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baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 21:10
✤ Wright Salut !!! Moi c'est Baja Némésis Spencer , j'ai 18 ans , et je suis d'origine anglo-égyptienne . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle , mais aussi célibataire et issu d'une famille mixte. A Hungcalf, j'ai choisi le parcours des forces publiques , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en de 22 cm faite de bois d'ébène et dont le coeur est fait d'une plume de phénix et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de dikdik. avatar adastra || icônes reginaways |
✎...Aless, Ananas, ...
Dans la vraie vie, j'ai 19 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à je ne sais plus, ça fait tellement longtemps xD et je ferais de mon mieux pour être là 4 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que ça gère la fougère et que je vous aime et que je suis contente d'être de nouveau là :inlove: . code règlement : Ok by Whiskas |
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Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 21:11
See how I'll leave with every piece of you,
Don't underestimate the things that I will do
Don't underestimate the things that I will do
Tous observaient la cadette de la famille alors que celle-ci commençait à pleurer. Elle savait que son choix de vie ne serait pas accepté par sa famille, par les siens. Une sorcière de sang pur venant d’une famille importante ne pouvait choisir le cœur sur la raison, pire, elle ne pouvait se laisser aller à aimer un homme de basse condition, un moldu qui plus est. Elle devait épouser l’homme qu’on lui avait choisi, elle devait se plier aux exigences des siens sans s’y opposer, jamais. Elle les suppliait du regard, espérant qu’ils reviendraient sur leur position, mais l’espoir s’amoindrissait, il disparaissait alors que le regard de ses parents se durcissait. Depuis toujours, la jeune femme s’était pliée à la volonté de sa famille, elle s’était toujours comportée comme elle devait se comporter, mais aujourd’hui la volonté n’y était plus, son cœur avait choisi et elle se devait de l’écouter ou elle irait à sa perte. Elle n’était pas prête à se marier avec un homme dont elle ne savait rien, elle n’était pas prête à tourner le dos à celui qu’elle aimait et à ce qu’elle était devenue. L’égyptienne se redressa prête à se battre contre ses parents pour leur faire accepter son amour, son mariage récent. Elle n’était plus la petite fille qu’elle était, elle ne voulait plus s’évertuer à faire plaisir à ses parents quitte à oublier qui elle était. Isis avait grandi, elle avait 25 ans, avait fait les études qu’on lui avait dit de faire, avait exercé le métier qu’on lui avait dit de faire. Elle avait quitté l’Égypte, son pays d’origine, à l’âge de 11 ans afin de pouvoir suivre l’éducation parfaite dans une des meilleures écoles de magie du monde, Poudlard, et n’y était jamais retournée car ses parents ne voulaient pas regarder en arrière. Elle avait tout fait pour qu’ils soient fiers d’elle, mais aujourd’hui la jeune femme n’en pouvait plus. Elle voulait vivre sa vie, son amour, elle voulait suivre son propre chemin et non plus celui qu’on lui imposait. Elle frappa du poing sur la table « Dites quelque chose, bon sang ! Je me suis mariée. Et alors ?! J’ai fait un choix. Certes il ne vous convient pas, mais je suis toujours votre fille, mes enfants seront vos petits enfants, ils seront sorciers, ne nous tournez pas le dos. » Son ton était passé d’autoritaire à suppliant. Elle aimait ses parents, malgré tous les tords qu’ils lui avaient causée par le passé « pour son bien », elle ne voulait pas que son choix ne les supprime de sa vie, elle avait toujours besoin d’eux, d’une façon ou d’une autre. Aucun d’eux ne sourcilla, aucun d’eux ne prit la parole. Isis se tourna vers ses frères qui la regardaient avec colère. Ils ne pouvaient pas comprendre. C’était des hommes, le sexe fort d’après sa culture, ils ne pouvaient pas comprendre car eux avaient toujours pu faire tout ce qu’ils voulaient, ils n’avaient jamais dû se plier à aucune exigence, jamais dû se plier à aucune règle, ils ne pouvaient pas savoir ce que cela faisait de vivre sous le joug de parents impitoyables, ils n’avaient jamais rien dû prouver à personne. « Isis, nous n’approuvons pas ton choix et ne l’approuverons jamais. C’est pourquoi tu