- InvitéInvité
mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 10:19
Je suis une Ethelred | pré-lien Wheeler
« What I hope most of all is that you understand what I mean when I tell you that even though I do not know you, and even though I may never meet you, laugh with you, cry with you, or kiss you. I love you. With all my heart. »
WIZARD CARD INFORMATIONS Yacob fut d'ailleurs le seul des Wheeler a faire l'effort d'apprendre la langue des signes en même temps que toi, creusant ainsi un gouffre abyssal entre toi et le reste de la famille. Tu as toujours été plus proche de lui, Yacob, sans doute à cause de la petite année qui vous séparait, et ayant été sa première petite soeur. Après l'incendie et les quelques mois passés à Ste Mangouste, et en prévention de ta future scolarité de sorcière, tes parents t'ont fait suivre des cours avec un professeur spécialisé en sortilèges informulés. Ce pendant deux ans, jusqu'à ce que tu reçoives ta lettre de Poudlard. Bien sûr, deux ans ne suffirent guère à obtenir un niveau suffisant en sortilèges informulés et tu avais beaucoup de mal les trois premières années à l'école où tu as été répartie dans la maison Poufsouffle. CARACTÈRE La première chose qu'on voit de toi, Marian, c'est ton sourire. Difficile de te décrire autrement, tu es rayonnante. Quel que soit le moment de la journée, ou de la nuit, tu as l'habitude et la spontanéité de saluer les gens de ce sourire si particulier, et le souvenir de ce dernier les quittera pas de si tôt. Souvent, en compagnie de tes amis que tu comptes sur les doigts d'une main, ou de tes camarades de classe, ton sourire s'accompagne de ce rire silencieux. Sans bruit, mais pourtant communicatif. Parce que tu es chaleureuse, Marian, également amicale bien que ton mutisme t'ai longtemps retranchée dans une solitude difficile à laisser derrière toi. Et si tu es ouverte aux autres, Marian, tu n'en reste pas moins secrète, n'aimant pas du tout "parler" de toi-même aux gens. Moyen comme un autre pour toi de te protéger en cachant ton côté hypersensible. Loyale et honnête, tu sais être une bonne amie et te montre toujours à l'écoute d'autrui quelle que soit la situation. Mais tu possèdes également ce petit côté têtu, borné, voir un peu susceptible qui dépeint sur ton visage expressif des moues plus ou moins boudeuses. En dépit de tes efforts, tu fais preuve d'une maladresse légendaire et ta famille a cessé de compter le nombre de verre cassés qui t'échappent des mains. Lorsqu'il y a trop de monde autour de toi, tu as tendance à te refermer et te sentir mal à l'aise au milieu de la foule, et préfère donc éviter les fêtes populaires pour rester en compagnie d'Anubis et d'un bon roman. Il est rare de te voir sans ta baguette au bout des doigts car, peu de gens pouvant communiquer en langue des signes, elle t'es nécessaire au quotidien pour t'exprimer. La plupart du temps, il s'agit de quelques mots en lettres dorées que tu fais jaillir du bout de ta baguette pour accompagner tes gestes et tes expressions faciales. Mais ce que tu préfères, c'est dessiner dans l'air des petits visages tels les smileys sur les téléphones portables des moldus pour accentuer tes discours silencieux ou tes regards éloquents. | © rhumanesque ◈ daisy ridley |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Tu n’aimes pas les regards qu’ils te lancent, tous. Tes parents, les médicomages, tes frères, ta sœur. Comme si tu étais devenue différente du jour au lendemain. Comme si tu n’étais plus toi. Tu es toujours Marian, tu n’es pas devenue quelqu’un d’autre. Tu es toujours toi.
Cela fait presque deux mois que tu viens ici toutes les semaines, à Sainte Mangouste. Deux mois depuis l’incendie de la maison qui, heureusement, n’a blessé personne. Et pourtant, tu n’as pas émis le moindre son depuis. Voilà pourquoi tu viens ici chaque semaine, parce que tes parents ne comprennent pas, et les médecins encore moins. Tu es en parfaite santé, Marian. Tu ne parles tout simplement plus. Ce n’est pas à cause de la fumée qui a irrité ta gorge, brûlé tes poumons. Ce n’est pas à cause de tes hurlements terrorisés alors que les flammes de ta chambre t’empêchaient de sortir. Rien de tout ça. En fait, tu ne sais même pas exactement pourquoi toi-même. Et contrairement aux adultes, tu ne cherches pas à savoir. Tu l’accepte, c’est ainsi. Eux, en sont visiblement incapables et tu ne comprends pas pourquoi.
