- Zooey de CornouillerOldieㄨ experimented wizard
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» crédits : gif gcwh
» âge : 19 ans
» situation : celibataire
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★ medicomagie appliquee
★ potions
★ metamorphose
★ botanique
★ arts sceniques
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» profession : serveuse à la Moufette enchantée
» nature du sang : mère vélane et père (sang pur) inconnu.
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MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Mer 7 Fév 2024 - 10:42
07.02.2024
MÍA. ¡Será MÍA!
feat. @Maximilien Leroy
Contexte de la loterie rp ; vous faîtes la queue à la moufette enchantée un dimanche matin de bonne heure dans l'espoir de goûter enfin à leur nouveau brownie aux noix de pécan et aux yeux de salamandre séchés, une tuerie parait-il ! Sauf qu'il n'en reste plus qu'un et que vous êtes deux à vraiment le vouloir...
La faim qui me tenaille, la file d'attente devant l’endroit s'étire, composée de lève tôt cherchant refuge dans les délices sucrés. J’en lâche un juron sonore « Chinga tu madre ! ». Quelques regards se tourne vers moi et ma grande gueule, le lâche un majeur en l’air avec un sourire éclatant. Les effluves alléchants ajoutent une note exaltante à l'air matinal, et dans pas très longtemps je vais avoir un filet de bave digne des cartoons de mon enfance qui passais sur le téléviseur défoncé de ma grand-mère.
La tentation grandit à mesure que je m'approche du comptoir. La promesse du brownie aux noix de pécan et aux yeux de salamandre séchés résonne comme une incantation jouïssive. La sorcière, d'un geste habile, dévoile la délicieuse pâtisserie qui captive tous les regards, ou au moins le miens. Les noix de pécan trônent fièrement, tandis que les yeux de salamandre séchés ajoutent une touche exotique à cette œuvre culinaire. L'anticipation monte, mon estomac réclame sa part de ce festin envoûtant en s’exprimant bruyament.
La sorcière à la coiffure impressionnante, gardienne de ce repair, sert les pâtisseries et douceurs sucrés, acceuillant les clients de sa voix haut perchée. Si elle pouvait ne pas prendre une demi-heure par tête, ça m’arrangerait. Et dans mon impatience, on peut remarquer un début d’agacement quand je tapotte du pied par terre, les bras croisés sur ma poitrine. Le comptoir dévoile un éventail de mets alléchants, mais mes yeux sont rivés sur le saint graal.
Le suspense atteint son paroxysme lorsque la sorcière présente le brownie aux noix de pécan et aux yeux de salamandre séchés à une personne avant moi. Mon estomac émet un grondement impatient alors que je contemple cette œuvre culinaire avec les yeux pétillant de désir. D'un geste presque rituel, la sorcière découpe une part généreuse du brownie mystique et la place délicatement devant trou du cul numéro quarante-deux. Et là ? C’est le drame. Je remarque que c’est l’avant dernière part. Et que j’ai encore au moins deux personnes à passer avant moi. Un risque que je ne peux pas me permettre de prendre ! Oh rage ! Oh désespoir !
- J’vais l'prendre !
Pas bonjour, pas s’il vous plait, pas merci, pas merde. Juste mon bras qui se lève dans les airs en frôlant l’un, pendant que je me hisse pour dépasser celui devant moi en le bousculant sans grand ménagement. Faut dire que je suis aveugle à tout ce qui ne risque pas finir dans mon estomac présentement. Sorry, not sorry ?
---
Le dimanche matin se lève après une nuit tumultueuse, marquée par une consommation généreuse de cannabis et d’alcool. Mes pas m'entraînent dans les rues avec une énergie oscillant entre euphorie et léthargie, tandis que les vestiges d'une soirée arrosée sont visibles sur mon visage, mon maquillage coulant comme les derniers souvenirs d'une fête qui s'est prolongée jusqu'à l'aube. Mes vêtements froissés, témoins muets de l'activité intense qui a rythmé la nuit, affichent un style "bling bling" d'une vulgarité assumée. Des couleurs criardes, des accessoires tape-à-l'œil, je me déplace dans la ville comme une étoile filante au firmament de la décadence. La destination de cette aventure matinale est "La Moufette Enchantée", un salon de thé dans le village qui ne m’a jamais attirée. La rumeur d'un nouveau brownie aux noix de pécan et aux yeux de salamandre séchés a attiré mon attention quand on en à parler en long, large et en travers lors du « zonage » des survivants de la nuit. La faim qui me tenaille, la file d'attente devant l’endroit s'étire, composée de lève tôt cherchant refuge dans les délices sucrés. J’en lâche un juron sonore « Chinga tu madre ! ». Quelques regards se tourne vers moi et ma grande gueule, le lâche un majeur en l’air avec un sourire éclatant. Les effluves alléchants ajoutent une note exaltante à l'air matinal, et dans pas très longtemps je vais avoir un filet de bave digne des cartoons de mon enfance qui passais sur le téléviseur défoncé de ma grand-mère.
La tentation grandit à mesure que je m'approche du comptoir. La promesse du brownie aux noix de pécan et aux yeux de salamandre séchés résonne comme une incantation jouïssive. La sorcière, d'un geste habile, dévoile la délicieuse pâtisserie qui captive tous les regards, ou au moins le miens. Les noix de pécan trônent fièrement, tandis que les yeux de salamandre séchés ajoutent une touche exotique à cette œuvre culinaire. L'anticipation monte, mon estomac réclame sa part de ce festin envoûtant en s’exprimant bruyament.