peux te racheter. Divorce, quitte cet homme indigne de toi et marie celui que nous avons choisi pour toi. » La jeune femme soupira, elle s’était préparée à ce qu’ils lui proposent cela, à ce qu’ils lui offrent la possibilité de revenir en arrière. Ils n’avaient pas compris qu’elle avait atteint un point de non retour, qu’elle ne reviendrait jamais en arrière. L’égyptienne secoua la tête, lasse de tout cela. « Vous ne comprenez rien. Et vous ne comprendrez sûrement jamais. Je l’aime, je ne pourrai jamais le quitter. » Elle plongea son regard dans celui de son père, lui qui avait toujours, d’une façon ou d’une autre, été le plus clément avec elle, le plus doux de ses deux parents. « Papa, je sais que je vous déçois, mais je ne peux revenir sur une décision que mon cœur a fait pour moi, je ne peux pas revenir en arrière. » Son père prit un air grave, sérieux, aucune tendresse, aucune affection dans son regard. Le cœur d’Isis se crispa dans sa poitrine alors qu’elle comprenait qu’elle ne trouverait aucun soutient de son côté. « Tu es enceinte, c’est cela ? » Elle rougit, baissa les yeux tout en posant une main sur son ventre. Oui, elle était enceinte, mais elle ne l’avait appris qu’après le mariage, c’était cet enfant à naître qui l’avait poussée à tout avouer à ses parents, à leur parler de cet homme qu’elle aimait, de cette vie qu’elle avait choisie. « Oui. Mais je l’ai découvert il y a quelques jours. Cet enfant n’a rien à voir dans ma décision, je l’avais prise bien longtemps avant. » Sa mère porta une main à son cœur alors que ses frères la regardait d’un air dégouté. Elle savait ce qu’ils pensaient d’elle. Pute. Ils ne disaient rien, mais n’en pensaient pas moins. Les enfants conçus hors mariage étaient considérés comme impur, impropre à leur sang chez les ElGuindy. « Et que va-t-il dire quand il a découvrir que sa chère et tendre est une sorcière, tu y as pensé ? Que ses enfants ne pourront jamais avoir une éducation semblable à la sienne ? » Isis se mordit l’intérieur de la joue. Il avait été choqué en l’apprenant, choqué de découvrir que ce qu’il prenait pour des contes et légendes pour enfant n’étaient en fait que réalité pure et dure. Mais il n’avait rien dit, acceptant parfaitement la condition de sa femme et celle de ses enfants futurs. « Il le sait, il sait tout. Je n’ai pas de secret pour lui. » Encore une fois, elle baissa les yeux, le cœur battant à tout rompre dans sa poitrine. Elle avait la nausée, ses parents lui donnaient la nausée. Elle voyait le dégout se peindre sur leur visage, elle voyait que sa place dans la famille ne tenait qu’à un fil, un fil qu’elle s’apprêtait à couper d’un coup net. « Le mariage a été prononcé, je ne reviendrai pas sur ma décision. J’emménage avec lui la semaine prochaine. J’aime cet homme et je continuerai de l’aimer jusqu’à la fin de mes jours, même si cela signifie renoncer à cette famille. » Elle avait dit les mots de trop. La famille se devait d’être plus importante que tout, surtout plus importante qu’un amour considéré comme irresponsable. Son frère prit la parole, prenant ses airs d’aîné qu’elle ne supportait pas. « Maman, papa, elle a pris sa décision. Isis a assez humilié cette famille, elle doit partir et ne jamais plus revenir. » Le regard de son père s’attrista, mais ils étaient résignés à écouter les paroles de leur fils. « Il a raison » dit sa mère « tu ne peux pas rester un membre de cette famille. Nous te donnerons l’argent nécessaire pour vivre car l’enfant doit avoir une belle vie, mais nous ne voulons pas le connaître, ni lui, ni ton mari. Si tu quittes cette maison pour le rejoindre, tu ne pourras plus jamais y revenir. » Le ton glacé de sa mère cloua Isis, elle venait d’annoncer cela comme si elle s’en moquait, comme si c’était un soulagement pour elle que de pouvoir enfant abandonner sa fille à son triste sort. Isis monta les grands escaliers et pénétra dans sa chambre. En deux coups de baguette, ses bagages étaient faits et elle quittait pour de bon cette maison qui n’était plus sienne désormais, elle tournait enfin le dos à tout ce qu’elle avait toujours détesté. Elle se retourna une dernière fois, murmurant un au revoir du bout des lèvres avant de transplaner, une main sur son ventre.
What started as a whisper, slowly turned in to a scream.
Searching for an answer where the question is unseen.
Searching for an answer where the question is unseen.
