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ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Ven 29 Oct 2010 - 21:09
Adam Lindley-Hodginks PROFESSEURS ♦ ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : je suis né le vingt-trois décembre de l'année mille neuf cents soixante et un. Si vous avez un minimum de base en algèbre vous avez donc compris que j'ai trente-neuf ans. ♦ ORIGINES : mon père est écossais d'origine suédoise, ma mère est suédoise. Je suis écossais, malgré mes trois quarts de sang suédois.. ♦ ORIENTATION SEXUELLE : Macho et hétérosexuel. ♦ OPTIONS : Aucune. ♦ ÉTAT CIVIL : Veuf. ♦ ISSU D'UNE FAMILLE : Sorcière. De sang pur pour être exact. ♦ BAGUETTE : un petit bijou qui se transmet de pères en fils. Elle mesure vingt-neuf centimètres, contient une plume de phœnix de Byzance, elle a été faite dans un chêne centenaire. Elle doit avoir au moins deux cents ans. ♦ PATRONUS : Un panda ♦ CLASSE SOCIALE : riche. ♦ CARACTÈRE DU PERSONNAGE (MAX 10 ADJECTIFS) : solitaire ; sadique ; froid ; misanthrope ; introverti ; actif ; patient ; égoïste ; intelligent ; stoïque ♦ |
WHO ARE YOU REALLY?
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QUEL ÂGE AS-TU ? seize ans.
COMMENT AS-TU DÉCOUVERT HUNGCALF ? il y a un petit moment. Par bazzart il me semble
TAUX DE PRÉSENCE ? tous les jours. Le rp principalement le week-end.
PERSO INVENTE OU SCENARIO ? inventé
SI TU PARLES ZIMBABWÉEN TAPE DANS TES MAINS Ok by Meteo
POSSEDEZ-VOUS UN AUTRE COMPTE ? DC d'isaac ahàron evan. Autorisé par Emy (a) (l)
QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? je vous aime :grandsyeux:
avatar © AE stock || icônes © fox
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Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Ven 29 Oct 2010 - 21:10
EACH OF US HIS OWN STORY
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Une maison constellée d'or. De grandes fenêtres regardent le fleuve, des reflets de cuivre sur les carreaux de pierre. Ma maison. Ma mère, Kerstin, était une femme très belle au cheveux tissés dans de l'or, comme disait ma nourrice. Elle souriait du sourire des sirènes. J'avais une sœur aux yeux tranchants, aiguisé comme des lames. Des couteaux plantés dans ma chaire lorsque je riais en sa présence. Elle, Emelie, ne riait jamais. Maigre, sérieuse, des bûches flambant dans ses yeux verts. Née pour régner disait mon père. Mains fortes et longues, mains d'étrangleuse. Quand elle se battait avec moi, elle était toujours victorieuse. Moi j'étais le petit dernier, « mon fils » disait ma mère. La mère qui ne m'a jamais donné le sein. Mon fils. Ils me choisirent un nom affreux. Adam, le premier homme. Les noms sont puissants, je l'ai appris à mes dépens. Mais je ne savais rien encore lorsque je jouais sur les sentiers enneigés de Glasgow.
