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wait for it ✥ AS
Sam 5 Mar 2016 - 14:30
Agrippine Sorel
« empty spaces, what are we living for, abandoned places, I guess we know this score .... On and on, does anybody know what we are looking for ? »
23 ans - wright - barmaid les week ends
je suis un personnage inventé
» Wizard Card La blonde, là bas ? Tu ne la connais pas ? Elle était dans notre classe il y a deux ans. Assez grande, plutôt jolie, et sympathique, sauf quand tu la fais chier. Comment ça son prénom ? Agrippine. Agrippine Sorel. Elle a 23 balais, elle a loupé un an de cours mais tout le monde en ignore la raison. Je crois bien qu'elle préfère les mecs, mais on l'a vue une ou deux fois avec des filles. Il faut croire qu'elle ne fait pas de discrimination. Tu ne la reconnais toujours pas ? Pourtant vous avez au moins trois cours en commun, étant tous les deux en Arts Journalistiques : Histoire de la magie et Sciences politiques magiques. Je l'ai aussi vue en Médias moldus et sorciers, et elle prend des cours de Littérature Magique et de Défense contre les forces du mal. Son statut de sang ? Tu n'es pas l'une de ces personnes élitistes qui ne jure que par la pureté du sang j'espère ? Elle est sang-mêlée. Sa mère était née moldue, et son père venait d'une vieille famille. Les Sorel, quoi, ils sont suffisamment renommés pour que je ne t'explique pas. Oh et puis merde, demande lui directement si tu as d'autres questions.» general information Le patronus d'Agrippine est un Akhal-Teke, élancé et gracieux il ne peut que contraster face à sa maladroite propriétaire. En effet, Agrippine est un peu malhabile, elle tombe facilement et ignorant ! celui qui la laisserait porter un bibelot fragile, car maudits sont les objets qui lui passent entre les mains, destinés invariablement à toucher le sol. Comme c'est le cas, d'ailleurs, pour sa baguette magique en acajou et cheveu de vélane qui a eu à subir bien des chutes et bien des chocs, mais qui survit malgré tout. Pour ces raisons, elle se refuse à monter sur un balai, de peur d'y laisser vie et dignité. Agrippine est extravertie : elle parle et rit fort, et reste rarement en marge des conversations. C'est une jeune femme déterminée, qui sait ce qu'elle veut mais qui demeure tout de même assez bonne nature, elle n'a aucune intention de se faire des ennemis et déteste les conflits. Elle a cependant mauvais caractère et s'enflamme rapidement si vous la cherchez. Vous la verrez rarement à la bibliothèque: dyslexique traitée trop tard, elle use toujours d'une plume à papote pour rédiger ses devoirs et bénéficie d'aménagements particuliers. Sa disposition est un réel handicap car, suivant la longue tradition journalistique de sa famille, elle a rapidement tirée de la honte de cette disposition. Son rêve, c'est de devenir reporter ou animatrice radio. Elle est aussi passionnée de politique, aime le débat et n'a pas peur de clamer haut et fort ses idées. Agrippine a une peur bleue des cafards. Comme c'est étonnant, il se trouve que ces derniers soient aussi la forme de son épouvantard. Elle a un frère, plus vieux d'un an, avec qui elle ne cesse de se disputer, et la même meilleure amie depuis ses 11 ans - Selyse. Elles ont tout partagé : les premiers secrets, les premiers baisers, les premiers garçons ... Ce qui n'empêche malheureusement pas les conflits. Il serait impossible de dresser un portrait complet sans mentionner les TOCs d'Agrippine. À 8 ans, elle est tombée dans une bassine d'excréments - à sa grande horreur - et souffre depuis de troubles obsessionnels compulsifs, qui se manifestent dans une tendance agaçante à tout laver excessivement, la peur des germes et le désir de tout voir dans un ordre parfait. | © pretty young thing ❅ margot robbie |
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Re: wait for it ✥ AS
Sam 5 Mar 2016 - 14:31
