- InvitéInvité
♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 13:45
Lilith A. Blackwell WRIGHT ♦ ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : Lilith est née un sept octobre. Elle a dix-huit ans. ♦ ORIGINES : La demoiselle est d'origine américaine de par sa mère et écossaise du coté de son père. ♦ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. Elle croit dur comme fer que rien ne pourrait lui faire changé d'orientation. ♦ OPTIONS : Lilith a choisi histoire de la magie comme option principale si je peux dire, pour son penchant pour l'histoire ancienne. Elle a également gardé les soins aux créatures magiques à cause de sa passion innée pour toute forme « animale ». Ses deux autres options sont l'astronomie, révélateur de son amour du ciel, et la botanique. ♦ ÉTAT CIVIL : La jeune sorcière est célibataire. ♦ ISSU D'UNE FAMILLE : Lilith est née d'une mère moldue et d'un père sorcier. ♦ BAGUETTE : Cet objet, si important dans la vie d'un sorcier, est composée pour Lilith d'un nerf de dragon au cœur d'une tige en bois de frêne. ♦ PATRONUS : Des plus particuliers, Lilith a hérité comme Patronus d'un Longue-Gueule Irlandais, grand dragon originaire, comme l'indique son nom, des belles terres d'Irlande. ♦ CLASSE SOCIALE : Moyenne. Si particulièrement riche mais suffisamment pour avoir permis à Lilith d'avoir, jusque là, une vie confortable. ♦ CARACTÈRE DU PERSONNAGE (MAX 10 ADJECTIFS) : Rêveuse, soucieuse, charismatique, sincère, fragile, sensible, sarcastique, malheureuse, parfois trop brusque, maladroite. ♦ |
Le temps est assassin. Lui-même irréel, il est pourtant le premier responsable des misères humaines. La maladie, la souffrance. La lassitude. Et la mort. Tant de désagréments. Tant de sentiments insoutenables pour trop peu d'allégresse. Bien que l'on parle de la mise au monde comme l'une des plus belles choses possibles par les êtres vivants... Au fond, nous ne faisons que livrer un enfant à une vie sans ménagements, triste fausse aux lions où tous les coups sont permis. Là où il souffrira sans relâche, attendant un répit inexistant, appréhendant chaque nouveau jour dans ce monde où il ne trouve pas sa place. La naissance est-il alors toujours aussi glorieuse à vos yeux ? Elle ne le sera certainement jamais aux miens... Paroles au triste goût d'amertume, que j'ose me dire, certainement à raison, irréfléchies. Mais je refuse la seule entité capable de me faire changer d'avis. Je l'éloigne de moi, le repousse, le renie. Car mon orgueil m'en empêche. Car la douleur est encore trop forte, la peine trop présente. Étouffante situation incompatible au prénommé pardon...journal de lilith, juillet 2010.
WHO ARE YOU REALLY?
.
♦ QUEL ÂGE AS-TU ? Depuis peu majeure et vaccinée. (aa)
♦ COMMENT AS-TU DÉCOUVERT HUNGCALF ? Sais plus. '-'
♦ TAUX DE PRÉSENCE ? Variable.
♦ PERSO INVENTE OU SCENARIO ? Inventé.
♦ SI TU PARLES ZIMBABWÉEN TAPE DANS TES MAINS ok by Lust
♦ POSSEDEZ-VOUS UN AUTRE COMPTE ? Négatif chef.
♦ QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? Pwouapwouapwouapwouaaaaaaa. *sbaaaf*
avatar © Misery Angel || icônes © fox
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 13:46
► CHAPTER ONE.
maison des blackwell, portland.
il y a trois ans, Lil' a quinze ans.
maison des blackwell, portland.
il y a trois ans, Lil' a quinze ans.
Elle posa avec rage ses doigts sur les touches bicolores de son piano, laissant alors la symphonie envahir l'espace alentour. Oubliant les perles lacrymales et leurs sillons le long de ses joues pales. Oubliant les cris parentales dans le salon et la tension palpable qui s'échappait de la porte entrouverte. Et oubliant la pression à l'étau d'acier et sa prise sans cesse grandissante autour de son cœur... Étreinte sournoise accompagnée de cette douleur interne qui lui était insupportable. Cet élancement constant refusant de la quitter et ne lui laissant comme répit que les rêves énigmatiques qui régissaient son sommeil. Comme cette nuit-là, enroulée dans les épaisses couvertures d'hivers. Elle courait. Du moins essayait. Ses foulées étaient lentes. Tellement lentes. Elle semblait ne pas parvenir à prendre son élan, à s'éloigner. Ses jambes étaient lourdes, avaient oubliées le mouvement et se balançaient maladroitement. Pourtant ils arrivaient. Elle devait fuir. Fuir. Il était le verbe dominant, l'intendant de ses nuits, et passant les barrières de l'inconscient, l'administrateur de sa propre vie. Obnubilant ses pensées, obsédant son âmes et chaque cellule de son corps. Lilith aurait tant voulu partir. Quitter ce monde, cet univers imparfait, cette atmosphère angoissante dans laquelle elle se sentait si mal. Depuis son enfance, la demoiselle avait voulu rejoindre les mondes de fictions qu'elle côtoyait à travers les livres ou les films. Ces mondes où les héros s'en sortent toujours, là où il semble beau, juste, et la souffrance méritée. Car ici, qu'avait-elle fait ? Qu'avait-elle fait, ou non, pour justifier ce cœur à l'agonie ? Si elle avait que ce n'était que le début. Si elle avait su, certainement ce serait-elle contentée de cette situation de tourment et de lassitude.
