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Les chats réclament .. W H I S K A S.
Mar 22 Mar 2011 - 18:22
✤ Sorcière Salut !!! Moi c'est Whiskas Looka Helen Canterburry , j'ai 24 ans, et je suis d'origine australienne. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle , mais aussi célibataire et issu d'une famille 50-50. A Hungcalf, j'ai choisi sciences occultes afin de pouvoir mettre mon imagination au service des amoureux des sucreries en créant des bonbons magiques de toutes sortes. J'ai aujourd'hui ma propre boutique. , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de cerisier, d'une longueur de 23 centimètres, elle contient en son cœur de la poudre de diamants et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de kangourou roux. avatar MEG? || icônes DAMAGE ? |
✎...CHATON OFFICIEL D'HUNGCALF :hysteric:
Dans la vraie vie, j'ai 18 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à moi :brille: et je ferais de mon mieux pour être là 7 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? oui . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à moi (aaaa) Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que I LOVE HUNGCALF :cracrac: . code règlement : patate crue (aa) |
icônes by google ?
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Re: Les chats réclament .. W H I S K A S.
Mar 22 Mar 2011 - 18:22
It's my life
Je m’appelle Whiskas Looka Helen Canterburry et je suis née le 14 février 1987. Sur ce vous devez savoir d’hors et déjà deux choses. La première c’est que je n’ai pas choisit mon prénom mais je ne me suis jamais mis l’idée en tête de le changer non plus. La seconde, je déteste le 14 février, je sais que la saint valentin existe depuis des années et existait avant ma naissance mais il n’empêche que je hais cette date et tout ce qui va avec.
Je suis la sixième enfant du clan Canterburry après mes deux frères et mes trois sœurs. Tout comme eux, je suis née dans un hôpital moldu pour la simple raison que seul mon père est sorcier alors que ma mère est moldue tout comme mes sœurs, Annya, Isobel et Olympe. Quand à moi j’ai hérité de la magie comme mes deux frères, Timothy et Dylan. Autant dire que mon père me favorise parfois un peu trop mais je n’ai jamais reçut de plainte de qui que ce soit. Nous avions une famille unie et aimante, chacun connaissait l’histoire de la magie comme l’histoire des moldus. Nous sommes tous passés par le système scolaire moldu jusqu’à ce que pour certain de nous il s’arrête et nous dirige par la suite vers Poudlard. Mon père étant à l’origine un anglais et ayant toujours eu une résidence là bas même après son mariage avec notre mère, ce dernier ne fût pas surpris lorsque des lettres provenant de Poudlard arrivèrent au domicile, d’abord pour mes frères et ensuite pour moi. Etrangement, il fut plus dur pour ma mère de me laisser partir que cela ne l’avait été avec mes frères mais elle comprit que la magie faisait partie de moi et qu’elle n’avait pas le droit de m’en priver.
L’année qui suivit ma rentrée à Poudlard, mes parents avaient quittés les terres arides de l’Australie pour le ciel gris anglais. Mes deux frères étaient déjà installés et le plus vieux allait faire sa rentrée à Hungcalf, ayant été placée chez les Serdaigle je savais déjà que moi aussi j’irais à Hungcalf et j’aurais sûrement ma place auprès des Lufkin comme Timothy, mon grand frère, me l’avait si souvent dit et il n’avait pas eu tord. Sept années passèrent, elles furent toutes plus merveilleuses les unes que les autres. Durant la période scolaire toute ma famille vivait en Angleterre excepté une de mes sœur qui avait fait sa vie avec un australien, dont elle était enceinte pour la deuxième fois. Nous nous retrouvions tous lors des vacances au domicile familial, durant ces quelques jours c’était fêtes sur fêtes, retrouvailles avec la famille, les premiers coups de cœurs, les premiers petits copains. Je n’avais jamais vraiment fréquenté de garçon à Hungcalf, j’avais de bons amis là bas aussi bien des filles que des garçons mais pour moi Poudlard était un lieu de travail et non de endroit pour fricoter. De cette façon mes parents faisaient eux aussi la part des choses, voyant que je faisais convenablement mon travail durant la période scolaire, j’avais le feu vert pour toutes les fêtes qui me faisaient envie, ainsi je pouvais rester plus d’une semaine sans rentrer chez moi, j’avais toute leur confiance.