« Tu es courageuse, presque tête brûlée. Tu fonces souvent sans réfléchir, n'est-ce pas. Et tu as le sang chaud. Oh oui. » Agrippine se mordille les lèvres nerveusement, sentant la voix nasillarde de sa coiffe lui caresser l'oreille. « Mais tu es ambitieuse. Tu veux réussir, et tu désires faire tes preuves. Intéressant. » poursuit le Choixpeau. Le vert ne me va pas au teint, pense la petite fille « Le rouge non plus, Agrippine » rétorque son drôle d'interlocuteur, qui semble prendre un malin plaisir à faire durer la conversation. Il faut dire qu'Agrippine a déjà fait son choix: dans sa famille, de mère en fille on est à gryffondor, c'est presque une tradition. Pas question de devenir blaireau, serpent ou aigle quand le rugissant lion lui paraît tant semblable à elle. Je m'en fiche de ce que tu penses, tu es un vieux chapeau rapiécé et dépassé de mode moque-t-elle en retour sans grande conviction, en réalité elle sue et craint une décision qui ira à l'encontre de ses projets personnels. Le choixpeau toussote, prétend réfléchir. Elle le sent frémir sur sa tête et tourner ses yeux noirs vers un public attentif. « Pour toi ce sera Gryffondor ! » s'écrit-il. Les applaudissements accueillent la jeune blonde qui repose le chapeau et rejoint avec soulagement les rouges et or. Elle s'assoit sur le banc de la grande table et salue une autre première année dont le nom lui échappe, l'air un peu timide, qui vient d'être envoyée dans la même maison. « Je m'appelle Agrippine, et toi tu es ? » « Occupée. » marmonne son interlocutrice, l'air vaguement agacée d'avoir été sortie de la lecture du livre qu'elle tenait entre les mains. « Occupée ? C'est un joli prénom ça. C'est belge ? » rit-elle, un petit peu étonnée par le comportement de sa camarade. « Je suis Selyse. » consent à répondre la nouvelle recrue « Et je dois réviser, les cours commencent demain. Il y a tant à apprendre. ». Elle n'attend pas de réponse avant de replonger dans la lecture du vieux bouquin jaunis par les années. Ses épaules semblent crispées, et son allure laisse à penser que Selyse eut préféré se trouver dans un trou de souris plutôt qu'entourée de tant de monde. Agrippine hausse les épaules et se tourne vers un garçon brun qui vient de les rejoindre, rédigeant mentalement la future lettre qu'elle enverrait à son père et sa mère.
Agrippine fixe avec frustration les lignes du parchemin, incapable de se concentrer sur la danse déstabilisante des lettres sous ses yeux. Les mots se mélangent, avec eux sens et bon sens, et elle ne parvient pas à se focaliser sur la signification de la phrase quand le moindre adjectif lui échappe. La voici à son deuxième mois de cours, et malgré des heures de travail - probablement plus que la plupart de ses camarades - ses notes atteignent à peine la moyenne, et les commentaires abyssaux des professeurs la découragent. Attention à la rédaction, soignez votre orthographe, vous n'avez pas lu le livre demandé. Pourtant, elle fait de son mieux. Elle étudie mais met plus de temps à lire la bibliographie que le reste de sa promo, quant à son orthographe elle peine à l'apprendre efficacement quand le simple fait de déchiffrer un mot devient une épreuve.
Elle relit la même ligne une troisième fois, les larmes montant dans ses yeux. Elle se sent stupide - pourtant, ses sortilèges ne sont pas mauvais, elle apprend rapidement la pratique. Mais impossible de comprendre la théorie quand le moindre tracé est une bataille. Perdue dans ses pensées, elle n'entend pas la nouvelle venue qui s'est assise à côté d'elle. « Comment tu vas ? » s'enquit timidement Selyse. Agrippine soupire ; c'est à son tour de lui envoyer un regard agacé. « Je me porte comme un charme. Ça ne se voit pas ? J'adore chialer quand je suis heureuse. » elle essuie rageusement l'humidité dans ses yeux et ferme le livre. « Je suis désolée qu'on soit parties sur un mauvais pied, toi et moi. » poursuit Selyse, et son ton angoissé stresse Agrippine qui se tourne vers elle, moitié désireuse de la secouer un bon coup. « Oui eh bien, ce qui est fait est fait.» concède-t-elle sans grande conviction. Elle triture une mèche de cheveux, mouillée d'avoir trainé dans sa bouche « Tu es dyslexique non ? Je reconnais les symptômes. J'avais un cousin comme toi. » déclare Selyse, et la gentillesse de son ton n'efface pas la honte ressentie à l'égard de ces mots. D'être si ouvertement dévoilée, elle en rougirait. « Pas si fort !» murmure-t-elle en regardant autour d'elle « Quand bien même serais-je dyslexique, en quoi ça te regarde ?». Elle hausse un sourcil et croise ses bras, espérant que du haut de ses 11 ans elle soit impressionnante. « Je peux t'aider, si tu veux. Je n'ai que des O et je vois le temps que tu passes à travailler. Ce n'est pas juste que tu restes dans les élèves les plus mauvais. Tu mérites mieux. » dit Selyse d'un air passionné. « Euh...» à court de mots, Agrippine prend une respiration et un temps avant de répondre. « Je veux bien. C'est ... gentil.». Elle lui tend une main que Selyse lui serre avec un sourire, et toutes deux se regardent mal à l'aise, avant de se pencher sur le devoir de potion qui donnait du fil à retordre à la rouge et or.
