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Jesus is my virtue, Judas is the demon I cling to with Pandora
Mar 20 Déc 2011 - 23:18
Et si la vie était un puzzle dont toutes les pièces seraient mélangées par un fou , une personne qui prenait un malin plaisir à torturer ses pauvres pantins, les mettant dans des situations, impossible … Je ne savais que faire mon esprit vagabondait au loin, très loin… J’étais assit en cour de sortilège ou plutôt allongé sur la table la tête posée sur mes avants bras croisés. J’avais fermé les yeux tout en écoutant la moitié du cours enfin ce que ce professeur pouvait appeler cours de sortilèges… Je réfléchissais à beaucoup trop de choses à la fois mon esprit vagabondait à des milliers années lumière de cette classe, un grand bruit me fit relever légèrement la tête, ce bruit m’avait coupé en pleine réflexion, qui était l’idiot qui avait fait ça… Je me retrouvais nez à nez avec mon professeur qui décida de me lancer une remarque cinglante, mais à laquelle je répondis avec calme comme à mon habitude :
« Bien Monsieur Davis, vous nous faites le grand honneur de nous prêter votre précieuse attention, et de nous accorder votre temps si précieux… »
« L’ironie ne vous va pas Professeur »
Je me redressais et regardais mes camarades en silence, encore une fois j’avais capté l’attention sans le vouloir vraiment, laissant échapper un soupir en regardant mon professeur rouge de colère, son teint avait viré au cramoisi et étrangement cela le faisait assez rire. Je souris légèrement de manière désinvolte comme à mon habitude, je ne prenais pas vraiment cette pseudo colère au sérieux après tout à part me donner des heures de colle auxquelles il y a peu de chance que j’aille que voulez vous qu’il me fasse. Me plier aux règles et à la hiérarchie n’était pas vraiment ce que j’aimais faire … Mon professeur se rapprocha une nouvelle fois de ma table et reprit la parole une nouvelle fois mais sur un ton beaucoup plus calme, auquel je répondis avec une docilité incroyable qui surpris toute l’assemblée qui assistait à notre petite discution.
« Concentrez-vous monsieur Davis »
« Oui professeur… »
J’essayais de nouveau de mon concentrer, mais ce cours était d’un soporifique incroyable. Je prenais quelques notes mais rien de bien intéressant. La cloche retentit enfin et cela me fit l’effet d’une libération, comme si on me faisait sortir de prison après des mois d’enfermement ; je me levais de ma place pour sortir de la classe avec hâte, ce programme d’échange était vraiment ce qu’il me fallait, changer d’air me faisait le plus grand bien, la Bulgarie me pué au nez, et le fait de partager le même air que mes très chers parents encore plus. Ici je me sens beaucoup plus libre de mes mouvements, beaucoup plus calme et moins sur mes gardes, personne pour me parler de mariage arrangé, d’entreprise familial à reprendre ou de fête mondaine. Juste moi faisant la fête avec mes amis, fumant de l’herbe, fructifiant mon petit commerce de pilules magique. Ici j’étais libre, là bas j’étais prisonnier.