La sorcière à la coiffure impressionnante, gardienne de ce repair, sert les pâtisseries et douceurs sucrés, acceuillant les clients de sa voix haut perchée. Si elle pouvait ne pas prendre une demi-heure par tête, ça m’arrangerait. Et dans mon impatience, on peut remarquer un début d’agacement quand je tapotte du pied par terre, les bras croisés sur ma poitrine. Le comptoir dévoile un éventail de mets alléchants, mais mes yeux sont rivés sur le saint graal.
Le suspense atteint son paroxysme lorsque la sorcière présente le brownie aux noix de pécan et aux yeux de salamandre séchés à une personne avant moi. Mon estomac émet un grondement impatient alors que je contemple cette œuvre culinaire avec les yeux pétillant de désir. D'un geste presque rituel, la sorcière découpe une part généreuse du brownie mystique et la place délicatement devant trou du cul numéro quarante-deux. Et là ? C’est le drame. Je remarque que c’est l’avant dernière part. Et que j’ai encore au moins deux personnes à passer avant moi. Un risque que je ne peux pas me permettre de prendre ! Oh rage ! Oh désespoir !
- J’vais l'prendre !
Pas bonjour, pas s’il vous plait, pas merci, pas merde. Juste mon bras qui se lève dans les airs en frôlant l’un, pendant que je me hisse pour dépasser celui devant moi en le bousculant sans grand ménagement. Faut dire que je suis aveugle à tout ce qui ne risque pas finir dans mon estomac présentement. Sorry, not sorry ?
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Dim 11 Fév 2024 - 17:53
Il lui semble parfois que Peter ressemble à ce stéréotype des femmes enceintes que l’on voit dans les films moldus. Il lui arrive d’avoir des envies culinaires qui ne s’expliquent pas. Il y serait bien allé lui-même – lui avait-il dit avec des yeux langoureux – s’il n’était pas un peu malade et que quitter le lit lui demandait un douloureux effort. Bien sûr. Et Maximilien, en homme fondamentalement trop gentil, n’a pas pu lui dire non. Après tout, Peter avait un peu de fièvre la veille qui n’a pas totalement disparue et si un bout de brownie peut lui faire plaisir, pourquoi le lui refuser ? Mais pas n'importe quel brownie, lui avait-il précisé. Un brownie spécial, une nouvelle création de la Moufette Enchantée dont on lui parlait depuis un certain temps et qu’il mourrait d’envie de goûter. Là, aujourd’hui. A sept heures du matin.
Alors Maximilien s’était couvert pour sortir dans le froid mordant. Echarpe et bonnet en place, un manteau bien confortable protégeant son corps des températures écossaises, il avait pressé le pas jusqu’à la Moufette Enchantée où, désormais, il attend en ligne que vienne son tour. Un monde fou. Trop de monde, même. La queue devant lui de finit pas et il choisit de passer outre les râlements de la personne derrière lui. Y répondre ne servirait à rien. Ce que les gens peuvent être désagréables de si bon matin, surtout pour des pâtisseries ! Et après on dit des parisiens… Maximilien sort son téléphone et envoie une preuve à son amoureux qu’il est bien en position et lui assure qu’il lui ramènera son dû. Si la pâtisserie avait été pour lui, le Français aurait eu tôt fait de lâcher l’affaire. Patienter trente minutes pour un bout de nourriture n’est pas son genre. Mais c’est Peter et il a envie de lui faire plaisir, donc bon… Un petit effort quoi.
Maximilien relève la tête de son écran en entendant râler encore plus fort. Il constate qu’à avancer sans y réfléchir, il n’y a désormais plus qu’une personne devant lui et deux parts restantes. Chouette, se dit-il, content de pouvoir ramener ce qu’il est venu chercher. Mais c’est sans compter la rudesse de la femme derrière lui qui le bouscule pour lui passer devant comme si elle n’avait pas mangé depuis douze jours.
« Eh ! Il y a une ligne, ce n’est pas pour rien. On ne vous a jamais appris la politesse ? Bonjour, merci ? C’est une vendeuse, pas votre chien ! »
Le Français n’est pas connu pour s’énerver si vite mais il faut dire qu’il est tôt, qu’il en a marre, que ses jambes le tirent et qu’il est particulièrement dégoûté de se faire passer devant par une personne aussi malpolie. Encore une fois, avec un peu de politesse et si le brownie était pour lui, il aurait laissé couler et aurait tenté sa chance un autre jour. Mais pas là. Pas cette fois. Aussi bête que ce soit, Peter compte sur lui et il ne veut pas le décevoir. Alors il joue des épaules et reprend sa position initiale, se mettant dos à la jeune femme.
« Bonjour, votre dernière part de brownie noix de pécan et yeux de salamandre séchés s’il-vous-plaît. »
Quel naïf de croire qu’il s’en tirerait si bien.
@Rebeka Velazquez
Alors Maximilien s’était couvert pour sortir dans le froid mordant. Echarpe et bonnet en place, un manteau bien confortable protégeant son corps des températures écossaises, il avait pressé le pas jusqu’à la Moufette Enchantée où, désormais, il attend en ligne que vienne son tour. Un monde fou. Trop de monde, même. La queue devant lui de finit pas et il choisit de passer outre les râlements de la personne derrière lui. Y répondre ne servirait à rien. Ce que les gens peuvent être désagréables de si bon matin, surtout pour des pâtisseries ! Et après on dit des parisiens… Maximilien sort son téléphone et envoie une preuve à son amoureux qu’il est bien en position et lui assure qu’il lui ramènera son dû. Si la pâtisserie avait été pour lui, le Français aurait eu tôt fait de lâcher l’affaire. Patienter trente minutes pour un bout de nourriture n’est pas son genre. Mais c’est Peter et il a envie de lui faire plaisir, donc bon… Un petit effort quoi.