Chère Selyse,
Je suis heureuse d'apprendre que tu passes de bonnes vacances. Désolée de ne pas t'avoir écrit de l'été, je viens de recevoir ma nouvelle plume à papotte puisqu'une certaine jeune femme m'avait cassé la précédente en s'asseyant dessus. Comment se passe ton idylle avec le bel écossais que tu as rencontré ?
Comme tu le sais, je suis actuellement en France auprès de la famille de ma mère. Je n'arrive pas à croire que mes parents aient annulé notre voyage en Australie pour s'occuper du divorce! C'est la première fois que je rencontre mes grands parents, il faut dire que je vois assez peu ma mère donc .... Ils sont plutôt sympathiques, quoi que j'ai du mal à comprendre leur accent ignoble en anglais. Mon cousin, Grégoire, passe ses journées à tenter de me convaincre qu'il faut absolument que nous couchions ensemble. Oui, tu as bien lu ... Mon cousin !
Qui est très beau et très intelligent.
Putain mais Grégoire casse-toi de ma chambre !
Tu parles de moi à tes amies ? Je peux lire ?
Je ne déconne pas. Un mot de plus et je transforme ta queue en ver de terre. Non mais quel bouffon. Et arrête de noter tout ce que je dis à l'oral toi ! Arrête !
Bref. J'en étais où? Ah oui. Vivement que nous soyons toutes deux majeures, histoire qu'on s'offre ce broomtrip dont on a tellement parlé. Et hâte de te voir pour cette dernière année de cours!
Bisous,
Agrippine.
Je suis heureuse d'apprendre que tu passes de bonnes vacances. Désolée de ne pas t'avoir écrit de l'été, je viens de recevoir ma nouvelle plume à papotte puisqu'une certaine jeune femme m'avait cassé la précédente en s'asseyant dessus. Comment se passe ton idylle avec le bel écossais que tu as rencontré ?
Comme tu le sais, je suis actuellement en France auprès de la famille de ma mère. Je n'arrive pas à croire que mes parents aient annulé notre voyage en Australie pour s'occuper du divorce! C'est la première fois que je rencontre mes grands parents, il faut dire que je vois assez peu ma mère donc .... Ils sont plutôt sympathiques, quoi que j'ai du mal à comprendre leur accent ignoble en anglais. Mon cousin, Grégoire, passe ses journées à tenter de me convaincre qu'il faut absolument que nous couchions ensemble. Oui, tu as bien lu ... Mon cousin !
Qui est très beau et très intelligent.
Putain mais Grégoire casse-toi de ma chambre !
Tu parles de moi à tes amies ? Je peux lire ?
Je ne déconne pas. Un mot de plus et je transforme ta queue en ver de terre. Non mais quel bouffon. Et arrête de noter tout ce que je dis à l'oral toi ! Arrête !
Bref. J'en étais où? Ah oui. Vivement que nous soyons toutes deux majeures, histoire qu'on s'offre ce broomtrip dont on a tellement parlé. Et hâte de te voir pour cette dernière année de cours!
Bisous,
Agrippine.
