espace d’un instant ce qu’il se passait autours de nous. Je pris le temps de regarder les passant, le mélange moldu et sorcier, au final la différence ne se voyait pas. La voix mélodieuse de ma tendre amie me sortie de ma contemplation de paysage.
« Alors chaton, on commence par quoi ? »
Alors que je faisais mine de réfléchir mes doigts vinrent se poser sur mon menton, et tout en souriant c’est d’une voix douce et amicale que je proposais notre première activité à Trish.
« Et si nous allions d’abord prendre un café dans un bar ? Après nous pourrions faire les magasins qui ne nous prendrons que peu de temps, comme les magasins d’esthétique ou encore de chaussures et sous vêtement, on prend la matinée pour ça et cet après-midi nous nous occuperons de nos robes de bal et du reste si nous avons le temps. Enfin si tu es d’accord bien sûr. »
J’avais cette façon d’être toujours organisée, parfois ça énervait les gens mais Trisha ne m’avait jamais fait de reproche par rapport à ça, non elle était toujours à mon écoute. Je la regardais tout en souriant serrant sa paume dans la mienne.
« Alors prête à dévaliser les boutiques ? »
- InvitéInvité
Re: Once Upon Time in Norwich, two girls ...
Jeu 17 Juin 2010 - 22:00
Trisha et Orphée avaient donc quittées Hungcalf depuis quelques minutes déjà. Sur le chemin, les deux jeunes femmes se laissèrent aller à la discussion, parlant de tout et de rien à la fois, bref tout ce qui pouvait leur passer par la tête. Trisha aimait ces moments avec la jeune summerbee. Pourquoi ? Parce qu'elle n'avait pas besoin de jouer son rôle. Au contraire, elle remballait son costume de garce et le rangeait, l'espace de quelques heures pour devenir la jeune femme amusante et chaleureuse qu'elle était réellement. Même si, déguisement ou pas, une Hamilton reste une Hamilton, il ne faut pas le nier. Syndrome de schizophrénie ? Possible, après tout qu'en savons-nous ? Quoi que, Trisha n'a jamais eu de problème à discerner la réalité, peut-être même qu'elle la cerne un peu trop pour son jeune âge. Par contre, une double personnalité, il était clair qu'elle plaidait coupable et le fait qu'elle en aie seulement conscience exprimait toute la différence. Enfin bref, passons. Les deux jeunes femmes ne tardèrent pas à arriver en centre-ville, bras-dessus bras-dessous et le rire de Trisha retendit de bonheur, alors que les paroles de son amie l'amusaient. Il était très rare d'entendre un rire aussi franc provenant de la belle et jeune demoiselle... c'est pourquoi lorsqu'on pouvait avoir l'occasion de l'entendre, on se prenait à apprécier le velours et la fraîcheur qui s'en dégageait. Peut-être était-ce même un peu contagieux ? Vous ne pouvez pas nier qu'un sourire se dessine sur vos lèvres. Bientôt, Trisha se tourna vers Orphée pour lui demander où elles allaient se rendre, ce qui l'intéressait quand même un peu. Pourquoi demandait-elle au lieu d'exposer son programme ? Oh, tous simplement parce qu'elle savait que son amie avait déjà tous prévue dans sa tête. Non sérieusement, à croire qu'un planning avait été intégrée à Orphée dès sa naissance. C'est fou ce qu'elle pouvait être organisée, contrairement à Trish' qui pouvait être d'un brouillon incroyable, du moins si on la plaçait aux côtés de la jeune Cameron.