___
Ma mère à son retour me trouva dans le jardin,. Silencieux comme jamais, seul comme toujours. J'étais dans l'herbe glacée du matin, parmi les rosiers. Assis à même la terre sans un jouet, sans une balle. Rien. Bien habillé, bien soigné. Son petit garçon qui ne voulait rien casser. C'est alors qu'elle compris. Un bref instant peut être, le seul, elle fut avec moi. Étalant sa robe dans l'herbe; elle s'assit à mes côté. Elle ne l'avait jamais fait. Elle ne le ferait plus jamais. « Adam... » murmura-t-elle. Elle alla jusqu'à m'embrasser. J'étais encore si petit, j'appuyais la tête contre son sein. Je me blottis. Mais je ne pleurais pas, j'avais déjà cessé depuis longtemps. « Cet incident ne se reproduira plus. » ajouta-t-elle lentement. « Jamais plus. Nous te protégerons. Nous trouverons comment. N'aie crainte, Adam. » Je hochais doucement la tête contre ce sein voilà de lin pourpre. Ses bijoux tintaient au-dessus de ma tête. Je la croyais. Les enfants croient toujours leur mère. « Emelie, ne reviendra pas Adam. » elle pleurait, des larmes noires coulaient sur ses joues de porcelaine. Et sans davantage de caresse elle se leva, sans bruit, elle me laissa. Je me tournais vers la maison, espérant voir Emelie courir vers moi, personne. Ma mère se tourna une dernière fois vers moi. « Il est tard Adam. Va te coucher. » Sa voix lente, monocorde. De paysanne ou de marchande. Pas de noble. Une voix faite pour administrer une famille ordinaire, pareille à toutes les autres. J'obéis.
Dans la cuisine les aurors étaient encore là. La relève se faisait quatre fois par jour. Ils étaient armés comme pour aller au combat. Je continuais ma route. Mon père était sur un fauteuil du salon, un verre de whisky pur-feu à la main. Je n'y faisais même plus attention. Devant la porte de ma chambre, deux aurors. Ils veillaient en travers du seuil. M'ouvrant la porte, sans un sourire, sans un regard. Emelie avait continué de peupler mes cauchemars. Mais je n'avais personne à qui le dire. Et le gardien, à la porte, n'avait pas d'autorité sur le territoire effiloché des songes. Glissé entre les draps, j'attendais le sommeil. C'était l'été. Une brise légère, celle du fleuve, entrait par les fenêtres. Les rideaux gonflaient comme des voiles. Le sommeil chantait aux coins de mes yeux, mais j'avais de la peine à les fermer. Les ricanements pervers du meurtrier d'Emelie continuer d'y entrer. Si j'appelais, si je criais, Etra ma nourrice viendrait dormir avec moi. Une sentinelle entre moi et mes cauchemars. Mais je n'appelai pas. Je suis de pierre. Le sommeil arriva et l'homme avec lui. Le même sentier, le même ciel bleu. Emelie qui hurle. Moi derrière la voiture. Sillage de sang dans les airs. Et l'homme : personne pour l'empêcher de défaire la ceinture d'Emelie. Fermer les yeux, ce fut comme les ouvrir. Je me réveillai en hurlant. Un fracas derrière ma porte, et l'auror fut à l'intérieur. La baguette dressée. Figure féroce sous un visage impassible. « Quelqu'un est entré ? » Je secouais la tête. « Rien qu'un mauvais rêve. » L'air s'emplit d'un soupir de soulagement à peine perceptible. Il rengaina sa baguette. « Tant mieux. » Il regagna la porte. J'avais douze ans. J'étais le seul témoin du meurtre de ma sœur. Sans le savoir j'étais mort en même temps qu'elle. J'étais devenu de pierre.
