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niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Dim 1 Avr 2018 - 17:26
new-york, la ville où tout est possible !
New-York... Tu n'en a pas crus tes yeux. Ian t'a offert une jolie boîte ornée d'un magnifique ruban pour votre anniversaire et si ton cadeau à son intention était un magnifique sweat dont il ne cessait de te parler, le sien était au-dessus de tous tes espoirs. Le noeud se défait et la boîte s'ouvre sur une magnifique boule à neige, tu souris attendrie par ce souvenir de votre enfance, ces moments lointains où tu collectionnais ces petites fenêtres sur le monde. Lui d'être tout, un jolie parchemin était venu se glisser entre tes doigts. Des larmes de joies avaient roulés sur tes joues, il ne pouvait pas savoir combien tu étais heureuse à ce moment précis. Ton frère venait de t'offrir le plus beau cadeau d'anniversaire dont tu pouvais rêver, trois jours à New-York, juste lui et toi à la découverte de la grosse pomme. Tu étais excitée par ce voyage, il tombait au meilleur moment, tu avais besoin de te changer les idées, de changer d'air.
Quelques jours avant votre départ tu as croisé ton frère, la main se grattouillant l'arrière de la tête il était embêté, son stage au ministère lui impliquait une permanence ce week-end, donc il ne pouvait pas aller à New-York. Pas moyen de changer les dates. Te voilà coincée, hors de question d'aller seule sans ton jumeau, mais il était également impensable qu'il perde son argent. Une idée est venue frapper à ton esprit et c'est donc avec l'accord - et même les encouragements - de ton frère que tu as demandé à Sam s'il voulait être ton guide dans cette ville qu'il connaît bien. Tu avais un doute sur sa réponse, vous n'avez jamais reparler de ce qu'il s'est passé dans ta chambre et bien que l'un comme l'autre agissez le plus naturellement du monde, peut-être qu'il préférerait garder ses distances. Mais, c'est Sam ... il s'est montré enthousiaste et ravi à cette idée. C'est comme ça que vous voilà donc dans le hall de l'aéroport, Ian n'a pas dérogé à votre règle : moldus un jour, moldus toujours ! Vous prenez plaisir à vivre avec votre côté non magique et si le transplanage prend bien moins de temps, c'est une autre saveur que de goûter aux moyens de locomotion moldus. D'ailleurs, peu le savent, mais tu possèdes ton permis de conduire, tu n'as pas de voiture par contre, tu n'as pas les moyens de t'en offrir une.
« j'ai jamais pris l'avion, Ian voulait peut-être me tuer ? » tu plaisantes, mais assise dans ton siège tu n'es pas à l'aise. Tu pratiques la respiration ventrale pour tenter de te détendre tout en regardant Sam avec un petit sourire qui se transforme en grimace quand l'avion prend de l'altitude. Ta main agrippe la sienne par réflexe, la sensation est désagréable, tu ressens un noeud au creux de ton estomac, l'altitude ne te réussi pas, tu as l'impression que tes tympans vont exploser, tu fais des exercices avec ta bouche que tu as vu sur internet, il paraît que tenter de bâiller aide. Bof. Tu n'es pas convaincue ... et puis finalement l'avion se stabilise et le commandant de bord fait son petit discours que tu écoutes religieusement, en parlant de religieux, tu n'as pas lâché le pendentif de ta mère, cette petite croix en or qui trône à ton cou depuis dix ans déjà et qui est une espèce de grigri porte bonheur. Tu relâches l'objet -et la main de Sam- et tente de reprendre un minimum ton assurance, après tout, ce n'est qu'un avion. C'est le moyen de transport le plus sûr d'après ce qu'on dit, mais il y a aussi pas mal de crash et puis des pannes techniques et des terroristes et des oiseaux qui passent dans les réacteurs et ... et ... et... « c'est pas vrai ... » Tu ne comprends pas pourquoi tu paniques autant et pourtant tu voudrais profiter du vol comme tous les autres passagers, comme celui qui se trouve à tes côtés et qui te regarde légèrement amusé « c'est pas drôle ! » tu le regardes sévèrement avant de laisser échapper un rire léger, convaincue de ta propre bêtise. « Bon... on a sept heures à tuer, tu veux regarder un film ? »
Mesdames et Messieurs, nous approchons de New-York, veuillez attachez vos ceintures et vous préparer à l'atterrissage. Tu te redresses, tu t'étais assoupie, la tête sur l'épaule de Sam et une nouvelle vague d'angoisses tente de te submerger. Tes mains tremblent, tu attaches fébrilement la ceinture et prie tous les saints pour que l'atterrissage se passe bien. Ce qui fût le cas, bien entendus. Une fois les bagages récupérées, tu prends le petit papier avec les instructions de ton frère, il contient les informations pratiques, sur les réservations, hôtel et restaurant, il est parfait. « Alors, on va d'abord à l'hôtel ? La Quinta ...» tu regardes la carte et retiens un petit cri d'exclamation « c'est à Central Park ... il a réservé un hôtel à côté de Central Park!!! » C'est officiel, son sweat n'est vraiment pas à la hauteur de son cadeau, tu te rattraperas ! Un taxi jaune, un peu de marche, tu apprécies l'agitation des rues, tu as des étoiles pleins les yeux et ça ne fait que commencer. La battisse se dresse devant vous, ton sourire n'a jamais été aussi large et tu te présentes à la réception, donnant le nom de ton frère contre une carte magnétique. Septième étages, un signe ? La porte s'ouvre et tu trépignes comme une gosse avant d'entrer et faire le tour de la chambre. As-tu préciser que ce sont tes premières vacances depuis tes dix ans ? Que c'est la première fois que tu quittes ton pays pour un autre ? Tu laisses tomber son sac au sol et saute sur le lit XXL , on en mettrais bien six ou sept comme toi dedans, par contre, un rapide coup d'oeil t'informe qu'il n'y a pas de second lit. Oups. Tu te relèves et regarde Samwell avec un sourire reconnaissant « c'est merveilleux, merci d'être venus, je suis contente que ça soit toi ! »
Quelques jours avant votre départ tu as croisé ton frère, la main se grattouillant l'arrière de la tête il était embêté, son stage au ministère lui impliquait une permanence ce week-end, donc il ne pouvait pas aller à New-York. Pas moyen de changer les dates. Te voilà coincée, hors de question d'aller seule sans ton jumeau, mais il était également impensable qu'il perde son argent. Une idée est venue frapper à ton esprit et c'est donc avec l'accord - et même les encouragements - de ton frère que tu as demandé à Sam s'il voulait être ton guide dans cette ville qu'il connaît bien. Tu avais un doute sur sa réponse, vous n'avez jamais reparler de ce qu'il s'est passé dans ta chambre et bien que l'un comme l'autre agissez le plus naturellement du monde, peut-être qu'il préférerait garder ses distances. Mais, c'est Sam ... il s'est montré enthousiaste et ravi à cette idée. C'est comme ça que vous voilà donc dans le hall de l'aéroport, Ian n'a pas dérogé à votre règle : moldus un jour, moldus toujours ! Vous prenez plaisir à vivre avec votre côté non magique et si le transplanage prend bien moins de temps, c'est une autre saveur que de goûter aux moyens de locomotion moldus. D'ailleurs, peu le savent, mais tu possèdes ton permis de conduire, tu n'as pas de voiture par contre, tu n'as pas les moyens de t'en offrir une.
« j'ai jamais pris l'avion, Ian voulait peut-être me tuer ? » tu plaisantes, mais assise dans ton siège tu n'es pas à l'aise. Tu pratiques la respiration ventrale pour tenter de te détendre tout en regardant Sam avec un petit sourire qui se transforme en grimace quand l'avion prend de l'altitude. Ta main agrippe la sienne par réflexe, la sensation est désagréable, tu ressens un noeud au creux de ton estomac, l'altitude ne te réussi pas, tu as l'impression que tes tympans vont exploser, tu fais des exercices avec ta bouche que tu as vu sur internet, il paraît que tenter de bâiller aide. Bof. Tu n'es pas convaincue ... et puis finalement l'avion se stabilise et le commandant de bord fait son petit discours que tu écoutes religieusement, en parlant de religieux, tu n'as pas lâché le pendentif de ta mère, cette petite croix en or qui trône à ton cou depuis dix ans déjà et qui est une espèce de grigri porte bonheur. Tu relâches l'objet -et la main de Sam- et tente de reprendre un minimum ton assurance, après tout, ce n'est qu'un avion. C'est le moyen de transport le plus sûr d'après ce qu'on dit, mais il y a aussi pas mal de crash et puis des pannes techniques et des terroristes et des oiseaux qui passent dans les réacteurs et ... et ... et... « c'est pas vrai ... » Tu ne comprends pas pourquoi tu paniques autant et pourtant tu voudrais profiter du vol comme tous les autres passagers, comme celui qui se trouve à tes côtés et qui te regarde légèrement amusé « c'est pas drôle ! » tu le regardes sévèrement avant de laisser échapper un rire léger, convaincue de ta propre bêtise. « Bon... on a sept heures à tuer, tu veux regarder un film ? »
Mesdames et Messieurs, nous approchons de New-York, veuillez attachez vos ceintures et vous préparer à l'atterrissage. Tu te redresses, tu t'étais assoupie, la tête sur l'épaule de Sam et une nouvelle vague d'angoisses tente de te submerger. Tes mains tremblent, tu attaches fébrilement la ceinture et prie tous les saints pour que l'atterrissage se passe bien. Ce qui fût le cas, bien entendus. Une fois les bagages récupérées, tu prends le petit papier avec les instructions de ton frère, il contient les informations pratiques, sur les réservations, hôtel et restaurant, il est parfait. « Alors, on va d'abord à l'hôtel ? La Quinta ...» tu regardes la carte et retiens un petit cri d'exclamation « c'est à Central Park ... il a réservé un hôtel à côté de Central Park!!! » C'est officiel, son sweat n'est vraiment pas à la hauteur de son cadeau, tu te rattraperas ! Un taxi jaune, un peu de marche, tu apprécies l'agitation des rues, tu as des étoiles pleins les yeux et ça ne fait que commencer. La battisse se dresse devant vous, ton sourire n'a jamais été aussi large et tu te présentes à la réception, donnant le nom de ton frère contre une carte magnétique. Septième étages, un signe ? La porte s'ouvre et tu trépignes comme une gosse avant d'entrer et faire le tour de la chambre. As-tu préciser que ce sont tes premières vacances depuis tes dix ans ? Que c'est la première fois que tu quittes ton pays pour un autre ? Tu laisses tomber son sac au sol et saute sur le lit XXL , on en mettrais bien six ou sept comme toi dedans, par contre, un rapide coup d'oeil t'informe qu'il n'y a pas de second lit. Oups. Tu te relèves et regarde Samwell avec un sourire reconnaissant « c'est merveilleux, merci d'être venus, je suis contente que ça soit toi ! »
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Mar 3 Avr 2018 - 12:54
Tu avais au début eu envie d’aller voir ta famille en Amérique pendant les prochaines vacances tout seul, mais tu es en froid avec ta sœur cadette qui prend un malin plaisir à te reprocher des tonnes de choses à commencer la dépression de votre mère. Apparemment, c’est parce que tu as décidé d’aller en Écosse qu’elle aurait décidé de mettre fin à ses jours, c’est n’importe quoi tu le sais et elle aussi, mais comment lui faire entendre raison quand une personne bornée comme elle croise ton chemin. Tu ne peux qu’arrêter de répondre à ses messages pleins de sarcasme pour continuer ta petite vie à Inverses en attendant la prochaine tempête. Tu vas toujours aux USA, mais cette fois, c’est avec ta colocataire Niamh pour lui faire visiter le pays qui t’a vu naître et que tu aimes plus que tout le reste, elle va pouvoir goûter aux spécialités, voir les plus beaux endroits du monde et profiter d’un bon bol d’air capable de recharger toutes les batteries. C’est parfait pour elle. C’est alors que le jour du départ pour New-York est enfin là, tu peux sortir la tête des bouquins et des cours pour profiter un maximum de la semaine à venir avec l’une de tes meilleures amies dans un voyage on de nombreux souvenirs vont se faire. Tu es dans l’avion et la jeune femme n’est pas tellement rassurée, après tout pour ton premier vol, tu n’avais pas l’air très en forme toi non plus alors tu peux comprendre ce genre de réaction, alors tu attrapes sa main en souriant avec un air faussement moqueur. « C’est normal t’en fais pas. Ça va aller. » Tu rigoles un instant alors que l’emprise de sa main se fait plus intense, pauvre Niamh, elle n’est pas très bien. Tu ne sais pas tellement comment la rassurer alors que l’avion commence son décollage, elle verra, ça va très vite se calmer dans quelques minutes. Elle arrive cependant à sourire. « Bon... On a sept heures à tuer, tu veux regarder un film ? » Tu hausses les épaules, c’est d’accord. « Par contre, par pitié… Pas Twilight ! » Tu n’arrives pas à le regarder, c’est la pire création de l’histoire de l’humanité par un non-mai et de loin.
