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La Pensine d'Hermès
Dim 22 Oct 2017 - 22:03
Hermès Delacroix
DISPONIBLE - INDISPONIBLE
RPs en cours
○ De Beauxbâtons à Hungcalf, il n'y a qu'un pas - feat. Adoración Castilla
○ You may say I'm a dreamer, but I'm not the only one - feat. Cormac Fitzalan-Howard
○ You may say I'm a dreamer, but I'm not the only one - feat. Cormac Fitzalan-Howard
RPs terminés
○ On The Diagon Alley - feat. Sapphire McBee
○ Do my eyes speak as loud as my heart ? - feat. Sapphire McBee
○ Correspondance - feat. Sapphire McBee
○ LIEN - feat. Pseudo
○ LIEN - feat. Pseudo
○ LIEN - feat. Pseudo
○ Do my eyes speak as loud as my heart ? - feat. Sapphire McBee
○ Correspondance - feat. Sapphire McBee
○ LIEN - feat. Pseudo
○ LIEN - feat. Pseudo
○ LIEN - feat. Pseudo
RPs prévus
○ pseudo
○ pseudo
○ pseudo
code (c) black pumpkin
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Re: La Pensine d'Hermès
Mar 23 Jan 2018 - 19:01
La chronologie
Sometimes we lost mister time.
27 mars 1991 Hermès naît dans la Hague. Second et dernier enfant, il est le fruit de l'union entre Salomon Delacroix et Astrid Rousseau. | 1er septembre 2002 Hermès entre en première année à Beauxbâtons. Il intègre la maison de l'air, et plus particulièrement les Pégases. |
2005-2009 Hermès rejoint l'équipe de sa maison en 2005 sous l'impulsion de madame Castilla qui le menace de retenues. Il devient capitaine en 2007 et remporte la Coupe en 2009. | Juin 2009 Hermès signe un contrat professionnel avec les Frelons de Wimbourne. Quelques mois plus tard, en septembre, il rentre en première année à Hungcalf. |
Août 2017 Hermès rencontre Sapphire McBee, une étudiante à qui il pense sans cesse depuis ce jour là. | Date & Année Ecrire ici. |
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Re: La Pensine d'Hermès
Ven 30 Mar 2018 - 22:03
Delacroix : « Je suis dans un club familial. »Le 16 octobre 2009 - Arrivé il y a quelques mois chez les Frelons de Wimbourne, le jeune prodige français de dix-huit ans se livre sans concession et répond aux questions des fans. Entretien exclusif avec la dernière recrue du club.
Ernie Charlton : Pourquoi as-tu choisi l’équipe des Frelons de Wimbourne au moment de signer ton premier contrat professionnel ? Hermès Delacroix : Le club faisait partie des équipes qui se sont manifestées à la fin de mes études pour m’engager. Wimbourne est l’une des meilleures équipes du championnat, et elle est très performante dans la formation des jeunes joueurs. Et puis le public me faisait vibrer lorsque j’étais jeune. Jouer ici est donc une grande satisfaction. E.C. : Comment s’est passée ton arrivée dans le club ? H.D. : Elle s’est bien passée. Les dirigeants voulaient absolument me recruter, comme l’entraîneur, et je l’ai immédiatement senti en arrivant ici. C’est important pour un joueur d’avoir la confiance de son entraîneur et de ses dirigeants. J’ai été un peu chambré par mes nouveaux coéquipiers, mais ils sont géniaux. Lorsqu’on voit tous ces joueurs, on a envie de se donner à 200 % sur le terrain et à l’entraînement ! Je suis arrivé dans un club familial et ça me plaît beaucoup. E.C. : Quelles sont tes ambitions ? H.D. : Je vais commencer par gagner ma place dans l’équipe. Ce ne sera pas facile, parce qu’il y a beaucoup de grands joueurs ici, mais je vais travailler dur à l’entraînement chaque jour. Je suis venu ici pour me confronter à ces joueurs et pour progresser. J’aimerais bien devenir un joueur important du club et être à la hauteur des attentes placées en moi, aussi bien pour les dirigeants et le coach que pour les