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Dur comme de la pierre [Ft Mi-Cha Kydd]
Ven 18 Aoû 2017 - 4:59
La première chose à laquelle Liam pensa c’est que son lit était encore tout innocent. La seconde se concentrait d’avantage sur la magie. Ça faisait 2 mois et demi qu’il n’avait pas touché à sa baguettes. Depuis son retour il s’était d’avantage appliqué dans le vol et la théorie mais la pratique était tout autant essentiel. Il se dit alors qu’après le petit déjeuner il irait s’entraîner au sort de durcissement. Il le maîtrisait, il n’y avait aucuns problèmes là-dessus mais il n’était pas à Poudlard où il s’agissait du minimum. Non là il se devait être meilleur que d’autre. Il était hors de question qu’il ne soit pas parmi les meilleurs. Il était alors prêt à y passer du temps pour maîtriser chaque sorts à la perfection en omettant bien entendu les sortilèges impardonnables. Voyant l’absence de nuages dans le ciel bleu, il avala rapidement son petit-déjeuner dans la Grande Salle avant de remonter jusqu’à sa chambre où il prépara son sac de pratique et prit sa baguette qu’il fourra dans la poche arrière de son pantalon. Une fois sorti, il se rendit vers le parc qui était un lieu assez vaste et tranquille de l’Université pour s’y plaire.
Comme il s’y attendait, il vit plusieurs groupes d’élèves de tout les âges et de toutes les maisons. Tout était fait pour que le parc soit un coin de paradis pour tout le monde. Un véritable jardin digne des châteaux de contes de fées. Trouvant un coin assez espacé et loin d’autres élèves afin d’en blesser aucun, il posa son sac au sol et l’ouvrit. Il en sortit un réveil qu’il posa par terre et devant lequel il se positionna. Sortant sa baguette de sa poche arrière, il la pointa sur l’objet. Délicatement et lentement, il commença à entamer le mouvement durant plusieurs minutes sans dire la moindre formule. Subitement accélérant le mouvement il prononça dans un murmure articulé.
Duro !
Le réveil se transforma aussitôt en pierre. Pendant plusieurs secondes, il resta immobile observant le réveil qui finit par redevenir comme avant. En prime, il se mit soudainement à sonner… Paniqué par le son assourdissant qui lui tapait les tympans, le Lufkin fit plusieurs fois le signe incomplet en criant la formule. Agacé, il donna un violent coût au réveil qui alla se fracasser quelques mètres plus loin ce que Liam ne remarqua pas vu qu’il était occupé à grimacer en se tenant sur une jambe.
Comme il s’y attendait, il vit plusieurs groupes d’élèves de tout les âges et de toutes les maisons. Tout était fait pour que le parc soit un coin de paradis pour tout le monde. Un véritable jardin digne des châteaux de contes de fées. Trouvant un coin assez espacé et loin d’autres élèves afin d’en blesser aucun, il posa son sac au sol et l’ouvrit. Il en sortit un réveil qu’il posa par terre et devant lequel il se positionna. Sortant sa baguette de sa poche arrière, il la pointa sur l’objet. Délicatement et lentement, il commença à entamer le mouvement durant plusieurs minutes sans dire la moindre formule. Subitement accélérant le mouvement il prononça dans un murmure articulé.
Duro !
Le réveil se transforma aussitôt en pierre. Pendant plusieurs secondes, il resta immobile observant le réveil qui finit par redevenir comme avant. En prime, il se mit soudainement à sonner… Paniqué par le son assourdissant qui lui tapait les tympans, le Lufkin fit plusieurs fois le signe incomplet en criant la formule. Agacé, il donna un violent coût au réveil qui alla se fracasser quelques mètres plus loin ce que Liam ne remarqua pas vu qu’il était occupé à grimacer en se tenant sur une jambe.
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Re: Dur comme de la pierre [Ft Mi-Cha Kydd]
Mar 22 Aoû 2017 - 23:59
C'était un réveil doux ce matin-là.
Le soleil vint me chatouiller le bout du nez pour me signifier le début de cette journée.
Mais mon lit c'était comme de la barbapapa, moelleux & doux, quelle délicieuse sensation! Je n'avais vraiment pas envie de le quitter mais je devais faire face à la terrible réalité, je ne pouvais pas rester ici éternellement, j'avais pas mal de choses à faire et maintenant que le soleil avait fait des siennes j'étais complètement incapable de me rendormir.