Vous êtes enfin arrivée, tu poses un pied à l’extérieur de l’appareil et regardes le ciel en prenant une bonne bouffée d’oxygène avant de sourire du plus profond de ton âme, tu es à nouveau chez toi et ça fait tellement du bien de laisser les problèmes en Écosse pour se concentrer sur du positif. Même si ta famille au Montana n’est pas tellement de cet avis, tu ne sais même pas si tu as envie de présenter Niamh à ta famille, ils sont insupportables. « Bienvenue chez moi. » Tu regardes la jolie brune et lui offre un sourire, tu es vraiment heureux de pouvoir partager tout ça avec elle et à hâte de commencer la visite. New-York est une très belle ville. L’hôtel Quinta ? Très bon choix, il faut croire que le frère de Niamh ne fait pas dans la dentelle, il faut avoir les moyens pour se payer ce genre d’endroit plutôt prestigieux juste à côté d’un parc célèbre. « On pourra visiter Central-Park aujourd’hui, du coup. » Tu es sérieux et ce n’est pas le genre de chose qu’on entend tous les jours, il faut avouer même si tu as été là-bas plusieurs fois déjà. Vous arrivez rapidement sur place, il y a pas mal de monde dans la rue, la réception est comme tu l'imaginais et la chambre, c’est comme dans un rêve. Tu montes les valises toi-même refusant que quelqu’un le fasse pour vous, tu n’aimes pas laisser tes affaires à quelqu’un même l’espace d’un instant et si c’est son boulot. C’est comme ça.
Tu fermes la porte et perds Niamh du regard tant elle est excitée et la chambre est grande, tu arrives à la retrouver et vois qu’il n’y a qu’un seul lit. Pour un hôtel aussi cher, il pourrait au moins en mettre un autre ou un canapé, mais ce n’est pas grave, il faut faire avec ce que vous avez. « Je peux dormir au sol, ce n’est pas un problème. J’ai l’habitude de le faire. » Quand tu rentres un peu trop rond de certaines soirée, il arrive que tu ne trouves pas le chemin jusqu’à ton lit ou même que tu ouvres les yeux dans un endroit inconnu comme cette fois avec Nigel dans la forêt, ce moment restera à jamais dans ton esprit, « C'est merveilleux, merci d'être venus, je suis contente que ça soit toi ! » Tu laisses monter un sourire alors que tu viens naturellement prendre la jeune femme dans tes bras, il faut vraiment qu’elle arrête d’être aussi mignonne. « Ce sont nos vacances. Profitons un maximum et ramenons des tonnes de souvenirs à la maison. »
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Mer 4 Avr 2018 - 18:56
new-york, la ville où tout est possible !
L'angoisse qui te prend est irrationnelle et pourtant ce jour tu l'attends depuis bien des années. Tu aurais aimé partager ça avec Ian, il va te manquer c'est certain, tout comme sa présence en ce moment, avec lui tu es presque sûre que tu n'aurais pas eu peur. Pourtant, Sam est quelqu'un d'apaisant - en général - , il attrape ta main et tu la serre, il rit et tu grimaces alors qu'il t'assure que tout vas bien se passer. Twilight? Tu hausses un sourcil limite vexée, « tu crois que je n'ai vraiment aucune culture ? » Bien entendu, le ton de ta voix est moqueur, faussement outrée, tu le laisses choisir le film et te contente de regarder les images, glissant ton regard parfois par le hublot pour profiter du paysage ou encore sur Sam, ce qui te fait souvent sourire. Tu as de la chance de l'avoir dans tes amis et tu en es bien consciente.
Son air satisfait, sa manière de se déplacer, tu as l'impression que ton ami a changé en quelques minutes, comme s'il était désormais totalement épanouis et son enthousiasme n'est pas feint, il semble réellement heureux de te faire découvrir son pays et tu t'estime chanceuse d'avoir un guide aussi expérimenté. Vous prenez quelques minutes de le hall de l'aéroport pour faire le point, c'est avec stupéfaction que tu découvres l'hôtel, comment est-ce que ton frère à pu t'offrir un hôtel pareil ? Il n'est pas plus riche que toi, bien que lui ne paie pas de loyer et se contente du minimum, ça n'explique rien. Il sera temps d'en apprendre plus à ton retour. Sam suggère de visiter Central Park dans la journée et tu trépignes déjà d'impatience comme une enfant, c'est l'un de tes plus grands rêves qui ce réalise, tu ne pourrais pas être plus heureuse et ton sourire ô combien large te trahirai même si tu prétextais le contraire.
L'hôtel est encore plus beau que sur le papier, tu es impressionnée, tes yeux pétillent et ton coeur est léger. Tu entres dans ta votre chambre et plante Sam dans l'entrée pour partir en exploration. Tu n'es pas objective Niamh, mais tu sais que tu as l'impression de n'avoir jamais rien vu de plus beau, tout te semble étincelant, magnifique, magique. La voix de Sam te ramène à la réalité et tu secoues énergiquement la tête, il est hors de question qu'il dorme une seule nuit à terre et puis quoi encore ? Il n'est pas un chien, il mérite un minimum de confort, tu souris en te redressant sur le lit « je crois qu'il est largement assez grand pour nous deux, ne t'inquiète pas, je serais sage ... » dis-tu en riant sans réellement te rendre compte de l'allusion que tu faisais malgré toi. Ton enthousiasme est débordant et tu le partage, tu es sincère - comme très souvent avec lui - et tu lui dis que tu es heureuse que ce soit lui qui partage ça avec toi, bien sûr tu aurais pu demander à d'autres personnes, un voyage tout frais payé il y aurait eu beaucoup de volontaires, mais c'était le seul avec qui tu souhaitais, tu te sentais, partir. Sam s'approche et te serre contre lui, tu poses ton menton sur son torse pour le regarder avec un large sourire, tes bras entourant sa taille « on n'a pas une minute à perdre alors ! » Tu te glisses hors du lit en ayant au préalable déposer un bisous sur sa joue, ta valise se soulève du sol et vient se poser sur un dépose-valise au pied du lit, tu fouilles un peu et trouve une tenue plus légère et appropriée au climat du jour, une petite robe rouge légère que tu files enfiler dans la salle de bain, non sans t'être exclamée avant « SAAAAM C'EST PLUS GRAND QUE NOTRE APPART! » Le retour à la réalité va t'être terriblement difficile, mais tu es bien décidée à profiter de tes vacances, de ce moment rien qu'à vous. Tu sors de la salle de bain changée, cheveux attachés en demi-chignons et chaussures à talons - quand on fait un mètre vingt c'est non négociable, mais tu gères très bien et les talons et la douleur, donc ça devrait aller. Au pire, tu prévois une paire de baskets dans ton sac enchanté où tu peux ainsi glisser bien plus qu'il n'y parait, comme le gilet qui est actuellement posé sur tes épaules. « On y va ? » Il n'y a pas une seconde à perdre, tu es prête à visiter l'ensemble de la ville, quitte à ne pas dormir pour pouvoir tout faire. Vous êtes devant l'hôtel, tu t'es parée de ton appareil photo, la parfaite touriste, mais surtout tu aimes la photo, c'est une passion qui comme le dessin prend une grande place dans ton quotidien. Ton appareil est un modèle moldus semi-pro, parce que tu ne rigoles pas avec tes passions. Tu lèves le regard vers Sam en souriant « alors ... par où on commence ? Je suis entièrement à ta merci, n'en profite pas pour me perdre ! » Il y a tellement de choses à faire et voir, mais la maniaque du contrôle est restée à Inverness, c'est l'autre Niamh qui est présente, celle qui se laisse surprendre et s'émerveille de chaque instant, qui apprécie la vie et ses merveilles, ses beautés cachées.
Son air satisfait, sa manière de se déplacer, tu as l'impression que ton ami a changé en quelques minutes, comme s'il était désormais totalement épanouis et son enthousiasme n'est pas feint, il semble réellement heureux de te faire découvrir son pays et tu t'estime chanceuse d'avoir un guide aussi expérimenté. Vous prenez quelques minutes de le hall de l'aéroport pour faire le point, c'est avec stupéfaction que tu découvres l'hôtel, comment est-ce que ton frère à pu t'offrir un hôtel pareil ? Il n'est pas plus riche que toi, bien que lui ne paie pas de loyer et se contente du minimum, ça n'explique rien. Il sera temps d'en apprendre plus à ton retour. Sam suggère de visiter Central Park dans la journée et tu trépignes déjà d'impatience comme une enfant, c'est l'un de tes plus grands rêves qui ce réalise, tu ne pourrais pas être plus heureuse et ton sourire ô combien large te trahirai même si tu prétextais le contraire.
