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Malaïka - Ton combat (terminée)
Dim 29 Oct 2017 - 14:56
Malaïka Yeleen Kwanboka
Je suis un Wright | perso inventé
« Quand le bonheur s'efface quand l'amour se casse quand la vie ne te souris plus. Plus rien ne compense ton éternel absence quand tu ne vois plus le futur » Arcadian - Ton combat
WIZARD CARD INFORMATIONS Son Epouvantard … Elle en frissonne à chaque fois qu’elle y pense … C’est le corps de son grand-frère déposer dans un cercueil. Ce dernier commence à saigner et il attrape sa main et bouge ses lèvres et elle lit sur ces dernières : « pourquoi tu ne m’aides pas ? ». | kozmic blues ◈ Amandla Stenberg |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
La naissance est souvent un moment de bonheur pour une famille mais un moment douloureux pour la femme qui donne la vie. Un moment violent pour l’enfant que l’on arrache à la chaleur, à la sécurité et au confort du ventre de sa mère. Un nouveau-né qui pleure et qui donne de la voix fait sourire alors que lui, il ne veut qu’une chose, retourné dans le cocon du ventre de sa mère. Enfin, chaque enfant est différent et le bébé qui nous intéresse est pressé de naître. En effet, le bébé qui se révélera être une fille est née trois semaines en avance arrachant des cris de douleur à sa mère et une belle inquiétude pour toute la famille. Heureusement, le bébé semble être parfaitement en forme et sans problème de santé apparent. « Malaïka Yeleen Kwanboka sera son nom. » dit la mère en posant ses lèvres sur le front de l’enfant avec que cette dernière ne soit emmenée sous couveuse pour terminer son développement. Les parents vont voir l’enfant avec l’aîné, un petit garçon souriant qui pose ses mains sur la couveuse. Malala, elle est trop belle. Quand c’est qu’on peut l’emmener à la maison ? » Il n’a que quatre ans le petit mais il est bavard et sait ce qu’il veut. Les parents sourient et le père dit : « Malaïka doit rester encore un petit bout de temps là parce qu’elle est née avant et qu’elle a besoin de rester au chaud. » Rolihlahla, le grand-frère soupire doucement, boudeur avant de dire : « On pourra venir la voir tous les jours ? » « Oui, bien sûr Roli ! » Le petit garçon cris de joie et son père pose une main sur sa bouche en lui expliquant qu’il doit rester calme devant les couveuses parce que cela peut entraîner de graves conséquences sur les bébés. Rolihlahla s’excuse auprès des médecins, infirmiers et même des bébés avant que la famille ne s’en aille pour revenir dans la chambre de la mère de famille.
Trois semaines plus tard, le bébé sort enfin de l’hôpital et une fête est donnée en son honneur. Une tradition dans la famille Kwanboka. A cette époque, l’arrière-grand-mère est encore vivante et prend l’enfant dans ses bras pour l’embrasser avant de la donner à sa fille. Malaïka passe de bras en bras jusqu’à ce qu’elle pleure parce qu’elle en a marre. Rolihlahla fait des grimaces pour qu’elle ne pleure plus mais cela ne marche pas vraiment. Finalement, le bébé s’endort dans les bras de sa mère. Roli devient un grand-frère très protecteur envers sa première petite sœur et cette dernière va grandir avec lui à ses côtés, ils vont devenir très proches, fusionnels même. Toujours ensemble pour faire les 400 coups. Si proche l’un de l’autre qu’ils étaient capables de dire ce que l’autre pensaient avec un simple regard ou de finir la phrase l’un de l’autre, comme des jumeaux … avec 4 ans de différences.
Quatre ans après la naissance de Malaïka, deux bébés sont arrivés dans la maison. Des jumeaux sans différence d’âge cette fois mais avec deux sexes différents : une petite fille prénommé Bahiya et un petit garçon prénommé Atem. Malaïka ne sait pas trop où donner de la tête avec les deux petits et admire sa mère qui semble parfaitement organiser. Elle aime Atem et Bahiya comme une grande-sœur le ferait et les protège du monde extérieur mais elle se sent plus proche de Roli que d’eux. Roli qui, d’ailleurs à montrer les premiers signes de pouvoirs sorciers depuis quelques mois et au début la petite fille n’a pas su comment réagir ni ce que cela signifiait réellement. Elle a eu peur quelques fois quand des trucs volaient près d’elle ou que quelque chose se brisait sans que personne ne fasse rien mais elle s’est habituée au fur et à mesure.
