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Léda : A cute girl...but a strange girl
Sam 21 Mai 2011 - 14:09
✤ Summerbee Salut !!! Moi c'est Léda Hérène Achilruz , j'ai 19 ans , et je suis d'origine anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle , mais aussi célibataire et issu d'une famille 50/50 . A Hungcalf, j'ai choisi Médicomagie , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de Rose, treize centimètres, cheveu de Vélane et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de lapin . avatar Fanpop? || icônes |
this is my story
Londres, Juillet 1991
C’est l’histoire d’une fille. Oh, je sais bien qu’elle n’importe personne. C’est l’histoire d’une jeune fille baptisée Léda. Léda est née un 28 Juillet, sous le soleil d'après-midi. La douce lumière caressait désormais la joue de nacre de Léda au travers des vitres de la maternité anglaise. Pourtant, la jeune mère était malheureuse. Malheureuse comme les pierres. Son petit garçon était mort accidentellement pendant l’accouchement. Elle avait nourrit tellement d’amour pour lui, tellement d’espoir. Elle espérait tellement qu’il ressemblerait à son père. Son père qui venait de s’éteindre trois mois plus tôt, après deux semaines de comas, à la suite d’un misérable accident de moto. Elle avait même faillit perdre les jumeaux, à cause de sa détresse. Mais les médecins l’avaient rassurée. Les jumeaux seraient beaux, ils seraient en parfaite santé. Alors la jeune mère nourrit un espoir fou, son fils serait comme son père, elle ferait tout pour. Son fils, il serait beau, oui, si beau. Et voilà que le petit Loth, qui n’avait rien demandé d’autre qu’exister, venait de mourir. Les médecins s’efforçaient de consoler la mère éplorée. Léda, elle, était là, grouillante de vie, dans son berceau. Mais la mère ne voulait rien entendre. Elle voulait son fils, elle voulait Loth et seulement Loth. Elle hurlait qu’il n’était pas mort, que ce n’était pas son fils qu’ils avaient trouvé mort, que c’était un autre. Loth était quelque part dans la maternité, il était là, il était vivant. Rien ne venait à bout des hurlements de la mère désespérée.
Londres, Juillet 1998
La jeune mère fut placée à Ste-Mangouste. Il devint évident que la mère pourrait faire du mal à son enfant si on le lui amenait. Léda était si fragile pour une enfant de quelques mois… Une infirmière du service, sorcière, décida d’adopter la petite fille. Pour qu’elle puisse voir un jour sa mère si elle le voulait, l’infirmière décida de tout quitter pour émigrer en Angleterre.
Léda dut vivre avec le poids de la folie de sa mère. Une fois, rien qu’une, l’infirmière, Célimène, autorisa la petite à aller la voir pour ses sept ans. Léda était entrée dans la chambre, et sa mère, roulée en boule sur le lit s’était levée, tremblante, elle avait secoué la petite avec force en hurlant qu’elle aurait dû mourir. C’était elle qui aurait du mourir, pas Loth. Célimène avait ramené en vitesse la petite fille dans leur appartement qu’elles occupaient dans un quartier résidentiel de Londres. La petite fille, douce et tranquille, n’avait pas bronché. Elle se contentait de fixer d’un œil absent les passants qui défilaient devant ses yeux d’enfants. Célimène lui demandait sans cesse si elle allait bien, si elle n’avait pas peur. La petite fille lui souriait distraitement en secouant lentement la tête.
Londres, Juillet 2002
La lettre était enfin arrivée. Avec joie, la petite avait lu la lettre en sautillant dans l’appartement. Sa seconde mère la félicita et elles partirent sur l’heure pour faire les emplettes. La petite ne se lassait jamais du Chemin de Traverse ni de se que l’on pouvait y trouver. Elle aimait regarder les chouettes dans les vitrines et lire de vieux grimoires poussiéreux que les autres enfants dédaignaient. Sa robe de sorcier sous le bras, la fillette et sa seconde mère se mirent à la conquête des livres, et de la précieuse baguette qui rythmerait la vie de sa petite protégée.