Maximilien relève la tête de son écran en entendant râler encore plus fort. Il constate qu’à avancer sans y réfléchir, il n’y a désormais plus qu’une personne devant lui et deux parts restantes. Chouette, se dit-il, content de pouvoir ramener ce qu’il est venu chercher. Mais c’est sans compter la rudesse de la femme derrière lui qui le bouscule pour lui passer devant comme si elle n’avait pas mangé depuis douze jours.
« Eh ! Il y a une ligne, ce n’est pas pour rien. On ne vous a jamais appris la politesse ? Bonjour, merci ? C’est une vendeuse, pas votre chien ! »
Le Français n’est pas connu pour s’énerver si vite mais il faut dire qu’il est tôt, qu’il en a marre, que ses jambes le tirent et qu’il est particulièrement dégoûté de se faire passer devant par une personne aussi malpolie. Encore une fois, avec un peu de politesse et si le brownie était pour lui, il aurait laissé couler et aurait tenté sa chance un autre jour. Mais pas là. Pas cette fois. Aussi bête que ce soit, Peter compte sur lui et il ne veut pas le décevoir. Alors il joue des épaules et reprend sa position initiale, se mettant dos à la jeune femme.
« Bonjour, votre dernière part de brownie noix de pécan et yeux de salamandre séchés s’il-vous-plaît. »
Quel naïf de croire qu’il s’en tirerait si bien.
@Rebeka Velazquez
il est libre max
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Re: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Dim 11 Fév 2024 - 22:42
07.02.2024
MÍA. ¡Será MÍA!
feat. @Maximilien Leroy
Sauvage ? Moi ? Parfois. Sans gêne, il parait. Mais c’est souvent le cas quand on a passé son enfance à se battre à coup de poing, ou bien en arrachant la moitié d’un visage à coup d’ongle trop long en résine. Le pire dans tout ça ? Je suis plus gonfflé d’en cassée un que d’entendre geindre la personne en face. Faut croire que même dans un climat un peu plus « paisible » il va me falloir un peu plus que quelques mois d’adaptation pour pas avoir l’impression que la moindre envie doit être défendu avec la rudesse d’un Eruptif en rut ou bien la violence d’un Grapcorn devant une grosse cuisse juteuse de Jobarbille. D’ailleurs le mec derrière – devant (sur les côtés ? C’est que ça bouge !) - moi a pas l’air de se laisser faire avec son museau levé et sa petite remarque qui étire une moue sur mon visage, lèvres pincées quand je passe la langue contre ma joue avec agacement en lançant un regard noir, très noir à son écharpe -nuque-. Chinga tu madre ! C’est MON brownie Pendejo !
- Chupa mi pito.
Insulte sifflée bien bas entre mes lèvres, dépassant ma pensée pour s’élever dans les airs. Mes yeux roulent dans leurs orbites. En plus il insiste bien le culero, « la DERNIERE part ». J’ai deux choix, là, concrètement. Du moins, c’est les seuls que mon esprit encore embrumé, moitié alcoolisé et pas tout à fait redescendu est capable d’imaginé. Sois-je fait ma victime parce que part ici c’est des sacré sensible. Soit j’y vais façon vol à la tire, ni vu, ni connu j’t’embrouille et j’prends la poudre d’escampette en suivant. Evaluation de la situation. Y’a des gens derrière qui sont arrivé après moi. Potentiellement la vielle en tête de ligne risque de finir le cul par terre si j’me la joue façon rugbyman. Faudrait voir à pas lui déplacer la hanche, ça ne serait pas ouf pour mon karma. On tente l’approche plus douce ? Je ne sais pas si mon égo va supporter. Remarque ils ne doivent pas trop connaître les télénovela par ici, en un sens j’apporte d’la culture ? ça c’est bien pour le karma, nan ? Nan, j’essai juste de me convaincre. C’est que j’en ai VRAIMENT putain d’envie de ce brownie de mes deux (ovaires).
Et le temps que j’me décide ? J’ai la fenêtre qui va vite se refermer parce que la boulangère n’est quand même pas à la vitesse d’un Veracrasse. Vas-y ça m’soule ! Je n’ai pas trop l’élégance d’un Abraxan quand je tourne les talons et me rue vers la porte en arrachant presque la cloche en passant. Vous en faites pas, la vielle à rien, j’lai esquivée. Ça sera option numéro trois : attendre qu’il sorte et lui tiré des mains ! Avec option lui faire les poches si j’ai l’ouverture pour… Reste plus qu’à attendre adosser au mur à côté de la porte, bras croisée, tête baissée, clope collé entre mes dents et allumée à la grâce d’un zippo. Et dès qu’il pointera le bout de son nez ? Un pas, deux pas, trois pas, et j’lui tomberais bien dessus en mode arrachage de sac de petite vielle. Quoi ? Faut s’qu’il faut ! J'ai oublié de me rappeler que j'étais plus une gosse des rues.
- Chupa mi pito.
Insulte sifflée bien bas entre mes lèvres, dépassant ma pensée pour s’élever dans les airs. Mes yeux roulent dans leurs orbites. En plus il insiste bien le culero, « la DERNIERE part ». J’ai deux choix, là, concrètement. Du moins, c’est les seuls que mon esprit encore embrumé, moitié alcoolisé et pas tout à fait redescendu est capable d’imaginé. Sois-je fait ma victime parce que part ici c’est des sacré sensible. Soit j’y vais façon vol à la tire, ni vu, ni connu j’t’embrouille et j’prends la poudre d’escampette en suivant. Evaluation de la situation. Y’a des gens derrière qui sont arrivé après moi. Potentiellement la vielle en tête de ligne risque de finir le cul par terre si j’me la joue façon rugbyman. Faudrait voir à pas lui déplacer la hanche, ça ne serait pas ouf pour mon karma. On tente l’approche plus douce ? Je ne sais pas si mon égo va supporter. Remarque ils ne doivent pas trop connaître les télénovela par ici, en un sens j’apporte d’la culture ? ça c’est bien pour le karma, nan ? Nan, j’essai juste de me convaincre. C’est que j’en ai VRAIMENT putain d’envie de ce brownie de mes deux (ovaires).
