- Ian McCavishΩ Valiant Knight With a Kind Heart Ω
- » parchemins postés : 300
» miroir du riséd : Chris Hemsworth
» crédits : (c)Morphine
» multinick : Nathan Tremblay
» âge : 38 ans
» situation : En couple avec Kerr Fraser
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Poudlard+Durmstrang : potions, botanique, métamorphose, sortilèges et défense contre les forces du Mal
Hungcalf : DCFM, Sortilèges et Métamorphose
Formation Auror : dissimulation et déguisement, filature et tapinois[/i]ㅡ options facultatives :▣ Poudlard+Durmstrang : Club de duels, étude des runes
Hungcalf : Étude des Runes, Potions
» profession : Chef d'équipe // Auror
» particularité : Capable de lancer des sorts sans baguette
» nature du sang : Sang pur
» gallions sous la cape : 502
Inventaire Sorcier
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[RP roulette] Dangerous Monsters in the Parking Lot
Lun 29 Jan 2024 - 18:37
Dangerous Monsters in the Parking Lot
I'm a vampire, How'd you find her? Like a gunshot in a parking lot, No one heard, no one saw, I did nothing wrong, nothing wrong
C’était un soir tranquille, le climat typique écossais régnait sur Iverness alors que le soleil avait laissé place à la Lune. En cette soirée de janvier, le froid fouettait les quelques courageux qui osaient sortir alors que les vents glaciaux battaient la Mer du Nord. Ian était sorti bien emmitouflé, armé d’un bonnet, d’une longue écharpe volumineuse qui faisait plusieurs fois le tour de son cou avant de plonger sous sa parka, de gants en cuir et de chaussures mi-hautes doublées de fourrure. L’Australo-écossais était juste allé chercher du tabac au supermarché du coin pour son chéri, qui terminait une grosse commande pour le lendemain. Ce fut alors tout naturellement que l’auror s’était proposé pour que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ait une chose de moins à gérer et qu’ils puissent passer plus de temps ensemble dans l’appartement du beau rouquin.
Arrivé à la caisse, le sorcier attendit patiemment son tour avant de demander au jeune homme la marque vers laquelle se tournait son botaniste quand il n’avait pas d’autres solutions. Il paya cash, saisit le paquet pour l’enfourner dans une des multiples poches de sa veste et prit le chemin de la sortie alors que la manager qui se trouvait à l’accueil annonçait la fermeture imminente du centre. Le chemin du retour se fit sans encombre, du moins ce fut ce que cru l’agent et chef de groupe qui s’arrêta net alors qu’il fit face à la porte d’entrée : sa main ne trouva ni clés, ni le fameux tabac pour pipe. Grommelant dans un australo-écossais des mots pas très charmants, il retourna sur ses pas pour aller chercher ce qu’il lui manquait – de toute façon, il n’avait pas le choix : il ne pouvait pas entrer sans le double des clés que lui avait donné l’ancien Gryffondor.
Arrivant sur le parking, du lobby, l’auror entendit cependant des bruits suspects, des sons qui n’avaient rien d’habituels ou de normaux pour des histoires moldues. Naturellement, il se prépara à lancer un sort pour intervenir en cas de nécessité ; il avait le don de pouvoir se passer de baguette magique contrairement à beaucoup de ses confrères sorciers. Puis il avança pour observer, sans se faire remarquer pour le moment.
Arrivé à la caisse, le sorcier attendit patiemment son tour avant de demander au jeune homme la marque vers laquelle se tournait son botaniste quand il n’avait pas d’autres solutions. Il paya cash, saisit le paquet pour l’enfourner dans une des multiples poches de sa veste et prit le chemin de la sortie alors que la manager qui se trouvait à l’accueil annonçait la fermeture imminente du centre. Le chemin du retour se fit sans encombre, du moins ce fut ce que cru l’agent et chef de groupe qui s’arrêta net alors qu’il fit face à la porte d’entrée : sa main ne trouva ni clés, ni le fameux tabac pour pipe. Grommelant dans un australo-écossais des mots pas très charmants, il retourna sur ses pas pour aller chercher ce qu’il lui manquait – de toute façon, il n’avait pas le choix : il ne pouvait pas entrer sans le double des clés que lui avait donné l’ancien Gryffondor.