Agrippine sort de la cheminée, époussetant son uniforme d'un revers de main. Elle jète un coup d'oeil autour d'elle, remarquant les changements dans la demeure familiale : l'absence d'une photo, la table en bois d'acajou disparue et remplacée par une table plus modeste, moins de fleurs qu'à l'accoutumée. « Maman a déjà déménagé ? » demande-t-elle directement à son père, qui la serre dans ses bras chaleureusement pour l'accueillir. « Oui. Elle est allée vivre avec Igor. » répond il, sa voix ne trahissant aucune émotion. « Igor ? Igor Smythe ? Son collègue de travail ? Depuis combien de temps ça durait ? » s'enquiert-elle avec curiosité et colère. « Ça faisait longtemps que ça n'allait plus entre ta mère et moi, Agrippine. Ne la juge pas trop durement. » malgré ses paroles rassurantes, Agrippine ne peut s'empêcher de chercher dans ses mots une trace de tristesse, de regret, qu'elle ne semble pas trouver. Philip attrape sa valise et d'un coup de baguette l'envoie dans sa chambre. « Papa ? Quand est-ce que je vais la revoir ? Elle t'a laissé un mot pour moi ? » l'interroge-t-elle, un peu abattue. À l'expression qui vient défigurer le visage de son père, elle sait qu'elle ne va pas aimer sa réponse. « Elle a demandé à ce qu'on ne la contacte pas. Toi y compris. Je... Agrippine. Je pense qu'elle veut repartir à zéro. Elle est enceinte et euh ... Je suis désolé. Je lui ai dit que c'était injuste de te faire ça, que tu étais sa fille mais elle n'a rien voulu entendre. » avec du recul, Agrippine aurait dû le voir venir. Elle n'avait jamais eu de relation à proprement parler avec sa mère, et cette dernière était plus souvent absente que présente dans la vie de la jeune adolescente. Aussi lui est-il impossible de justifier la crise de larmes qui avait suivi la nouvelle. « Je veux voir Selyse. » exige-t-elle en essuyant ses larmes. Son père, qui avait passé un bras par dessus ses épaules, hausse un sourcil désapprobateur. Il n'avait jamais approuvé la relation exclusive que sa fille entretenait avec sa meilleure amie. « Agrippine. Ce n'est pas le bon moment. Tu viens de rentrer de vacances. C'est un problème familial, et j'aimerais pouvoir te voir, ça fait un mois que tu es en France. » exige-t'il. Agrippine hoche la tête, sentant que son père plus qu'elle avait besoin de sa présence. « D'accord, papa. Je reste. » sourit-elle.
› CHAPTER II - I HOPE THAT YOU BURN
« Où est-ce que tu vas? » demande une Agrippine ensommeillée, les yeux papillonnants, observant Selyse levée dans leur petite chambre d'étudiante « Shh. Je vais juste me fumer une cigarette, je reviens » rétorque cette dernière. « Il est 1h du mat , Selyse, tu te fous de moi? » en plus tu ne fumes pas et tu me fais tout le temps chier quand tu me surprends la clope au bec, rajoute t-elle silencieusement. « Rendors toi, Agri, je reviens. » insiste Selyse, refermant doucement la porte derrière elle. Sauf qu'à présent, Agrippine est pleinement éveillée. La jeune femme frotte ses yeux et fronce les sourcils. Pourquoi est-ce que Selyse lui mentait ? Qu'est-ce qu'elle lui cachait ? La jalousie vient lui serrer le coeur. Elle voit quelqu'un, c'est sûr. Et il fallait absolument qu'elle trouve qui. Ni une, ni deux, Agrippine se lève et entreprend de fouiller chaque recoin de la chambre, déterminée à découvrir ce que Selyse lui cachait. La recherche ne fut pas longue. Après une dizaine de minutes, elle tomba sur un morceau de parchemin froissé.
Selyse,
Rejoins moi dans la salle des miroirs, cette nuit.
Mets l'ensemble que je t'ai offert. J'ai hâte de te l'enlever moi-même. Ce soir, on fête nos un mois.
Christopher Hastings
Rejoins moi dans la salle des miroirs, cette nuit.
Mets l'ensemble que je t'ai offert. J'ai hâte de te l'enlever moi-même. Ce soir, on fête nos un mois.