Et le temps que j’me décide ? J’ai la fenêtre qui va vite se refermer parce que la boulangère n’est quand même pas à la vitesse d’un Veracrasse. Vas-y ça m’soule ! Je n’ai pas trop l’élégance d’un Abraxan quand je tourne les talons et me rue vers la porte en arrachant presque la cloche en passant. Vous en faites pas, la vielle à rien, j’lai esquivée. Ça sera option numéro trois : attendre qu’il sorte et lui tiré des mains ! Avec option lui faire les poches si j’ai l’ouverture pour… Reste plus qu’à attendre adosser au mur à côté de la porte, bras croisée, tête baissée, clope collé entre mes dents et allumée à la grâce d’un zippo. Et dès qu’il pointera le bout de son nez ? Un pas, deux pas, trois pas, et j’lui tomberais bien dessus en mode arrachage de sac de petite vielle. Quoi ? Faut s’qu’il faut ! J'ai oublié de me rappeler que j'étais plus une gosse des rues.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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» situation : en couple
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» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Mer 14 Fév 2024 - 18:57
Il fronce les sourcils. Ses connaissances en espagnol sont limitées et il ne connait pas cette expression-là. Mais pas besoin de cela pour en comprendre la signification profonde. C’est une insulte, tout bonnement et cela correspond au personnage dans son ensemble. Ne pas savoir s’exprimer autrement que par l’attaque verbale ou physique est navrant pour le Français. Il comprend alors que la discussion ne sera pas aisée, voire nulle. On ne parlemente pas avec un boursouf…
Mais c’est encore mieux quand le boursouf en question ne demande pas son reste et s’en va de lui-même. Maximilien trouve cette résolution presque trop aisée. D’ordinaire, il aurait fait appel à sa positivité pour se dire qu’elle avait compris son manque de considération et évalué la grossièreté de son comportement, et que cette fuite vers l’arrière était sa façon de s’excuser. Aujourd’hui, il est plus suspect. Allez savoir pourquoi. Cela ne l’empêche pas de remercier la vendeuse comme il se doit, d’un sourire sensiblement mignon et sincère. Elle lui glisse la part dans un sac hermétique, puis un autre en carton. N’étant pas venu les mains vides, Maximilien glisse la pâtisserie dans son sac à dos, bien à plat tout au fond pour ne pas qu’il arrive en miettes au cottage, puis remercie les employés. Sur son chemin vers la sortie, il prend même le temps de saluer quelques têtes, par simple politesse.
Le voilà dehors, satisfait de sa réussite. Peter sera content tiens ! Et rien n’est plus important que ça au final. La porte ne s’est même pas refermée que, dans le coin de son œil gauche, il repère la silhouette de la grossière femme. Il se tourne vers elle, un peu méfiant il est vrai mais pas totalement non plus. Rappelons que le gus croit en la bonté de l’âme et qu’elle lui joue souvent des tours… Et parce qu’il est en tous points bien trop gentil, la méfiance se transforme en culpabilité. Quelle connerie tiens… Ne pourrait-il pas, comme tous les autres, ne penser qu’à sa gueule de temps à autres ?
« Je suis désolé que tu n’en ai pas eu, vraiment. Dans d’autres circonstances je t’aurais sûrement laissé faire mais aujourd’hui, je ne peux pas rentrer sans. Ce qu’on ferait pas pour ceux qu’on aime, hein ? »
Il essaye d’attirer la sympathie, doute pourtant d’y parvenir. Maximilien ne sait jamais vraiment comment aborder les personnalités hostiles. Elle pourrait tout aussi bien le tabasser pour récupérer son sac qu’il ne le verrait pas venir. Sûrement aurait-il quelques réflexes hérités de ses entraînements avec Charles ou au club de duel, mais le reste de sa personne se trouverait franchement surpris par un tel geste.
@Rebeka Velazquez
Mais c’est encore mieux quand le boursouf en question ne demande pas son reste et s’en va de lui-même. Maximilien trouve cette résolution presque trop aisée. D’ordinaire, il aurait fait appel à sa positivité pour se dire qu’elle avait compris son manque de considération et évalué la grossièreté de son comportement, et que cette fuite vers l’arrière était sa façon de s’excuser. Aujourd’hui, il est plus suspect. Allez savoir pourquoi. Cela ne l’empêche pas de remercier la vendeuse comme il se doit, d’un sourire sensiblement mignon et sincère. Elle lui glisse la part dans un sac hermétique, puis un autre en carton. N’étant pas venu les mains vides, Maximilien glisse la pâtisserie dans son sac à dos, bien à plat tout au fond pour ne pas qu’il arrive en miettes au cottage, puis remercie les employés. Sur son chemin vers la sortie, il prend même le temps de saluer quelques têtes, par simple politesse.
Le voilà dehors, satisfait de sa réussite. Peter sera content tiens ! Et rien n’est plus important que ça au final. La porte ne s’est même pas refermée que, dans le coin de son œil gauche, il repère la silhouette de la grossière femme. Il se tourne vers elle, un peu méfiant il est vrai mais pas totalement non plus. Rappelons que le gus croit en la bonté de l’âme et qu’elle lui joue souvent des tours… Et parce qu’il est en tous points bien trop gentil, la méfiance se transforme en culpabilité. Quelle connerie tiens… Ne pourrait-il pas, comme tous les autres, ne penser qu’à sa gueule de temps à autres ?
