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giamh - young, wild and free
Jeu 7 Juin 2018 - 9:00
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Du camping ? T'es pas sérieuse ? Quoique, si Teli le propose, tu dois pouvoir le supporter le temps d'un weekend, non ? Toi qui frôle la maniaquerie, qui aime que chaque chose soit à sa place dans une propreté rigoureuse, la poussière, la boue, les insectes ... Le weekend s'annonce sportif. Vous allez être mise à rude épreuve. Tu le savais en arrivant, mais tu n'imaginais pas que dès l'enregistrement vous alliez être confrontée à une erreur. désolés mesdemoiselles, il y a eu une erreur sur les parchemins lors de votre inscription, nous ne pouvons rien faire. Tu regardes Teli totalement abasourdie et cette vieille harpie apprendra rapidement que vous n'êtes pas aussi inoffensives que vos petites tailles pourraient le laisser croire. Quand on est incapable de gérer un truc aussi simple que des emplacements on ne le fait pas, ou alors, je sais pas moi, servez vous d'un ordinateur !!! Ton amie te regarde outrée, oui, bon, vous avez des avis bien différents sur la question, elle est une sang-pur fière de l'être et toi la moldue un peu trop excessive, c'est amusant de voir les malaises naviguer d'une à l'autre dans ce genre de situation.
Bref, tu laisses tomber parce que tu vois bien que cet employé n'est pas coopératif, rien n'a pu le dissuader, pas même les gallions offerts. Tu pries intérieurement en arrivant à l'endroit de ton séjour. Tu ne sais pas sur qui tu vas tomber, mais vu le nombre de personne qui ne t'apprécient pas, il y a peu de chance que tu sois avec l'une des rares amicales. Le papier que tu tiens t'informe que tu es arrivée, la première visiblement, c'est ce que tu penses en tout cas. Rapidement, tu prends tes marques, tu choisis un côté, premier arrivé premier servi pas vrai ? Tes affaires trouvent leur place dans les rangements, classées comme toujours par couleur et type de vêtements, le premier qui parle de toc se ramasse une claque, tu es simplement organisée. Probablement. Tu avoueras quand même que tu aimes tout contrôler ? Nie pas le truc Nini, c'est aussi flagrant que le nez qui trône au milieu de ton joli visage. Une fois les choses rangées, tu t'assieds sur le lit, jambes en tailleur, tu profites pour envoyer quelques messages aux deux hommes de ta vie, tes deux frères, grimaces sur snapchat pour Gray, message long et rempli d'amour pour Ian. Tu t'amuses à jouer avec les filtres tout en faisant milles grimaces quand tu remarques une ombre dans le coin de la tente, probablement le second occupant, tu poses le téléphone et plisse les yeux pour filtrer les rayons du soleil non ... C'est une blague ? Giacomo Emerson se trouve à l'entrée de la tente, ta tête bascule vers l'arrière avec un léger grognement de contrariété, sur toutes les personnes que tu pouvais avoir, c'est lui. Tu pouvais pas avoir Lilas ou même son frère ? Quitte a passer un weekend de merde, autant que ça ne soit pas avec quelqu'un qui ta poussé dans les escaliers. Il y a dix ans. La prescription, tu connais pas toi, pas vrai ? Tu te lèves en prenant ton téléphone et ton sac, je vais voir pour changer de location, là c'est pas possible ! Tu aimerais sortir, mais il est un peu en plein milieu de la sortie, alors tu te plantes devant lui, bras croisés sur ta poitrine, attendant simplement qu'il se lasse et te laisse sortir pour aller régler ce désastre.
Bref, tu laisses tomber parce que tu vois bien que cet employé n'est pas coopératif, rien n'a pu le dissuader, pas même les gallions offerts. Tu pries intérieurement en arrivant à l'endroit de ton séjour. Tu ne sais pas sur qui tu vas tomber, mais vu le nombre de personne qui ne t'apprécient pas, il y a peu de chance que tu sois avec l'une des rares amicales. Le papier que tu tiens t'informe que tu es arrivée, la première visiblement, c'est ce que tu penses en tout cas. Rapidement, tu prends tes marques, tu choisis un côté, premier arrivé premier servi pas vrai ? Tes affaires trouvent leur place dans les rangements, classées comme toujours par couleur et type de vêtements, le premier qui parle de toc se ramasse une claque, tu es simplement organisée. Probablement. Tu avoueras quand même que tu aimes tout contrôler ? Nie pas le truc Nini, c'est aussi flagrant que le nez qui trône au milieu de ton joli visage. Une fois les choses rangées, tu t'assieds sur le lit, jambes en tailleur, tu profites pour envoyer quelques messages aux deux hommes de ta vie, tes deux frères, grimaces sur snapchat pour Gray, message long et rempli d'amour pour Ian. Tu t'amuses à jouer avec les filtres tout en faisant milles grimaces quand tu remarques une ombre dans le coin de la tente, probablement le second occupant, tu poses le téléphone et plisse les yeux pour filtrer les rayons du soleil non ... C'est une blague ? Giacomo Emerson se trouve à l'entrée de la tente, ta tête bascule vers l'arrière avec un léger grognement de contrariété, sur toutes les personnes que tu pouvais avoir, c'est lui. Tu pouvais pas avoir Lilas ou même son frère ? Quitte a passer un weekend de merde, autant que ça ne soit pas avec quelqu'un qui ta poussé dans les escaliers. Il y a dix ans. La prescription, tu connais pas toi, pas vrai ? Tu te lèves en prenant ton téléphone et ton sac, je vais voir pour changer de location, là c'est pas possible ! Tu aimerais sortir, mais il est un peu en plein milieu de la sortie, alors tu te plantes devant lui, bras croisés sur ta poitrine, attendant simplement qu'il se lasse et te laisse sortir pour aller régler ce désastre.
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Re: giamh - young, wild and free
Ven 8 Juin 2018 - 22:27
Tu ne sais pas tellement comment, et même pourquoi, mais tu ne peux pas avoir la même tente qu’un pote à toi, obligé de partager ton cocon pendant plusieurs jours avec une personne que tu ne connais peut-être même pas. Tu n’as même pas demandé l’information, ce n’est pas le genre de choses dont tu aimes faire attention après tout n’importe qui pourrait faire l’affaire, tu ne comptes pas être longtemps dans cet endroit de toute façon. Tu vas passer des heures avec ton ballon dehors ou à participer aux différentes activités avec ta meilleure amie donc ce n’est pas un souci, il ne faudrait juste pas que se soit Nigel. Ce garçon avec qui tu ne pourras jamais t’entendre, c’est comme ça. Tu arrives en direction de ta nouvelle maison pour l’été avec ton gros sac sur l’épaule et le ballon sous l’autre bras avec le sourire, content d’être enfin en vacances et d’arrêter de penser aux cours un peu, ça ne peux que te faire du bien. L’ambiance est déjà très agréable et il fait tellement beau, les élèves rigolent et ils dansent déjà tous ensemble en attendant l’heure du repas pour certains alors que tu n’as toujours pas fait connaissance avec ton ou ta nouvelle colocataire pour les prochains jours. Tu ne sais pas si Lya sera là, elle n’a pas eu envie de le dire après tout, il faut dire qu’elle ne dit pas grand chose seulement avec pour objectif de t’embêter un maximum. Une fois sur place, tu perds directement ce sourire qui pourtant t’as accompagné tout le reste de la journée, c’est une blague ? Ça ne peut-être qu’une mauvaise blague ? Tu ne sais pas si tu dois être heureux de voir celle qui prend du plaisir à te consoler sous ta forme animale de temps en temps dans le parc ou si tu es en colère de devoir dormir dans la même tente qu’une personne qui jusqu’à preuve du contraire n’arrive pas à supporter ta présence. Ça va être long. Elle croise les bras et elle n’a pas l’air content du tout alors que tu arrives à l’entrée en silence, ce n’est quand même pas ta faute si c’est ici que tu dois dormir. Tu ne l'as pas décidé et ça commence à te fatiguer. Tu regardes la jeune femme en haussant les sourcils comme pour couper court à la conversation. « Salut ! » Tu attends un moment avant de reprendre en regardant la jeune femme droite dans les yeux en attendant qu’elle se pousse pour que tu puisses commencer à t’installer. « Je peux passer ? » Elle ne bouge pas et tu commences à perdre patience, tu poses ton sac au sol et garde cependant le ballon sous ton bras sans perdre les iris de la jeune femme de vu. Tu attends, puis tu attaques. « C’est quand même pas ma faute, je veux juste m’installer et aller faire quelques passes. » Tu lui montres la balle et portes ton attention à nouveau sur elle pour lui faire comprendre que tu ne veux pas la guerre, juste passer des vacances tranquilles sans embrouilles. Mais si elle cherche, c’est évident qu’elle trouvera. « On n'est pas obligé de se parler, si tu ne veux pas. » Tu as l’impression de voir la Niamh capable de sourire quand elle voit le chaton que tu es, bien sûr elle ne sait pas que c’est toi et pourrais t’assassiner en l’apprenant, elle ne doit jamais savoir pour une question de survie. Tu essaies, mais elle bloque encore le passage, tu commences à souffler clairement. « Niamh… » Tu fais tout ton possible pour garder ton calme, mais c’est de plus en plus dur et tu commences à chauffer de l’intérieur. Si elle ne veut pas comprendre, tu vas devoir trouver un autre endroit pour dormir, elle peut partir aussi, rien ne la retient. Ce n’est pas sa tente.
