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Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 16:58
✤ SUMMERBEE Salut !!! Moi c'est Ian-Henry Federline. Oui, c'est vrai, tout n'y est pas. Mais si je peux éviter le foutage de gueule en disant que mon nom complet est Ian-Henry Dragonair Zeus Apple Federline, pourquoi hésiter, hein ? , j'ai 23 ans et toutes mes dents , et je suis d'origine anglaise, même si je soupçonne mon père d'être un vampire complètement dégénéré . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuel, mais je préfère les garçons , mais aussi célibataire, pourquoi s'encombrer de quelqu'un quand on peut profiter, hein ? et issu d'une famille 50/50, mon père étant sorcier et ma mère non dotée de pouvoirs magiques . A Hungcalf, j'ai choisi le parcours des Forces Publiques dans l'intention de devenir Auror, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de bambou, elle mesure 32 centimètres et contient de la poudre de diamant, brillant, n'est-il pas ? et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de chinchilla, tout doux tout mignon, il s'appelle Chinchidou. Oui, j'ai donné un prénom à mon Patronus... . avatar © I-like || icônes © I-like |
this is my story
« LEGILIMENS ! » Le sort fusa, tranchant, incisif, puissant. C'était la première fois qu'un sortilège de Legilimancie me touchait. La première fois que je laissais délibérément un sort percuter mon corps. Habituellement, sans vantardise aucune, je parvenais sans grande difficulté à renvoyer les attaques. Mais cette fois-ci, je le désirait. C'était d'ailleurs moi qui en avait fait la demande à mon meilleur ami. Scott avait de suite détesté l'idée de me faire du mal. Et pourtant... il n'avait pas eu le choix. Au fond de moi-même, j'étais parvenu à la conclusion qu'il me fallait voir plus loin, démêler les méandres du passé pour avoir une chance d'anticiper l'avenir. Contrairement à ce que l'on pensait, je n'étais pas si timide et réservé que cela. Non, ce n'était rien d'autre qu'une image que je transmettais, et ce dans le but de cacher ma véritable nature. Je ne suis pas si différent des autres. Je n'ai jamais tué personne, je ne suis pas une créature démoniaque, quoi que puisse en dire mon père. Lui ne compte pas. Il n'a jamais compté. Et, petite anecdote relativement flippante, je peux affirmer sans preuves qu'il demeure un vampire. Pourquoi ? Je ne sais pas. Peut-être que j'excuse ainsi la cruauté dont il fait preuve. Celle avec laquelle j'ai été élevé. Mais pour ré-assembler tout cela, il me fallait remonter le temps. Je ne connaissais qu'un sortilège pour cela. Je n'étais pas Occlumens. Je ne voulais pas le devenir. J'avais seulement une soif de vérité, une soif qui me tiraillait le corps. Par réflexe, mon bras s'était tendu, déployant un bouclier, bouclier qui s'était interposé sous ordre de mon « PROTEGO ! » Scott, le visage partagé entre l'appréhension et l'amusement, me regardait avec un petit sourire sur le bord de ses lèvres. « Ian, concentre toi mec ! J'ai pas la journée... » « Rabat-joie ! Aide donc ton pote et concentre toi. » « C'est l'hôpital qui se fout de la charité ? » L'expression typique des né-moldu. « Allez, recommence please. » « LEGILIMENS ! » L'obscurité apparut alors, me laissant seul, seul dans les ténèbres.
« Ian-Henry, nous allons être en retard ! » « Rien à foutre, je viendrai pas à votre putain de réception naze ! » Les escaliers grincèrent, signifiant que mon père n'allait pas tarder à ouvrir la porte en hurlant. « HABILLE TOI EN VITESSE SALE PETIT OGRE ! » Quelle vulgarité. « Ouch. Fait gaffe père, j'pourrais te croquer. » Sa main se leva, comme elle le faisait plusieurs fois par jour. Ma joue émit un son sourd avant de se colorer de rouge. Ne vous fiez pas aux apparences. Il ne m'a jamais touché. Du moins, pas physiquement. Sa baguette suffisait. Il ne m'avait jamais touché. Pas de baffes, pas de coups, mais pas non plus de baisers, de câlin, et plus encore, de tendresse. Pour lui, je n'étais qu'une honte, une erreur regrettable de son passé. Et ma belle-mère ne disait rien. Pire, elle l'approuvait. Le sourire qu'elle affichait sur son visage quand mon père me lançait un sort me donnait envie de prendre la mienne et de lui envoyer un bon gros STUPEFIX. Malheureusement pour moi, et heureusement pour elle, je n'avais pas le droit d'utiliser la magie en dehors de Poudlard. « Tu as cinq minutes . Pas une de plus. Ce jour est celui de mon triomphe. Ne gâche pas tout. » Quatre minutes s'étaient écoulées, et j'étais déjà en bas. Mon corps se souvenait des DOLORIS qu'il me lançait quand il n'appréciait pas mon comportement. Pour un sorcier qui travaillait pour le ministère, dans le service des abus de la magie, il n'était qu'un sale hypocrite. Le pire de tous. L'obscurité refit surface, balayant cette scène de ses bras d'ombre.
