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Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 20:31
✤ Lufkin Salut !!! Moi c'est Fenrir Eloi Von Arsengher , j'ai 23 ans , et je suis d'origine anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuel , mais aussi célibataire et issu d'une famille de sorciers . A Hungcalf, j'ai choisi Justice Magique , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en en bois de vigne, 19 centimètres, écaille de sirène et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de Guépard . avatar wild heart ? || icônes Média Guests |
✎...Cam'
Dans la vraie vie, j'ai 15 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à FA et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? oui . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à Lust Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que j'arrive, Eury ! . code règlement : Ok by Emy |
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Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 20:32
The First Chapter
Nous avons les souvenirs que nous
méritons
♞
Nous avons les souvenirs que nous
méritons
♞
« C’est ta faute. Tu devais le surveiller. » Les paroles écorchent mes oreilles, et le venin cruel suintant entre ces mots se répand lentement dans mon être déjà éprouvé. J’ai mal. Tellement mal. Je voudrais pouvoir revenir en arrière. Pendant les brefs instants silencieux qui viennent de s’écouler, la langueur étreignant mon esprit avait paru se dissiper. Oui pendant ces quelques instants, j’ai eu la sensation qu’il était là, que rien n’était arrivé, et surtout pas le pire. Pendant ces brefs instants, ma vie était normale. J’aurais voulu crier à la terre entière que je n’avais pas voulu ça. Que ce n’était pas ma faute. Mais rien ne franchissait mes lèvres. Je me taisais, me contentant de rester là, pâle, abattu, prêt à hurler à la Grande Faucheuse si je la découvrais au détour d’un couloir : « Attendez ! Vous m’avez oublié… Emmenez-moi donc puisque plus rien ne me retient ici… » Mais ces quelques mots, jetés de façon si cruelle, avait brisé l’illusoire apathie. Les sons me paraissaient plus forts, comme si mes oreilles recouvraient soudain l’usage de l’audition après de longs mois de surdité feutrée. « Comment peux-tu rester dans cet état ? Tu devrais te réjouir d’être encore en vie, et voilà ce que tu en fais ! Tu n’es qu’un inconscient et un égoïste ! », hurle la femme devant moi. Je lève les yeux lentement. Des jambes fines et minces ; une jupe crayon de grand couturier ceinturant des hanches parfaitement taillées ; une délicate poitrine couverte par un cardigan en cachemire gris perle ; un fin cou de cygne à peine ridé par les années, ceint d’un collier de perles fines ; et pour finir un visage. Fin, des lèvres amincies par la douleur ; des yeux d’un bleu pervenche, un regard ombré par la haine et la fureur. Si elle ne me ressemblait pas tant, je n’aurais peut-être jamais cru qu’elle était ma mère. Cela faisait deux mois. Deux mois que j’étais plongé dans cet état d’hébétude. Oui, c’est ça, j’étais hébété. Le sujet n’était jamais revenu. On faisait tout pour l’oublier, se reconstruire sur les ruines d’un passé heureux et révolu. Remplir nos vies du mieux qu’on le pouvait en essayant de penser à l’avenir. Mes parents avaient délibérément omis d’aborder l’épineux souvenir. Ils savaient… Ils savaient pourtant que je n’avais plus rien de vivant… C’était comme si j’étais parti avec lui. A présent, je contemple ma mère. Son visage dévoré de tristesse, ses yeux furieux, ses lèvres serrées. Des rides sont apparues sur son visage. J’ai tant de choses à lui dire. Lui dire que ce n’est pas ma faute. Que je ne voulais pas. Lui dire aussi qu’elle me manque. Depuis deux mois, chacun d’entre nous s’est renfermé sur lui-même. Tant de choses à lui dire… Mais je ne parviens pas à ouvrir la bouche. Les mots restent bloqués dans ma gorge. Je ne peux que baisser la tête devant ses yeux luisants de douleur et de colère mêlés. Je baisse la tête, me soustrayant à son regard terrible. Je fixe le sol, les yeux dans le vague, perdu à l’intérieur de moi-même dans le dédale de mes souvenirs. Je me rappelle avoir fait ce pari avec lui. Il avait eu l’air si vexé, si blessé. Je revois encore ses yeux noirs luisant de colère. Lente et fourbe, l’évidence me frappe peu-à-peu. Peut-être que ma mère a raison. Tout est ma faute. Mais je ne voulais pas. Jamais je n’ai voulu qu’il fasse ça. Comment pouvait-on m’en vouloir ? « C’est ta faute, répéta ma mère. Pourquoi es-tu là, toi ? Tu ne mérites même pas de… » Sa voix se brise au milieu de sa phrase, et ses derniers mots s’étranglent dans sa gorge. Ses paroles ne sont guère plus qu’un murmure, empreint d’une telle souffrance qu’ils me sont insupportables. Mon cœur se serre, et j’ai l’impression que cette dernière phrase