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Re: giamh - young, wild and free
Lun 11 Juin 2018 - 9:22
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Si seulement tu savais ce qui t'exaspère le plus chez ce garçon, peut-être que ça t'aiderait à aller de l'avant, à l'ignorer plutôt que de chercher le conflit. Entre deux pans de tente, tu le toises avec ce regard extrêmement dur, regard fusillant qui pourtant sait être doux quand tu le souhaites. Il te salue et tu ne réponds pas. Tu as trop encaisser ces dernières semaines, tu espérais que tes trop brève vacances se passeraient bien, qu''elles te permettraient d'oublier. C'était avant de voir qu'il était celui avec qui tu étais affectée. Organisation sorcière à la con! Le grymm te demande s'il peut passer et vu l'expression sur ton visage, il comprend que si ce n'est pas lui qui se bouge, tu ne vacilleras pas. T'es un peu trop fière Niamh.
C’est quand même pas ma faute ! c'est pas la mienne non plus ! je veux juste m’installer et aller faire quelques passes Tu souris. C'est pas bon signe ça. Tu souris jamais à ceux que tu n'apprécies pas. Alors, t'installes pas trop vite mon grand, tu vas pas rester dans ma tente bien longtemps ! Ton regard se baisse vers la balle qu'il tiens et tu roules des yeux, les mecs et leur baballe, ça vient d'un complexe freudien ou comment ça se passe ? On n'est pas obligé de se parler, si tu ne veux pas c'est pas te parler que je veux pas faire Giacomo, c'est te voir, t'entendre, te supporter ! Merde quoi ! C'est déjà bon d'être dans la même maison, j'ai pas envie de faire des efforts en plus en vacance ! T'es dure, tu t'en rends compte, mais tu t'en fiche. Tu as une rancune à son sujet qui est là, omniprésente, c'est con, t'as déjà pardonné à bien d'autre, pourquoi pas lui ?
Il perd patience le gamin, ça t'amuse, tu entres sur un terrain familier, celui que tu préfères, l'affrontement. Il prononce ton prénom et tu hoches simplement la tête, c'est bien, tu sais toujours comment je m'appelle. Tu ne bouges pas d'un iota, trop fière que pour accepter de céder, ton regard se pose à nouveau sur sa balle précieusement logée au creux de ses bras, nourrisson factice dont il semble prendre tellement soin, si t'avais été moitié moins attentionné envers moi, on n'en serait pas là. Jalousie extrêmement mal placée, t'es ridicule, tu le sais, mais tu ne peux empêcher cette pulsion, chaleur qui envahit tes muscles, t'es obligée de le faire pour être libérée de ce mètre quatre-vingt de connerie. Vive, rapide, tu saisis le ballon et l'envoie au fond de la tente tout en le regardant droit dans les yeux, va chercher la baballe le temps que je m'occupe de ce problème. Il a de la chance, tu aurais aussi bien pu le crever. T'es peut-être pas si mauvaise. Quoique... La réaction ne vas probablement pas tarder.
C’est quand même pas ma faute ! c'est pas la mienne non plus ! je veux juste m’installer et aller faire quelques passes Tu souris. C'est pas bon signe ça. Tu souris jamais à ceux que tu n'apprécies pas. Alors, t'installes pas trop vite mon grand, tu vas pas rester dans ma tente bien longtemps ! Ton regard se baisse vers la balle qu'il tiens et tu roules des yeux, les mecs et leur baballe, ça vient d'un complexe freudien ou comment ça se passe ? On n'est pas obligé de se parler, si tu ne veux pas c'est pas te parler que je veux pas faire Giacomo, c'est te voir, t'entendre, te supporter ! Merde quoi ! C'est déjà bon d'être dans la même maison, j'ai pas envie de faire des efforts en plus en vacance ! T'es dure, tu t'en rends compte, mais tu t'en fiche. Tu as une rancune à son sujet qui est là, omniprésente, c'est con, t'as déjà pardonné à bien d'autre, pourquoi pas lui ?
Il perd patience le gamin, ça t'amuse, tu entres sur un terrain familier, celui que tu préfères, l'affrontement. Il prononce ton prénom et tu hoches simplement la tête, c'est bien, tu sais toujours comment je m'appelle. Tu ne bouges pas d'un iota, trop fière que pour accepter de céder, ton regard se pose à nouveau sur sa balle précieusement logée au creux de ses bras, nourrisson factice dont il semble prendre tellement soin, si t'avais été moitié moins attentionné envers moi, on n'en serait pas là. Jalousie extrêmement mal placée, t'es ridicule, tu le sais, mais tu ne peux empêcher cette pulsion, chaleur qui envahit tes muscles, t'es obligée de le faire pour être libérée de ce mètre quatre-vingt de connerie. Vive, rapide, tu saisis le ballon et l'envoie au fond de la tente tout en le regardant droit dans les yeux, va chercher la baballe le temps que je m'occupe de ce problème. Il a de la chance, tu aurais aussi bien pu le crever. T'es peut-être pas si mauvaise. Quoique... La réaction ne vas probablement pas tarder.
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Re: giamh - young, wild and free
Mer 13 Juin 2018 - 20:52
Tu n’arrives pas à comprendre ce genre de comportement, tu n’as absolument rien demandé et ce qu’il s’est passé n’est qu’un accident, tu sais que tu n’as pas eu envie durant cet instant à Poudlard de pousser la jeune femme dans les escaliers de l’école. Elle ne veut pas le croire, elle t’en veut et sûrement qu’elle ne pourra jamais changer d’avis envers toi, mais rien ne justifie autant d’animosité envers toi. Tu remontes ton sac sur l’épaule, il commence à devenir lourd, mais sûrement qu’elle s’en moque complètement Niamh alors qu’elle ne laisse pas une seule seconde de libre pour que tu puisses vraiment t’exprimer. Tu ne dois pas t’installer, parce que tu ne vas pas rester longtemps d’après elle hors, il est impossible de changer de tente et elle le sait très bien, elle va juste gagner un aller-retour gratuit jusqu’à l’intendance. Si c’est ce qu’elle veut, qu’elle le fasse, ce n’est pas tellement ton problème. Tu essaies de passer et elle ne laisse pas un seul mouvement possible alors que finalement, elle décide de s’en prendre à ton ballon qui n’a absolument rien demandé. Tu lèves un sourcil, si jamais il arrive quelque chose à ton camarade elle ne va pas s’en sortir avec une simple jambe en morceau. Il ne faut jamais toucher à tes affaires. Il traverse seulement la tente pour aller se poser dans un coin, comme si elle t’avait presque aidée à t’installer, c’était assez gentil de sa part finalement. Tu gardes un léger sourire, rien ne pourra te faire partir, tu es là pour être en vacances et avance pour déposer ton sac, elle est trop occupée à s’énerver toute seule pour t’empêcher une nouvelle fois de passer. Tu commences par ouvrir ton sac et sortir quelques affaires qui seront importantes pour cette journée, pourquoi pas une serviette et des vêtements propres. Tu as envie d’une bonne douche, en fait, tu ne demande que ça en ce moment, mais il va se passer quoi pendant que tu n’es pas là ? Elle ne risque pas de rester tranquille. Tu n’écoutes plus de toute façon. « Justement, nous sommes en vacances alors évite de me gaver. » Tu commences à légèrement être irrité, il faut dire qu’elle est absolument insupportable malgré toute la gentillesse dont tu peux faire preuve depuis que tu viens d’arriver, ça risque seulement de ne pas durer encore un long moment. Tu es une personne agréable et pleine de valeurs, mais il ne faut quand même pas chercher à te mettre sur les nerfs au risque de s’en mordre les doigts et Mlle Walsh commence à dépasser les limites. Tu prends place sur la couchette libre qui maintenant est la tienne et pose les yeux sur la jeune femme qui n’a pas l’air d’être plus calme qu’avant. « Tu comptes me regarder toute la journée ? » Tu hausses les épaules et attrapes une bouteille d’eau pour en prendre une gorgée avant de continuer. « Je sais que je suis beau, mais quand même. » Elle est très forte à ce jeu et malheureusement, tu ne vas pas pouvoir jouer longtemps, tu n’es pas ici pour te prendre la tête, mais pour passer du bon temps. « Écoute… Si tu arrives à convaincre l’intendance, je veux bien changer de tente. D’accord ? » Mais tu ne risques pas d’y arriver. Tu voudrais le rajouter, mais pas besoin après tout, tu sais comment calmer certaines personnes. Puis au pire, si elle n’est pas contente, c’est la même chose et si elle ne le sait pas, elle apprendra à s’en rendre compte par elle-même. Tu regardes la jeune femme et un mince sourire arrive à nouveau, tu penses aux moments dans le parc sous une forme animale ou la jeune femme raconte toute sa vie à ce qu’elle pense être un simple chaton. Elle est très confortable d’ailleurs quand elle ne crie pas. En fait, elle est carrément sexy quand elle s'énerve.