Finalement, Rolihlahla a dû partir pour l’école de sorcier Uagadou et ce fut un véritable déchirement pour elle qui n’a jamais été séparé de son frère. La séparation a été terrible pour une petite fille de son âge et elle lui a fait promettre de lui écrire tous les jours. Elle a pleuré dans ses bras avant de le laisser partir et pendant plusieurs jours elle n’avait pas le moral, heureusement que les lettres de son frère l’aide ainsi que les deux petits êtres qui restaient avec elle. C’est à l’âge de 7 ans que Malaïka a prouvé à sa famille qu’elle était elle-même une sorcière. Elle a fait fort car elle a réussi à faire léviter pendant une bonne dizaine de secondes un ours en peluche. Evidemment, en voyant ça, elle a été surprise et la peluche s’est retrouvé sur le sol. Elle crie de joie.
Malaïka entre finalement à Uagadou et l’endroit lui semble tellement merveilleux, tellement incroyable qu’elle a du mal à croire qu’elle est vraiment dans ces montagnes volantes. Elles ne le sont pas vraiment mais les nuages font croire cela. Instantanément, elle l’aime cet endroit. Même si son frère lui en avait beaucoup parlé, le voir est totalement différent. Roli sourit à sa sœur lorsqu’elle passe devant lui pour la cérémonie de répartition et elle finit par allé dans la même maison que lui, ce qui l’arrange grandement. Elle est loin d’être timide mais connaître quelqu’un est toujours un avantage mais Malaïka fait son chemin seule. Elle se fait des amis(es) de son âge ou plus âgés, dans sa maison ou dans d’autres, elle s’en fiche de ça. Cependant, elle ne se fait pas que des amis avec le caractère qu’elle a. Souvent, les personnes qui ne l’apprécient pas la surnomme « la naine » parce qu’elle est plus petite que la plupart de ses camarades –voire tous- et ça la met en rogne du coup, ça part facilement en vrille et elle se fait punir alors que ce n’est pas elle qui a commencé. Bref, elle passe tout de même de belles années à Uagadou où elle se révèle être très douée pour les Sortilèges notamment mais également en Botanique et en Métamorphose.
A l’âge de onze ans, elle a eu la surprise d’être de nouveau grande sœur. Un petit garçon prénommé Sékou est arrivé dans sa maison du bonheur. La différence d’âge est grande mais cela ne l’empêche pas de l’aimer grandement même si elle est moins proche de lui. L’année suivante c’est une petite fille qui naît pour finir cette fratrie. Une petite fille prénommé Inaya. De bien doux et bien jolis prénoms qu’ils ont dans la famille. Malaïka est très fière de cette famille qui a vécu bien des choses avant sa naissance. Elle connaît l’histoire de sa famille. Elle connaît la sueur, les larmes, la douleur, la souffrance qu’ils ont dû parfois endurer mais aussi le bonheur qu’ils ont eu et qu’ils ont aujourd’hui.
Cependant, ce bonheur s’est brisé lorsqu’elle a eu quatorze ans. Ils étaient en vacances chez ses parents quand la tragédie s’est déroulée. Elle n’a pas vraiment de souvenir, c’est très flou et parfois totalement noir. Quand elle s’est réveillée, elle était à l’hôpital avec une maman effondrée sur son lit. « M … Maman ? » Sa mère a relever la tête avant de la serrer fort contre elle. « Où je suis ? » « A l’hôpital, tout va bien, tu es tirée d’affaire. » « Où est Roli ? » Elle ne lui répond pas tout de suite, les larmes coulent abondamment le long des joues de sa mère. Finalement, au bout de quelques minutes elle dit : « Roli … Ton frère … Il est … Il est mort … Vous avez eu un accident et … Il est … Mort. » Le cri de douleur de la jeune fille s’est fait entendre dans tout le couloir. Elle était folle de douleur, ses larmes ne cessaient de couler. Elle se débat pour sortir de son lit, elle veut voir Roli une dernière fois mais sa mère la tient bien serrer contre elle. Elle chante une vieille berceuse pour l’apaiser et ça marche petit à petit. « Je veux le voir maman … Je veux le voir … S’il te plaît. » Finalement, la mère accepte de l’emmener à la morgue où se trouve le père, penché sur le corps de son fils déjà dans un cercueil. Il se tourne vers sa femme et sa fille, soulager de la voir en bonne santé. Il la serre contre lui et tente de la retenir mais Malaïka est déterminée et elle se penche sur le cercueil. Son frère est à l’intérieur. Elle a l’impression qu’il dort et elle le touche. Son corps est glacé et elle frissonne. Son frère est bel et bien mort. Elle pleure de nouveau avant d’embrasser le front de son frère. « Qu’est-ce qui s’est passé ? » « Tu ne t’en souviens pas ? » « Non, je ne me souviens de rien. Juste qu’on était sorti faire des courses mais ensuite, c’est le trou noir … » « Vous avez été victime d’un accident. Les Aurors ne nous en ont pas dit plus mais c’est un accident. » Malaïka mord sa lèvre inférieure si fort qu’elle en saigne. Quelque chose lui dit que ce n’est pas tout à fait vrai. Quelque chose dans son esprit veut remonter mais quelque chose l’en empêche. Elle retourne dans sa chambre d’hôpital et sort le soir même. Quelques jours plus tard, Roli est enterré et Malaïka a le cœur brisé. Elle a perdu son sourire, sa joie de vivre. Son frère adoré est mort.