L'hôtel est encore plus beau que sur le papier, tu es impressionnée, tes yeux pétillent et ton coeur est léger. Tu entres dans ta votre chambre et plante Sam dans l'entrée pour partir en exploration. Tu n'es pas objective Niamh, mais tu sais que tu as l'impression de n'avoir jamais rien vu de plus beau, tout te semble étincelant, magnifique, magique. La voix de Sam te ramène à la réalité et tu secoues énergiquement la tête, il est hors de question qu'il dorme une seule nuit à terre et puis quoi encore ? Il n'est pas un chien, il mérite un minimum de confort, tu souris en te redressant sur le lit « je crois qu'il est largement assez grand pour nous deux, ne t'inquiète pas, je serais sage ... » dis-tu en riant sans réellement te rendre compte de l'allusion que tu faisais malgré toi. Ton enthousiasme est débordant et tu le partage, tu es sincère - comme très souvent avec lui - et tu lui dis que tu es heureuse que ce soit lui qui partage ça avec toi, bien sûr tu aurais pu demander à d'autres personnes, un voyage tout frais payé il y aurait eu beaucoup de volontaires, mais c'était le seul avec qui tu souhaitais, tu te sentais, partir. Sam s'approche et te serre contre lui, tu poses ton menton sur son torse pour le regarder avec un large sourire, tes bras entourant sa taille « on n'a pas une minute à perdre alors ! » Tu te glisses hors du lit en ayant au préalable déposer un bisous sur sa joue, ta valise se soulève du sol et vient se poser sur un dépose-valise au pied du lit, tu fouilles un peu et trouve une tenue plus légère et appropriée au climat du jour, une petite robe rouge légère que tu files enfiler dans la salle de bain, non sans t'être exclamée avant « SAAAAM C'EST PLUS GRAND QUE NOTRE APPART! » Le retour à la réalité va t'être terriblement difficile, mais tu es bien décidée à profiter de tes vacances, de ce moment rien qu'à vous. Tu sors de la salle de bain changée, cheveux attachés en demi-chignons et chaussures à talons - quand on fait un mètre vingt c'est non négociable, mais tu gères très bien et les talons et la douleur, donc ça devrait aller. Au pire, tu prévois une paire de baskets dans ton sac enchanté où tu peux ainsi glisser bien plus qu'il n'y parait, comme le gilet qui est actuellement posé sur tes épaules. « On y va ? » Il n'y a pas une seconde à perdre, tu es prête à visiter l'ensemble de la ville, quitte à ne pas dormir pour pouvoir tout faire. Vous êtes devant l'hôtel, tu t'es parée de ton appareil photo, la parfaite touriste, mais surtout tu aimes la photo, c'est une passion qui comme le dessin prend une grande place dans ton quotidien. Ton appareil est un modèle moldus semi-pro, parce que tu ne rigoles pas avec tes passions. Tu lèves le regard vers Sam en souriant « alors ... par où on commence ? Je suis entièrement à ta merci, n'en profite pas pour me perdre ! » Il y a tellement de choses à faire et voir, mais la maniaque du contrôle est restée à Inverness, c'est l'autre Niamh qui est présente, celle qui se laisse surprendre et s'émerveille de chaque instant, qui apprécie la vie et ses merveilles, ses beautés cachées.
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Dim 8 Avr 2018 - 11:19
C’est un endroit merveilleux même si ce n’est que pour quelques jours, tu sais que vous allez tous les deux passer un moment hors du commun, un souvenir qui ne pourra plus jamais sortir de vos petites têtes alors que votre amitié va grimper en flèche pendant ce long séjour. Vous allez devenir encore plus proches que vous ne l’êtes même si c’est compliqué étant donné que Niamh est déjà et depuis un moment l’une des personnes les plus importantes de ta vie. Elle ne le sait sûrement pas, mais tu pourrais accomplir tellement pour ses beaux yeux alors que tu n’en ferrais certainement plus autant pour ta propre sœur qui ne te reconnais même plus comme son frère. Tu n’as pas envie de penser à ta famille, tu veux profiter un maximum et c’est exactement ce que vous allez faire alors que la jeune femme commence à te taquiner au sujet de l’endroit où vous allez dormir. « Je crois qu'il est largement assez grand pour nous deux, ne t'inquiète pas, je serais sage ... » Tu hausses les épaules, inutile de combattre la jolie brune de toute façon, elle a souvent le dernier mot et tu ne peux qu’accepter. « Pas certains que se soit le cas pour moi. » Tu laisses un rictus apparaître alors que tu utilises comme souvent l’humour, pas besoin de la regarder elle sait exactement quel genre d’homme tu es. Elle arrive dans tes bras, ce moment rien qu’à vous qui ne devrait jamais pouvoir se terminer et pourtant chaque chose a une fin, même ce câlin des plus agréable. Elle s’éloigne et tu penches la tête en souriant. « Partons à l’aventure ma Nini. » Tu vas ouvrir ta valise pour récupérer ce qu’il faut pour votre petite balade de la journée, tu n’as pas besoin du téléphone ou d’une carte, mais en revanche ton argent et ta carte d’identité ce n’est pas quelque chose qu’il faudra laisser dans la chambre. Un paquet de cigarettes et ton briquet. Tu ne peux pas t’empêcher de fumer partout ou tu vas surtout quand tu es en vacances, loin des révisions, tu laisses plusieurs petits plaisirs prendre le dessus sur tout le reste. « SAAAAM C'EST PLUS GRAND QUE NOTRE APPART! » Tu rigoles alors que ta colocataire est toute excitée au fur et à mesure qu’elle découvre la chambre, il faut croire que les femmes aiment réellement les salles de bain, ce n’est donc pas une légende. Tu en apprends tous les jours depuis que tu habites avec Niamh et Naïa. « Notre appartement est pourtant vaste. » Tu refermes ta valise en écoutant la jeune femme alors qu’elle réapparaît finalement heureuse avec un sourire d’enfant prête à découvrir les USA armée de son appareil photo. Tu prends le téléphone et envoie un message à Primerose, même à l’autre bout du monde, tu ne peux pas t’empêcher d’avoir une pensée pour elle. Je donnerais rapidement des nouvelles. Je t’aime. Vous sortez enfin de la chambre en refermant derrière vous alors que la jeune femme à tes côtés continue la conversation avec le sourire. « Alors ... Par où on commence ? Je suis entièrement à ta merci, n'en profite pas pour me perdre ! » Tu attrapes son bras la fait transplaner sans plus attendre pour arriver dans un endroit que tu sais non fréquenté, après tout, tu es allé ici plus d’une fois. Tu attrapes sa main et l’attires dans la rue principale ou le monde apparaît petit à petit. Des boutiques à perte de vue. Tu regardes la jeune femme avec un léger sourire pour voir sa réaction. « Bienvenue à Times Square. L’un des endroits les plus fréquenté du monde. » Tu attends un instant qu’elle puisse observer les alentours, ce sont ses vacances et tu as le droit de choisir l’endroit seulement ça sera à elle de savoir quelles sont les boutiques qu’elle veut faire et les endroits ou elle veut manger, visiter et explorer. Tu es le guide, mais aussi celui qui va suivre tout le long du séjour. « Alors, ou allons nous princesse ? » Tu ne perds pas ce doux rictus alors que tu observes Niamh qui ne sait plus ou posé ses yeux, en même temps, il faut dire que c’est l’un des quartiers les plus impressionnant de la planète et pour quelqu’un qui n’a jamais vu tout ça, ça peut être surprenant. Tu attrapes son bras autour du tien pour ne pas la perdre de vu une seule seconde alors que vos vacances peuvent enfin commencer, tu es heureux de partager ce moment avec elle. Tu n’en perdras pas une seule miette. Ce moment rien qu’à vous.
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Mar 10 Avr 2018 - 13:20
new-york, la ville où tout est possible !
Le bonheur tient à peu de choses. Il tient à ces petits moments. Ces sourires. Ce genre de surprises inouïes et inatendues. Tu es heureuse et ne tiens pas à le masqué. Tu n’as jamais été habituée au luxe, au faste des chambres d’hôtel ou des restaurants, ce n’est pas ton monde, votre monde et pourtant tu pourrais y prendre goût. « Pas certains que se soit le cas pour moi. » Tu hausses un sourcil amusée par sa taquinerie, tout en sachant très bien que ça n’est rien de plus que de l’humour et tu le prends comme tel. Parce que tu le connais,lui. « Il ne faudrait pas perdre une minute ! » Pourtant, tu prends le temps d’aller te changer, tu enfiles quelque chose de plus confortable, de plus beau également, après tout : tu dois être parfaite à chaque instant. La taille et la beauté de la salle de bain te laisse sans voix, ou plutôt te fait en donner. Tu notifies qu’il y a une baignoire balnéo, avec des jets et des remous. Il faudra que tu testes ça ! Tu entends Samwell rire à côté tandis qu’il te rétorque que votre appartement n’est pas si petit que ça « oui, mais nous on a pas de bain à remou ! » dis-tu en revenant avec un petit rictus sur le coin des lèvres et un regard rieur.
Tu te laisses guider par ton compagnon, tu lui fais confiance. Vous transplanez et tu ne sais plus où donner de la tête quand tu réalises qu’il parle de Times Square. C’est un endroit écrasant, tu te sens minuscule et instinctivement ta main serre celle de Sam, comme pour t’assurer qu’il est toujours là, qu’il ne te lâchera pas. « C’est magnifique... » Magnifique, ce n’est peut-être pas le mot idéal, tu ne sais pas lequel pourrait correspondre à ce que tu ressens, à ce que tu vois. « Une seconde ... » tu prends ton appareil photo, tu cadres et déclenche. Tu sais toujours ce que tu dois prendre en photo, tu n’es pas du genre petit chinois en vacance. Tu aimes les jolis clichés. D’ailleurs, tu troques ton reflex pour ton téléphone et fais un petit signe du doigt à Sam « viens-là toi» avant de faire un selfie devant les grands immeubles. S’il n’aime pas les photos, le pauvre ne sait pas encore ce qui l’attend. Il te demande où vous allez, qu’est-ce que tu en sais. Tu réfléchis avant d’hausser les épaules tout en le regardant « je ne sais pas … on peut déjà se balader un peu et voir ce qu’on croise ? »
Les façades défilent, tu ne perds pas une seule seconde de ce que tu vois. Tu mémorises les bruits, les odeurs. Tu t’amuses des New-Yorkais, de leurs habitudes, de ces espèces de vendeurs à la criée qui vendent hot-dog, soupe, et probablement tout ce qui est vendable. C’est quelque chose qui ne se fait pas vraiment chez toi. Le dépaysement est total. Tu prends quelques clichés avant de t’arrêter devant un panneau de signalisation. Tu regardes Sam, regard pétillant, sourire juvénile « on bifurque !? » Broadway, l’intersection que tu attends depuis Inverness. But ultime de ta carrière. Vous passez devant les théatres les plus prestigieux, les affiches te font rêver, tu te fais submerger par l’émotion et te surprend à rêver à ton nom sur le sommet des encarts. un jour... Un jour tu sais que tu danseras, joueras ou te produira ici. Ce n’est pas une option. Du travaille dur pour arriver à ce résultat et rien ne te retient en irlande, tu t’imagines très aisément faire ta vie ici. Tu pourrais devenir une vraie New-Yorkaise rapidement. La progression cesse quand tu arrives devant l’affiche du Minskoff Theatre où est toujours programmé Le Roi lion, tu as entendu énormément de bien ce comédie musicale, tu te cale devant Sam posant une main sur son torse en jettant un regard vers l’affiche « Tu m’accompagneras ?» Ta moue est à la fois drôle et implorante, tu n’as pas envie d’y aller seule, mais tu comprendras sans problème qu’il préfère faire autre chose. Tes passions ne sont pas forcément les siennes, même si vous partager assez bien de chose, « s’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit » tu reproduis une scène mythique du dessin animé de ton enfance, celle où Simba et Nala tentent de convaincrent leurs mères. Peut-être que ça fonctionnera sur Sam ?