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Re: giamh - young, wild and free
Ven 15 Juin 2018 - 18:07
le hasard fait bien les choses, ou pas!
C'est impossible pour toi de rationaliser quand il s'agit de certaines personnes, comme lui. Tu es épuisée avec la fin d'année animée que tu as eu, tu veux juste profiter de quelques jours de paix avant de partir à l'aventure avec Scylla et non, c'est encore trop compliquer. L'univers est-il réellement contre toi ou est-ce simplement toi qui prends tout trop à cœur ? Peut-être que ce n'est que ça. Après tout, t'es encore sous l'influence des hormones que tu as dûs prendre ces dernières semaines. Ça ira mieux à l'avenir. Ça pourrait être difficilement pire qu'un viol, une grossesse et une fausse couche en moins de quatre mois. Tu soupires longuement, pourquoi il fallait que ça tombe sur toi ? Grrrrrrrr C'est toi qui le gave ? Il manque pas d'air le gamin ! Il passe finalement à côté de toi pour aller s'installer, il a des problèmes cognitif ? Qu'est-ce qu'il n'a pas comprit dans « tu vas pas rester » ? Tu le regardes interdite avec une légère expression d'agacement, il ose se foutre de toi en plus. Tu lèves ton regard noisette vers le plafond en toile et resserre un peu plus tes bras autour de toi. Contrairement à ce qu'ils pensent tous, tu n'aimes pas te sentir seule et là, tu as l'impression que le monde t'abandonne, il n'y a pas une seule âme amicale dans les parages et tu te réconfortes comme tu peux, ça va aller. Bien sûr. T'es une battante et lui c'est un gamin. Tu ne vas pas te laisser démonter si vite. Sans un regard supplémentaire tu te rends au desk d'accueil, retours sur l'espèce de harpie qui te répète pour la cinquantième fois que c'est impossible. Tes mains sur son bureau, tu l'agrippes pour ne pas lui sauter au cou Qu'est-ce que ça pourrait vous faire d'échanger les deux colocataires ? Hein ? Franchement ! C'est trop compliqué pour votre petit cerveau ? Vous pouvez quand même comprendre que deux femmes, deux amies, préfèrent partager une tente ensemble que de se retrouver avec un homme inconnu – ou pas ? une énième j'peux rien faire, aura raison de ta patience. Tu tapes sur le bureau, claque la porte tout en laissant échapper un cri, tant de rage que de frustration, qui résonne probablement dans tout le camping. Si c'était la pleine lune, je lâcherais mon loup sur toi vieille chouette. Oui, enfin, Grayson n'est pas un chien de garde, mais c'est vrai que tu as souvent eu ce fantasme qu'il puisse bouffer toutes les personnes qui te causent du soucis.
Rouge de rage, tu rentres dans la tente sans lancer un regard de l'autre côté, tu sais qu'il est toujours là parce que tu ressens sa présence, c'est magnétique. Un conseil... la ferme ! Tu ne supporterais pas un « je te l'avais dit », tu serais capable de lui sauter à la gorge. Tu sors ton téléphone pour vérifier quelques messages et fini par t'asseoir sur ce qui te servira de lit, le visage entre les mains, ça va être un cauchemar. Tu ne le connais pas. Tu n'as jamais fait cet effort, peut-être qu'il n'est pas si stupide que tu le penses, mais t'es rancunière, fière et obstinée. La cohabitation s'annonce délicate. Lentement, tu relèves le regard vers Giacomo, qu'est-ce que ça pourrait lui faire d'échanger deux noms ? Faut quand pas même pas sortir d'hungcalf pour comprendre certaines choses ? Il y a autre chose peut-être ? C'est pas que lui, soit honnête ? Ça aurait été n'importe qui que tu ne connaissais pas, ça aurait été la même chose. T'as peur des gens, de ce qu'ils peuvent te faire, pourtant, on ne te demande pas de l'encadrer, il suffit que tu le laisses faire sa vie, il te laissera faire la tienne, probablement. Pourquoi tu lâches pas prise Niamh ? Pourquoi tu veux toujours tout contrôler ?
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Re: giamh - young, wild and free
Ven 15 Juin 2018 - 23:04
Elle est énervée, ne veut pas que tu sois dans la même tente qu’elle pour les vacances et quoi de plus normal alors que tu aurais sûrement réagi de la même manière si tu avais vu une personne que tu n’aimes pas arriver dans ta nouvelle maison pendant plusieurs semaines pour la partager avec toi. Tu serais en colère, quoi de plus normal de ne pas vouloir ce genre de chose. C’est pour ça que tu gardes le sourire, que tu n’as rien dis au moment ou elle a mise ses mains sur ce ballon que pourtant, tu aimes tant. Il arrive à te rappelles quel genre de personne, tu es et pourquoi tu aimes autant pratiquer un sport que peu de personnes prennent la peine d’essayer de comprendre un seul instant. C’est drôle, c’est un sport magnifique. Tu n’as rien dis quand elle a commencé à se mettre hors d’elle, parce que tu es d’accord avec elle, elle a le droit de ne pas t’aider. Mais pourtant, tu donnerais beaucoup pour que ce ne soit pas elle qui ai ce genre de rancune envers toi, tu n’avais pas à devenir un chat pour aller passer du temps avec une femme qui sans le savoir deviendrait rapidement bien plus qu’une habitude. Son odeur, elle est impossible à oublier et pourtant, c’est quelque chose dont il ne fallait pas prendre la moindre habitude, tu l’as fait. Imbécile. Niamh commence à nouveau à ronchonner toute seule et disparaît pendant un moment sûrement pour aller changer vos places, si elle peut partir ou te virer de l’endroit en question elle n’hésitera sûrement pas une seule seconde. Tu souris. Elle a raison. Tu peux tout faire, tu es le plus grand de cette famille qui n’est pourtant pas vraiment la tienne et tu ne dois montrer aucun signe de faiblesse, la douleur s'est interdite avec toi. Ça n’existe pas. Alors c’est quoi ça ? Tu poses une main innocente au centre de ta poitrine un instant, comme si tous les malheurs du monde n’étaient centré seulement que sur ta propre personne, égoïste. Nombrilisme. Tu n’es pas le centre de ce monde.
Tu attrapes le ballon et reste couché en regardant vers le haut pour envoyer l’objet de ta passion dans les airs à plusieurs reprises avant de le rattraper, tu es doué, c’est en même temps ton futur métier. Passeur. Ce genre de geste arrive à t’apaiser, à te faire du bien d’une certaine façon. Tu arrêtes un instant alors que la jeune brune revient tout autant en colère. « Un conseil... la ferme ! » Tu continues à sourire. Elle n’y va pas avec le dos de la cuillère, il semblerait qu’elle soit tout aussi mignonne quand elle est énervée et que rien de ce qu’elle ne pourra dire ne retirera ce que tu penses d’elle. Tu connais son vrai visage, tu sais qu’elle est douce et pleine de vie, tu l’as vu à travers des yeux félins à plusieurs reprises. Elle aime chanter, elle danse merveilleusement bien et adore parler à un pauvre chaton solitaire pendant des heures pour parler de tout et de rien. Tu voudrais lui répondre parfois, mais elle ne serait pas contente d’apprendre que c’est en fait toi. Vraiment pas contente. Elle prend place et plonge sa tête dans ses mains. Ton cœur se serre. « qu'est-ce que ça pourrait lui faire à échanger deux noms ? Faut quand pas même pas sortir d'hungcalf pour comprendre certaines choses ? » Tu regardes dans sa direction pour être certain que c’est à toi qu’elle s’adresse sans être méchante, c’est bien à toi alors tu commences à t’asseoir pour lui faire face en la regardant dans les yeux. Elle est belle. « Peut-être qu’ils ont des ordres bien précis et que le règlement l’interdit. » Tu ne lui apprends rien, mais tu n’as rien trouvé de mieux sur le moment, tu serais en ce moment même en pleine excuse pour ne pas changer d’endroit, tu as envie d’une certaine façon de rester avec elle. C’est même certains. « Je vais passer beaucoup de temps dehors si ça peut te rassurer. » Tu aimes promener et cette île à l’air vraiment magnifique, tu as mieux à faire que de rester dans une tente, partir à l’aventure par exemple, c’est le genre d’activité que tu adores, alors pourquoi tu t’en priverais ? Va t’amuser. « Tu savais qu’un Bicorne peut aussi prendre une apparence humaine, on utilise même leurs cornes pour la préparation du Polynectar. » Tu acquises comme pour confirmer ce que tu viens de dire, quand tu n’es pas à l’aise avec une femme, tu commences à parler de ce que tu aimes, en l’occurrence les créatures-là. Tu étales une science qui énerve plus d’une personne. Déjà qu’elle ne t’aime pas, maintenant, elle a même une raison pour se moquer ouvertement de toi, Giacomo, tu es stupide. « Mais… Je pense que tu t’en moques. » Tu baisses les yeux et regardes le sol en souriant, tu es bien bête et tu le sais, pourtant, tu es quelqu’un de capable, qui ira loin plus tard et personne dans ta famille n’a de doute à ce sujet. C’est toi qu’il faut persuader, et même si tu es doué, sportif et cultivé, il manque encore une chose importante. Un miracle. Une fois sur tes jambes, tu vas en direction de la sortir, honteux. « Je… Je vais voir si je peux faire changer l’accueil d’avis… »
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Re: giamh - young, wild and free
Sam 16 Juin 2018 - 13:59
le hasard fait bien les choses, ou pas!
