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Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 19:53
✤ Grymm Salut, moi c'est Tatiana Sixtine Whitaker , j'ai 20 ans , et je suis d'origine anglaise, évidemment. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuelle , mais aussi profondément célibataire et issu d'une famille de sorciers. A Hungcalf, j'ai choisi la justice magique , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de chêne longue de 28cm et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de lionne, rien d'étonnant à cela. avatar © Enjoy || icônes © Sway |
this is my story
L'histoire d'une fille qui se prend pour une reine, ça semble le pire scénario que le cinéma ait jamais connu. Il en a connu, pourtant, des scénarios monstrueux. L'histoire d'une fille qui se prend pour une reine, alors qu'en réalité elle a d'autres facettes, tu vois, elle est pas un monstre non plus.. eh bien on a l'impression de toucher le fond. Le fond du fond. Sauf que cette histoire, c'est mon histoire. Et je peux vous dire que vous avez pas intérêt à passer à côté. Pourquoi ? Parce qu'on a tous besoin d'une histoire de fille qui se prend pour une reine. Et surtout, parce que vous avez besoin de moi. En fait, c'est plutôt que si vous étudiez à Hungcalf, vous ne pouvez pas vraiment faire sans.
La vie, ça s'apprend sur le tas. J'ai vingt années derrière moi, des amours à n'en plus finir, de la famille plus qu'il n'en faut pour recevoir des cadeaux convenables à jour fixe, des études glorieuses à souhait, et je n'ai pas tout à fait de vie, ni tout à fait de coeur. En réalité, j'ai pris soin de ranger ce dernier dans ma boîte à bijoux lorsque j'avais six ans, et que ma mère s'était décidée à le piétiner. Depuis ce jour-là, il repose tranquillement loin de mon corps. Et pour faire illusion, j'ai astucieusement greffé dans le trou béant un esprit à toute épreuve et un orgueil incommensurable. Je ne suis pas une fille fausse. Parce que quand on n'a plus vraiment de coeur, il n'y a plus ni de faux ni de vrai. Il n'y a que l'apparence de vie qui s'étire devant nous, qui nous avale et nous aspire. Le but du jeu ? Maîtriser la vie avant d'être engloutie. Et pour cela croyez-moi, partir avec un coeur est un gros handicap. Véridique. Les six années que j'ai passées avec ont été une expérience unique et monstrueuse. Pourtant au début, ce n'était pas si mal parti : il suffisait que je me laisse aller à une effusion câlinesque sur les genoux paternels pour recevoir tout ce que je souhaitais. Je fonctionnais dans un immense cercle vertueux : plus je manifestais mon amour à tout va, plus on m'aimait, plus on me comblait, plus je manifestais mon amour à tout va. Le jardin d'Eden tout entier reposait sous mon toit. Jusqu'à ce qu'on m'apprenne un jour que parfois, on ne m'aimerait pas. Même si j'avais beau,moi, aimer de toutes mes forces. Et plus encore. Ca ne changeait rien. La vie était un sale enfer. Et les autres, je ne vous en parle même pas. Mon coeur est scellé à l'infini, garanti.
Mais de toutes façons, vous ne saurez jamais rien de tout ça, vous que je vais être amenée à croiser ici ou là. Car ce qui se passe entre mon coeur et moi reste entre mon coeur et moi. Je n'ai jamais tenu de journal intime, pour la bonne et simple raison que si les paroles volent, les écrits restent. C'est ce que mon père m'a toujours répété, et je l'ai toujours cru. Je sais, je mériterais de passer sur le divan d'un psy. Seulement, je risquerais de le rendre malade, de devoir accumuler les séances.. Alors franchement, entre se payer un psy, accompagné de quelques médicaments placebo d'un côté, ou, d'un autre côté, décider de s'oublier et de régner sur le monde qui vous entoure, que choisissez-vous ? Le psy, vraiment ? Bon, vous cherchez simplement la provocation, ce n'est pas déplaisant. J'étais fille unique, jolie, enjouée, intelligente. On m'a clairement vite fait comprendre que ce n'était pas assez. Unique héritière de papa-le-vénal, espoir de nouvelle carrière à travers sa fille pour maman-la-nympho, je devais être la meilleure. Selon leurs critères. Et ce dès cinq ans, à en juger par les nourrices parfaites qui se sont reléguées pour venir me chercher à la sortie de mes journées. C'est idiot, et même des moldus comme Freud étaient suffisamment malins pour le deviner : je suis devenue complètement obsédée par mon image, et en constant complexe d'infériorité. Heureusement, je suis suffisamment lucide pour être au courant de ma propre condition. Tout cela non plus, vous n'en saurez jamais rien. Car à peine le sol de Poudlard foulé, j'étais fermement décidé à atteindre le sommet, par tous les moyens. La seule chose que je refuse de m'avouer à moi-même ? Que personne n'atteint jamais la perfection. Que je me ronge les sangs en n'essayant pas de rattraper mon coeur. Mais passons, cela, je ne me le dirais jamais, et vous ne le saurez donc pas plus. Joies du récit.