Tu te laisses guider par ton compagnon, tu lui fais confiance. Vous transplanez et tu ne sais plus où donner de la tête quand tu réalises qu’il parle de Times Square. C’est un endroit écrasant, tu te sens minuscule et instinctivement ta main serre celle de Sam, comme pour t’assurer qu’il est toujours là, qu’il ne te lâchera pas. « C’est magnifique... » Magnifique, ce n’est peut-être pas le mot idéal, tu ne sais pas lequel pourrait correspondre à ce que tu ressens, à ce que tu vois. « Une seconde ... » tu prends ton appareil photo, tu cadres et déclenche. Tu sais toujours ce que tu dois prendre en photo, tu n’es pas du genre petit chinois en vacance. Tu aimes les jolis clichés. D’ailleurs, tu troques ton reflex pour ton téléphone et fais un petit signe du doigt à Sam « viens-là toi» avant de faire un selfie devant les grands immeubles. S’il n’aime pas les photos, le pauvre ne sait pas encore ce qui l’attend. Il te demande où vous allez, qu’est-ce que tu en sais. Tu réfléchis avant d’hausser les épaules tout en le regardant « je ne sais pas … on peut déjà se balader un peu et voir ce qu’on croise ? »
Les façades défilent, tu ne perds pas une seule seconde de ce que tu vois. Tu mémorises les bruits, les odeurs. Tu t’amuses des New-Yorkais, de leurs habitudes, de ces espèces de vendeurs à la criée qui vendent hot-dog, soupe, et probablement tout ce qui est vendable. C’est quelque chose qui ne se fait pas vraiment chez toi. Le dépaysement est total. Tu prends quelques clichés avant de t’arrêter devant un panneau de signalisation. Tu regardes Sam, regard pétillant, sourire juvénile « on bifurque !? » Broadway, l’intersection que tu attends depuis Inverness. But ultime de ta carrière. Vous passez devant les théatres les plus prestigieux, les affiches te font rêver, tu te fais submerger par l’émotion et te surprend à rêver à ton nom sur le sommet des encarts. un jour... Un jour tu sais que tu danseras, joueras ou te produira ici. Ce n’est pas une option. Du travaille dur pour arriver à ce résultat et rien ne te retient en irlande, tu t’imagines très aisément faire ta vie ici. Tu pourrais devenir une vraie New-Yorkaise rapidement. La progression cesse quand tu arrives devant l’affiche du Minskoff Theatre où est toujours programmé Le Roi lion, tu as entendu énormément de bien ce comédie musicale, tu te cale devant Sam posant une main sur son torse en jettant un regard vers l’affiche « Tu m’accompagneras ?» Ta moue est à la fois drôle et implorante, tu n’as pas envie d’y aller seule, mais tu comprendras sans problème qu’il préfère faire autre chose. Tes passions ne sont pas forcément les siennes, même si vous partager assez bien de chose, « s’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit » tu reproduis une scène mythique du dessin animé de ton enfance, celle où Simba et Nala tentent de convaincrent leurs mères. Peut-être que ça fonctionnera sur Sam ?
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Dim 15 Avr 2018 - 21:27
Vous n’avez pas le temps de rester plus longtemps dans la chambre, il faut faire tellement de choses en si peu de temps, c’est tellement vaste, et même si tu connais l’endroit mieux que personne elle ne pourra malheureusement pas tout voir, mais au moin, elle pourra dire en rentrant qu’elle a passée des vacances inoubliables. Tu vas du moins faire tout ton possible pour que se soit le cas. Vous arrivez rapidement à Times Square alors que la jeune femme découvre avec le sourire le premier lieu de visite que tu as décidé pour vous, elle attrape ta main pour ne pas te perdre impressionnée par tout ce monde et ajoute qu’elle trouve tout ça magnifique. « C’est le mot. » Tu laisses un léger sourire prendre place sur ton visage alors que tu ne peux qu’approuver ce que vient de dire la jeune femme, c’est dans ce genre de moment qu’il est impossible de ne pas aimer le simple fait de vivre, et même si c’est en pleine ville, les possibilités sont infini. Pas le temps de s’ennuyer, de se morfondre et de laisser des pensées néfastes prendre place dans son esprit. C’est le plus important pour le moment, laissé la magie vous emportez pour passer un moment rien que pour vous. Un véritable rayon de soleil cette femme, tu le penses depuis le premier jour ou tu es arrivé dans cette salle de musique à la recherche de Penelope. C’est un peu grâce à elle d’ailleurs que tu peux vivre un lien aussi spécial avec Niamh et elle ne le sait même pas. Elle attrape son appareil photo et tu viens avec elle pour prendre la pose devant tout ce qu’elle veut, ça ne te dérange pas les photos, au contraire ça sera un bon moyen de pouvoir montrer à tout le monde une fois de retour ce que vous avez fait et ce que vous avez vu sur place. Ça viendra s’ajouter aux mots. Tu fais des grimaces, rigole et prend des poses improbables alors que personnes n’a le temps de juger, c’est aussi ça les USA. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez, pas de témoins. Pas de juges. « Oui, faisons ça. » Se balader et voir sur le moment, c’est une très bonne idée et c’est à elle de choisir pour le coup. Elle peut faire tout ce qu’elle veut de toi aujourd’hui et dans les jours à venir. Direction Broadway, tu peux voir des étoiles dans les yeux de ton amie connaissant l’intensité de son rêve et c’est sûrement ici que viennent les plus grands de ce domaine. Tu n’as aucun doute sur sa réussite, tu n’es pas le genre de personne à dire ça pour faire plaisir ou à être obligé de devoir le penser, c’est simplement que Niamh va réussir dans la vie. Tu le sais, c’est comme ça. C’est même une évidence. Elle prend des photos et regarde chaque affiche, vous prenez votre temps et tu prends le temps d’apprécier chaque seconde avec elle en voyant dans son regard à quel point elle est heureuse. Le simple fait qu’elle soit bien en ce moment même, ça n’a tout simplement pas de prix. C’est alors qu’après sa main, elle vient poser ses yeux de chatons sur toi pour que tu dises oui à aller voir une pièce avec elle, une comédie musicale plutôt. Le Roi Lion. Tu ne sais absolument pas ce que c’est, mais rien que le titre ça n’a pas l’air bien passionnant. Tu lèves un sourcil et obliges le rictus à prendre place. « Bien sûr qu’on va aller le voir. » Tu n’as pas le droit de ne lui dire non, pas pendant plusieurs jours et tu dois accepter cette promesse que tu as faite à toi-même, si elle veut aller voir le Roi Lion alors tu vas aller avec elle sans aucune hésitation. « Mais si jamais ce n’est pas bien, je te mange. » Tu acquises légèrement et ferme les yeux, tu viens de faire une blague comme à ton habitude, mais c’est aussi pour lui faire comprendre qu’il ne faut pas perdre son temps à aller voir des navets. Donc, tu ne voudrais pas que ce spectacle en soit un. Tu attrapes son bras pour continuer la visite, vous avez le temps de vous décider alors que l’odeur commence à se faire sentir, l’odeur d’un vrai Hot-Dog. « Tu veux manger la meilleure bouffe de toute ta vie ? » Tu lui fais un clin d’œil, elle n’est sûrement pas prête pour tout ce plaisir que tu vas lui offrir. Tu vas commander un Hot-Dog pour toi et attend la réponse de la jeune femme, elle doit regarder les sauces et tout le reste parce qu'elle se trouve actuellement dans le meilleur endroit au monde pour manger ce genre de nourriture. Elle doit le savoir et va sûrement comme toi en profiter un maximum.
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Mar 17 Avr 2018 - 9:15
new-york, la ville où tout est possible !
Pas le temps de niaiser, les minutes vous sont comptées, pas une seule à gaspiller. Il t'emmène sur Time Square et tu n'as pas assez de tes deux yeux pour observer tout ce qui t'entoure, alors tu les fermes une seconde pour t'imprégner, pour capter l'essence du lieu avant de les rouvrir. Ton sourire doit être contagieux car un similaire vient éclairer le visage de Sam. Sourire partagé qui élargit encore le tiens, c'est comment ça, tu ne sais pas pourquoi mais dès la première fois son sourire t'a fait du bien et encore aujourd’hui rien n'a pas changé, sauf que désormais ce sourire tu peux le voir tous les jours, c'est plutôt sympa non ? Tu tentes de capturer la vie qui vous entoure dans ce qui sera un cliché fixe, tu les préfères tellement aux photo sorcières. Ici, il faut avoir une idée, une vision pour rendre justice à ce que tu vois, la version sorcière est plus ... moins ... parfaite ? Oui, probablement. Le mouvement gâche la perfection. Il enlève le coté unique. Tu prends tes photos, puis invite – ou plutôt oblige – Sam pour quelques photos souvenirs, il se prête au jeu et vous arrivez à sortir quelques grimaces qui feront de merveilleux clichés. Rien de tel que les grimaces pour des portraits réussis, mais il en faut au moins une correcte et tu n'as aucun doute sur le fait que tu auras ce que tu veux.
Quoi de mieux que de flâner ? Déambuler le long des rues immenses ? Il y a tellement de choses à voir, tellement de couleurs, de vie simplement que ton cerveau est saturé d'informations. Tu adores déjà cette ville. Elle est tout ce que tu as toujours voulu, toi qui ne t'es jamais sentie à ta place en Irlande, te voilà à l'aise dans l'une des villes les plus peuplées du monde. Tes pas - ton cœur ? - te mènent à Broadway. Une émotion te submerge, tes rêves d'enfants, les longues discussions que tu avais avec tes parents quand tu abordais le sujet, leurs encouragements, mais aussi la fierté d'être déjà arrivée là où tu es. Cette réussite que tu étales aux yeux d'Aaron, ce frère abusif, pour lui prouver que tu peux le faire, que tu vaux plus qu'il ne l'admettra jamais. C'est tellement d'émotions que tu en reste sans voix. Comment est-ce possible qu'un simple endroit, bâtiments centenaires, rue bondée, te donne des frissons ? C'est irrationnelle, c'est inexplicable. Tu te rends compte que ton rêve, tu peux le toucher du bout des doigts. Il ne te faudrait pas beaucoup pour y parvenir, tu en es persuadée. Ton regard glisse sur une affiche, un sourire se pose sur tes lèvres et tu te tournes vers Sam l'air suppliant pour lui demander s'il t'accompagnerait. Petite moue de chaton. Tête légèrement inclinée. Il cède sans trop de difficulté, bien que tu entends une légère réserve dans sa voix. Tu sautilles sur place et embrasse sa joue comme l'enfant que tu es redevenue durant quelques secondes avant de le regarder amusée. Tu arques un sourcil, humidifie tes lèvres avant de répondre à sa taquinerie avec un petit air de défis, tant dans la voix que le regard « c'est moi qui vais te manger oui » un rire léger s'échappe et tu reprends en le bousculant sans trop de ménagement « Allez avance ! New-York n'attends pas ! » Tu aimes bien le bousculer, parce que t'y met toute ta petite force, mais il bouge pas l'américain, alors ça t'amuse forcément. Il attrape ton bras et tu te laisses emporter, la visite continue. Les surprises aussi. Sam te demande si tu veux manger la meilleure bouffe de ta vie et tu es curieuse, jusqu'à ce qu'il s'arrête devant un truc de hot-dog. Sérieux? Ton regard laisse clairement transparaître un doute. Si la meilleure bouffe de ta vie se résume en une saucisse emprisonnée dans un bout de pain, la gastronomie en prendrait un sacré coup dans l'aile. Tu es là pour faire des expériences, non ? Tu regardes la carte puis totalement dépassée par cette commande inhabituelle, tu finis par venir te caler à ses côtés « La même chose pour moi » t'y connais rien, alors autant faire comme lui, tu supposes ne pas succomber à une intoxication alimentaire. Une fois le saint Graal en main, tu goûtes du bout des lèvres, prudente, précieuse presque. Tu goûtes le pain en premier, tu as un amour incommensurable pour le pain depuis tu es gamine. Il est plutôt bon. La saucisse glisse doucement entre tes lèvres, la chaleur qui s'en dégage t'avertis, tu retires, souffle pour refroidir le bout avant de le faire glisser à nouveau dans ta bouche. Tu mords. Tourne le regard vers Sam hochant la tête, avec un petit gémissement appréciateur, mordant à nouveau dans le sandwich. « Pas mauvais ... » C'est même carrément bon. Tu essuies un peu de sauce sur le coin de tes lèvres du bout du doigt, il faut rester un minimum présentable. Oui enfin ... Discrètement tu déclenches ton appareil photo, cadrant un Sam par vraiment à son avantage, mais tellement drôle et naturel avant de reprendre le chemin d'une autre curiosité. L'empire State Building.