On peut dire sans craindre d'exagération, que la vie t'a façonnée comme tu es aujourd'hui. Tu étais une enfant douce, joyeuse, heureuse, naïve, rien dans l'enfant que tu étais ne présageait la femme que tu es. Pourtant, il y a une différence entre celle que tu montres et celle que tu es. Certaines, rares, personnes le savent. Au fil des années tu as construit un mur autour de toi, murailles solides qui te sépare des autres, des sentiments et de l'attachement. Tu as longtemp été persuadée de ne pas valoir plus que les quelques noises que tu avais en poche, tu quémandais l'attention et l'amour d'un être qui ne mérite même pas de partager ta lignée. Aujourd'hui les choses changent, tu laisses entrer plus facilement, tu essaies de te convaincre que tu n'es pas inutile, tu travailles deux fois plus dur pour atteindre tes objectifs et quand tu n'obtiens pas satisfaction malgré tout tes efforts, tu es frustrée. Tu trouves la situation injuste. Tu ne comprends pas et c'est avec énormément de colère que tu reviens dans la tente. Comme tu t'y attendais, il n'a pas bougé, il est vraiment décidé à ne pas te faciliter la tâche et même si tu as l'habitude qu'on te tienne tête, le fait qu'il le fasse avec un sourire et un calme que tu qualifierais d'olympien te dépasse. Non, tu n'aimes pas forcément l'affrontement, mais dans certains cas tu aimes quand on ne te facilite pas la tâche. Hors, il est impossible pour toi de t'énerver sur lui, puisqu'il ne réagit pas. Pourquoi ? T'es réellement ignoble avec lui, si les rôles étaient inversés, il n'y a pas de doute que tu te serais montrée bien plus combative que lui. Il est peut-être pacifiste ? Drôle d'idée.
Ces quelques jours devaient être merveilleux, tu voulais partager pour la dernière fois un moment avec une amie précieuse, hungcalf c'est fini pour toi, ta décision est prise, enfin, à quatre-vingt-dix pourcent, tu n'en as encore parlé à personne, mais tu as fait le tour, c'est plus pour toi, tu as envie d'explorer d'autres pistes, ton voyage à New-York avec Sam t'a ouvert les yeux sur tout ce que tu ratais en restant ici. Tu as des projets, le temps passe et tu souhaites les réaliser. Tu ne sais pas comment tu vas annoncer la chose à tes proches, tes amis, la squad ? Au fond, ils resteront ce que tu as de plus précieux, tu continueras de vivre à l'appartement, tant qu'ils voudront bien de toi et tu as eu de nombreux échanges avec Othello sur la possibilité de reprendre le centre. Les choses se mettent en place, tu espérais que ces quelques jours seraient la cerise sur le gâteau, une occasion de te retrouver avec Lina pour lui annoncer en tête à tête cette nouvelle, tu connais la sorcière, elle va probablement être prise d'une crise de nettoyage frénétique, ou tu ne sais pas trop quoi. Des mots sortent de ta bouche, expression d'une frustration, d'une déception, il y a tellement de sentiments qui tournoient dans ta petite poitrine en ce moment, trop pour que tu puisses les identifier d'ailleurs. Ton regard croise celui du Grymm, et après les gens se demandent pourquoi rien ne change jamais ? Les ordres. C'est stupide de suivre sans réfléchir ! Tu te montres sarcastique, mais ce n'est pas contre lui, plutôt contre le fonctionnement général de la société. Les gens ne cessent de se plaindre, mais dés qu'il faut bouger, bousculer ou outrepasser les règles établies, il n'y a plus personne et c'est une chose qui te contrarie grandement ça Niamh, tu bosses là-dessus aussi avec la squad pour que ça change. Bande de sales gosses désorganisés, c'est la seule partie de ta vie que tu ne contrôles pas, impossible de contrôler quoique ce soit avec une armée de fous comme celle-là.
Le sorcier ajoute qu'il ne restera pas longtemps dans la tente, tu hausses un sourcil, toi non plus tu ne resteras pas longtemps là, il y a trop de choses à faire et trop peu de temps, tu comptes profiter du beau temps, tu as entendu qu'il y avait des hippogriffes, tu ne pourras pas passer à côté de ses créatures magnifiques. En réponse, tu hoches la tête, marquant à ton accord. Ton nez se retrousse automatiquement quand tu réprimes un sourire, pourquoi est-ce qu'il me parle de bicorne? Tu es interpellée, tu ne comprends pas le changement de sujet, il t'aurait parlé du climat, de kayak ou même d'écureuils, oui ... mais de bicorne ? Il semble fier de lui et tu ne réponds pas, toujours perplexe face à ce garçon qui semble finalement plus mal-à-l'aise qu'autre chose. T'es pas si méchante que ça, mais lui l'ignore
Quand tu relèves le regard, le lit d'en-face est vide, la grande silhouette du Grymm se dirige vers la sortie, tu souris et tu savais qu'on raconte qu'ils dévorent les époux fidèles et attentionnés ? Fait pas bon être heureux en ménage quand même , un rire s'échappe d'entre tes lèvres, tu baisses les yeux, laisse tomber tes épaules et ton port de reine, de danseuse simplement avant de relever le regard vers lui reste ... je veux dire, si on est pas parvenue avec Tzvetelina à le corrompre en lui demandant poliment, en lui faisant les yeux doux, en lui proposant des gallions et enfin en m’énervant, je crois que c'est foutu... Tu t'installes contre la toile de la tente sans le quitter du regard, on partage la même salle commune depuis des années, on devrait supporter le choc de la cohabitation quelques jours je crois Il y a quelque chose dans son regard, que tu n'avais jamais remarqué avant parce que tu n'as jamais prêté attention à lui, mais c'est quelque chose de presque familier, de reposant, une sensation étrange que tu ne comprends pas. Tu lui souris tout en attrapant la grenouille en peluche qui te sert de coussin, de doudou aussi avoue, depuis des années tu racontes ça à quelqu'un, je deviendrais ton pire cauchemar le ton de ta voix est sérieux, tes yeux sont plutôt rieurs, même si franchement t'as pas envie que toute l'université soit au courant que tu dors toujours avec une peluche, t'as pas vraiment une tête à doudou.
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Re: giamh - young, wild and free
Mar 19 Juin 2018 - 22:16
Elle n’est vraiment pas contente, mais à ta grande surprise ce n’est pas du tout contre ta personne, mais plutôt contre les organisateurs même si d’une certaine façon, tu es concerné vu qu’elle ne voudrait pas que tu sois là. Tu n’es plus le même qu’avant, mais tu ne pourras jamais le faire comprendre vu les préjugés qu’elle porte encore envers toi. Tu devras juste faire preuve de patience et espérer que les vacances vont bien se passer, que tu pourras passer du temps à faire l’aventurier et à t’entraîner pour le prochain tournoi national qui devrait avoir lieu dans quelques semaines. L’équipe est prête et elle a besoin d’un très bon passeur, tu n’as pas à faire la moindre bêtise au risque de faire perdre toute la team, tu n’as même pas envie de l’envisager. Voilà que tu ne prends pas la peine d’attendre quelques minutes de plus avant de te mettre la honte, en direction de la sortir, tu pensais que les vacances venaient de prendre fin au même moment où tu avais terminé la dernière phrase. Voilà que tu ne prends pas la peine d’attendre quelques minutes de plus avant de te mettre la honte, en direction de la sortir, tu pensais que les vacances venaient de prendre fin au même moment où tu avais terminé la dernière phrase. « et tu savais qu'on raconte qu'ils dévorent les époux fidèles et attentionnés ? Fait pas bon être heureux en ménage quand même » Tu ne savais pas qu’elle pouvait être ce genre de personne, à rattraper le coup pour sauver quelqu’un de la noyade en l’occurrence pour le coup, toi. Tu hausses les épaules au même moment qu’elle pour répondre à ses propos. « C’est pour ça que je suis célibataire. » Et parce que tu n’arrives pas à trouver quelqu’un qui puisse te correspondre ou que tu as bien trop peur des relations humaines pour essayer quoi que se soit depuis le chapitre Arianna qui reste encore en travers de ta gorge.
