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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Mais t’es pas là, mais t’es où ? (Primandre)
Mer 14 Juin 2017 - 15:37
Mais t’es pas là, mais t’es où ?
Primerose & Léandre
Quatorze heures et toujours personne à l’horizon. J’étais pourtant persuadée de lui avoir donné rendez-vous à treize heures trente devant l’entrée. À moins qu’encore une fois, moins esprit fertile m’avait joué des tours ? Agacée, je tripotai ma montre nerveusement tout en jetant des coups d’œil un peu partout autour de moi. Non, il m’avait oublié. Léandre n’était vraiment pas du genre à foutre des lapins. S’il y avait bien un membre du groupe en qui on pouvait avoir confiance niveau ponctualité, c’était bien lui. Quoi que ? « Et merde … » Soufflais-je avant de balancer négligemment mon sac sur mes épaules, direction la salle commune. Moi qui avais espéré passer une bonne après-midi au lac, c’était loupé.
Je traversai le campus en trainant des pieds, le moral dans les chaussettes tandis que je regardai quelques étudiants se prélasser dans l’herbe. Nous étions déjà début juin, le temps s’était réchauffé et tout le monde profitait des quelques rayons du soleil — bien trop rares dans notre région grise et pluvieuse. À quelques mètres de moi, je repérai quelques visages familiers, mais ne m’arrêtai pas autant. Je n’avais aucune envie d’échanger des banalités en arrachant quelques bouts d’herbes. Tout ce que je voulais à présent, c’était retourner dans ma salle commune et me plonger dans un bon bouquin afin d’oublier la merveilleuse après-midi que j’aurais dû passer. Peut-être même que j’irais voir Mina pour qu’elle me lâche un bout de Marie-jeanne. Mouais, le programme n’était pas des plus réjouissant, mais c’était mieux que rien. De toute manière, toutes les licornes étaient parties faire un tour à Inverness. Ce n’était pas comme s'ils m’attendaient…
Je soufflai une énième fois avant d’arriver jusqu’à la maison des pokeby, nichée au premier étage de l’université. Une fois à l’intérieur, je lançai mon sac sur l’un des canapés et fonçai me prendre une limonade dans le petit frigidaire qui était à disposition des étudiants. Une fois la boisson en main, j’attrapai un livre à la reliure fatiguée — qui traînait non loin de la cheminée — et m’affalai de tout mon long sur le canapé recouvert d’un patchwork qui n’était pas là la veille. L’œuvre d’un artiste ? Sans aucun doute, mais je n’y prêtai pas plus d'attention. J’avais déjà plongé le nez dans le bouquin que je tenais entre mes petites mains et lorgnai le titre d’un air distrait : Orgueil & Préjugés. Bon sang, sur quoi j’étais tombée ? Un livre moldu ? Je soulevai un sourcil, intriguée par l’ouvrage. « Bon, pourquoi pas … » Murmurais-je avant de me tourner vers le dortoir des garçons. C’était quoi ça ? Un bruit sourd et quelques piaillements me parvinrent du dortoir. Y avait-il quelqu’un ? Bizarre ...
Je traversai le campus en trainant des pieds, le moral dans les chaussettes tandis que je regardai quelques étudiants se prélasser dans l’herbe. Nous étions déjà début juin, le temps s’était réchauffé et tout le monde profitait des quelques rayons du soleil — bien trop rares dans notre région grise et pluvieuse. À quelques mètres de moi, je repérai quelques visages familiers, mais ne m’arrêtai pas autant. Je n’avais aucune envie d’échanger des banalités en arrachant quelques bouts d’herbes. Tout ce que je voulais à présent, c’était retourner dans ma salle commune et me plonger dans un bon bouquin afin d’oublier la merveilleuse après-midi que j’aurais dû passer. Peut-être même que j’irais voir Mina pour qu’elle me lâche un bout de Marie-jeanne. Mouais, le programme n’était pas des plus réjouissant, mais c’était mieux que rien. De toute manière, toutes les licornes étaient parties faire un tour à Inverness. Ce n’était pas comme s'ils m’attendaient…
Je soufflai une énième fois avant d’arriver jusqu’à la maison des pokeby, nichée au premier étage de l’université. Une fois à l’intérieur, je lançai mon sac sur l’un des canapés et fonçai me prendre une limonade dans le petit frigidaire qui était à disposition des étudiants. Une fois la boisson en main, j’attrapai un livre à la reliure fatiguée — qui traînait non loin de la cheminée — et m’affalai de tout mon long sur le canapé recouvert d’un patchwork qui n’était pas là la veille. L’œuvre d’un artiste ? Sans aucun doute, mais je n’y prêtai pas plus d'attention. J’avais déjà plongé le nez dans le bouquin que je tenais entre mes petites mains et lorgnai le titre d’un air distrait : Orgueil & Préjugés. Bon sang, sur quoi j’étais tombée ? Un livre moldu ? Je soulevai un sourcil, intriguée par l’ouvrage. « Bon, pourquoi pas … » Murmurais-je avant de me tourner vers le dortoir des garçons. C’était quoi ça ? Un bruit sourd et quelques piaillements me parvinrent du dortoir. Y avait-il quelqu’un ? Bizarre ...
electric bird.
