- Marvin MoenNew ㄨ sorcerer's apprentice
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and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Dim 14 Jan 2024 - 3:32
Marvin avait toujours aimé cette période de l'année. Pour lui, le mois de janvier était une occasion de commencer une nouvelle année, un nouveau chapitre en oubliant toutes les erreurs qu'il avait pu commettre dans le chapitre précédent. Dans les pages de sa vie, il en avait commis plusieurs. Il y en avait une dans laquelle il avait failli tuer son frère et une autre dans laquelle il avait envoyé sa petite sœur étudier à l'autre bout du monde pour la seule raison qu'elle avait aimé la mauvaise personne. Si les erreurs paraissaient grandes sur le papier, probablement impardonnables, pour une personne qui ne le connaissait pas, il ne parvenait pas à s'en vouloir parce qu'il était certain qu'il avait pris ses décisions dans l'intérêt de sa famille.
En attendant de pouvoir écrire la suite de l'histoire, il marche dans le quartier qui est aussi animé que toujours, par ses nombreux habitants qui parlent entre eux et les étudiants qui se promènent entre les boutiques. La nouvelle année a apporté avec elle une page aussi blanche que la neige qui couvre le sol et les bâtiments. Au milieu de toute cette animation, il s'arrête, appréciant le crissement de la neige sous ses pas. Les flocons tombent dans ses cheveux et sur les paumes de ses mains qu'il a laissés ouvertes, face au ciel, pour les attraper. Ils sont froids, ils sont uniques, comme chacun des membres de sa fratrie et lui rappellent de ne jamais perdre de vue que l'hiver laissait toujours place au printemps.
Autour de lui, ses camarades se plaignent du froid, parfois avec une boisson chaude dans les mains, et il se dit qu'il ne peut pas les blâmer, il fait particulièrement froid pour cette période de l'année. Marvin, lui, ne le ressent pas. Il faut dire, cependant, qu'il a grandi, toute sa vie, dans le froid, et qu'il a étudié dans une institution de magie qui allumait les feux uniquement dans l'exercice de la sorcellerie. De plus, il est bien habillé, portant un pantalon noir, une chemise noire sur laquelle il a collé le blason de sa maison, plus pour que les autres lui fichent la paix que par réel sentiment d'appartenance, et une cape avec de la fourrure.
Ses pas le mènent à l'animalerie, un endroit qu'il connait bien à force de le fréquenter régulièrement et qui est située à l'entrée même du quartier. Il se dirige vers la section consacrée aux serpents qui est bien peu fréquentée, située un peu plus loin, au premier étage. Marvin jette un œil aux serpents qui souhaitent tous être ailleurs que dans le terrarium où ils devaient attendre qu'un éventuel propriétaire vienne les adopter. « Un jour, je vais vous libérer. » leur murmure-il dans la langue des serpents, ce à quoi il obtient une réponse approbative de la part des reptiles.
Il se rend cependant compte que, contrairement à l'habitude, il n'est pas seul. Un jeune homme se tient non loin de lui. Sans détourner le regard des serpents, Marvin prend la parole en anglais, dans un accent à couper au couteau : « Qu'est-ce que tu regardes ? » lui demande-t-il. « La section des chihuahua est au deuxième étage. »
Maximilien Leroy et Peter Drummond sont fans
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Re: and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Dim 14 Jan 2024 - 11:14
« Bah alors mon bébé, qu’est-ce qu’il y a ? » On pourrait croire qu’il s’adresse à son partenaire de vie, victime de fortes températures ou de maux de ventre intenses ; on pourrait même penser qu’il tient dans ses bras sa petite chienne, Lady Mousse, en proie à un mal qu’il ne parviendrait pas à identifier ; mais non. Rien d’aussi charmant pour un œil extérieur et pourtant, l’inquiétude de Maximilien est palpable alors qu’il caresse le corps de son python royal. Celui-ci fait à peine l’effort de s’enrouler autour de son bras comme il en a l’habitude, ce qui commence sérieusement à le questionner. Voilà des jours que Brian est un vrai feignant et cela indispose son propriétaire. Ami, vous dira-t-il avec grande conviction. Rien qui n’enchante pas @Peter Drummond , qui se tient le plus éloigné possible du reptile. Ne pas le voir bouger doit le soulager mais pour le Français, c’est tout autre. Il sent la boule grossir dans le creux de son ventre en reposant Brian dans son terrarium, l’observe longuement avant de quitter le cottage du petit couple.