est un poignard envenimé qui s’introduit peu-à-peu dans ma chair et qui commence à s’enfoncer dans mon cœur. J’ai toujours les yeux baissés, de telle sorte que je ne peux pas voir son visage. Mais le simple fait de l’imaginer me glace de la tête aux pieds. « Comment peux-tu rester dans cet état ? », répète-t-elle encore. « J’avais confiance en toi, tu entends ? Je t’ai tout pardonné, tes excentricités, tes caprices, tes lubies aussi stupides que passagères… Et si un jour tu as la chance que je te pardonne ce que tu as fais, jamais ô grand jamais je n’excuserai ton inaction présente ! » Mon corps se raidit, mais je ne peux pas relever la tête. Je ne peux pas voir son visage. « Espèce d’égoïste ! » La gifle retentit dans le silence de la pièce. Ma mère tourne les talons et sort de la pièce à la vitesse grand V. Les larmes ruissèlent sur mes joues et je couvre mon visage de mes mains. Les sanglots me secouent tandis que la brûlure de la gifle marque ma joue. « Pourquoi as-tu fais ça ? Pourquoi ? Pourquoi ?! », je murmure pour moi-même. Je sais pourtant qu’il ne me répondra pas. Aloïs est mort. Aloïs est mort. Aloïs est mort. Aloïs est mort. Aloïs Trojan Von Arsengher est mort. Et tout est ma faute.
The Second Chapter
Méfie-toi des souvenirs
comme d'une montre arrêtée
♞
Méfie-toi des souvenirs
comme d'une montre arrêtée
♞
« Laisse-moi tranquille, idiot ! », hurlai-je.
Il me regarda de son air de parfait diable. Je savais ce qu’il venait faire. Il allait encore prendre mes affaires, s’en aller en courant, pour les jeter je-ne-sais-où dans le vaste jardin de la maison. Mais cette fois, je ne me ferai pas avoir par sa moue innocente, celle qui précédait chaque fois ses minables tours les plus pendables. En un mouvement, je rassemblai toutes mes affaires qui me tenaient le plus à cœur et les gardai soigneusement dans mes bras. Une lueur de rage passa dans ses yeux durant une seconde, mais il recouvra instantanément son innocence feinte, alors que je savais pertinemment qu’il devait être dégoûté que je l’ai devancé dans sa connerie. Il attrapa sur mon bureau d’acajou un stylo plume fort coûteux qu’il entreprit de manipuler sous tous ses angles dans une attitude de défi. Il le reposa soigneusement au bout de quelques secondes, puis refit la même chose avec un autre. Il savait très bien que ça me tapait sur les nerfs. « S’il-te-plaît… Laisse-moi, j’ai du boulot ! », m’écriai-je. Sérieusement, j’avais déjà une tonne de livres à décortiquer avant la rentrée à Poudlard. Il haussa les épaules et tourna les talons, avant de se retourner avec une vitesse incroyable, et s’empara vivement d’un long morceau de bois posée sur une commode. Ma baguette. Et merde ! Il quitta ma chambre en courant, tandis que j’étais contraint de déposer mes affaires sur mon lit avant de le prendre en chasse. « REVIENS IMMEDIATEMENT !!! », rugis-je pendant que je descendais quatre à quatre les marches des escaliers. Qu’allais-je faire s’il décidait d’un accord tacite avec lui-même de le casser sur son genoux, comme papa lui avait appris à le faire ? Sauf que le jour où il lui avait appris cette idiote, c’était une branche ! PAS MA BAGUETTE ! J’accélérai du mieux que je le pus et traversai le salon et les corridors comme une flèche. Margareth me regarda filer, interloquée, poursuivant son travail d’un geste rendu mécanique par les années ¬– elle lavait les carreaux du vestibule. « REVIENS ICI SALETE ! SI JAMAIS JE T’ATRAPPE… !! », hurlai-je à pleins poumons. S’il cassait ma baguette, je serai capable de lui rompre le cou en guise de dédommagement. Essoufflé, je m’arrêtai sur le seuil de la porte donnant sur le vaste jardin fraîchement tondu. Je promenai mon regard, m’arrêtant pour scruter chaque statue, chaque massif pour tenter de l’apercevoir. Rien à faire, le fichu garnement n’était pas là. Je repris ma poursuite à grandes enjambées, et avançai en silence derrière la maison. Je bondis derrière la fontaine et il sursauta vivement en criant. « Rends-moi ça tout de suite ! », hurlai-je en le secouant par le bras. Il se mit à crier en guise de protestations. « Lâches-moi ! Tu me fais mal ! », gémit-il. Je lui arrachai le précieux morceau de bois des mains et le serrai vivement contre moi. Il tenta de s’enfuir mais je le retins fermement. « Excuse-toi ! », ordonnai-je. Il me regarda de ses yeux noirs luisant de colère et n’ouvrit pas la bouche. « Excuse-toi ! » « Je te déteste ! T’es pas mon père ! T’as pas l’droit ! », cria-t-il. « Si j’ai le droit. Tu n’es qu’un sale gosse capricieux et immature ! Tu vas avoir dix ans, et tu en es encore à me voler mes affaires comme un… un enfant ! Tu n’es plus un enfant ! Tu es immature, tu entends ? Tu n’es même pas capable d’assumer tes bêtises ! » Il évita mon regard et, vaincu, je le relâchai. Il s’enfuit en courant sans demander son reste.