« Lilith ? Tu peux venir s'il te plaît ? » La demoiselle, allongée à plat ventre sur son lit releva sa tête blonde à l'entente de son prénom. Fermant son livre, elle se leva dans un soupir avant de prendre la direction du salon. La rentrée des classes était demain et ses pensées étaient bien trop obnubilées par celle-ci pour avoir la moindre idée de ce qui l'attendait. Traînant comme toujours involontairement ses pieds sur le carrelage du couloir, Lil' sentit malgré son insouciance, le mal arrivé alors qu'elle croisait le regard sérieux de son père. « Oui ? » Ce fut son père qui répondit, d'un ton calme et accompagnée de cette intonation qui agaçait la jeune blonde. Jusqu'à quand continuerait-il à lui parler comme une enfant ? Perdue dans cette amère constatation, elle ne fit même pas attention à ses premiers mots. Mais la suite ne se fit pas répétée. « ... Ta mère et moi avons décidé de divorcer. » Lilith tentant vainement de croiser le regard fuyant de sa mère. Elle s'en doutait depuis si longtemps. Sa mère l'avait si souvent évoquée, alors qu’elle était seule à la gare ou à bien d'autres moments. Mais sa fille avait persisté naïvement à croire qu'elle n'en aurait jamais l'audace. Après tout, sa mère n'avait jamais été très entreprenante, caché derrière les colères de son mari. « Okay. » Ok... C'était tout ce qu'elle avait à dire... Ou plutôt, tout ce qu'elle avait su dire. Et après tout, à quoi s'attendaient-ils ? Elle n'avait jamais été capable d'exprimer réellement ce qu'elle ressentait. Peut-être après tout qu'on ne lui avait jamais apprit. Peut-être après tout que ce foyer aux profondeurs si froides ne l'avait pas aidé à s'extérioriser. Aussi ne réalisait-elle pas ce qui lui arrivait. Aussi ne comprenait-elle pas l'ampleur de l'évènement et ce qui allait en découler. Comment aurait-elle pu, après tout, le temps n'en fait qu'à sa tête, malmenant ses habitants entre les péripéties les plus imprévisibles. « Et... ça ne te dérange pas ? Tu n'as rien à dire ? » Lilith ne pu retenir un sourire. Véritablement mal venu vu le contexte. Pourtant, il ne fallait certainement pas le prendre pour ce qu'il était. La jeune américaine avait toujours eu la manie de rigoler lors des mauvais moments. Angoisse, tension, trouble... C'était sa réponse, bien plus significatifs de ses sentiments que les paroles qui suivirent. « Qu'est-ce que vous voulez que j'vous dise ? Je ne crois pas avoir beaucoup le choix. » Et c'est dans ce même sourire qu'elle quitta la pièce. Dans ce même sourire qu'elle retourna à sa lecture, comme si rien de tout ça ne s'était passé. Malheureusement pour elle, sa lointaine manie à enfouir les évènements fâcheux n'allait pas suffire à éloigner la peine qui l'assaillirait bientôt. Ce n'était qu'une question de temps... Pourtant, il aurait pu être intéressant de parcourir les pensées de Lilith à cet instant précis. Au fond de son esprit, ce n'était pas de la tristesse qu'on y aurait rencontré. C'était de la joie. Déplacée et signe d'un cœur aussi dur que la granite élémentaire me direz-vous. Et sans aucun doute auriez-vous tort. Ce n'était pas de l'indifférence, mais de la naïveté. Une bien trop grande dose de naïveté, alimentée par les lectures de la jeune sorcière. Elle, qui avait toujours eu une vie sans histoires, un passé plat, une enfance banale et inintéressante, venait enfin de faire la rencontre d'un bouleversement qui allait enfin animer sa vie. Au fond d'elle-même, espérait-elle de la pitié ? Ce ne serait pas impossible. Pas impossible qu'elle se serve de cette situation pour qu'on s'intéresse à elle. Enfin...