« Comment t'as fais ça ? » « Je... je sais pas... je sais vraiment pas. » Les larmes coulaient sur mes joues. Sur le sol reposait les milliers de paillettes qui étaient tombées dans le salon. Inexplicable. « Menteur. » Ma belle-mère me regardait avec haine. Elle ne m'avait jamais aimé. Sans doute parce que j'étais trop semblable à mon père. Physiquement, nous étions presque pareil. Mentalement, sans doute pas. Mais j'avais ce truc, ce truc étrange qui m'arrivait présentement. J'avais 8 ans quand les premiers « symptômes » sont apparus. Bizarrement, je parvenais à faire des choses inexplicables. Un jour, mes nounours avaient dansé pour moi. Mal, mais ils dansaient quand même. Un autre moment, c'était ma soupe qui se vidait toute seule. Surtout celle à la tomate. Je la détestais celle-là. Bref, le fait est que tout était tellement flippant. Je pense qu'elle aurait voulu que je ne sois pas comme lui. Que je ne sois pas un sorcier. Une aberration de la nature, voilà ce que j'étais pour elle. Pour commencer, je n'étais pas son fils. Mon père l'avait trompé, et m'avait eu. Pour éviter le scandale politique, il m'avait gardé. Mon enfance avait été un véritable enfer. Curieusement, mon père ne voulait pas que je développe des pouvoirs. Quand il a su, il est entré dans une rage folle. DOLORIS après DOLORIS, il me criait de devenir normal, de ne pas être un monstre. Quand je disais qu'il était hypocrite... Peut-être espérait-il un meilleur avenir pour moi. Mais que rêver de mieux que d'être doté de pouvoirs magiques pour un gosse, hein ? Alors quand j'avais reçu ma lettre pour aller à Poudlard, durant l'été de mes 11 ans, inutile de décrire l'état d'excitation dans lequel j'étais. Mon père avait refusé au départ. Mais après avoir détruit le salon suite à l'une de mes crises de colère, il s'est avéré plus prudent que je quitte un peu la maison. Ne plus m'avoir sur le dos pendant toute une année... un plaisir pour eux. Après avoir acheté tout ce qu'il me fallait, j'avais tranquillement passé l'été à lire mes manuels scolaires, tout en menaçant mon père de représailles une fois ma banque de sort développée. Ce qui ne le faisait pas rire du tout. « Jamais tu ne sera un bon sorcier. Tu es si bizarre. » « Moi aussi je t'aime. »
« POUFSOUFFLE ! » Mon destin venait d'être joué. Mon père allait se foutre de moi, c'était obligatoire. Serdaigle aurait été plus convenable. Ou Gryfondor. Mais non, j'avais été dans celle qui constituait le plus de haine pour lui. A ses yeux, les Poufsouffle ne valaient rien. Pour ma part, j'étais heureux. Ceux de ma maison étaient gentils, plus loyaux et fidèles que n'importe qui. « Ils font quoi vos parents ? » Il y avait des briseurs de sorts, des banquiers, des dentistes... « Et toi Ian-Henry ? » « Mon père est un connard. » « C'est pas un métier ça ! » « Si, il est politicien. » Je n'avais rien rajouté d'autre. « Du pain à l'ail ? » Une expression d'horreur avait parcouru mon visage. « Euh, non, je peux pas... » « Pourquoi ça ? » « Je suis... un vampire. » Tout le monde avait beaucoup rigolé ce soir-là. Je ne pense pas qu'un seul d'entre eux pensaient que j'avais dit la vérité. Car c'était vrai. J'en étais un, tout comme mon père l'était. Cela ne pouvait pas être autrement. Pour commencer, il ne mangeait jamais d'ail. Jamais. Ensuite, il détestait aller au soleil, et dès qu'il était dehors, il utilisait un sortilège de Têtenbulle, comme s'il ne pouvait pas se promener sans cela. Et pour finir, ses canines semblaient vraiment très longues, et puis il possédait une sorte de charme hypnotique. Flippant. (ndlr : le père de Ian-Henry n'est certainement pas un vampire. Il est simplement allergique à l'ail, ne supporte pas la pollution (ce qui le conduit à protéger son visage) et ses canines ne sont qu'un défaut dentaire parmi tant d'autre. De même, son charme n'est qu'une utilisation interdite de l'Impero, ce qu'il explique par un charisme poussé.)