C’était la première fois où maman nous emmenait, lui et moi, en vacances avec notre nouveau beau-père. Nos parents avaient divorcé peu après mes douze ans. Un impressionnant yacht d’un luxe déraisonnable nous fit faire le tour de la méditerranée. C’était fantastique. L’eau était bleue, il faisait un temps superbe. Les vacances se déroulaient à merveille. Un soir, il vint me trouver dans ma cabine, excité comme une puce. « Fen ! Fen ! Viens on va nager ! Maman et son fiancé sont occupés. Viens j’te dis ! » Je jetai un œil à la baie vitrée, derrière laquelle la nuit tombait sur une mer quelque peu agitée. «Je ne pense pas que se soit une bonne idée. De toutes façons, je te parie ce que tu veux que tu vas vouloir rentrer dans dix secondes parce que tu auras trop peur pour nager.» Ses yeux s’agrandirent de colère. Il tourna les talons. Je soupirai et posai le bouquin que je lisais. « Reviens Alo, c’était une blague »
Dix minutes plus tard, je le regardais se laissait glisser dans les vagues. Je plongeai à mon tour, mais une vague me projeta contre le bateau, tandis que je laissais échapper une plainte étouffée. Je me cramponnai à l’échelle, effrayé par les rouleaux qui venaient s’écraser contre la coque du yacht. « Al ! Al ! Viens on rentre ! Al ! », hurlai-je pour couvrir le bruit des vagues. Un cri de détresse me parvint et je distinguai dans les vagues la silhouette d’Aloïs, ballotée plus loin par la mer agitée. « Aloïs ! » Je quittai mon refuge pour tenter de nager jusqu’à lui. Peine perdue, plus je nageais, plus je m’éloignais. Je luttai en vain contre les éléments. Les vagues me fouettaient le visage. « Fenrir ! », hurla-t-il plus loin. Je me souviens d’avoir refermé mes doigts sur son poignet. Je me souviens aussi d’avoir été happé par une vague plus forte que les autres. Sonné, je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits qu’une autre me projeta encore plus loin, et d’autres encore m’éloignèrent de lui. Ma tête heurta la coque du bateau, puis ce fut le noir complet.
Il me regarda de son air de parfait diable. Je savais ce qu’il venait faire. Il allait encore prendre mes affaires, s’en aller en courant, pour les jeter je-ne-sais-où dans le vaste jardin de la maison. Mais cette fois, je ne me ferai pas avoir par sa moue innocente, celle qui précédait chaque fois ses minables tours les plus pendables. En un mouvement, je rassemblai toutes mes affaires qui me tenaient le plus à cœur et les gardai soigneusement dans mes bras. Une lueur de rage passa dans ses yeux durant une seconde, mais il recouvra instantanément son innocence feinte, alors que je savais pertinemment qu’il devait être dégoûté que je l’ai devancé dans sa connerie. Il attrapa sur mon bureau d’acajou un stylo plume fort coûteux qu’il entreprit de manipuler sous tous ses angles dans une attitude de défi. Il le reposa soigneusement au bout de quelques secondes, puis refit la même chose avec un autre. Il savait très bien que ça me tapait sur les nerfs. « S’il-te-plaît… Laisse-moi, j’ai du boulot ! », m’écriai-je. Sérieusement, j’avais déjà une tonne de livres à décortiquer avant la rentrée à Poudlard. Il haussa les épaules et tourna les talons, avant de se retourner avec une vitesse incroyable, et s’empara vivement d’un long morceau de bois posée sur une commode. Ma baguette. Et merde ! Il quitta ma chambre en courant, tandis que j’étais contraint de déposer mes affaires sur mon lit avant de le prendre en chasse. « REVIENS IMMEDIATEMENT !!! », rugis-je pendant que je descendais quatre à quatre les marches des escaliers. Qu’allais-je faire s’il décidait d’un accord tacite avec lui-même de le casser sur son genoux, comme papa lui avait appris à le faire ? Sauf que le jour où il lui avait appris cette idiote, c’était une