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Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Ven 29 Oct 2010 - 21:10
Vint un temps où je vécus dans le manque. Le manque de ce que ces yeux désormais brûlés avaient gravé en moi. Aride, brûlé moi aussi. Sous la peau il ne restait que de la cendre fade. Mais les autres, quand ils me regardaient, ne voyaient qu'un gamin stupide. Mais c'était avant Freja. Elle avait transformé ces cendre fades en jardin d'éden. Ce mur de pierres qui m'habitait s'écroulait à chacun de ses sourires, ses mèches blondes me rendaient fébriles et du haut de mon mètre quatre vingt dix je me sentais sans aucune protection face à elle. « Adam. Je ne veux rien entendre. Je ne veux rien savoir. » Sa respiration s'était ralentie, plus rien ne pressait ; j'avais envie d'appeler tristesse l'ombre couché derrière ses mots ; mais Freja était une femme mélancolique, et je n'avais pas le don des voyants pour les certitudes. Je tournai la tête vers le mur comme pour oublier sa présence. Après une hésitation, elle me prit le menton ente ses mains, et tourna vers elle mon visage. « Regarde-moi. » Regarde-moi Je la regarderai. Ce n'était pas les yeux aiguisés d'Emelie, ni-même les yeux cristallin de ma mère ; mais ils étaient comme des gueules, des puits sur la surface sombre de la terre, des vallées obscures aux forêts d'habitude inondées par le soleil. Ils avaient l'air capable de pénétrer en moi comme un mépris condescendant. « Ne me fixe pas comme ça Freja. » elle ne me demanda pas pourquoi. Mais elle ne détourna pas son regard. « Ne me regarde pas comme si tu me jugeais, comme si tu me comprenais ; je n'ai pas besoin de ton pardon. » « Moi j'en ai pourtant besoin. Et je te le demande. » je me tournais. « Pourquoi ? Ce qui est fait et fait. On n'y peut plus rien. » Freja trop petite pour maintenir cette position, lâcha mon menton et regarda ailleurs. « Tu sais. Lorsque j'ai vu cette femme dans notre lit, avec toi, je n'avais qu'une envie. Vous tuez. Ici et maintenant. » sa tête s'inclina comme celle d'un cheval, sa voix était sombre. « Tu es libre de t'excuser, de ne pas le faire. Tu es libre de te morfondre sur ton passé, sur ton avenir, ou ne rien faire. Tu avais raison après tout. Les sentiments ne servent qu'à nous détruire. Notre mariage n'était qu'une mascarade. Tu ne m'aimes même pas ? Hein ? » de nouveau elle fixa son regard noir sur moi, un regard oblique jetait par dessus son épaule droite. « Je ne sais pas aimer Freja. Voilà la triste vérité que tu tiens tant à savoir. » les derniers mots se brisèrent pour rester en suspension dans l'air. Comme une plume cassée. « Tu ne fais pas le moindre effort Adam. Pas le moindre. » Ces mots étaient si lents, si lisses, si naturels, étais-ce bien elle qui les avait prononcés ? Oui elle les avait prononcés. Elle attrapa son sac, ses clés de voiture, et la porta claqua. Et plus rien. Le vide, le néant. Mais je ne pleurais pas. Je ne pleurais plus depuis longtemps.
Le ciel était un foulard, un voile, un écusson, un casque renversé sur nos têtes. Les étoiles étaient des larmes ou peut être des traces de feu lointains. Mais tout se confondait dans mes yeux où les larmes grossissaient sans parvenir à s'écouler, et c'était comme regarder sous l'eau. Je me cramponnais à la main d'Alva comme à un récif rencontré par hasard en pleine tempête, au cours d'un naufrage ; et le monde tournait et tournait autour de nous tandis que nous étions debout, devant ce cercueil. Le prêtre s'était tu. Il se taisait, ne bougeait pas. Alva ne m'aimait pas. Elle trouvait même ma présence insultante. Alva était la fille de Freja. Pas la mienne, juste celle de Freja. Nous n'étions en contact que par nos mains unies, notre seule ancre dans cet univers sous-marin et glacé. Freja était parti depuis longtemps, les yeux d'Alva quand elle a regardé sa mère, ses yeux, et je savais que c'était pour la dernière fois. Le prêtre ne bougeait toujours pas. Nous gisions dans ce cimetière, formes désordonnées, enfant trop épuisés pour aller autre part, tels des arbres déracinés. « Adam. » Sa voix. Je ne répondis pas, je ne tournais pas la tête, mais sa main serra convulsivement la sienne. « Adam. » Le monde était toujours plus opaque tandis que s'épaississait le rideau de larmes devant mes yeux. « Adam. » Alors je tournais la tête, et trouvai son visage dans cette lumière. Il n'y avait pas un nuage. Le deuxième nuit d'octobre était calme et limpide ; nous étions comme l'eau recueillie, dans le creux de sa main, par un dieu qui nous regardait pleurer. Trembler. Jamais les yeux d'Alva n'avaient été aussi profonds, aussi lointains. Je me rendis compte qu'elle ne ressemblait en rien à sa défunte mère. Sa main caressa ma main, et je me perdis. Infinie paraissait la nuit sous le manteau de son obscure déesse, et je ne savais plus rien, j'avais oublié jusqu'à mon nom.