Ses pas le conduisent naturellement jusqu’à l’animalerie d’Inverness où travaille son aimé. Bien que cela puisse paraître non professionnel de la part du vendeur, il prend le temps de le saluer et de lui claquer un baiser sur les lèvres. Le froid s’est engouffré avec lui dans la bâtisse et il frissonne, entre deux températures. Sur son chemin jusqu’aux terrarium des serpents, il prend le temps de choisir un nouveau jouet pour Lady Mousse – comme si elle n’en avait pas assez – et s’arrête finalement vers sa destination initiale. Penché en avant, Maximilien observe les créatures au sang froid sans bouger, ne souhaitant pas les incommoder par sa présence. Il pensait pourtant tout savoir de Brian, depuis le temps… et son inquiétude se lit sur son visage lorsqu’il en vient à la conclusion que, contrairement aux animaux sous ses yeux, son python ne se comporte pas comme il le devrait. Sainement.
Il sursaute en entendant un espèce de sifflement sur sa gauche et tourne la tête vers l’origine de ce bruit. L’homme qui est là semble aussi absorbé que lui par les animaux qui, étrangement, le regardent comme s’ils entretenaient une conversation avec lui. Bien sûr, il ressent une pointe de jalousie car aucun d’eux ne cherche à attirer son attention.
(anglais) « Avec les chats et autres mammifères au sang chaud, oui. Merci pour le renseignement. » Voilà, il a encore ramené sa science. Maximilien se demande parfois comment il parvient à se faire des amis avec un tel comportement. Il est assuré que reprendre un inconnu sur ses propos n’en fera pas un allié. Au mieux, il sera vexé et s’éloignera ; au pire, il lui rentrera dans le lard. Il continue sur un ton volontairement plus doux, dénué de toute vibration négative.
(anglais) « Tu t’y connais bien en serpent ? »
@Marvin Moen
Ses pas le conduisent naturellement jusqu’à l’animalerie d’Inverness où travaille son aimé. Bien que cela puisse paraître non professionnel de la part du vendeur, il prend le temps de le saluer et de lui claquer un baiser sur les lèvres. Le froid s’est engouffré avec lui dans la bâtisse et il frissonne, entre deux températures. Sur son chemin jusqu’aux terrarium des serpents, il prend le temps de choisir un nouveau jouet pour Lady Mousse – comme si elle n’en avait pas assez – et s’arrête finalement vers sa destination initiale. Penché en avant, Maximilien observe les créatures au sang froid sans bouger, ne souhaitant pas les incommoder par sa présence. Il pensait pourtant tout savoir de Brian, depuis le temps… et son inquiétude se lit sur son visage lorsqu’il en vient à la conclusion que, contrairement aux animaux sous ses yeux, son python ne se comporte pas comme il le devrait. Sainement.
Il sursaute en entendant un espèce de sifflement sur sa gauche et tourne la tête vers l’origine de ce bruit. L’homme qui est là semble aussi absorbé que lui par les animaux qui, étrangement, le regardent comme s’ils entretenaient une conversation avec lui. Bien sûr, il ressent une pointe de jalousie car aucun d’eux ne cherche à attirer son attention.
(anglais) « Avec les chats et autres mammifères au sang chaud, oui. Merci pour le renseignement. » Voilà, il a encore ramené sa science. Maximilien se demande parfois comment il parvient à se faire des amis avec un tel comportement. Il est assuré que reprendre un inconnu sur ses propos n’en fera pas un allié. Au mieux, il sera vexé et s’éloignera ; au pire, il lui rentrera dans le lard. Il continue sur un ton volontairement plus doux, dénué de toute vibration négative.
(anglais) « Tu t’y connais bien en serpent ? »
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Re: and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Dim 21 Jan 2024 - 2:47
Il a toujours eu une fascination pour les serpents, d'aussi loin qu'il ne s'en souvienne. C'était probablement lié, sans surprise, au fait que la langue des serpents soit héréditaire dans sa famille et qu'il ait grandi avec les serpents depuis son plus jeune âge. Il les avait d'abord côtoyés sous forme de fantômes qui hantaient le domicile familial et qui avaient l'habitude de chanter une comptine un peu macabre à chaque fois qu'un enterrement se préparait. Marvin ne se souvient pas les avoir appréciées, il les avait toujours trouvées trop sombres, mais au fil du temps et suite à la mort de son père, il avait fini par les accepter et les chanter à son tour.