Quoi de mieux que de flâner ? Déambuler le long des rues immenses ? Il y a tellement de choses à voir, tellement de couleurs, de vie simplement que ton cerveau est saturé d'informations. Tu adores déjà cette ville. Elle est tout ce que tu as toujours voulu, toi qui ne t'es jamais sentie à ta place en Irlande, te voilà à l'aise dans l'une des villes les plus peuplées du monde. Tes pas - ton cœur ? - te mènent à Broadway. Une émotion te submerge, tes rêves d'enfants, les longues discussions que tu avais avec tes parents quand tu abordais le sujet, leurs encouragements, mais aussi la fierté d'être déjà arrivée là où tu es. Cette réussite que tu étales aux yeux d'Aaron, ce frère abusif, pour lui prouver que tu peux le faire, que tu vaux plus qu'il ne l'admettra jamais. C'est tellement d'émotions que tu en reste sans voix. Comment est-ce possible qu'un simple endroit, bâtiments centenaires, rue bondée, te donne des frissons ? C'est irrationnelle, c'est inexplicable. Tu te rends compte que ton rêve, tu peux le toucher du bout des doigts. Il ne te faudrait pas beaucoup pour y parvenir, tu en es persuadée. Ton regard glisse sur une affiche, un sourire se pose sur tes lèvres et tu te tournes vers Sam l'air suppliant pour lui demander s'il t'accompagnerait. Petite moue de chaton. Tête légèrement inclinée. Il cède sans trop de difficulté, bien que tu entends une légère réserve dans sa voix. Tu sautilles sur place et embrasse sa joue comme l'enfant que tu es redevenue durant quelques secondes avant de le regarder amusée. Tu arques un sourcil, humidifie tes lèvres avant de répondre à sa taquinerie avec un petit air de défis, tant dans la voix que le regard « c'est moi qui vais te manger oui » un rire léger s'échappe et tu reprends en le bousculant sans trop de ménagement « Allez avance ! New-York n'attends pas ! » Tu aimes bien le bousculer, parce que t'y met toute ta petite force, mais il bouge pas l'américain, alors ça t'amuse forcément. Il attrape ton bras et tu te laisses emporter, la visite continue. Les surprises aussi. Sam te demande si tu veux manger la meilleure bouffe de ta vie et tu es curieuse, jusqu'à ce qu'il s'arrête devant un truc de hot-dog. Sérieux? Ton regard laisse clairement transparaître un doute. Si la meilleure bouffe de ta vie se résume en une saucisse emprisonnée dans un bout de pain, la gastronomie en prendrait un sacré coup dans l'aile. Tu es là pour faire des expériences, non ? Tu regardes la carte puis totalement dépassée par cette commande inhabituelle, tu finis par venir te caler à ses côtés « La même chose pour moi » t'y connais rien, alors autant faire comme lui, tu supposes ne pas succomber à une intoxication alimentaire. Une fois le saint Graal en main, tu goûtes du bout des lèvres, prudente, précieuse presque. Tu goûtes le pain en premier, tu as un amour incommensurable pour le pain depuis tu es gamine. Il est plutôt bon. La saucisse glisse doucement entre tes lèvres, la chaleur qui s'en dégage t'avertis, tu retires, souffle pour refroidir le bout avant de le faire glisser à nouveau dans ta bouche. Tu mords. Tourne le regard vers Sam hochant la tête, avec un petit gémissement appréciateur, mordant à nouveau dans le sandwich. « Pas mauvais ... » C'est même carrément bon. Tu essuies un peu de sauce sur le coin de tes lèvres du bout du doigt, il faut rester un minimum présentable. Oui enfin ... Discrètement tu déclenches ton appareil photo, cadrant un Sam par vraiment à son avantage, mais tellement drôle et naturel avant de reprendre le chemin d'une autre curiosité. L'empire State Building.
- c'est cadeau :
- InvitéInvité
Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Dim 22 Avr 2018 - 21:46
Vous avez depuis votre rencontre cette complicité et cette symbiose à toute épreuve alors que très rapidement, elle est arrivée à l’appartement pour prendre la chambre de libre alors qu’avec Naïa, tu partageais l’endroit depuis plusieurs mois déjà. Vous savez rigoler ensembles et le simple fait que tu sois là à faire des photos avec la jeune femme et lui promettre une comédie musicale qui tu sais n’est pas du tout ton délire, c’est que tu es très attaché à elle. « c'est moi qui vais te manger oui » Tu rigoles alors que la jeune femme prend un malin plaisir comme toujours à taquiner le grand garçon que tu es, vous avez l’habitude maintenant et ça ne te surprend même plus. C’est un peu comme une petite sœur, sauf qu’elle n’est pas ta sœur et que votre passé confirme encore une fois que vous n’êtes pas liés par le sang, mais par un lien bien plus précieux. C’est un peu comme une petite sœur, sauf qu’elle n’est pas ta sœur et que votre passé confirme encore une fois que vous n’êtes pas liés par le sang, mais par un lien bien plus précieux. « Ce n'est pas bientôt terminé le kangourou. » Tu aimes nommer tes proches par des noms d’animaux, mais pour celui-ci il faut avouer que c’est bien une première. La visite continue et alors que la jeune femme se colle à toi pour la promenade, tu vas acheter des Hot Dog, elle décide de prendre la même chose que toi et fait un commentaire sur l’aliment plutôt positif, ce qui a pour seul effet de te faire plaisir. Tu croques dans le tien et ferme les yeux comme pour savourer l’essence même des USA, voilà enfin un Hot Dog comme tu aimes, ce n’est pas trop tôt. « Tu m’avais manqué. » Oui, tu parles à ta nourriture et ce n’est pas la première fois, un véritable estomac sur pattes qui ne sait pas quand, et même comment s’arrêter de manger. C’est comme ça depuis toujours et tu as du mal à détourner les yeux quand un buffet à volonté se montre devant toi, dans ce genre de situation l’un des deux n’en sort pas vainqueur et c’est rarement toi. Tu lèves les yeux avec un morceau de pain et de saucisse encore dans la bouche alors qu’un flash montre que la jeune femme vient de prendre un cliché, elle est fière d’elle en plus. Tu la regardes totalement outrer avant de te mettre à rigoler en essayant de lui prendre son appareil, mais elle ne se laisse pas faire la furie. « Oeil pour œil ! » Tu abandonnes finalement et lui ébouriffe les cheveux comme pour te venger, ça, tu peux le faire assez facilement. Vous arrivez devant l’empire State building alors que la marche vient de reprendre depuis un petit moment, c’est un endroit magnifique et il faut absolument que Niamh puisse voir ça au moins une fois dans sa vie, la première fois que tu as monté le gratte-ciel, tu n’as pas réussi à trouver les mots pour décrire ce genre de sensation. C’est tout simplement dingue. Tu donnes l’argent à l’entrée et passe tes affaires au détecteur, tout est très bien surveillé, il faut dire et c’est compliqué d’aller en haut avec un sac. Vous rentrez dans l’ascenseur avec quelques personnes, tu attrapes son bras et la ramènes vers toi. « Ne t’éloigne pas. » Tu agis un peu comme un grand frère en ce moment même, mais tu ne veux surtout pas la perdre, après ça sera impossible de la retrouver avec tout le monde présent. Vous arrivez enfin et les portes s’ouvre sur un immense salon avec un bar et un entourage entièrement vitré, une vue à plusieurs centaines de mètres. « Bienvenue au paradis ma Nini. »
- InvitéInvité
Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Mar 24 Avr 2018 - 22:44
new-york, la ville où tout est possible !
Tu aimes quand c’est simple. Vrai. Pur. C’est ce que vous vivez ensembles, rien de calculé, jamais. Pas même ce dérapage dans ta chambre qui tourne encore dans ta tête certains jours. Avec lui tu sais être toi, vraie, sincère, tu peux t’amuser sans faire attention parce qu’il est comme toi. Parce qu’il te comprend. Encore ici, il te fait plaisir, tu le sais, tu le lis dans son regard, mais il fait l’effort. Gentil Sammy. Tu le taquines, le bouscule et il rigole, ton rire se mêle au siens. A vous voir, on croirait sans soucis des amis de toujours tant la complicité crève les yeux. « Kangouru ? Je ne cesserais jamais de t’embêter Babar », tu lui lance un regard en coin, amusée de ta référence au pyjama que tu lui a offert il y a quelques semaines de ça. C’est affectueux, il le sait. Vous continuez la visite, il te guide, joue son rôle à merveille, mais tu n’en attendais pas moins venant de lui. Il est toujours là où tu l’attends. Décidé à te surprendre, il te propose un hot-dog, pourquoi pas. Ce n’est pas la base de ton alimentation en général, mais tu es là pour vivre comme une new-yorkaise, alors tu lui fais confiance, tu choisis la même chose que ton ami avec une pointe de scepticisme tout de même au fond de ton esprit. Moins septique que toi, Sam parle à son sandwich comme à un vieil ami, cet être cher qui lui a manqué, cette part de lui retrouvée et son attitude t’amuse beaucoup, sa bouche pleine, la sauce qui colle, tu captures l’instant, incapable de lui laisser oublier ce moment. Déclencheur. Flash. Rien ne permet de douter que tu as prit cette photo sous le regard totalement outré de Sam, avant tout de même de le voir rire. Il tente de prendre ton appareil, mais ce n’est pas chose facile, tu es petite et rapide. Tu ries en exécutant des petits pas de côtés pour lui échapper. Sa main ébouriffes tes cheveux et tu lui lances un regard noir. On ne déconne pas avec les cheveux. Son regard soutient le tiens quelques secondes, tu gardes ton sérieux et éclate finalement de rire, tu n’es absolument pas crédible quand il s’agit de lui faire la tête. C’est mission impossible.
L’Empire State Building, ce bâtiment mythique, gigantesque, tu prends le temps de l’observer, tu inscris chaque détails dans ta mémoire afin de le garder pour toujours avec toi. Vous pénétrez dans l’ascenseur et Sam te ramène à lui, te demandant de ne pas t’éloigner. Pourquoi est-ce que tu voudrais t’éloigner ? Tu es bien là. Tu joues ton rôle de petite sœur à la perfection, tu forces le trait en prenant son bras dans le tiens, accrochée comme si ta vie en dépendait, un léger sourire moqueur au coin des lèvres. Les portes finissent par s’ouvrir et vous avancez vers un spectacle qui te laisse sans voix. Tes yeux balaient l’horizon, tu ne fais plus attention aux personnes présentent, tu t’avances vers les grandes baies vitrées et pose tes mains sur la barre de protection. Tu pourrais rester là des heures, tout semble minuscule d’ici. Ta vie semble sans intérêt face à cette immensité. Tes iris sombres sont capturées par l’Hudson, les grands building, tu souris et en même temps tu es submergée par une vague d’émotion, de nostalgie. C’était un projet que tu avais avec tes parents, Ian le savait, ton cœur se serre à cette pensée tandis qu’une unique larme roule discrètement le long de ta joue. Tu aimerais que ton jumeau soit présent, qu’il te prenne dans ses bras pour qu’ensemble vous soyez plus forts. Comme toujours. Du bout de la langue tu récupères la goutte salée au coin de tes lèvres pour ne pas porter ta main à ta joue, tu ne souhaites pas attirer l’attention. Il te faut quelques minutes pour reprendre tes esprits. Tu jettes un regard à tes côtés, tu as senti la présence de Sam, silencieux, il est juste là. C’est très bien comme ça. Quelques photos, c’est impossible de passer outre. Tu récupères ton sourire. Après tout, c’est un moment gai. Tu es chanceuse Niamh, tu dois l’admettre. « Je ne pensais pas qu’un simple endroit pouvait procurer autant de sentiments différents... » dis-tu simplement tout en continuant de regarder l’horizon, ta tête se déposant sur se bras de Sam.