Lorsque Lilith se présenta à l'embarcadère, ce n'était pas dans un état des plus réveillé... La soirée d'hier pour laquelle elle avait décalé son départ s'était terminé relativement tard. Pour ne pas dire qu'elle avait été sans interruptions. Et une nuit blanche aussi agitée ne laisse jamais dans un très bon état. Après une heure d'attente, l'adolescente monta enfin dans l'avion. C'est uniquement une fois installée dans son siège, un air des Three Days Grace défilant au creux de ses oreilles qu'elle laissa ses pensées croiser le fil narrateur des évènements des jours passés. Tout s'était passés si vite, emplit d'une presque choquante indifférence. Il avait fallu faire tout les cartons pour le déménagement, jeter ce qui ne valait pas la peine d'être emmené et voir la maison de son enfance se vider peu à peu. Ranger sa chambre avait été bien plus dur qu'elle ne se l'était imaginé. Agenouillé au milieu de sa chambre, sur les planches du parquet qui revêtait le sol. Ses jouets d'enfants l'entouraient, et alors elle redevenait la fillette qu'elle avait été, parmi ses balais volants miniatures et tout autre ustensiles d'apprenti sorcier. Elle avait alors saisi l'un des balais au manche cassé qu'elle avait tout de même tenu à conservé. Un sourire avait alors éclairci son visage alors qu'elle laissait le souvenir se déployer en elle, le jour où elle avait heurté la baie vitrée de la salle à manger. Elle ne se rendait pas encore compte de tout ce qu'elle allait laissé derrière elle. Pour elle, c'était un nouveau départ, de nouveaux paysages et de nouveaux visages. Une nouvelle vie en perspective. En parlant de nouveaux visages, ce fut un en particulier qui illumina alors son esprit. Aldéric. Le frère d'Helena, qu'elle avait rencontré l'année dernière à Oxford, alors qu'elle rendait visite à Johann, son cousin préféré, du fait de leur même âge. Alors qu'elles avaient toutes deux tant de ressemblances, elles se promirent de se revoir dès que possible. Ce qui arriva quelques semaines plus tard, Lilith recevant une lettre de la part de Lena, l'invitant chez elle. Et c'est ce jour-là qu'elle l'avait rencontré. La jeune sorcière avait toujours été quelqu'un d'utopiste. Et certainement bien trop romantique pour un monde si froid. Tout aurait pu être si simple si elle avait suivi cette mode. Tellement moins douloureux si son cœur n'avait pas battu si fort pour Lui. Si elle avait cessé de n'avoir d'yeux que pour lui ce soir-là. Après tout, que savait-elle de lui ? Absolument rien, si ce n'est qu'il était le grand frère d'Helena. Mais ce n'était qu'un détail. Et c'est cette naïveté qui la perdra. Cette douce naïveté qui a osé lui laisser croire qu'il s'intéresserait un jour à elle. Espoir qui malheureusement, fut entretenu par sa sœur, souhaitant juste amoindrir la douleur de son ami face à la vérité de l'indifférence d'Aldéric à son sujet. Bienveillance qui fut de trop et qui dur encore aujourd'hui, berçant Lilith dans un berceau d'illusion. Alors qu'elle relisait la dernière lettre qu'elle avait reçu, elle s'émoustillait d'avance de le revoir enfin. Puis que quelques mois...
Elle atterrit à Glasgow de longues heures après, réveillé par une hôtesse alors qu'elle avait cédé à un sommeil peu réparateur. Son père l'attendant à l'aéroport et ils avaient alors pris le chemin de leur nouveau chez-eux, dans le sud de l'écosse. Ne demandez pas à Lilith pourquoi elle a choisi son père si loin de chez elle, car tout ce qu'elle saura vous répondre c'est que c'était une terrible erreur. Que c'était comme ça et puis c'est tout. Concours de circonstance. Une meilleure situation chez son père, une absence de travail pour sa mère, l'ayant donc poussé à se trouvé un petit appartement exiguë et peu adapté à la garde d'un enfant. Déduisez-en ce que vous voulez. Cet été-là fut un été comme les autres, la chaleur étant au rendez-vous dans la région, les escapades furent au rendez-vous et Lil' se fit quelques connaissances du village, de quoi garder son humeur pas loin du beau fixe pendant deux mois. Elle ne se rendait pas compte qu'elle était partie. Pas compte qu'elle n'y retournerait sans doute jamais. Mais l'absence de sa mère lui pesait souvent et elle commençait à comprendre, alors que les larmes inondaient ses yeux lors des longs moments où elle n'avait au téléphone. Mais les vacances étaient les vacances. Et elle n'avait pas encore réaliser qu'elles se terminent toutes un jour. Et qu'il faut reprendre le cours habituel des chose. Épreuve qui allait alors s'annoncer bien plus difficile que prévue...