Je marchais dans les couloirs, je n’avais pas de cours alors comme aujourd’hui il ne pleuvait pas j’avais décidé d’aller fumer dans le parc tranquillement allongé dans l’herbe fraiche, ayant cours au deuxième étage, j’avais décidé d’emprunté les escaliers pour me rendre vers l’entrée du château, je commençais mas descente tranquillement, quand une tête brune qui se trouvé quelques marches en dessous de moi m’interpela, Je connaissais cette silhouette … Pandora Walterson … Ce nom ne vous dit rien ? Pourtant cette fille me donne du fil à retordre, effectivement je n’ais pas vraiment l’habitude de me faire repousser quand je drague une fille, pourtant elle m’avait envoyé bouler ; et oui effectivement ma fierté de Casanova en a pris un gros coup. Mais je suis loin de m’avouer vaincu j’ai toujours ce que je veux, elle allait bien finir par me céder. Et si le destin ne voulait pas nous mettre de nouveau sur le chemin l’un de l’autre j’allais le forcé un peu, avant qu’elle ne passe à côté de moi, je pris la peine de me placer dans sa trajectoire, comme elle ne regardait pas devant elle, elle me percuta de plein fouet, je souris légèrement mission collision accomplit, je suis doué pour me mettre dans la trajectoire des jolies filles, durant la collision elle perdit légèrement l’équilibre, je plaçais mon bras autour de sa taille pour éviter qu’elle ne fasse une mauvaise chute pour le coup je serai inculpé de meurtre et j’aurai plus aucune chance de la draguer pour qu’elle cède, donc finit de jouer, donc plus d’amusement, Bref je m’ennuierai donc voilà l’explication à mon geste j’ajoutais en plus de cela une petite réplique plutôt sympathique
« Ben alors mademoiselle Walterson tu ne regardes pas devant toi quand tu marches, cela aurait put être dramatique si je n’avais pas eut un bon réflexe »
Comment ça cet accident est totalement ma faute et je l’accuse à tord ? Ben oui c’est vrai mais que voulez vous je suis quelqu’un sans scrupules, et l’accuser de m’avoir bousculé alors que je m’étais moi-même mit sur son passage ne me posais aucun problème. Je ne pensais qu’à une chose, Sawyer vs Pandora round deux ! FIGHT
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Re: Jesus is my virtue, Judas is the demon I cling to with Pandora
Mer 21 Déc 2011 - 20:15
Studieuse silhouette invisible, je relisais sagement mon cours d’histoire de la magie, indifférente à la cohue alentour. En soupirant, je me levai de mon perchoir, rangeai mon cours dans mon sac. Le flot d’élèves dévalant et gravissant les escaliers me pesait. Je me frayai un passage dans ce flot ininterrompu, poussant, soupirant, jouant des coudes. Hungcalf était peut-être une bonne fac, mais elle était vraiment encombrée. Et ce n’était pas le blizzard hurlant de décembre qui amadouait les frileux étudiants. Moi-même, je n’avais que très peu d’affinités avec l’extérieur. J’avais été privée de liberté pendant tant d’années que ce manque avait peu-à-peu disparu. J’aimais les endroits un peu poussiéreux, qui enfermaient une histoire entre les épais murs de pierre. A contrario, j’avais horreur de l’obscurité. J’étais capable de la plus pure folie si je ne me sentais pas protégée – une couette pouvait me suffire, alors nuancez le propos. Les yeux dans le vague, je gravissais les marches qui me séparaient du deuxième étage et de mon cours.