La lumière se reflétait dans les anciens vases de cristal, vestige d’une vie oubliée, une vie qui semblait avoir été celle d’une autre famille, d’autres gens. Pourtant ce n’était pas un rêve, tout s’était déroulé comme Isis s’en souvenait. Cela faisait maintenant huit ans qu’elle avait coupé les ponts avec ses parents, huit ans qu’elle avait dû tourner le dos à sa famille, à ses origines. Il aurait été utopique, idiot de dire que cela avait été facile, que l’amour avait été suffisant pour faire cela, pour agir comme elle l’avait fait. Non, cela n’avait pas été facile, même si elle savait que ses parents gardaient un œil sur elle, Isis ressentait un manque terrible dans sa vie, un troue dans sa poitrine qu’elle ne pouvait combler. Elle jeta un coup d’œil vers sa fille, souriante. Cela n’avait pas été facile, mais cela en valait la peine. Sa fille était rapidement devenue tout pour elle, elle représentait tout ce pourquoi elle s’était toujours battue. Son sourire s’effaça, laissant place à l’étonnement alors que le vase s’élevait dans les airs, survolant la pièce alors qu’elle n’avait pas sortie sa baguette de sa poche. Elle reporta rapidement son regard sur Baja qui ne quittait pas l’objet des yeux, riant aux éclats alors que ce dont elle rêvait depuis toujours arrivait enfin. Isis rit de bon cœur avec sa fille avant de se glacer l’espace d’un instant, portant alors son attention sur le garçon qui se trouvait aux côtés de la petite fille. Il était moldu, ne pouvait donc pas comprendre ce qu’il se passait. Heureusement pour eux, personne ne croirait que ce qui était arrivé soit réel, tout le monde penserait que le petit garçon avec une imagination débordante. Isis se mordit néanmoins l’intérieur de la lèvre, songeant que Baja ne reverrait plus jamais son copain ni aucun de ses camarades. Il était temps de la garder à la maison, il ne fallait pas compromettre le secret magique. La jeune femme sentit un pincement au sein de sa poitrine, son cœur se crispait alors qu’elle se rendait compte de son égoïsme. Ce n’était pas la première fois qu’elle ressentait ce sentiment, qu’elle avait cette impression d’avoir tout fait de travers. Elle avait infligé le déshonneur à sa famille, forçait un homme à vivre avec une sorcière et qui plus est le forçait à savoir que jamais sa fille ne serait comme lui. Enfin, elle obligeait sa fille à quitter tout ce qu’elle avait toujours connu pour un monde dont elle ne rêvait pour ainsi dire pas encore. Baja avait toujours su qu’elle était destinée à vivre différemment, elle savait que sa mère était autre chose, qu’elles n’étaient pas comme les autres enfants et parents qu’elles voyaient à l’école, mais la petite fille ne comprenait pas encore les sacrifices que cela impliquait.
Une fois le garçon parti, Isis réunit son mari et sa fille dans la cuisine autour d’un chocolat chaud, leur tradition familiale quand il fallait aborder un sujet important. Baja ne toucha d’ailleurs pas au sien, rivant son regard dans celui de sa mère. Depuis toujours, elle était plus mûre que la moyenne, plus à même de comprendre ce qui lui pendait le nez, si elle n’avait pas voulu réaliser jusqu’ici à quel point elle était différente, c’était par simple insouciance, simplement car elle avait fermé les yeux. « De quoi vas-tu parler maman aujourd’hui ? » Isis jeta un coup d’œil à Lucas qui essayait de cacher la lueur espiègle qui brillait dans son regard. Si il avait pu, il aurait ri face au regard déterminé de sa fille. Il ne dit cependant rien, comprenant parfaitement que la situation n’avait rien de drôle dans les faits et qu’il valait mieux en finir rapidement avec cette conversation. « Ce que tu as fait aujourd’hui Baja .. » Elle s’arrêta, cherchant ses mots. « Ce que tu as fait aujourd’hui risque de se reproduire. Je sais que tu n’as encore aucun contrôle sur tes pouvoirs, mais personne ne peut savoir ce que tu es vraiment. » La petite fille détourna le regard, cherchant celui de son père, mais il ne la laissa pas faire, sachant pertinemment qu’elle comprenait ou tout cela allait, qu’elle allait donc chercher son soutien. Seulement, étant un moldu, il ne pouvait avoir mot à dire sur la question, la décision revenait à sa femme, il ne voulait pas gérer tout ce qui avait attrait à ce monde qu’il ne connaissait ni ne comprenait. « Baja .. Écoute moi ma chérie. Je sais que tu vas être triste, je sais que tu ne vas pas comprendre, mais le monde moldu n’est plus ton monde. Tu dois vivre comme les sorciers à présent, tu ne peux plus voir tes anciens amis, les élèves de ta classe. » La petite fille serra le poing, refoulant ses larmes. « Maman, je veux continuer à aller à l’école, voire tout le monde, pourquoi maman, pourquoi je peux pas ? » Il n’y avait pas de réponse. Elle ne pouvait pas pour leur sécurité à eux, pour la sécurité du monde magique, mais cela la petite file, aussi mure soit-elle, ne pouvait pas le comprendre. La discussion était close, Baja savait qu’elle ne parviendrait pas à faire changer sa mère d’avis. Le lendemain elle irait dire au revoir à son ancienne vie pour plonger à pieds joints dans la nouvelle.