« Je suis désolé que tu n’en ai pas eu, vraiment. Dans d’autres circonstances je t’aurais sûrement laissé faire mais aujourd’hui, je ne peux pas rentrer sans. Ce qu’on ferait pas pour ceux qu’on aime, hein ? »
Il essaye d’attirer la sympathie, doute pourtant d’y parvenir. Maximilien ne sait jamais vraiment comment aborder les personnalités hostiles. Elle pourrait tout aussi bien le tabasser pour récupérer son sac qu’il ne le verrait pas venir. Sûrement aurait-il quelques réflexes hérités de ses entraînements avec Charles ou au club de duel, mais le reste de sa personne se trouverait franchement surpris par un tel geste.
@Rebeka Velazquez
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Re: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Lun 18 Mar 2024 - 17:07
07.02.2024
En réalité, ça prédécesseure était une mouette ! "amouah amouah amouah"
Une idée farfelue qui dansait joyeusement dans son esprit : celle d'être au mauvais endroit au bon moment. Oh, quelle étrangeté que cette notion, tissée de fils invisibles, qui défie les lois immuables de la logique et de la raison ! C'était comme si le destin lui-même se jouait des cartes de l'existence, jonglant avec les circonstances et les péripéties, transformant chaque instant en un tableau aussi fantastique qu'absurde. Imaginez-vous, si vous le pouvez, une scène surréaliste où les rues se tordent et les bâtiments chuchotent des secrets oubliés. C'est là, dans ce labyrinthe onirique, que se trouve notre demi-vélane, balloté par les flots tumultueux du hasard. Son nom importe peu, car il pourrait être n'importe qui : un simple passant, un errant solitaire, ou peut-être même vous-même, lecteur curieux. Mais pour ceux qui ce veulent savant, on la nommera Zooey. Avec deux « oo » comme les grands yeux ronds d’une Demiguise.
À première vue, tout semble normal, presque ordinaire. Les ombres dansent au rythme des lampadaires qui devrait bientôt perdre de leurs éclats puisque le jour prend très largement ses droits, et le vent murmure des énigmes à ceux qui osent l'écouter. Mais soudain, un frisson parcourt l'échine de notre jeune femme, car elle se rend compte qu'il est au mauvais endroit, au bon moment. Les étoiles se rient d’elle depuis leur perchoir céleste, tandis que le destin tisse sa toile invisible autour de sa personne. Et voilà qu'un événement extraordinaire se déroule sous ses yeux ébahis, comme si le monde entier avait décidé de lui offrir un spectacle improvisé. Les rencontres les plus improbables se produisent, les circonstances les plus folles se mettent en place, et notre protagoniste se retrouve embarqué dans une aventure aussi absurde que merveilleuse. Quoi que nous ne sommes pas certain que le mot « aventure » soit le plus adéquat dans une situation d’arrachage de sac à main. Ou pour être parfaitement exact, une tentative d’arrachage de sac-à-dos.
Car c'est là toute la magie de cet étrange phénomène : être au mauvais endroit au bon moment, c'est comme plonger tête la première dans un tourbillon d'imprévu. C'est embrasser l'incertitude avec un sourire audacieux - ou plutôt une moue ébahie - et se laisser porter par les courants insaisissables de l'existence. Ainsi, dans ce monde de fantaisie et de folie, où les frontières entre le réel et l'absurde s'effacent, être au mauvais endroit au bon moment devient une invitation à se mettre en travers de la route de cette brune qui aura laissé l’homme sur le pavé en voulant récupérer quelque chose qui ne devait pas lui appartenir. C’est être en train de regarder l’intérieur de son sac en papier kraft avec gourmandise et envie, mais se faire bousculer et finir les fesses sur le bitume. Et, dans un élan de peur, se raccrocher à ce pauvre sac à dos qui n’a rien demandé à personne, comme une moule à son rocher. À tel point que notre tireuse du dimanche, dans son agacement, finira par le lâcher pour s’enfuir à toute jambe avant que l’homme ne la rattrape. Ou avant qu’une quelconque âme charitable dans la boulangerie ne vienne jeter un œil à tout ce raffut.
C’est de dire « adios » dans le puit commun du cerveau de la joueuse à une Rebeka frustrée de ne pas avoir eu le fin mot de cette histoire, qu’elle ne méritait de toute façon pas. Et dire simplement bonjour à Zooey qui n’aura eu, finalement, que le malheur (?) d’être au mauvais endroit, au bon moment. Elle qui va lâcher un peu de lest sur ce pauvre amas de tissus et relever les yeux ronds comme des billes, sans trop comprendre ce qui vient de se passer, et suivre du regard les vociférations dans une langue inconnue qui ont déjà disparu au détour d’une ruelle quelconque. Elle finira peut-être aussi par se remettre sur pied, la petite blonde, regardant le sac en se demandant où est donc passé son sacro-saint petit déjeuner ? Elle qui a passé toute la nuit à étudier pour son prochain examen de botanique en aurait presque envie de pleurer, c’est qu’il lui faisait envie depuis quelques heures maintenant ce croissant roulé et fourré comme on le fait si bien outre-Atlantique et maintenant, ici aussi. C’est un soupir qui s’échappe de ses lèvres et une moue tristounette quand sa lèvre inférieure passera devant la supérieure pour prendre un peu de volume. Mais, rapidement, c’est un sourire bienveillant qui remplacera ces traits quelque peu déformés pour tendre le sac à son propriétaire avec des yeux si souriants qu'ils ne sont pas loin de faire des trémas comme on peut en voir dans les "mangas" tant appréciés par la jeunesse moldue - et peut-être même sorcière aussi ! - un vrai livre ouvert cette Zooey, je vous assure !