« Tu as reçu tes résultats Ian-Henry. » Formel, comme à son habitude, mon père m'avait jeté la lettre des résultats sur mon lit. « Merci... » Les doigts tout tremblants, j'avais déchiqueté la missive en posant avidement mes yeux dessus. Presque que des O, pour ne pas changer. Il y avait quelques petits E qui trainaient ci et là, mais au final, ma moyenne était tout bonnement excellente. J'aurai pu m'arrêter là et faire comme mon père, travailler au ministère. Mais j'avais besoin de plus. Je voulais chasser celui que je détestais le plus. Lui. Je savais pertinemment qu'il utilisait des sortilèges de magie noire. J'en étais la principale cible. Avec mon diplôme d'Auror, je pouvais le coincer. Mais il était plus timbré que ce que je pensais. Alors que je me promenais dans les rues de Londres, seul, avec ma baguette magique fermement ancrée dans ma poche arrière cependant, un froid insoutenable avait fait son apparition. J'ai déjà précisé que j'étais un élève particulièrement doué, hein ? Je savais deux choses. De un, un Détraqueur se promenait près de moi, et de deux, mon père en était l'envoyeur. Pourquoi ? Il était dingue. Rien de plus. Doucement, je m'étais emparé de ma baguette, la brandissant devant moi, regardant sans crainte la silhouette sombre qui me faisait face. « Bordel, papa, tu penses vraiment que ça va m'arrêter un Détraqueur ? » Silencieusement, je réfléchissais. Quel intérêt avait-il à faire cela ? Aucun. Ses motivations n'étaient jamais précises. « SPERO PATRONUM ! » Le sort fusa, libérant mon adorable Chinchidou hors de ma baguette. Chinchidou, c'est mon bébé chinchilla, mon Patronus. Il est si petit, mais si mignon. Mais il est amplement suffisant pour envoyer paitre une saleté de Détraqueur. Les gens rient souvent en le voyant agir. Mais quand il owne ces horreurs, les rires cessent de suite. Chinchidou s'écrasa contre le monstre, l'envoyant dans les airs, le regardant partir avec une expression déterminée dans le regard. Pour moi, j'en était convaincu, ce Patronus était intelligent, et m'aimait. C'était débile, mais je le croyais. « Et vlan, bien joué Chinchidou ! » Et puis il était revenu dans ma baguette, laissant la ruelle d'un noir de jais. Un Lumos plus tard, celle-ci s'éclaira relativement assez pour me permettre de distinguer quelqu'un plus loin. Mon père, à n'en plus douter. Instinctivement, mon bouclier se déploya, me protégeant qu'une quelconque attaque. Quand un fuseau rouge fonça droit sur moi, s'écrasant avec violence sur mon champ de force, je su que j'avais bien fait. Son rire avait résonné dans la ruelle, m'agressant temporairement les oreilles. Je détestais son rire. « Papa. Content de te voir. Je dois considérer que ce Détraqueur et ce DOLORIS ne m'étaient pas destiné ? » « Fait ce que tu veux. » Il s'était rapproché, plongeant ses yeux dans les miens. « Tu sais, tu pourrais abandonner l'idée d'être Auror. Les sorciers vont disparaître. Ce n'est qu'une question de temps. » Totalement timbré. « Tu es fou. Tu veux trouver un moyen de briser la malédiction qui t'oblige à ne pas aller au soleil aussi ? » « Là, c'est toi qui est fou. Pourquoi aurais-je peur du soleil ? Tu ne sais même pas de quoi j'ai peur. » « Et toi ? » « De moi. J'ai tout fait pour que tu trembles de peur en me regardant. Et je pense que j'ai réussi. Tu peux battre des dizaines de Détraqueur, mais moi, le peux-tu ? » « EXPELLIARMUS. » C'était la seule réponse que je pouvais lui donner. Sa baguette renvoya mon sort de manière informulée. Il n'était pas qu'un simple sorcier. Il maitrisait les arts les plus sombres. Corrompre un Détraqueur n'est pas une chose aisée. « ENDOLORIS » le sort toucha mon ventre, tandis qu'une douleur indescriptible rongeait mon corps. Mes os étaient en feu. « AAAAAAAAAAH » La douleur était intenable. « Toute ta vie tu n'a été que moyen. Jamais tu ne pourra rivaliser avec moi, ne le vois-tu pas ? Tu n'es rien Ian-Henry, rien du tout. » Les larmes coulaient sur mes joues, sans que je ne veuille les arrêter. Cela lui faisait plaisir de me voir souffrir, pour ma part je m'en foutait. Je voulais seulement le voir crever. Le voir crever pour toutes ces années qu'il a passé à me torturer aussi bien psychologiquement que physiquement. Cette pensée était la plus heureuse de ma vie. Le voir mort. Doucement, avec beaucoup d'efforts, Chinchidou s'extirpa de ma baguette, se dirigeant rapidement vers le visage de mon père. Il ne pouvait pas le blesser physiquement. Mais il pouvait l'aveugler. « Un chinchilla ? Un ridicule Patronus qui reflète bien ta personnalité. » Cependant, il luttait pour garder son attention sur moi. La douleur se fit moins puissante, et, sans lui laisser le temps de réagir, je m'était relevé avec célérité. « ENDOLORIS ! » J'avais envie de le voir souffrir. Et je ne fut pas déçu. Il avait hurlé, hurlé jusqu'à n'en plus pouvoir.