Vous pensez certainement que je n’étais obnubilée que par mes études. Vous n’auriez sans doute pas vraiment tord. Je n’avais jamais véritablement connu autre chose que la grande maison de famille et le grand château de Poudlard. Alors niveau relationnel, je n’étais pas vraiment au top. Pour tout dire, je n’y connaissais même franchement rien. L’un dans l’autre, j’avais profondément changé ces trois dernières années, et plus particulièrement cet été. Je n’étais plus la fragile et solitaire jeune fille qui avait quitté Poudlard aussi seule qu’elle y avait pénétré. Je n’étais plus elle. Je n’étais pas non plus moi-même. A vrai dire, comment le saurai-je ? Comment saurai-je que j’étais moi-même ? Je ne l’avais jamais été. A Hungcalf, tout avait été pareil. Comment était-ce possible, moi qui avais tellement, tellement changé ? Mettant mes soucis personnels dans ma poche et mon mouchoir par-dessus, je continuai de gravir les escaliers. A force de m’appesantir sur mes soucis relationnels, j’allais être en retard. Et ça, c’était bel et bien inconcevable pour moi. J’étais la meilleure, il fallait que j’assume ce statut. Depuis plusieurs années, j’avais développé un besoin viscérale d’être la meilleure dans tout ce que je t’entreprenais. C’était presque terrifiant. Les autres me trouvaient bizarres. Ils préféraient faire la fête, bien entendu. Comment leur avouer combien j’aurais aimé avoir l’audace de pénétrer dans l’un de ces sanctuaires de l’action et parfois même de la dépravation ? Si seulement j’avais écouté ce type, la dernière fois…
Soudain, ma tête heurta de plein fouet quelqu’un que je n’avais pas vu. Je retins ma respiration tendis que je sentais les marches glisser sous mes talons. Quelque chose me rattrapa. En clignant des yeux, terrifiée, je plongeai mon regard dans celui du jeune homme. Davis. Bien sûr. Toujours à tripoter les jolies filles. « Ben alors mademoiselle Walterson tu ne regardes pas devant toi quand tu marches, cela aurait put être dramatique si je n’avais pas eut un bon réflexe » Sa voix sirupeuse me hérissa. Une fois mon équilibre retrouvé, je me dégageai vivement de son étreinte collante en le repoussant vertement. « Dégage tes pattes de là, sombre crétin, persiflai-je entre mes dents serrées. Quel réflexe ? Celui de poser tes mains souillées par ta connerie sur moi ? ». Sa paupière tressaillit, mais son imperceptible sourire m’énerva prodigieusement. Ce type me révulsait. Cela faisait plusieurs semaines qu’il m’avait abordé, avec son sourire en coin et son air dragueur. Evidemment, je l’avais rembarré. Mais quelque chose s’était développé en moi. C’était la première fois que quelqu’un osait m’approcher. Mais le fait que ce soit lui précisément me répugnait. Ce mec, Sawyer, je ne pouvais pas l’encadrer. Définitivement. Je n’étais pas une grande rêveuse sur le plan amoureux. Pour moi, dans la vie, le couple consistait en une vague attirance qu’on prenait pour le grand amour. En général on trouvait la personne suffisamment intéressante pour céder à la dernière forme d’esclavage universel. L’amour, je n’y avais cru que les dix années habituelles. Mais j’avais depuis longtemps cessé d’y croire. Cette idée me révulsait depuis que j’avais su ce que le grand amour avait donné. Ce qu’il avait fait de ma mère, ce qu’il avait fait de moi. Le grand amour avait brisé ma vie, tout bonnement et, bien que ce ne fût en aucun cas le mien, j’en conserverai les séquelles psychologiques ma vie durant. Je ne cesserai jamais de craindre la dépression, l’oubli, la folie, le suicide. J’étais hantée par les fantômes de mon enfance, condamnée à perpétuité à errer dans une histoire d’amour flétrie qui n’était pas la mienne. Autant dire que Davis, il pouvait toujours se taper le derrière avec du tue-mouche pour m’avoir dans son cœur.