- Je crois que c’est à vous. tout va bien ?
À première vue, tout semble normal, presque ordinaire. Les ombres dansent au rythme des lampadaires qui devrait bientôt perdre de leurs éclats puisque le jour prend très largement ses droits, et le vent murmure des énigmes à ceux qui osent l'écouter. Mais soudain, un frisson parcourt l'échine de notre jeune femme, car elle se rend compte qu'il est au mauvais endroit, au bon moment. Les étoiles se rient d’elle depuis leur perchoir céleste, tandis que le destin tisse sa toile invisible autour de sa personne. Et voilà qu'un événement extraordinaire se déroule sous ses yeux ébahis, comme si le monde entier avait décidé de lui offrir un spectacle improvisé. Les rencontres les plus improbables se produisent, les circonstances les plus folles se mettent en place, et notre protagoniste se retrouve embarqué dans une aventure aussi absurde que merveilleuse. Quoi que nous ne sommes pas certain que le mot « aventure » soit le plus adéquat dans une situation d’arrachage de sac à main. Ou pour être parfaitement exact, une tentative d’arrachage de sac-à-dos.
Car c'est là toute la magie de cet étrange phénomène : être au mauvais endroit au bon moment, c'est comme plonger tête la première dans un tourbillon d'imprévu. C'est embrasser l'incertitude avec un sourire audacieux - ou plutôt une moue ébahie - et se laisser porter par les courants insaisissables de l'existence. Ainsi, dans ce monde de fantaisie et de folie, où les frontières entre le réel et l'absurde s'effacent, être au mauvais endroit au bon moment devient une invitation à se mettre en travers de la route de cette brune qui aura laissé l’homme sur le pavé en voulant récupérer quelque chose qui ne devait pas lui appartenir. C’est être en train de regarder l’intérieur de son sac en papier kraft avec gourmandise et envie, mais se faire bousculer et finir les fesses sur le bitume. Et, dans un élan de peur, se raccrocher à ce pauvre sac à dos qui n’a rien demandé à personne, comme une moule à son rocher. À tel point que notre tireuse du dimanche, dans son agacement, finira par le lâcher pour s’enfuir à toute jambe avant que l’homme ne la rattrape. Ou avant qu’une quelconque âme charitable dans la boulangerie ne vienne jeter un œil à tout ce raffut.
C’est de dire « adios » dans le puit commun du cerveau de la joueuse à une Rebeka frustrée de ne pas avoir eu le fin mot de cette histoire, qu’elle ne méritait de toute façon pas. Et dire simplement bonjour à Zooey qui n’aura eu, finalement, que le malheur (?) d’être au mauvais endroit, au bon moment. Elle qui va lâcher un peu de lest sur ce pauvre amas de tissus et relever les yeux ronds comme des billes, sans trop comprendre ce qui vient de se passer, et suivre du regard les vociférations dans une langue inconnue qui ont déjà disparu au détour d’une ruelle quelconque. Elle finira peut-être aussi par se remettre sur pied, la petite blonde, regardant le sac en se demandant où est donc passé son sacro-saint petit déjeuner ? Elle qui a passé toute la nuit à étudier pour son prochain examen de botanique en aurait presque envie de pleurer, c’est qu’il lui faisait envie depuis quelques heures maintenant ce croissant roulé et fourré comme on le fait si bien outre-Atlantique et maintenant, ici aussi. C’est un soupir qui s’échappe de ses lèvres et une moue tristounette quand sa lèvre inférieure passera devant la supérieure pour prendre un peu de volume. Mais, rapidement, c’est un sourire bienveillant qui remplacera ces traits quelque peu déformés pour tendre le sac à son propriétaire avec des yeux si souriants qu'ils ne sont pas loin de faire des trémas comme on peut en voir dans les "mangas" tant appréciés par la jeunesse moldue - et peut-être même sorcière aussi ! - un vrai livre ouvert cette Zooey, je vous assure !
- Je crois que c’est à vous. tout va bien ?
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8263
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : wcstedrose (ava)
» multinick : arty / joe / keir
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Lun 18 Mar 2024 - 22:27
Maximilien n’en revient pas. On n’a pas idée d’être si violent pour un bout de viennoiserie quand même… Il se retrouve le cul au sol, complètement hébété et abasourdi par ce qu’il est en train de vivre. C’est à n’y rien comprendre ! Il a pourtant tenté d’être bon joueur, ne s’est vanté de rien et a voulu toucher une corde sensible qui, manifestement, n’existe pas. Il en paye le prix. Sa fesse droite est douloureuse mais pas aussi chiffonnée que son amour propre. C’est qu’elle a de la force cette teigne et lui a arraché son sac-à-dos en manquant d’emporter son bras avec. Non, franchement, c’est de l’ordre de l’improbable. Maximilien se relève, prêt à la courser pour au moins se rapprocher suffisamment avant de lancer un sort qui la stopperait sans blesser qui que ce soit. Il n’a pas le temps de mettre son plan à exécution que la voleuse se fait stopper net dans sa course par une blonde haute comme trois pommes. Les apparences, tout ça… On connaît le topo. Lui est véritablement surpris et avant qu’il n’ait pu intenter quoi que ce soit, la vilaine personne a disparu au coin de la rue. Sans sac. Un peu de justice bordel !
