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Beauty hits hard - ft Nyx Lawrence
Lun 6 Mar 2017 - 18:30
Alerte générale ! Heure du réveil passé de plus de 10 minutes ! Branle-bas le combat ! Tout le monde hors de son lit ! Partie du cerveau gauche : il nous faut une route rapide pour le deuxième étage ! Partie droite : brosse à dents et solution de brossage rapide ! Enfilez pantalon et chemise, machine avant toute !
Alors que je cours comme une dératée dans les couloirs je m’emploie à appliquer à ma personne moult malédictions ! Je ne vais pas quand même être en retard à ce premier cours de littérature magique ! A savoir qu’être en retard est quelque chose qui m’insupporte ! En fait, je n’aime pas briser les règles de manière générale car ainsi j’évite de me faire remarquer. Mais bon aujourd’hui la discrétion c’est cuit. Alors je ne traine pas ! On n’oublie pas de reprendre son souffle après les deux étages d’escaliers, voilà. Encore deux couloirs et j’y suis !
Un, deux…
AIE !
Doux jésus j’ai dû heurter un mur c’est pas possible ! J’ai des étoiles devant les yeux ! Bah manquait plus que ça tient. Maintenant j’aurais une belle bosse sur le front ! Une vraie licorne je vous dis ! C’est encore plus efficace que si je portais un panneau qui dirait « moquez-vous tous de moi svp ». Je secoue la tête pour retrouver un semblant de vue. Deux chaussures noires sont juste devant mon nez. Hum. Le mur en question s’avère être une personne qui a pris soin de bien prendre TOUT le couloir en termes de largeur. Oh je sens l’eau bouillir en moi.
Alors que je me relève, naturellement ma voix s’élève et dit :
« Et sinon ça vous arrive de regarder ou vous allez ? Non mais espèce de… de… »
Wow ! Bah pour un mur il est plutôt bien foutu ! Alalalalalalalaalalalalala ! Ce regard ténébreux ! Ces muscles saillants que je peux deviner malgré l’épaisseur de ses vêtements ! Je… je…
GWA ! Il est trop beau ! Si tu ouvres le dictionnaire sur le mot « beauté » y’a sa photo sous la définition ! J’ai l’eau à la bouche rien qu’à le regarder ! Oh que j’aimerais le croquer oui !
Euh bon il s’agirait de revenir à la réalité. J’étais fâché oui… Par ce qu’il était au milieu du chemin… Mais bon dieu quesqu’il est beau…
Alors que je cours comme une dératée dans les couloirs je m’emploie à appliquer à ma personne moult malédictions ! Je ne vais pas quand même être en retard à ce premier cours de littérature magique ! A savoir qu’être en retard est quelque chose qui m’insupporte ! En fait, je n’aime pas briser les règles de manière générale car ainsi j’évite de me faire remarquer. Mais bon aujourd’hui la discrétion c’est cuit. Alors je ne traine pas ! On n’oublie pas de reprendre son souffle après les deux étages d’escaliers, voilà. Encore deux couloirs et j’y suis !
Un, deux…
AIE !
Doux jésus j’ai dû heurter un mur c’est pas possible ! J’ai des étoiles devant les yeux ! Bah manquait plus que ça tient. Maintenant j’aurais une belle bosse sur le front ! Une vraie licorne je vous dis ! C’est encore plus efficace que si je portais un panneau qui dirait « moquez-vous tous de moi svp ». Je secoue la tête pour retrouver un semblant de vue. Deux chaussures noires sont juste devant mon nez. Hum. Le mur en question s’avère être une personne qui a pris soin de bien prendre TOUT le couloir en termes de largeur. Oh je sens l’eau bouillir en moi.