Vent qui frissonne, vent qui tourne, vent qui vous passe entre les jambes et qui chante, chante des chants venus d'un passé ni vouloir, un temps de fêtes et de banquets, de musique jouée par de doux instruments ; vent qui murmure et réchauffe les nuits, nuits qui s'effacent dans l'aube sans rêves, jours passés au lit sans dormir. Vent qui souffle, vent qui jette sur les côtes anglaises des vagues de froide écume et de glace, hiver qui dans ce vent passe et se consume. Vent qui enveloppe les heures et les emporte, vent voleur, ses journées vides, le sourire perdu. Vent, vent qui repend les notes et les cris de rage, qui à Alva ferme les yeux, et à Adam fait croire, ou semblant de croire, que cette vie est une vie nouvelle. Car elle l'est si peu. Jusqu'à ce qu'avec toi revienne, tenu par la main, le printemps.
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Le ciel était un foulard, un voile, un écusson, un casque renversé sur nos têtes. Les étoiles étaient des larmes ou peut être des traces de feu lointains. Mais tout se confondait dans mes yeux où les larmes grossissaient sans parvenir à s'écouler, et c'était comme regarder sous l'eau. Je me cramponnais à la main d'Alva comme à un récif rencontré par hasard en pleine tempête, au cours d'un naufrage ; et le monde tournait et tournait autour de nous tandis que nous étions debout, devant ce cercueil. Le prêtre s'était tu. Il se taisait, ne bougeait pas. Alva ne m'aimait pas. Elle trouvait même ma présence insultante. Alva était la fille de Freja. Pas la mienne, juste celle de Freja. Nous n'étions en contact que par nos mains unies, notre seule ancre dans cet univers sous-marin et glacé. Freja était parti depuis longtemps, les yeux d'Alva quand elle a regardé sa mère, ses yeux, et je savais que c'était pour la dernière fois. Le prêtre ne bougeait toujours pas. Nous gisions dans ce cimetière, formes désordonnées, enfant trop épuisés pour aller autre part, tels des arbres déracinés. « Adam. » Sa voix. Je ne répondis pas, je ne tournais pas la tête, mais sa main serra convulsivement la sienne. « Adam. » Le monde était toujours plus opaque tandis que s'épaississait le rideau de larmes devant mes yeux. « Adam. » Alors je tournais la tête, et trouvai son visage dans cette lumière. Il n'y avait pas un nuage. Le deuxième nuit d'octobre était calme et limpide ; nous étions comme l'eau recueillie, dans le creux de sa main, par un dieu qui nous regardait pleurer. Trembler. Jamais les yeux d'Alva n'avaient été aussi profonds, aussi lointains. Je me rendis compte qu'elle ne ressemblait en rien à sa défunte mère. Sa main caressa ma main, et je me perdis. Infinie paraissait la nuit sous le manteau de son obscure déesse, et je ne savais plus rien, j'avais oublié jusqu'à mon nom.