Maximilien se tient là. C’est qu’il a vu sans vraiment voir. Ce n’est pas la première fois qu’il assiste à telle colère et il n’oublie pas ses enseignements. Ne juge pas. N’a pas même sur le visage une expression de surprise, de dégoût ou d’inquiétude. Il sait qu’elle peut lui faire du mal mais ne voit pas vraiment pourquoi elle s’y essaierait. La situation ne l’implique pas. Il attend simplement que son visage reprenne une forme ordinaire et qu’un sourire perce derrière la vélane pour le lui rendre avec une profonde gratitude. Leroy récupère le sac qu’il hisse à nouveau sur son dos, espérant que cet incident n’aura pas froissé le petit réconfort de Peter.
« Merci, ça va. Plus de peur que de mal, on va dire. Je ne me fais pas souvent voler donc c’est surprenant quand ça arrive. Encore merci, ça m’aurait embêté de rentrer sans. »
Non non, il ne va pas encore s’étaler sur sa vie, elle n’a probablement pas envie de l’entendre. Il a déjà essayé avec l’autre femme et ça n’a pas fonctionné. Bien sûr, il ne mentionne rien de ce qu’elle a montré d’elle-même, jugeant que ce n’est pas à lui d’aborder le sujet. Il ne voit pas pourquoi elle le ferait d’ailleurs ? Son envie est de la normaliser, que les autres soient d’accord ou non.
« Heureusement que vous étiez sur son chemin. Elle ne vous a pas fait mal au moins ? »
Il l’inspecte rapidement avec pudeur. Maintenant qu’il est proche d’elle, c’est une certitude… elle est vraiment petite ! Une quarantaine de centimètres doivent les séparer l’un de l’autre. Non pas qu’il fasse attention à ce genre de choses d’ordinaire mais c’est plutôt impressionnant dans ce cas précis. Il se recule légèrement pour qu’elle n’ait pas à se faire mal à la nuque en le regardant.
@Zooey de Cornouiller
Maximilien se tient là. C’est qu’il a vu sans vraiment voir. Ce n’est pas la première fois qu’il assiste à telle colère et il n’oublie pas ses enseignements. Ne juge pas. N’a pas même sur le visage une expression de surprise, de dégoût ou d’inquiétude. Il sait qu’elle peut lui faire du mal mais ne voit pas vraiment pourquoi elle s’y essaierait. La situation ne l’implique pas. Il attend simplement que son visage reprenne une forme ordinaire et qu’un sourire perce derrière la vélane pour le lui rendre avec une profonde gratitude. Leroy récupère le sac qu’il hisse à nouveau sur son dos, espérant que cet incident n’aura pas froissé le petit réconfort de Peter.
« Merci, ça va. Plus de peur que de mal, on va dire. Je ne me fais pas souvent voler donc c’est surprenant quand ça arrive. Encore merci, ça m’aurait embêté de rentrer sans. »
Non non, il ne va pas encore s’étaler sur sa vie, elle n’a probablement pas envie de l’entendre. Il a déjà essayé avec l’autre femme et ça n’a pas fonctionné. Bien sûr, il ne mentionne rien de ce qu’elle a montré d’elle-même, jugeant que ce n’est pas à lui d’aborder le sujet. Il ne voit pas pourquoi elle le ferait d’ailleurs ? Son envie est de la normaliser, que les autres soient d’accord ou non.
« Heureusement que vous étiez sur son chemin. Elle ne vous a pas fait mal au moins ? »
Il l’inspecte rapidement avec pudeur. Maintenant qu’il est proche d’elle, c’est une certitude… elle est vraiment petite ! Une quarantaine de centimètres doivent les séparer l’un de l’autre. Non pas qu’il fasse attention à ce genre de choses d’ordinaire mais c’est plutôt impressionnant dans ce cas précis. Il se recule légèrement pour qu’elle n’ait pas à se faire mal à la nuque en le regardant.
@Zooey de Cornouiller
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
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Re: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Dim 24 Mar 2024 - 12:56
07.02.2024
En réalité, ça prédécesseure était une mouette ! "amouah amouah amouah"
UUne fois l’expression faciale d’un Surricate pris dans les phares d’une voiture moldu passée, Zooey sera soulager de voir que ses petit « démons » intérieur ne se sont, pour une fois, pas matérialisés sur son visage par la peur. C’est que toutes les moues qu’elle avait eu étaient bel et bien humaine et tout simplement naturelle pour elle qui se laisse facilement lire comme un livre ouvert. Le sac tendu sera récupéré par son propriétaire légitime. Et si Zooey est contrariée, quelque part, de voir que son petit déjeuner est tout écrabouillée, ça ne sera pas sa priorité dans l’immédiat.
- J’ai pas fait grand-chose, j’étais juste au mauvais endroit au bon moment ?
C’est vrai qu’elle n’avait rien fait d’autre que de ce faire rentrer dedans par la Mexicaine, en s’accrochant a la première chose qu’elle pouvait -le sac donc- comme une moule à son rocher. Et c’est visiblement toujours une petite hallucination pour Zooey qui va regarder le jeune homme devant elle un demi-quart de seconde avec ses grand yeux rond de Demiguise, les clignant par deux fois, avant de les baisser à nouveau. Et si on pouvait voir à travers son long manteau rose pâle, on pourrait observer la créature qui se trouve sur son pull du jour -un fléreur- en faire de même.
- Non, non. Je crois que mon petit déjeuné est plus à plaindre que moi. La terre n’est pas si basse !
Petite boutade en plaçant sa main à plat au-dessus de sa propre tête dans un geste qui tendrais presque à mesurer la distance entre sa personne et le bitume. Le sourire est revenu il y a quelque instant déjà sur son visage, s’étirant avec facilité comme a son habitude. Sa main retombe et va s’enrouler autour de la sangle de son propre sac. Elle penche la tête de côté et observe le sac, prise de curiosité.
- C’est une cargaison précieuse ?
- J’ai pas fait grand-chose, j’étais juste au mauvais endroit au bon moment ?