A la fin des vacances, elle retourne tout de même à Uagadou. Elle se sent terriblement responsable de la mort de son frère et elle a peur que ses parents lui en veuillent aussi alors, elle s’éloigne pour ne pas leur faire du mal. Elle s’en veut parce qu’elle pense qu’il ne serait pas mort si elle n’avait pas été présente ce jour-là. Pendant pratiquement un an la jeune fille ne sourit pas et fait les choses comme un robot. Même ses pires ennemis à l’école n’ont pas le cœur à l’embêter alors qu’elle semble plus robotisée qu’humaine. Malaïka tente de retrouver ses souvenirs mais quoi qu’elle puisse faire, il n’y a que ces images floues et parfois noires qui lui viennent en tête. Elle a pourtant l’impression qu’ils n’étaient pas que tous les deux … Elle a beaucoup réfléchit et elle est persuadée que les Aurors n’ont pas tout dit. Elle est persuadée que son frère est mort assassiné. Mais elle se doute parfois de cette idée car cela signifierait qu’elle devrait être morte et elle n’est pas un fantôme … Ou alors Roli l’avait protégé et elle s’était assommée ? Cependant, au fond d’elle-même, elle sait que ce n’est pas un accident et c’est ainsi que sa vocation est née … Elle deviendrait une policière de la magie, une Auror et elle découvrirait la vérité. Qu’importe le temps que cela lui prendra.
Avec cette nouvelle détermination, elle reprend du poil de la bête et elle redevient la Malaïka que tout le monde a connu. En un peu plus mâture peut-être mais qui cache au fond d’elle cette tristesse, cette responsabilité, cette souffrance d’avoir perdu un être cher. Atem, Bahiya, Sékou et Inaya sont heureux de voir que leur sœur se sort de cette mauvaise passe tandis que ses parents sentent que quelque chose à changer en elle et qu’elle ne leur dit pas tout. L’objectif de la jeune femme s’est de pouvoir entrer dans une des plus grandes universités du monde magique : Hungcalf. Pour cela, elle se donne à fond jusqu’à la fin de ses études à Uagadou. Elle réussit son objectif à son plus grand étonnement d’ailleurs. Elle sait à quel point il est difficile d’entrer dans cette université.
Elle quitte donc son Afrique natale, sa famille pour entrer à l’Université où elle comprend vite pourquoi c’est si dur de faire partie des étudiants. Elle se dit qu’elle est chanceuse. Bien entendu, elle a le mal du pays mais en regardant les photos, en envoyant des lettres, elle se sent mieux. Elle se fait des amis(es) mais ne parle jamais de ce passé si tragique. Elle croise quelques personnes qu’elle a connues à Uagadou dont l’un de ses anciens « ennemis » qui l’évite autant que possible. Il faut dire que le dernier jour de ses années à Uagadou, il l’avait embrassé sans autre préambule avant de filer. Elle a souvent voulu le confronter vis-à-vis de cela mais elle n’a jamais eu l’occasion de le faire. Elle continue ses études de façon indépendante mais elle profite aussi de la vie pour deux, pour Roli et pour elle.