« on partage la même salle commune depuis des années, on devrait supporter le choc de la cohabitation quelques jours, je crois » Elle n’a pas totalement tord et il faut dire que tu ne vas pas dire non à passer plusieurs jours, et même plusieurs nuits dans le même endroit que la jeune femme qui depuis quelques jours hante tes nuits. « Je pense aussi. » Tu souris, plus sincèrement que tout à l’heure alors que depuis la première fois de ta vie, tu arrives à avoir une discussion avec la jeune femme que tu n’arrêtais pas de regarder de loin avant. Tu arrives à progresser. Tu n’as peut-être plus besoin d’être un chaton pour pouvoir passer du temps avec elle, du moins c’est ce que tu veux essayer de faire croire à ta conscience, ça serait sympa que cela puisse réellement fonctionner. Tu as le droit d’être heureux. « tu racontes ça à quelqu'un, je deviendrais ton pire cauchemar » Tu n’avais pas fais attention, mais ce sont une fois les yeux dans sa direction que tu peux apercevoir la grenouille, un léger rire sort de ta bouche et tu arrives à joindre les mains une nouvelle fois pour lui répondre avec sincérité. « C’est promis. » Tu as aussi eu des doudous jusqu’à très tard et ce n’est pas du tout une honte, bien au contraire. Tu es bien depuis quelques minutes, un nouveau sentiment agréable est arrivé et la cohabitation peut enfin commencer.Le lendemain soir. 21h. Une soirée près du lac. -
Tu étais vraiment fatigué hier et n’as pas mis longtemps avant de réussir à trouver le sommeil sans prendre la peine de visiter les alentours, il faut dire que tu as eu une semaine assez chargé et qu’une bonne nuit de sommeil a au moins eu pour effet de recharger entièrement les batteries. Tu n’as pas passé beaucoup d’heures dans la tente, l’après-midi t’as servi à prendre le soleil avec ton ballon et faire quelque étirement. Tu n’as pas vu Tina et Lya de toute la journée, elles doivent être ailleurs ou alors elles ne sont peut-être pas là, elles pourraient au moins le dire. Niamh n’a pas passé beaucoup de temps dans votre tente, elle n’a pas tellement donnée d’information, mais voulait rendre visite à ses colocataires. Des personnes habitent avec elle, sans vraiment l’assumer, tu es un peu jaloux de ces gens surtout si un garçon se cache parmi eux. Cependant, elle est bien là, à cette soirée avec une amie à elle à danser et boire depuis quelque temps. Toi, tu es à ton second verre et essaies d’impression un copain en jouant à « La tour infernale. » Le concept est simple, boire son verre en cul-sec sans s’aider de ses mains. C’est plus compliqué qu’on pourrait le penser, mais tu es un professionnel dans ce domaine. Tu attrapes le verre avec les dents et le relèves d’un coup sec, la moitié du récipient termine sur ton torse alors que le verre tombe au sol, tu regardes ton pote avec un air désespéré. « Je ne comprend pas, d’habitude ça fonctionne. » Il hausse les épaules et tu n’as pas le temps d’écouter ce qu’il ajoute puisque tu vois une chose qui ne te plaît pas du tout.
Tu arrives à hauteur de la jeune femme, de son amie et d’un homme qui dégage une forte odeur d’alcool, il faut toujours que ce genre de soirée termine comme ça, tu es adorable et timide avec les femmes, mais ce n’est pas tellement la même chose avec les hommes. Il ne faut pas te chercher, et ça seulement ta famille et quelques élus le savent. Elle ne veut clairement pas que cet homme soit là, il se permet de poser ses mains sur elle, tu attrapes son bras avec le sourire et plisses légèrement les yeux. « Dis donc, mon ami, il semblerait qu’on t’appelle plus loin. » Il se libère en tirant avec beaucoup d’agressivité et commence à poser un regard noir sur toi. Il n’a pas tellement envie de t’écouter, ce n’est pas un problème, ce genre d’embrouille, tu sais comment gérer. « Tu devrais aller jouer plus loin le gamin. » Tu jetes un coup d’oeil à Niamh. « Je sais que ça ne me regarde pas, si tu me dis que c’est ce que tu veux, je m’en vais, mais s’il t’approche sans ton consentement, je lui explose les noix. » Il attrape ton épaule. « T’as dit quoi là. » Tu lui mets un coup de genou entre les jambes avec toute ta forme et le pousse en même temps pour le voir tomber au sol, avant de lever les mains dans sa direction. « J’ai parlé de te casser les noix. » Ce n’est sûrement pas ton problème, mais il est hors de question que cet homme puisse s’en sortir alors qu’il vient de poser ses mains sur la femme qui te fait tourner la tête.
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Re: giamh - young, wild and free
Mar 19 Juin 2018 - 23:22
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Tu ne sais pas pourquoi, mais quelque chose dans son attitude, ses paroles te rappelle ton frère. C’est peut-être pour ça que tu lui viens en aide, répondant à son incroyable changement de sujet sur les bicornes. Peu de gens le savent, mais tu es très intéressée par les créatures magiques, c’est un peu le thème récurrent de tes livres de chevet, ça et les grands classiques de la littérature bien entendu. Une femme plus cultivée qu’on ne le croit si on se contente uniquement des apparences. Elles sont souvent trompeuses de toutes façons. Du tac au tac, il te donne une réponse à la fois -probablement- sincère et remplie d’humour, tu hoches la tête en souriant ton sacrifice sera apprécié par la gente féminine – ou masculine. Tu es totalement ouverte et ne juge jamais personne sur ses préférences sexuelles, tu sais qu’on a toujours tendance à être réducteur avec les gens, ce n’est pas ton cas. L’avantage d’avoir un frère plus souvent intéressé par les garçons probablement. Au fond, tu te rends bien compte que ta petite vendetta nuira tant à lui qu’à toi, tu préfères donc laisser tomber. Tenter la cohabitation ne vas te tuer, normalement, sauf s’il se décide à achever ce qu’il avait entrepris quelques années plus tôt, mais tu n’as pas l’impression que c’est à l’ordre du jour. La grenouille que tu serres dans tes bras, ce n’est pas une simple peluche, c’est celle que les garçons t’ont offert après la mort de vos parents. T’étais inconsolable, vous êtes passés devant ce magasin de jouets moldu et ton regard s’est enflammé pour cette peluche. Ian et Gray ont fouillé leurs poches pour réunir l’argent nécessaire afin de te l’offrir, c’est non seulement un cadeau des personnes les plus importantes de ta vie, mais aussi un gage d’amour énorme pour toi. Macs la grenouille t’accompagne – presque – partout, tu ne pourrais jamais t’en séparer. Giacomo laisse échapper un rire quand il voit l’objet du délit, tu grimaces en réponse, mais compte bien sur son silence, sans quoi, tu devras prendre des sanctions envers lui. Et tu n’es pas certaines qu’il apprécierait, mais tu plaisantes, pas vrai ? Sérieux ?
Debout à l’aurore, comme toujours, tu as donné rendez-vous à Lina pour une journée juste elle et toi, petit déjeuner préparer à votre manière, les tocs c’est contagieux, tu te soignes, mais une fois qu’elle est là, impossible de faire autrement que de replonger. Autour d’un jus de fruit, tu lui as annoncé ta décision, celle de quitter Hungcalf à la rentrée et malgré une pointe de tristesse dans son regard, elle s’est montrée particulièrement enjouée à l’idée de te voir parcourir le monde, monter ta propre affaire, parce qu’elle sait, parce qu’elle a compris que c’était quelque chose de très important pour toi. Le reste de la journée s’est particulièrement bien déroulé, vous avez échangé sur vos colocataires respectif, visiblement elle aussi avait eu droit à une surprise de taille. Le destin semble s’acharner sur vous. Une soirée est organisée le soir au bord du lac, tu as réussi à la convaincre de t’accompagner, de la musique, de la danse, tu ne pourrais pas résister de toute manière. C’est entre filles que vous vous êtes préparées, tu as pris un malin plaisir à la faire sortir de sa zone de confort, quant à toi, tu n’es pas vite gênée, donc un belle robe noire courte avec un maxi décolleté à très bien fait l’affaire. Vous passez un bon moment, tu lui apprends quelques pas de base et rapidement elle te suit sans rechigner, c’est tellement agréable l’innocence. Après quelque temps, un homme vient s’immiscer, si dans un premier temps il ne semble pas désagréable, il se montre rapidement collant, les mains un peu tops baladeuses à ton goût, ta tolérance à ce genre de comportement à largement chuter ces derniers mois, ses mains glissent sur tes hanches, tes fesses, une fois, deux fois, trois fois, tu le remets à sa place et commence même à t’énerver quand une silhouette apparaît à tes côtés, tu tournes le regard hébété vers Giacomo. Qu’est-ce tu fais là toi?