« Lilith ? Tu peux venir s'il te plaît ? » La demoiselle, allongée à plat ventre sur son lit releva sa tête blonde à l'entente de son prénom. Fermant son livre, elle se leva dans un soupir avant de prendre la direction du salon. La rentrée des classes était demain et ses pensées étaient bien trop obnubilées par celle-ci pour avoir la moindre idée de ce qui l'attendait. Traînant comme toujours involontairement ses pieds sur le carrelage du couloir, Lil' sentit malgré son insouciance, le mal arrivé alors qu'elle croisait le regard sérieux de son père. « Oui ? » Ce fut son père qui répondit, d'un ton calme et accompagnée de cette intonation qui agaçait la jeune blonde. Jusqu'à quand continuerait-il à lui parler comme une enfant ? Perdue dans cette amère constatation, elle ne fit même pas attention à ses premiers mots. Mais la suite ne se fit pas répétée. « ... Ta mère et moi avons décidé de divorcer. » Lilith tentant vainement de croiser le regard fuyant de sa mère. Elle s'en doutait depuis si longtemps. Sa mère l'avait si souvent évoquée, alors qu’elle était seule à la gare ou à bien d'autres moments. Mais sa fille avait persisté naïvement à croire qu'elle n'en aurait jamais l'audace. Après tout, sa mère n'avait jamais été très entreprenante, caché derrière les colères de son mari. « Okay. » Ok... C'était tout ce qu'elle avait à dire... Ou plutôt, tout ce qu'elle avait su dire. Et après tout, à quoi s'attendaient-ils ? Elle n'avait jamais été capable d'exprimer réellement ce qu'elle ressentait. Peut-être après tout qu'on ne lui avait jamais apprit. Peut-être après tout que ce foyer aux profondeurs si froides ne l'avait pas aidé à s'extérioriser. Aussi ne réalisait-elle pas ce qui lui arrivait. Aussi ne comprenait-elle pas l'ampleur de l'évènement et ce qui allait en découler. Comment aurait-elle pu, après tout, le temps n'en fait qu'à sa tête, malmenant ses habitants entre les péripéties les plus imprévisibles. « Et... ça ne te dérange pas ? Tu n'as rien à dire ? » Lilith ne pu retenir un sourire. Véritablement mal venu vu le contexte. Pourtant, il ne fallait certainement pas le prendre pour ce qu'il était. La jeune américaine avait toujours eu la manie de rigoler lors des mauvais moments. Angoisse, tension, trouble... C'était sa réponse, bien plus significatifs de ses sentiments que les paroles qui suivirent. « Qu'est-ce que vous voulez que j'vous dise ? Je ne crois pas avoir beaucoup le choix. » Et c'est dans ce même sourire qu'elle quitta la pièce. Dans ce même sourire qu'elle retourna à sa lecture, comme si rien de tout ça ne s'était passé. Malheureusement pour elle, sa lointaine manie à enfouir les évènements fâcheux n'allait pas suffire à éloigner la peine qui l'assaillirait bientôt. Ce n'était qu'une question de temps... Pourtant, il aurait pu être intéressant de parcourir les pensées de Lilith à cet instant précis. Au fond de son esprit, ce n'était pas de la tristesse qu'on y aurait rencontré. C'était de la joie. Déplacée et signe d'un cœur aussi dur que la granite élémentaire me direz-vous. Et sans aucun doute auriez-vous tort. Ce n'était pas de l'indifférence, mais de la naïveté. Une bien trop grande dose de naïveté, alimentée par les lectures de la jeune sorcière. Elle, qui avait toujours eu une vie sans histoires, un passé plat, une enfance banale et inintéressante, venait enfin de faire la rencontre d'un bouleversement qui allait enfin animer sa vie. Au fond d'elle-même, espérait-elle de la pitié ? Ce ne serait pas impossible. Pas impossible qu'elle se serve de cette situation pour qu'on s'intéresse à elle. Enfin...
► CHAPTER TWO
quelque part au milieu de l'atlantique.
mois de juillet de l'année passée.
quelque part au milieu de l'atlantique.
mois de juillet de l'année passée.
Lorsque Lilith se présenta à l'embarcadère, ce n'était pas dans un état des plus réveillé... La soirée d'hier pour laquelle elle avait décalé son départ s'était terminé relativement tard. Pour ne pas dire qu'elle avait été sans interruptions. Et une nuit blanche aussi agitée ne laisse jamais dans un très bon état. Après une heure d'attente, l'adolescente monta enfin dans l'avion. C'est uniquement une fois installée dans son siège, un air des Three Days Grace défilant au creux de ses oreilles qu'elle laissa ses pensées croiser le fil narrateur des évènements des jours passés. Tout s'était passés si vite, emplit d'une presque choquante indifférence. Il avait fallu faire tout les cartons pour le déménagement, jeter ce qui ne valait pas la peine d'être emmené et voir la maison de son enfance se vider peu à peu. Ranger sa chambre avait été bien plus dur qu'elle ne se l'était imaginé. Agenouillé au milieu de sa chambre, sur les planches du parquet qui revêtait le sol. Ses jouets d'enfants l'entouraient, et alors elle redevenait la fillette qu'elle avait été, parmi ses balais volants miniatures et tout autre ustensiles d'apprenti sorcier. Elle avait alors saisi l'un des balais au manche cassé qu'elle avait tout de même tenu à conservé. Un sourire avait alors éclairci son visage alors qu'elle laissait le souvenir se déployer en elle, le jour où elle avait heurté la baie vitrée de la salle à manger. Elle ne se rendait pas encore compte de tout ce qu'elle allait laissé derrière elle. Pour elle, c'était un nouveau départ, de nouveaux paysages et de nouveaux visages. Une nouvelle vie en perspective. En parlant de nouveaux visages, ce fut un en particulier qui illumina alors son esprit. Aldéric. Le frère d'Helena, qu'elle avait rencontré l'année dernière à Oxford, alors qu'elle rendait visite à Johann, son cousin préféré, du fait de leur même âge. Alors qu'elles avaient toutes deux tant de ressemblances, elles se promirent de se revoir dès que possible. Ce qui arriva quelques semaines plus tard, Lilith recevant une lettre de la part de Lena, l'invitant chez elle. Et c'est ce jour-là qu'elle l'avait rencontré. La jeune sorcière avait toujours été quelqu'un d'utopiste. Et certainement bien trop romantique pour un monde si froid. Tout aurait pu être si simple si elle avait suivi cette mode. Tellement moins douloureux si son cœur n'avait pas battu si fort pour Lui. Si elle avait cessé de n'avoir d'yeux que pour lui ce soir-là. Après tout, que savait-elle de lui ? Absolument rien, si ce n'est qu'il était le grand frère d'Helena. Mais ce n'était qu'un détail. Et c'est cette naïveté qui la perdra. Cette douce naïveté qui a osé lui laisser croire qu'il s'intéresserait un jour à elle. Espoir qui malheureusement, fut entretenu par sa sœur, souhaitant juste amoindrir la douleur de son ami face à la vérité de l'indifférence d'Aldéric à son sujet. Bienveillance qui fut de trop et qui dur encore aujourd'hui, berçant Lilith dans un berceau d'illusion. Alors qu'elle relisait la dernière lettre qu'elle avait reçu, elle s'émoustillait d'avance de le revoir enfin. Puis que quelques mois...