Il y avait tant de monde à cet enterrement. Tant d'hypocrites. Ma belle-mère était loin de moi, elle ne m'avait pas adressé la parole. Quand j'étais revenu en sang, le corps endolori par notre combat, elle n'avait rien dit. Elle savait comment la relation entre mon père et moi allait se terminer. Je n'avais pas été arrêté. Ce n'était que de la légitime défense. L'étude de nos baguettes avait confirmée mon point de vue, et tout s'était remit dans l'ordre. Tout sauf ma vie. Plusieurs vérités étaient mortes en même temps que lui. J'aurai tellement aimé savoir si j'avais une partie des pouvoirs des vampires puisqu'il en était un. Et puis, comprendre sa haine. Mes amis étaient là, eux-aussi. J'aimerai dire qu'ils étaient là pour moi, pour me soutenir. Mais non. Ils désiraient simplement nouer de bons liens avec les gens du ministères présents. La bande de rapaces... Le soir, j'avais fait mes valises, et je suis parti. J'avais beaucoup d'argent, puisque j'étais l'unique héritier de mon père. J'ai donc passé beaucoup de temps à l'hôtel, avant d'intégrer l'université d'Hungcalf. Immédiatement, j'ai été séduit par ses cours, ses élèves, et son corps professoral. Berlioz, mon adorable chaton Siamois, se plaisait entre les murs de l'école, ce qui me comblait de joie. S'il ne l'avait pas aimé, j'aurai été obligé d'en trouver une qui lui convienne. Ce chat est tellement chiant et capricieux qu'il en devient très difficile à vivre. Et puis j'ai pu me renseigner sur ma véritable nature. Le fait est que je ne suis pas touché par l'ail et le soleil. En fait, il semblerait que seul un pieu puisse me blesser. Mais je ne suis pas assez fou pour tenter l'expérience. Le fait est que je ne suis qu'un demi-vampire (ndlr : pas du tout, Ian-Henry possède juste une imagination plus que débordante) et que je ne dispose que de leurs forces et non leurs faiblesses. Une sorte de Blade, en plus blanc et plus sexy, of course.
La lumière revint assez rapidement, tandis que les yeux de Scott regardaient avec appréhension les miens, se demandant s'il convenait d'appeler de l'aide ou non. « Ian, ça va ? » « T'en fais pas mec, je sais. » « Tu sais quoi ? Que tu es complètement timbré ? » « Non, je sais. » Petite pause. « Je sais ce qui faisait peur à mon père. Il avait peur de moi. Peur que je sois plus fort que lui. Peur que je devienne ce que lui-même n'a jamais réussi à devenir. Je suis tellement puissant et intelligent qu'il en était jaloux. » Petit soupir. « Et être un vampire ne me pose plus de problèmes. Cela fait partie de moi, de ma personnalité. Je ne veux rien changer. Parce que je suis parfait. » Because I'm beautiful. Ouais, clairement. « Parfait ? Juste LOL. »
« Ian-Henry, nous allons être en retard ! » « Rien à foutre, je viendrai pas à votre putain de réception naze ! » Les escaliers grincèrent, signifiant que mon père n'allait pas tarder à ouvrir la porte en hurlant. « HABILLE TOI EN VITESSE SALE PETIT OGRE ! » Quelle vulgarité. « Ouch. Fait gaffe père, j'pourrais te croquer. » Sa main se leva, comme elle le faisait plusieurs fois par jour. Ma joue émit un son sourd avant de se colorer de rouge. Ne vous fiez pas aux apparences. Il ne m'a jamais touché. Du moins, pas physiquement. Sa baguette suffisait. Il ne m'avait jamais touché. Pas de baffes, pas de coups, mais pas non plus de baisers, de câlin, et plus encore, de tendresse. Pour lui, je n'étais qu'une honte, une erreur regrettable de son passé. Et ma belle-mère ne disait rien. Pire, elle l'approuvait. Le sourire qu'elle affichait sur son visage quand mon père me lançait un sort me donnait envie de prendre la mienne et de lui envoyer un bon gros STUPEFIX. Malheureusement pour moi, et heureusement pour elle, je n'avais pas le droit d'utiliser la magie en dehors de Poudlard. « Tu as cinq minutes . Pas une de plus. Ce jour est celui de mon triomphe. Ne gâche pas tout. » Quatre minutes s'étaient écoulées, et j'étais déjà en bas. Mon corps se souvenait des DOLORIS qu'il me lançait quand il n'appréciait pas mon comportement. Pour un sorcier qui travaillait pour le ministère, dans le service des abus de la magie, il n'était qu'un sale hypocrite. Le pire de tous. L'obscurité refit surface, balayant cette scène de ses bras d'ombre.