Le grymm semble venir à la rescousse et tu es un peu perdue, même si au fond, tu apprécies le geste chevaleresque. C’est qu’il pourrait presque être impressionnant le petit. Tu croises les bras sous ta poitrine, le regard faisant des allers-retours entre les deux hommes, tu ne voudrais pas qu’il se ramasse un coup en venant t’aider, même si tu n’as rien demandé au fond, un geste de gentillesse ne doit pas être négligé. C’est ce que le prêtre disait l’autre jour à la messe. Soit donc gentille Niamh. Giacomo se tourne vers toi, s’excusant d’intervenir et t’assurant que si tu le souhaites, il te laissera avec cet homme me laisse pas. Pas avec cet homme qui te rappelle trop de mauvais souvenirs. Tu n’as pas le temps de répondre que ton cavalier enhardit reprends la parole, mais qu’est-ce qu’ils ont tous? C’est a ce moment précis que le grymm a envoyé un méchant coup, ta main s’est portée d’instinct sur ta bouche pour étouffer un petit cri de surprise, avant de rire face au panache de ton compagnon de maison. L’autre étant toujours à terre, tu attrapes Giacomo par le bras pour partir en catimini ; vous éloignez en tout cas, on ne sait jamais que monsieur mains baladeuses aurait la rancune tenace. Tu t’arrêtes sur le côté, un peu plus loin que le bar, t’as pas l’habitude. De devoir dire merci. Des attitudes chevaleresques. Qu’on fasse attention à toi dans une mer de gens. Forcément, tu sais pas comment on fait, alors tu souris timidement sans vraiment croisé son regard, t’es un peu trop gênée de la scène qui vient de se jouer que pour faire la fière, je suppose que c’est là que je dois te remercier ? Tu pourrais faire mieux, t’en doute pas, mais t’es mal à l’aise. Lentement, ton regard se lève et fini par croiser le siens, noisette au reflet d’ambre, tu soupires, tu sais même pas pourquoi, avant d’ajouter pourquoi ? Oui, c’est original comme remerciement. Quand on disait que tu pouvais faire mieux, on imaginait pas vraiment ça, mais c’est toi, on ne vas pas essayer de comprendre comment tu fonctionnes, on y passerait la nuit, pourtant tu continues ta phrase, clarifiant de ce fait la situation je veux dire… ça fait quoi ? Dix ans ? Que je suis odieuse avec toi ? Bon, tu l’avais mérité, on va pas revenir là-dessus, mais … tu pouvais très bien me laisser me débrouiller, comme tous les autres on fait… Prochaine fois que tu souhaites présenter des excuses, demande conseil, lit un bouquin, fait quelque chose, mais pas ça, sauf si ce ne sont pas des excuses que tu présentes, mais que tu cherches une explication rationnelle à un comportement qui ne l’est pas ? Un geste de gentillesse gratuite à ton égard, alors que tu sais toi-même que tu ne le mérites pas, c’est plutôt ça, pas vrai Niamh ?
Le lendemain soir. 21h. Une soirée près du lac. -
Debout à l’aurore, comme toujours, tu as donné rendez-vous à Lina pour une journée juste elle et toi, petit déjeuner préparer à votre manière, les tocs c’est contagieux, tu te soignes, mais une fois qu’elle est là, impossible de faire autrement que de replonger. Autour d’un jus de fruit, tu lui as annoncé ta décision, celle de quitter Hungcalf à la rentrée et malgré une pointe de tristesse dans son regard, elle s’est montrée particulièrement enjouée à l’idée de te voir parcourir le monde, monter ta propre affaire, parce qu’elle sait, parce qu’elle a compris que c’était quelque chose de très important pour toi. Le reste de la journée s’est particulièrement bien déroulé, vous avez échangé sur vos colocataires respectif, visiblement elle aussi avait eu droit à une surprise de taille. Le destin semble s’acharner sur vous. Une soirée est organisée le soir au bord du lac, tu as réussi à la convaincre de t’accompagner, de la musique, de la danse, tu ne pourrais pas résister de toute manière. C’est entre filles que vous vous êtes préparées, tu as pris un malin plaisir à la faire sortir de sa zone de confort, quant à toi, tu n’es pas vite gênée, donc un belle robe noire courte avec un maxi décolleté à très bien fait l’affaire. Vous passez un bon moment, tu lui apprends quelques pas de base et rapidement elle te suit sans rechigner, c’est tellement agréable l’innocence. Après quelque temps, un homme vient s’immiscer, si dans un premier temps il ne semble pas désagréable, il se montre rapidement collant, les mains un peu tops baladeuses à ton goût, ta tolérance à ce genre de comportement à largement chuter ces derniers mois, ses mains glissent sur tes hanches, tes fesses, une fois, deux fois, trois fois, tu le remets à sa place et commence même à t’énerver quand une silhouette apparaît à tes côtés, tu tournes le regard hébété vers Giacomo. Qu’est-ce tu fais là toi?
Le grymm semble venir à la rescousse et tu es un peu perdue, même si au fond, tu apprécies le geste chevaleresque. C’est qu’il pourrait presque être impressionnant le petit. Tu croises les bras sous ta poitrine, le regard faisant des allers-retours entre les deux hommes, tu ne voudrais pas qu’il se ramasse un coup en venant t’aider, même si tu n’as rien demandé au fond, un geste de gentillesse ne doit pas être négligé. C’est ce que le prêtre disait l’autre jour à la messe. Soit donc gentille Niamh. Giacomo se tourne vers toi, s’excusant d’intervenir et t’assurant que si tu le souhaites, il te laissera avec cet homme me laisse pas. Pas avec cet homme qui te rappelle trop de mauvais souvenirs. Tu n’as pas le temps de répondre que ton cavalier enhardit reprends la parole, mais qu’est-ce qu’ils ont tous? C’est a ce moment précis que le grymm a envoyé un méchant coup, ta main s’est portée d’instinct sur ta bouche pour étouffer un petit cri de surprise, avant de rire face au panache de ton compagnon de maison. L’autre étant toujours à terre, tu attrapes Giacomo par le bras pour partir en catimini ; vous éloignez en tout cas, on ne sait jamais que monsieur mains baladeuses aurait la rancune tenace. Tu t’arrêtes sur le côté, un peu plus loin que le bar, t’as pas l’habitude. De devoir dire merci. Des attitudes chevaleresques. Qu’on fasse attention à toi dans une mer de gens. Forcément, tu sais pas comment on fait, alors tu souris timidement sans vraiment croisé son regard, t’es un peu trop gênée de la scène qui vient de se jouer que pour faire la fière, je suppose que c’est là que je dois te remercier ? Tu pourrais faire mieux, t’en doute pas, mais t’es mal à l’aise. Lentement, ton regard se lève et fini par croiser le siens, noisette au reflet d’ambre, tu soupires, tu sais même pas pourquoi, avant d’ajouter pourquoi ? Oui, c’est original comme remerciement. Quand on disait que tu pouvais faire mieux, on imaginait pas vraiment ça, mais c’est toi, on ne vas pas essayer de comprendre comment tu fonctionnes, on y passerait la nuit, pourtant tu continues ta phrase, clarifiant de ce fait la situation je veux dire… ça fait quoi ? Dix ans ? Que je suis odieuse avec toi ? Bon, tu l’avais mérité, on va pas revenir là-dessus, mais … tu pouvais très bien me laisser me débrouiller, comme tous les autres on fait… Prochaine fois que tu souhaites présenter des excuses, demande conseil, lit un bouquin, fait quelque chose, mais pas ça, sauf si ce ne sont pas des excuses que tu présentes, mais que tu cherches une explication rationnelle à un comportement qui ne l’est pas ? Un geste de gentillesse gratuite à ton égard, alors que tu sais toi-même que tu ne le mérites pas, c’est plutôt ça, pas vrai Niamh ?
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Re: giamh - young, wild and free
Lun 25 Juin 2018 - 20:55
Tu n’as pas tellement le physique imposant que tu aimerais obtenir, ce n’est pas pour autant un problème et ça n’a jamais empêché le fait que tu puisses défendre ta propre personne ou celle de quelqu’un qui a besoin d’aide quand l’occasion se montre. Tu n’aimes pas l’injustice et s’il faut prendre des coups pour faire en sorte que ce monde soit un peu plus juste, alors tu peux le faire sans aucune hésitation. Heureusement pour toi, tu n’as pas eu le temps d’en prendre une que la jeune fille t’attrapant le bras t’as traînée jusqu’à un endroit plus calme loin du regard de la population. Aucune chance que l’imbécile de cette fête vous retrouve dans ce genre d’endroit alors que la jeune femme commence à te questionner pour savoir ce qui peut justifier ton geste. « Je suppose que c’est là que je dois te remercier ? » Elle prend quand même la peine de sourire timidement, ça l’a rend encore plus mignonne que tu ne pourrais l’imaginer, elle n’arrêtera donc jamais de retourner ton esprit et de te rendre complètement fou ?! Sûrement pas. Tu hausses les épaules. « Non. Pas besoin. » Tu n’as pas fait tout ça pour avoir des remerciements, ce garçon a simplement eu ce qu’il méritait et tu aurais fait la même chose pour n’importe qui. Il est hors de question que ce genre de pratique puisse être vrai, pas devant toi en tout cas. Tu n’es pas très puissant, mais tu es tenace et ta rancune n’a aucune limite ce qui est une qualité quand on se trouve du bon côté de la balance. « pourquoi ? » La question qui tue et pourtant elle reste totalement légitime alors que tu prends la peine de réfléchir en cachant le plus possible la gêne qui vient de prendre possession de chaque parcelle de ton corps. Ce n’est pas simple comme question et la réponse le sera sûrement encore moins et pourtant, tu n’as pas envie de te défiler au risque de passer pour un imbécile devant une femme qui pour la première fois dans cette vie t’accordes un minimum d’importance. « Il n’avait pas à s’en prendre à toi. » Tu acquisses légèrement, tu as donné la meilleure réponse possible. Une réponse sincère, qui continue de dissimuler pourtant ce que tu ressens.