Elle atterrit à Glasgow de longues heures après, réveillé par une hôtesse alors qu'elle avait cédé à un sommeil peu réparateur. Son père l'attendant à l'aéroport et ils avaient alors pris le chemin de leur nouveau chez-eux, dans le sud de l'écosse. Ne demandez pas à Lilith pourquoi elle a choisi son père si loin de chez elle, car tout ce qu'elle saura vous répondre c'est que c'était une terrible erreur. Que c'était comme ça et puis c'est tout. Concours de circonstance. Une meilleure situation chez son père, une absence de travail pour sa mère, l'ayant donc poussé à se trouvé un petit appartement exiguë et peu adapté à la garde d'un enfant. Déduisez-en ce que vous voulez. Cet été-là fut un été comme les autres, la chaleur étant au rendez-vous dans la région, les escapades furent au rendez-vous et Lil' se fit quelques connaissances du village, de quoi garder son humeur pas loin du beau fixe pendant deux mois. Elle ne se rendait pas compte qu'elle était partie. Pas compte qu'elle n'y retournerait sans doute jamais. Mais l'absence de sa mère lui pesait souvent et elle commençait à comprendre, alors que les larmes inondaient ses yeux lors des longs moments où elle n'avait au téléphone. Mais les vacances étaient les vacances. Et elle n'avait pas encore réaliser qu'elles se terminent toutes un jour. Et qu'il faut reprendre le cours habituel des chose. Épreuve qui allait alors s'annoncer bien plus difficile que prévue...
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 13:53
► CHAPTER THREE.
appartement de mr. blackwell, dumfries, ecosse..
mois de février, dans l'année de ses dix-sept ans...
appartement de mr. blackwell, dumfries, ecosse..
mois de février, dans l'année de ses dix-sept ans...
Ses yeux étaient restés parfaitement secs alors qu'elle gardait des mouvements calmes et sereins. Comme toujours, elle était excessive. Que ce soit dans ses sentiments, dans ses rêves, ou bien dans ses punitions, il fallait qu'elle en fasse trop. Pourtant, elle avait tant voulu que tout soit parfait. Tout aurait d'ailleurs pu être parfait. Et elle aurait passé la meilleure année possible dans sa nouvelle école. Mais rien ne s'était passé comme prévu. Et tout avait dérapé. Lilith dévissa le bouchon de la bouteille d'alcool. Vodka si on en lisait l'étiquette. Qui sait depuis quand elle n'avait pas été ouverte, ses parents n'en ayant que très peu bu à sa connaissance. Pensée futile qui traversa son esprit avant l'acte. Elle approcha alors la bouteille de son nez, et ne put retenir un froncement de sourcil. Y'avait rien à dire, sans en avoir bu, elle savait déjà cette boisson parfaitement dégueulasse. La jeune demoiselle n'avait jamais aimé l'alcool. A vrai dire, elle détestait ça. Mais elle ne pouvait s'empêcher de boire un peu de temps en temps. Au début, simplement pour « faire comme tout l'monde. » Pour être accepter ? Ne plus paraitre la petite fille prude et chaste qu'elle était réellement. Puis peu à peu, il avait été l'hôte de sa peine et le confident de ses douleurs. Mais ce soir là, il serait l'unique témoin de sa déchéance. Les diodes du réveil annonçait minuit lorsqu'elle s'était levé, après avoir veillée jusque là. Son père dormait dans la chambre d'à coté et ne l'entendit pas descendre les escaliers jusqu'à la sombre cuisine. Elle n'alluma qu'une petite lumière, laissant sa lumière envahirent un petit espace autour de la table... Son regard oscillait entre la bouteille de jus d'orange et la vodka, voisines de table au contenu par ailleurs des plus paradoxale. Son expérience en cocktail n'était pas bien élevé. Ainsi versa-t-elle un peu au feeling le liquide orangée dans le cristallin de l'autre. Pourquoi avait-il fallu qu'elle en arrive là. Pourquoi avait-il fallu qu'elle se sente si seule... D'un geste instinctif, Lilith referma sa main sur sa poitrine, au juste endroit où aurait du se trouver son cœur. Mais duquel il avait disparu, laissant alors un trou béant, à la cicatrisation semblant impossible. A cette heure de la nuit, elle avait perdue tout sentiments. Les avait enfoui au plus profond d'elle-même, n'étant pour elle que synonymes de souffrances accrues. Pourtant, elle força les souvenirs à la cause de son futur geste à ressurgir de sa mémoire barricadée. Tout avait commencé en septembre, alors qu'elle faisait son entrée à Pourdlard, directement en septième année. Là où elle n'avait pas réellement réussi à s'intégrer. Car au fond d'elle-même, elle ne le voulait pas. Car au fond d'elle-même, elle voulait fuir la séparation, fuir la nouveauté de cette situation, le