Une fois le garçon parti, Isis réunit son mari et sa fille dans la cuisine autour d’un chocolat chaud, leur tradition familiale quand il fallait aborder un sujet important. Baja ne toucha d’ailleurs pas au sien, rivant son regard dans celui de sa mère. Depuis toujours, elle était plus mûre que la moyenne, plus à même de comprendre ce qui lui pendait le nez, si elle n’avait pas voulu réaliser jusqu’ici à quel point elle était différente, c’était par simple insouciance, simplement car elle avait fermé les yeux. « De quoi vas-tu parler maman aujourd’hui ? » Isis jeta un coup d’œil à Lucas qui essayait de cacher la lueur espiègle qui brillait dans son regard. Si il avait pu, il aurait ri face au regard déterminé de sa fille. Il ne dit cependant rien, comprenant parfaitement que la situation n’avait rien de drôle dans les faits et qu’il valait mieux en finir rapidement avec cette conversation. « Ce que tu as fait aujourd’hui Baja .. » Elle s’arrêta, cherchant ses mots. « Ce que tu as fait aujourd’hui risque de se reproduire. Je sais que tu n’as encore aucun contrôle sur tes pouvoirs, mais personne ne peut savoir ce que tu es vraiment. » La petite fille détourna le regard, cherchant celui de son père, mais il ne la laissa pas faire, sachant pertinemment qu’elle comprenait ou tout cela allait, qu’elle allait donc chercher son soutien. Seulement, étant un moldu, il ne pouvait avoir mot à dire sur la question, la décision revenait à sa femme, il ne voulait pas gérer tout ce qui avait attrait à ce monde qu’il ne connaissait ni ne comprenait. « Baja .. Écoute moi ma chérie. Je sais que tu vas être triste, je sais que tu ne vas pas comprendre, mais le monde moldu n’est plus ton monde. Tu dois vivre comme les sorciers à présent, tu ne peux plus voir tes anciens amis, les élèves de ta classe. » La petite fille serra le poing, refoulant ses larmes. « Maman, je veux continuer à aller à l’école, voire tout le monde, pourquoi maman, pourquoi je peux pas ? » Il n’y avait pas de réponse. Elle ne pouvait pas pour leur sécurité à eux, pour la sécurité du monde magique, mais cela la petite file, aussi mure soit-elle, ne pouvait pas le comprendre. La discussion était close, Baja savait qu’elle ne parviendrait pas à faire changer sa mère d’avis. Le lendemain elle irait dire au revoir à son ancienne vie pour plonger à pieds joints dans la nouvelle.
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Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 21:11
They say you don't know
What you've got til it's gone
What you've got til it's gone
- « Arrête ! Stop ! Arrête ! » Baja ne pouvait faire taire cette petite voix dans sa tête, elle ne pouvait s’arrêter. Ses jambes commençaient à la lâcher, son souffle se faisait court, son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine. Elle avait l’impression qu’elle allait exploser. Mais toute cette douleur n’était rien comparée à celle qui la consumait de l’intérieur. Quand on avait annoncé le diagnostique, la jeune femme n’avait pu rester plus longtemps dans la pièce, elle n’avait pu rester dans cette grande demeure qui lui semblait bien froide tout d’un coup. Ses jambes la portaient là où le vent l’emmenait, elle aurait d’ailleurs été bien incapable de dire où elle se trouvait et où elle se rendait. Tout était mieux que là bas. Les larmes se mirent à rouler sur ses joues, libres comme l’air, des larmes qui n’avaient jamais été versées auparavant. Baja avait toujours été une fille forte, celle qui refoule ses larmes, ses sentiments. Elle n’avait jamais laissé personne l’approcher de trop de peur d’être blessée ou pire, abandonnée. Personne n’avait jamais su expliquer pourquoi Baja était comme ça, personne hormis ses parents. Ils avaient vite compris que tourner le dos à sa vie moldue lui en avait coûté plus qu’elle ne le laissait paraître. Depuis, elle craignait toujours de devoir tourner le dos aux gens, devoir abandonner une vie, c’était pourquoi la belle demoiselle s’était enfermée dans une carapace bien fermée, hermétique aux émotions superficielles et aux rencontres inopinées. Pourtant, en ce jour pluvieux, la carapace se brisait petit à petit, laissant place à un flot de sentiments contenus depuis bien trop longtemps. La belle blonde tomba à genoux, frappant du poing contre le sol, hurlant à en réveiller les morts. Elle ne comprenait