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Re: Mais t’es pas là, mais t’es où ? (Primandre)
Lun 19 Juin 2017 - 16:24
❝ Mais t'es pas là, mais t'es où ? ❞ - Primerose & Leandre- C’est ça l’amitié. Être là pour les grands moments de la vie, dans les tournants, dans les choix difficiles et les épreuves. Mais c’est aussi partager tous ces petits moments, ceux qui mettent du piment dans une vie, les souvenirs, les anecdotes. Et puis, c’est surtout être là, n’importe quand, pour résoudre n’importe quelle situation … même la plus improbable, et se soutenir, sans faille, sans faute, sans jamais tourner les talons. |
« Rends-moi ça, espèce de saloperie. » Un jet de lumière parcouru la pièce. Leandre se baissa, évitant de justesse le sortilège qui alla s’écraser contre le mur opposé, faisant exploser le cadre qui y était accroché. Leonard, le boursouf rose, se laissa glisser le long de son bras pour venir s’abriter sous son t-shirt, terrorisé par l’agitation soudaine. Leandre se redressa d’un bond, son regard parcourant la pièce. Si le dortoir n’avait jamais été un exemple d’ordre, il y régnait désormais un immense chaos. L’un des lits semblait avoir été écrasé par un troll, les plumes des oreillers tapissaient le sol, les cadres étaient presque tous à terre et le contenu des différentes armoires avaient été projeté au sol. Et, partout où se posait le regard, des petites créatures d’un bleues électriques virevoltaient, semant une pagaille qui semblait si disproportionnelle à leur taille minuscule. Leandre avait pourtant toujours fait très attention à ne pas laisser une occasion aux lutins de Cornouailles de s’échapper de leur cage. Seulement, sans qu’il ne sache ni comment, ni pourquoi, il avait retrouvé la cage ouverte en remontant après le déjeuner pour les nourrir. Ouverte et vide. Sans qu’il n’ait eu le temps de réagir, l’un des lutins lui avait sauté dessus, arrachant la baguette qu’il venait de sortir. Et, depuis une demi-heure, Leandre s’acharnait à tenter de remettre en cage ces diablotins bien trop ravis de leur soudaine liberté. Alors qu’il fixait toujours le lutin qui tenait sa baguette magique, tentant de mettre de l’ordre dans ses idées et de trouver un moyen de récupérer son arme, il ne fit pas attention celui qui se pendit négligemment à la poignée de la porte du dortoir. Ni à ses camarades qui vinrent à sa rescousse. Il eut tout juste le temps de se retourner pour les voir se presser hors de la pièce, en direction de la salle commune … Par Merlin. Si un professeur se rendait compte du bazar que ses créatures avaient provoqué, il risquait de ne pas vraiment apprécier la situation. « Nom d’une couille de troll, revenez par-là bande de veracrasses » jura-t-il alors qu’un nouveau sortilège le manquait de peu, faisant bruler quelques-uns de ses cheveux au passage. Le lutin voleur de baguette suivi ses congénères hors du dortoir et Leandre se lança à leur suite. Ils déboulèrent ainsi, une dizaine de lutins de cornouailles, piaffant et gloussant, se précipitant vers le moindre objet de la salle commune, bien décidé à tout réduire à néant, et lui, poursuivant les créatures, le visage rouge et les cheveux ayant une odeur de brûlé. Son regard tomba sur Primerose, plantée au milieu de la salle commune, un livre à la main et l’air totalement ahuri. « Prim … Oh Merlin, quelle heure est-il ? Je suppose que je suis extrêmement en retard. Je suis sincèrement désolé mais tu vois … » Il fut interrompu par un lutin qui sauta sur sa tête, lui agrippant fermement les cheveux alors qu’un autre s’était rué sur Primerose pour se saisir de son livre. Leandre se débarrassa tant bien que mal de la créature, s’arrachant quelques cheveux au passage. D’un geste sec, il l’envoya valser à l’autre bout de la pièce, espérant que le choc l’assomme suffisamment longtemps. Mais, en quelques secondes, le lutin secoua sa frimousse diabolique et repris son vol, plus énervé que jamais. « J’ai eu quelques soucis … » acheva t-il dans un souffle. |
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Mais t’es pas là, mais t’es où ? (Primandre)
Mer 21 Juin 2017 - 18:25
Mais t’es pas là, mais t’es où ?
