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EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 15:07
✤ Lufkin Salut !!! Moi c'est Eurydice Ephemère Storm , j'ai bientôt 22 ans , et je suis d'origine anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis Hétérosexuelle, à tendance bi , mais aussi célibataire ET très bien comme ça et issu d'une famille 50/50 . A Hungcalf, j'ai choisi Médicomagie , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en 22 cm, crin de licorne et en bois d'ébène et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de Chat sauvage . avatar Mymy|| icônes LJ |
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Dans la vraie vie, j'ai 19 ans ... le temps passe vite hein . J'ai connu ce magnifique forum grâce à Alors .. par une amie je crois mais je sais plus en définitive et je ferais de mon mieux pour être là 7jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . code règlement : CH15 |
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Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 15:07
Chapitre I : L'enfance est le lieu de tous les rêves
L'enfance. On garde tous un souvenir bien précis de cette époque étrangement, en bien ou en mal d'ailleurs mais on a toujours un, ou une odeur qui nous renvoie au temps de l'innocence ou bien un sentiment. Etrangement ce qui reste gravé en moi depuis ce temps là est une odeur de vieux whisky bon marché que ma mère achetait un jour sur deux, cette odeur âpre qui capture vos sens et vous plonge dans une léthargie avancé. Je détestais cette odeur étant enfant et paradoxalement c'est la même qui allait me rassurer des années plus tard quand je ruminerais seule dans mon appartement mal en point.Le bruit d'une bouteille qu'on ouvre voilà un autre souvenir, et ma sœur ainée avec son regard océan, inquiet et à moitié apeuré « Eurydice monte avec Cassiopée » Je savais ce que ça signifiait, plus que personne. Je déglutis doucement et me tournait vers ma cadette, innocente et insouciante, je lui souris malgré moi avec un air protecteur et doux. « Cassiopée ma chérie, on joue à cache-cache? Je compte tu vas te cacher ok ? » Elle sourit largement, ses dents avaient commencés à tomber, et son air radieux montrait aussi un énorme trou à la place de dents de devant ce qui avait le don de me faire sourire plus qu'il ne le fallait. Elle lâcha ses poupées rapidement, prête à partir. Je fis mine de fermer les yeux et de commencer à compter alors qu'elle était déjà partie à toute vitesse. Je me tournai alors vers Gaïa, le regard dur et apeuré de l'enfant qui sait sans savoir. Parce que je savais que mon père ne tarderait à arriver, lui. Il hantait mes nuits et m'empêchait de dormir, vous savez quand vous allez au lit la peur au ventre, le soir, ne sachant pas comment la nuit va se passer ni le lendemain, si oui ou non il allait boire un verre de trop et si vous alliez finir avec une marque de plus sur le bras ou le visage. Avoir peur est le pire des sentiments, surtout enfant, surtout quand celui qui devrait calmer vos peurs les provoque. Quand à chaque fois que vous entendiez le bruit d'une bouteille débouchée, un frisson parcourait votre dos fragilisé. Personne ne sait ce que c'est personne ne comprend, mise à part vous même. « Tu devrais monter Eury, je gère t'as pas besoin de rester » Je secouais la tête, je ne voulais pas la laisser seule avec lui, j'avais trop peur et j'aimais trop ma sœur pour la laisser. « Je reste Gaïa, ça sera plus simple à deux je crois... » Au moment où je terminais ma phrase. Il sortit, mon père, de son éternelle cuisine où il chassait ses bouteilles de whisky, ses bières et sa vodka, cette pièce que j'appelais son antre, l'antre du diable ou du démon qui possédait mon père depuis des années, oui je préférais me dire qu'il y avait quelqu'un à l'intérieur de lui qui nous faisait subir