Quand on m'a sous les yeux, il est difficile de concevoir que mes parents aient pu regretter de m'avoir, c'est évident. Seulement c'est ainsi : il leur fallait un garçon. Et c'était d'ailleurs uniquement pour cette raison que ma mère avait bien voulu se laisser aller à une copulation en toute liberté avec mon père. Autrement, je l'ai toujours soupçonnée d'être foncièrement dégoûtée par son mari. Cela croissait d'ailleurs avec le temps. Bref, le fait est que quand ils m'ont eu, c'était trop tard : Elle ne voulait plus d'enfants, pas même pour un fils. Pauvre cruche, j'ai pensé que je leur suffisais. Mais non, j'étais comme un lot de consolation. Le petit ours en peluche qu'on nous donne à la sortie de la kermesse. La petite poupée, plutôt. C'est la métaphore qui me conviendrait certainement le mieux. Je suis parfaite, parfumée, adulée et et envoûtante. Quoi, vous n'avez jamais adulé une poupée ? Il serait bon de vous y mettre. L'adulation renforce les hommes faible, j'ai déjà remarqué. Ils se sentent exister. Là n'est pas le sujet. Quoique. Peut-être que ma perfection de porcelaine faisait exister mon père. Car sans cela, il était un homme d'affaires trop vénal pour être libidineux. Avec moi, il devenait le père de la huitième merveille du monde. C'est ce qu'il me répétait du moins. En fait, la 8ème merveille, leur potentiel fils, n'avait jamais existé. Et dès le jour où j'ai pointé mon nez, aussi parfait allait-il devenir, il me manquait quelque chose. Une paire de couilles, en fait. C'est fou ce que ça m'a rendu folle. Mon père en a trop fait : il n'avait qu'une fille ? Très bien. Puisqu'il semblait impossible de la transformer en garçon, malgré toutes les potions les plus improbables, il fallait donc qu'elle soit fille jusque dans la moindre pointe de ses cheveux, fille jusqu'à son plus petit doigt de pied. Malheureusement, ça semblait rater. La seule voie du succès était donc de suivre les initiatives maternelles, composées de régimes à base de tofu, adaptés pour les 5-9 ans.
La vie, ça s'apprend sur le tas. J'ai vingt années derrière moi, des amours à n'en plus finir, de la famille plus qu'il n'en faut pour recevoir des cadeaux convenables à jour fixe, des études glorieuses à souhait, et je n'ai pas tout à fait de vie, ni tout à fait de coeur. En réalité, j'ai pris soin de ranger ce dernier dans ma boîte à bijoux lorsque j'avais six ans, et que ma mère s'était décidée à le piétiner. Depuis ce jour-là, il repose tranquillement loin de mon corps. Et pour faire illusion, j'ai astucieusement greffé dans le trou béant un esprit à toute épreuve et un orgueil incommensurable. Je ne suis pas une fille fausse. Parce que quand on n'a plus vraiment de coeur, il n'y a plus ni de faux ni de vrai. Il n'y a que l'apparence de vie qui s'étire devant nous, qui nous avale et nous aspire. Le but du jeu ? Maîtriser la vie avant d'être engloutie. Et pour cela croyez-moi, partir avec un coeur est un gros handicap. Véridique. Les six années que j'ai passées avec ont été une expérience unique et monstrueuse. Pourtant au début, ce n'était pas si mal parti : il suffisait que je me laisse aller à une effusion câlinesque sur les genoux paternels pour recevoir tout ce que je souhaitais. Je fonctionnais dans un immense cercle vertueux : plus je manifestais mon amour à tout va, plus on m'aimait, plus on me comblait, plus je manifestais mon amour à tout va. Le jardin d'Eden tout entier reposait sous mon toit. Jusqu'à ce qu'on m'apprenne un jour que parfois, on ne m'aimerait pas. Même si j'avais beau,moi, aimer de toutes mes forces. Et plus encore. Ca ne changeait rien. La vie était un sale enfer. Et les autres, je ne vous en parle même pas. Mon coeur est scellé à l'infini, garanti.
