- InvitéInvité
Une violence sous une lumière dansante [ Luke ]
Mar 9 Nov 2010 - 21:17
FLASH BACK
Rueben: Alors Jess tu as hâtes de rentrer à poudlhard.
Jessy: J'ai peur
Rueben:Ho ma cocotte ça va aller ca sera différent de l'autre école.En plus tu es la dernière Prescott tu ne devrais pas passer innaperçu.
Tristan :La seule fille en plus.
Rueben: Il n'a pas tord une belle blonde au cheveux comme le blé.
Jessy : Je déteste la magie !
Samuel: Ho tait-toi Jess bon sang !
Jessy Le monde dans lequel je vis depuis 11 ans me satisfait pleinement.
Rueben : Tu as peur c'est tout.
Tristan : Tu sera la meilleure des sorcière petite soeur.
Samuel : Si tu es dans la serpentard bien sûr.
Jessy tira la langue et un grand fracas se fit entendre dans la maison suivit d'une vague de lumière.
FIN FLASH BACK.
Une douleur à l'estomac, une souffrance qui montait dans ma gorge , qui me forçait à crier ma douleur de la perte d'un proche , de l'injustice , la misérable vie que je n'arrivais pas à suivre correctement me laissant plutôt dévier toujours.Je reprenais lentement consience de mon environnement. Sous la douche brûlante qui réveillait ma peau froide à chaque petite goutelette. En boul. Les jambes contre ma poitrine , mes douloureux membres tremblaient de colère , de tristesse ronger avec le toute ces années. Mes dents rencontraient la chaire de mes lèvres mordant jusqu'au sang en laissany le liquide rouge au goût ferreux dans une seule goutte coulant le long de mon menton.J'avais saccager mon appartement en plein rage il y a quelque jour en cassant mon poignet contre le mur. Je me perdais de nouveau et sombrasi dans l'ancienne moi . L'horrible Jessy tourmentée qui laissait a elle les pires séquelles.Qui se construisait une carapace de marbre , ne dormait plus la nuit laissant pousser d'affreuse cerne sous les yeux et des prunelles rougies par le manque de sommeil.Mes doigts faibles aggripèrent mes mèches dorées les arrachant presque de sur ma tête. L'eau cessa de couleur. Dans un nuage de buée je sortis enroulant mon corps blanchâtre dans une serviette.
Filant à ma chambre j'enfila un vieux jean et un chandail quelconque qui laissait paraître mes jolies courbes.Je fila à travers le couloir m'arrêtant nette quelque instant pour contempler les multitudes photos. Je pris celle de moi et de mes frères aînées , la dernière avant que la mort nous sépare. J'ouvris par la suite la fenêtre dans un coup de vent en me glissant avec agiliter sur la cage d'escalier. Je pris soins d'utiliser une chandelle pour tamiser l'endroit en regardant longuement la cire couler. Je porte mes prunelles par la suite vers la flamme. D'une fragilité immense elle ne tenait qu'à un file pour ne pas s'étindre sous la douce brise. Elle me faisait penser à moi , si faible , sans défence.
Je pris la photo et la fracassa sur le sol. La vitre du cadre se brisa aussitôt laissant un têtement retentir à travers le silence infernal. Sur mon perchoir je dissimula une ombre dansante sous la douce lumière de la chandelle.
Que fais tu là ?
- InvitéInvité
Re: Une violence sous une lumière dansante [ Luke ]
Sam 20 Nov 2010 - 18:11
C’était étrange comme les choses arrivaient parfois sans qu’on les provoque. J’étais venu ici comme tous les soirs pour fumer tranquillement sans prise de tête et pour admirer la vue imprenable de Norwich.. Je n’avais pas envie de dormir, je revenais d’un rendez-vous secret. Ici je n’avais plus l’obligation de partager un dortoir ! C’était tellement différent d’être à Hung lorsque l’on avait connu Poudlard où dès lors que vous sortiez de votre dortoir vous aviez une chance sur deux d’être pris en flagrant délit par le concierge ou par un membre du corps enseignant. Ici, les étudiants semblaient être libres de sortir et de rentrer dans l’enceinte sans plus de cérémonies, de vivre à Hung ou d’avoir un appartement. J’aimais ce goût de liberté même s’il me laissait toujours un goût amer car le prix a payé pour cette liberté avait été de voir ma mère emportée par la maladie. Bien sur depuis la mort de cette pauvre fille, que je ne connaissais pas, la sécurité avait été renforcée. Cependant, un consommateur comme moi, trouve rapidement les bons filons pour entrer et sortir sans difficultés aucunes.