ça, je préférais me dire qu'il n'était vraiment mon père, me voiler la face et ne pas en parler, pourtant c'était bien lui, pourtant chaque jour la vie me montrait que c'était bien mon père qui faisait ça et personne d'autre car les rares fois où il était sobre, il dormait ou regardait la télévision avec une bière à la main. J'aurais voulu croire qu'il avait du bon en lui mais quel genre de père fait ce qu'il fait, aucun, et pourtant dans un espoir inutile j'espérais encore. Il vint s'asseoir sur son fauteuil telle la loque qu'il était sans nous adresser une seule parole ou un regard, alors nous crûmes, jeune crédule que nous étions qu'il était assez sobre pour nous laisser tranquille juste aujourd'hui, et nous fîmes ce que l'on faisait dans ces cas là, c'est à dire s'éclipser avant qu'il attaque un cheveu déplacé. Nous étions juste naïves, à peine Gaïa avait mis le pied par terre et prit ma main en se levant du canapé pour s'éclipser à l'étage, que mon père posa son regard sur nous. « Vous allez où comme ça ? Vous vous prenez pour qui ? Auriez-vous cru que je n'avais vu dans quel foutoir est le salon ? » Il se leva, nous nous immobilisâmes, craintives. Une boule venait de se former au creux de mon ventre et j'avais envie de vomir. Je crus défaillir quand je vis sa main se poser sur mon bras et le serrer le plus possible. J'aurais voulu hurler, aucun son ne serait sorti, j'avais l'impression qu'il me broyait l'avant bras, il l'avait déjà fait, une fois. Je ne comptais plus les marques de coup en définitive depuis que Gaïa était entrée à Poudlard en depuis d'année, moi j'étais trop jeune de deux ans, je restais à la maison à gérer mon père et ma mère absente, trop occupé à se faire baiser par son patron. Fun. Il nous tira violement, surement un peu trop parce que je perdis pied, m'éraflant les genoux sur le tapis et me retrouvais face aux poupées de Cassiopée, j'avais lâché la main de ma sœur, elle rangeait ce qu'il y avait à ranger c'est à dire pas grand chose et moi je pris les deux poupées dans les bras avant de me diriger dans ma chambre et de fermer la porte derrière moi avec un soupir de soulagement. « BOUUUUH! » Je sursautai tandis que Cassiopée riait un peu, fière d'avoir réussi à me faire peur. Je souris et la pris dans mes bras doucement. «T'es bête, ma belle, refais plus jamais ça je vais mourir de peur à cause de toi un jour »Je fermai les yeux un instant, lâche, je ne voulais pas descendre au salon, je ne voulais pas le revoir, je n'aimais pas laisser Gaïa avec lui, mais j'aimais trop cette bulle d'oxygène pour la quitter.
Chapitre II : Waooowww ! On dirait de la magie !
Poudlard. Lieu neutre, lieu de renouveau. Je pouvais être qui je voulais, moi, vraiment moi, ici. Sans crainte, sans peur. Juste là, le sourire aux lèvres avec des yeux alors innocents et fragiles de la sortie d'une enfance que je n'avais pas eu. J'avais l'impression de respirer pour la première fois, d'oublier un peu ma vie à Oxford dans le grand château écossais et j'adorais ça. Serdaigle m'avait accueilli à bras ouvert comme Gaïa avant moi, elle en troisième année moi en première, je découvrais émerveillé un monde que je n'avais que trop peu connu jusqu'à présent. Le parc offrait l'une des plus belles aurores qu'il m'ait été donné de voir, en avais-je vu réellement une seule en définitive? Peut-être pas, je ne me souvenais plus. Les yeux perdus dans l'immensité de l'horizon, ma tête était enfin vide, vide de cette peur qui faisait battre mon cœur telle une pluie diluvienne un soir d'été. J'avais pour la première fois l'impression de vivre pour moi et uniquement pour moi, et dieu que c'était bon. Cette impression de puissance que l'on avait, l'air pur qui passait dans mes poumons sans cette sensation d'étouffement. Ça en devenait presque jouissif, une euphorie comme de l'or liquide dans mon sang, on en devenait vite accro. Je crois que mes tendances junkies ont fait leurs premières apparitions à cette époque, j'avais l'impression de me shooter à une sorte de bonheur éphémère. Je ne savais pas bien ce que c'était comme la plupart des gens, et le plus malheureux c'est qu'à l'époque je n'avais pas su l'attraper et en profiter le temps qu'il passe.