Mais de toutes façons, vous ne saurez jamais rien de tout ça, vous que je vais être amenée à croiser ici ou là. Car ce qui se passe entre mon coeur et moi reste entre mon coeur et moi. Je n'ai jamais tenu de journal intime, pour la bonne et simple raison que si les paroles volent, les écrits restent. C'est ce que mon père m'a toujours répété, et je l'ai toujours cru. Je sais, je mériterais de passer sur le divan d'un psy. Seulement, je risquerais de le rendre malade, de devoir accumuler les séances.. Alors franchement, entre se payer un psy, accompagné de quelques médicaments placebo d'un côté, ou, d'un autre côté, décider de s'oublier et de régner sur le monde qui vous entoure, que choisissez-vous ? Le psy, vraiment ? Bon, vous cherchez simplement la provocation, ce n'est pas déplaisant. J'étais fille unique, jolie, enjouée, intelligente. On m'a clairement vite fait comprendre que ce n'était pas assez. Unique héritière de papa-le-vénal, espoir de nouvelle carrière à travers sa fille pour maman-la-nympho, je devais être la meilleure. Selon leurs critères. Et ce dès cinq ans, à en juger par les nourrices parfaites qui se sont reléguées pour venir me chercher à la sortie de mes journées. C'est idiot, et même des moldus comme Freud étaient suffisamment malins pour le deviner : je suis devenue complètement obsédée par mon image, et en constant complexe d'infériorité. Heureusement, je suis suffisamment lucide pour être au courant de ma propre condition. Tout cela non plus, vous n'en saurez jamais rien. Car à peine le sol de Poudlard foulé, j'étais fermement décidé à atteindre le sommet, par tous les moyens. La seule chose que je refuse de m'avouer à moi-même ? Que personne n'atteint jamais la perfection. Que je me ronge les sangs en n'essayant pas de rattraper mon coeur. Mais passons, cela, je ne me le dirais jamais, et vous ne le saurez donc pas plus. Joies du récit.
Quand on m'a sous les yeux, il est difficile de concevoir que mes parents aient pu regretter de m'avoir, c'est évident. Seulement c'est ainsi : il leur fallait un garçon. Et c'était d'ailleurs uniquement pour cette raison que ma mère avait bien voulu se laisser aller à une copulation en toute liberté avec mon père. Autrement, je l'ai toujours soupçonnée d'être foncièrement dégoûtée par son mari. Cela croissait d'ailleurs avec le temps. Bref, le fait est que quand ils m'ont eu, c'était trop tard : Elle ne voulait plus d'enfants, pas même pour un fils. Pauvre cruche, j'ai pensé que je leur suffisais. Mais non, j'étais comme un lot de consolation. Le petit ours en peluche qu'on nous donne à la sortie de la kermesse. La petite poupée, plutôt. C'est la métaphore qui me conviendrait certainement le mieux. Je suis parfaite, parfumée, adulée et et envoûtante. Quoi, vous n'avez jamais adulé une poupée ? Il serait bon de vous y mettre. L'adulation renforce les hommes faible, j'ai déjà remarqué. Ils se sentent exister. Là n'est pas le sujet. Quoique. Peut-être que ma perfection de porcelaine faisait exister mon père. Car sans cela, il était un homme d'affaires trop vénal pour être libidineux. Avec moi, il devenait le père de la huitième merveille du monde. C'est ce qu'il me répétait du moins. En fait, la 8ème merveille, leur potentiel fils, n'avait jamais existé. Et dès le jour où j'ai pointé mon nez, aussi parfait allait-il devenir, il me manquait quelque chose. Une paire de couilles, en fait. C'est fou ce que ça m'a rendu folle. Mon père en a trop fait : il n'avait qu'une fille ? Très bien. Puisqu'il semblait impossible de la transformer en garçon, malgré toutes les potions les plus improbables, il fallait donc qu'elle soit fille jusque dans la moindre pointe de ses cheveux, fille jusqu'à son plus petit doigt de pied. Malheureusement, ça semblait rater. La seule voie du succès était donc de suivre les initiatives maternelles, composées de régimes à base de tofu, adaptés pour les 5-9 ans.
✎...TON PSEUDO
Dans la vraie vie, j'ai 19 ans, à peu près du moins. J'ai connu ce magnifique forum grâce à Bazzart, pour faire original et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non. Mon personnage est un scénario de Lust dont je compte prendre grand soi après ses deux précédentes déconvenues *_* . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que une Whitaker est dans la place, gare à vos fesses messieurs mesdemoiselles. . code règlement :ok by Lust |
icônes © by .... ?