Je n’étais pas à Hung depuis 4 mois pourtant je m’étais très vite acclimaté à ce lieu chargé d’histoires en tous genres. J’avais du prendre soin de ma mère alors que je venais d’obtenir mes Aspics ce qui expliquaient mon âge et mon arrivée tardive en 1ère année. Cette université était de taille humaine, les professeurs plutôt bon mais comme toute petite Université la vie de chacun était d’un intérêt primordial. Ils se murmuraient ici ou là les derniers ragots le fameux ‘’Qui couche avec qui ? Qui a fait quoi ? Qui est où ?’’ Des questions existentielles apparemment pour quelques jeunes dindes, fort appétissantes s’il en est. Le dernier gossip en date était la séparation de Jun et Jessy Prescott. Personne ne savait vraiment pourquoi, sauf quelques personnes comme Leah, Jack, et moi bien sûr. A dire vrai les gossip et autres faits du genre ne me passionnaient guère et j’étais plutôt du genre méprisant quand à ceux qui les colportaient sans jamais se soucier du mal qu’il faisait à leurs victimes. L’une des choses qui me rendaient heureux d’être venu ici c’était le fait d’y retrouver ma chère Eurydice, ma sœur de cœur. Même durant cette année sombre que je venais de passer elle m’avait soutenu, elle était venue quelques fois me voir à Dublin et rendre visite à ma mère qui adorait la demoiselle. C’était bon de la revoir et d’être proche d’elle à nouveau. Pourtant à l’instant même je n’avais pas en tête l’amitié, l’amour, la joie. Non je n’avais en moi que le manque, le doute, la peine, la haine, la violence que je contenais depuis bien trop longtemps.
En m’approchant au plus près j’aperçus Jessy, la demoiselle dont on avait parlé pendant quelques semaines et qui de ce fait avait préféré partir aux Etats-Unis. J'étais même passé la voir quelques jours là-bas. Cela m'avait fait beaucoup de bien. Jess était une amie proche de Leah. Ah Leah ! Cette fille avait été importante, j’avais été fou d’elle mais je n’avais pas voulu gâcher son amitié avec Eurydice et encore moins ma relation fusionnelle et fraternelle avec ma p’tite soeurette. Je me souviendrais toujours de cette nuit là, de sa déclaration, de mon refus, de notre baiser, de notre première fois ensemble. Je l’ai gardé longtemps dans un coin de ma tête et de mon cœur mais je ne pouvais rien dire, je ne pouvais pas en parler à Eurydice, elle ne savait rien de ça. J’avais du jouer les indifférents face à Leah, face à ses regards douloureux après notre nuit alors que je n’avais qu’une envie la retrouver. Repenser à tout cela alors qu’elle va se marier avec ce fucking Owen me mettait hors de moi ! C’était d’ailleurs l'une des raisons pour laquelle j’étais sorti, j’avais besoin de me changer les idées, de me vider la tête de cette guimauve, de ce futur mariage !!! Le pire était de savoir que maintenant au-delà du mariage il y avait un bébé. Plus le temps passait plus elle s’éloignait de moi alors que nous avions passé la nuit ensemble l’été dernier aussi bien parce qu’elle était totalement déboussolée que moi totalement perdus à cause du décès de ma mère. Mes yeux s’habituèrent au jeu de lumière et à la pénombre, je me calais dans un coin observateur la douce jeune femme à la chevelure dorée. Je la regardais ouvrir la fenêtre puis sortir sur l’espèce de perchoir qui surplombait la terrasse où j’avais élu domicile pour m’intoxiquer. Elle avait emmené une chandelle et un cadre de photo. Qu’elle était étrange, forte et solide d’apparence mais l’instant d’après son sourire faiblissait et vous aperceviez enfin l’être fragile sous le masque. Dans un assourdissement sans fin, le cadre s’éclata sur le sol en milliers de petits bouts de verres.
