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EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Dim 11 Déc 2011 - 19:05
✤ grymm Salut !!! Moi c'est Egerie Hope Moore, j'ai 21 ans, et je suis d'origine russe, anglaise. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétéro, mais aussi libertine et issu d'une famille de sorciers. A Hungcalf, j'ai choisi sciences occultes, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en saule, qui mesure 21 cm et contient un cheveu de vélane et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de paon. avatar © livia |
this is my story
SAUVER CETTE ÉTOILE
JEUNESSE LÈVE-TOI
ET MAINTENANT...
Egerie. L'égérie de quoi, je ne sais pas. La déesse romaine, je ne pense pas. Nul n'a jamais su me dire pourquoi mes parents m'avaient nommé ainsi. On me dit une envie de soudaine, on me dit les hormones, on me dit une apparition, on me dit c'est un beau nom. Je comprends un moment de folie, une folie dure à vivre. Les gens trouvent ça joli, c'est original. Je trouve ça bête. Il y a une tonne de prénoms communs, qui vous fondent dans la masse. Mais Egerie. Egerie. Que voulez vous.I WANT TO BREAK FREE
Je suis née une nuit d'hiver. Il faisait très froid, mais le ciel était sans nuage. Du moins, c'est ce que ma mère a retenu de cette nuit. Les étoiles. C'est ce dont elle parlait, quand on lui demandait de raconter son accouchement. Les étoiles. Un million d'étoiles, brillant dans le ciel comme un million de torches allumées au loin. Il faut dire que ça me fait une belle jambe, à moi, d'être née une nuit étoilée. Si seulement j'avais pu naître sous une bonne étoile.
Ma mère descendait d'une lignée de sorciers très puissantes, mon père lui aussi d'une famille de sorciers, mais beaucoup moins puissantes. Ils avaient été, quasiment depuis la nuit des temps, les serviteurs les plus convoités du monde des sorciers. Parce qu'ils savaient se taire, parce qu'ils étaient de bons magiciens, parce qu'ils étaient fidèles. Dans ce cas, ne me demandez pas pourquoi ils n'ont jamais fait fortune. Peut-être étaient-ils enthousiasmés par une vie entière de servitude. La chose reste incompréhensible, encore aujourd'hui. Vous me direz, la question n'est pas d'une importance capitale.
La famille de ma mère, quant à elle, n'avait jamais, Ô grand jamais, du se résoudre à baiser les pieds de quelconque seigneur. Toujours en se faisant entendre et respecter, ils faisaient partie des plus grandes familles de Russie. Irréprochable, personne n'avait jamais osé ne serait-ce que penser à les critiquer. Jusqu'au jour tragique où ma mère, cette incongrue, tomba amoureuse d'un serviteur de sa si brillante et si respectée famille. Celle-ci en fut jetée dehors, déshéritée. Très vite, l'histoire fut oubliée, ma mère avec elle.
Mes parents s'enfuirent donc vivre en Angleterre, patrie de mon père. Loin de la honte, mais aussi loin de la gloire. Loin de l'infortune, mais aussi loin de la richesse. Ils vécurent tout de même heureux. Ils ne furent jamais si heureux que le jour où je naquis. Une nuit si froide qu'elle rappela à ma mère ces nuits d'enfances, dans son palais en Russie. Bien loin de ce pays, bien loin de cette vie. Elle était en effet bien loin de sa famille, et de tout ce qu'ils avaient pu lui apporter.
Elle ne se résolut pas pourtant à vivre dans la servitude. Ça aurait été comme l'ouvrir au sol jusqu'à ce qu'il ne lui resta plus une seule goutte de sang pur dans le corps. Elle ne travailla pas, mais enrichi considérablement notre petit ménage. Je ne compris jamais par quel moyen elle arrivait à faire tomber l'argent du ciel de la sorte. Je doute tout de même que cette histoire soit tout à fait respectable.
Mais les chiffres parlent d'eux même. Quand j'eus atteints l'age de cinq ans, nous étions une des familles les plus riches de Londres. Ma mère, sans jamais faire mention devant moi de sa famille russe, jouait sans arrêt de son nom pour intimider nos opposants. Nous étions plus heureux que je ne le fus jamais par la suite.
Le jour de mes six ans, tout bascula. Nous avions tout : l'amour, l'argent, la renommée, la beauté. Seulement, tout, c'était beaucoup trop pour mon père. Lui qui avait été élevé dans la quasi pauvreté. Lui qui n'avait jamais connu que le crémant de retrouvait avec une magnifique bouteille de champagne, que tout le monde lui convoitait. Ne me demandez pas pourquoi il parti, un jour d'été.Songe d'une nuit d'été. Ma famille connu le cauchemar d'un jour d'été.Mon père prit ses clics et ses clacs, ses valises et sa baguette, et parti sans un mot. Il nous regarda, ma mère et moi, et ne dit rien. Il ouvrit la porte, la passa, et la referma. Je n'eus plus jamais de nouvelles de lui après ce jour là. Il en fut de même pour ma mère.