Primerose & Léandre
Persuadé d'avoir rêvé, je me replongeais dans mon bouquin et commençai à lire quelques lignes lorsque j'entendis une myriade de rires diaboliques. Merde, c'était quoi ça ? Je relevai à nouveau la tête et jetai un œil derrière moi lorsqu'une ribambelle de lutins ailés déboula dans la pièce, Léandre les suivant de peu. « Bon sang de bois ! » M'exclamais-je en bondissant aussitôt du canapé. « Léandre ?! » Mais que faisait-il ici ? Et pourquoi ces lutins de cornouailles étaient en liberté ? Oh non, pensais-je, avant de comprendre que c'était sans doute les siens. À tous les coups, ils avaient dû s'échapper de sa chambre ! Merlin, combien de fois lui avais-je dit que ces saletés n'avaient rien à faire ici ?
« Prim … Oh Merlin, quelle heure est-il ? Je suppose que je suis extrêmement en retard. Je suis sincèrement désolé, mais tu vois … » S'excusa-t-il, l'air aussi défait que paniqué. En retard ? C'était peu dire ! Mais comment pouvais-je lui en tenir rigueur ? Visiblement, le pauvre garçon s'était mis dans de beaux draps. « Ce n’est pas grave » le rassurais-je, « mais peux-tu ... Ah ! » Ma question restait en suspend alors qu’un lutin enragé fonçait droit sur moi, l'air menaçant. Nom d'un troll ! Mais comment de si petites créatures pouvaient-elles être si diaboliques ? J'attrapai précipitamment le livre que j'avais balancé quelques secondes plus tôt et lui assénai un grand coup dans les ailes, l'envoyant valser quelques mètres plus loin. Merlin, comment comptait-il en arriver à bout ? Mes lèvres se tordaient en unevilaine grimace alors que je reportai à nouveau mon attention sur Léandre. Le malheureux Pokeby se débattait vigoureusement avec l'un des petits monstres qui s'était – je ne sais comment – agrippé à sa tignasse brune, lui arrachant au passage quelques touffes de cheveux. Aussi, il finit par s’en débarrasser en lui assénant une bonne claque.
« J’ai eu quelques soucis … » Finit-il par avouer, le souffle court et l'air désemparé. Quelques soucis, vraiment ? Je haussai les sourcils et me fendais d'une moue boudeuse avant de poser – un peu trop – rudement mes mains sur mes hanches. « Je vois ça » Répliquais-je avant de le rejoindre derechef. « Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait, bougre d'âne ? ». Je dégainai précipitamment ma baguette – soigneusement coincée dans la ceinture de mon pantalon – avant de le gratifier d'un petit clin d’œil. Impossible de s'emporter plus de quelques secondes avec Léandre ... Il était bien trop mignon pour ça. « J'espère que tu as un plan pour en venir à bout, car à mon avis, ça ne va pas être de la tarte ... » Soufflais-je, prête à en découdre.
« Prim … Oh Merlin, quelle heure est-il ? Je suppose que je suis extrêmement en retard. Je suis sincèrement désolé, mais tu vois … » S'excusa-t-il, l'air aussi défait que paniqué. En retard ? C'était peu dire ! Mais comment pouvais-je lui en tenir rigueur ? Visiblement, le pauvre garçon s'était mis dans de beaux draps. « Ce n’est pas grave » le rassurais-je, « mais peux-tu ... Ah ! » Ma question restait en suspend alors qu’un lutin enragé fonçait droit sur moi, l'air menaçant. Nom d'un troll ! Mais comment de si petites créatures pouvaient-elles être si diaboliques ? J'attrapai précipitamment le livre que j'avais balancé quelques secondes plus tôt et lui assénai un grand coup dans les ailes, l'envoyant valser quelques mètres plus loin. Merlin, comment comptait-il en arriver à bout ? Mes lèvres se tordaient en une
« J’ai eu quelques soucis … » Finit-il par avouer, le souffle court et l'air désemparé. Quelques soucis, vraiment ? Je haussai les sourcils et me fendais d'une moue boudeuse avant de poser – un peu trop – rudement mes mains sur mes hanches. « Je vois ça » Répliquais-je avant de le rejoindre derechef. « Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait, bougre d'âne ? ». Je dégainai précipitamment ma baguette – soigneusement coincée dans la ceinture de mon pantalon – avant de le gratifier d'un petit clin d’œil. Impossible de s'emporter plus de quelques secondes avec Léandre ... Il était bien trop mignon pour ça. « J'espère que tu as un plan pour en venir à bout, car à mon avis, ça ne va pas être de la tarte ... » Soufflais-je, prête à en découdre.