Alors que je me relève, naturellement ma voix s’élève et dit :
« Et sinon ça vous arrive de regarder ou vous allez ? Non mais espèce de… de… »
Wow ! Bah pour un mur il est plutôt bien foutu ! Alalalalalalalaalalalalala ! Ce regard ténébreux ! Ces muscles saillants que je peux deviner malgré l’épaisseur de ses vêtements ! Je… je…
GWA ! Il est trop beau ! Si tu ouvres le dictionnaire sur le mot « beauté » y’a sa photo sous la définition ! J’ai l’eau à la bouche rien qu’à le regarder ! Oh que j’aimerais le croquer oui !
Euh bon il s’agirait de revenir à la réalité. J’étais fâché oui… Par ce qu’il était au milieu du chemin… Mais bon dieu quesqu’il est beau…
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Re: Beauty hits hard - ft Nyx Lawrence
Jeu 9 Mar 2017 - 14:14
Beauty hits hard
EXORDIUM.
Etre convoqué dès le matin pour une réunion n'est pas forcément quelque chose que j'apprécie ... Mais au fond, cela me permet d'apprendre des choses et d'obtenir des informations supplémentaires concernant l'école et son enseignement ce qui m'intéresse plutôt pas mal. Non pas que je suis ou souhaite être enseignant, mais en temps que garde-chasse, je participe quand même à l'entretien de l'école ce qui n'est pas une mince chose à faire. C'est donc pour cela que je me dirige vers l'établissement et y entre à l'intérieur pour traverser le long couloir de pierre. Les mains dans les poches de mon long manteau noir, je marche d'un pas lent et détendu, le regard balayant la zone pour essayer d'y détecter d'éventuels étudiants. En fait, avoir un rendez-vous dès le matin a son avantage en fin de compte ... Pourquoi ? Parce que n'avons pas besoin de nous mêler aux étudiants et éventuellement d'avoir à entendre leur ragots et leur déboires vu que ceux-ci sont encore en train de se roupiller parmi.
Enfin, je ne vais pas non plus les critiquer car avant d'être ce que je suis aujourd'hui, je suis aussi passé par la case étudiant et même si cela n'a pas été forcément une partie de plaisir tous les jours, je dois admettre que cette longue période fût une des plus belles de ma vie. D'ailleurs, me remémorer cette période vient me faire afficher un faible sourire, chose que personne ne peut remarquer puisqu'il n'y a encore et toujours personne dans les parages. Je baisse alors les yeux et croise celui de ma louve qui vient frotter doucement sa tête contre ma jambe pendant notre marche. Je sors alors ma main de ma poche et vient lui caresser la tête doucement et affectueusement. En fait, c'est marrant car depuis que je travaille ici, à Hungcalf, les professeurs et le directeur ont prit pour habitude de nous surnommer les "inséparables". En même temps, il n'ont pas tord car je ne vais désormais plus nulle part sans ma louve. Même si parfois je suis bien obligé de m'en séparer car les lieux m'interdisent sa présence.
Perdu dans mes pensées, je continue ma marche et monte les étages pour finalement arriver au 2ème. Je traverse donc le hall et continue ma "petite visite improvisée" lorsque je viens heurter quelque chose ou plutôt quelqu'un. Je baisse la tête et aperçois une jeune étudiante. Au premier abord, elle a l'air pressée et d'ailleurs, elle ne se gêne pas de me témoigner son mécontentement lorsqu'elle vient à s'éloigner de moi. Sur le moment, je me contente de la fixer avec un certain amusement je ne le cache pas. Croyait-elle m'impressionner ? Elle qui doit mesurer 1m60 à tout casser, je me demande bien qui d'elle ou de moi serait le plus imposant. Certes, elle semble avoir son caractère mais il en faut plus pour m'impressionner. J'écoute ses mots et je prends même la peine de la laisser terminer sa phrase, Ou du moins ce qu'il en reste vu qu'elle ne semble pas décidée à cracher le morceau ...
- De ? Dis-je en insistant du regard. Vous n'êtes pas assez réveillée pour terminer votre phrase ou vous voulez que l'on joue aux devinettes ?
Les bras croisé devant mon torse, j'attend patiemment sa réponse qui semblait ne pas vouloir sortir. Je me laisse donc m'appuyer sur le mur qui se trouve à ma gauche et soupire un instant en souriant du regard tout en jetant un rapide coup d'oeil à ma montre.