En grandissant, il s'était rendu compte qu'il ne pouvait pas vivre sans les serpents, qu'ils constituaient une grande part de son existence, de son être. Il en avait plusieurs, même si c'était une couleuvre qui l'accompagnait dans sa vie quotidienne. Les serpents l'avaient retenu lorsqu'il était sur le bord de commettre de grandes erreurs et encore aujourd'hui, il se servait de sa particularité pour endiguer les effets de la consanguinité qui avaient été causés par sa particularité.
Sans mauvais jeu de mots, c'était l'histoire du serpent qui se mordait la queue.
Marvin, pour le moment, se mord les lèvres en se rendant compte que même s'il n'avait pas été compris, il avait été entendu. Il ne cherchait pas particulièrement à cacher sa particularité, à vrai dire, il ne s'en souciait pas, mais son premier réflexe est surtout de s'en faire pour les serpents. Il tourne la tête pour apercevoir un homme aux cheveux bruns qu'il ne connait pas, mais qui était resté trop longtemps parmi les terrariums pour que ce soit une erreur. Celui-ci lui répond qu'il est au courant que la section des chihuahuas se trouvent avec les chats et les autres mammifères au sang chaud.
La couleuvre de Marvin s'enroule autour de son bras, comme pour l'avertir de ne pas se mettre en colère, mais elle n'a pas à s'inquiéter, il ne s'emporterait pas pour si peu. Indifférent, il reporte son attention sur les reptiles, ne réagissant pas à ce que lui avait dit l'inconnu.
Celui-ci lui demande s'il s'y connait bien en serpent. Sans le regarder, Marvin hausse les épaules. « Un peu, j'ai plusieurs serpents à la maison, dont une couleuvre à collier. Je trouve que ce sont des créatures fascinantes. » se contente-t-il de dire. Il n'était pas connu pour être prolixe. « Et toi, que fais-tu dans cette section si ce n'est pas une erreur ? Tu cherches à adopter un serpent ? »
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Re: and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Dim 21 Jan 2024 - 17:50
Son inquiétude pour Brian est plus forte qu’une potentielle prise de bec avec un inconnu et en toute honnêteté, Maximilien n’a jamais été très doué pour les embrouilles passagères. Il revient vite sur le sujet des serpents, cherchant de l’aide là où il peut en trouver. Peter ne peut rien pour lui, n’y connaissant pas grand-chose et préférant se tenir le plus éloigné possible de son python. Ici, il est forcément affilié aux mammifères, le connaissant ! Il devrait plutôt trouver conseil chez un vétérinaire à bien y penser, mais transporter Brian dans son état lui semblait être une mauvaise idée. Et si ça aggravait les choses ? Augmentait son stress ? Et si ce n’est pas le stress, qu’est-ce qui le ronge au point de changer son comportement ?
« Je suis d’accord. » Son intérêt croît, il ose même un sourire. Ce n’est pas toujours évident de se trouver des amis aimant les serpents. Certains les tolèrent mais rare sont ceux qui ont pour ces animaux une vraie passion respectueuse.
« Non » répond-il en toute simplicité, avant de s’étrangler sur les mots suivants. « J’en ai déjà un à la maison et son état m’inquiète. Je pensais trouver de l’aide ici mais je me rends compte que c’était une idée carrément stupide. » Pourtant, les pythons regius visibles dans cette animalerie lui indiquent qu’en effet, Brian n’agit pas comme il le « devrait » et qu’il a un vrai souci à se faire le concernant. Il les a bien observés, aucun n’est aussi apathique que son p’tit bébé à écailles. La ride sur son front se creuse. Il se ronge les ongles sans même s’en apercevoir. Il n’a pourtant rien modifié à son alimentation ni à la fréquence de ses repas, encore moins son confort. Brian a atteint sa taille adulte et n’en changera probablement plu. Il doute que ce soit une question d’âge. Et puis, Peter le lui aurait dit s’il avait changé quelque chose…
« Toi qui t’y connais un peu, tu sais ce qui peut rendre un python regius apathique ? » La question est droite, franche. Maximilien ne cherche pas à attendrir qui que ce soit, il attend juste de cet homme-là une aide, même minime. Même s’il s’attend à entendre l’évidence : tu dois lui faire voir un magizoologue spécialisé dans cette espèce. Ou au moins un soigneur animalier, le minimum syndical. Il pense à son pauvre Brian et ses intestins se tordent d’angoisse. À côté d’eux, des clients qui passent avec rapidité, surpris de les voir s’attarder face aux créatures du mal.