pas, elle ne pouvait pas comprendre. Elle aurait voulu revenir en arrière, elle aurait voulu oublier. Mais comment oublier le fait que votre mère ne serait bientôt plus votre mère ? Comment oublier ce visage qui vous suppliait mais qui ne vous reconnaissait plus ? Voilà trois ans que la mère de Baja se battait contre la maladie, à présent il n’y avait plus rien à faire si ce n’était faire en sorte que tout se passe bien durant le temps qu’il lui restait. Mais cela, on le lui avait enlevé. Baja releva le regard, il était plein de rancœur, une rancœur nouvelle tournée vers son père. Un homme qu’elle ne reconnaissait plus, un homme qui n’était plus. Celui qui l’avait élevée avait laissé place à un autre, un visage qu’elle ne connaissait pas, un visage qui lui était étranger, un visage contre lequel elle n’avait aucune peine à être fâchée. Son cœur battait de rage, de colère, de tristesse. La pluie redoubla alors que les larmes de la jeune femme continuaient de tomber sur le sol. Elle ne cessait de voir le visage de sa mère, perdu, confus. Elle ne comprenait pas qu’on l’attache de la sorte à son lit, qu’on l’emmène ainsi dans un endroit qu’elle ne connaissait pas. Baja s’était battue violemment contre son père, lui répétant que l’internement n’était pas la solution, mais Lucas n’avait pas voulu entendre ce que sa fille lui disait. Il n’en avait fait qu’à sa tête. Le cœur de la jeune femme était sur le point d’exploser alors qu’elle se relevait, se mettant en chemin inverse à pas lent et lourd tels ceux d’un condamné. Elle ne regardait pas ce qu’il se passait devant elle aussi ne fit-elle pas attention au jeune homme qu’elle bouscula. Il la regarda longuement, la reconnaissant sans trop savoir d’où. Baja n’y prêta guère attention, continuant son chemin sans que le cœur n’y soit. A seize ans, elle n’avait pas d’autres choix que celui de rentrer chez elle. Elle n’était majeure ni chez les sorciers ni chez les moldus. Elle devrait affronter le regard de son père durant un an, après la demoiselle s’en irait. Elle partirait loin à la découverte de nouveaux horizons. Elle ne voulait pas voir sa mère mourir à petit feu, elle ne voulait pas assister à la déchéance de celle qu’elle avait tant admiré, de son model.
Elle n’aurait su dire combien de temps elle avait marché, mais Baja ressentit comme une pointe dans sa poitrine alors qu’elle tournait dans sa rue. Soudain, elle se figea. La jeune femme n’aurait pas pu l’expliquer, mais elle eu comme un pressentiment, quelque chose n’allait pas, quelque chose avait changé. Elle avança à pas feutrés, pénétrant dans la maison dans le silence le plus absolu, sa baguette levée. Elle entendit des éclats de voix, des cris, elle se cacha alors derrière le mur, écoutant ce qui se tramait. Son cœur s’affola alors qu’elle aperçût un homme qu’elle n’avait jamais vu. Elle retint un cri, comprenant qu’il était accompagné d’un autre homme plus âgé et d’une femme. Quand la femme passa devant elle, Baja ne put se contenir, lâchant sa baguette au passage. Tous les regards convergèrent dans sa direction alors qu’elle sortait de sa cachette. La femme était le portrait craché de sa mère avec une vingtaine d’année de plus. Elle ne mit pas longtemps avant de comprendre qui étaient les intrus. Elle n’avait jamais vu la famille d’Isis auparavant, ils n’étaient que des noms murmurés entre sa mère et son père, des noms tabous dans la famille. « Tu dois être Baja. » La froideur de la femme cloua la jeune fille sur place, elle ne put qu’acquiescer, ne pouvant rien dire. Après quelques secondes de silence gêné et froid, la jeune femme retrouva sa langue et son tempérament de fougue : « Que faites vous ici ? Vous n’y avait rien à faire ! Je veux que vous sortiez ! » Elle avait parlé plus fort qu’escompté, mais ne baissa pas pour autant le regard, observant tour à tour celui qui devait être un des grands frères de sa mère, son père ainsi que sa mère. « Ce que tu veux ne nous importe peux, jeune fille. Sache qu’à présent ce que nous voudrons par contre risque d’être fort important pour toi. » Baja se sentit partagée entre l’envie d’éclater de rire et de fuir. Que voulait donc dire son .. son grand-père ? « Tu ne verras désormais plus ton père. Il a décidé qu’il était temps pour lui de retourner parmi les siens et de vivre sa vie. » Les siens, sous entendus les