« Comment t'as fais ça ? » « Je... je sais pas... je sais vraiment pas. » Les larmes coulaient sur mes joues. Sur le sol reposait les milliers de paillettes qui étaient tombées dans le salon. Inexplicable. « Menteur. » Ma belle-mère me regardait avec haine. Elle ne m'avait jamais aimé. Sans doute parce que j'étais trop semblable à mon père. Physiquement, nous étions presque pareil. Mentalement, sans doute pas. Mais j'avais ce truc, ce truc étrange qui m'arrivait présentement. J'avais 8 ans quand les premiers « symptômes » sont apparus. Bizarrement, je parvenais à faire des choses inexplicables. Un jour, mes nounours avaient dansé pour moi. Mal, mais ils dansaient quand même. Un autre moment, c'était ma soupe qui se vidait toute seule. Surtout celle à la tomate. Je la détestais celle-là. Bref, le fait est que tout était tellement flippant. Je pense qu'elle aurait voulu que je ne sois pas comme lui. Que je ne sois pas un sorcier. Une aberration de la nature, voilà ce que j'étais pour elle. Pour commencer, je n'étais pas son fils. Mon père l'avait trompé, et m'avait eu. Pour éviter le scandale politique, il m'avait gardé. Mon enfance avait été un véritable enfer. Curieusement, mon père ne voulait pas que je développe des pouvoirs. Quand il a su, il est entré dans une rage folle. DOLORIS après DOLORIS, il me criait de devenir normal, de ne pas être un monstre. Quand je disais qu'il était hypocrite... Peut-être espérait-il un meilleur avenir pour moi. Mais que rêver de mieux que d'être doté de pouvoirs magiques pour un gosse, hein ? Alors quand j'avais reçu ma lettre pour aller à Poudlard, durant l'été de mes 11 ans, inutile de décrire l'état d'excitation dans lequel j'étais. Mon père avait refusé au départ. Mais après avoir détruit le salon suite à l'une de mes crises de colère, il s'est avéré plus prudent que je quitte un peu la maison. Ne plus m'avoir sur le dos pendant toute une année... un plaisir pour eux. Après avoir acheté tout ce qu'il me fallait, j'avais tranquillement passé l'été à lire mes manuels scolaires, tout en menaçant mon père de représailles une fois ma banque de sort développée. Ce qui ne le faisait pas rire du tout. « Jamais tu ne sera un bon sorcier. Tu es si bizarre. » « Moi aussi je t'aime. »
« POUFSOUFFLE ! » Mon destin venait d'être joué. Mon père allait se foutre de moi, c'était obligatoire. Serdaigle aurait été plus convenable. Ou Gryfondor. Mais non, j'avais été dans celle qui constituait le plus de haine pour lui. A ses yeux, les Poufsouffle ne valaient rien. Pour ma part, j'étais heureux. Ceux de ma maison étaient gentils, plus loyaux et fidèles que n'importe qui. « Ils font quoi vos parents ? » Il y avait des briseurs de sorts, des banquiers, des dentistes... « Et toi Ian-Henry ? » « Mon père est un connard. » « C'est pas un métier ça ! » « Si, il est politicien. » Je n'avais rien rajouté d'autre. « Du pain à l'ail ? » Une expression d'horreur avait parcouru mon visage. « Euh, non, je peux pas... » « Pourquoi ça ? » « Je suis... un vampire. » Tout le monde avait beaucoup rigolé ce soir-là. Je ne pense pas qu'un seul d'entre eux pensaient que j'avais dit la vérité. Car c'était vrai. J'en étais un, tout comme mon père l'était. Cela ne pouvait pas être autrement. Pour commencer, il ne mangeait jamais d'ail. Jamais. Ensuite, il détestait aller au soleil, et dès qu'il était dehors, il utilisait un sortilège de Têtenbulle, comme s'il ne pouvait pas se promener sans cela. Et pour finir, ses canines semblaient vraiment très longues, et puis il possédait une sorte de charme hypnotique. Flippant. (ndlr : le père de Ian-Henry n'est certainement pas un vampire. Il est simplement allergique à l'ail, ne supporte pas la pollution (ce qui le conduit à protéger son visage) et ses canines ne sont qu'un défaut dentaire parmi tant d'autre. De même, son charme n'est qu'une utilisation interdite de l'Impero, ce qu'il explique par un charisme poussé.)