« Je veux dire… ça fait quoi ? Dix ans ? Que je suis odieuse avec toi ? Bon, tu l’avais mérité, on va pas revenir là-dessus, mais … tu pouvais très bien me laisser me débrouiller, comme tous les autres, on fait… » Tu lèves le visage dans sa direction d’abord très surpris parce qu’elle vient de dire en ouvrant de grands yeux avant de baisser la tête presque honteuse. Tu n’as jamais eu envie de ce genre de résultat et si tu pouvais revenir en arrière, tu voudrais le faire sans aucune hésitation. Tu le sais. « Je suis désolé… » C’est sûrement la première fois que tu arrives à t’excuser devant la jeune femme, depuis toutes ces années, il aura fallu pas mal d’événements et de courage pour que tu arrives enfin à trouver le moment de pouvoir présenter de véritables excuses. Même si elle le prend mal, au moins tu auras eu la chance de pouvoir vider cette douleur dans la poitrine, tu as le droit dans la seconde d’être fier de toi. C’est peut-être les quelques goûtes d’alcool que tu as dans le sang qui permet d’arriver à tout ça avec autant de facilité, tu pourrais presque en cet instant te laisser aller à tout ce que tu désires. Mais, qu’est ce que tu veux vraiment là ? L’embrasser ? Essayer l’impossible. Ça pourrait fonctionner. Tu avances d’un pas, puis tu arrêtes l’élan de courage que tu viens de trouver pour réaliser que tu n’as pas à laisser faire quelques pulsions qui pourraient te coûter très cher. Tu portes une main sur ta nuque avec honte alors que tes yeux arrivent à trouver ceux de Niamh une nouvelle fois. « Je vais rentrer. » Tu souffles pendant un instant, impossible pour la jeune femme de le voir alors que tu commences à détourner le regard pour prendre le chemin jusqu’à votre nouveau lieu de résidence. « Si tu as besoin d’aide, je ne serai pas loin. » Tu sais que c’est sûrement beaucoup, mais tu as besoin de t’allonger et de laisser s’évader l’alcool et le courage soudain dont tu as fait preuve. Tout doit disparaître et demain à nouveau tout pourra recommencer comme avant. Tu n’arriveras sûrement pas à réaliser en ouvrant les yeux demain matin que tu as réussi à parler à Niamh sans qu’un mot soit plus haut l’un que l’autre, sans que le ton n’augmente ou que votre regard ne soit plus sombre. Une conversation normale, des excuses et quelques révélations dans les yeux. Un désir impossible à dissimuler dans tes iris, une chaleur intense et un désir infini de s’emparer d’elle toute entière.
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Re: giamh - young, wild and free
Lun 25 Juin 2018 - 22:42
le hasard fait bien les choses, ou pas!
D'ordinaire incisive, froide, tu te montres intriguée, curieuse, réellement. Tu ne comprends pas comment, ou pourquoi il s'est montré gentil envers toi. Tu n'as jamais rien fait pour t'attirer sa sympathie, au contraire. Tu ne sais pas comment faire, toi qui n'a jamais eu besoin de personne, il semblerait que ces derniers temps les gens aiment te porter secours. Tu devrais peut-être apprendre à simplement dire merci, sans attendre de justification, mais tu n'as pas été habituée comme ça. Pour toi, désormais chaque chose à un prix et tu cherches à connaître les motivations réelles de Giacomo. Le jeune homme hausse les épaules, t'assurant qu'il n'attend aucun remerciement, ça te semble tellement étrange, tu ne peux t'empêcher de pousser. Tu passes en mode interrogatoire, tu demandes pourquoi sans ménagement et la réponse tombe, elle est tellement simple qu'elle te désarme ; il n'avait pas à s'en prendre à toi. Un sourire intérieur naît en toi, s'il savait. Ce n'est pas un mec un peu éméché qui pourrait te faire plus de mal encore, mais tu gardes tant le sourire que le secret. Jamais personne d'autre ne le saura, tu refuses que le bruit s'évade du petit cercle de confiance. Tu ne le supporterais pas.
Le grymm s’excuse, après des années les voilà enfin ces fameuses excuses, tu souris, plus sincèrement que tu ne le voudrais, tes épaules se soulèvent légèrement, moue d’enfant boudeur sur le visage. C’était pas des bonnes années... Ta manière à toi de t’excuser peut-être ? C’est pas franchement concluant Niamh, mais c’est vrai que c’était pas la joie à cette époque, que ça soit chez toi ou à l’école, tu n’avais pas de répit possible et la moindre contrariété prenait des proportions hors normes. Il en a fait les frais. Mauvais endroit, mauvais moment, simplement. Ces dernières années, ça va mieux, tu renoues progressivement avec la femme que tu es réellement. Quelqu’un de plus doux, de plus compréhensive, la squad et sa diversité y est pour beaucoup.
Le brun place ses iris dans les tiennes tout en avançant d'un pas, tu ne cilles pas, tu ne recules pas, tu n'as rien à craindre de lui, tu ne le considères pas comme une menace, lui qui vient de venir à ton secours. Stoppé net, il passe une main derrière sa nuque, tu inclines légèrement la tête sur le côté comme pour essayer de comprendre son comportement, c'est pas ton fort les êtres humains. Giacomo compte rentrer, il s'apprête à te tourner le dos tout en t'assurant qu'il n'est pas loin en cas de besoin. Tu souris en hochant la tête, tout en le regardant s'éloigner. La musique change derrière toi, un rythme latin, quelque chose de dansant et tu lèves les yeux en souriant. T'ignores pourquoi tu vas faire ça, mais ta main attrape la sienne après quelques pas à peine. Attends...
Ton regard cherche le sien, avant d'ajouter je ne peux pas danser toute seule... et t'as éliminé le seul cavalier que je m'étais trouvé... Tes épaules se soulèvent une nouvelle fois, tu souris en accompagnant tes paroles d'un signe de tête vers la piste un peu plus loin. La musique adoucit les moeurs, ça ne pourrait jamais être plus vrai qu'avec toi. Tu es une femme totalement différente quand tu danses ou quand tu chantes, une femme souriante, passionnée, qui peut se montrer douce et enfantine, autant que sensuelle et fatale. Ta main ne lâche pas la sienne, t'as pas envie qu'il te plante en plein milieu de chemin. T'es prêt ? Tu aurais peut-être dut lui demander s'il savait danser avant toute chose, non ? Depuis les années que tu donnes des cours à des novices, tu reconnais cette lueur dans son regard, un sourire moqueur étire tes lèvres avant de mordiller légèrement l'inférieure afin de ne pas rire. On reprend les bases ? Habituée, tu saisis sa seconde main et commence à onduler au rythme de la musique. Suis mes pas... Assurée, tu poses ses mains sur tes hanches, les tiennes sur son torse, tu fais les huit temps de base, mais t’es pas satisfaite, l’inverse aurait été étonnant, alors tu te tournes, ton dos contre lui pour lui montrer les pas de son point de vue, regarde, c’est simple au fond. Forcément, quand on sait c’est toujours simple. D’un geste vif, précis, tu reprends ta place face à lui tout en tournant, quelque chose de très esthétique qui ne laisse pas le doute sur ton talent. Tu t’en sors pas trop mal dis-tu avec un petit sourire amusé. Comme toujours quand tu prends une pauvre proie innocente, tu aimes voir les gens faire des efforts
Le grymm s’excuse, après des années les voilà enfin ces fameuses excuses, tu souris, plus sincèrement que tu ne le voudrais, tes épaules se soulèvent légèrement, moue d’enfant boudeur sur le visage. C’était pas des bonnes années... Ta manière à toi de t’excuser peut-être ? C’est pas franchement concluant Niamh, mais c’est vrai que c’était pas la joie à cette époque, que ça soit chez toi ou à l’école, tu n’avais pas de répit possible et la moindre contrariété prenait des proportions hors normes. Il en a fait les frais. Mauvais endroit, mauvais moment, simplement. Ces dernières années, ça va mieux, tu renoues progressivement avec la femme que tu es réellement. Quelqu’un de plus doux, de plus compréhensive, la squad et sa diversité y est pour beaucoup.