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:03
muhaha, sexy whitaker bis is in da place. Merci d'avoir pris mon scenar, je te réserve Megan pour 7 jours (a)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:15
Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:20
Merci à vous deux :inlove:
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:31
- Voila une jolie demoiselle de plus (l)
Je te souhaite bienvenue sur hungcalf en espérant que tu y passeras de bon moment. (a)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:34
Mais j'y compte bien, monsieur, je suis précisément là pour ça, et si je suis pas satisfaite, je déplacerai les montagnes pour me faire rembourser. Nah mais oh. Ah, et puis j'allais oublier : merci du bienvenue hein (a)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:41
- Bienvenue Mamzelle Whitaker :baveuh:
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:43
merci petit :lechouille:
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:45
Bienvenue la mini Whitaker :huhu: (l)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:50
Plus c'est petit, pire c'est. Nouvel adage (a) & merci beaucoup :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:54
Oh Whitaker girl la classe ! bienvenue miss ! (l)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:55
- Mais il n y a pas de quoi (a)
Je vais le roder l'adage.
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 20:58
Heaven; la robe dentelle, la crinière de feu, le visage dessiné au moindre détail... Il y a quelque chose en toi qui me rappelle moi, qu'en dis-tu ? :lovers: Bref, merci beaucoup !
Zadig; oh oui, puis il peut s'appliquer à tant de choses ce gentil adage... (a)
Zadig; oh oui, puis il peut s'appliquer à tant de choses ce gentil adage... (a)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 21:02
Tatiana S. Whitaker a écrit:Heaven; la robe dentelle, la crinière de feu, le visage dessiné au moindre détail... Il y a quelque chose en toi qui me rappelle moi, qu'en dis-tu ? :lovers: Bref, merci beaucoup !
j'en dis qu'on trouvera un lien de fou :cracrac:
(et que c'est toujours bon d'avoir un Whitaker dans sa poche )
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 21:05
:hysteric: Si j'accepte d'office l'idée d'un lien de fou, ce n'est pas pour autant synonyme de m'avoir dans la poche.. Nah mais oh, j'suis Whitaker ou j'suis pas Whitaker hein. Pour coucher avec mon cousin, veuillez remplir le formulaire, merci
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 21:14
je t'aime déjà toi !
je compte pas coucher avec ton cousin (pour l'instant du moins ) avec toi par contre, je promets rien.. *zbaaf*
sur ce, je te souhaite bon courage pour ta fiche car je ne flood jamais sans raison (mouais, on y croit.)
je compte pas coucher avec ton cousin (pour l'instant du moins ) avec toi par contre, je promets rien.. *zbaaf*
sur ce, je te souhaite bon courage pour ta fiche car je ne flood jamais sans raison (mouais, on y croit.)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 21:17
Pour moi, pas de formulaire, le trois-pièces dentelles+crinière+visage t'a ouvert ma porte de dortoir à l'instant où tu t'es présentée :smack: Tu flood pas pour rien, tu m'accueilles comme il se doit, voyons. Cela dit très bien, nous nous re-croiserons ultérieurement (a) Je retourne à ma fiche.
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 21:36
Bienvenue sur le forum :brille: (l) et bon courage pour ta fiche ! :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 21:39
Merci beaucoup Emy :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 22:23
bienvenue sexy Whitaker :baveuh: (l)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 22:26
Bienvenue :brille:
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Jeu 24 Mar 2011 - 22:29
Merci vous deux (l)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Ven 25 Mar 2011 - 0:04
La place dans le lit de Lust est prise, merci de conserver cet avis de non retour.
Ahah, la lionne qui sommeille en moi a hate de faire face à la Whitaker femelle. Et de trouver un lien so fabulous (a).
Bienvenue (l)
Ahah, la lionne qui sommeille en moi a hate de faire face à la Whitaker femelle. Et de trouver un lien so fabulous (a).
Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Ven 25 Mar 2011 - 7:00
Oh, Capri ! (je mets derrière ton visage tout ce que j'ai lu de la fiche de Lust, donc forcément :snif: ) Les places dans de tels lits ne sont pas faites pour êtres prises, mais enfin .. On se trouvera tout de même un lien fabulous :buzz: Parce que c'est adorable de venir me souhaiter la bienvenue si sympathiquement, et tout et tout, merci (l)
- InvitéInvité
Re: Ta-tia-na : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais.
Ven 25 Mar 2011 - 9:02
Whitaker² Bienvenue :hysteric: avec sexy Megan :baveuh: bonne chance pour ta fiche (l)
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