Recroquevillée sur cette chaise dans le couloir, un ballet incessant se joue devant toi. Médicomages qui passent dans tous les sens, accompagnés de patients atteints de diverses pathologies. Et ça te vexe d’être ici, Marian, du haut de tes neufs ans. Parce que tu n’es pas malade. Et tu aurais envie de le hurler à plein poumons. Tu n’es pas malade. Mais les mots restent coincés dans ta gorge, ne dépassant jamais la barrière de tes lèvres ni de ton esprit. Et que croient-ils, d’ailleurs, que tu n’entends plus non plus ? Le médicomage qui a pris tes parents un peu à l’écart pour parler de toi, comme si ton mutisme était tabou. Malsain. Inévitablement, le regard et l’attitude des gens changent. Ils ne comprennent pas que ce qui te fais le plus mal, ce n’est pas de ne plus réussir à parler, mais leur comportement qui n’est plus le même qu’autrefois. « Il faut laisser faire le temps, » que tu entends, Marian, dans la bouche du sorcier. Et ça te fais gonfler les joues d’un air boudeur aux yeux des employés et des patients. Le temps. Comme si le temps guérissait tout.
Mais au cas où, il faut bien prendre des précautions. Traitement de faveur pour toi, Marian. Alors que Yacob retrouve Seán à Poudlard, tu restes seule avec tes parents et Whilelmina à la maison. Ne plus avoir Yacob près de toi alors qu’il est celui dont tu es le plus proche est difficile, mais pas autant que les cours que tu dois suivre pendant deux ans en préparation de ta rentrée à Poudlard. D’abord, il y a ton professeur de langue des signes. Nécessaire certes, mais avec qui pourrais-tu bien communiquer ainsi ? Tes parents ne l’apprennent pas, et encore moins ta sœur, alors au début tu trouves cela bien inutile. Et puis il y a le professeur engagé pour t’enseigner les rudiments des sortilèges informulés. Pour cela, il t’a fallu une dérogation spéciale du Ministère de la Magie et sur entrevue avec ton médicomage pour obtenir ta baguette deux ans avant l’âge requis. Mine de rien, tout ça creuse un fossé entre Mina et toi, petit à petit, mais inévitablement. Du jour au lendemain, c’est comme si ton mutisme, handicap comme les adultes aiment à l’appeler, t’avais projetée en cadette de la famille alors que ce privilège lui était réservé. Vos jeux se font de moins en moins fréquents, de plus en plus rares, jusqu’au jour où toi aussi, tu intègres Poudlard.
C’est chez les Poufsouffles que tu tentes de trouver ta place à Poudlard, Marian. Tenter est le mot, car les premiers jours passent rapidement et tu n’arrives guère à te faire des véritables amis. En un sens, tu les comprends, car communiquer avec toi n’est pas chose aisée et un simple début de discussion se révèle laborieux. Mais au fond, ça te blesse. Énormément. Pourtant, ce n’est pas contre les autres élèves que tu es le plus en colère, c’est contre toi-même. Alors que les deux dernières années tu avais accepté cette nouvelle particularité chez toi, tu rejettes désormais ton mutisme qui te coupes de plus en plus du monde. Et c’est un cercle vicieux qui s’installe petit à petit, ta colère accentue ton mutisme, qui accentue ta solitude, qui accentue ta colère… Et ainsi de suite.
Il te faut bien trois ans, peut-être quatre, Marian, pour comprendre et accepter ce fait : la solitude est ta meilleure amie. Mais cela ne t’empêche pas de te montrer toujours sociable et amicale avec les autres. Parce qu’au fond, tu es comme ça, Marian, souriante au monde même s’il ne t’ouvre pas vraiment les bras. Parce que tu aimes les gens malgré tout, même si tu personne ne t’offre vraiment ta chance. Au final, tu ne leur en veux pas, et avec les années tu t’adaptes à ce mode de vie. A n’avoir que des connaissances, des camarades, et pas vraiment d’amis. Cela te convient, et tu n’essaies pas de forcer les choses avec qui que ce soit. Et puis, il y a Anubis maintenant, ton beau félin, câlin et joueur, qui ne te lâche pas d’une semelle et t’attends sagement devant chaque salle de classe que tu sortes de cours pour l’emmener dans le parc de Poudlard où tu aimes t’entrainer pour les sortilèges informulés.