Tout changea ce jour là. Ma mère devint froide et distante. Elle regrettait chaque jour un peu plus d'avoir quitté sa famille russe pour vivre avec ce raté. Je n'étais pas la pire chose qui lui était arrivé, loin de là, mais j'étais le pire souvenir qui lui restait. Nos regards ne se croisèrent plus jamais.
La seule chose pour laquelle elle s'occupa de moi, ce fut pour m'apprendre à maîtriser les premières manifestations de magie chez moi. Il faut dire qu'elle se senti obligée, le jour où j'envoyai un garçon de ma classe, qui avait une langue trop bien pendue pour être aimable, s'échouer un étage plus bas, après avoir traversé une vitre. Elle m'aida à canaliser mes pulsions. Elle était bonne professeur. Mais elle buvait trop, beaucoup trop pour être une bonne mère.
Je grandis donc seule. Seule comme je ne l'avais jamais été.
Puis cette lettre est arrivée. Nous avions appris à vivre, ensemble, sans toutefois communiquer. Elle symbolisait un nouveau départ pour moi. Elle m'effrayait, aussi. Comment allais-je pouvoir vivre avec un millier de sorciers, comme moi, alors que je venais tout juste de trouver ma place chez moi ?
J'étais très solitaire. Je n'aimais pas parler, je n'aime toujours pas ça. Je n'aimais pas les gens, non plus. Je n'avais jamais eu le tact nécessaire à me faire des amis. De plus, je ne fréquentais plus de jeunes de mon âge depuis que j'avais arrêté l'école, il y a deux ou trois ans de cela, pour m'occuper de ma mère. Je savais lire, écrire, et je connaissais les règles les plus élémentaires des mathématiques. Mais rien de plus. Je ne souvenais tout juste de ce qu'était l'école.
Je lisais beaucoup, puisque je n'avais rien d'autre à faire. Après avoir reçu cette lettre, j'avais lu tout ce que j'avais pu trouver sur l'école de magie de Poudlard. Ma mère m'avait amené acheter une baguette, un balai, ainsi que les livres dont j'avais besoin. Elle ne s'en souvint plus dès le lendemain, mais ainsi ais-je pu passer un peu de temps avec elle.
Je ne savais pas vraiment si je devais être heureuse ou triste, impatiente ou angoissée. Le premier jour répondit très vite à mes réponses. Je pris le train, dans lequel je m'endormis très vite. J'avais disposé mes affaires partout dans la cabine, de sorte à ce qu'on ne me dérange pas, et je m'étais très vite endormie.
Quand je rouvris les yeux, mes affaires avaient été changées de place, et nous étions arrivés à Poudlard. La cérémonie fut grandiose, je n'avais rien mangé d'aussi bon depuis une éternité. Je fus envoyé à Serpentard, ce qui m'étonna, compte tenu de ce que j'avais pu lire. Il faut croire que mon côté associable l'avait emporté sur mon côté littéraire.
Il faut croire que le Choipeau avait lu dans l'avenir. Les années passèrent à Poudlard, et je grandis. Pas forcément comme je l'aurais attendu. Ma mère me proposa ma première cigarette quand j'eus treize ans. Mon premier verre de scotch à quatorze. Moi qui m'étais jurée de ne jamais devenir comme elle... C'était ratée. J'étais toujours aussi peu à l'aise avec les gens, j'étais devenue lunatique. Un jour gaie, un jour triste. Un jour calme, un jour énervée. Un jour blanche, un jour noire. J'aimais toujours lire, j'étudiais bien. Je rapportais des points à ma maison, sans toutefois qu'on m'en félicite.
Je pense que les gens avaient peur de moi. En Angleterre, les gens semblent avoir peur d'une fille issue d'une grande famille russe. J'aimais qu'on me craigne. Je marchais la tête haute dans les couloirs. J'étais cynique. Je ne laissais personne me parler. Tout le monde me connaissait, sans que personne n'ose jamais me parler. Il y eut bien sur des exceptions, qui essayèrent d'être gentils. Ils se cassèrent bien vite la tête, pour la plupart. J'eus quand même quelques amis, qui devaient être plus intéressés qu'autre chose.
Mes années à Poudlard ne m'apportèrent quasiment que des bonnes choses. J'y suis devenue ce que je suis aujourd'hui, sans avoir besoin de personne. On peut dire que je me suis faite toute seule.
JEUNESSE LÈVE-TOI
Chaque chose a une fin. Le jour où je finis mes études à Poudlard fut la fin de beaucoup de choses pour quoi. Tout d'abord, la fin d'une époque. J'avais passé sept ans dans ce château. Je m'étais faite connaître, craindre, admirer. J'avais appris une tonne de choses, et je maitrisais maintenant une grande partie de la magie.