moldus. La belle blonde sentit sa gorge se nouée alors qu’elle évaluait l’horreur de la situation. « Et si je ne veux pas ? » « Tu n’as pas le choix. Jusqu’à tes dix sept ans, tu es sous notre tutelle légale. Tu pourras voir ta mère quand cela te chante, mais tu devras te plier à nos règles. » Baja sentit un frisson lui parcourir l’échine. Elle n’avait donc pas son mot à dire, très bien, mais c’était à leurs risques et périls. Baja pouvait être aussi douce et gentille que froide et méchante. Personne ne savait réellement sur quelque pied danser avec la jeune fille tellement elle pouvait être différente d’une minute à l’autre. Elle même n’aurait pas su se décrire et Baja avouait qu’elle aurait elle aussi des difficultés à vivre avec elle-même. La jeune femme n’avait pas un caractère facile, elle avait la langue bien pendue et n’hésitait pas à dire tout haut ce que tout le monde pensait tout bas. La seule raison qui poussait les professeurs à l’ignorer était qu’elle avait de bonnes notes. Elle ne se foulait pas, elle était juste intelligente et possédait une mémoire extraordinaire. Elle ne faisait des études que pour faire plaisir à son père, car sa passion véritable était la musique et la photographie. Mais Baja avait toujours voulu que son paternel ait son mot à dire sur son éducation, lui qui s’excluait souvent des conversations la concernant, car elle n’était pas comme lui. Aujourd’hui, la jeune femme en venait à regretter d’avoir fait tous ces efforts. « Il faut partir Baja. » La voix la sortit de sa rêverie. A son grand étonnement, c’était son grand père qui avait parlé de cette voix douce, presque affectueuse. Elle acquiesça, rendant son regard noir à son oncle. Elle fit ses valises, emportant un maximum d’affaire tout en ignorant sa grand-mère qui la sommait de se presser.
L’année qui suivit fut rude pour la jeune femme et pour ses grands parents. Ils n’avaient pas l’habitude d’avoir sous leur toi une jeune rebelle difficilement domptable. Elle n’était pas habituée à tant de règles et de punition. Mais elle devait admettre que vivre dans un manoir n’avait pas que des inconvénients. Elle finit par s’habituer à cette vie-là, ignorant sa grand-mère la plus part du temps, passant de précieux moments avec son grand-père. Baja aurait pu vivre ainsi, elle aurait pu continuer, mais au fond de son cœur restait cette rancœur qu’elle avait à l’égard de son père. Elle savait qu’un jour ou l’autre elle voudrait le confronter, elle savait qu’elle finirait par le revoir.
My God, amazing how we got this far
It's like we're chasing all those stars
It's like we're chasing all those stars
- Une ombre, un rêve, voilà ce qu’était devenue la jeune femme. Rien ne trahissait de sa présence, pas un bruit échapper, pas même le son de son souffle pourtant haletant. Deux ans étaient passés depuis l’internement de sa mère, depuis la fuite de son père. Deux ans durant lesquels elle avait nourri une haine profonde à l’égard de son géniteur. Elle lui en voulait. Pour tout. Pour avoir laissé ces hommes emmener sa mère, pour avoir feint l’indifférence, pour avoir abandonné sa fille. Ils l’avaient abandonnée. Et cela, jamais elle ne le lui pardonnerait. Elle tressaillit légèrement quand son père se retourna dans son lit, glissant son bras au passage sur la femme allongée à ses côtés. Elle ne le haït que plus. Comment pouvait-il tirer un trait aussi facilement sur le passé, sur leur vie, sur eux ? Comment pouvait-il les oublier de la sorte et ne plus jamais donner signe de vie ? Comme par magie .. Le doute s’immisça dans son esprit, ce n’était qu’une graine, mais très vite l’idée jaillit et remit tout en question. Il n’y avait pas d’autre solution que celle-là. Très vite, Baja s’en voulut d’avoir tant haït son père, d’avoir nourri à son égard tant de sentiments négatifs. Elle eut envie de pleurer, pleurer toutes les larmes de son corps. Elle venait de comprendre qu’en l’espace d’une journée, deux ans auparavant, elle avait perdu sa mère et son père, tous deux l’avaient oubliée. Elle fit tomber sa baguette, se figea alors que l’homme qui avait été son père autrefois se redressait dans ce lit qui était le sien à présent. Il ouvrit de grands yeux en découvrant une jeune femme aux pieds de son lit, mais le temps qu’il réalise ce qu’il venait d’arriver, elle était partie, telle une ombre dans la nuit.