Trois semaines plus tard, le bébé sort enfin de l’hôpital et une fête est donnée en son honneur. Une tradition dans la famille Kwanboka. A cette époque, l’arrière-grand-mère est encore vivante et prend l’enfant dans ses bras pour l’embrasser avant de la donner à sa fille. Malaïka passe de bras en bras jusqu’à ce qu’elle pleure parce qu’elle en a marre. Rolihlahla fait des grimaces pour qu’elle ne pleure plus mais cela ne marche pas vraiment. Finalement, le bébé s’endort dans les bras de sa mère. Roli devient un grand-frère très protecteur envers sa première petite sœur et cette dernière va grandir avec lui à ses côtés, ils vont devenir très proches, fusionnels même. Toujours ensemble pour faire les 400 coups. Si proche l’un de l’autre qu’ils étaient capables de dire ce que l’autre pensaient avec un simple regard ou de finir la phrase l’un de l’autre, comme des jumeaux … avec 4 ans de différences.
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Quatre ans après la naissance de Malaïka, deux bébés sont arrivés dans la maison. Des jumeaux sans différence d’âge cette fois mais avec deux sexes différents : une petite fille prénommé Bahiya et un petit garçon prénommé Atem. Malaïka ne sait pas trop où donner de la tête avec les deux petits et admire sa mère qui semble parfaitement organiser. Elle aime Atem et Bahiya comme une grande-sœur le ferait et les protège du monde extérieur mais elle se sent plus proche de Roli que d’eux. Roli qui, d’ailleurs à montrer les premiers signes de pouvoirs sorciers depuis quelques mois et au début la petite fille n’a pas su comment réagir ni ce que cela signifiait réellement. Elle a eu peur quelques fois quand des trucs volaient près d’elle ou que quelque chose se brisait sans que personne ne fasse rien mais elle s’est habituée au fur et à mesure.
Finalement, Rolihlahla a dû partir pour l’école de sorcier Uagadou et ce fut un véritable déchirement pour elle qui n’a jamais été séparé de son frère. La séparation a été terrible pour une petite fille de son âge et elle lui a fait promettre de lui écrire tous les jours. Elle a pleuré dans ses bras avant de le laisser partir et pendant plusieurs jours elle n’avait pas le moral, heureusement que les lettres de son frère l’aide ainsi que les deux petits êtres qui restaient avec elle. C’est à l’âge de 7 ans que Malaïka a prouvé à sa famille qu’elle était elle-même une sorcière. Elle a fait fort car elle a réussi à faire léviter pendant une bonne dizaine de secondes un ours en peluche. Evidemment, en voyant ça, elle a été surprise et la peluche s’est retrouvé sur le sol. Elle crie de joie.
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Malaïka entre finalement à Uagadou et l’endroit lui semble tellement merveilleux, tellement incroyable qu’elle a du mal à croire qu’elle est vraiment dans ces montagnes volantes. Elles ne le sont pas vraiment mais les nuages font croire cela. Instantanément, elle l’aime cet endroit. Même si son frère lui en avait beaucoup parlé, le voir est totalement différent. Roli sourit à sa sœur lorsqu’elle passe devant lui pour la cérémonie de répartition et elle finit par allé dans la même maison que lui, ce qui l’arrange grandement. Elle est loin d’être timide mais connaître quelqu’un est toujours un avantage mais Malaïka fait son chemin seule. Elle se fait des amis(es) de son âge ou plus âgés, dans sa maison ou dans d’autres, elle s’en fiche de ça. Cependant, elle ne se fait pas que des amis avec le caractère qu’elle a. Souvent, les personnes qui ne l’apprécient pas la surnomme « la naine » parce qu’elle est plus petite que la plupart de ses camarades –voire tous- et ça la met en rogne du coup, ça part facilement en vrille et elle se fait punir alors que ce n’est pas elle qui a commencé. Bref, elle passe tout de même de belles années à Uagadou où elle se révèle être très douée pour les Sortilèges notamment mais également en Botanique et en Métamorphose.
A l’âge de onze ans, elle a eu la surprise d’être de nouveau grande sœur. Un petit garçon prénommé Sékou est arrivé dans sa maison du bonheur. La différence d’âge est grande mais cela ne l’empêche pas de l’aimer grandement même si elle est moins proche de lui. L’année suivante c’est une petite fille qui naît pour finir cette fratrie. Une petite fille prénommé Inaya. De bien doux et bien jolis prénoms qu’ils ont dans la famille. Malaïka est très fière de cette famille qui a vécu bien des choses avant sa naissance. Elle connaît l’histoire de sa famille. Elle connaît la sueur, les larmes, la douleur, la souffrance qu’ils ont dû parfois endurer mais aussi le bonheur qu’ils ont eu et qu’ils ont aujourd’hui.