Et la vie suit son cours, Marian, pour toi comme pour les autres Wheeler. D’ailleurs, comme tes frères avant toi et ta sœur ensuite, il te semble tout naturel d’intégrer la prestigieuse université d’Hungcalf au sortir de Poudlard. Tes examens, tu les as passés haut la main et, comme aiment le répéter tes professeurs et comme tu détestes l’entendre, ceci malgré ton handicap. Ils ne comprennent toujours pas, les adultes, que tu n’es pas malade. Mais qu’importe, maintenant, cela te passe au-dessus de la tête.
Sur les bancs d’Hungcalf, tu deviens une Ethelred, comme une évidence au final, et décides d’intégrer la filière mode et textile magique. Car depuis des années et dans tes moments de solitude, tu t’es éprise de la couture et des créations vestimentaires. Loisir puis passion et finalement projet professionnel dans lequel ton mutisme n’est pas un défaut ni un frein. C’est également au début de tes années d’université que tu prends le temps de te lancer enfin dans les arts musicaux et que tu commences à pratiquer le violon, pour le plus grand plaisir d’Anubis qui aime à ronronner sur les genoux lorsque tu joues tranquillement installée sur ton lit. De ce fait, tu intègres la Chorale d’Hungcalf en tant que violoncelliste pour agrémenter un peu ta vie en dehors des cours.
Car on ne peut le nier, tu restes toujours un petit animal solitaire, Marian. En dépit des sourires et de ta bonne humeur pourtant non feinte, il n’y a toujours que très peu de gens qui sont proches de toi. Mais tu t’y fais, tu as ce qu’on pourrait appeler quelques amis, surtout des connaissances et des camarades, futures collègues également. Et cela te suffit, Marian, car il y a ta famille malgré tout, elle a toujours été là pour toi d’une manière ou d’une autre et la réciproque est tout aussi véridique.
Quant à ta voix, tu as désormais toi-même oublié à quoi elle ressemble. De toutes façons, la dernière fois que tu l’as entendue tu avais neuf ans, et les voix d’enfants non rien avoir avec les voix d’adultes. Cela fait dix-sept ans que tu n’as pas prononcé un seul mot, Marian. Dix-sept ans de silence, mais dix-sept ans de sourires. Au final, n’est-ce pas le plus important ? Tu ne te plains de rien, Marian, parce que tu es en vie, que toute ta famille l’est également, et qu’en fin de compte, il n’y a rien de plus beau. Tu n’es pas malheureuse, Marian, et si ta voix décide de rester enfouie au creux de ta mémoire pour toujours, qu’il en soit ainsi. Tu n'es pas malade. La vie est belle, et tu n’as pas besoin de savoir parler pour en savourer chaque instant.
Cela fait presque deux mois que tu viens ici toutes les semaines, à Sainte Mangouste. Deux mois depuis l’incendie de la maison qui, heureusement, n’a blessé personne. Et pourtant, tu n’as pas émis le moindre son depuis. Voilà pourquoi tu viens ici chaque semaine, parce que tes parents ne comprennent pas, et les médecins encore moins. Tu es en parfaite santé, Marian. Tu ne parles tout simplement plus. Ce n’est pas à cause de la fumée qui a irrité ta gorge, brûlé tes poumons. Ce n’est pas à cause de tes hurlements terrorisés alors que les flammes de ta chambre t’empêchaient de sortir. Rien de tout ça. En fait, tu ne sais même pas exactement pourquoi toi-même. Et contrairement aux adultes, tu ne cherches pas à savoir. Tu l’accepte, c’est ainsi. Eux, en sont visiblement incapables et tu ne comprends pas pourquoi.
Recroquevillée sur cette chaise dans le couloir, un ballet incessant se joue devant toi. Médicomages qui passent dans tous les sens, accompagnés de patients atteints de diverses pathologies. Et ça te vexe d’être ici, Marian, du haut de tes neufs ans. Parce que tu n’es pas malade. Et tu aurais envie de le hurler à plein poumons. Tu n’es pas malade. Mais les mots restent coincés dans ta gorge, ne dépassant jamais la barrière de tes lèvres ni de ton esprit. Et que croient-ils, d’ailleurs, que tu n’entends plus non plus ? Le médicomage qui a pris tes parents un peu à l’écart pour parler de toi, comme si ton mutisme était tabou. Malsain. Inévitablement, le regard et l’attitude des gens changent. Ils ne comprennent pas que ce qui te fais le plus mal, ce n’est pas de ne plus réussir à parler, mais leur comportement qui n’est plus le même qu’autrefois. « Il faut laisser faire le temps, » que tu entends, Marian, dans la bouche du sorcier. Et ça te fais gonfler les joues d’un air boudeur aux yeux des employés et des patients. Le temps. Comme si le temps guérissait tout.