Christopher Hastings
Agrippine aurait aimé dire que séduire Christopher Hastings avait été compliqué. En réalité, elle n'avait eu qu'à rentrer dans ses quartiers privés sous un faux prétexte (« Monsieur, j'ai besoin de cours de soutien .. ») et à s'offrir à lui sans subtilité (« J'ai tellement envie de vous »). En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il lui avait sauté dessus pour la prendre contre un mur et le « pari » avait été gagné. En toute honnêteté, elle avait passé un très bon moment dans ses bras (et ses draps). Plusieurs bons moments, même. Au delà du simple aspect physique, Agrippine était heureuse d'avoir mis à jour le caractère libertin du petit ami de Selyse. Aussi, quand le lendemain elle vint annoncer la nouvelle à cette dernière ne ressentit-elle que peu de remords face à son propre comportement.
« J'ai honte de toi, Agrippine. Honte. » la sermonnait son père quelque temps plus tard « Coucher avec un professeur. Non mais franchement. Et maintenant tu es renvoyée. J'espère que ça en valait le coup. J'espère que tu es fière de toi. ».
La déception de son père eut sans doute été plus amère si Agrippine n'avait pas passé les cinq dernières semaines sans nouvelles de sa meilleure amie. Et les quatre derniers jours à réaliser qu'elle avait développé malgré elle des sentiments pour cette dernière.
Partagée entre sa honteuse révélation et l'embarras de perdre une année d'études à cause de son comportement idiot, Agrippine ne répondit pas.
Selyse,
Je suis désolée. Tu me manques. On repart à zéro ?
A.
Je suis désolée. Tu me manques. On repart à zéro ?
A.
Quatre mois plus tard trouvent Agrippine avachie sur le sofa, entamant goulument le stock de glace Florian Fantarôme de la maison « Agri, tu n'aurais pas pris du poids par hasard ? » demande son frère Livio, avec un air moqueur. « Ta gueule, gros con. » réplique cette dernière avec élégance, non sans avoir envoyé un oreiller dans le visage de son interlocuteur. « Non, mais sérieusement. » poursuit-il « Si je ne te savais pas déjà suffisamment insupportable pour éloigner tout mec potentiel, je te penserais enceinte. Mais ce serait ridicule, tu as le visage que seule une mère peut aimer. Et vois comme ça a marché pour nous. ». Agrippine fourre une grosse cuillerée de glace dans sa bouche avant de marmonner « Tu sais, Livio, si tu veux que je te frappe tu n'as qu'à me le demander. Je me ferai une joie de te coller une baffe. ». Le jeune homme s'approche en ricanant et prétend poser son oreille sur le ventre de sa soeur : « Alors, c'est un petit neveu ou une petite nièce ? Dis bonjour à tonton Livio. ». Agrippine lève sa baguette pour l'expulser quand elle voit son visage blanchir d'un coup « Agri, sérieusement. T'es pas enceinte ? J'entends quelque chose bouger. ». La jeune femme lève les yeux au ciel « Haha, très drôle. Ce que tu entends, c'est la glace. Que je suis en train de digérer. ». Elle pose sa main sur son flanc pour se le frotter et blanchit à son tour en sentant une chose indéfinie lui heurter la paume. Hum. « Livio, ce n'est pas possible si ? Le sortilège contraceptif que papa nous a appris, c'est 100% efficace ? ». À ces mots, Livio se tait et l'observe comme s'il lui était poussé une seconde tête. « Un sortilège seul ne suffit pas, il faut aussi utiliser un préservatif. Tu ne t'es pas protégée ? » elle le regarde d'un air vide, essayant de se remémorer la soirée en question, sentant la panique monter « Je ne sais pas. Merde merde merde merde. Par Merlin, je ne sais pas. C'était il y a presque six mois, je le saurais non ? ». Elle se prend la tête entre les mains et insulte silencieusement Christopher Hastings.