L’air sifflait à ses oreilles, elle allait aussi vite que son balais le lui permettait. Elle réveillerait tout le manoir si il le fallait, mais elle ne laisserait pas ses grands parents s’en tirer de la sorte. En deux ans, la jeune femme avait réussi à renforcer sa carapace. Elle était devenue plus froide et hautaine que jamais, si bien que ses amis se comptaient sur les doigts d’une main. Personne ne connaissait réellement son histoire, ses origines, et la jeune femme faisait tout pour que cela reste ainsi. Baja s’était transformée, devenant rancunière et vile. Elle n’avait plus aucun soucis à écraser personne si cela pouvait lui servir. C’était du moins la façade qu’elle avait mise en place et à laquelle elle se tenait parfaitement. Dans le fond, elle ne savait pas qui elle était. Elle n’était qu’un petit oiseau fragile tombé du nid et qui ne parvenait pas à y revenir. Elle aurait voulu s’envoler dans le ciel, se découvrir, mais il y avait ce mur qui la bloquait, cette hauteur qui lui donnait le vertige. Et elle n’avait personne à qui en parler. La jeune femme était seule, bien trop seule, mais elle ne voulait pas l’avouer. Une larme unique roula le long de sa joue avant de s’envoler et de partir loin. Elle aussi l’abandonnait.
Elle atterrit en vitesse dans la cour du manoir, ouvrant la porte d’entrée principale afin de s’assurer que tout le monde serait réveillé. L’effet escompté ne tarda pas à arriver, elle vit les lumières s’allumer à l’étage, elle entendit des voix, des pas. Elle n’avait aucun doute, que des certitudes et son cœur en pleurait. Elle resta figée dans le grand hall, le regard noir, l’allure fière. Il n’y avait plus de rancœur, plus de ressentiment. Elle savait ce que ses grands parents avaient fait. Malgré les deux années passées à leur côté durant lesquelles elle n’avait pas dû se plaindre énormément, jamais elle ne leur pardonnerait. Si elle avait su cela un an auparavant, elle serait partie, comme c’était prévu, au lieu de profiter de l’hospitalité de cette famille qui lui sembla être étrangère à nouveau. Elle repensa à tous ces moments passés avec son grand-père, toutes ces choses qu’elle avait découverte, qu’elle avait eu la joie d’apprendre, tout cela semblait être balayé d’un revers de la main, balayé par cette tristesse et cette colère qui faisaient battre son cœur à présent. « Baja, qu’est-ce qu’il se passe ? Pourquoi es-tu sortie ? » Elle mesura ses mots, contenant cette colère qui ne souhaitait que sortir. « La vérité. Je veux la vérité. » Ses grands parents l’observèrent longuement, elle savait qu’ils feindraient de ne pas comprendre, mais l’éclat dans le regard de sa grand-mère en disait long sur ce qu’elle savait. « De quoi parles-tu enfin ? Arya, explique moi ? » Baja plongea son regard dans celui de celle qui ressemblait tant à sa mère. Physiquement du moins. Car si Isis avait été une mère parfaite, Baja comprenait à présent qu’elle avait appris seule à l’être car il n’y avait pas une once de fibre maternelle chez sa grand-mère. La jeune femme comprit alors qu’elle avait agi seule, que son grand-père était innocent dans toute cette histoire. Il y eut comme un soulagement dans son cœur, la colère en elle s’apaisa alors. Elle n’arrivait cependant pas à en vouloir à sa grand-mère, pour la seule et unique raison qu’elle ne l’avait jamais aimée. Si elle adorait son grand-père, Baja avait toujours accordé très peu d’estime à sa femme, ne lui parlant que par politesse ou pour se rebeller contre son autorité. « Elle sait de quoi je parle, elle sait ce qu’elle a fait. » Le vieil homme se tourna vers sa femme, sachant pertinemment que sa petite fille avait raison. Il savait de quoi elle était capable, c’était d’ailleurs la raison qui l’avait poussée à l’épouser. Aujourd’hui, il voyait en Baja un savant mélange de sa femme et de sa fille. Elle avait le caractère de son épouse, cette ténacité, cette lueur dans le regard. Mais en contre-parti, Baja pouvait se montrer aussi douce que sa fille, compatissante. Sa femme avait voulu la marier de force à son tour, mais par peur de la perdre, il avait refusé catégoriquement, il ne reproduirait pas la même erreur que par le passé. « Que s’est-il passé il y a deux ans avec mon père ? Pourquoi est-il parti si subitement après avoir décidé d’interner maman ? POURQUOI ? » Elle avait su ce jour-là que quelque chose n’allait pas, que l’homme qui l’avait élevé n’aurait jamais eu la force d’internet la femme de sa vie et de fuir ensuite. Il aurait préféré s’occuper d’elle jusqu’à la fin de ses jours, quitte à se briser, il aurait tout fait pour Isis. Baja l’avait toujours su et ne comprenait pas pourquoi elle en avait douté deux ans plus tôt. « J’ai fait ce qu’il y avait de mieux pour ma famille. Je ne pouvais pas laissé ma fille dans cet état, je ne pouvais pas la laisser avec lui. J’ai lancé un sort à ton père pour qu’il interne ta mère et vous oublie toutes les deux. Je lui ai rendu la vie qu’il aurait dû