@Marvin Moen
« Je suis d’accord. » Son intérêt croît, il ose même un sourire. Ce n’est pas toujours évident de se trouver des amis aimant les serpents. Certains les tolèrent mais rare sont ceux qui ont pour ces animaux une vraie passion respectueuse.
« Non » répond-il en toute simplicité, avant de s’étrangler sur les mots suivants. « J’en ai déjà un à la maison et son état m’inquiète. Je pensais trouver de l’aide ici mais je me rends compte que c’était une idée carrément stupide. » Pourtant, les pythons regius visibles dans cette animalerie lui indiquent qu’en effet, Brian n’agit pas comme il le « devrait » et qu’il a un vrai souci à se faire le concernant. Il les a bien observés, aucun n’est aussi apathique que son p’tit bébé à écailles. La ride sur son front se creuse. Il se ronge les ongles sans même s’en apercevoir. Il n’a pourtant rien modifié à son alimentation ni à la fréquence de ses repas, encore moins son confort. Brian a atteint sa taille adulte et n’en changera probablement plu. Il doute que ce soit une question d’âge. Et puis, Peter le lui aurait dit s’il avait changé quelque chose…
« Toi qui t’y connais un peu, tu sais ce qui peut rendre un python regius apathique ? » La question est droite, franche. Maximilien ne cherche pas à attendrir qui que ce soit, il attend juste de cet homme-là une aide, même minime. Même s’il s’attend à entendre l’évidence : tu dois lui faire voir un magizoologue spécialisé dans cette espèce. Ou au moins un soigneur animalier, le minimum syndical. Il pense à son pauvre Brian et ses intestins se tordent d’angoisse. À côté d’eux, des clients qui passent avec rapidité, surpris de les voir s’attarder face aux créatures du mal.
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Re: and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Dim 28 Jan 2024 - 21:23
cw: mention d'anorexie chez les serpents
Marvin n'est pas connu pour être celui qui parle le plus. Habituellement, il ne parle à personne sauf s'il s'agit d'une situation où il a besoin de s'adresser à un autre être humain pour obtenir ce dont il a besoin, ce qui est bien rare, le jeune homme sachant comment faire pour ne pas se retrouver dans une telle situation. Il ne connait pas la personne qui lui parle, mais elle semble particulièrement intéressée par le fait qu'il ait plusieurs serpents et elle est d'accord avec lui quand il lui dit qu'il trouve que ce sont des créatures fascinantes. Le jeune homme lui sourit, comme s'ils avaient un lien particulier alors qu'ils venaient tout juste de se rencontrer et qu'ils avaient été sur le bord de se disputer lors de leur toute première interaction. La vérité, c'est que Marvin ne sait pas comment réagir devant un sourire, il ne sait pas s'il doit répondre lui aussi par un sourire, alors il se contente d'hocher poliment la tête, lui qui a le plus souvent l'habitude d'être détesté, d'être craint, mais jamais d'être l'objet d'un quelconque intérêt.
Il demande à l'inconnu si celui-ci cherche à adopter un serpent, ne comprenant toujours pas comment une autre personne que lui pouvait trouver un intérêt dans la section des reptiles. Celui-ci lui répond que non, mais qu'il en a déjà un à la maison et que son état l'inquiétait. Il pensait trouver de l'aide à l'animalerie, mais il se rend compte que c'était une idée stupide. « Je ne pense pas que ce soit stupide, tout au contraire, c'est toujours intéressant de voir comment les serpents se comportent habituellement. Il faut bien se rendre compte que quelque chose cloche avant d'aller voir un vétérinaire ou une personne spécialisée. » le rassure Marvin comme il peut. Il n'est pas particulièrement doué pour les interactions humaines, ni pour tout ce qui a un lien avec les émotions et les sentiments, mais il sent bien l'angoisse de son camarade qui regarde les pythons avec un air manifestement inquiet, la ride sur son front se creusant. Il commence à se ronger les ongles. Manifestement désespéré, il lui demande de but en blanc s'il sait ce qui peut rendre un python apathique.