Vidée, lessivée, Agrippine observe d'un oeil torve la petite bouille rougie du bambin. Elle tente en vain de ressentir un quelconque attachement pour cet être minuscule, mais ne ressent que la douleur de l'accouchement et la fatigue. Elle culpabilise. Quel genre de femme était-elle, indifférente face à son propre enfant ? Quel genre de mère ? Elle tend le nouveau né à la sage femme qui la regarde d'un air interrogateur et annonce froidement « Je ne veux pas le garder. ». Elle se rallonge dans le lit blanc, les yeux fixés sur les murs immaculés de Sainte Mangouste. « Je ne veux plus le voir. Emmenez le loin d'ici. » ordonne t-elle. Elle a envie de pleurer, mais pas pour les bonnes raisons - elle se sent laide, elle désire s'apitoyer un instant sur son propre sort. Quelque chose doit clocher chez elle, c'est obligé, ne ressentir que du dégoût ? Face à son gosse ? La chair de sa chair ? Mère indigne. Femme indigne. Être humain médiocre. Les insultes se succèdent dans son esprit. « Ça va aller ? » s'enquit doucement son frère, qui pose une main sur son épaule. « Je ne sais pas. » avoue-t'elle. Cet enfant n'était pas né de l'amour, ni de la haine. C'était juste une erreur, un mauvais hasard, au mauvais moment, avec la mauvaise personne. Un être qui lui avait déformé le ventre, qui avait tracé des lignes indélébiles sur sa peau, et dont elle ne voulait plus entendre parler. « Ne dis rien à papa, ou à Selyse. S'il te plaît. » implore t-elle. Il acquiesce. Elle soupire.
- InvitéInvité
Re: wait for it ✥ AS
Sam 5 Mar 2016 - 14:33
Hoollaaaa !!!!!! :sex:
J'ai des amis !!!
Comme on disait sur l'île: Ouelk'home ! :smack:
J'ai des amis !!!
Comme on disait sur l'île: Ouelk'home ! :smack:
- InvitéInvité
Re: wait for it ✥ AS
Sam 5 Mar 2016 - 14:48
Abuse pas, t'as pas d'amis toiNathan B. Maxwell a écrit:Hoollaaaa !!!!!! :sex:
J'ai des amis !!!
Comme on disait sur l'île: Ouelk'home ! :smack:
Danke schön comme on ne répondait pas
Et pour la tradition (je suis attachée aux traditions) : :sex:
- InvitéInvité
Re: wait for it ✥ AS
Sam 5 Mar 2016 - 15:23
TOI JOTEM DEJAAgrippine Sorel a écrit:
Abuse pas, t'as pas d'amis toi
En plus avec Margot la magnifique bienvenue ici (enfin rebienvenue à la maison )
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
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Inventaire Sorcier
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Re: wait for it ✥ AS
Sam 5 Mar 2016 - 18:51
Bienvenue belle demoiselle !
- InvitéInvité
Re: wait for it ✥ AS
Dim 6 Mar 2016 - 18:27
@Nhyx -
Bah oui n'exagérons pas oh
Je prends ta confession d'amour prématurée comme une autorisation d'aller te réclamer un lien plus tard
@Lucy @Arsenius -
Merci beaucoup les cocos :huhu:
@Balthazar -
Taron Kingsman forever :shine:
Bah oui n'exagérons pas oh
Je prends ta confession d'amour prématurée comme une autorisation d'aller te réclamer un lien plus tard
@Lucy @Arsenius -
Merci beaucoup les cocos :huhu:
@Balthazar -
Taron Kingsman forever :shine:
- InvitéInvité
Re: wait for it ✥ AS
Dim 6 Mar 2016 - 18:32
Oh oui un lien avec très très grand plaisir :shine:
- InvitéInvité
Re: wait for it ✥ AS
Dim 6 Mar 2016 - 19:41
RE BIENVENUE A LA MAISON
En plus avec Margot quoi
En plus avec Margot quoi
- InvitéInvité
Re: wait for it ✥ AS
Lun 7 Mar 2016 - 21:24
Margot, ce choix parfait ! :shine:
Bienvenue parmi nous !
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Re: wait for it ✥ AS
Sam 12 Mar 2016 - 17:40
J'avais complètement oublié de te valider ! PARDON !
J'aime beaucoup ton personnage et j'ai hâte de le voir évoluer parmi nous ! :24:
barjots de membres ! Maintenant que tu es validé(e), nous t'invitons à recenser ton avatar ainsi que ton métier. Si tu as la moindre question, le moindre doute ou si tu ne sais pas quoi te faire à manger à midi, n'hésite surtout pas à aller poster dans la section prévue à cet effet (ici) ou bien à envoyer un petit mp à l'un des membres du staff ! On ne mord pas, c'est promis ! Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle. N'hésite pas à utiliser notre système de marché aux liens si le cœur t'en dit ! *-*
Have fun !
J'aime beaucoup ton personnage et j'ai hâte de le voir évoluer parmi nous ! :24:
Validation
welcome to hungcalf !
» congratulations, you are a wizard !
Welcome petit muffin ! Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses Have fun !
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