avoir si il n’avait pas rencontré ta mère. » Le grand-père de Baja regarda sa femme avec dégoût alors qu’une lueur de colère passa dans son regard. « Tu es folle .. » Baja ne voulait plus rien entendre. Elle ne pouvait plus rien entendre. Elle sortit de cette maison qui n’était pas la sienne et s’en alla là où elle trouverait refuge. On ne la laisserait probablement pas voir sa mère à cette heure, mais la jeune femme était douée pour entrer en douce et s’endormir dans le lit d’à côté, lit laissé là par les infermières qui savaient pertinemment que la jeune femme venait dormir là assez souvent. Après que son père fut parti, sa grand-mère avait déplacé Isis à Sainte Mangouste, là bas disait-elle, elle recevrait de meilleurs soins. Pourtant l’état de la femme n’avait pas changé, elle continuait d’oublier tout ce qui l’entourait, ne pouvait presque plus manger seule, devait être douchée par d’autre. La maladie la rongeait de plus en plus, plongeant l’égyptienne dans une folie de plus en plus violente. Arrivée sur place, Baja s’effondra dans le lit, observant sa mère qui dormait. Elle aurait voulu se glisser à ses côtés, dans ses bras, elle aurait voulu entendre des paroles réconfortantes, mais la jeune femme savait qu’elle n’y aurait plus jamais droit. Très vite, Morphée vint l’accueillir et elle s’endormit d’un sommeil de plomb, harassée par tous ces évènements. Elle ne savait pas de quoi demain était fait, mais Baja ne voulait plus s’en soucier. Elle retournerait bientôt à Hungcalf où elle ne devrait plus penser à ses grands-parents, à son père, à tout cela, elle pourrait se reglisser dans sa carapace. Pourtant Baja savait que cela ne la satisferait pas, qu’elle voudrait se venger, mais elle aurait un an pour y penser.
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
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Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 21:25
camilla belle !!!! :baveuh: :brille:
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 21:32
re l'Ananas ! (l)
je dirais peut être Amanda Seyfried, Chloe Bello, Frida Gustavson, Heidi Johnsen, Elsa Hosk.... (que des blondes XD )
je dirais peut être Amanda Seyfried, Chloe Bello, Frida Gustavson, Heidi Johnsen, Elsa Hosk.... (que des blondes XD )
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 21:36
Amanda :brille:
Rebienvenue miss (l) :brille:
Rebienvenue miss (l) :brille:
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 22:41
Merciii Elo pour tous ces noms (l) J'ai gardé Elsa Hosk d'ailleurs (l)
Et merci pour l'accueil :inlove: *repart à l'assaut de sa fiche xD*
Et merci pour l'accueil :inlove: *repart à l'assaut de sa fiche xD*
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Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 22 Mar 2011 - 22:51
Je te la réserve ! :D
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mer 23 Mar 2011 - 7:30
ELSA :baveuh: encore une blondasse que tu nous fais (l)
re bienvenue ma douce :brille:
re bienvenue ma douce :brille:
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Ven 25 Mar 2011 - 7:27
Merci ma Nellichoue :inlove:
Blondasse un jour, blondasse toujours *sbaaaff* mais elle sera fort différente de la précédente (a)
Blondasse un jour, blondasse toujours *sbaaaff* mais elle sera fort différente de la précédente (a)
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Ven 25 Mar 2011 - 8:15
Bienvenue miss :hola:
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Ven 25 Mar 2011 - 9:22
(Re) Bienvenu =)
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Sam 26 Mar 2011 - 19:05
Merci à tous :) ! La fiche avance et devrait être finie dans la soirée :hysteric:
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mar 29 Mar 2011 - 21:49
Le délai de réservation a expiré. Nous n'accordons pas de délais supplémentaires pour l'avatar, néanmoins tu peux bien sûr toujours continuer ta fiche.
Je la déplace en attendant, fais-nous signe si tu souhaites la reprendre ;)
Je la déplace en attendant, fais-nous signe si tu souhaites la reprendre ;)
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mer 30 Mar 2011 - 21:46
Je la continue, je la continue :) juste beaucoup de boulot pour le moment et peux de temps pour l'écriture, mais elle devrait se finir dans la soirée ou au pire demain ! :)
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Mer 30 Mar 2011 - 21:51
je déplace (l)
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Jeu 31 Mar 2011 - 11:40
Chere étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Et bien, qu'elle fiche :brille: C'est parfait tout ça et très touchant. J'aurais bien vu Baja chez les Grymm mais si ton choix se porte pour les rouges, alors je t'envoie immédiatement chez les Wright (l) Have Fun :hysteric:
- InvitéInvité
Re: baja némésis spencer Ϟ broken hearts and fairytales.
Jeu 31 Mar 2011 - 13:18
Merciii :) On dira que c'est une Grymme refoulée *sbaaff*
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