branche ! PAS MA BAGUETTE ! J’accélérai du mieux que je le pus et traversai le salon et les corridors comme une flèche. Margareth me regarda filer, interloquée, poursuivant son travail d’un geste rendu mécanique par les années ¬– elle lavait les carreaux du vestibule. « REVIENS ICI SALETE ! SI JAMAIS JE T’ATRAPPE… !! », hurlai-je à pleins poumons. S’il cassait ma baguette, je serai capable de lui rompre le cou en guise de dédommagement. Essoufflé, je m’arrêtai sur le seuil de la porte donnant sur le vaste jardin fraîchement tondu. Je promenai mon regard, m’arrêtant pour scruter chaque statue, chaque massif pour tenter de l’apercevoir. Rien à faire, le fichu garnement n’était pas là. Je repris ma poursuite à grandes enjambées, et avançai en silence derrière la maison. Je bondis derrière la fontaine et il sursauta vivement en criant. « Rends-moi ça tout de suite ! », hurlai-je en le secouant par le bras. Il se mit à crier en guise de protestations. « Lâches-moi ! Tu me fais mal ! », gémit-il. Je lui arrachai le précieux morceau de bois des mains et le serrai vivement contre moi. Il tenta de s’enfuir mais je le retins fermement. « Excuse-toi ! », ordonnai-je. Il me regarda de ses yeux noirs luisant de colère et n’ouvrit pas la bouche. « Excuse-toi ! » « Je te déteste ! T’es pas mon père ! T’as pas l’droit ! », cria-t-il. « Si j’ai le droit. Tu n’es qu’un sale gosse capricieux et immature ! Tu vas avoir dix ans, et tu en es encore à me voler mes affaires comme un… un enfant ! Tu n’es plus un enfant ! Tu es immature, tu entends ? Tu n’es même pas capable d’assumer tes bêtises ! » Il évita mon regard et, vaincu, je le relâchai. Il s’enfuit en courant sans demander son reste.
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C’était la première fois où maman nous emmenait, lui et moi, en vacances avec notre nouveau beau-père. Nos parents avaient divorcé peu après mes douze ans. Un impressionnant yacht d’un luxe déraisonnable nous fit faire le tour de la méditerranée. C’était fantastique. L’eau était bleue, il faisait un temps superbe. Les vacances se déroulaient à merveille. Un soir, il vint me trouver dans ma cabine, excité comme une puce. « Fen ! Fen ! Viens on va nager ! Maman et son fiancé sont occupés. Viens j’te dis ! » Je jetai un œil à la baie vitrée, derrière laquelle la nuit tombait sur une mer quelque peu agitée. «Je ne pense pas que se soit une bonne idée. De toutes façons, je te parie ce que tu veux que tu vas vouloir rentrer dans dix secondes parce que tu auras trop peur pour nager.» Ses yeux s’agrandirent de colère. Il tourna les talons. Je soupirai et posai le bouquin que je lisais. « Reviens Alo, c’était une blague »
Dix minutes plus tard, je le regardais se laissait glisser dans les vagues. Je plongeai à mon tour, mais une vague me projeta contre le bateau, tandis que je laissais échapper une plainte étouffée. Je me cramponnai à l’échelle, effrayé par les rouleaux qui venaient s’écraser contre la coque du yacht. « Al ! Al ! Viens on rentre ! Al ! », hurlai-je pour couvrir le bruit des vagues. Un cri de détresse me parvint et je distinguai dans les vagues la silhouette d’Aloïs, ballotée plus loin par la mer agitée. « Aloïs ! » Je quittai mon refuge pour tenter de nager jusqu’à lui. Peine perdue, plus je nageais, plus je m’éloignais. Je luttai en vain contre les éléments. Les vagues me fouettaient le visage. « Fenrir ! », hurla-t-il plus loin. Je me souviens d’avoir refermé mes doigts sur son poignet. Je me souviens aussi d’avoir été happé par une vague plus forte que les autres. Sonné, je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits qu’une autre me projeta encore plus loin, et d’autres encore m’éloignèrent de lui. Ma tête heurta la coque du bateau, puis ce fut le noir complet.