Arrivant sur le parking, du lobby, l’auror entendit cependant des bruits suspects, des sons qui n’avaient rien d’habituels ou de normaux pour des histoires moldues. Naturellement, il se prépara à lancer un sort pour intervenir en cas de nécessité ; il avait le don de pouvoir se passer de baguette magique contrairement à beaucoup de ses confrères sorciers. Puis il avança pour observer, sans se faire remarquer pour le moment.
rainmaker
- Apsara ChankimhaOldieㄨ experimented wizard
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» situation : Célibataire
» année d'études : 3ème année
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Re: [RP roulette] Dangerous Monsters in the Parking Lot
Sam 3 Fév 2024 - 15:28
25 janvier 2024 ~ soirée
« Du calme, Spooky. Tu vas me faire tomber ! »
Apsara vouait un amour sans borne pour chaque créature qui croisait son chemin, qu’elle soit magique ou non. A ses yeux, chacune était terriblement différente de sa consœur et la charmait à sa façon. C’est ainsi qu’elle s’était naturellement tournée vers le petsitting peu de temps après sa première rentrée scolaire, à l’université. C’était une façon pour elle de joindre l’utile à l’agréable, lui permettant de prendre soin de petites et grosses bêtes tout en obtenant un petit pécule fort nécessaire suite à la rupture de vivre parentale. Vivre sur le campus lui permettait de se contenter de ces petits jobs et de les accorder à son planning de cours astreignant sans pénaliser ses entrainements. Est-ce qu’elle se montrait raisonnable et ne sélectionnait que des offres savamment étudiées ? Non. Pas toujours. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer, honnêtement ?
L’étudiante réussit à accrocher sa laisse au sujet principal de l’une de ses annonces. Spooky était un doberman plein de fougue, qui ne demandait qu’à sortir et se dépenser. La faute à son jeune âge et à un couple de sorciers en manque d’activité physique. Elle avait eu l’occasion de prendre soin de lui plus d’une fois et avait développer un lien particulier avec l’animal. Il reconnaissait ses pas avant qu’elle ne sonne à la porte et attendait impatiemment derrière que quelqu’un vienne lui ouvrir. Il déposait à ses pieds une myriade de jouet rongés jusqu’à l’os en guise d’offrande et tapait vigoureusement des pattes sur le carrelage jusqu’à ce qu’ils ne débutent la promenade. Il fallait au moins une bonne heure, ponctuée ci et là de temps de jeu et de courses à pied, pour réussir à canaliser l’animal. Heureusement pour ses maitres, ça n’effrayait en rien la sorcière. Au contraire, elle ne l’adorait que plus et ne voyait pas le temps passé, si ce n’est en levant le nez vers un ciel d’un noir d’encre. Mince alors. Elle jeta un coup d’œil à son smartphone avant de pousser un soupire qui attira l’attention du chien -comme chacun de ses actes, en fait.
« On va devoir rentrer mon grand. Il est vraiment tard… Hm… Tu sais quoi ? On va couper par là, ça te changera. »
Il jappa et se mit à tourner autour d’elle, ce qui ne manqua pas de la faire rire. Des fois, elle se demandait s’il n’était pas plus malin qu’il n’en avait l’air. Il donnait vraiment l’impression de comprendre ce qu’elle lui disait et cette idée n’était pas pour lui déplaire, même si elle avait conscience du ridicule de la chose.
L’étrange duo quitta bien vite la route principale, emprunta des chemins de traverses et foula du pied des ruelles plus étroites et tortueuses les unes que les autres. La journée, ces passages étaient tout à fait charmants. De la vigne vierge camouflait une partie de cette maison tandis que des pots peints au couleur de l’arc-en-ciel réchauffait l’atmosphère de la voisine. La nuit, en revanche… Ca n’avait rien à voir. Un frisson lui remontait le long de l’échine à mesure qu’elle avançait dans l’allée et elle était plus ou moins certaine que ce n’était pas uniquement due à sa nature frileuse. Son sentiment devait être partagé puisque Spooky avait soudainement arrêté de tirer sur sa laisse et redressait la tête, aux aguets. Okey… Tout ça, ce n’était que dans sa tête. N’est-ce pas ?