Tu es nostalgique quand tu redescends en bas de l’immeuble, mais ton regard croise celui de l’américain qui souris, tu sens ton sourire retrouver sa place sur tes lèvres, là où il devrait toujours être, là où il se trouve très souvent quand vous êtes ensembles. Tu embarques ton ami à la dérive des rues, jusqu’à vous retrouvez aux portes du poumon vert de New-York, Central Park. Tu prends la main de Sam pour entrer, hors de question de le perdre ici. Vous avancez, tu t’émerveilles des décors, de la beauté de la nature modulée par l’homme. Tu captures l’instant, lui, toi, vous. Vous avancez jusqu’au Delacorte Theater. Il y a toujours des pièces de théâtres ici en été, aujourd’hui c’est un piano qui trône au centre de l’estrade.
Quelques personnes déambulent, tu lances un regard à Sam en souriant, un sourire avec tellement de chose derrière. Tu l’attires dans ton sillage et joue du popotin pour t’installer sur le tabouret du piano. Tes doigts glissent sur le clavier, tu connais la musique, ta mère aimait cette chanson, vous la jouiez souvent chez toi «And I never thought I'd feel this way, and as far as I'm concerned. I'm glad I got the chance to say that I do believe, I love you and if I should ever go away, well, then close your eyes and try to feel the way we do today. And then if you can remember, keep smiling, keep shining. Knowing you can always count on me, for sure that's what friends are for, for good times and bad times. I'll be on your side forever more, that's what friends are for» pas une seule fois tu ne baisses les yeux, cette chanson est pour lui, pour qu’il comprenne la place qu’il a dans ta vie, l’importance qu’il a prit en si peu de temps. Tu souris. Tu es heureuse et a ta place derrière ce clavier, le publique autours de toi, tu pourrais faire ça durant des heures, mais un couplet, un refrain et tu cèdes la place au suivant sous quelques applaudissements. Tu fais une petite révérénce amusée avant de reprendre ta place aux côtés de Sam, une lueur dans le regard. Toi qui est d’ordinaire réservée sur tes sentiments, tu cultives une certaine pudeur que tu as laissé tomber aujourd’hui. Parce qu’il le mérite. Tes iris dans les siennes, tu le prends dans tes bras, pose ton menton sur son torse, tu lui souris sincèrement « merci sam … pour tout ce que tu as fait, ce que tu fais toujours. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi... » Tu n’exagères qu’à peine, tu continuerais ta vie, probablement, mais tu ne serais pas aussi bien. Tu n’arriverais pas à te reconstruire comme tu le fais grâce à son soutient, sa bonne humeur. Il est devenu un pilier de ta vie et jamais tu ne pourras lui rendre ce qu’il t’apporte.
L’Empire State Building, ce bâtiment mythique, gigantesque, tu prends le temps de l’observer, tu inscris chaque détails dans ta mémoire afin de le garder pour toujours avec toi. Vous pénétrez dans l’ascenseur et Sam te ramène à lui, te demandant de ne pas t’éloigner. Pourquoi est-ce que tu voudrais t’éloigner ? Tu es bien là. Tu joues ton rôle de petite sœur à la perfection, tu forces le trait en prenant son bras dans le tiens, accrochée comme si ta vie en dépendait, un léger sourire moqueur au coin des lèvres. Les portes finissent par s’ouvrir et vous avancez vers un spectacle qui te laisse sans voix. Tes yeux balaient l’horizon, tu ne fais plus attention aux personnes présentent, tu t’avances vers les grandes baies vitrées et pose tes mains sur la barre de protection. Tu pourrais rester là des heures, tout semble minuscule d’ici. Ta vie semble sans intérêt face à cette immensité. Tes iris sombres sont capturées par l’Hudson, les grands building, tu souris et en même temps tu es submergée par une vague d’émotion, de nostalgie. C’était un projet que tu avais avec tes parents, Ian le savait, ton cœur se serre à cette pensée tandis qu’une unique larme roule discrètement le long de ta joue. Tu aimerais que ton jumeau soit présent, qu’il te prenne dans ses bras pour qu’ensemble vous soyez plus forts. Comme toujours. Du bout de la langue tu récupères la goutte salée au coin de tes lèvres pour ne pas porter ta main à ta joue, tu ne souhaites pas attirer l’attention. Il te faut quelques minutes pour reprendre tes esprits. Tu jettes un regard à tes côtés, tu as senti la présence de Sam, silencieux, il est juste là. C’est très bien comme ça. Quelques photos, c’est impossible de passer outre. Tu récupères ton sourire. Après tout, c’est un moment gai. Tu es chanceuse Niamh, tu dois l’admettre. « Je ne pensais pas qu’un simple endroit pouvait procurer autant de sentiments différents... » dis-tu simplement tout en continuant de regarder l’horizon, ta tête se déposant sur se bras de Sam.
Tu es nostalgique quand tu redescends en bas de l’immeuble, mais ton regard croise celui de l’américain qui souris, tu sens ton sourire retrouver sa place sur tes lèvres, là où il devrait toujours être, là où il se trouve très souvent quand vous êtes ensembles. Tu embarques ton ami à la dérive des rues, jusqu’à vous retrouvez aux portes du poumon vert de New-York, Central Park. Tu prends la main de Sam pour entrer, hors de question de le perdre ici. Vous avancez, tu t’émerveilles des décors, de la beauté de la nature modulée par l’homme. Tu captures l’instant, lui, toi, vous. Vous avancez jusqu’au Delacorte Theater. Il y a toujours des pièces de théâtres ici en été, aujourd’hui c’est un piano qui trône au centre de l’estrade.
Quelques personnes déambulent, tu lances un regard à Sam en souriant, un sourire avec tellement de chose derrière. Tu l’attires dans ton sillage et joue du popotin pour t’installer sur le tabouret du piano. Tes doigts glissent sur le clavier, tu connais la musique, ta mère aimait cette chanson, vous la jouiez souvent chez toi «And I never thought I'd feel this way, and as far as I'm concerned. I'm glad I got the chance to say that I do believe, I love you and if I should ever go away, well, then close your eyes and try to feel the way we do today. And then if you can remember, keep smiling, keep shining. Knowing you can always count on me, for sure that's what friends are for, for good times and bad times. I'll be on your side forever more, that's what friends are for» pas une seule fois tu ne baisses les yeux, cette chanson est pour lui, pour qu’il comprenne la place qu’il a dans ta vie, l’importance qu’il a prit en si peu de temps. Tu souris. Tu es heureuse et a ta place derrière ce clavier, le publique autours de toi, tu pourrais faire ça durant des heures, mais un couplet, un refrain et tu cèdes la place au suivant sous quelques applaudissements. Tu fais une petite révérénce amusée avant de reprendre ta place aux côtés de Sam, une lueur dans le regard. Toi qui est d’ordinaire réservée sur tes sentiments, tu cultives une certaine pudeur que tu as laissé tomber aujourd’hui. Parce qu’il le mérite. Tes iris dans les siennes, tu le prends dans tes bras, pose ton menton sur son torse, tu lui souris sincèrement « merci sam … pour tout ce que tu as fait, ce que tu fais toujours. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi... » Tu n’exagères qu’à peine, tu continuerais ta vie, probablement, mais tu ne serais pas aussi bien. Tu n’arriverais pas à te reconstruire comme tu le fais grâce à son soutient, sa bonne humeur. Il est devenu un pilier de ta vie et jamais tu ne pourras lui rendre ce qu’il t’apporte.
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Mer 2 Mai 2018 - 21:23
C’est un Kangourou et tu es un Éléphant alors que vos rires en parfaites harmonies sont dissimulés par la foule et un bruit présent dans toutes les plus grandes villes du monde, c’est une habitude à prendre qui fait qu’ensuite tu ne te rend même pas compte. Vous êtes maintenant à plusieurs centaines de mètres du sol et la réaction de Niamh est à la hauteur de ce que tu pouvais attendre d’un tel spectacle. Elle pose sa tête sur ton bras et à cet instant précis vous êtes seuls au monde alors que tu viens sourire naturellement à sa remarque sans prendre la peine de la regarder, tu réponds simplement avec sincérité. « Je sais. » C’est vraiment magnifique et tu avais presque oublié à quel point alors qu’à nouveau, tes yeux peuvent admirer cette vue que tu ne peux admirer dans aucun autre endroit sur terre. C’est un véritable privilège d’être ici en ce moment et ton amie le sait, c’est une évidence, elle profite de chaque seconde et prend même quelques photos pour créer de nouveaux souvenirs, elle a bien raison. Mais chaque chose arrive à un moment à son terme alors que vous êtes en route pour sortir de l’établissement et aller vers Central Park, un endroit que rêve sûrement de voir la jeune femme depuis un moment alors qu’elle attrape ta main sûrement pour ne pas te perdre. Une belle initiative. Tu n’as pas besoin de parler, il est facile de voir dans son regard à quel point ce moment est unique pour elle et il l’est tout autant pour toi, c’est quelque chose que tu ne pourras jamais oublier alors qu’une vague de frisson commence à prendre possession de toi. Peu à peu, tu réalises à quel point cette jeune femme est importante pour toi, tu veux qu’elle soit heureuse et tu pourras toujours faire ce qu’il faut pour que ton rôle d’ami soit accompli à la perfection. Elle ne doit plus jamais être triste, plus jamais pleurer et doit simplement sourire. Tu veux qu’elle soit heureuse.
Vous arrivez devant une place avec un piano, alors qu’un sourire à nouveau prend place sur ton visage, tu n’as pas envie de jouer pour le moment alors que tu es en vacances justement pour oublier ce que tu fais en Écosse. Mais tu n’avais pas pensé une seule seconde que la jeune femme voudrait, elle monter sur le petit tabouret et commencer à jouer du clavier avec bonheur et enthousiasme alors que tu commences à observer chacun de ses faits et gestes. Elle commence à chanter, elle le fait pour toi et seulement pour toi. Tu ne sais pas quoi dire, elle n’arrête pas chaque jour de t’impressionner un peu plus dans le bon sens du terme alors qu’une nouvelle vague de bonheur parcourt chaque partie de ton corps. Tu es totalement sous l’emprise d’autant d’amour distribué par ta colocataire. Alors qu’elle termine doucement, tu applaudis en oubliant totalement chaque personne présente en ce moment même dans le parc alors que la jeune femme commence à revenir dans ta direction. Alors que tu vas pour commencer à parler, elle devance chacun de tes gestes ou mots et t’enlace en posant son menton contre ton torse alors que ses iris viennent se perdent dans les tiens. Tu souris sincèrement. « Je suis là. » Simplement trois mots et pourtant elle doit se douter à quel point ils sont importants, à quel point ils sont sincères et vrais. Tu vas tenir cette promesse, et même si tu ne le dis pas directement, il est certain que ta loyauté parle à ta place et la jeune femme le sait mieux que personne, tu as bien l’intention de veiller sur elle pour les années à venir. La journée est déjà presque terminée alors que mine de rien, vous avez visité tellement de lieux, après tout demain sera tout autant riche et il faudrait peut-être rentrer pour la soirée et repartir demain, vous avez une soirée au restaurant dans la semaine et plusieurs nuits de prévus donc il faudra sûrement dormir ce soir pour être en forme pour le reste du voyage. Tu commences à avoir mal aux pieds et à fatiguer. « Nous devrions rentrer à l’hôtel. » C’est d’ailleurs ce que vous faites rapidement alors que cette première journée est un véritable succès.