The Third Chapter
« La vie est comme
un arc-en-ciel: il faut de la pluie
et du soleil pour en voir les couleurs. »
♞
« La vie est comme
un arc-en-ciel: il faut de la pluie
et du soleil pour en voir les couleurs. »
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« Ce n’est pas ta faute, mon chéri. Tu n’y es pour rien. » Les mots revenaient dans mon esprit comme une odieuse ritournelle. Les mots d’Alice raisonnaient, tendres et consolateurs. Ma belle-mère avait pour moi toutes les attentions que ma mère n’avait jamais cru devoir se donner la peine de m’accorder. C’est à elle que je devais ma vie, peut-être. Elle m’avait accueilli dans la famille qu’elle formait avec mon père et leur fille, Annabella, baptisée Bella depuis sa naissance, tel un petit chaton trop tôt soumis à la dureté du monde extérieur. Alice m’avait répété ces mots durant tout le mois que je venais de passer chez eux. Mais à présent que je me retrouvai seul, dans mon compartiment de la locomotive rouge qui m’emmenait à Poudlard pour ma deuxième rentrée, ceux de ma mère, douloureux, cruels et acides remontaient à la surface de mes souvenirs. « C’est ta faute, répéta ma mère. Pourquoi es-tu là, toi ? Tu ne mérites même pas de… ». C’est lorsque j’ouvris les yeux que je compris que je les avais fermés. Je repliai mes genoux contre moi. Ma mère ne m’avait jamais considéré comme autre chose qu’un objet purement décoratif. J’étais une espèce de plante verte, à laquelle elle se mettait un point d’honneur de donner à boire chaque jour. Qu’est-ce qui était le pire ? Qu’elle m’ignore, ou qu’elle me brise avec ses paroles cruelles ? J’avais besoin de changer. De vie, de caractère. De personne. C’était impératif. Je possédai la chose la plus horrible qu’on puisse imaginer : j’étais la copie conforme de mon petit frère avec des années et des centimètres en plus. Chaque fois que je croisais mon propre regard dans le miroir, c’étaient les yeux bleus d’Aloïs que je voyais. Ils me rappelaient chaque jour que tout était ma faute. Une idée idiote me pris ce jour-là et, même si je la trouve hautement stupide à présent, je n’ai jamais arrêté de camoufler mes yeux bleu vif sous des lentilles marron.
Les mois qui suivirent ma décision furent une longue métamorphose. Mes amis de première année me lâchèrent rapidement car ils ne comprenaient pas ce qui m’arrivait. Ils avaient le droit, je ne le leur avais jamais raconté le moindre détail de la mort de mon frère. Mes fréquentations se détériorèrent, et je mes excès en tous genres me valurent des avertissements sévères de la part de la direction de Poudlard. Mais ils ne savaient pas, eux non plus, que c’était ma faute, que TOUT était ma faute. Ils n’étaient pas rongés par la culpabilité. J’étais bon en certaines matières, mais d’autres me paraissaient tellement ennuyantes que je ne prenais pas la peine de m’y rendre. Au terme des nombreux avertissements, je fus exclus de Poudlard durant une semaine. Mon père en fut tellement furieux qu’il parvint à me faire réintégrer l’école avec obligation de me surveiller mieux. Je faillis redoubler plusieurs fois, mais je m’arrangeais sans trop savoir comment à obtenir les résultats suffisants pour passer à la classe supérieure. Ce n’est qu’en dernière année que je repiquai. Malgré tout, je réussi à obtenir mon diplôme et quittai Poudlard avec la sensation de quitter un endroit que je ne connaissais pas vraiment.
Les mois qui suivirent ma décision furent une longue métamorphose. Mes amis de première année me lâchèrent rapidement car ils ne comprenaient pas ce qui m’arrivait. Ils avaient le droit, je ne le leur avais jamais raconté le moindre détail de la mort de mon frère. Mes fréquentations se détériorèrent, et je mes excès en tous genres me valurent des avertissements sévères de la part de la direction de Poudlard. Mais ils ne savaient pas, eux non plus, que c’était ma faute, que TOUT était ma faute. Ils n’étaient pas rongés par la culpabilité. J’étais bon en certaines matières, mais d’autres me paraissaient tellement ennuyantes que je ne prenais pas la peine de m’y rendre. Au terme des nombreux avertissements, je fus exclus de Poudlard durant une semaine. Mon père en fut tellement furieux qu’il parvint à me faire réintégrer l’école avec obligation de me surveiller mieux. Je faillis redoubler plusieurs fois, mais je m’arrangeais sans trop savoir comment à obtenir les résultats suffisants pour passer à la classe supérieure. Ce n’est qu’en dernière année que je repiquai. Malgré tout, je réussi à obtenir mon diplôme et quittai Poudlard avec la sensation de quitter un endroit que je ne connaissais pas vraiment.