C’est vrai qu’elle n’avait rien fait d’autre que de ce faire rentrer dedans par la Mexicaine, en s’accrochant a la première chose qu’elle pouvait -le sac donc- comme une moule à son rocher. Et c’est visiblement toujours une petite hallucination pour Zooey qui va regarder le jeune homme devant elle un demi-quart de seconde avec ses grand yeux rond de Demiguise, les clignant par deux fois, avant de les baisser à nouveau. Et si on pouvait voir à travers son long manteau rose pâle, on pourrait observer la créature qui se trouve sur son pull du jour -un fléreur- en faire de même.
- Non, non. Je crois que mon petit déjeuné est plus à plaindre que moi. La terre n’est pas si basse !
Petite boutade en plaçant sa main à plat au-dessus de sa propre tête dans un geste qui tendrais presque à mesurer la distance entre sa personne et le bitume. Le sourire est revenu il y a quelque instant déjà sur son visage, s’étirant avec facilité comme a son habitude. Sa main retombe et va s’enrouler autour de la sangle de son propre sac. Elle penche la tête de côté et observe le sac, prise de curiosité.
- C’est une cargaison précieuse ?
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8263
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : wcstedrose (ava)
» multinick : arty / joe / keir
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
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Re: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
Dim 24 Mar 2024 - 14:13
Maximilien fronce légèrement les sourcils, puis aborde un sourire.
« Intéressante expression. Mais c’est ça ! Au mauvais endroit au bon moment, heureusement pour moi. »
Intrigante, cette jeune femme. Elle ne semble pas plus perturbée que cela par ce qui vient de se passer, ou alors le cache-t-elle très bien. Les deux ont une forte probabilité si bien que le Français ne se risquera pas à choisir, de peur de faire une erreur. Plutôt s’enquérir de son état, vu le service qu’elle lui a rendu. Maximilien sourit encore et baisse la tête vers son petit-déjeuner écrabouillé qu’il n’avait pas vu avant cela. Petite grimace désolée.
« Je peux sûrement réparer ça et vous en offrir un autre, ceci dit. En remerciement. »
Ce serait la moindre des choses et autant dire qu’il y tient. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut se vanter d’avoir été sauvé et le Summerbee est du genre à toujours vouloir rendre aux autres la monnaie de leur pièce. Question de politesse. À son tour de regarder son propre sac et il le désigne avec un air satisfait, celui du gars qui a accompli sa mission malgré les embûches.
« Une petite douceur pour une personne malade qui la réclame, en plus de la mériter. Donc précieuse, oui, d’une certaine manière. »
Ce qui sera surtout précieux, ce sera l’étincelle dans le regard du Drummond lorsqu’il lui présentera la pâtisserie tant désirée. Rien que pour cela, ça vaut le coup de se battre un peu non ? Même si on ne peut pas dire qu’il ait fort brillé en la matière. Mais Maximilien se sent rarement diminué par la force féminine. La vérité, c’est qu’il ne se pose même pas la question de ce que cela implique pour lui. Il a récupéré son sac, c’est tout ce qui compte vraiment.
« Je ne manquerai pas de préciser votre implication dans cette réussite. Je m’appelle Maximilien, enchanté » dit-il de son petit accent français qui ressort toujours dans des moments comme celui-ci, où son corps et son esprit ont été éprouvés.
Bien sûr, la politesse veut qu’il attende la réciproque, même si elle n’est pas obligatoire. Connaître son identité lui permettra plus facilement de la glorifier aux oreilles de Peter.
@Zooey de Cornouiller
« Intéressante expression. Mais c’est ça ! Au mauvais endroit au bon moment, heureusement pour moi. »
Intrigante, cette jeune femme. Elle ne semble pas plus perturbée que cela par ce qui vient de se passer, ou alors le cache-t-elle très bien. Les deux ont une forte probabilité si bien que le Français ne se risquera pas à choisir, de peur de faire une erreur. Plutôt s’enquérir de son état, vu le service qu’elle lui a rendu. Maximilien sourit encore et baisse la tête vers son petit-déjeuner écrabouillé qu’il n’avait pas vu avant cela. Petite grimace désolée.
« Je peux sûrement réparer ça et vous en offrir un autre, ceci dit. En remerciement. »
Ce serait la moindre des choses et autant dire qu’il y tient. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut se vanter d’avoir été sauvé et le Summerbee est du genre à toujours vouloir rendre aux autres la monnaie de leur pièce. Question de politesse. À son tour de regarder son propre sac et il le désigne avec un air satisfait, celui du gars qui a accompli sa mission malgré les embûches.
« Une petite douceur pour une personne malade qui la réclame, en plus de la mériter. Donc précieuse, oui, d’une certaine manière. »
Ce qui sera surtout précieux, ce sera l’étincelle dans le regard du Drummond lorsqu’il lui présentera la pâtisserie tant désirée. Rien que pour cela, ça vaut le coup de se battre un peu non ? Même si on ne peut pas dire qu’il ait fort brillé en la matière. Mais Maximilien se sent rarement diminué par la force féminine. La vérité, c’est qu’il ne se pose même pas la question de ce que cela implique pour lui. Il a récupéré son sac, c’est tout ce qui compte vraiment.
« Je ne manquerai pas de préciser votre implication dans cette réussite. Je m’appelle Maximilien, enchanté » dit-il de son petit accent français qui ressort toujours dans des moments comme celui-ci, où son corps et son esprit ont été éprouvés.
Bien sûr, la politesse veut qu’il attende la réciproque, même si elle n’est pas obligatoire. Connaître son identité lui permettra plus facilement de la glorifier aux oreilles de Peter.
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il est libre max
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- merci :
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