Rajustant mon sac sur mon épaule, je lui lançai un regard noir, avant de gravir les deux dernières marches en lui donnant un passage un bon coup d’épaule. Le glapissement que j’entendis me donna un sourire moqueur et, refusant de m’appesantir sur pareil crétin, filai rapidement vers mon cours d’histoire ♦
Vous pensez certainement que je n’étais obnubilée que par mes études. Vous n’auriez sans doute pas vraiment tord. Je n’avais jamais véritablement connu autre chose que la grande maison de famille et le grand château de Poudlard. Alors niveau relationnel, je n’étais pas vraiment au top. Pour tout dire, je n’y connaissais même franchement rien. L’un dans l’autre, j’avais profondément changé ces trois dernières années, et plus particulièrement cet été. Je n’étais plus la fragile et solitaire jeune fille qui avait quitté Poudlard aussi seule qu’elle y avait pénétré. Je n’étais plus elle. Je n’étais pas non plus moi-même. A vrai dire, comment le saurai-je ? Comment saurai-je que j’étais moi-même ? Je ne l’avais jamais été. A Hungcalf, tout avait été pareil. Comment était-ce possible, moi qui avais tellement, tellement changé ? Mettant mes soucis personnels dans ma poche et mon mouchoir par-dessus, je continuai de gravir les escaliers. A force de m’appesantir sur mes soucis relationnels, j’allais être en retard. Et ça, c’était bel et bien inconcevable pour moi. J’étais la meilleure, il fallait que j’assume ce statut. Depuis plusieurs années, j’avais développé un besoin viscérale d’être la meilleure dans tout ce que je t’entreprenais. C’était presque terrifiant. Les autres me trouvaient bizarres. Ils préféraient faire la fête, bien entendu. Comment leur avouer combien j’aurais aimé avoir l’audace de pénétrer dans l’un de ces sanctuaires de l’action et parfois même de la dépravation ? Si seulement j’avais écouté ce type, la dernière fois…
Soudain, ma tête heurta de plein fouet quelqu’un que je n’avais pas vu. Je retins ma respiration tendis que je sentais les marches glisser sous mes talons. Quelque chose me rattrapa. En clignant des yeux, terrifiée, je plongeai mon regard dans celui du jeune homme. Davis. Bien sûr. Toujours à tripoter les jolies filles. « Ben alors mademoiselle Walterson tu ne regardes pas devant toi quand tu marches, cela aurait put être dramatique si je n’avais pas eut un bon réflexe » Sa voix sirupeuse me hérissa. Une fois mon équilibre retrouvé, je me dégageai vivement de son étreinte collante en le repoussant vertement. « Dégage tes pattes de là, sombre crétin, persiflai-je entre mes dents serrées. Quel réflexe ? Celui de poser tes mains souillées par ta connerie sur moi ? ». Sa paupière tressaillit, mais son imperceptible sourire m’énerva prodigieusement. Ce type me révulsait. Cela faisait plusieurs semaines qu’il m’avait abordé, avec son sourire en coin et son air dragueur. Evidemment, je l’avais rembarré. Mais quelque chose s’était développé en moi. C’était la première fois que quelqu’un osait m’approcher. Mais le fait que ce soit lui précisément me répugnait. Ce mec, Sawyer, je ne pouvais pas l’encadrer. Définitivement. Je n’étais pas une grande rêveuse sur le plan amoureux. Pour moi, dans la vie, le couple consistait en une vague attirance qu’on prenait pour le grand amour. En général on trouvait la personne suffisamment intéressante pour céder à la dernière forme d’esclavage universel. L’amour, je n’y avais cru que les dix années habituelles. Mais j’avais depuis longtemps cessé d’y croire. Cette idée me révulsait depuis que j’avais su ce que le grand amour avait donné. Ce qu’il avait fait de ma mère, ce qu’il avait fait de moi. Le grand amour avait brisé ma vie, tout bonnement et, bien que ce ne fût en aucun cas le mien, j’en conserverai les séquelles psychologiques ma vie durant. Je ne cesserai jamais de craindre la dépression, l’oubli, la folie, le suicide. J’étais hantée par les fantômes de mon enfance, condamnée à perpétuité à errer dans une histoire d’amour flétrie qui n’était pas la mienne. Autant dire que Davis, il pouvait toujours se taper le derrière avec du tue-mouche pour m’avoir dans son cœur.