« ‘Lut ma jolie. Tu vas quelque part ? » Sérieusement ? Il se croyait dans une série américaine bas de gamme ou quoi ? La pokeby avait beau être de nature enjouée, un "petit rayon de soleil" aux yeux de certains, elle n’était clairement pas disposée à amuser la galerie.
« Oui. Bonne soirée. » Elle accéléra le pas et tenta de mettre le plus de distance entre eux, un pressentiment horrible lui tordant l’estomac. Et puis quoi encore. Elle n’était pas en sucre et avait affronté pire comme situation ! Qu’il se retrouve enfermée avec ses frères, ou pire encore, avec sa mère. Il verrait qu’elle n’avait rien à craindre d’une grande gueule comme ça. D’ailleurs, ce dernier venait d’avoir la bonne idée de lui attraper le bras.
« Te sauves pas. On peut discuter non ? Viens par là. »
La thaïlandaise leva le nez et tira d’un coup sec sur son bras, son épiderme la démangeant à son contact. Elle se tint droite, ne flancha en aucune façon. Digne fille de sa mère.
« Non, sans façon. J’aimerais mieux être ligotée sous un hippogriffe diarrhéique »
D’accord. Rien à voir avec l’attitude princière qu’elle s’était donnée quelques secondes plus tôt. Ses pupilles noires s’obscurcirent d’autant plus et elle décida de tourner les talons. C’était peut-être plus sage et… Par Merlin ! Qui avait-elle contrarié pour attirer autant de malchance ? Des silhouettes se dessinaient dans l’ombre de la ruelle voisine et les lumières du parking le plus proche lui paraissaient tout de suite beaucoup plus lointaines.
« Tu t’crois maline ? »
Un jappement plaintif se fit entendre. Le doberman venait d’être projeté contre une benne métallique, sous les yeux horrifiés de la sorcière. Qu-Quoi ? Non ! Une nouvelle lumière percuta le corps amorphe qui s’assoupit contre un sac d’ordure. Elle hurla, sans même s’en rendre compte. Non. Ce n’était pas possible ! Réfléchies. Réfléchis bordel ! Ce n’était pas mortel. Elle pouvait intervenir et fixer le plus gros. Il lui fallait juste se rapprocher et -Aïe. A son tour, elle venait d’être projetée dans un coin. Sa tête avait percuté le mur et des étincelles dansaient devant elle. Où est-ce qu’ils s’agissaient de baguette ? La peur s’insuffla dans ses veines et l’air de défi derrière lequel elle se cachait n’était plus. Elle n’avait rien d’une duelliste. Elle avait pour vocation de soigner son prochain, pas de lui infliger des blessures. Pourtant… Là, acculée contre les pierres, l’instinct la poussa à agir. Instinct ou mauvaises habitudes, tout dépend.
«Diffindo. » en guise de sommation.
Ça n’avait rien à avoir avec l’échange courtois qu’elle avait eu avec James pour le préparer au challenge. Si elle avait pris soin d’éviter les sorts qui avaient ponctués son enfance avec lui, il lui paraissait tout à fait naturel de leur en faire bénéficier. Chassez le naturel, il revient au galop. Le sorcier lui hurla quelque chose en se tenant la main -bien fait !, mais elle n’en entendit pas les propos. Un grondement terrible avait couvert sa voix au même moment, ce qui ne manqua pas de lui glacer le sang. Et puis quoi encore ?! Ses articulations se resserrèrent autour de sa baguette et elle se mit en garde, sans trop savoir contre quoi.
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« Du calme, Spooky. Tu vas me faire tomber ! »
Apsara vouait un amour sans borne pour chaque créature qui croisait son chemin, qu’elle soit magique ou non. A ses yeux, chacune était terriblement différente de sa consœur et la charmait à sa façon. C’est ainsi qu’elle s’était naturellement tournée vers le petsitting peu de temps après sa première rentrée scolaire, à l’université. C’était une façon pour elle de joindre l’utile à l’agréable, lui permettant de prendre soin de petites et grosses bêtes tout en obtenant un petit pécule fort nécessaire suite à la rupture de vivre parentale. Vivre sur le campus lui permettait de se contenter de ces petits jobs et de les accorder à son planning de cours astreignant sans pénaliser ses entrainements. Est-ce qu’elle se montrait raisonnable et ne sélectionnait que des offres savamment étudiées ? Non. Pas toujours. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer, honnêtement ?