« Que fais tu là ? »
Cette façon si abrupte de l’aborder moi qui était là depuis bien plus longtemps m’interpella alors que je me baissais pour ramasser la photographie. « Comme toi je cherchais un peu de tranquillité et de silence…. Mais apparemment je n’ai pas de chance ce soir.. » J’aspirais une bouffée de ma cigarette puis en expirait la fumée bleutée. Mon corps était raide et d’une certaine manière j’avais froid. Cette fille me déstabilisait et en même temps elle me fascinait. « La prochaine fois que tu as envie d’être seule, vérifie qu’il n’y a personne et bon sang évite d’agresser les gens Jessy . » Je lâchais son nom pour lui notifier que je la connaissais, que je n’étais pas un étranger et que par conséquent son animosité devait être rangé au placard. Cependant je restais toujours méfiant, on ne sait jamais la réaction des autres…
Je n’étais pas à Hung depuis 4 mois pourtant je m’étais très vite acclimaté à ce lieu chargé d’histoires en tous genres. J’avais du prendre soin de ma mère alors que je venais d’obtenir mes Aspics ce qui expliquaient mon âge et mon arrivée tardive en 1ère année. Cette université était de taille humaine, les professeurs plutôt bon mais comme toute petite Université la vie de chacun était d’un intérêt primordial. Ils se murmuraient ici ou là les derniers ragots le fameux ‘’Qui couche avec qui ? Qui a fait quoi ? Qui est où ?’’ Des questions existentielles apparemment pour quelques jeunes dindes, fort appétissantes s’il en est. Le dernier gossip en date était la séparation de Jun et Jessy Prescott. Personne ne savait vraiment pourquoi, sauf quelques personnes comme Leah, Jack, et moi bien sûr. A dire vrai les gossip et autres faits du genre ne me passionnaient guère et j’étais plutôt du genre méprisant quand à ceux qui les colportaient sans jamais se soucier du mal qu’il faisait à leurs victimes. L’une des choses qui me rendaient heureux d’être venu ici c’était le fait d’y retrouver ma chère Eurydice, ma sœur de cœur. Même durant cette année sombre que je venais de passer elle m’avait soutenu, elle était venue quelques fois me voir à Dublin et rendre visite à ma mère qui adorait la demoiselle. C’était bon de la revoir et d’être proche d’elle à nouveau. Pourtant à l’instant même je n’avais pas en tête l’amitié, l’amour, la joie. Non je n’avais en moi que le manque, le doute, la peine, la haine, la violence que je contenais depuis bien trop longtemps.
En m’approchant au plus près j’aperçus Jessy, la demoiselle dont on avait parlé pendant quelques semaines et qui de ce fait avait préféré partir aux Etats-Unis. J'étais même passé la voir quelques jours là-bas. Cela m'avait fait beaucoup de bien. Jess était une amie proche de Leah. Ah Leah ! Cette fille avait été importante, j’avais été fou d’elle mais je n’avais pas voulu gâcher son amitié avec Eurydice et encore moins ma relation fusionnelle et fraternelle avec ma p’tite soeurette. Je me souviendrais toujours de cette nuit là, de sa déclaration, de mon refus, de notre baiser, de notre première fois ensemble. Je l’ai gardé longtemps dans un coin de ma tête et de mon cœur mais je ne pouvais rien dire, je ne pouvais pas en parler à Eurydice, elle ne savait rien de ça. J’avais du jouer les indifférents face à Leah, face à ses regards douloureux après notre nuit alors que je n’avais qu’une envie la retrouver. Repenser à tout cela alors qu’elle va se marier avec ce fucking Owen me mettait hors de moi ! C’était d’ailleurs l'une des raisons pour laquelle j’étais sorti, j’avais besoin de me changer les idées, de me vider la tête de cette guimauve, de ce futur mariage !!! Le pire était de savoir que maintenant au-delà du mariage il y avait un bébé. Plus le temps passait plus elle s’éloignait de moi alors que nous avions passé la nuit ensemble l’été dernier aussi bien parce qu’elle était totalement déboussolée que moi totalement perdus à cause du décès de ma mère. Mes yeux s’habituèrent au jeu de lumière et à la pénombre, je me calais dans un coin observateur la douce jeune femme à la chevelure dorée. Je la regardais ouvrir la fenêtre puis sortir sur l’espèce de perchoir qui surplombait la terrasse où j’avais élu domicile pour m’intoxiquer. Elle avait emmené une chandelle et un cadre de photo. Qu’elle était étrange, forte et solide d’apparence mais l’instant d’après son sourire faiblissait et vous aperceviez enfin l’être fragile sous le masque. Dans un assourdissement sans fin, le cadre s’éclata sur le sol en milliers de petits bouts de verres.