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Vent qui frissonne, vent qui tourne, vent qui vous passe entre les jambes et qui chante, chante des chants venus d'un passé ni vouloir, un temps de fêtes et de banquets, de musique jouée par de doux instruments ; vent qui murmure et réchauffe les nuits, nuits qui s'effacent dans l'aube sans rêves, jours passés au lit sans dormir. Vent qui souffle, vent qui jette sur les côtes anglaises des vagues de froide écume et de glace, hiver qui dans ce vent passe et se consume. Vent qui enveloppe les heures et les emporte, vent voleur, ses journées vides, le sourire perdu. Vent, vent qui repend les notes et les cris de rage, qui à Alva ferme les yeux, et à Adam fait croire, ou semblant de croire, que cette vie est une vie nouvelle. Car elle l'est si peu. Jusqu'à ce qu'avec toi revienne, tenu par la main, le printemps.
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Ven 29 Oct 2010 - 21:13
:hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: (l)
ADAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM (l)
ADAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM (l)
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Ven 29 Oct 2010 - 21:39
RAWWWWWWWWWWWWWW re bienvenue mon chat :cracrac: cracrac: :canard: bonne chance pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Ven 29 Oct 2010 - 22:59
regardez-moi ces deux filles en chaleur :oh:
Rebienvenue (l) bon choix de vava :brille:
Rebienvenue (l) bon choix de vava :brille:
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 0:03
Bienvenue beau monsieur ! :hysteric: :haaaaa:
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 1:28
- Orphée, tu peux en compter trois désormais :baveuh:
rebienvenue, j'ai hâte d'avoir cours avec vous, monsieur le professeur
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 2:54
Haan c'est la série des avatars sexy :inlove:
Re bienvenue =)
Re bienvenue =)
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 2:58
Re-BIenvenue mon dieu du fouet :respect: :brille: (l)
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 3:55
mais quelle bande de filles en chaleur, faut toutes les envoyer au couvent :D
rebienvenue mon zazou (nouveau surnom, sois en fier :huhu: ), divin choix d'avatar :baveuh:
rebienvenue mon zazou (nouveau surnom, sois en fier :huhu: ), divin choix d'avatar :baveuh:
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 9:27
zazou :huhu: c'est mignon :huhu:
Re-bienvenue O humble cousin (l) :D
Re-bienvenue O humble cousin (l) :D
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 9:52
rebienvenue. :huhu:
il nous faudra un lien Giulia/Adam. :baveuh:
il nous faudra un lien Giulia/Adam. :baveuh:
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 14:00
Merci à tous :baveuh:
J'aime le surnom Lust :huhu:, et je suis absolument d'accord avec vous pour alexander :inlove: :brille:
Et Bo' je te garde un petit lien pour l'italienne of course (a)
J'aime le surnom Lust :huhu:, et je suis absolument d'accord avec vous pour alexander :inlove: :brille:
Et Bo' je te garde un petit lien pour l'italienne of course (a)
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 21:45
désolé pour le DP
je pense avoir terminé mamédiocre fiche :huhu: :inlove:
si il y a quelque chose à ajouter n'hésitez pas (a) :brille:
je pense avoir terminé ma
si il y a quelque chose à ajouter n'hésitez pas (a) :brille:
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Sam 30 Oct 2010 - 23:05
Je m'occupe de toi mon loup, j'éditerais mon post (l)
edit : c'est un personnage très touchant, et ta fiche était un délice à lire De plus, on était en pénurie de profs masculins, c'est donc parfait :hysteric: Je te valide, n'oublie pas de réserver ton divin avatar (a)
edit : c'est un personnage très touchant, et ta fiche était un délice à lire De plus, on était en pénurie de profs masculins, c'est donc parfait :hysteric: Je te valide, n'oublie pas de réserver ton divin avatar (a)
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Dim 31 Oct 2010 - 12:36
Bienvenue collègue :baveuh:
j'peux être ta ève ? :baveuh:
j'peux être ta ève ? :baveuh:
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Dim 31 Oct 2010 - 12:42
bienvenu =)
- InvitéInvité
Re: ADAM ☣ Because the thought alone is killing me right now...
Dim 31 Oct 2010 - 12:58
merci beaucoup mon lust :grandsyeux: (l)
et merci mesdames (l)
et merci mesdames (l)
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