Marvin met les mains dans ses poches et regarde les pythons. « Il y a l'anorexie qui peut rendre un python apathique. » se contente-t-il de répondre laconiquement. L'inconnu a de la chance qu'il souhaite se spécialiser en blessures causées par les créatures vivantes, tout particulièrement par les serpents, car ce faisant, il a eu l'occasion d'emmagasiner plusieurs connaissances sur les reptiles, de par les nombreux cours de soins aux créatures magiques qu'il a suivi. Marvin continue « Un serpent peut refuser de se nourrir sur une certaine période de temps sans qu'il soit possible d'en comprendre les raisons. Cela peut notamment être lié à une infection, une blessure ou parfois, simplement le stress. » Il continue. « Le python regius est une espèce facilement stressée qui peut arrêter de se nourrir pendant plusieurs mois. Il réduira alors ses activités pour éviter de subir une perte de poids trop importante.» Il vient de nommer plusieurs informations, mais la question importante est de savoir : « Est-ce qu'il y a quelque chose qui a changé dans la vie de ton python ? Un changement d'alimentation, d'environnement ? Le manipules-tu plus souvent qu'avant ? » Ces questions pouvaient paraître anodines, mais elles étaient importantes pour guider le jeune homme et que celui-ci puisse aider son camarade.
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Dim 28 Jan 2024 - 21:56
Il prend le confort pour ce que c’est, s’en enveloppe et essaye de progresser dans sa démarche, toujours peu certain d’avoir fait le bon choix en venant ici. Il y est allé à l’intuition plutôt qu’à la raison sur ce coup, ce qui ne lui ressemble pas vraiment. D’ordinaire, Maximilien réfléchit longtemps avant de prendre une décision. Il faut croire que l’était de santé de Brian l’inquiète plus qu’il ne veut l’admettre. Il hoche pensivement de la tête, pose la question qui le taraude. Il espère obtenir une aide même minime, juste de quoi le soulager un peu, entrevoir une solution. Surtout, il ne veut pas entendre que c’est trop tard, que son petit Brian va mourir. L’idée le terrifie.
« L’anorexie… » Il n’y a pas pensé mais à bien y réfléchir, il est vrai qu’il mange un peu moins, depuis quelques mois. Semaines ? Non, mois. Il n’est pas difficile de savoir pourquoi. Durant les dernières années, Brian n’a que peu déménagé, Maximilien se faisant un point d’honneur à ne pas le stresser inutilement en lui imposant un nouvel environnement tous les ans. Mais avec son emménagement avec Peter, il s’est vu obligé de déplacer l’habitat du pauvre reptile. Bien sûr qu’il a pensé aux conséquences de ce déménagement sur son serpent, ça a fait partie de l’équation mais bêtement, il a cru que ça irait bien. Qu’il n’y avait pas de raison que ça se passe mal. Quel idiot… Alors qu’il écoute Marvin, dont il ne connaît toujours pas l’identité, il se rend compte de sa bêtise et de ce qui se passe réellement dans la tête de ce pauvre Brian.
« D’environnement, oui. Je viens d’emménager avec quelqu’un et ce n’est pas quelqu’un qui trouve de l’intérêt dans les serpents. En fait, il ne s’en approche même pas. J’aurais dû me douter que c’était ça… Je ne sais pas pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt. Qu’est-ce que je peux faire pour remédier à ce stress ? » Il ne compte pas bouger de sitôt et espère ne pas avoir à le faire. Cela le tuerait. Il ne peut pas non plus le forcer à manger, lui coller l’aliment dans la gueule ou le piquer avec une seringue comme on le ferait avec un humain. Mais maintenant qu’il a un mis un nom sur la maladie rongeant son serpent, Maximilien se sent un peu mieux. Il va pouvoir faire des recherches, demander d’autres conseils, trouver des solutions. Il le faut.
« C’est grave si je le manipule un peu moins qu’avant justement ? J’ai moins l’occasion dernièrement et ça joue peut-être dans son comportement… » Déjà qu’il s’en veut… alors si, en plus, son indisponibilité impacte la santé de Brian, il s’en mordra les doigts !