Mais au cas où, il faut bien prendre des précautions. Traitement de faveur pour toi, Marian. Alors que Yacob retrouve Seán à Poudlard, tu restes seule avec tes parents et Whilelmina à la maison. Ne plus avoir Yacob près de toi alors qu’il est celui dont tu es le plus proche est difficile, mais pas autant que les cours que tu dois suivre pendant deux ans en préparation de ta rentrée à Poudlard. D’abord, il y a ton professeur de langue des signes. Nécessaire certes, mais avec qui pourrais-tu bien communiquer ainsi ? Tes parents ne l’apprennent pas, et encore moins ta sœur, alors au début tu trouves cela bien inutile. Et puis il y a le professeur engagé pour t’enseigner les rudiments des sortilèges informulés. Pour cela, il t’a fallu une dérogation spéciale du Ministère de la Magie et sur entrevue avec ton médicomage pour obtenir ta baguette deux ans avant l’âge requis. Mine de rien, tout ça creuse un fossé entre Mina et toi, petit à petit, mais inévitablement. Du jour au lendemain, c’est comme si ton mutisme, handicap comme les adultes aiment à l’appeler, t’avais projetée en cadette de la famille alors que ce privilège lui était réservé. Vos jeux se font de moins en moins fréquents, de plus en plus rares, jusqu’au jour où toi aussi, tu intègres Poudlard.
C’est chez les Poufsouffles que tu tentes de trouver ta place à Poudlard, Marian. Tenter est le mot, car les premiers jours passent rapidement et tu n’arrives guère à te faire des véritables amis. En un sens, tu les comprends, car communiquer avec toi n’est pas chose aisée et un simple début de discussion se révèle laborieux. Mais au fond, ça te blesse. Énormément. Pourtant, ce n’est pas contre les autres élèves que tu es le plus en colère, c’est contre toi-même. Alors que les deux dernières années tu avais accepté cette nouvelle particularité chez toi, tu rejettes désormais ton mutisme qui te coupes de plus en plus du monde. Et c’est un cercle vicieux qui s’installe petit à petit, ta colère accentue ton mutisme, qui accentue ta solitude, qui accentue ta colère… Et ainsi de suite.
Il te faut bien trois ans, peut-être quatre, Marian, pour comprendre et accepter ce fait : la solitude est ta meilleure amie. Mais cela ne t’empêche pas de te montrer toujours sociable et amicale avec les autres. Parce qu’au fond, tu es comme ça, Marian, souriante au monde même s’il ne t’ouvre pas vraiment les bras. Parce que tu aimes les gens malgré tout, même si tu personne ne t’offre vraiment ta chance. Au final, tu ne leur en veux pas, et avec les années tu t’adaptes à ce mode de vie. A n’avoir que des connaissances, des camarades, et pas vraiment d’amis. Cela te convient, et tu n’essaies pas de forcer les choses avec qui que ce soit. Et puis, il y a Anubis maintenant, ton beau félin, câlin et joueur, qui ne te lâche pas d’une semelle et t’attends sagement devant chaque salle de classe que tu sortes de cours pour l’emmener dans le parc de Poudlard où tu aimes t’entrainer pour les sortilèges informulés.
Et la vie suit son cours, Marian, pour toi comme pour les autres Wheeler. D’ailleurs, comme tes frères avant toi et ta sœur ensuite, il te semble tout naturel d’intégrer la prestigieuse université d’Hungcalf au sortir de Poudlard. Tes examens, tu les as passés haut la main et, comme aiment le répéter tes professeurs et comme tu détestes l’entendre, ceci malgré ton handicap. Ils ne comprennent toujours pas, les adultes, que tu n’es pas malade. Mais qu’importe, maintenant, cela te passe au-dessus de la tête.