Cependant, ce bonheur s’est brisé lorsqu’elle a eu quatorze ans. Ils étaient en vacances chez ses parents quand la tragédie s’est déroulée. Elle n’a pas vraiment de souvenir, c’est très flou et parfois totalement noir. Quand elle s’est réveillée, elle était à l’hôpital avec une maman effondrée sur son lit. « M … Maman ? » Sa mère a relever la tête avant de la serrer fort contre elle. « Où je suis ? » « A l’hôpital, tout va bien, tu es tirée d’affaire. » « Où est Roli ? » Elle ne lui répond pas tout de suite, les larmes coulent abondamment le long des joues de sa mère. Finalement, au bout de quelques minutes elle dit : « Roli … Ton frère … Il est … Il est mort … Vous avez eu un accident et … Il est … Mort. » Le cri de douleur de la jeune fille s’est fait entendre dans tout le couloir. Elle était folle de douleur, ses larmes ne cessaient de couler. Elle se débat pour sortir de son lit, elle veut voir Roli une dernière fois mais sa mère la tient bien serrer contre elle. Elle chante une vieille berceuse pour l’apaiser et ça marche petit à petit. « Je veux le voir maman … Je veux le voir … S’il te plaît. » Finalement, la mère accepte de l’emmener à la morgue où se trouve le père, penché sur le corps de son fils déjà dans un cercueil. Il se tourne vers sa femme et sa fille, soulager de la voir en bonne santé. Il la serre contre lui et tente de la retenir mais Malaïka est déterminée et elle se penche sur le cercueil. Son frère est à l’intérieur. Elle a l’impression qu’il dort et elle le touche. Son corps est glacé et elle frissonne. Son frère est bel et bien mort. Elle pleure de nouveau avant d’embrasser le front de son frère. « Qu’est-ce qui s’est passé ? » « Tu ne t’en souviens pas ? » « Non, je ne me souviens de rien. Juste qu’on était sorti faire des courses mais ensuite, c’est le trou noir … » « Vous avez été victime d’un accident. Les Aurors ne nous en ont pas dit plus mais c’est un accident. » Malaïka mord sa lèvre inférieure si fort qu’elle en saigne. Quelque chose lui dit que ce n’est pas tout à fait vrai. Quelque chose dans son esprit veut remonter mais quelque chose l’en empêche. Elle retourne dans sa chambre d’hôpital et sort le soir même. Quelques jours plus tard, Roli est enterré et Malaïka a le cœur brisé. Elle a perdu son sourire, sa joie de vivre. Son frère adoré est mort.
A la fin des vacances, elle retourne tout de même à Uagadou. Elle se sent terriblement responsable de la mort de son frère et elle a peur que ses parents lui en veuillent aussi alors, elle s’éloigne pour ne pas leur faire du mal. Elle s’en veut parce qu’elle pense qu’il ne serait pas mort si elle n’avait pas été présente ce jour-là. Pendant pratiquement un an la jeune fille ne sourit pas et fait les choses comme un robot. Même ses pires ennemis à l’école n’ont pas le cœur à l’embêter alors qu’elle semble plus robotisée qu’humaine. Malaïka tente de retrouver ses souvenirs mais quoi qu’elle puisse faire, il n’y a que ces images floues et parfois noires qui lui viennent en tête. Elle a pourtant l’impression qu’ils n’étaient pas que tous les deux … Elle a beaucoup réfléchit et elle est persuadée que les Aurors n’ont pas tout dit. Elle est persuadée que son frère est mort assassiné. Mais elle se doute parfois de cette idée car cela signifierait qu’elle devrait être morte et elle n’est pas un fantôme … Ou alors Roli l’avait protégé et elle s’était assommée ? Cependant, au fond d’elle-même, elle sait que ce n’est pas un accident et c’est ainsi que sa vocation est née … Elle deviendrait une policière de la magie, une Auror et elle découvrirait la vérité. Qu’importe le temps que cela lui prendra.
Avec cette nouvelle détermination, elle reprend du poil de la bête et elle redevient la Malaïka que tout le monde a connu. En un peu plus mâture peut-être mais qui cache au fond d’elle cette tristesse, cette responsabilité, cette souffrance d’avoir perdu un être cher. Atem, Bahiya, Sékou et Inaya sont heureux de voir que leur sœur se sort de cette mauvaise passe tandis que ses parents sentent que quelque chose à changer en elle et qu’elle ne leur dit pas tout. L’objectif de la jeune femme s’est de pouvoir entrer dans une des plus grandes universités du monde magique : Hungcalf. Pour cela, elle se donne à fond jusqu’à la fin de ses études à Uagadou. Elle réussit son objectif à son plus grand étonnement d’ailleurs. Elle sait à quel point il est difficile d’entrer dans cette université.