Je me plongeais violemment dans ma couette en boudant pour signifier au monde mon désespoir. Je finis quand même par me lever bien qu'assez lentement avec ma mine de bébé boudeur, je me frottais longuement les yeux mais malgré cela, je voyais encore flou.
Je m'habillais et me passais un peu d'eau froide sur le visage histoire d'aider mon corps et mon esprit à émerger de la nuit dernière.
Je quittais ma chambre un peu nonchalante et me dirigeais vers la Grande Salle pour prendre mon petit-déjeuner. Arrivée là-bas, il y avait foule dans chaque coin de l'immense salle. C'était assez intimidant, mon esprit s'étant alarmé, avait enfin laissé la nuit derrière lui. Je trouvais finalement une place et je mangeais mon petit-déjeuner en silence au dépit du brouhaha qui grouillait.
Toute cette activité me fit soudainement réaliser que plus de deux mois étaient passés, cela voulait dire que la rentrée s'approchait petit à petit et je n'avais pas assez bossé ma musique. Piquée d'un stress énorme, je remontais à toute vitesse dans ma chambre pour attraper mon cahier de musique, mes partitions et mon métronome. Il fallait à tout prix que je perfectionne ma musique. Je redescendis dans le Hall. Maintenant il fallait trouver un endroit pour s'exercer.
Je n'aimais pas trop travailler sous les yeux de tout le monde surtout pour ce qui était de la musique parce que généralement j'entraînais ma voix mais pas cette fois, en plus ce beau temps détruisait tout désir à me mettre au travail du coup je n'avais vraiment pas envie de m'enfermer dans une salle. Pour couper la poire en deux, j'optais pour le parc, j'allais bien trouver un coin tranquille.
Arrivée sur le lieu désiré, il y avait beaucoup de monde, ça aurait été complètement insouciant de penser le contraire. Parmi les différents groupes d'élèves qui occupaient cette belle herbe verte, je finis par trouver le coin un peu écarté qu'il me fallait. Je m'installais confortablement, j'ouvris mon cahier et pris une des partitions tout en soupirant.
"Allez, c'est pas le moment de flancher."
Je pris mes deux mains en gonflant les joues et je vins me tapoter deux fois de suite mon visage pour faire partir toute rêverie. Je sortis ensuite mon métronome et le mis en route, il fallait que je sache où poser ma voix sur la partition pour que ma voix soit en harmonie avec le piano. La mesure du temps était donc cruciale.
Mais à peine eus-je le temps de poser mon regard sur les notes que j'avais pris, je ne pu m'empêcher de relever la tête en direction de ces élèves qui s'amusaient à n'en plus pouvoir ainsi la rêverie menée par l'envie me gagna. Mais je revins vite à la dure réalité, c'était bien pour mon année scolaire qui arrivait à grand pas mais je ne m'attendais pas à toute cette brutalité soudaine. Un OVNI venait de tomber du ciel et avait ricoché sur ma tête. Je pris ma tête dans mes mains, les larmes aux yeux, face à cette douleur et toute cette incompréhension, je ne pus formuler qu'un "aïeuuh. T-T"
Et même après tout cela, ma tranquilité n'était toujours pas au rendez-vous, avant même que je puisse comprendre ce que tout cela signifiait, une alarme stridante se fit entendre.
Je fis un bond en lançant un cris, j'étais complètement dépassée et un peu sonnée. Je ne savais pas quoi faire et complètement paniquée, tout ce que je réussis à faire c'était gesticuler bêtement devant le réveil, en sanglotant et en répétant en boucle la même syllabe "euh". Je n'étais vraiment pas bien, tout ce boucan et moi gesticulant comme un poulpe, j'attirais toute l'attention sur moi et j'étais complètement ridicule mais je me sentais impuissante.
Comment cette journée si apaisante s'était transformée en un vrai cauchemar ?
"S'il vous plaît, aidez-moi...", étaient les seules paroles que je pouvais faire résonner.
Le soleil vint me chatouiller le bout du nez pour me signifier le début de cette journée.