« Tu as reçu tes résultats Ian-Henry. » Formel, comme à son habitude, mon père m'avait jeté la lettre des résultats sur mon lit. « Merci... » Les doigts tout tremblants, j'avais déchiqueté la missive en posant avidement mes yeux dessus. Presque que des O, pour ne pas changer. Il y avait quelques petits E qui trainaient ci et là, mais au final, ma moyenne était tout bonnement excellente. J'aurai pu m'arrêter là et faire comme mon père, travailler au ministère. Mais j'avais besoin de plus. Je voulais chasser celui que je détestais le plus. Lui. Je savais pertinemment qu'il utilisait des sortilèges de magie noire. J'en étais la principale cible. Avec mon diplôme d'Auror, je pouvais le coincer. Mais il était plus timbré que ce que je pensais. Alors que je me promenais dans les rues de Londres, seul, avec ma baguette magique fermement ancrée dans ma poche arrière cependant, un froid insoutenable avait fait son apparition. J'ai déjà précisé que j'étais un élève particulièrement doué, hein ? Je savais deux choses. De un, un Détraqueur se promenait près de moi, et de deux, mon père en était l'envoyeur. Pourquoi ? Il était dingue. Rien de plus. Doucement, je m'étais emparé de ma baguette, la brandissant devant moi, regardant sans crainte la silhouette sombre qui me faisait face. « Bordel, papa, tu penses vraiment que ça va m'arrêter un Détraqueur ? » Silencieusement, je réfléchissais. Quel intérêt avait-il à faire cela ? Aucun. Ses motivations n'étaient jamais précises. « SPERO PATRONUM ! » Le sort fusa, libérant mon adorable Chinchidou hors de ma baguette. Chinchidou, c'est mon bébé chinchilla, mon Patronus. Il est si petit, mais si mignon. Mais il est amplement suffisant pour envoyer paitre une saleté de Détraqueur. Les gens rient souvent en le voyant agir. Mais quand il owne ces horreurs, les rires cessent de suite. Chinchidou s'écrasa contre le monstre, l'envoyant dans les airs, le regardant partir avec une expression déterminée dans le regard. Pour moi, j'en était convaincu, ce Patronus était intelligent, et m'aimait. C'était débile, mais je le croyais. « Et vlan, bien joué Chinchidou ! » Et puis il était revenu dans ma baguette, laissant la ruelle d'un noir de jais. Un Lumos plus tard, celle-ci s'éclaira relativement assez pour me permettre de distinguer quelqu'un plus loin. Mon père, à n'en plus douter. Instinctivement, mon bouclier se déploya, me protégeant qu'une quelconque attaque. Quand un fuseau rouge fonça droit sur moi, s'écrasant avec violence sur mon champ de force, je su que j'avais bien fait. Son rire avait résonné dans la ruelle, m'agressant temporairement les oreilles. Je détestais son rire. « Papa. Content de te voir. Je dois considérer que ce Détraqueur et ce DOLORIS ne m'étaient pas destiné ? » « Fait ce que tu veux. » Il s'était rapproché, plongeant ses yeux dans les miens. « Tu sais, tu pourrais abandonner l'idée d'être Auror. Les sorciers vont disparaître. Ce n'est qu'une question de temps. » Totalement timbré. « Tu es fou. Tu veux trouver un moyen de briser la malédiction qui t'oblige à ne pas aller au soleil aussi ? » « Là, c'est toi qui est fou. Pourquoi aurais-je peur du soleil ? Tu ne sais même pas de quoi j'ai peur. » « Et toi ? » « De moi. J'ai tout fait pour que tu trembles de peur en me regardant. Et je pense que j'ai réussi. Tu peux battre des dizaines de Détraqueur, mais moi, le peux-tu ? » « EXPELLIARMUS. » C'était la seule réponse que je pouvais lui donner. Sa baguette renvoya mon sort de manière informulée. Il n'était pas qu'un simple sorcier. Il maitrisait les arts les plus sombres. Corrompre un Détraqueur n'est pas une chose aisée. « ENDOLORIS » le sort toucha mon ventre, tandis qu'une douleur indescriptible rongeait mon corps. Mes os étaient en feu. « AAAAAAAAAAH » La douleur était intenable. « Toute ta vie tu n'a été que moyen. Jamais tu ne pourra rivaliser avec moi, ne le vois-tu pas ? Tu n'es rien Ian-Henry, rien du tout. » Les larmes coulaient sur mes joues, sans que je ne veuille les arrêter. Cela lui faisait plaisir de me voir souffrir, pour ma part je m'en foutait. Je voulais seulement le voir crever. Le voir crever pour toutes ces années qu'il a passé à me torturer aussi bien psychologiquement que physiquement. Cette pensée était la plus heureuse de ma vie. Le voir mort. Doucement, avec beaucoup d'efforts, Chinchidou s'extirpa de ma baguette, se dirigeant rapidement vers le visage de mon père. Il ne pouvait pas le blesser physiquement. Mais il pouvait l'aveugler. « Un chinchilla ? Un ridicule Patronus qui reflète bien ta personnalité. » Cependant, il luttait pour garder son attention sur moi. La douleur se fit moins puissante, et, sans lui laisser le temps de réagir, je m'était relevé avec célérité. « ENDOLORIS ! » J'avais envie de le voir souffrir. Et je ne fut pas déçu. Il avait hurlé, hurlé jusqu'à n'en plus pouvoir.