« Et si nous allions d’abord prendre un café dans un bar ? Après nous pourrions faire les magasins qui ne nous prendrons que peu de temps, comme les magasins d’esthétique ou encore de chaussures et sous vêtement, on prend la matinée pour ça et cet après-midi nous nous occuperons de nos robes de bal et du reste si nous avons le temps. Enfin si tu es d’accord bien sûr. » Comme elle s'en doutait, la réponse de son amie était déjà toute prête ce qui entraîna le sourire à la fois satisfait et amusé de la belle brune, avec pour couronner le tout, une petite lueur admirative dans le regard. Elle l'étonnera toujours ... à chaque fois, elle s'attend à voir tout le programme de la journée défiler et à chaque fois elle était ... stupéfaite, bouche bée, coîte ... bref elle se faisait couper l'herbe sous le pied. Mais, elle n'allait pas lui faire de reproche non plus, si elle n'était pas ainsi, elles passeraient tout l'après-midi à réfléchir à ce qu'elles allaient faire au lieu de faire ce que justement elles avaient à faire, il faut savoir saisir les nuances. « Okay M'dame, allons pour le café ! M'enfin pour moi ce sera plutôt un jus de citrouille, vu comment il va faire chaud ! » Elle fit un sourire à la demoiselle et lui emboîta le pas, la demoiselle ayant un peu plus le sens de l'orientation qu'elle. Il est vrai qu'en même temps, si Trisha prenait un peu la peine de lever le nez, peut-être arriverait-elle à mieux se situer, non ? Mais bon, peut-être qu'en vieillissant, elle réussira à changer cette habitude de se perdre, irrévocablement. Trisha sentie la main de son amie lui serrer sa paume et la summerbee la regarda, conservant son sourire jusqu'aux oreilles avant qu'elle ne lui dise ; « Alors prête à dévaliser les boutiques ? »
Trisha éclata de rire avant de la regarder droit dans les yeux, retrouvant brusquement un sérieux. Pas un réel sérieux, d'ailleurs elle savait parfaitement que Orphée pouvait faire la différence, car lorsque la jeune Hamilton est sérieuse, cela n'a pas le même effet, mais passons, disons simplement que Oprhée pouvait reconnaître ce sérieux joueur. « C'est à moi que tu poses cette question ? C'est comme si tu demandais à un joueur de quidditch professionnelle s'il est prêt à monter sur son balais ! » Elle retrouva son sourire, les yeux pétillants d'une malice complice alors qu'elles entraient dans le café en question. Les deux étudiantes s'asseyaient à la table près de la vitrine lorsqu'une fois assise sur sa chaise, la belle croisa les jambes, geste typiquement féminin. À peine étaient-elles posées que Trisha demandait « Rappelle-moi avec qui tu vas au bal déjà ? J'espère qu'il en vaut la peine, pour amener une perle comme toi (: » fit-elle en posant les mains sur ses genoux.
« Et si nous allions d’abord prendre un café dans un bar ? Après nous pourrions faire les magasins qui ne nous prendrons que peu de temps, comme les magasins d’esthétique ou encore de chaussures et sous vêtement, on prend la matinée pour ça et cet après-midi nous nous occuperons de nos robes de bal et du reste si nous avons le temps. Enfin si tu es d’accord bien sûr. » Comme elle s'en doutait, la réponse de son amie était déjà toute prête ce qui entraîna le sourire à la fois satisfait et amusé de la belle brune, avec pour couronner le tout, une petite lueur admirative dans le regard. Elle l'étonnera toujours ... à chaque fois, elle s'attend à voir tout le programme de la journée défiler et à chaque fois elle était ... stupéfaite, bouche bée, coîte ... bref elle se faisait couper l'herbe sous le pied. Mais, elle n'allait pas lui faire de reproche non plus, si elle n'était pas ainsi, elles passeraient tout l'après-midi à réfléchir à ce qu'elles allaient faire au lieu de faire ce que justement elles avaient à faire, il faut savoir saisir les nuances. « Okay M'dame, allons pour le café ! M'enfin pour moi ce sera plutôt un jus de citrouille, vu comment il va faire chaud ! » Elle fit un sourire à la demoiselle et lui emboîta le pas, la demoiselle ayant un peu plus le sens de l'orientation qu'elle. Il est vrai qu'en même temps, si Trisha prenait un peu la peine de lever le nez, peut-être arriverait-elle à mieux se situer, non ? Mais bon, peut-être qu'en vieillissant, elle réussira à changer cette habitude de se perdre, irrévocablement. Trisha sentie la main de son amie lui serrer sa paume et la summerbee la regarda, conservant son sourire jusqu'aux oreilles avant qu'elle ne lui dise ; « Alors prête à dévaliser les boutiques ? »
Trisha éclata de rire avant de la regarder droit dans les yeux, retrouvant brusquement un sérieux. Pas un réel sérieux, d'ailleurs elle savait parfaitement que Orphée pouvait faire la différence, car lorsque la jeune Hamilton est sérieuse, cela n'a pas le même effet, mais passons, disons simplement que Oprhée pouvait reconnaître ce sérieux joueur. « C'est à moi que tu poses cette question ? C'est comme si tu demandais à un joueur de quidditch professionnelle s'il est prêt à monter sur son balais ! » Elle retrouva son sourire, les yeux pétillants d'une malice complice alors qu'elles entraient dans le café en question. Les deux étudiantes s'asseyaient à la table près de la vitrine lorsqu'une fois assise sur sa chaise, la belle croisa les jambes, geste typiquement féminin. À peine étaient-elles posées que Trisha demandait « Rappelle-moi avec qui tu vas au bal déjà ? J'espère qu'il en vaut la peine, pour amener une perle comme toi (: » fit-elle en posant les mains sur ses genoux.
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