L’étudiante réussit à accrocher sa laisse au sujet principal de l’une de ses annonces. Spooky était un doberman plein de fougue, qui ne demandait qu’à sortir et se dépenser. La faute à son jeune âge et à un couple de sorciers en manque d’activité physique. Elle avait eu l’occasion de prendre soin de lui plus d’une fois et avait développer un lien particulier avec l’animal. Il reconnaissait ses pas avant qu’elle ne sonne à la porte et attendait impatiemment derrière que quelqu’un vienne lui ouvrir. Il déposait à ses pieds une myriade de jouet rongés jusqu’à l’os en guise d’offrande et tapait vigoureusement des pattes sur le carrelage jusqu’à ce qu’ils ne débutent la promenade. Il fallait au moins une bonne heure, ponctuée ci et là de temps de jeu et de courses à pied, pour réussir à canaliser l’animal. Heureusement pour ses maitres, ça n’effrayait en rien la sorcière. Au contraire, elle ne l’adorait que plus et ne voyait pas le temps passé, si ce n’est en levant le nez vers un ciel d’un noir d’encre. Mince alors. Elle jeta un coup d’œil à son smartphone avant de pousser un soupire qui attira l’attention du chien -comme chacun de ses actes, en fait.
« On va devoir rentrer mon grand. Il est vraiment tard… Hm… Tu sais quoi ? On va couper par là, ça te changera. »
Il jappa et se mit à tourner autour d’elle, ce qui ne manqua pas de la faire rire. Des fois, elle se demandait s’il n’était pas plus malin qu’il n’en avait l’air. Il donnait vraiment l’impression de comprendre ce qu’elle lui disait et cette idée n’était pas pour lui déplaire, même si elle avait conscience du ridicule de la chose.
L’étrange duo quitta bien vite la route principale, emprunta des chemins de traverses et foula du pied des ruelles plus étroites et tortueuses les unes que les autres. La journée, ces passages étaient tout à fait charmants. De la vigne vierge camouflait une partie de cette maison tandis que des pots peints au couleur de l’arc-en-ciel réchauffait l’atmosphère de la voisine. La nuit, en revanche… Ca n’avait rien à voir. Un frisson lui remontait le long de l’échine à mesure qu’elle avançait dans l’allée et elle était plus ou moins certaine que ce n’était pas uniquement due à sa nature frileuse. Son sentiment devait être partagé puisque Spooky avait soudainement arrêté de tirer sur sa laisse et redressait la tête, aux aguets. Okey… Tout ça, ce n’était que dans sa tête. N’est-ce pas ?
« ‘Lut ma jolie. Tu vas quelque part ? » Sérieusement ? Il se croyait dans une série américaine bas de gamme ou quoi ? La pokeby avait beau être de nature enjouée, un "petit rayon de soleil" aux yeux de certains, elle n’était clairement pas disposée à amuser la galerie.
« Oui. Bonne soirée. » Elle accéléra le pas et tenta de mettre le plus de distance entre eux, un pressentiment horrible lui tordant l’estomac. Et puis quoi encore. Elle n’était pas en sucre et avait affronté pire comme situation ! Qu’il se retrouve enfermée avec ses frères, ou pire encore, avec sa mère. Il verrait qu’elle n’avait rien à craindre d’une grande gueule comme ça. D’ailleurs, ce dernier venait d’avoir la bonne idée de lui attraper le bras.
« Te sauves pas. On peut discuter non ? Viens par là. »
La thaïlandaise leva le nez et tira d’un coup sec sur son bras, son épiderme la démangeant à son contact. Elle se tint droite, ne flancha en aucune façon. Digne fille de sa mère.
« Non, sans façon. J’aimerais mieux être ligotée sous un hippogriffe diarrhéique »
D’accord. Rien à voir avec l’attitude princière qu’elle s’était donnée quelques secondes plus tôt. Ses pupilles noires s’obscurcirent d’autant plus et elle décida de tourner les talons. C’était peut-être plus sage et… Par Merlin ! Qui avait-elle contrarié pour attirer autant de malchance ? Des silhouettes se dessinaient dans l’ombre de la ruelle voisine et les lumières du parking le plus proche lui paraissaient tout de suite beaucoup plus lointaines.