@Marvin Moen
« L’anorexie… » Il n’y a pas pensé mais à bien y réfléchir, il est vrai qu’il mange un peu moins, depuis quelques mois. Semaines ? Non, mois. Il n’est pas difficile de savoir pourquoi. Durant les dernières années, Brian n’a que peu déménagé, Maximilien se faisant un point d’honneur à ne pas le stresser inutilement en lui imposant un nouvel environnement tous les ans. Mais avec son emménagement avec Peter, il s’est vu obligé de déplacer l’habitat du pauvre reptile. Bien sûr qu’il a pensé aux conséquences de ce déménagement sur son serpent, ça a fait partie de l’équation mais bêtement, il a cru que ça irait bien. Qu’il n’y avait pas de raison que ça se passe mal. Quel idiot… Alors qu’il écoute Marvin, dont il ne connaît toujours pas l’identité, il se rend compte de sa bêtise et de ce qui se passe réellement dans la tête de ce pauvre Brian.
« D’environnement, oui. Je viens d’emménager avec quelqu’un et ce n’est pas quelqu’un qui trouve de l’intérêt dans les serpents. En fait, il ne s’en approche même pas. J’aurais dû me douter que c’était ça… Je ne sais pas pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt. Qu’est-ce que je peux faire pour remédier à ce stress ? » Il ne compte pas bouger de sitôt et espère ne pas avoir à le faire. Cela le tuerait. Il ne peut pas non plus le forcer à manger, lui coller l’aliment dans la gueule ou le piquer avec une seringue comme on le ferait avec un humain. Mais maintenant qu’il a un mis un nom sur la maladie rongeant son serpent, Maximilien se sent un peu mieux. Il va pouvoir faire des recherches, demander d’autres conseils, trouver des solutions. Il le faut.
« C’est grave si je le manipule un peu moins qu’avant justement ? J’ai moins l’occasion dernièrement et ça joue peut-être dans son comportement… » Déjà qu’il s’en veut… alors si, en plus, son indisponibilité impacte la santé de Brian, il s’en mordra les doigts !
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Re: and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Mar 16 Avr 2024 - 15:33
Marvin est certain d’avoir fait le bon choix en venant à l’animalerie. Premièrement, il avait besoin de nourrir les serpents qui l’accompagnaient quotidiennement, mais deuxièmement, il pouvait venir en aide à une personne qui aimait autant les reptiles que lui avec des connaissances qui, pour une rare fois, ne faisait pas peur à autrui. Il était habitué de susciter la peur, le questionnement avec ses goûts étranges et ses intérêts particuliers, mais l’inconnu semble bénéficier de tous ses conseils.
Marvin ne connait pas Maximilien, il ne connait même pas son identité, mais il se doute que ce devait être une personne raisonnée qui ne devait pas avoir pour habitude de demander de l’aide à des étrangers, autrement, il ne lui aurait pas dit que son idée était carrément stupide. L’état de santé de son serpent devait l’inquiéter plus qu’il ne voulait l’admettre.
Il parait pensif lorsque Marvin lui mentionne que les troubles de son serpent pourraient être associés à l’anorexie. Il semble réfléchir, probablement aux changements qu’il y a eu dans sa vie qui auraient pu avoir un impact sur le reptile, et lui dit que celui-ci a changé d’environnement. Il vient d’emménager avec quelqu’un qui ne trouve pas de l’intérêt dans les serpents et qui ne s’en approche pas. L’inconnu veut savoir comment remédier à ce stress. « Il faut lui laisser le temps de prendre ses marques dans ce nouvel environnement et le manipuler aussi peu que possible, à moins que ce soit nécessaire, la manipulation est souvent stressante pour les serpents. Vérifie les paramètres de maintien et essaie d’augmenter la température d’un ou deux degrés. Tu peux aussi tenter de stimuler ton serpent avec d’autres types de proie, et si ça ne fonctionne pas, il y a toujours le gavage, mais c’est stressant… » dit-il. Il n’a pas pour habitude de parler autant et il se sent rougir jusqu’à la racine des cheveux. Se grattant l’arrière de la tête, il se tourne vers l’inconnu. « Ce ne sont que des conseils, sens-toi libre d’en faire ce que tu en veux, je ne suis pas un expert en serpents même si je les aime beaucoup, je me spécialise surtout dans tout ce qui concerne la médecine humaine… » Il tente un petit sourire, mais ça se voit qu’il n’a pas l’habitude. « Je m’appelle Marvin, en passant. »
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Re: and the snakes start to sing (pv. maximilien)
Mer 17 Avr 2024 - 16:40
Maximilien se demande franchement si son stress peut impacter gravement celui de Brian, avant d’en venir à la conclusion que... oui, bien évidemment ! Pourquoi celui-ci serait transférable sur un chat et pas sur un serpent, surtout une espèce que l’on sait aussi sujette ? Il se sent un peu ridicule de ne pas y avoir pensé, avant de mettre cette mauvaise impression de côté. Ce n’est pas en se plaignant de son sort qu’il rendra sa bonne santé à Brian. Il pensait pourtant tout savoir. C’est bien la preuve que non. Marvin l’aide beaucoup plus qu’il ne le croit et si ça ne tenait qu’à lui, il lui ferait une grande accolade pour le remercier. Sauf que les rapports humains ne fonctionnent pas de cette façon et qu’il est supposé se montrer respectueux du bien-être d’autrui.