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Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 20:32
The Fourth Chapter
La mesure de l’amour
est d’aimer sans mesure
♞
« Je t’aime. »
Les mots avaient franchis mes lèvres sans que je m’en rende compte. Un instant, je contemple son fin visage, terrifié à l’idée qu’elle me repousse. « Ce n’était pas la question que je viens de te poser. », répond-t-elle avec une froideur que je ne lui connaissais pas. Quelques instants plus tôt, j’étais persuadé qu’elle m’aimait, que je l’aimais, que j’étais prêt à donner ma vie pour elle. Cela faisait à peine une semaine que j’étais en couple avec elle. Mais immédiatement, le courant était passé entre nous. Comme si, quand nos regards se croisaient, plus rien n’existait autour de nous. Nos premières paroles remontaient à la semaine précédente. Que vous le sachiez maintenant, je ne suis pas quelqu’un dont on se débarrasse avec un post-it. Autant dire que j’étais (passez-moi l’expression) franchement à la ramasse quand ma petite amie a décidé d’un commun accord avec elle-même de se tirer en me laissant un petit bout de papier rose sur la table basse. Les cœurs brisés que je laissais dans mon sillage n’avaient pas pour habitude de me causer des nuits blanches. Le soir où je l’ai rencontrée, j’étais triste, abattu, mal-en-point, mais la douleur lancinante dans ma poitrine avait été quelque peu absorbée par les litres de bières que je venais de m’enfiler pour oublier mon chagrin. A l’époque j’étais persuadé qu’il s’agissait-là de mon premier chagrin d’amour. Je ne pensais évidemment pas qu’il ne surviendrait qu’après mon arrivée ici. Le nez plongé dans mon verre, je ne jetai qu’un coup d’œil absent à la foule de sorciers dansant au rythme d’une musique moldue. D’habitude, je n’aimais pas vraiment les fêtes étudiantes. Les gens dansaient toute la nuit, la plupart finissait saoule, et la soirée se terminait souvent en diverses bagarres ou transformations toutes aussi diverses et variés, qui allaient de la fouine à la souris en passant par le crapaud. Mais ce soir-là, c’est justement l’attrait de l’alcool qui me poussa à franchir la ville pour me rendre à cette soirée. La trahison de ma petite amie me restait amère dans la bouche. J’avais envie de la revoir, même une dernière fois. J’avais envie de lui dire ses quatre vérités, lui dire qu’elle ne me reverrait jamais plus. Toutes mes pensées fusaient dans mon esprit enfiévré par la haine, l’alcool et le désespoir, contredisant la précédente dans une chaîne infinie dont les maillons me paraissaient flous et indistincts. C’est alors qu’elle est arrivée. Son visage fin et ses beaux yeux me contemplèrent avec une moue moqueuse. Dans un geste qui n’admettait aucune réplique elle posa son propre verre sur ma table et s’assit en face de moi. « C’est une habitude pour toi ? », ironisa-t-elle en désignant mon verre. Je levai les yeux, prêt à lui cracher une insulte au visage qui me vaudrait peut-être une gifle, mais la tranquillité. Mais lorsque je rencontrai ses yeux, ma colère se dissipa. A la place, je haussai les épaules en signe de dénégation. Un sourire s’étira sur ses lèvres. J’étais à des kilomètres de m’imaginer qu’il signifiait en fait « je te veux et je t’aurais ». Le silence s’installa, seulement troublé par la musique et le brouhaha de la foule dansante. Elle approcha son tabouret du mien jusqu’à ce que sa cuisse effleure la mienne, et je la décalai légèrement pour ne pas qu’elle croit à quelque effronterie de ma part. Elle baissait les yeux sur son verre, innocente jusqu’au bout de ses mèches blondes. « L’amour est la chose la plus débile qui soit », maugréai-je avec amertume. Elle glissa sa main dans la mienne avec un sourire enjôleur. « On a tous un passé. Racontes-moi tes plus noirs secrets. » Je ne pensais pas réellement que mes confidences se termineraient sur l’oreiller, mais elle eut l’air assez contente, voir même satisfaite, quand j’émergeai le lendemain matin, avec la tête qui bourdonnait affreusement suite à ma beuverie de la veille au soir.