« ... Moi mon père travaille au ministère au département des mystères et toi Eurydice tes parents travaillent où ? » Nous étions trois, trois filles de première année, seule et en cercle à parler tôt dans le parc avant notre premier cours de botanique, le froid hivernal commençait à se faire sentir et pourtant nous étions là, le bravant gentiment. La jeune blonde, du nom d'Anna venait de me sortir de ma contemplation admirative du soleil glacial et venait de me poser la question que j'espérais éviter tout au long de ma scolarité. Je devins distante et me refermai sur moi-même inconsciemment, que dire? Mon père me frappe, mes sœurs et moi, quand il boit plus de deux verres de whisky par heure ce qui arrive environ tous les jours, ma mère est la seule à travailler et couche avec son patron pour nous assurer d'avoir un peu d'argent pour vivre avec un minimum de dignité? Charmant tableau de famille. Je me ferais presque peur...Je leurs souriais, faisant mine de chercher mes mots. « Mon père est moldu et il travaille dans une petite entreprise qui vend des conserves » Je me stoppai, j'improvisais totalement, vraiment totalement et pourtant elle avait l'air d'y croire dur comme faire et je continuais donc. « Ma mère est infirmière dans un hôpital moldu, elle a toujours adoré ça » C'était passé comme une lettre dans une volière. Elles n'avaient pas posé plus de question que ça, elles avaient toutes un parent moldus et donc voyaient de quoi je parlais... heureusement pour moi d'ailleurs. Je souris et je me refermais sur moi-même me coupant du monde sans le vouloir réellement mais de toute façon elles n'auraient pas pu comprendre ce que je vivais, personne ne pouvait comprendre je crois. Le mensonge était simple et puis elles n’iraient pas vérifier la véracité de la chose, je ne risquais rien. Les autres élèves commencèrent à arriver et je remerciais dieu à ce moment là. Je pris mon sac dans les mains et je me levais précipitamment, parce que quelque part j'avais honte d'avoir menti et j'étais persuadé que l'on verrait que c'était faux sur mon visage. Je me mêlais aux autres, silencieuse, savourant ma solitude et ma mini victoire.
Chapitre III :J’imagine qu’il y a des gens qui
naissent avec la tragédie dans le sang.
Personne ne peut comprendre et personne ne comprendra jamais. Voilà la phrase que je me répétais sans cesse en tête. Au point de me l'ancrer au fer rouge dans mon esprit. J'avais l'impression qu'une part de moi venait de crever et qu'on l'enterrer aujourd'hui, le truc c'est que ce n'était pas une impression. Une part de moi était bien morte avec elle, Gaïa. Je détestais ce prêtre qui racontait des âneries, je détestais les gens d'être venu la pleurer, ma mère d'être au près de moi. J'étais à l'agonie, couché sur le dos les entrailles ouvertes, du sang dans la bouche attendant de mourir. Sauf que cette putain de personne là-haut ne voulait pas de moi, préférant, sadiquement me voir me vider de toute l'innocence et l'insouciance qu'il me restait avant de me donner un coup de pied au cul pour que je continue d'avancer. Brisée. Je ne voulais pas penser à cette soirée là, celle où elle avait rendu son dernier souffle, celle où les secours avaient mis, me semble-t-il, des heures à arriver, celle où ma plus profonde cicatrice s'était formée. J'aurais donné tout ce que j'avais pour la faire revenir là avec nous qu'elle sorte d'un buisson et qu'elle nous dise: Surprise c'était une blague. Non elle ne reviendrait pas, elle était partie définitivement.