« J’avoue que si je peux éviter le gavage, je préférerai... ça ne me met pas à l’aise et lui non plus, donc bon. Mais tes conseils m’éclairent beaucoup ! »
Il n’a jamais eu aucun mal à manifester sa reconnaissance et sa bonne humeur envers autrui. La gêne de Marvin est perceptible. Il ne la juge pas. D’ailleurs, Maximilien garde son corps pour lui et se contente d’un sourire en direction de l’autre sorcier.
« Je vais quand même consulter un spécialiste mais il est fort possible qu’il me dise la même chose que toi. T’as beau ne pas être un expert, ce que tu dis a du sens. »
Maximilien se gratte la nuque, surprit par le sourire de Marvin - il apprend son prénom à l’instant. Il se tourne un peu mieux vers lui pour lui faire face et se montrer un peu plus poli. Cette rencontre est peut-être étrange mais cela n’empêche pas le Français de faire preuve de bonne tenue, comme à l’accoutumée.
« Maximilien ! Mais tu peux m’appeler Max, c’est plus simple. Je crois. Quels autres serpents as-tu chez toi ? »
Il se racle la gorge avant d’ajouter, un peu gêné mais avec, dans les yeux, l’éclair de la passion et de l’intérêt.
« Tu crois que je pourrais venir les voir ? Tu me diras, je n’ai qu’à aller dans une réserve pour en voir mais bon... Désolé, tout ça sonne bizarre. »
Voilà, le ridicule frappe de nouveau à la porte de son esprit. De toute façon, ce n’est pas comme s’il avait le temps pour ça ! Il doit encore s’occuper de Brian et vérifier la théorie de Marvin sur sa santé.
@Marvin Moen
« J’avoue que si je peux éviter le gavage, je préférerai... ça ne me met pas à l’aise et lui non plus, donc bon. Mais tes conseils m’éclairent beaucoup ! »
Il n’a jamais eu aucun mal à manifester sa reconnaissance et sa bonne humeur envers autrui. La gêne de Marvin est perceptible. Il ne la juge pas. D’ailleurs, Maximilien garde son corps pour lui et se contente d’un sourire en direction de l’autre sorcier.
« Je vais quand même consulter un spécialiste mais il est fort possible qu’il me dise la même chose que toi. T’as beau ne pas être un expert, ce que tu dis a du sens. »
Maximilien se gratte la nuque, surprit par le sourire de Marvin - il apprend son prénom à l’instant. Il se tourne un peu mieux vers lui pour lui faire face et se montrer un peu plus poli. Cette rencontre est peut-être étrange mais cela n’empêche pas le Français de faire preuve de bonne tenue, comme à l’accoutumée.
« Maximilien ! Mais tu peux m’appeler Max, c’est plus simple. Je crois. Quels autres serpents as-tu chez toi ? »
Il se racle la gorge avant d’ajouter, un peu gêné mais avec, dans les yeux, l’éclair de la passion et de l’intérêt.
« Tu crois que je pourrais venir les voir ? Tu me diras, je n’ai qu’à aller dans une réserve pour en voir mais bon... Désolé, tout ça sonne bizarre. »
Voilà, le ridicule frappe de nouveau à la porte de son esprit. De toute façon, ce n’est pas comme s’il avait le temps pour ça ! Il doit encore s’occuper de Brian et vérifier la théorie de Marvin sur sa santé.
@Marvin Moen
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
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