La boutique d’Ollivander était le seul endroit que Léda n’aimait pas sur le Chemin de Traverse. Trop sombre, trop poussiéreuse, elle avait toujours soigneusement évité de se trouver à proximité. Mais il fallait bien qu’elle y aille. Prenant son courage à deux mains, Léda entra bravement dans la boutique mal éclairée. Ollivander releva la tête de derrière sa montagne de boîtes. Célimène exposa le but de leur visite et Ollivander ordonna à la petite de tourner le poignet en récitant Accio Baguette. La petite fille s’exécuta et une boîte se mit à trembler au fond de la boutique. Ollivander alla la chercher. Bois de Rose, quinze centimètres, cheveu de Vélane.
Londres, Voie Numéro 9 ¾ , Septembre 2002
Léda pénétra dans le train rouge après avoir longuement embrassé Célimène et avoir écouté ses mille et une recommandations. Tous les jeunes gens semblaient se connaître, alors la petite se mura dans un silence rêveur, se contentant de regarder le paysage s’étaler devant ses yeux.
Après le long voyage, le test du Choixpeau fit monter la tension d’un cran auprès des autres élèves, et Léda, qui pourtant n’était pas du genre à s’angoisser pour quelque chose comme ça, sentit son cœur s’accélérer. Poufsouffle. Léda, qui avait toute sa vie dû vivre avec le fantôme de son père, le manque physique et psychologique de son jumeau, et sans compter sur la folie d’une mère internée, se surprit à apprécier la douceur de vivre de Poudlard, même si la rigueur imposée l’étouffait parfois. Hélas, les rumeurs commencèrent. Le prestige en revenait à Sally Kerns, une première année comme elle, qui passait pour la commère de Poudlard. Les gens la détestaient, mais on la supportait pour avoir l’honneur de connaître les derniers ragots de sa bouche de vipère.
On s’écartait désormais de la fille d’un assassin, d’une mère cleptomane et d’un frère drogué. Léda ne supportait plus les regards des gens. Elle trouvait cela injuste. Tellement injuste. Une jeune fille lui tendit la main, pourtant. Amy. Amy était gentille, fonceuse. Elle ne se gênait pas pour enguirlander les gens qui l’énervaient. Mais Amy n’était pas si sympa qu’elle le prétendait. Un pari, un simple pari. Le pari fou d’approcher la fille d’un maffieux, et d’une mère prostituée. Les élèves pariaient même sur son suicide prochain ou non. Lorsqu’elle l’apprit, Léda s’effondra devant tant d’injustice. Son existence était encore remise en cause. Des gens à qui elle n’avait rien fait voulaient encore la voir mourir.
Poudlard, Janvier 2004
Léda s’enfermait dans sa solitude. Les gens ne l’aimaient pas, alors elle n’avait pas besoin de les aimer.
L’obtention de son diplôme causa un grand soulagement à Léda. Enfin elle pourrait vivre sans avoir la crainte qu’on la rejette de par ses origines. Etant intelligente et plutôt douée, elle entra à Hungcalf avec la bénédiction de Célimène. En prime, elle avait un nouveau compagnon, son chat Salem qui, lui, ne la jugerait pas.
Cette jeune fille... C'est moi.