« Tu t’crois maline ? »
Un jappement plaintif se fit entendre. Le doberman venait d’être projeté contre une benne métallique, sous les yeux horrifiés de la sorcière. Qu-Quoi ? Non ! Une nouvelle lumière percuta le corps amorphe qui s’assoupit contre un sac d’ordure. Elle hurla, sans même s’en rendre compte. Non. Ce n’était pas possible ! Réfléchies. Réfléchis bordel ! Ce n’était pas mortel. Elle pouvait intervenir et fixer le plus gros. Il lui fallait juste se rapprocher et -Aïe. A son tour, elle venait d’être projetée dans un coin. Sa tête avait percuté le mur et des étincelles dansaient devant elle. Où est-ce qu’ils s’agissaient de baguette ? La peur s’insuffla dans ses veines et l’air de défi derrière lequel elle se cachait n’était plus. Elle n’avait rien d’une duelliste. Elle avait pour vocation de soigner son prochain, pas de lui infliger des blessures. Pourtant… Là, acculée contre les pierres, l’instinct la poussa à agir. Instinct ou mauvaises habitudes, tout dépend.
«Diffindo. » en guise de sommation.
Ça n’avait rien à avoir avec l’échange courtois qu’elle avait eu avec James pour le préparer au challenge. Si elle avait pris soin d’éviter les sorts qui avaient ponctués son enfance avec lui, il lui paraissait tout à fait naturel de leur en faire bénéficier. Chassez le naturel, il revient au galop. Le sorcier lui hurla quelque chose en se tenant la main -bien fait !, mais elle n’en entendit pas les propos. Un grondement terrible avait couvert sa voix au même moment, ce qui ne manqua pas de lui glacer le sang. Et puis quoi encore ?! Ses articulations se resserrèrent autour de sa baguette et elle se mit en garde, sans trop savoir contre quoi.
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©eck
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Re: [RP roulette] Dangerous Monsters in the Parking Lot
Mar 9 Avr 2024 - 15:26
Dangerous Monsters in the Parking Lot
I'm a vampire, How'd you find her? Like a gunshot in a parking lot, No one heard, no one saw, I did nothing wrong, nothing wrong
Ca ne lui arrivait pas fréquemment mais il arrivait parfois que les choses que l’auror voulait ranger dans ses poches tombassent plutôt que de se loger en sécurité. Ce ne fut que lorsqu’il était arrivé devant la porte de Kerr que l’Australo-écossais remarqua que ça s’était passé pour ses clés ainsi que pour le tabac de son chéri. Se maudissant, car il aurait préféré rentrer se mettre au chaud et préparer une petite surprise à son homme, il rebroussa chemin pour rejoindre le parking du centre commercial où il avait du laisser tomber ses affaires. Quand on a pas de tête, on a des pieds ! Se répéta-t-il plusieurs fois avant de refaire mentalement le chemin qu’il avait fait depuis qu’il avait payé jusqu’à ce moment où il avait cru avoir protégé son achat et ses clés. La nuit était plutôt calme, certainement à cause du vent froid qui courait dans les rues. Depuis les trottoirs, le grand blond observait les fenêtres allumées, attrapant ainsi l’intimité des inconnus qui se dévoilait à ses yeux de façon totalement fortuite.
Puis après plusieurs minutes, il arriva enfin proche du parking. Mais à peine avait-il tendu l’oreille qu’il avait entendu des bruits alarmants, presque inaudibles, derrière des voix d’homme. Discrètement, il se dirigea vers les places de stationnement qui se trouvaient là où se passait l’action. Il ne fallut pas beaucoup pour titiller le Chevalier blanc qui dormait en Ian : une demoiselle en détresse qui se faisait attaquer par des gaillards. Cependant, son sens du danger lui disait de rester sur ses gardes car il se doutait que quelque chose d’autre se tramait et que soit ces couillons machistes n’étaient pas venus seuls, soit eux-mêmes étaient suivis par quelqu’un ou quelque chose. Dès lors que les agresseurs sortirent leurs baguettes et envoyèrent valdinguer le chien et la demoiselle dans la même direction, l’auror dégaina à son tour la sienne avant de sortir de sa cachette pour intervenir et détourner leur attention de leur victime.