Les années passèrent et comme je l’avais prévu, j’ai continué ma scolarité à Hungcalf chez les Lufkin ou je portais fièrement la couleur bleu comme je l’avais déjà porté étant à Poudlard. Le niveau montait d’un cran mais je trouvais ça toujours autant facile, j’aimais la magie, j’aimais ce que je faisais et je savais déjà que cela me permettrait de continuer dans la même branche que mes parents, reprendre l’entreprise familiale était pour moi un rêve, la création de bonbons m’avait toujours fasciné et les sciences occultes me permettraient de réaliser ce rêve.
Cependant il y a toujours des hauts et des bas dans une vie. Personnellement j’ai fait ma plus grosse erreur de parcours lors de ma deuxième année, tomber amoureuse. Lorsque l’on tombe amoureux, on oublie de vous dire que vous allez souffrir, que vous faites n’importe quoi parce que vous êtes comme aveugle. Mais ce sentiment vous rend tellement euphorique, vous avez l’impression d’être entouré d’un aura de bonheur et qu’aucun mal ne pourra jamais vous êtes fait, sauf que tout ça n’est que tissu de mensonge. Pour ma part, je me suis laissée prendre au piège par un beau Grymm de quatre ans mon ainé. Il était beau, il avait toutes les filles qu’il désirait, elles étaient toutes folles de lui et moi je détestais toute cette mascarade, toutes ces filles qui lui tournait autour, jusqu’au jour où il m’a dit qu’il m’aimait. Je l’ai cru, mais je m’en foutais, j’avais l’impression de voler, plus rien ne pouvait m’atteindre j’étais bien au dessus de tout ça. J’ai tout fait avec lui, j’ai découvert les plaisirs de la chair, l’effet et la gueule de bois que nous procurait un trop plein d’alcool dans le sang, et même cette sensation désagréable que l’on ressent lorsqu’on laisse de la cocaïne tapisser l’intérieur de vos narines. Je lui ai laissé faire de moi ce qu’il voulait, j’avais confiance je croyais que c’était réciproque pour lui, qu’il m’aimait tout autant que moi je l’aimais même si ça ne ressemblais pas à l’amour que l’on pouvait voir dans les films à l’eau de rose, c’était plus fort, ça nous détruisait à petit feu mais nous aimions ça. Du moins je le croyais.. Jusqu’au jour où je l’ai vu avec cette Grymm, cette putain, je ne m’étais jamais vraiment méfié de cette fille qui avait toujours été trop proche de lui, pour moi il m’aimait et c’était tout ce qui comptait. Autant dire que par la suite la descente au enfer a commencé, j’aurais imaginé que cette torture durerait toujours et pourtant seulement deux mois ont suffit à guérir mes blessures, j’ai même réussit mon année chose que je n’aurais pas imaginé. Et après j’ai enchainé les autres, je le voyais tout le temps, nous étions le souffre douleur l’une de l’autre. Le but du jeu était de faire mal, je me suis amusée à enchainer les coups d’une nuit, les petits copains arrangés qui m’aidaient à lui faire payer ce qu’il m’avait fait. Au final je ne suis pas certaine que cela ai marché puisque de son côté il faisait pareil, mais j’y ai pris goût. Même lorsqu’il est parti j’ai continué ce petit jeu, c’était une facette de ma personnalité de je n’avais jamais explorait mais je m’y étais attachée, elle m’évitait de me morfondre. J'avais facilement arrêté la coke et toutes ces merdes, je n'en avais pris que quatre ou cinq fois, l'alcool était toujours présent lors des soirées mais je n'en abusais pas forcément tout dépendait de mon humeur. J'ai juste garder la chair, ce plaisir d'avoir un corps brûlant contre le notre, j'avais mes têtes, je n'ai jamais couché avec n'importe qui, seulement avec ceux qui le méritaient et qui étaient au bon niveau.
Encore une fois les années ont défilées les une après les autres, j’ai obtenu tous mes diplômes. Pour fêter ça mes parents m’ont offert ma propre fabrique et boutique de bonbons magiques, je n’ai jamais été aussi heureuse que ce jour là sans compter quelques moments de ma vie sentimentale passée. Ainsi aujourd’hui à 24 ans je suis fière de ce que je suis, fière d’être cette fille amoureuse de la vie et des plaisirs que celle-ci procure aussi bien physiquement que matériellement. Je peux enfin créer toutes les sucreries dont j’ai toujours rêvé, et à mes heures perdues je suis bénévole à l’hôpital Sainte Mangouste où l’une de mes sœurs y réside pour cause de leucémie. Le reste du temps, s'il m'en reste je suis ce que l'on pourrait appeler une salope ou une briseuse de couple, je le fais par plaisir, parfois pour ma personne, parfois on me paye pour le faire. J'aime ma vie.
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