changement qui s'était opéré dans sa vie. Puis le premier coup arriva, le deuxième jour de son arrivée alors qu'elle le croisa pour la première fois, depuis un an. Son rythme cardiaque s'était accéléré alors qu'elle s'était approché de lui pour le saluer. Et quelle ne fut pas sa surprise de voir qu'il se souvenait tout juste d'elle. Qu'il se mit alors à nier les lettres avec une sincérité troublante. Beau menteur. Ou menteuse ? Lilith en était venu à se demander qui était le véritable coupable dans cette histoire ? Le garçon avait-il une quelconque influence dans tout ce stratagème ? Ou alors avait-il été orchestré par une tierce personne ? Alors que l'évidence frappait la jeune blonde, elle ne voulut pas y croire. Elle ne pouvait pas être derrière tout ça. Pas elle. Pas celle à qui elle s'était tant attaché, comme toujours. Sans la connaître... Pourtant, le résultat était là... Et elle était l'unique personne au courant de ses sentiments pour Aldéric. Helena... Intérieurement, elle se mit à la maudir. L'injurier de tout les mots dont elle était capable, pour compenser sa tristesse et camoufler sa honte. Honte envers elle-même, face à Aldéric, mais également face à Lena. Elle lui avait fait miroiter tout ce qu'elle avait toujours voulu. Elle lui avait fait croire à cet utopiste prince charmant. Qui n'était en réalité que de l'encre coulée sur un peu de papier. Elle avait été celui qu'elle avait aimé pendant un an. Elle avait été l'homme parfait qui avait toujours inconsciemment hanté ses rêves. Et les troubles qui s'étaient d'abord insinuée en elle face à cette ambiguïté c'était transformé en haine. Contre elle-même. Car comme toujours, Lil' s'était vue incapable d'en vouloir réellement à Helena. C'était de sa faute, jamais elle n'aurait du faire confiance à quelqu'un qu'elle ne connaissait pas. Encore une fois, elle avait été trop naïve pour voir la réalité en face. Mais maintenant, tout ça allait finir. Pour confirmer ses pensées, elle pris le comprimé dans sa main tremblante avant de le poser sur sa langue. Jugeant le verre d'alcool fortement dosé, elle en but les quelques gorgées nécessaires pour avaler le cachet. Et de un. Et puis il y avait son père. Et la violence de ses colères. Jamais violente, mais aux mots semblables à des milliers de lames fichées à chaque fois plus profond dans son cœur. Et de deux. Chaque paroles étaient gravée jusque dans son âme. Chacune qu'il avait pu prononcer, par simple fatigue et envie de s'épancher sur quelqu'un. En l'absence de sa mère, il n'avait trouvé que sa fille unique comme supporteur de ses impatiences... « Ordure ambulante. ». Et de trois. « Sale putain de garce. » Et de quatre. Au fur et à mesure que les insultes paternel résonnaient à ses oreilles, elle avalait les comprimés. Une boite. Puis une autre... Ravalant les relent émanant de ses entrailles, elle se saisit de la table avec force, le regard dans le vide. Bientôt, ce serait fini. Tout serait enfin fini. La solitude ne pèserait plus autant sur elle. Elle avait gagné. Game over, Lilith était fatiguée de se battre. Elle partit alors se recoucher, d'une lucidité qu'elle trouva sur l'instant, plutôt ahurissante. Mais ce fut une fois couché qu'elle comprit que c'était fini. Une fois couché qu'elle se mit à lutter contre la nausée qui soulevait son cœur, tentant vainement de repousser ce qu'on lui avait forcé à ingurgité et qu'il savait mauvais pour lui. Mais l'adolescente ferma ses paupières, tentant ainsi d'atténuer le vertige qui s'emparait peu à peu de son corps. Car enfin la nuit se referma sur l'esprit de Lilith...
« Mademoiselle ? Vous nous entendez ? » Les paroles lui semblait lointaine, comme tout droit sortie d'un rêve. Ou alors était-ce ça le rêve. Elle ne savait pas. Où se trouvait le vrai du faux, ni même de quel coté du miroir elle devait se réveiller... Elle n'avait plus la force. Tout ce qu'elle souhaita, c'était qu'on la laisse dormir... Juste dormir... Mais ses interlocutrices ne semblaient pas en avoir décider ainsi lorsque ses paupières se levèrent avec pénibilité...
« Mademoiselle ? Vous nous entendez ? » Les paroles lui semblait lointaine, comme tout droit sortie d'un rêve. Ou alors était-ce ça le rêve. Elle ne savait pas. Où se trouvait le vrai du faux, ni même de quel coté du miroir elle devait se réveiller... Elle n'avait plus la force. Tout ce qu'elle souhaita, c'était qu'on la laisse dormir... Juste dormir... Mais ses interlocutrices ne semblaient pas en avoir décider ainsi lorsque ses paupières se levèrent avec pénibilité...