C’est l’histoire d’une fille. Oh, je sais bien qu’elle n’importe personne. C’est l’histoire d’une jeune fille baptisée Léda. Léda est née un 28 Juillet, sous le soleil d'après-midi. La douce lumière caressait désormais la joue de nacre de Léda au travers des vitres de la maternité anglaise. Pourtant, la jeune mère était malheureuse. Malheureuse comme les pierres. Son petit garçon était mort accidentellement pendant l’accouchement. Elle avait nourrit tellement d’amour pour lui, tellement d’espoir. Elle espérait tellement qu’il ressemblerait à son père. Son père qui venait de s’éteindre trois mois plus tôt, après deux semaines de comas, à la suite d’un misérable accident de moto. Elle avait même faillit perdre les jumeaux, à cause de sa détresse. Mais les médecins l’avaient rassurée. Les jumeaux seraient beaux, ils seraient en parfaite santé. Alors la jeune mère nourrit un espoir fou, son fils serait comme son père, elle ferait tout pour. Son fils, il serait beau, oui, si beau. Et voilà que le petit Loth, qui n’avait rien demandé d’autre qu’exister, venait de mourir. Les médecins s’efforçaient de consoler la mère éplorée. Léda, elle, était là, grouillante de vie, dans son berceau. Mais la mère ne voulait rien entendre. Elle voulait son fils, elle voulait Loth et seulement Loth. Elle hurlait qu’il n’était pas mort, que ce n’était pas son fils qu’ils avaient trouvé mort, que c’était un autre. Loth était quelque part dans la maternité, il était là, il était vivant. Rien ne venait à bout des hurlements de la mère désespérée.
Londres, Juillet 1998
La jeune mère fut placée à Ste-Mangouste. Il devint évident que la mère pourrait faire du mal à son enfant si on le lui amenait. Léda était si fragile pour une enfant de quelques mois… Une infirmière du service, sorcière, décida d’adopter la petite fille. Pour qu’elle puisse voir un jour sa mère si elle le voulait, l’infirmière décida de tout quitter pour émigrer en Angleterre.
Léda dut vivre avec le poids de la folie de sa mère. Une fois, rien qu’une, l’infirmière, Célimène, autorisa la petite à aller la voir pour ses sept ans. Léda était entrée dans la chambre, et sa mère, roulée en boule sur le lit s’était levée, tremblante, elle avait secoué la petite avec force en hurlant qu’elle aurait dû mourir. C’était elle qui aurait du mourir, pas Loth. Célimène avait ramené en vitesse la petite fille dans leur appartement qu’elles occupaient dans un quartier résidentiel de Londres. La petite fille, douce et tranquille, n’avait pas bronché. Elle se contentait de fixer d’un œil absent les passants qui défilaient devant ses yeux d’enfants. Célimène lui demandait sans cesse si elle allait bien, si elle n’avait pas peur. La petite fille lui souriait distraitement en secouant lentement la tête.
Londres, Juillet 2002
La lettre était enfin arrivée. Avec joie, la petite avait lu la lettre en sautillant dans l’appartement. Sa seconde mère la félicita et elles partirent sur l’heure pour faire les emplettes. La petite ne se lassait jamais du Chemin de Traverse ni de se que l’on pouvait y trouver. Elle aimait regarder les chouettes dans les vitrines et lire de vieux grimoires poussiéreux que les autres enfants dédaignaient. Sa robe de sorcier sous le bras, la fillette et sa seconde mère se mirent à la conquête des livres, et de la précieuse baguette qui rythmerait la vie de sa petite protégée.
La boutique d’Ollivander était le seul endroit que Léda n’aimait pas sur le Chemin de Traverse. Trop sombre, trop poussiéreuse, elle avait toujours soigneusement évité de se trouver à proximité. Mais il fallait bien qu’elle y aille. Prenant son courage à deux mains, Léda entra bravement dans la boutique mal éclairée. Ollivander releva la tête de derrière sa montagne de boîtes. Célimène exposa le but de leur visite et Ollivander ordonna à la petite de tourner le poignet en récitant Accio Baguette. La petite fille s’exécuta et une boîte se mit à trembler au fond de la boutique. Ollivander alla la chercher. Bois de Rose, quinze centimètres, cheveu de Vélane.
Londres, Voie Numéro 9 ¾ , Septembre 2002
Léda pénétra dans le train rouge après avoir longuement embrassé Célimène et avoir écouté ses mille et une recommandations. Tous les jeunes gens semblaient se connaître, alors la petite se mura dans un silence rêveur, se contentant de regarder le paysage s’étaler devant ses yeux.