Il y avait tant de monde à cet enterrement. Tant d'hypocrites. Ma belle-mère était loin de moi, elle ne m'avait pas adressé la parole. Quand j'étais revenu en sang, le corps endolori par notre combat, elle n'avait rien dit. Elle savait comment la relation entre mon père et moi allait se terminer. Je n'avais pas été arrêté. Ce n'était que de la légitime défense. L'étude de nos baguettes avait confirmée mon point de vue, et tout s'était remit dans l'ordre. Tout sauf ma vie. Plusieurs vérités étaient mortes en même temps que lui. J'aurai tellement aimé savoir si j'avais une partie des pouvoirs des vampires puisqu'il en était un. Et puis, comprendre sa haine. Mes amis étaient là, eux-aussi. J'aimerai dire qu'ils étaient là pour moi, pour me soutenir. Mais non. Ils désiraient simplement nouer de bons liens avec les gens du ministères présents. La bande de rapaces... Le soir, j'avais fait mes valises, et je suis parti. J'avais beaucoup d'argent, puisque j'étais l'unique héritier de mon père. J'ai donc passé beaucoup de temps à l'hôtel, avant d'intégrer l'université d'Hungcalf. Immédiatement, j'ai été séduit par ses cours, ses élèves, et son corps professoral. Berlioz, mon adorable chaton Siamois, se plaisait entre les murs de l'école, ce qui me comblait de joie. S'il ne l'avait pas aimé, j'aurai été obligé d'en trouver une qui lui convienne. Ce chat est tellement chiant et capricieux qu'il en devient très difficile à vivre. Et puis j'ai pu me renseigner sur ma véritable nature. Le fait est que je ne suis pas touché par l'ail et le soleil. En fait, il semblerait que seul un pieu puisse me blesser. Mais je ne suis pas assez fou pour tenter l'expérience. Le fait est que je ne suis qu'un demi-vampire (ndlr : pas du tout, Ian-Henry possède juste une imagination plus que débordante) et que je ne dispose que de leurs forces et non leurs faiblesses. Une sorte de Blade, en plus blanc et plus sexy, of course.
La lumière revint assez rapidement, tandis que les yeux de Scott regardaient avec appréhension les miens, se demandant s'il convenait d'appeler de l'aide ou non. « Ian, ça va ? » « T'en fais pas mec, je sais. » « Tu sais quoi ? Que tu es complètement timbré ? » « Non, je sais. » Petite pause. « Je sais ce qui faisait peur à mon père. Il avait peur de moi. Peur que je sois plus fort que lui. Peur que je devienne ce que lui-même n'a jamais réussi à devenir. Je suis tellement puissant et intelligent qu'il en était jaloux. » Petit soupir. « Et être un vampire ne me pose plus de problèmes. Cela fait partie de moi, de ma personnalité. Je ne veux rien changer. Parce que je suis parfait. » Because I'm beautiful. Ouais, clairement. « Parfait ? Juste LOL. »
✎...TON PSEUDO
Dans la vraie vie, j'ai 22 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à PRD et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que ce forum est juste magnifique *_* . code règlement : ok by Whiskas |
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- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:00
Avec le grand Vladimir :baveuh:
(ces nouveaux persos vont finir par avoir ma peau (l) )
Bienvenue ici (ou rebienvenue si tu fais partie de la vague des DC ) (l)
(ces nouveaux persos vont finir par avoir ma peau (l) )
Bienvenue ici (ou rebienvenue si tu fais partie de la vague des DC ) (l)
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:04
Bienvenue =D
Je te réserve Vladimir pour 7 jours ! Bon courage pour ta fiche !
Je te réserve Vladimir pour 7 jours ! Bon courage pour ta fiche !
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:06
Juste bienvenue !
Merci beaucoup ma jolie
Merci pour la bienvenue et la réservation Erheÿbe ! :buzz:
Merci beaucoup ma jolie
Merci pour la bienvenue et la réservation Erheÿbe ! :buzz:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:08
yeah un bi (a)
bienvenue (l)
bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:10
Il est beau lui :baveuh: Je le connais pas mais je le kiffe, c't'officiel
Allez, bienvenue espèce de BG
Allez, bienvenue espèce de BG
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:12
ohgosh :baveuh: vladimir + summerbee (l)
y'a une petite vague de jaunes en ce moment ça fait du bien
bref, bienvenue parmi nous mon lapin et bonne chance pour ta fiche :brille:
y'a une petite vague de jaunes en ce moment ça fait du bien
bref, bienvenue parmi nous mon lapin et bonne chance pour ta fiche :brille:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:13
Et oui Lust, c'est positif ?