► CHAPTER FOUR.
université de magie anglaise.
un soir, il y a quelques semaines.
université de magie anglaise.
un soir, il y a quelques semaines.
« J'sais pas pourquoi j'ai fait ça. Encore aujourd'hui, je l'ignore réellement. Oh bien sur, j'y ai repensé. Mais à chaque fois, cela me menait à une solution que je trouvais bien trop triviale. Je ne regrettais rien. Pas un seul instant j'étais parvenue à regretter mon geste. Il avait été pour moi plus qu'un déclencheur. Une remise à niveau, comme un pardon que je m'accordait. Du moins c'est ce que je croyais. Comme un nourrisson, je prenais mon premier souffle. Mais c'était sans savoir que je me leurrais à nouveau. Sous-estimer le pouvoir de mon inconscient avait été ma plus grosse erreur. C'est vrai, j'avais longtemps cru que tout était fini, que j'avais retrouvé cette équilibre que je n'avais, à vrai dire, jamais réellement trouvé. Personne ne chercha profondément à savoir pourquoi j'étais resté absente ses quelques semaines, et ce n'est pas plus mal. Je n'ai jamais été douée pour mentir sur l'importance des choses. Et jamais je n'aurais tenu face à quelqu'un de trop insistant. Pourtant, je ne suis aujourd'hui qu'un monstre inanimé. Comment se fais-ce que je parvienne à écrire ses mots avec autant de simplicité ? Comment se fais-ce que je parvienne à tremper ma plume dans cette encrier sans ressentir la moindre émotion ? Je ne devais être qu'une erreur. Une erreur humaine, barricadée autour de barrières sentimentales infranchissables, finissant par m'enfermer moi-même. Condamnation que je ne veux pas. J'aimerais tellement vivre. Et ne pas me contenter de survivre. Il suffirait que je sois heureuse. Il suffirait que je laisse l'allégresse que mon paradoxe m'autorise le jour me submerger. Mais j'en suis incapable. Surtout lorsque le soir tombe et m'enveloppe de son long manteau d'ébène. Alors elle revient me hanter, cette solitude que je redoute tant. » Lilith releva un instant la tête du papier, pensive. Glissant une mèche de ses longs cheveux blonds derrière son oreille, elle se remit à écrire. « Ce que j'écris me fait un peu rire. A vrai dire, je n'ai pas l'habitude de parer au vide. Bien que j'en prend l'habitude. Il y a quelque jours, je me suis dit qu'écrire me ferait plutôt du bien. Malgré le fait que je sais que je seras incapable de tenir un journal régulièrement, je ne l'avais été. Certainement trop inconstante pour ça. Mais après tout tant pis si je suis comme ça. Pourquoi si peu semble me prendre telle que je suis réellement ? Pourquoi faut-il toujours que je joue un jeu ? Que le bonheur plane sur mon visage pour qu'ils ne se désintéressent pas ? Il est vrai que je me laisse facilement emporté par ce bonheur éphémère que je ressens lorsque je suis avec eux. Cette bonne humeur qui m'anime alors. Mon passé n'est pas effacé. Il se tient à mes cotés constamment, mais contrairement à d'autres moments, il n'a plus cette emprise sur moi et enfin, je vie le présent comme j'aurais toujours du le vivre. Et parfois c'était tellement agréable.
J'ai fini par oublier Aldéric, comme d'autres autour de lui. Du moins c'est ce dont je me persuade avec succès jusqu'à maintenant. Je suis parvenue à lutter contre mes peines grâce à un sarcasme travaillé avec le temps. J'enfonce, je taquine et cela me plaît. Parfois je vais trop loin, par auto-défense involontairement, un geste ou un parole ayant troublée la timide enfant que je suis encore... » « Lil', tu comptes rester là toute la nuit ? » La jolie blonde se retourna, jugeant une amie qui se tenait à l'entrée de la salle commune, un air presque inquiète sur le visage. Rangeant alors le papier un peu froisser dans un livre de cours, elle entreprit de se lever, peignant ce si joli sourire sur son visage. « Heureusement que non, cette botanique causera ma fin si je continue ! » « Qu'elle idée d'avoir pris ça en option aussi, parfois, j'me dis que t'es réellement frappée...» Leur éclat de rire s'éleva alors dans les couloirs, aux rythmes de leur bousculades, jusqu'au dortoir des filles. L'insouciance reprenait alors le dessus sur Lilith, absorbant la morosité qui tendait à s'emparer de l'étudiante. Comme toujours, elle passait d'un été à l'autre, avec une facilité déconcertante. Tout ce qu'elle voulait, c'était se débarrasser de celle qui l'écrasait. Elle savait qu'elle n'était pas loin... L'intervention de son amie fit presque oublié à notre jeune sorcière ses derniers écrits qu'elle finit par trouvé dérisoires. Et ce jusqu'au prochain soir...