- Alors Messieurs, on s’attaque à plusieurs contre une seule personne ? Vous ne trouvez pas que c’est un peu déloy…
L’auror n’eut cependant pas le temps de terminer sa phrase qu’un grondement était venu le couper dans son action héroïque de la journée. Deux énormes bêtes sortirent des ombres et sautèrent au cou des racailles. L’un réussit à esquiver mais l’autre n’eut aucun réflexe et se retrouvait à se faire déchiqueter la gorge alors que son sang se mit à couler abondement autour de son corps sans vie. L’adrénaline venait de monter d’un cran dans le corps d’Ian alors que tout son être ne criait qu’un seul mot : danger.
Il n’eut pas besoin de regarder dans le ciel pour voir que la Lune était pleine. Les deux bêtes qui avaient attaqué étaient des loups-garous. Les deux survivants attirèrent l’attention de celui qui avait manqué sa cible, Ian en profita pour regarder dans la direction de la jeune fille qu’il vit toujours allongée par terre. Ni une, ni deux, il la rejoignit le plus rapidement possible sans attirer l’attention des monstres. Une fois à sa hauteur, il remarqua qu’elle n’était au moins pas inconsciente, ce qui le soulagea ; il était beaucoup plus difficile de ressortir gagnant d’un combat contre des monstres lorsque l’on devait en même temps prendre soin de protéger une victime inerte.
- Vous pouvez bouger ? Faites le moins de bruit possible… Il ne faut pas attirer leur attention… Commença-t-il avant de rapidement tourner le visage pour voir que pour le moment, le lycanthrope le plus proche d’eux était encore occupé sur le cadavre et que le deuxième avait commencé à poursuivre les deux autres racailles qui courraient pour tenter d’échapper à leur prédateur. Venez, je vais vous aider, accrochez-vous à mon épaule… Continua-t-il, n’ayant pas du tout remarqué le chien qui gisait à quelques pas d’eux, inconscient.
Puis après plusieurs minutes, il arriva enfin proche du parking. Mais à peine avait-il tendu l’oreille qu’il avait entendu des bruits alarmants, presque inaudibles, derrière des voix d’homme. Discrètement, il se dirigea vers les places de stationnement qui se trouvaient là où se passait l’action. Il ne fallut pas beaucoup pour titiller le Chevalier blanc qui dormait en Ian : une demoiselle en détresse qui se faisait attaquer par des gaillards. Cependant, son sens du danger lui disait de rester sur ses gardes car il se doutait que quelque chose d’autre se tramait et que soit ces couillons machistes n’étaient pas venus seuls, soit eux-mêmes étaient suivis par quelqu’un ou quelque chose. Dès lors que les agresseurs sortirent leurs baguettes et envoyèrent valdinguer le chien et la demoiselle dans la même direction, l’auror dégaina à son tour la sienne avant de sortir de sa cachette pour intervenir et détourner leur attention de leur victime.
L’auror n’eut cependant pas le temps de terminer sa phrase qu’un grondement était venu le couper dans son action héroïque de la journée. Deux énormes bêtes sortirent des ombres et sautèrent au cou des racailles. L’un réussit à esquiver mais l’autre n’eut aucun réflexe et se retrouvait à se faire déchiqueter la gorge alors que son sang se mit à couler abondement autour de son corps sans vie. L’adrénaline venait de monter d’un cran dans le corps d’Ian alors que tout son être ne criait qu’un seul mot : danger.
Il n’eut pas besoin de regarder dans le ciel pour voir que la Lune était pleine. Les deux bêtes qui avaient attaqué étaient des loups-garous. Les deux survivants attirèrent l’attention de celui qui avait manqué sa cible, Ian en profita pour regarder dans la direction de la jeune fille qu’il vit toujours allongée par terre. Ni une, ni deux, il la rejoignit le plus rapidement possible sans attirer l’attention des monstres. Une fois à sa hauteur, il remarqua qu’elle n’était au moins pas inconsciente, ce qui le soulagea ; il était beaucoup plus difficile de ressortir gagnant d’un combat contre des monstres lorsque l’on devait en même temps prendre soin de protéger une victime inerte.