Mais mon lit c'était comme de la barbapapa, moelleux & doux, quelle délicieuse sensation! Je n'avais vraiment pas envie de le quitter mais je devais faire face à la terrible réalité, je ne pouvais pas rester ici éternellement, j'avais pas mal de choses à faire et maintenant que le soleil avait fait des siennes j'étais complètement incapable de me rendormir.
Je me plongeais violemment dans ma couette en boudant pour signifier au monde mon désespoir. Je finis quand même par me lever bien qu'assez lentement avec ma mine de bébé boudeur, je me frottais longuement les yeux mais malgré cela, je voyais encore flou.
Je m'habillais et me passais un peu d'eau froide sur le visage histoire d'aider mon corps et mon esprit à émerger de la nuit dernière.
Je quittais ma chambre un peu nonchalante et me dirigeais vers la Grande Salle pour prendre mon petit-déjeuner. Arrivée là-bas, il y avait foule dans chaque coin de l'immense salle. C'était assez intimidant, mon esprit s'étant alarmé, avait enfin laissé la nuit derrière lui. Je trouvais finalement une place et je mangeais mon petit-déjeuner en silence au dépit du brouhaha qui grouillait.
Toute cette activité me fit soudainement réaliser que plus de deux mois étaient passés, cela voulait dire que la rentrée s'approchait petit à petit et je n'avais pas assez bossé ma musique. Piquée d'un stress énorme, je remontais à toute vitesse dans ma chambre pour attraper mon cahier de musique, mes partitions et mon métronome. Il fallait à tout prix que je perfectionne ma musique. Je redescendis dans le Hall. Maintenant il fallait trouver un endroit pour s'exercer.
Je n'aimais pas trop travailler sous les yeux de tout le monde surtout pour ce qui était de la musique parce que généralement j'entraînais ma voix mais pas cette fois, en plus ce beau temps détruisait tout désir à me mettre au travail du coup je n'avais vraiment pas envie de m'enfermer dans une salle. Pour couper la poire en deux, j'optais pour le parc, j'allais bien trouver un coin tranquille.
Arrivée sur le lieu désiré, il y avait beaucoup de monde, ça aurait été complètement insouciant de penser le contraire. Parmi les différents groupes d'élèves qui occupaient cette belle herbe verte, je finis par trouver le coin un peu écarté qu'il me fallait. Je m'installais confortablement, j'ouvris mon cahier et pris une des partitions tout en soupirant.
"Allez, c'est pas le moment de flancher."
Je pris mes deux mains en gonflant les joues et je vins me tapoter deux fois de suite mon visage pour faire partir toute rêverie. Je sortis ensuite mon métronome et le mis en route, il fallait que je sache où poser ma voix sur la partition pour que ma voix soit en harmonie avec le piano. La mesure du temps était donc cruciale.
Mais à peine eus-je le temps de poser mon regard sur les notes que j'avais pris, je ne pu m'empêcher de relever la tête en direction de ces élèves qui s'amusaient à n'en plus pouvoir ainsi la rêverie menée par l'envie me gagna. Mais je revins vite à la dure réalité, c'était bien pour mon année scolaire qui arrivait à grand pas mais je ne m'attendais pas à toute cette brutalité soudaine. Un OVNI venait de tomber du ciel et avait ricoché sur ma tête. Je pris ma tête dans mes mains, les larmes aux yeux, face à cette douleur et toute cette incompréhension, je ne pus formuler qu'un "aïeuuh. T-T"
Et même après tout cela, ma tranquilité n'était toujours pas au rendez-vous, avant même que je puisse comprendre ce que tout cela signifiait, une alarme stridante se fit entendre.
Je fis un bond en lançant un cris, j'étais complètement dépassée et un peu sonnée. Je ne savais pas quoi faire et complètement paniquée, tout ce que je réussis à faire c'était gesticuler bêtement devant le réveil, en sanglotant et en répétant en boucle la même syllabe "euh". Je n'étais vraiment pas bien, tout ce boucan et moi gesticulant comme un poulpe, j'attirais toute l'attention sur moi et j'étais complètement ridicule mais je me sentais impuissante.
Comment cette journée si apaisante s'était transformée en un vrai cauchemar ?
"S'il vous plaît, aidez-moi...", étaient les seules paroles que je pouvais faire résonner.
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Re: Dur comme de la pierre [Ft Mi-Cha Kydd]
Dim 1 Oct 2017 - 20:31
rp archivé car l'un des participants est supprimé.
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