J'ai fini par oublier Aldéric, comme d'autres autour de lui. Du moins c'est ce dont je me persuade avec succès jusqu'à maintenant. Je suis parvenue à lutter contre mes peines grâce à un sarcasme travaillé avec le temps. J'enfonce, je taquine et cela me plaît. Parfois je vais trop loin, par auto-défense involontairement, un geste ou un parole ayant troublée la timide enfant que je suis encore... » « Lil', tu comptes rester là toute la nuit ? » La jolie blonde se retourna, jugeant une amie qui se tenait à l'entrée de la salle commune, un air presque inquiète sur le visage. Rangeant alors le papier un peu froisser dans un livre de cours, elle entreprit de se lever, peignant ce si joli sourire sur son visage. « Heureusement que non, cette botanique causera ma fin si je continue ! » « Qu'elle idée d'avoir pris ça en option aussi, parfois, j'me dis que t'es réellement frappée...» Leur éclat de rire s'éleva alors dans les couloirs, aux rythmes de leur bousculades, jusqu'au dortoir des filles. L'insouciance reprenait alors le dessus sur Lilith, absorbant la morosité qui tendait à s'emparer de l'étudiante. Comme toujours, elle passait d'un été à l'autre, avec une facilité déconcertante. Tout ce qu'elle voulait, c'était se débarrasser de celle qui l'écrasait. Elle savait qu'elle n'était pas loin... L'intervention de son amie fit presque oublié à notre jeune sorcière ses derniers écrits qu'elle finit par trouvé dérisoires. Et ce jusqu'au prochain soir...
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 13:54
bienvenue parmi nous (l)
ton pseudo me dit quelques chose, tiens.
ton pseudo me dit quelques chose, tiens.
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 13:55
Bonnie S. Bougrov a écrit:
ton pseudo me dit quelques chose, tiens.
idem pour moi (a)
bienvenue ! (l)
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 13:57
Merci beaucoup. (l)(l)
Et c'est une coïncidence parce que c'est la première fois que je l'utilise, que ce soit le prénom ou le nom de famille. ^^
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 14:12
Bienvenue parmi nous ! (a)
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 17:30
elsa est un très très bon choix :baveuh: (l)
Bienvenue parmi nous
Bienvenue parmi nous
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 17:31
Merci. :brille:
Et merci aussi pour Elsa, je l'aime également beaucoup.
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 17:42
Bienvenue (l) J'adore le prénom que tu as choisi :hysteric:
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 17:47
AMVD. (l)(l)
Désolée, j'peux pas m'en empecher, j'adore cette mannequin. (aa)
Merci beaucoup, bien entendu, pour le prénom comme pour l'accueil.
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 18:16
Bienvenue. Bon courage pour ta fiche. (l)
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Lun 1 Nov 2010 - 18:23
Merci, j'vais en avoir besoin, de courage. x')
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Mar 2 Nov 2010 - 15:39
Bienvenue (l)
Elsa Hosk :inlove: Magnifique choix d'avatar :hysteric:
Bonne chance pour ta fiche :brille:
Elsa Hosk :inlove: Magnifique choix d'avatar :hysteric:
Bonne chance pour ta fiche :brille:
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Mar 2 Nov 2010 - 16:02
Merci little vampire. :hug: (l)
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Mar 2 Nov 2010 - 22:00
Fiche poubelle terminée. --'
Elle est mauvaise, en toute honnêteté. Je n'ai fait ressortir que le coté triste du personnage, c'pas c'que j'voulais du tout, mais je n'ai pas le courage de tout recommencer alors je laisse comme ça, j'me rattraperais en rp. Bref, tout l'monde s'en tape, alors mauvaise lecture au correcteur. (aa)
:ping-pong:
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Mer 3 Nov 2010 - 11:39
Je viens enfin de terminer ta fiche ! xD
Bon sang on ne peut pas dire qu'elle était courte lol mais ce fut tout de même un véritable plaisir de te lire. Fiche poubelle ? "Où ca" j'ai bien envie de te dire ? Je n'ai vu là qu'une fiche sublime ! certes triste, mais vraiment sublime. Les mots -bien trouvés- coulent à merveille ... l'histoire est bien ficelée, l'intervention de deux personnages existants (Aldéric & Helena) rendent l'histoire plus "vrai' ... non franchement j'adhère ! :)
Je n'ai qu'une chose à te dire : bravo pour cette fiche & je te valide ! (l)
Bon sang on ne peut pas dire qu'elle était courte lol mais ce fut tout de même un véritable plaisir de te lire. Fiche poubelle ? "Où ca" j'ai bien envie de te dire ? Je n'ai vu là qu'une fiche sublime ! certes triste, mais vraiment sublime. Les mots -bien trouvés- coulent à merveille ... l'histoire est bien ficelée, l'intervention de deux personnages existants (Aldéric & Helena) rendent l'histoire plus "vrai' ... non franchement j'adhère ! :)
Je n'ai qu'une chose à te dire : bravo pour cette fiche & je te valide ! (l)
- InvitéInvité
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Mer 3 Nov 2010 - 12:31
Merci beaucoup alors, si c'est sincère, ça m'touche beaucoup. :grandsyeux:
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: ♦ just gonna stand here and hear me cry.
Mer 3 Nov 2010 - 12:34
Je dis toujours ce que je pense ! :)
|
|