Merci *_*
Il est super beau :hysteric:
Merci bell'gosse
J'ai bien fait de le prendre tiens
Merci pour la bienvenue Nell, je trouvais que ça manquait de jaune :seduction:
Merci *_*
Il est super beau :hysteric:
Merci bell'gosse
J'ai bien fait de le prendre tiens
Merci pour la bienvenue Nell, je trouvais que ça manquait de jaune :seduction:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:17
bien sûr c'est positif j'ai jamais joué le côté bi de Lust encore, donc ... *se passe de commentaires inutiles :seduction: *
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:19
Ton regard est très expressif t'en fais pas :seduction:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:20
Bienvenue sur le foruum (l) (l) :brille:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:22
Merci beaucoup ! :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:47
Tous ces beaux mâles vont finir par nous tuer Bienvenue sexy Ian :baveuh: Je connais pas Vladimir mais c'est un délice pour les yeux :inlove: Bonne chance pour ta fiche et si tu as la moindre question n'hésites surtout pas
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:53
Merci beaucoup Whisky !
Je peux t'appeller Whisky ?
Je peux t'appeller Whisky ?
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 17:55
Oui oui, te gène pas
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 19:46
Qu'est ce que je disais !! Une vague de beaux gosses summerbee déferle sur Hungcalf ! :hysteric: Hen my god ca fait du bien à voir ! :grandsyeux:
A nous le pouvoir !!! :buzz:
Mis à part cela, BIENVENUE ! :huhu:
A nous le pouvoir !!! :buzz:
Mis à part cela, BIENVENUE ! :huhu:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 19:53
Vive nous, vive les jaunes, et vive les beaux mecs :hysteric:
Merci pour la bienvenue
Merci pour la bienvenue
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 21:07
Bienvenue :baveuh:
Je t'aime déjà :hysteric:
LES JAUNES ARRIVENT EN MASSE :brille: :brille: :brille: :brille:
Je t'aime déjà :hysteric:
LES JAUNES ARRIVENT EN MASSE :brille: :brille: :brille: :brille:
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Jeu 5 Mai 2011 - 21:09
Owi *_*
On s'aime déjà alors
VIVE LES JAUNES
On s'aime déjà alors
VIVE LES JAUNES
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Ven 6 Mai 2011 - 17:38
Bon alors c'est une fiche très agréable à lire, malheureusement le statut des vampires est fermé. Je ne peux pas t'autoriser à jouer cette race, tout simplement parce que nous les gardons sous le coude pour une intrigue à venir. Dans quelques mois, les statuts seront ouverts, mais pour le moment nous ne les autorisons pas, donc il va falloir modifier ça ;)
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Ven 6 Mai 2011 - 17:50
Ah mais c'est pas un vampire du tout
Il pense l'être, mais il ne l'est pas, j'explique en parenthèse qu'il se trompe et que ce n'est absolument pas vrai, juste qu'il le pense réellement, alors qu'il n'en est rien
Il est juste complètement dingue :gogolle:
Si vraiment ça gêne je peux changer, mais non, il est pas vampire.
Il pense l'être, mais il ne l'est pas, j'explique en parenthèse qu'il se trompe et que ce n'est absolument pas vrai, juste qu'il le pense réellement, alors qu'il n'en est rien
Il est juste complètement dingue :gogolle:
Si vraiment ça gêne je peux changer, mais non, il est pas vampire.
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Ven 6 Mai 2011 - 18:02
Ok, autant pour moi (a) c'est qu'on a eu affaire à des fiches si alambiquées parfois, que je préfère être sûre X)
Je t'avoue que j'ai tiqué sur le "demi vampire" avant de lire les parenthèses
Je relis tout ça et j'éditerais pour te valider (l)
Je t'avoue que j'ai tiqué sur le "demi vampire" avant de lire les parenthèses
Je relis tout ça et j'éditerais pour te valider (l)
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Ven 6 Mai 2011 - 18:06
Aucun soucis c'est pas un vampire, ni un demi d'ailleurs, mais je peux amplement comprendre ta méfiance
Tu me fera un bisous pour la peine
Tu me fera un bisous pour la peine
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Ven 6 Mai 2011 - 18:11
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : tout a été dit, mis à part que j'ai apprécié ses explications quant à son non enfermement. Enfin un peu de cohérence, ça fait du bien (a) Ton perso est d'ailleurs juste excellent (maintenant que j'ai compris qu'il était dingue )
et t'auras plus qu'un bisous
- InvitéInvité
Re: Ian-Henry ✖ Les garçons et les filles sont comme les noms de domaines, ceux et celles que j’aime sont déjà pris ✖
Ven 6 Mai 2011 - 18:37
Super, en attente du plus que le bisous
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- Quatre filles et un jean... Ah non, elles ne sont que 2 {Stasia
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