- Bon, dans ce cas jouons. Je réfléchis un court instant et reprend. Arrêtez-moi lorsque j'ai le bon mot : Idiot, crétin, abruti, débile, cloche, glandeur, manche, arriéré, connard, avorton ....
Faudra bien qu'à un moment elle me dise stoppe car vu comme c'est partit, je suis bon pour citer toute la liste d'insultes existante dans la langue française.
Enfin, je ne vais pas non plus les critiquer car avant d'être ce que je suis aujourd'hui, je suis aussi passé par la case étudiant et même si cela n'a pas été forcément une partie de plaisir tous les jours, je dois admettre que cette longue période fût une des plus belles de ma vie. D'ailleurs, me remémorer cette période vient me faire afficher un faible sourire, chose que personne ne peut remarquer puisqu'il n'y a encore et toujours personne dans les parages. Je baisse alors les yeux et croise celui de ma louve qui vient frotter doucement sa tête contre ma jambe pendant notre marche. Je sors alors ma main de ma poche et vient lui caresser la tête doucement et affectueusement. En fait, c'est marrant car depuis que je travaille ici, à Hungcalf, les professeurs et le directeur ont prit pour habitude de nous surnommer les "inséparables". En même temps, il n'ont pas tord car je ne vais désormais plus nulle part sans ma louve. Même si parfois je suis bien obligé de m'en séparer car les lieux m'interdisent sa présence.
Perdu dans mes pensées, je continue ma marche et monte les étages pour finalement arriver au 2ème. Je traverse donc le hall et continue ma "petite visite improvisée" lorsque je viens heurter quelque chose ou plutôt quelqu'un. Je baisse la tête et aperçois une jeune étudiante. Au premier abord, elle a l'air pressée et d'ailleurs, elle ne se gêne pas de me témoigner son mécontentement lorsqu'elle vient à s'éloigner de moi. Sur le moment, je me contente de la fixer avec un certain amusement je ne le cache pas. Croyait-elle m'impressionner ? Elle qui doit mesurer 1m60 à tout casser, je me demande bien qui d'elle ou de moi serait le plus imposant. Certes, elle semble avoir son caractère mais il en faut plus pour m'impressionner. J'écoute ses mots et je prends même la peine de la laisser terminer sa phrase, Ou du moins ce qu'il en reste vu qu'elle ne semble pas décidée à cracher le morceau ...
- De ? Dis-je en insistant du regard. Vous n'êtes pas assez réveillée pour terminer votre phrase ou vous voulez que l'on joue aux devinettes ?
Les bras croisé devant mon torse, j'attend patiemment sa réponse qui semblait ne pas vouloir sortir. Je me laisse donc m'appuyer sur le mur qui se trouve à ma gauche et soupire un instant en souriant du regard tout en jetant un rapide coup d'oeil à ma montre.
- Bon, dans ce cas jouons. Je réfléchis un court instant et reprend. Arrêtez-moi lorsque j'ai le bon mot : Idiot, crétin, abruti, débile, cloche, glandeur, manche, arriéré, connard, avorton ....
Faudra bien qu'à un moment elle me dise stoppe car vu comme c'est partit, je suis bon pour citer toute la liste d'insultes existante dans la langue française.
- InvitéInvité
Re: Beauty hits hard - ft Nyx Lawrence
Ven 10 Mar 2017 - 10:39
"Arrêtez-moi lorsque j'ai le bon mot : Idiot, crétin, abruti, débile, cloche, glandeur, manche, arriéré, connard, avorton ..."