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Re: Mais t’es pas là, mais t’es où ? (Primandre)
Dim 25 Juin 2017 - 15:04
❝ Mais t'es pas là, mais t'es où ? ❞ - Primerose & Leandre- C’est ça l’amitié. Être là pour les grands moments de la vie, dans les tournants, dans les choix difficiles et les épreuves. Mais c’est aussi partager tous ces petits moments, ceux qui mettent du piment dans une vie, les souvenirs, les anecdotes. Et puis, c’est surtout être là, n’importe quand, pour résoudre n’importe quelle situation … même la plus improbable, et se soutenir, sans faille, sans faute, sans jamais tourner les talons. |
Leandre devait bien avouer que Primerose l’avait prévenu. Elle le lui avait dit si souvent, que ces créatures n’avaient pas leur place dans un dortoir. Mais Leandre n’avait pas pu se résoudre à s’en séparer. Lorsqu’il avait dû quitter son appartement sur le chemin de traverse, mis à la porte par un propriétaire fatigué de ses retards de paiements, il avait dû ramener un certain nombre de ses créatures à l’animalerie. Il faut dire que, en à peine un an, le jeune homme avait réussi à regrouper une véritable ménagerie dans son petit appartement. Deux accromentules naines, trois boursoufs, deux hiboux, une nuée de lutins de cornouailles, deux rats dont les poils changeaient de couleur selon la météo et un strangulot. Il n’avait emmené à Hungcalf qu’une accromentule naine qui, fort heureusement, ne s’était jamais échappée de sa cage, ainsi que les lutins qui s’amusaient à présent à détruire les lieux ainsi qu’un unique boursouf qui avait réussi à se frayer un chemin et à s’insérer, non sans difficulté, dans la poche du jogging du garçon. Il était hors de question qu’il sacrifie encore une seule de ces créatures. Enfin, c’est ce qu’il aurait dit encore le matin même mais, si quelqu’un lui avait posé la question à cet instant précis, il aurait juré ne rêver que de se débarrasser des diablotins qui voltigeaient dans la pièce. Primerose semblait se demander si ce qu’elle voyait était une hallucination ou un rêve, mais le lutin qui l’attaqua était bien réel et, c’est d’un réel coup de bouquin qu’elle l’envoya s’écraser un peu loin. « Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait, bougre d'âne ? » l’interrogea-t-elle avec un regard accusateur qui arracha une grimace à Leandre. Lorsque tout serait terminé, il devrait trouver un moyen de se faire pardonner pour l’avoir entraîner là-dedans … et il jurerait que ce ne serait pas simple. Mais pour l’heure, il devait réfléchi r à un moyen de calmer les lutins avant qu’ils ne détruisent l’université entière. Primerose semblait prête à l’aider dans sa galère puisqu’elle dégaina sa baguette magique. Leandre fut soulagé de voir le clin d’œil de son ami et supposa que, dans quelques heures, ils riraient de la situation. « J'espère que tu as un plan pour en venir à bout, car à mon avis, ça ne va pas être de la tarte ... » lança-t-elle. A vrai dire, Leandre n’avait pas de plan. Il n’avait, jusque-là, rien fait d’autre que de tenter de récupérer sa baguette magique. Mais, fort heureusement pour eux, Primerose avait la sienne. Encore fallait-il qu’elle la garde suffisamment longtemps en main pour avoir le temps de jeter un sortilège, ce qui n’était pas une mince affaire. « Un simple sortilège de blocage serait le plus simple mais fais attention, ils adorent ... » Leandre dû s’interrompre, se baissant pour éviter un livre que l’un des lutins avait jeté à travers la pièce. Du coin de l’œil, il surveillait celui qui tenait toujours sa baguette magique, provoquant des éclairs qui s’écrasaient à droite et à gauche. Son regard fut alors attiré par un point bleu qui se ruait vers Primerose pour aller s’agripper à sa baguette magique. « … voler les baguettes ! » termina-t-il enfin. Il se précipita vers son amie qui luttait pour récupérer son arme et voulu se saisir du livre pour assommer le voleur. Seulement, il ne vit pas le fil tendu au sol par deux diablotins et se prit les pieds dedans. Leandre s’étala de tout son long sur le sol de la salle commune, poussant un grognement furieux … Ces saloperies allaient finir par les blesser. |
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