Rajustant mon sac sur mon épaule, je lui lançai un regard noir, avant de gravir les deux dernières marches en lui donnant un passage un bon coup d’épaule. Le glapissement que j’entendis me donna un sourire moqueur et, refusant de m’appesantir sur pareil crétin, filai rapidement vers mon cours d’histoire ♦
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Re: Jesus is my virtue, Judas is the demon I cling to with Pandora
Jeu 22 Déc 2011 - 11:50
Je le voulais ce deuxième round et ben le voilà et cela commençait sur les chapeaux de roue, comme à notre première rencontre elle était perfide et d’un coté cela m’agacé un peu, si je n’étais pas tellement attiré par l’attrait du jeu, je la laisserai certainement en paix, la trouvant bien trop rigide et tellement peu sexy quand elle s’attaque à moi de manière si peu classe, j’avais toujours pensé qu’une élève aussi douée avait un répartie plus classe que cela et qu’elle me remettrait en place d’une manière beaucoup plus distinguée je suis tellement déçu qu’à cet instant je pensais que j’aurais du la laissé s’écraser comme une crêpe. Mais perdre un jeu dans lequel je me suis lancé ne m’était même pas imaginable. Qu’elle supériorité démontrait cette fille, elle semblait tellement sur d’elle que de lui faire perdre la tête allait être une véritable jouissance, j’en prendrai un plaisir incroyable et j’en profiterai amplement. Je venais de lui éviter une chute monstrueuse dans les escaliers de Hungcalf et je n’eus le droit qu’à un
« Dégage tes pattes de là, sombre crétin, Quel réflexe ? Celui de poser tes mains souillées par ta connerie sur moi ? »
Alalala la reconnaissance de nos jours n’est vraiment plus ce que c’était, quel manque d’éducation elle nous démontrait là, j’en fus légèrement attristé, pas que j’aurai aimé qu’elle me remercie chaleureusement mais là elle dénoté un manque de savoir vivre vraiment trop prononcé ! Moi laissé passer un truc pareil plutôt crever, après qu’elle m’ait traité de sombre crétin, bien sur elle allait en prendre pour son grade, je n’aime pas trop qu’on me prenne pour un crétin, un junkie oui, un Casanova oui, un alcoolique parfois mais un crétin ça je refuse catégoriquement ! Je me retourne pour observer la jeune femme qui avait passé son chemin me donnant un coup d’épaule, elle se prenait pour une brute de bas étages cette fille manqué définitivement de classe
« Quand une personne t’évite une chute certaine dans un escalier, ne devrais tu pas juste la remercier au lieu de la traiter de crétin, cela m’apprendra à faire de bonnes actions, la prochaine fois je te laisserai t’écraser comme une sale petite arrogante que tu es ! »
Bien sur que je me devais de répliquer de lui faire comprendre que ce n’était pas des manières de se comporter avec moi, puis c’est elle qui m’avait cherché après tout, elle voulait être violente alors moi aussi je pouvais l’être non mais je n’en revenais toujours pas, je la trouve excitante et c’est surement ça le pire. Que je la trouve excitante. Je levé les yeux vers elle et remonta les deux marches qui nous séparé, me mettant à sa hauteur tout en la regardant le regard aussi noir que le sien, le visage avec une expression vraiment impassible aucuns de mes sentiments contraires à son égard ne transparaissaient. Je la trouvais à la fois repoussante et attirante, à la fois excitante et sans intérêts notoires. Pourtant j’avais bien l’intention de la courtiser jusqu’à ce qu’elle cède, qu’elle abandonne sa fierté qui la rendait pourtant si excitante, pour se laisser aller dans mes bras, pour qu’elle m’appartienne juste pour une nuit. Une fois fait je la laisserai certainement tombé, la trouvant beaucoup moins excitante, beaucoup moins attirante.
« J’ai oublié de mentionné ton manque de savoir vivre, car quand on bouscule une personne le minimum c’est de s’excuser, après c’est moi que l’on traite de crétin, les mains souillées par ma propre connerie, mais au moins moi j’ai un minimum de savoir vivre, arrogante et en prime dépourvu d’éducation ! Quelle classe pour une fille qui se dit vertueuse. »
Je décide de passer mon chemin, elle m’exaspéré aujourd’hui et je la trouve assez infecte et pas attirante, le jeu en est beaucoup moins drôle c’est pour cela que je décide ne pas trop lui prêté attention, on dit souvent que d’ignorer quelqu’un est encore pire que de lui porter attention. C’est surement pour cela que je me conduis de la sorte pour qu’elle me porte enfin plus d’intérêt qu’elle ne voulait m’en accorder !