Mais ce fut aussi la fin de ma vie telle que je l'avais connu jusque là. Lorsque je rentrai chez moi, ce jour là, je vis ma mère allongée sur le canapé, ivre morte. Quand elle me vit, elle se contenta de gémir doucement, sans vraiment me regarder. Elle ne me posa aucune question. J'ignore même si elle savait que j'avais déjà passé mon diplôme.
Ce jour là, je me rendis compte que je ne pouvais plus supporter ça. Je voulais une mère, une vraie. Une personne avec qui je pourrais partager mes joies comme mes peines. Une personne attentive, forte, et qui s'occuperait de moi plus que je ne m'occuperais d'elle. Voilà dix ans que je m'occupais d'elle sans cesse. A chaque instant, je me demandais ce qu'elle faisait. Si elle n'aurait pas besoin de mon aide. Si elle n'avait pas trop bu au point de ne plus être consciente du monde alentour. J'avais besoin d'une personne qui ferait ça pour moi.
Ce jour là, je pris l'avion jusqu'en Russie. J'utilisais volontairement les moyens de transports moldus. Je me demandais sans cesse comment ils pouvaient, sans utiliser quelconque magie, faire voler un tel engin. Mais là n'est pas la question. Ma mère n'en su rien. Je me demande même si elle remarqua que j'étais partie.
Arrivée en Russie, je mis un moment à trouver où je devais aller. Après plusieurs recherches, j'appris que mes grands-parents habitaient à Saint-Pétersbourg. Je transplanai donc jusque là. Je n'avais pas encore réfléchis à ce que j'allais leur dire. J'étais partie sur un coup de tête. Peut-être allais-je me faire jeter. Peut-être allait-on me réserver un accueil comme celui d'Anastasia, dans ce film animé Moldu. En attendant, il fallait que je prépare une tirade.
Leur maison était facilement localisable. Dans le quartier le plus impressionnant, elle était presque la plus impressionnante. Elle surplombait les autres, perchée en haut d'une espèce de colline. A ce moment là, j'eus peur. Vraiment. J'hésitai même à faire demi tour. Mais il fallait que je le fasse. Je ne voulais pas finir comme ma mère. C'est donc d'un pas décidé que je m'avançai dans la longue allée gelée qui m'emmena jusqu'à la porte. A ce moment là, j'eus encore une fois peur. Il me fallu beaucoup de courage pour soulever le lourd heurtoir et frapper à la porte.
Ce fut une servante qui m'ouvrit la porte. Elle avait l'air jeune. Je me demandais donc si elle avait pu connaître ma mère. Peut-être mes grands-parents avaient-ils fait perdre la mémoire à toute personne l'ayant un jour connu. N'ayant plus d'autre choix, je me contentai d'articuler Je suis la fille d'Elena, attendant ensuite une réaction de sa part.
Elle sembla ouvrir des yeux qui dépassaient la taille autorisée. Sans rien dire, elle tourna les talons, et revint quelques secondes plus tard avec un homme, un peu plus vieux, qui se mit à me fixer à son tour. Je suis la fille d'Elena, répétais-je. A ce moment, l'homme me regarda et me fit signe d'entrer. Peut-être n'étais-je pas digne qu'on m'adresse la parole, ici. Ou peut-être ne me croyaient-ils tout simplement pas.
Je passai la porte, et m'assis sur un fauteuil qui se trouvait non loin de la porte. Quelques minutes plus tard, une vieille dame descendait péniblement les escaliers. Je me levai brusquement et lui fit face. Malgré son age bien marqué et ses mains fluettes, elle restait très impressionnante. Elle se tenait droite comme un I et avait un regard que personne n'aurait osé défié. Personne, à part peut-être moi. Nous restâmes quelques secondes ainsi, à nous fixer sans rien dire.
Puis elle prit la parole. Quel est ton nom ?, me demanda-t-elle. J'eus un moment d'hésitation. Mon nom allait sembler ridicule. Merci maman. Egerie. Je n'ai pas choisi. Elle esquissa un sourire. C'était bon signe.
Elle m'offrit quelque chose à boire, et nous nous assîmes pour discuter. Elle me demanda comment allait ma mère, je lui répondis qu'elle allait mal. Ce fut la seule fois où elle me parla d'elle. Je lui racontai mon enfance, mes années à Poudlard. Elle me dit que je me serais plu à Dumstrang, bien plus que là bas. Cela ne faisait aucun doute. Elle me raconta l'histoire de notre famille.