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Re: [RP roulette] Dangerous Monsters in the Parking Lot
Mer 10 Avr 2024 - 14:51
Apsara ne voulait pas quitter les sorciers des yeux un seul instant. Elle n’était pas une duelliste, n’en avait ni le talent inné, ni les compétences. En revanche, elle savait. Elle avait appris à ne jamais tourner le dos à l’ennemi et à s’attendre au pire, de façon à être le moins déstabilisée possible. Facile à dire, dur à appliquer. Sa vision se floutait par instant et lui donnait une folle envie de se frotter les paupières du revers de la manche. Le choc à la tête l’avait sonné, mais au moins elle n’avait pas perdu conscience. Elle avait bien un goût de fer au fond de la gorge mais rien de bien méchant. Rien qui ne puisse la détourner de son objectif, en tout cas. Un rapide mouvement du poignet, comme mue par l’instinct, se chargea de trancher net les chaires de l’un de ses agresseurs. Peut-être aurait-elle dû avoir de la peine ? Se sentir coupable de prendre plaisir à avoir réussi à blesser son prochain, elle qui souhaitait devenir médicomage ? Encore fallait-il qu’une petite voix moralisatrice vienne le lui souffler à l’oreille… Ou le lui hurler, histoire de couvrir celle de sa mère qui la hantait dès qu’elle se sentait acculée.
Un grognement couvrit l’intervention d’un inconnu. Chevalier blanc ou énième problème ? Pas le temps de s’épancher sur son cas que deux énormes créatures vinrent se jeter sur l’un des sorciers. L’attaque se passa à une vitesse folle et pourtant, elle eut l’impression de voir les secondes ralentir comme par magie. L’œil brun s’accrocha à la gorge de la victime. L’oreille entendit une étrange symphonie, mêlant craquement d’os et borborisme. Un cri horrifié se répercuta contre les murs de la ruelle, sans qu’elle n’en détermine immédiatement l’origine. L’homme ? Non. Même s’il s’agissait encore, il n’était plus capable d’émettre aucun son. Elle ? Non plus. Ses cordes vocales s’étaient tétanisées, à l’image de ses muscles. Ses mains s’étaient si vivement plaquées sur sa bouche que rien n’aurait pu en sortir. C’était un miracle que sa baguette tienne encore entre son index et son majeur. Chance du débutant ou reliquat de volonté, aller savoir.
Une silhouette massive lui fit de l’ombre, s’interposant entre elle et les faibles rayons lunaires. Impossible de la regarder, si ce n’est de côté. Toute son attention était absorbée par les deux loups-garous qui œuvraient devant elle. Deux ! Rien que ça. Que se passerait-il si le deuxième ratait encore son coup ? Quand le deuxième lâcherait le corps poisseux et sans vie ? Elle était une cible facile. Elle devait bouger, coûte que coûte.
Apsara hocha la tête à l’intention de la Montagne qui se tenait à côté d’elle. Pouvoir ? En avait-elle seulement le choix ? Elle devait se tirer de là et fissa. Elle ramassa ses jambes contre elle, poussa fort dessus malgré le tremblement évident et… S’écroula. Foutu vertige !. Et en plus, elle commençait à avoir la nausée… Elle passa une main à l’arrière de son crâne, grimaça sous l’effet de la douleur puis porta ses doigts à son visage. Et merde ! Elle partait avec une belle commotion là, et impossible de se soigner correctement dans ses conditions. Elle risquerait même d’empirer la situation.
« Merci mons-Oh non. Spooky ! »
Son cœur. C’était une des raisons pour lesquelles elle était le maillon faible du clan. La risée, même. Facilement manipulable, il n’était pas difficile d’en jouer pour qui sait correctement tirer les ficelles. Menacer de punir un innocent pour la faire rentrer dans les rangs ? Efficace. La lacérer et la réparer, encore et encore ? Aucune conséquence, si ce n’est une âme d’autant plus fragilisée. A peine redressée, Apsara cessa de s’appuyer sur l’épaule bienveillante et tenta de rejoindre le chien prostré plus loin. Elle devait au moins s’assurer qu’il pouvait fuir et peut-être qu’alors…
La thaïlandaise sursauta en voyant l’une des créatures s’en approcher. Non. NON ! Ils ne s’intéressaient pas aux autres créatures. C’était un fait. Elle l’avait lu quelque part et… Pourquoi est-ce qu’il reniflait la base de son cou ? Elle devait faire quelque chose. N’importe quoi ! Défendre ses confrères, bien qu’infames ? Jamais. Elle aurait même profité du spectacle honteusement, si elle l’avait pu. Perdre une douce âme, un ami, qu’elle avait sous sa garde ? Non. Hors de question. Sens des priorités à revoir lui dirait l’un de ses frères.