Ma gorge se serre. « Je… » Qu’allais-je bien pouvoir lui dire ? Que je venais de passer la nuit dans les bras de mon ex Héloïse ? « J’étais… » Je n’arrive pas à prononcer son nom. Blessé, je mesure peu à peu l’idiotie de la situation : je suis en couple avec une fille formidable en dépit de ses humeurs, fille formidable que je viens de tromper avec mon ex. Héloïse s’est servie de moi, rien de plus, pour détruire mon couple. C’est tellement dans sa nature que cela ne me surprend pas. Ce qui me sidère, c’est que je me sois laissé aveugler par elle au point de négliger sa nature intérieure et de me faire avoir aussi bêtement. « Ne me dit pas que tu étais avec elle. Si tu prononce son nom en ma présence, je serai capable de te tuer » s’écrie-t-elle. Elle se rue dans notre chambre et la ferme à clé. « Ouvre la porte ! Laisse-moi t’expliquer… », je hurle en labourant la porte à coups de poings. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre. Elle sort de la chambre avec une rapidité fulgurante en tirant sa valise. Telle que je la connais, elle doit renfermer la moitié de son appartement. D’un coup de baguette, elle ouvre la porte de l’appartement et s’engage dans l’ascenseur. « Attends ! Ne pars pas ! », je hurle en bloquant les portes avec mon pied. « Dis-moi juste que tu n’as pas passé la nuit avec elle. » Ses beaux yeux brillent de rage et d’humiliation. Sa personne entière semble irradiée par la haine. Je sais qu’elle sait. Pourquoi lui mentir ? « Je… Je suis désolé, je ne voulais pas… elle… ». Ma voix se brise. Elle me pousse et, sans résister je m’éloigne de deux pas. Les portes se referment lorsqu’elle murmure « Adieu, espèce de salaud. » Ces mots m’atteignent en plein cœur. Je tambourine contre les portes, même si je sais que c’est inutile. « Eurydice ! Eurydice ! Je t’en supplie… Pardonne-moi… »
Les mots avaient franchis mes lèvres sans que je m’en rende compte. Un instant, je contemple son fin visage, terrifié à l’idée qu’elle me repousse. « Ce n’était pas la question que je viens de te poser. », répond-t-elle avec une froideur que je ne lui connaissais pas. Quelques instants plus tôt, j’étais persuadé qu’elle m’aimait, que je l’aimais, que j’étais prêt à donner ma vie pour elle. Cela faisait à peine une semaine que j’étais en couple avec elle. Mais immédiatement, le courant était passé entre nous. Comme si, quand nos regards se croisaient, plus rien n’existait autour de nous. Nos premières paroles remontaient à la semaine précédente. Que vous le sachiez maintenant, je ne suis pas quelqu’un dont on se débarrasse avec un post-it. Autant dire que j’étais (passez-moi l’expression) franchement à la ramasse quand ma petite amie a décidé d’un commun accord avec elle-même de se tirer en me laissant un petit bout de papier rose sur la table basse. Les cœurs brisés que je laissais dans mon sillage n’avaient pas pour habitude de me causer des nuits blanches. Le soir où je l’ai rencontrée, j’étais triste, abattu, mal-en-point, mais la douleur lancinante dans ma poitrine avait été quelque peu absorbée par les litres de bières que je venais de m’enfiler pour oublier mon chagrin. A l’époque j’étais persuadé qu’il s’agissait-là de mon premier chagrin d’amour. Je ne pensais évidemment pas qu’il ne surviendrait qu’après mon arrivée ici. Le nez plongé dans mon verre, je ne jetai qu’un coup d’œil absent à la foule de sorciers dansant au rythme d’une musique moldue. D’habitude, je n’aimais pas vraiment les fêtes étudiantes. Les gens dansaient toute la nuit, la plupart finissait saoule, et la soirée se terminait souvent en diverses bagarres ou transformations toutes aussi diverses et variés, qui allaient de la fouine à la souris en passant par le crapaud. Mais ce soir-là, c’est justement l’attrait de l’alcool qui me poussa à franchir la ville pour me rendre à cette soirée. La trahison de ma petite amie me restait amère dans la bouche. J’avais envie de la revoir, même une dernière fois. J’avais envie de lui dire ses quatre vérités, lui dire qu’elle ne me reverrait jamais plus. Toutes mes pensées fusaient dans mon esprit enfiévré par la haine, l’alcool et le désespoir, contredisant la précédente dans une chaîne infinie dont les maillons me paraissaient flous et indistincts. C’est alors qu’elle est arrivée. Son visage fin et ses beaux yeux me contemplèrent avec une moue moqueuse. Dans un geste qui n’admettait aucune réplique elle posa son propre verre sur ma table et s’assit en face de moi. « C’est une habitude pour toi ? », ironisa-t-elle en désignant mon verre. Je levai les yeux, prêt à lui cracher une insulte au visage qui me vaudrait peut-être une gifle, mais la tranquillité. Mais lorsque je rencontrai ses yeux, ma colère se dissipa. A la place, je haussai les épaules en signe de dénégation. Un sourire s’étira sur ses lèvres. J’étais à des kilomètres de m’imaginer qu’il signifiait en fait « je te veux et je t’aurais ». Le silence s’installa, seulement troublé par la musique et le brouhaha de la foule dansante. Elle approcha son tabouret du mien jusqu’à ce que sa cuisse effleure la mienne, et je la décalai légèrement pour ne pas qu’elle croit à quelque effronterie de ma part. Elle baissait les yeux sur son verre, innocente jusqu’au bout de ses mèches blondes. « L’amour est la chose la plus débile qui soit », maugréai-je avec amertume. Elle glissa sa main dans la mienne avec un sourire enjôleur. « On a tous un passé. Racontes-moi tes plus noirs secrets. » Je ne pensais pas réellement que mes confidences se termineraient sur l’oreiller, mais elle eut l’air assez contente, voir même satisfaite, quand j’émergeai le lendemain matin, avec la tête qui bourdonnait affreusement suite à ma beuverie de la veille au soir.