J'avais juste envie de vomir, les tuer tous, là maintenant. Ils se foutaient bien de ce que l'on subissait chaque jour depuis des années, préférant faire l'autruche et faire comme si rien n'était. Et ils avaient eu le culot de venir la pleurer. La seule sincère était qui ? Cassiopée, traumatisée qui ne se rappelait même plus cette fameuse soirée. Je l'enviais, j'aurais voulu oublier aussi, j'aurais voulu refuser les évènements comme l'avait fait, elle, l'image de sa sœur ainée croupissant dans son sang ne la hanterait pas à vie, elle, elle allait garder l'innocence de ces onze ans, je ferais tout pour, elle était tout ce qui me restait ici. Je ne pleurais pas, les trop nombreuses larmes que j'avais, restaient bloquées au fond de ma gorge. Mes yeux chocolat fixaient le cercueil sans émotion, froide de la douleur. Je pense que c'est la première fois que ce masque s'imposa sur mon visage, place qu'il allait garder sans doute jusqu'à la fin de mes jours. Je voulais ne rien ressentir, ignorer cette douleur qui me lacérait les entrailles qui me donnait envie de hurler à la mort, de me tirer une balle en pleine tête pour que tout s'arrête. Juste un instant, ne rien ressentir, ni haine, ni douleur, ni amour, ni pitié, rien juste le calme absolu. Oui impossible en somme.
Le cercueil descendait, doucement dans le trou qu'il y avait été creusé dans le cimetière d'Oxford alors que la plupart des gens attendait précisément ce moment pour lâcher une larme. Je les observai impassible, le regard dur et je les trouvais horriblement hypocrites. Excellent acteur par contre pour le coup je devais avouer qu'on se serait dit dans un magnifique film d'auteur où l'on pleure à la fin du film parce que l'on s'était attaché horriblement au personnage, oui magnifique, sauf que ce n'était un film juste la vrai vie et qu'il me faisait sérieusement chier à pleurer comme ça. C'était facile pour eux. Ma mère me serra doucement l'épaule, les yeux encore pleins de larmes et je me dégageais violemment. De tous c'était à elle que j'en voulais le plus, elle qui n'avait rien dit, ni levé le petit doigt une seule fois pour nous, elle osait pleurer sa fille ainée, j'en avais sérieusement mal au cœur. Elle me regarda alors que je m'éloignai doucement, pendant que les personnes présentes commençaient à présenter leurs condoléances. « Eurydice ... Où vas tu, la cérémonie n'est pas terminé !! » Je continuai à avancer, et allumai une cigarette, nouvelle habitude depuis quelques semaines qui allait devenir dans le futur l'un de mes vices les plus prononcés. Je tournais la tête vers elle, et entre ouvris les lèvres pour articuler un « Va crever » Mes premiers mots depuis la mort de ma sœur. « Cassiopée va y... » - au reste- « Je suis désolée... les ados vous savez... » Ma sœur s'approcha de moi méfiante et légèrement craintive, elle posa sa main sur mon épaule, sans aucunes paroles, elle savait que c'était inutile et pour la première fois de la journée ma douleur s'anesthésia juste un petit peu. « Il ne faut pas le dire... » Ma voix était roque et emplit de sanglot contenu. « A Poudlard, je veux dire... Personne ne doit savoir que notre ...- j'eus du mal avec ce mot comme s'il restait bloqué au fond de ma gorge- père l'a tué ok ? » Elle acquiesça en silence, je pris une bouffée de fumée en tremblant. « Et si on nous demande elle est parti étudier chez notre tante à Salem » Cassiopée acquiesça de nouveau avant de venir me faire face, elle regarda dans les yeux un instant, juste un instant avant de venir se blottir contre moi. Elle se mit à pleurer, en silence et je laissai mes larmes coulaient, les seules que je comptais m'autoriser. J'embrassai son front tendrement et essuyai ses larmes avec un petit sourire. C’était elle et moi contre le monde entier.