Une fois sur place, tu laisses ta veste tomber sur le lit et tombe presque dans un fauteuil pour prendre une minute et reposer les jambes, il faut dire que ça fait un moment que vous êtes en mouvement et il va falloir une bonne nuit de sommeil pour s’en remettre. Tu rentres chez toi, mais ça reste quand même un voyage et la fatigue du coup est forcément au rendez-vous. Tu tournes la tête et vois que Niamh à déjà disparue, elle doit se démaquiller ou faire des choses de filles après tout ce n’est pas une véritable pile électrique pour rien. Tu regardes par la vitre, immense qui donne une vue tout simplement magnifique sur la grande ville de New York.
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Sam 5 Mai 2018 - 18:19
new-york, la ville où tout est possible !
Tu as toujours été persuadée de la beauté de cette ville, tu savais savais au fond de toi que quand tu viendrais à sa rencontre, ça serait pour un coup de foudre. Tu ne t'étais pas trompée Niamh. Tout ce qui s'offre à toi te donne une raison de sourire, une raison d'en vouloir plus, mais aussi une raison d'être reconnaissante que ça soit à ton frère pour son cadeau, à Sam parce qu'il a accepté de te suivre ou à Dieu qui te permet de vivre ce bonheur dans une vie déjà bien remplie. Poussée par la passion, l'émotion, tu t'installes derrière le piano qui trône fièrement sur l'estrade, tu n'es pas intimidée, tu es habituée au concert, même si cette fois c'est un peu différent puisqu'au fond tu n'as qu'un seul spectateur, le seul à qui la chanson est dédiée. C'est quelque chose que tu n'as pas fait plus de deux ou trois fois ; chanter pour quelqu'un en particulier demande de la concentration, de la certitude aussi. Tu ne peux pas te laisser gagner par l'émotion plus puissante qu'à l'ordinaire, il semble touché par l'attention, tu as réussis à le toucher, c'était l'un des buts de la manœuvre, mais après tout ce qu'il a fait pour toi, ce n'est même pas encore suffisant à tes yeux. Pourtant, tu t'es mise un peu plus à nu sur cette scène. Toi qui ne te confies jamais, qui ne dit jamais aux gens combien tu les aimes par peur de les voir s'enfuir, tu as ouvert ton cœur aujourd'hui, parce que tu sais qu'il ne fuira pas. Il n'est pas ce genre d'homme. Il applaudit et tu fais une légère révérence amusée, tu salues le public et laisse la place à la personne suivante. Les rues de New-York sont remplie de talents. La scène à quelque chose de mignon, d'irréel presque pour toi, pourtant tu es bien. Sincère. Tu souris tandis que vos regards se croisent, il t'assure de sa présence et ton sourire s'élargit, tu hoches simplement la tête, tu pourrais ajouter que tu sais, mais tu n'en a pas besoin, il sait que tu sais qu'il sait – comment ça il y a trop de savoir ? .
Si tu es excitée à l'idée de passer du temps dans cette ville merveilleuse, il n'en est pas moins que lorsque Sam suggère de rentrer à l'hôtel tu lui sauterais au cou. Dieu merci ! Tu n'en peux plus. Tu es fatiguée, tu rêves de manger quelque chose en pyjama en regardant un film – et probablement sombrer dans un sommeil profond après seulement vingt minutes. Tu te promets de faire un petit message à ton frère une fois rentrée à l'hôtel, tu vas lui faire vivre ce voyage comme s'il était là. A peine dans la chambre, comme toute femme qui se respecte tu envoies balader tes chaussures et tandis que Sam prend possession du lit, tu vas vers la salle de bain. Un bain chaud. Le bruit de l'eau est un soulagement en soi, ce clapotis prometteur d'un moment, tu relèves tes cheveux dans un chignon négligé, juste pour ne pas les mouillés et te déshabille. La petite robe rouge est rapidement enlevée. Les portes des armoires de la pièce s'ouvrent et se ferment sous tes gestes rapides. SERIEUSEMENT? Tu es persuadée d'avoir vu des serviettes, des peignoirs aussi, tout à l'heure, ils semblent avoir disparus de la salle de bain ... oh mince , tu te rappelles que ce n'est pas ici que tu les a vus, mais sur le meuble dans l'entrée, posés bien en évidence, c'est pas possible d'être aussi tête-en-l'air ! « Sam ? SAAAAAAM ? » Tu laisses tomber la tête en arrière avant de reprendre « le petit samwell hamilton est demandé de tout urgence dans la salle de bain par sa colocataire en mauvaise posture !!! » Toujours pas de réponse . Il est mort ou quoi? Tu jette un œil à la robe et soupire, tu n'as vraiment pas envie de la remettre pour faire deux mètres dans la chambre. Ton regard est accroché par une serviettes EUREKA!, ton espoir est de courte durée quand tu la déplies. Bien que tu ne sois ni grande, ni épaisse, tu ne saurais rien faire avec cette serviette d'invité. Bon. Comme dirait Gray, faut pas te tracasser et t'y vas. Il est marrant lui. Tu poses la serviette minuscule sur toi, elle couvre vraiment l'essentiel. Tu pries le seigneur pour que Sam ne soit pas dans la pièce et pousse la porte de la salle de bain en ne pouvant t'empêcher de pouffer de rire tout en regardant autours de toi où se trouve les serviettes. « ne regardez pas la Niamh qui passe ... Regardez seulement quand elle est passée » fredonnes-tu tout en continuant de chercher. « Vous voilà ! » Tu tends la main vers le tas de serviette, oubliant par la même occasion que c'est cette même main qui tenais ce qui te servait de « tenue ». Comme unbonheur malheur n'arrive jamais seul, il semblerait que ça soit le moment choisi par Samwell pour revenir vers la civilisation. Le summerbee lève la tête du lit où il est affalé et surprise amusée tu lâches totalement la minuscule serviette pour la remplacer par une plus grande. Ton tour de passe-passe ferait pâlir de jalousie les plus grands transformistes. Ton sérieux est loin, très loin de cette chambre tandis que tu te retournes en riant et t'exclamant « ça t'apprendra à ne pas répondre quand on t'appelle tiens ! » Ce n'est pas la timidité ou la pudeur qui t'étouffes. Tu es habituée à devoir te changer devant des dizaines de personnes, inconnues ou non, il y a bien longtemps que tu as apprit que la nudité n'avait rien de scandaleux ou de honteux. Tu vis avec, les autres devraient faire pareil. C'est une véritable libération.
Tu profites de ton bain, des bubulles, de l'huile essentielle, un jour tu auras ça chez toi. Quand tu auras un chez toi. Dans quelques années... Un jour quoi ! Il y a tellement de projets auxquels tu voudrais pouvoir te consacrer, de pays que tu voudrais voir, cette idée d'école d'art qui trotte dans ta tête et puis la famille. Ta famille à toi. Certains projets sont plus accessibles que d'autre, tu le sais, pourtant tu ne peux t'empêcher de croire en tes rêves. Tu veux tout et si tu travailles dur tu sais que tu pourras y arriver. Tu sors de l'eau, te sèche pour enfiler ton pyjama, tu n'as plus envie de sortir ce soir, ça sera room service pour toi et sam, c'est un grand garçon, s'il veut aller manger il peut y aller. Le temps a passé, tu ne sais pas combien exactement, mais tu trouves un sammy endormit sur le lit, tu décides de le taquiner un peu, tu t'approches de lui, suffisamment près pour que tes petits bras le touchent, mais pas suffisamment pour qu'il sente la pression sur le matelas, délicatement tu passes un doigt sur sa joue pour vérifier son état de conscience, sans grand succès. Tu titilles son nez, ses oreilles, ses cheveux, avant de finalement lui sauter dessus, au sens littérale du terme, « c'est pas l'heure de dormir ! » Tout ce qu'on peut dire, c'est que ce bain t'aura revigoré.
Si tu es excitée à l'idée de passer du temps dans cette ville merveilleuse, il n'en est pas moins que lorsque Sam suggère de rentrer à l'hôtel tu lui sauterais au cou. Dieu merci ! Tu n'en peux plus. Tu es fatiguée, tu rêves de manger quelque chose en pyjama en regardant un film – et probablement sombrer dans un sommeil profond après seulement vingt minutes. Tu te promets de faire un petit message à ton frère une fois rentrée à l'hôtel, tu vas lui faire vivre ce voyage comme s'il était là. A peine dans la chambre, comme toute femme qui se respecte tu envoies balader tes chaussures et tandis que Sam prend possession du lit, tu vas vers la salle de bain. Un bain chaud. Le bruit de l'eau est un soulagement en soi, ce clapotis prometteur d'un moment, tu relèves tes cheveux dans un chignon négligé, juste pour ne pas les mouillés et te déshabille. La petite robe rouge est rapidement enlevée. Les portes des armoires de la pièce s'ouvrent et se ferment sous tes gestes rapides. SERIEUSEMENT? Tu es persuadée d'avoir vu des serviettes, des peignoirs aussi, tout à l'heure, ils semblent avoir disparus de la salle de bain ... oh mince , tu te rappelles que ce n'est pas ici que tu les a vus, mais sur le meuble dans l'entrée, posés bien en évidence, c'est pas possible d'être aussi tête-en-l'air ! « Sam ? SAAAAAAM ? » Tu laisses tomber la tête en arrière avant de reprendre « le petit samwell hamilton est demandé de tout urgence dans la salle de bain par sa colocataire en mauvaise posture !!! » Toujours pas de réponse . Il est mort ou quoi? Tu jette un œil à la robe et soupire, tu n'as vraiment pas envie de la remettre pour faire deux mètres dans la chambre. Ton regard est accroché par une serviettes EUREKA!, ton espoir est de courte durée quand tu la déplies. Bien que tu ne sois ni grande, ni épaisse, tu ne saurais rien faire avec cette serviette d'invité. Bon. Comme dirait Gray, faut pas te tracasser et t'y vas. Il est marrant lui. Tu poses la serviette minuscule sur toi, elle couvre vraiment l'essentiel. Tu pries le seigneur pour que Sam ne soit pas dans la pièce et pousse la porte de la salle de bain en ne pouvant t'empêcher de pouffer de rire tout en regardant autours de toi où se trouve les serviettes. « ne regardez pas la Niamh qui passe ... Regardez seulement quand elle est passée » fredonnes-tu tout en continuant de chercher. « Vous voilà ! » Tu tends la main vers le tas de serviette, oubliant par la même occasion que c'est cette même main qui tenais ce qui te servait de « tenue ». Comme un
Tu profites de ton bain, des bubulles, de l'huile essentielle, un jour tu auras ça chez toi. Quand tu auras un chez toi. Dans quelques années... Un jour quoi ! Il y a tellement de projets auxquels tu voudrais pouvoir te consacrer, de pays que tu voudrais voir, cette idée d'école d'art qui trotte dans ta tête et puis la famille. Ta famille à toi. Certains projets sont plus accessibles que d'autre, tu le sais, pourtant tu ne peux t'empêcher de croire en tes rêves. Tu veux tout et si tu travailles dur tu sais que tu pourras y arriver. Tu sors de l'eau, te sèche pour enfiler ton pyjama, tu n'as plus envie de sortir ce soir, ça sera room service pour toi et sam, c'est un grand garçon, s'il veut aller manger il peut y aller. Le temps a passé, tu ne sais pas combien exactement, mais tu trouves un sammy endormit sur le lit, tu décides de le taquiner un peu, tu t'approches de lui, suffisamment près pour que tes petits bras le touchent, mais pas suffisamment pour qu'il sente la pression sur le matelas, délicatement tu passes un doigt sur sa joue pour vérifier son état de conscience, sans grand succès. Tu titilles son nez, ses oreilles, ses cheveux, avant de finalement lui sauter dessus, au sens littérale du terme, « c'est pas l'heure de dormir ! » Tout ce qu'on peut dire, c'est que ce bain t'aura revigoré.