Je passai une semaine complète en Russie. Peut-être la semaine la plus heureuse de ma vie, depuis que mon père était parti. Ma grand-mère m'apprit à être digne de ma famille. Elle m'apprit la retenue, la répression des sentiments, la supériorité. Elle fut aussi enchantée de voir que j'y travaillais depuis longtemps. Elle m'enseigna tout ce qu'il me fallait savoir. Elle me fit promettre de revenir pour Noël. Je le lui promis. Ma mère n'avait, dans tous les cas, jamais fêté Noël.
Quand je rentrai en Angleterre, le monde me sembla fade. Rien n'avait plus la même couleur. Mais je ne pouvais laisser ma mère, il me fallait donc rester ici.
ET MAINTENANT...
J'étudie à présent les sciences occultes à hungcalf. J'irai volontiers vivre en Russie, mais je ne peux malheureusement pas me permettre de laisser ma mère seule. C'est pourquoi je reste ici. Sciences occultes est un mot qui fait bien plus sombre que ce qu'il est réellement. Mais ce n'est pas très important. J'ai été envoyée à l'écurie Grymm. Encore une fois, je me retrouvais dans le sac des grands méchants, sans en avoir vraiment les caractéristiques principales. Je suis juste quelqu'un qui ne laisse pas transparaître ses émotions, qui obtient tout par la ruse, et avec une grande ambition. Je ne suis pas pour la méchanceté gratuite, juste pour la punition. ce n'est pas être méchant, c'est être convaincant.
Je vois régulièrement ma famille de Russie. Sans toutefois que ma mère le sache. Je me suis, à plusieurs reprises, demandé si l'amener là-bas ne lui ferait pas du bien. Mais d'un autre côté, je ne peux infliger à sa famille de la voir ainsi. C'est déjà assez difficile pour moi.
On m'a appris à être digne de ma famille. A être au dessus des autres, en leur laissant toujours l'impression qu'ils peuvent quelque chose contre moi. Ainsi, ils ont peur, tout en se croyant encore libre de faire ce qu'ils veulent, puisqu'ils se sentent capable de se mesurer à moi. Marcher la tête haute, le regard droit, je l'avais toujours fait. Il s'agissait maintenant de beaucoup plus qu'une tenue. C'était un mode de vie. Un mode de vie, dans lequel on ne devait ouvrir son coeur à personne. Ou presque.
On m'apprit aussi des sortilèges que l'on ne nous apprend pas dans les écoles. On m'apprit à réaliser des potions pour tout et n'importe quoi, de la plus simple à la plus compliquée. On me dit que j'étais douée. J'aimais juste étudier. Tout est plus simple quand on aime faire quelque chose.
Je peux conclure le tout en disant que si j'en avais la capacité, je serais peut-être heureuse à l'heure qu'il est.
✎... JIOUSTINA
Dans la vraie vie, j'ai 17 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à un partenaire et je ferais de mon mieux pour être là 5 / 7 ! Si j'ai un double compte? Non . Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire amen. code règlement : OkCap |
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Dim 11 Déc 2011 - 19:34
Welcome ma jolie ! Bon courage pour ta fiche (l)
Si tu as besoin n'hésites pas :inlove:
Si tu as besoin n'hésites pas :inlove:
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 10:35
Bienvenue !! Bon courage pour ta fiche (l) !
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 11:20
Bienvenue :)
Bon courage pour ta fiche.
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 12:37
Bienvenue et bonne chance :')
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 12:53
Bienvenue ! (l)
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 16:13
Bienvenue et bon courage pour ta fiche :brille:
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 17:41
- Merci à vous !
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 18:24
Bienvenue Egerie :brille:
Bon courage pour ta fichounette :D
Bon courage pour ta fichounette :D
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Lun 12 Déc 2011 - 22:46
- Merci, che gentil *out*
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Mar 13 Déc 2011 - 17:30
Juste, j'adore ton avatar :baveuh:
& Bienvenue =)
*retourne à sa fiche*
& Bienvenue =)
*retourne à sa fiche*
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Mar 13 Déc 2011 - 17:41
Bienvenue sur le forum Egerie :brille: Merci de ton inscription, en espérant que tu te plaises :baveuh:
Je te réserve Zippora pour une durée de 7 jours ! Si tu as besoin, n'hésite pas ! :inlove:
Je te réserve Zippora pour une durée de 7 jours ! Si tu as besoin, n'hésite pas ! :inlove:
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Mer 14 Déc 2011 - 12:00
- Aha, merci à vous deux :)
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Mer 21 Déc 2011 - 14:08
Chere étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : J'aime beaucoup ta fiche, la complexité de ton personnage qui se sent bien en Russie, mais qui préfère être quelque peu malheureuse pour sa mère :brille: Bon jeu ma jolie ! (l)
- InvitéInvité
Re: EGERIE ♦ je veux pas crever dans cette inhumanité
Mer 21 Déc 2011 - 18:53
- Je te remercie :)
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