Chapitre IV: A force de faire semblant d'être
amoureux, on le devient pour de vrai.
L'amour. Une notion bien vaste et totalement illusoire à l'époque. Mon cœur c'était glacé en définitive depuis qu'elle était partie. On m'a arraché le cœur malgré moi et l'amour je ne le connaissais pas, cette personne qui vous obsède jour et nuit, celle dont on marque les initiales sur nos notes de cours ou nos brouillons, que l'on suit, que l'on hésite à approcher de peur du refus ou qu'il ne s'intéresse pas du tout à nous. Non je ne connaissais pas ce genre de chose. Ne vous y méprenez pas, j'avais eu des petites amourettes mais rien de sérieux et la gente masculine m'ennuyait bien trop rapidement à mon goût alors je papillonnais et allait de fleur en fleur. En langage courant, je n'aimais pas être fidèle, c'était la seule façon que j'avais trouvé pour ne pas m'ennuyer sous trop de niaiseries qui me filaient mal au cœur. Ceux avec qui j'étais sortie, ne savait rien ou presque de moi et j'avais toujours été relativement froide et distante avec tous mes petits amis, déjà l'époque, comme quoi on ne change pas beaucoup.
Mes yeux se posèrent de nouveau sur lui sans que je ne le veuille vraiment et mes sourcils se froncèrent doucement. Je le détaillais, doucement et discrètement. Qui était-il ? Il ne me semblait pas l'avoir vu plus de trois ou quatre fois dans la salle commune de Serdaigle, et je n'y avais jamais fait attention jusqu'à présent. Alors pourquoi mon regard était immanquablement attiré par lui? Je cherchais une tête connu dans la salle dans un balayement de regard et souris à moitié en voyant une connaissance, une vieille amie de ma sœur ainée. Je fermai mon livre de sortilèges et me dirigeai vers elle, au coin du feu alors qu'elle lisait la gazette du sorcier. Je me fichais pas mal de la déranger ou pas j'avais juste une unique question à lui poser, une seule. « Lize... » La fille aux yeux vert marronnés porta son attention vers moi, il lui fallut une dizaine de seconde pour me reconnaitre et elle finit par me sourire. « Tu es Eurydice, la sœur de Gaïa Storm non ? » J'hochai la tête brièvement et enchaînai avant qu'elle puisse me poser des questions sur son absence à Poudlard en m'asseyant à coté d'elle. « J'en ai pas pour longtemps j'ai juste besoin d'un renseignement ...» Je me stoppai une dizaine de seconde avant de continuer. « Tu sais qui est le garçon brun à la table de travail, tout à droite ? » Elle jeta un coup d'œil vraiment pas discret et je me maudissais de lui avoir demandé mais ça n'importait peu, je voulais sa réponse. « James Badgley un sixième année... je crois qu'une copine est sorti avec lui l'année dernière, un vrai con et... » Elle me détailla rapidement avant de continuer. « Et t'es beaucoup trop jeune pour lui, ma chère si tu veux mon avis, n'espère même pas » Je me mis à rire, légèrement jaune avouons le. Je me foutais royalement de son avis, sérieusement pour qui se prenait-elle? L'Agence matrimoniale des Serdaigle? Au quel cas elle se trompait radicalement de toute façon. Mon visage angélique - encore intact à l'époque - lui offrait un regard des plus innocents. Le stratagème de la petite manipulatrice marchait à merveille même si quelques rumeurs commençaient à courir sur moi, les gens qui me connaissaient à peine était facilement dupe à mon petit manège de la fille prude et innocente non intéressée par les hommes - ouais ils étaient vraiment dupe quand on y pense -. Ainsi je souris doucement en haussant les épaules. « Noon c'est pas du tout ce que tu crois... j'ai trouvé ...hier le livre d'un sixième année sur la table je passais que ça aurait pu être lui mais visiblement non » C'était passé tout seul, après tout c'était vraisemblable et puis c'est connu, plus c'est gros, plus ça passe mieux. J'allais retrouver ma place en silence et continuais de lire un peu - enfin lire était un bien grand mot - James Badgley. Ce nom résonnait en moi étrangement et j'avais l'intime conviction que je n'allais pas l'oublier. Je regardais l'heure, j'allais être en retard en potions. Je me levais en vitesse et en me tournant vers la sortie, mes yeux se posèrent une fois de plus sur lui. Là. Ses yeux s'étaient levés vers moi rapidement. Une fraction de seconde nous nous regardâmes, une fraction de seconde et pourtant ces yeux allait rester graver en moi, dans ma mémoire pendant des années. Au fond de moi une voix grondait. James Badgley, tu seras à moi. L'instant d'après ? J’étais hors de la salle commune et je ne voulais plus y penser.