« Que fais tu là ? »
Cette façon si abrupte de l’aborder moi qui était là depuis bien plus longtemps m’interpella alors que je me baissais pour ramasser la photographie. « Comme toi je cherchais un peu de tranquillité et de silence…. Mais apparemment je n’ai pas de chance ce soir.. » J’aspirais une bouffée de ma cigarette puis en expirait la fumée bleutée. Mon corps était raide et d’une certaine manière j’avais froid. Cette fille me déstabilisait et en même temps elle me fascinait. « La prochaine fois que tu as envie d’être seule, vérifie qu’il n’y a personne et bon sang évite d’agresser les gens Jessy . » Je lâchais son nom pour lui notifier que je la connaissais, que je n’étais pas un étranger et que par conséquent son animosité devait être rangé au placard. Cependant je restais toujours méfiant, on ne sait jamais la réaction des autres…
- InvitéInvité
Re: Une violence sous une lumière dansante [ Luke ]
Sam 20 Nov 2010 - 22:23
Dans un sursaut violent et à la suite d'un grands fracas de vitre sur le sol. Son ombre avait danser un peu avec la lumière de la chandelle avant que j'apperçois parfaitement son visage. Mes sourcils se froncèrent ne formant presque plus un en lui posant une question qui resta un moment en suspension. « Comme toi je cherchais un peu de tranquillité et de silence…. Mais apparemment je n’ai pas de chance ce soir.. ». Mes prunelles le suivèrent alors qu'il ramassait la photographie qui avait heurté le sol. La bouffée de fumer arrivèrent à mes narines et en plein visage qui fit retrousser mes lèvres avec une envie de ressentir aussi la sensation de celle-ci dans mes poumons. Mes mains avec une légère panique aggripèrent la photo qu'il avait ramasser plutôt. Avait-il prit le temps de la regarder ?. « Tu cherche un peu trop de tranquilité tout qu'autant que moi , mais as-tu remarquer que tu trouve à deux pas de chez moi » Je frappa doucement à l'aide de mon doigt sur la fenêtre pour lui montrer mon appartement qui brillait encore dans la lumière. Ma voix se détacha délicatement avec un tont légèrement sèche. Comme il avait bien mentionné plus haut j'étais à la recherche de silence ce qui expliquait mes disprationts constante au États-Unies et que je m'enferme à tour de bras dans mon appartement. Je ne pouvais dire combien de cours j'avais manqué à hung ces derniers temps. Asser peut-être pour que je n'arrive plus à suivre. De toute manières qui soit j'avais envisagée plusieurs fois de quitter ces études de magie pour des études normal comme un moldu.« La prochaine fois que tu as envie d’être seule, vérifie qu’il n’y a personne et bon sang évite d’agresser les gens Jessy . » . Agresser ? Bien voyons n'éxageront pas non plus alors que je n'aie que brisée un de mes nombreux cadres. Je laissa la colère dessendre en moi. Ce qu'elle pouvait monter facilement en l'instant d'une seconde ce n'est pas pour rien qu'on me qualifie comme étant une personne plutôt bouillante. Un léger sourire en coin fleurissa même sur le coin de mes lèvres cerises en le fixant de mes yeux claires. Mes longs doigts fins attrappèrent ma chandelle que je fis voler doucement autours du visage du jeune homme en riant légèrement. «Je ne tes pas agresser..Si j'aurais voulu t'agresser je t'aurais brûler avec cette douce flamme» . De mon souffle chaud j'éteignis la seul lumière de l'endroit. Le vent l'aurait éteind aussi facilement avec un seul balayement.Je m'adossa avec un silence contre la vitre qui séparait ma demeure et l'extérieur en l'observant dans la pénombre. Je trouvais ça tout de même étrange qu'il est choisit cette endroit pour venir se percher à la recherche de silence. Ne s'était-il pas rappeler que mon appartement était dans cette immeuble. Je secoua la tête en ne me posant plus de question laissant mes mèches dorées voler avec la douce brise qui effleurait ma peau de porcelaine. Et puis je fermais mes paupières lourdes me laissant plonger à l'intérieur des douloureux souvenirs et des évenement présents. J'entendais mes frères rigoles et sentait leur rire à l'intérieur de moi. La douceur de ma mère qui venait embrasser mon front pour me dire bonne nuit. Mon père qui me prenait sur ses genous pour me raconter des histoires sur la magie et les créatures qui peuplaient notre monde.Et enfin les lèvres de Jun qui se posaient sur les miennes.Je pouvais encore sentir cette douce sensation qu'il m'avait offert , mais détruit par la suite en me laissant là le coeur en miette. La douleur montait et mon visage se crispait sur place. Je grimaça de douleur et me retena de toute mes forces pour ne pas hurler dans le silence glacial. Je referma mes bras autours de mon estomac en le regardant d'un coin d'oeil.« Qu'est-ce-qui t'emmener sur ce perchoir si proche de chez moi »