Elle quitte donc son Afrique natale, sa famille pour entrer à l’Université où elle comprend vite pourquoi c’est si dur de faire partie des étudiants. Elle se dit qu’elle est chanceuse. Bien entendu, elle a le mal du pays mais en regardant les photos, en envoyant des lettres, elle se sent mieux. Elle se fait des amis(es) mais ne parle jamais de ce passé si tragique. Elle croise quelques personnes qu’elle a connues à Uagadou dont l’un de ses anciens « ennemis » qui l’évite autant que possible. Il faut dire que le dernier jour de ses années à Uagadou, il l’avait embrassé sans autre préambule avant de filer. Elle a souvent voulu le confronter vis-à-vis de cela mais elle n’a jamais eu l’occasion de le faire. Elle continue ses études de façon indépendante mais elle profite aussi de la vie pour deux, pour Roli et pour elle.
RÉSERVE TON AVATAR
- Code:
<bottin><span class="pris">●</span> <b>amandla stenberg</b> ━ malaïka kwanboka</bottin>
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Dim 29 Oct 2017 - 15:54
Han Amandla, je l'aime trop
Bienvenue avec ce perso qui promet de dépoter
Si tu as une question n'hésite pas
Bienvenue avec ce perso qui promet de dépoter
Si tu as une question n'hésite pas
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Dim 29 Oct 2017 - 15:56
Awww merci beaucoup
Je n'hésiterais pas en cas de pépin
Je n'hésiterais pas en cas de pépin
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Dim 29 Oct 2017 - 16:09
OH MON DIEU C'est quoi ce perso de ouf là ?
Pis c'est qui cette dame ? OMG, elle est magnifique, je l'aime déjà !
J'ai hâte de lire son histoire ! *---* Bienvenue ma belle !
Pis c'est qui cette dame ? OMG, elle est magnifique, je l'aime déjà !
J'ai hâte de lire son histoire ! *---* Bienvenue ma belle !
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Dim 29 Oct 2017 - 16:18
Awwww Merci beaucoup (ça va être le mot du jour pour moi je le sens xD)
Cette dame c'est Amandla Stenberg, elle a joué Ruth dans Hunger Games entre autre. Je la trouve toute mimi
Encore une fois, merci beaucoup
Cette dame c'est Amandla Stenberg, elle a joué Ruth dans Hunger Games entre autre. Je la trouve toute mimi
Encore une fois, merci beaucoup
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Dim 29 Oct 2017 - 16:24
Merci beaucoup
Ton avatar est superbe
Ton avatar est superbe
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 9:52
bienvenue et bon courage pour ta fiche
Très bel avatar
Très bel avatar
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 13:44
Merci beaucoup à tous les deux
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 14:09
Ce pseudo 3
Ce personnage
Bienvenue ! Lien dès validation, c'est obligé !
Ce personnage
Bienvenue ! Lien dès validation, c'est obligé !
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 14:11
Awwwww Merci beaucoup
Je te réserve un lien avec plaisir Emrys (surtout avec DyDy )
Je te réserve un lien avec plaisir Emrys (surtout avec DyDy )
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 14:33
Bienvenue parmi nous !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 14:35
Bienvenue petit chat !
Bon courage pour le reste de ta fiche !
Bon courage pour le reste de ta fiche !
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 14:36
Merci beaucoup à vous deux
Ca avance, ça avance :)
Ca avance, ça avance :)
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 15:53
Bienvenue ma jolie Bon courage pour ta fichette
- InvitéInvité
Re: Malaïka - Ton combat (terminée)
Jeu 2 Nov 2017 - 23:52
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
★ T'es paumé ? Tu ne sais pas qui est dans quelle maison ou dans quels cours ? Tu te demandes qui sont les étudiant(e)s qui sont dans la même filière ou la même année que toi ? Tu aimerais savoir si ton voisin est un sang-pur ou un né-moldu ? Bah ne cherche plus ! Pour ça, y'a le : Référentiel de Hungcalf.
Have fun sur Hung !
PS: Nom d'une licorne ! J'suis en amour de ton personnage !
Malala est tellement originale ! Ca change de ce que je peux lire d'habitude et j'adore ! Même si la mort de son frère est vraiment horrible ... Bref, j'adore ta plume et j'ai hâte de te lire en RP ! *--* Bon jeu et have fun sur Hung petite panthère !
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