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Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Dim 13 Mai 2018 - 20:27
Tu as passé une très bonne journée en compagnie de Niamh, l’une des meilleures amies que le monde a eus la gentillesse de t’offrir alors que votre arrivée à New York est d’aujourd’hui et vous avez peut-être un peu de mal à cause du décalage avec l’Écosse. Même toi qui rentres d’une certaine façon chez toi, tu as besoin d’un peu de temps à chaque fois pour t’habituer et surtout vous avez passé votre journée avec une certaine adrénaline qui ne vous a pas lâché une seule seconde et qui vient tout juste de retomber en cet instant où tu viens de te poser sur le lit. La jeune femme ayant totalement disparu, tu autorises à ton esprit un moment de repos avant qu’elle ne revienne, même si tu vas avoir envie de dormir rapidement elle ne va pas te laisser faire bien trop excitée par le fait d’être en vacances avec toi. Pendant de longues minutes tu restes dans ton monde alors que le temps continue de défiler, il faut dire que tu commences à penser à ta famille qui doit sûrement attendre ton arrivée avec impatience. Lily veut que tu sois là seulement pour pouvoir partir à son tour ce qui d’une certaine façon est assez normale, tu ne peux pas lui en vouloir alors qu’elle prend aussi bien soin de votre mère pendant que tu continues les études à Hungcalf. D’ailleurs, tout le mérite lui revient et tu es entièrement d’accord avec ça. Tu es heureux de pouvoir présenter ton amie aux membres de ta famille, ce n’est pas une chose que tu fais souvent, mais pour le coup Niamh est vraiment une femme spéciale pour toi et elle fait déjà partie de cette famille sans même le savoir elle-même. Pendant de longues minutes, tu restes dans ton monde alors que le temps continue de défiler, il faut dire que tu commences à penser à ta famille qui doit sûrement attendre ton arrivée avec impatience. Il faut juste s’habituer, elles sont gentilles.
Tu relèves la tête instinctivement alors que la jeune femme qui vient de revenir en toute hâte fait en sorte que tu puisses sortir de ta tête, mais tu n’avais pas tellement prévu la suite alors que tes yeux se posent sur une Niamh totalement nue. Tu détournes rapidement les yeux en croisant les bras sans pour autant garder ton sérieux, tu n’arrives pas à y croire et en même temps ce n’est pas étonnant que la jeune femme ne soit pas du tout pudique. « T’es pas possible. » Tu rigoles alors qu’elle disparaît à nouveau en lâchant une petite remarque. Elle est la première personne de l’école à pouvoir, même Naïa qui est ta colocataire depuis plus longtemps n’a pas eu la chance de rencontrer ta sœur ou même ta mère ce qui n’est pas une mauvaise chose quand on connaît le caractère de l’une comme de l’autre. Tu as sûrement eu l’occasion dans un même temps de rougir légèrement devant les courbes parfaites de la jeune femme s’offrant à toi alors que tu essaies de chasser de ton esprit ce que tu viens de voir. Tu poses à nouveau la tête sur le lit et pose ton regard sur le plafond sans perdre pour autant ton sourire, elle ne changera jamais et c’est exactement ce qui fait que tu l’aimes autant. Elle est le genre de personne que tu veux voir dans ta vie pendant de longues années encore, tu n’as pas envie, mais tu as besoin d’elle. Ce genre d’amis, ce n’est pas quelque chose que tu pourrais trouver à chaque coin de rue, loin de là et tu le sais d’ailleurs à quel point, l’importance de ce genre de relation est primordiale. Tu ne sais pas exactement à quel moment, mais tu as commencé à tomber dans un sommeil profond aidé par le silence et l’ambiance calme de la pièce alors que la jeune femme est sûrement dans son bain ou sous la douche d’après ce que tu as vu juste avant. Tu laisses le rêve prendre le dessus et quitte le monde réel pendant un moment.
Tu ouvres rapidement les yeux sans vraiment comprendre ce qu’il se passe sans savoir combien de minutes se sont écoulés. « MAIS ! » Tu lèves la tête et essaies de te redresser, mais impossible à cause de ta colocataire qui vient de te monter dessus ou plutôt de te sauter dessus sans prendre de gant. Elle est vraiment folle. La surprise laisse place à un sourire sincère, puis à un rire avant de laisser la tête retomber. « Je n’ai même plus le droit de m’assoupir pendant que tu fais une promenade à poil dans la chambre pour mon plus grand plaisir. » Tu parles de ce que tu as vu tout à l’heure sans perdre ton sourire en la regardant dans les yeux taquins, tu n’as aucun tabou en ce qui concerne les discussions avec la jeune femme et tu sais qu’elle n’arrive pas à en avoir avec toi de la même façon c’est ce qui rend votre lien si magique. Vous pouvez absolument tout vous dire et c’est un véritable bonheur le simple fait de le savoir. « Tu veux faire quoi alors ce soir ? » Vous pouvez faire pleins de choses avant d’aller dormir, commander à manger pour commencer et pourquoi pas mettre un bon film, faire un jeu ou encore aller à la piscine de l’hôtel. Y a sûrement même une salle de jeu avec tout ce qu’il faut pour passer un moment parfait. C’est à elle de décider.
- InvitéInvité
Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Jeu 17 Mai 2018 - 15:39
new-york, la ville où tout est possible !
Ton ami se met à rire, probablement plus gêné que toi par la situation, tu te moques de lui gentiment, tendrement au fond. « C'est ce qui fait tout mon charme» réponds-tu en riant, sortant de la pièce après l'avoir taquiné. C'est comme ça entre vous, depuis la première fois et probablement jusqu'à la dernière, que tu espères dans très très longtemps. Tu prends le temps pour prendre ton bain. Tu profites de ce que tu n'as pas chez toi ; du temps ; du luxe. Et quand tu reviens dans la chambre, Sam dort, profondément visiblement et ça ne te convient pas, pas vraiment. Tu as envie qu'il soit éveillé avec toi, pour que vous puissiez profiter ensemble de cette première soirée new-yorkaise, tu as envie qu'il s'occupe de toi, parce que malgré tout tu aimes recevoir de l'attention. Tu aurais pu être délicate dans ton approche, douce et subtile, mais non Niamh, il faut que tu le cherches ton coloc, que tu le bouscules, parce que sinon ce n'est pas drôle, alors tu le titilles du bout des doigts pour finalement lui sauter dessus face à tant d'indifférence. Il se réveille enfin. Tu lui souris, un sourire légèrement, non complètement, taquin, sur les lèvres quand il veut se redresser. Tu fais contre-poids, il ne peut pas bouger parce que tu immobilises son bassin, tes mains sur son torse et tu ris face à son air totalement - faussement - outré. Il joue bien la comédie aussi l'américain, mais ton rire se mêle finalement au sien, « ton plus grand plaisir hein ? » Tu arques un sourcil intriguée, amusée, par sa remarque. Tu n'oublies pas que c'est un homme après tout, « et non, tu n'as pas le droit de t'assoupir sans ma bénédiction... » Tu te penches approchant ton visage du sien tout en souriant, presque narquoise, quelques mèches de tes cheveux caressant son visage « tu as cru que c'était une démocratie ? » Vive, rapide, tu embrasses sa joue avant de le libérer de ton poids, prenant place à ses côtés assise en tailleur, les coudes sur les genoux, tu saisis un oreiller que tu serres dans tes bras, vieille habitude, réfléchissant à sa dernière question. Qu'est-ce que tu veux faire ? Bonne question. « Je vais parler à ton coeur... On se commande un truc à manger ? » Tu sais qu'il est gourmand et même si tu n'es pas une grande mangeuse, ton estomac sera ravi de se remplir un peu, « et puis, je sais pas ? Un film ou un tour à la piscine ? Ou les deux ? » La fatigue de ton corp disparaît quand tu penses à tout ce que vous pouvez faire. Le monde semble à portée de main.
- InvitéInvité
Re: niawell ▬ à la découverte du monde. Terminé
Mar 22 Mai 2018 - 18:41
Tu attrapes ses joues avec tes mains pendant un instant en souriant chaleureusement comme pour lui faire comprendre que tu rigoles, mais elle n’a pas tellement besoin de ça pour comprendre que tu n’es qu’un ours en peluche qui depuis qu’il a des personnes à protéger n’a plus de problèmes à se faire. Niamh agit beaucoup plus comme une sœur que, Lily et ce n’est pas nouveau, la jeune Américaine ne s’en cache même plus maintenant et tu dois absolument te faire à cette idée. Tu rigoles une nouvelle fois quand elle évoque la démocratie, ça n’a jamais été réellement le cas surtout depuis que deux femmes sont arrivées dans l’appartement pour mettre le bordel. Tu ne pensais pas que toutes les légendes pouvaient être véritablement fondées et pourtant, il se trouve que c’est le cas. Mais se sont des amours, des petites sœurs que rien ne pourra venir t’enlever. « Je règne dans l’ombre ». Tu regardes la jeune femme en relevant un sourcil avec conviction comme si le monde pouvait t’appartenir alors qu’en réalité, tu t’en moques du moment que tu peux avoir ce qui suffit à ta survie. Et tu avais l’intention de continuer à jouer le jeu si elle n’avait pas évoqué la nourriture, elle s’enlève et presque aussitôt, tu arrives sur tes jambes pour aller vers la porte, elle sait à quel point la bouffe est une seconde religion pour toi et il ne faut pas rigoler avec ça. Tu as vu plusieurs restaurants sympa à essayer alors pourquoi ne pas commander un plat pour deux à chaque fois et essayer plusieurs endroits, il faut réunir un maximum d’informations après tout. « Nous avons une mission agent Walsh ». Tu attrapes son bras et l’enroules autour du tien en quittant la chambre, fermant à clef la tanière avant de t’enfoncer avec ta colocataire dans le couloir pour te mettre en direction de la sortie. Pour la piscine et le film, il va falloir attendre un peu, vous devez avant tout sauver le monde des plats démoniaques. « On devrait commencer par une pizza. Tu en penses quoi ? » Tu aimerais que Niamh ait l’estomac d’un éléphant, mais ce n’est pas le cas et tu le sais très bien, peut-être qu’un digestif à chaque fin de plat pour l’aider. La pauvre, elle ne sait pas ce qui l’attend. Tu es heureux d’être là. Tu sais que dans quelques jours vous allez arriver chez toi pour rencontrer ta famille, mais tu ne veux pas y penser maintenant, seul l’instant présent est important et rien ne viendra le gâcher. Tu n’oses même pas la regarder, mais tu lâches quand même ce qui semble sortir du plus profond de ton cœur. « Tu es vraiment la meilleure, tu sais. » Cette soirée, ces vacances et les prochains jours seront les meilleures qui soient, tu le sais.
FIN
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