- "Immense"? Euh avant de gueuler j'aurais dû vérifier les rapports de forces. Il doit bien faire 40-50 cm de plus que moi! Et ses mains! Ses mains bien musclées dont les veines sont à peine visibles sous cette peau satinée mmmmmmmmm. Euh oui surtout avec de tels appendices il peut aisément me plier en quatre dans sa boîte à déjeuner! J'essaie de réduire l'espace que j'occupe tant sa présente est impressionnante! Je secoue la tête. D'un bête accident je me suis mise dans la merde. Je me sens terriblement conne de m'être énervé pour si peu... Je décide donc de lui répondre avec franchise. De toute façon la colère s'en est déjà allé et je me sens vraiment mal de lui avoir crié dessu. Passant ma main dans mes cheveux pour leur redonner un semblant de forme et surtout pour cacher le tremblement de ces dernières je lui dis:
"Désolé. Je suis terriblement désolé. Vous savez là c'est mon premier cours de littérature magique et je déteste être en retard... De plus, bah les autres ce n'est pas des tendres et si je me ramène là-bas avec une bosse comme celle que j'ai maintenant je vais encore me faire appeler Ash la licorne pour le reste de la semaine... Encore une fois je vous présente mes excuses pour m'être énervé. C'est juste qu'avec le karma que je me trimbale bah y'a marre des fois..."
À la suite de mon discours, je me laisse glisser contre le mur. L'envie d'arriver à l'heure s'en va gentiment au loin. J'espère que l'inconnu aura la bienveillance de me pardonner. Et même s'il ce n'est pas le cas ça me va en fait. C'est moi la fautive dans tout ça. Et si l'envie lui prend de me mettre une droite, je sais que ça me fera du bien. La douleur physique est un exutoire pour mon être, surtout quand je me sens fautive. Incertaine de mon sort, je lève les yeux en sa direction. Mon regard croise le sien. Il a de beaux yeux bleus, profonds comme l'océan. Je peux y lire une certaine mélancolie, comme une triste mélodie que seul lui est à même d'entendre. Le reste de son visage reste impassible. Mais ce regard exprime à lui seul tant d'émotions que je m'y perds...
- "Immense"? Euh avant de gueuler j'aurais dû vérifier les rapports de forces. Il doit bien faire 40-50 cm de plus que moi! Et ses mains! Ses mains bien musclées dont les veines sont à peine visibles sous cette peau satinée mmmmmmmmm. Euh oui surtout avec de tels appendices il peut aisément me plier en quatre dans sa boîte à déjeuner! J'essaie de réduire l'espace que j'occupe tant sa présente est impressionnante! Je secoue la tête. D'un bête accident je me suis mise dans la merde. Je me sens terriblement conne de m'être énervé pour si peu... Je décide donc de lui répondre avec franchise. De toute façon la colère s'en est déjà allé et je me sens vraiment mal de lui avoir crié dessu. Passant ma main dans mes cheveux pour leur redonner un semblant de forme et surtout pour cacher le tremblement de ces dernières je lui dis:
"Désolé. Je suis terriblement désolé. Vous savez là c'est mon premier cours de littérature magique et je déteste être en retard... De plus, bah les autres ce n'est pas des tendres et si je me ramène là-bas avec une bosse comme celle que j'ai maintenant je vais encore me faire appeler Ash la licorne pour le reste de la semaine... Encore une fois je vous présente mes excuses pour m'être énervé. C'est juste qu'avec le karma que je me trimbale bah y'a marre des fois..."
À la suite de mon discours, je me laisse glisser contre le mur. L'envie d'arriver à l'heure s'en va gentiment au loin. J'espère que l'inconnu aura la bienveillance de me pardonner. Et même s'il ce n'est pas le cas ça me va en fait. C'est moi la fautive dans tout ça. Et si l'envie lui prend de me mettre une droite, je sais que ça me fera du bien. La douleur physique est un exutoire pour mon être, surtout quand je me sens fautive. Incertaine de mon sort, je lève les yeux en sa direction. Mon regard croise le sien. Il a de beaux yeux bleus, profonds comme l'océan. Je peux y lire une certaine mélancolie, comme une triste mélodie que seul lui est à même d'entendre. Le reste de son visage reste impassible. Mais ce regard exprime à lui seul tant d'émotions que je m'y perds...
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