- InvitéInvité
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 15:08
Chapitre V: Il suffit d'une étincelle pour créer le
chaos
« BISHOP REND MOI MES SOUS VETEMENTS » « Tu peux crever Storm je suis sur que certains payeraient cher pour les avoir » « Très drôle ... maintenant dis moi où ils sont! » « Je les ai donné à un deuxième ou troisième année je sais plus 3 gallions pour la soirée, te plains pas tes sous vêtements nous payeront notre prochaine bouteille » « T'es un con t'es au courant ... tu me dois une bouteille crois moi je ne l'oublierais pas » ...
« C'était les seuls propres je mets quoi maintenant hein ? » « Rien et crois moi on me remerciera. »
Chapitre VI: Le plaisir de faire l'amour s'augmente
de l'indifférence éprouvée à l'égard du partenaire
Chapitre VII: C'est plus un triangle amoureux,
c'est un rectangle
Chapitre VIII: Nul Sacrifice ne vaut le moment présent
Une Loque. J'étais une vrai loque, à la limite du déchet humain. L'un de ceux que l'on croise dans la rue et vers qui on ne retourne pas, j'avais mal, terriblement mal, pas par vague...non c'était diffus tout mon corps rejeter cette douleur et comment la Mes bras draps ocre sentaient le whisky, la vodka et la tequila à pleine nez. Des cadavres de cigarettes trainaient dans des cendriers bien trop sales pour avoir été nettoyé ne serait-ce qu'un seul jour. Des petits sachets vides - qui avait contenu des choses pas réellement licites- s'entassaient sur la table de chevet. J'avais l'impression d'avoir cesser de respirer, étais-je morte enfin ?
- InvitéInvité
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 15:15
Fais donc ma belle Eurydice :baveuh:
Hâte de lire ça ! :huhu:
Hâte de lire ça ! :huhu:
- InvitéInvité
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 15:50
J'ai vraiment hâte de lire ta nouvelle fiche ma Eurychérie :baveuh: (l) (Watson te va toujours aussi bien )
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
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» miroir du riséd : castel hungcalf
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» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 17:44
Ohhh ca sent le neuf ! :baveuh:
- InvitéInvité
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 19:37
Courage ma Eury chérie :brille: :cracrac:
- InvitéInvité
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Lun 29 Aoû 2011 - 23:10
Ohw merci mes amours :baveuh:
Promis je vais essayer de vous faire une présentation de folie :brille:
Promis je vais essayer de vous faire une présentation de folie :brille:
- InvitéInvité
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Mar 30 Aoû 2011 - 2:06
Bon courage pour ta fiche Eury :brille: (l)
- InvitéInvité
Re: EURYDICE Ҩ «Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t’en fous.»
Mar 30 Aoû 2011 - 8:54
Bon courage :brille: Hâte de lire :baveuh:
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