Ma gorge se serre. « Je… » Qu’allais-je bien pouvoir lui dire ? Que je venais de passer la nuit dans les bras de mon ex Héloïse ? « J’étais… » Je n’arrive pas à prononcer son nom. Blessé, je mesure peu à peu l’idiotie de la situation : je suis en couple avec une fille formidable en dépit de ses humeurs, fille formidable que je viens de tromper avec mon ex. Héloïse s’est servie de moi, rien de plus, pour détruire mon couple. C’est tellement dans sa nature que cela ne me surprend pas. Ce qui me sidère, c’est que je me sois laissé aveugler par elle au point de négliger sa nature intérieure et de me faire avoir aussi bêtement. « Ne me dit pas que tu étais avec elle. Si tu prononce son nom en ma présence, je serai capable de te tuer » s’écrie-t-elle. Elle se rue dans notre chambre et la ferme à clé. « Ouvre la porte ! Laisse-moi t’expliquer… », je hurle en labourant la porte à coups de poings. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre. Elle sort de la chambre avec une rapidité fulgurante en tirant sa valise. Telle que je la connais, elle doit renfermer la moitié de son appartement. D’un coup de baguette, elle ouvre la porte de l’appartement et s’engage dans l’ascenseur. « Attends ! Ne pars pas ! », je hurle en bloquant les portes avec mon pied. « Dis-moi juste que tu n’as pas passé la nuit avec elle. » Ses beaux yeux brillent de rage et d’humiliation. Sa personne entière semble irradiée par la haine. Je sais qu’elle sait. Pourquoi lui mentir ? « Je… Je suis désolé, je ne voulais pas… elle… ». Ma voix se brise. Elle me pousse et, sans résister je m’éloigne de deux pas. Les portes se referment lorsqu’elle murmure « Adieu, espèce de salaud. » Ces mots m’atteignent en plein cœur. Je tambourine contre les portes, même si je sais que c’est inutile. « Eurydice ! Eurydice ! Je t’en supplie… Pardonne-moi… »
- InvitéInvité
Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 20:54
Fenrir E. Von Arsengher a écrit: j'arrive, Eury ! .
:hysteric:
Je sais tu m'aimes :ass:
- InvitéInvité
Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 21:02
Pourquoi je reconnais jamais les DC ? :pleure:
Rebienvenue en tout cas, je te réserve wonderful Matt Lanter pour une durée de sept jours ! :hysteric:
Rebienvenue en tout cas, je te réserve wonderful Matt Lanter pour une durée de sept jours ! :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 21:29
Fenrir E. Von Arsengher a écrit: j'arrive, Eury ! .
Et les autres ? Bienvenue sexy Lanter ! :inlove: :cracrac:
- InvitéInvité
Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 23:08
re-Bienvenue (l)
Matty :baveuh: très bon choix.
- InvitéInvité
Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Lun 26 Sep 2011 - 23:11
re bienvenue (aa)
- InvitéInvité
Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Mar 27 Sep 2011 - 23:02
Re Bienvenu (l) Bon courage pour ta fiche !
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Fenrir ♞ " Méfies-toi des souvenirs comme d'une montre arrêtée "
Mer 28 Sep 2011 - 18:38
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Je n'ai qu'une chose à te dire : WHOUAW ! :hysteric: (l) j'ai adoré lire ta fiche ma douce ! franchement, un tel niveau rp me fait tout bonnement rêver ! :brille: je te valide sans hésitation ! Have fun !
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