Baguette en main, la sorcière invoqua une flammèche qui vint lécher le sol jusqu’à séparer les deux canidés. Evidemment, ça énerva d’autant plus le loup qui n’avait toujours rien pu se mettre sous la dent.
Un grognement couvrit l’intervention d’un inconnu. Chevalier blanc ou énième problème ? Pas le temps de s’épancher sur son cas que deux énormes créatures vinrent se jeter sur l’un des sorciers. L’attaque se passa à une vitesse folle et pourtant, elle eut l’impression de voir les secondes ralentir comme par magie. L’œil brun s’accrocha à la gorge de la victime. L’oreille entendit une étrange symphonie, mêlant craquement d’os et borborisme. Un cri horrifié se répercuta contre les murs de la ruelle, sans qu’elle n’en détermine immédiatement l’origine. L’homme ? Non. Même s’il s’agissait encore, il n’était plus capable d’émettre aucun son. Elle ? Non plus. Ses cordes vocales s’étaient tétanisées, à l’image de ses muscles. Ses mains s’étaient si vivement plaquées sur sa bouche que rien n’aurait pu en sortir. C’était un miracle que sa baguette tienne encore entre son index et son majeur. Chance du débutant ou reliquat de volonté, aller savoir.
Une silhouette massive lui fit de l’ombre, s’interposant entre elle et les faibles rayons lunaires. Impossible de la regarder, si ce n’est de côté. Toute son attention était absorbée par les deux loups-garous qui œuvraient devant elle. Deux ! Rien que ça. Que se passerait-il si le deuxième ratait encore son coup ? Quand le deuxième lâcherait le corps poisseux et sans vie ? Elle était une cible facile. Elle devait bouger, coûte que coûte.
Apsara hocha la tête à l’intention de la Montagne qui se tenait à côté d’elle. Pouvoir ? En avait-elle seulement le choix ? Elle devait se tirer de là et fissa. Elle ramassa ses jambes contre elle, poussa fort dessus malgré le tremblement évident et… S’écroula. Foutu vertige !. Et en plus, elle commençait à avoir la nausée… Elle passa une main à l’arrière de son crâne, grimaça sous l’effet de la douleur puis porta ses doigts à son visage. Et merde ! Elle partait avec une belle commotion là, et impossible de se soigner correctement dans ses conditions. Elle risquerait même d’empirer la situation.
« Merci mons-Oh non. Spooky ! »
Son cœur. C’était une des raisons pour lesquelles elle était le maillon faible du clan. La risée, même. Facilement manipulable, il n’était pas difficile d’en jouer pour qui sait correctement tirer les ficelles. Menacer de punir un innocent pour la faire rentrer dans les rangs ? Efficace. La lacérer et la réparer, encore et encore ? Aucune conséquence, si ce n’est une âme d’autant plus fragilisée. A peine redressée, Apsara cessa de s’appuyer sur l’épaule bienveillante et tenta de rejoindre le chien prostré plus loin. Elle devait au moins s’assurer qu’il pouvait fuir et peut-être qu’alors…
La thaïlandaise sursauta en voyant l’une des créatures s’en approcher. Non. NON ! Ils ne s’intéressaient pas aux autres créatures. C’était un fait. Elle l’avait lu quelque part et… Pourquoi est-ce qu’il reniflait la base de son cou ? Elle devait faire quelque chose. N’importe quoi ! Défendre ses confrères, bien qu’infames ? Jamais. Elle aurait même profité du spectacle honteusement, si elle l’avait pu. Perdre une douce âme, un ami, qu’elle avait sous sa garde ? Non. Hors de question. Sens des priorités à revoir lui dirait l’un de ses frères.
Baguette en main, la sorcière invoqua une flammèche qui vint lécher le sol jusqu’à séparer les deux canidés. Evidemment, ça énerva d’autant plus le loup qui n’avait toujours rien pu se mettre sous la dent.
©eck
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