Sur les bancs d’Hungcalf, tu deviens une Ethelred, comme une évidence au final, et décides d’intégrer la filière mode et textile magique. Car depuis des années et dans tes moments de solitude, tu t’es éprise de la couture et des créations vestimentaires. Loisir puis passion et finalement projet professionnel dans lequel ton mutisme n’est pas un défaut ni un frein. C’est également au début de tes années d’université que tu prends le temps de te lancer enfin dans les arts musicaux et que tu commences à pratiquer le violon, pour le plus grand plaisir d’Anubis qui aime à ronronner sur les genoux lorsque tu joues tranquillement installée sur ton lit. De ce fait, tu intègres la Chorale d’Hungcalf en tant que violoncelliste pour agrémenter un peu ta vie en dehors des cours.
Car on ne peut le nier, tu restes toujours un petit animal solitaire, Marian. En dépit des sourires et de ta bonne humeur pourtant non feinte, il n’y a toujours que très peu de gens qui sont proches de toi. Mais tu t’y fais, tu as ce qu’on pourrait appeler quelques amis, surtout des connaissances et des camarades, futures collègues également. Et cela te suffit, Marian, car il y a ta famille malgré tout, elle a toujours été là pour toi d’une manière ou d’une autre et la réciproque est tout aussi véridique.
Quant à ta voix, tu as désormais toi-même oublié à quoi elle ressemble. De toutes façons, la dernière fois que tu l’as entendue tu avais neuf ans, et les voix d’enfants non rien avoir avec les voix d’adultes. Cela fait dix-sept ans que tu n’as pas prononcé un seul mot, Marian. Dix-sept ans de silence, mais dix-sept ans de sourires. Au final, n’est-ce pas le plus important ? Tu ne te plains de rien, Marian, parce que tu es en vie, que toute ta famille l’est également, et qu’en fin de compte, il n’y a rien de plus beau. Tu n’es pas malheureuse, Marian, et si ta voix décide de rester enfouie au creux de ta mémoire pour toujours, qu’il en soit ainsi. Tu n'es pas malade. La vie est belle, et tu n’as pas besoin de savoir parler pour en savourer chaque instant.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>daisy ridley</b> ━ marian wheeler</bottin>
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 10:43
TROP BELLE QUE TU ES
J'ai hâte de découvrir cette nouvelle madame qui promet d'envoyer du paté
Re-bienvenue à la maison
J'ai hâte de découvrir cette nouvelle madame qui promet d'envoyer du paté
Re-bienvenue à la maison
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 10:44
Merci ma parfaite
J'espère qu'elle te plaira la petite Mari
J'espère qu'elle te plaira la petite Mari
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 13:19
j'ai tellement hâte de voir la totalité de Mari. p'tain
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 15:45
hello la soeurette, t'es déjà pas mal
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 16:02
Rebienvenue avec ta muette Puis Daisy Ridley ptn. Puis une Wheeler. Puis il nous faudra un lien, vu que Prue et elles sont toutes les deux fans de sortilèges informulés -enfin, pour Mari c'est plutôt une obligation, mais bref.
Bon courage pour la fin de ta fiche botey
Bon courage pour la fin de ta fiche botey
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 16:20
Merci sis La suite arrive ce soir
Merci frangin
Awww Prue Grave pour le lien ! Merci beaucoup
Merci frangin
Awww Prue Grave pour le lien ! Merci beaucoup
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 17:49
les wheeler au complet !!!
re-bienvenue parmi nous ♥
et bonne continuation pour ta fiche
re-bienvenue parmi nous ♥
et bonne continuation pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 20:27
WHEELER RULES
Merci beaucoup ma belle Je vais attaquer l'histoire
Merci beaucoup ma belle Je vais attaquer l'histoire
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 20:52
Invasion de Wheeler :tong:
Rebienvenue miss
Rebienvenue miss
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 22:05
Re-bienvenue, par la barbe de Merlin, j'ai un coup de cœur pour ce personnage Il nous faut aussi un lien de malade, d'accord ?
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 22:10
Merci Coco
Iaaaaan T'es adorable Avec grand plaisir chaton
Iaaaaan T'es adorable Avec grand plaisir chaton
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 22:19
Hen cha, t'es belle en Wheeler dis donc ! :tong:
J'ai hâte de voir ce que tu vas nous en faire !
Re-welcome botey
J'ai hâte de voir ce que tu vas nous en faire !
Re-welcome botey
- InvitéInvité
Re: mari ▬ we'll be counting stars
Dim 22 Jan 2017 - 23:32
Validation
welcome to hungcalf !
Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
Have fun !
PS: t'es parfaite. jotem.
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