Après le long voyage, le test du Choixpeau fit monter la tension d’un cran auprès des autres élèves, et Léda, qui pourtant n’était pas du genre à s’angoisser pour quelque chose comme ça, sentit son cœur s’accélérer. Poufsouffle. Léda, qui avait toute sa vie dû vivre avec le fantôme de son père, le manque physique et psychologique de son jumeau, et sans compter sur la folie d’une mère internée, se surprit à apprécier la douceur de vivre de Poudlard, même si la rigueur imposée l’étouffait parfois. Hélas, les rumeurs commencèrent. Le prestige en revenait à Sally Kerns, une première année comme elle, qui passait pour la commère de Poudlard. Les gens la détestaient, mais on la supportait pour avoir l’honneur de connaître les derniers ragots de sa bouche de vipère.
On s’écartait désormais de la fille d’un assassin, d’une mère cleptomane et d’un frère drogué. Léda ne supportait plus les regards des gens. Elle trouvait cela injuste. Tellement injuste. Une jeune fille lui tendit la main, pourtant. Amy. Amy était gentille, fonceuse. Elle ne se gênait pas pour enguirlander les gens qui l’énervaient. Mais Amy n’était pas si sympa qu’elle le prétendait. Un pari, un simple pari. Le pari fou d’approcher la fille d’un maffieux, et d’une mère prostituée. Les élèves pariaient même sur son suicide prochain ou non. Lorsqu’elle l’apprit, Léda s’effondra devant tant d’injustice. Son existence était encore remise en cause. Des gens à qui elle n’avait rien fait voulaient encore la voir mourir.
Poudlard, Janvier 2004
Léda s’enfermait dans sa solitude. Les gens ne l’aimaient pas, alors elle n’avait pas besoin de les aimer.
L’obtention de son diplôme causa un grand soulagement à Léda. Enfin elle pourrait vivre sans avoir la crainte qu’on la rejette de par ses origines. Etant intelligente et plutôt douée, elle entra à Hungcalf avec la bénédiction de Célimène. En prime, elle avait un nouveau compagnon, son chat Salem qui, lui, ne la jugerait pas.
Cette jeune fille... C'est moi.
✎...Mimi
Dans la vraie vie, j'ai 15 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à FA et je ferais de mon mieux pour être là 7 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que je trouve le forum magnifique :D . code règlement : Ok by Dacey |
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- InvitéInvité
Re: Léda : A cute girl...but a strange girl
Sam 21 Mai 2011 - 18:53
Leighton (l) Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Léda : A cute girl...but a strange girl
Sam 21 Mai 2011 - 22:09
rebienvenue !
Je m'excuse du retard X) Dans tous les cas je vais te demander de changer le lieu de naissance de la demoiselle, à savoir en Angleterre. L'histoire se tient etc, mais je ne peux pas te laisser aller dans une maison normale si à la base elle vient des States. Je sais c'est pointilleux, mais sinon on s'en sort pas. Merci de procéder au changement ;)
Je m'excuse du retard X) Dans tous les cas je vais te demander de changer le lieu de naissance de la demoiselle, à savoir en Angleterre. L'histoire se tient etc, mais je ne peux pas te laisser aller dans une maison normale si à la base elle vient des States. Je sais c'est pointilleux, mais sinon on s'en sort pas. Merci de procéder au changement ;)
- InvitéInvité
Re: Léda : A cute girl...but a strange girl
Sam 21 Mai 2011 - 22:29
J'allais te valider mais je fait tout de travers aujourd'hui '--
Je vois toujours la Californie comme lieu de naissance dans ta fiche =>
Je vois toujours la Californie comme lieu de naissance dans ta fiche =>
- InvitéInvité
Re: Léda : A cute girl...but a strange girl
Dim 22 Mai 2011 - 10:03
J'avais pas fait attention --"
- InvitéInvité
Re: Léda : A cute girl...but a strange girl
Dim 22 Mai 2011 - 10:29
Chère étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : ok merci pour les changements ! Fiche courte mais l'essentiel y est. Rebienvenue parmi nous ;)