supporter. E.C. : Quel est ton style de jeu ? H.D. : Je suis un joueur plutôt offensif qui aime le jeu direct, même si je suis également capable de garder le Souafle pour faire tourner et contrôler la possession de balle. J’aime marquer, comme n’importe quel Poursuiveur, mais j’adore aussi faire marquer mes coéquipiers. A mes yeux, une passe décisive a autant de valeur qu’un but, et si mon équipe gagne à la fin, je suis heureux. E.C. : Quelle est ton impression sur le championnat britannique ? H.D. : C’est un championnat avec beaucoup d’intensité, où il n’y a pas de temps morts, ni de grosses ou de petites équipes. Les moyens ne sont pas les mêmes dans tous les clubs, bien sûr, mais ici, chaque équipe se bat sur le terrain. Une équipe de bas de tableau peut faire chuter une équipe du Top Quatre, et ça c’est magique. Vu de l’étranger, le championnat britannique fait rêver n’importe quel amateur de Quidditch, et ce n’est certainement pas un hasard ! E.C. : As-tu des frères et sœurs ? Si oui, quelle est ta relation avec eux ? H.D. : J’ai une grande sœur avec laquelle je me suis toujours très bien entendu. Aujourd’hui encore, Harmonie est importante pour moi et elle sait qu’elle peut aussi compter sur moi en cas de besoin. Nous sommes comme les doigts d’une main, en fin de compte. La vie nous a menés sur des chemins différents, mais nous demeurons inséparables. | Hermès Delacroix, dix-huit ans, veut devenir un joueur majeur chez les Frelons ! E.C. : Quelle profession exercerais-tu si tu n’étais pas joueur de Quidditch professionnel ? H.D. : Mes parents auraient aimés que je travaille avec eux dans leur librairie afin de pouvoir la reprendre plus tard lorsqu’ils partiront en retraite, et ça ne m’aurait pas du tout déplu parce que j’ai passé une grosse partie de mon enfance là-bas et j’adore les livres ! Mais je sais aussi qu’ils souhaitaient me voir réussir, faire autre chose, comme n’importe quels parents, et dans ce cas, je pense que j’aurais poursuivi mes études en Forces Publiques afin de devenir Auror ou Brigadier dans la police magique. E.C. : Quels sont tes passes-temps favoris lorsque tu n’es pas sur un terrain de Quidditch ? H.D. : Je passe du temps auprès de ma famille et de mes amis. J’adore me balader à la campagne ou en bord de mer, sur mes terres, que je sois seul ou accompagné de ma sœur, voire plus rarement de mes parents. Je lis aussi énormément. Cela me permet de m’instruire ou de me détendre, en fonction du livre qui est sur ma table de chevet. E.C. : Si tu pouvais rencontrer une personnalité, ce serait… H.D. : J’aimerais beaucoup rencontrer Ulrike Dickenmann en-dehors des terrains de Quidditch, dans un restaurant ou dans un café, afin d’échanger avec elle pendant une heure ou deux sur le sport que nous pratiquons, nos différentes cultures… J’ai entendu beaucoup de choses positives à son sujet, que ce soit par la bouche d’autres joueurs ou par la bouche de ses supporter, et je ne pense pas me tromper en disant que Dickenmann est une grande femme en plus d’être une grande joueuse. Ce n’est pas pour rien si elle est mon idole ! (Rires) E.C. : Peux-tu nous conseiller un plat typiquement français ? H.D. : Personnellement, j’aime manger un bon petit poulet rôti accompagné de pommes de terre sautées le dimanche midi, en famille. J’adore la paëlla aussi, même si c’est espagnol. Par contre, je trie un peu, parce qu’il y a du poisson et des crevettes dedans, et je déteste les fruits de mer – à l’exception des moules et du homard s’ils sont bien cuisinés, ce que ma mère fait très bien. ■ |
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