Le brun place ses iris dans les tiennes tout en avançant d'un pas, tu ne cilles pas, tu ne recules pas, tu n'as rien à craindre de lui, tu ne le considères pas comme une menace, lui qui vient de venir à ton secours. Stoppé net, il passe une main derrière sa nuque, tu inclines légèrement la tête sur le côté comme pour essayer de comprendre son comportement, c'est pas ton fort les êtres humains. Giacomo compte rentrer, il s'apprête à te tourner le dos tout en t'assurant qu'il n'est pas loin en cas de besoin. Tu souris en hochant la tête, tout en le regardant s'éloigner. La musique change derrière toi, un rythme latin, quelque chose de dansant et tu lèves les yeux en souriant. T'ignores pourquoi tu vas faire ça, mais ta main attrape la sienne après quelques pas à peine. Attends...
Ton regard cherche le sien, avant d'ajouter je ne peux pas danser toute seule... et t'as éliminé le seul cavalier que je m'étais trouvé... Tes épaules se soulèvent une nouvelle fois, tu souris en accompagnant tes paroles d'un signe de tête vers la piste un peu plus loin. La musique adoucit les moeurs, ça ne pourrait jamais être plus vrai qu'avec toi. Tu es une femme totalement différente quand tu danses ou quand tu chantes, une femme souriante, passionnée, qui peut se montrer douce et enfantine, autant que sensuelle et fatale. Ta main ne lâche pas la sienne, t'as pas envie qu'il te plante en plein milieu de chemin. T'es prêt ? Tu aurais peut-être dut lui demander s'il savait danser avant toute chose, non ? Depuis les années que tu donnes des cours à des novices, tu reconnais cette lueur dans son regard, un sourire moqueur étire tes lèvres avant de mordiller légèrement l'inférieure afin de ne pas rire. On reprend les bases ? Habituée, tu saisis sa seconde main et commence à onduler au rythme de la musique. Suis mes pas... Assurée, tu poses ses mains sur tes hanches, les tiennes sur son torse, tu fais les huit temps de base, mais t’es pas satisfaite, l’inverse aurait été étonnant, alors tu te tournes, ton dos contre lui pour lui montrer les pas de son point de vue, regarde, c’est simple au fond. Forcément, quand on sait c’est toujours simple. D’un geste vif, précis, tu reprends ta place face à lui tout en tournant, quelque chose de très esthétique qui ne laisse pas le doute sur ton talent. Tu t’en sors pas trop mal dis-tu avec un petit sourire amusé. Comme toujours quand tu prends une pauvre proie innocente, tu aimes voir les gens faire des efforts
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Re: giamh - young, wild and free
Mer 4 Juil 2018 - 22:02
Les fées, ont-elles une queue ? Personne ne le sait et pourtant les légendes sont encore nombreuses à ce jour même s’il est impossible de véritablement avoir la réponse. Pourtant, tu aimes poser cette question parce qu’elle permet de se rendre compte que tu ne sais presque rien sur ce monde. Personne ne sait rien, en fait. Il y a pleins d’autres choses dont tu ignores la solution à commencer par la raison de la présence de cette jeune femme devant toi en ce moment même alors qu’hier encore elle n’arrivait pas à t’adresser la parole sans prendre la mouche. Impossible à comprendre. Elle sourit et prend même la peine de regarder la personne que tu aimes le moins, toi. Tout ceci n’a peut-être aucun sens, alors pourquoi penses-tu seulement à l’instant présent avec elle, le reste n’a jamais eu d’importance et c’est de cette façon que tu arrives enfin à t’en rendre compte. « Ce n'était pas des bonnes années… » Tu veux pleurer. Tu veux crier. Toutes ces années à prendre la douleur comme normale alors que peu à peu le désespoir commençait à prendre soin de toi à sa façon et voilà que maintenant tout ça n’a même plus le droit d’être présent. Tu baisses la tête, c’est ce que tu sais faire de mieux devant Niamh cette muse capable de faire vibrer chacune des parties de ton corps et de ton âme. Tu n’arrives pas à répondre, elle est bien trop belle pour ça.
Tu détournes toute la masse qui te représente dans la direction de la tente, mais tu n’avais pas du tout en-tête la possibilité qu’elle puisse t’arrêter, et même te demander d’attendre, tu sais maintenant que tu n’as pas tellement le choix. Il faut dire qu’elle a de bons arguments. « Attends… » Alors que la musique commence à se faire entendre, tu commences à nouveau à observer la jeune demoiselle sans vraiment comprendre ce qu’elle veut. « Niamh ? » Tu n’arrives pas à dire autre chose et pourtant ton cœur fait un demi-tour sur lui-même alors qu’elle attrape l’une de tes mains, ce qui a pour effet de te couper le souffle. Elle est à la fois chaude et d’une douceur incomparable. « je ne peux pas danser toute seule... et t'as éliminé le seul cavalier que je m'étais trouvé… » Tu déglutis, elle ne va quand même pas… Elle t’emmène sur la piste et tu commences à sentir une gêne encore inconnu prendre possession de toi. Tu ne sais même pas comment il faut faire. « Je… » Tu essaies de lui parler, mais elle est déjà prise dans sa danse et ne risque pas de pouvoir t’entendre, il semblerait que se soit trop tard pour faire marche arrière. Pourtant, tu n’as pas peur du regard des autres, mais c’est du siens dont tu es le plus effrayé.
« Suis mes pas… » Reprendre les bases, c’est une très bonne idée et tu essaies de suivre ses mouvements de tout ton possible alors que tout se passe bien jusqu’à ce qu’elle décide de poser ses mains sur ton torse et les tiennes sur ses hanches. Ce n’est pas normal. Pourtant, tu peux sentir sa respiration, son odeur et son regard sur toi ce qui a pour seul effet de faire battre ton cœur un peu plus chaque instant. La sensation de pouvoir toucher le corps de cette femme qui depuis si longtemps te fait rêver sans être un chat, mais bien le Giacomo que tout le monde connaît. Celui qui ne parle que de Volley, celui qui fait le dur, celui qui n’a peur de rien. Tu as peur de tellement de choses. C’est quand la dernière fois que tu as pris la peine de respirer ? Tu ne sais pas. Bien trop longtemps, sûrement. « Tu ne t'en sors pas trop mal » Tu ne sais pas quoi dire, elle ne doit pas dire ça pour te faire plaisir donc c’est sûrement un compliment, qui te va droit au cœur. Elle se met dos à toi et tu peux assister à ce qui semble être comme un véritable spectacle, tu n’arrives tout simplement pas à y croire, mais tout ça est bien réel, c’est tellement réel. La musique continue. Ton cœur s’arrête. Elle se retourne et à ce moment-là tes lèvres se posent sur les siennes sans même que tu ne puisses contrôler quoi que se soit. Elles sont douces. Elles sont chaudes. Les fées, ont-elles une queue ? Tu penses que oui.
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Re: giamh - young, wild and free
Jeu 5 Juil 2018 - 22:45
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Il a la tête basse. Tu observes ton camarade de maison, c’est un comportement qui t’es totalement étranger. Tu ne courbes pas l’échine, tu n’es pas de ceux-là parce que la vie est dure, tu sais que sans ça, tu n’aurais pas survécu. Probablement devenue trop rigide, trop imperméable aux autres, peu de chose sont capable de t’atteindre, mais tu sembles voir Giacomo sous un autre jour ce soir. Tu es curieuse de lui, de ce qu’il est, de sa douceur et de la force qu’il peut également montrer. Dans la tente plus tôt ou sur la piste il y a quelque chose qui t’intrigue, une espèce de sérénité quand il est à tes côtés, sa manière de te regarder, tu as envie d’être différentes,c’est pour ça que tu décides de lui montrer une autre facette de ta personnalité. Tu saisis sa main tout en lui demandant d’attendre, la surprise se lit sur son visage tandis qu’un sourire vient habiller le tien. Sans lui laisser le choix, tu l’entraînes à ta suite vers la piste et tu peux sentir un malaise grandissant émanant du jeune homme qui te fait face. Cette fois, pourtant, tu essaies de te montrer gentille, tu es avenante, douce et un minimum pédagogue. Tu l’invites à imiter tes pas, tu le guides en positionnant les mains, tant les tiennes que les siennes. Le contact n’est pas désagréable, c’est même plutôt l’inverse, tu ondules, laissant les notes prendre possession de ton corps dos à lui, tu ne penses plus à rien Niamh, t’es bien, tu n’as pas envie de t’arrêter, pourtant lorsque tu te retournes, tu t’arrêtes net. Tes pupilles se dilatent sous l’effet de la surprise, les battements de ton coeur s’accélèrent, devenant rapidement hors de contrôle. Tu ne comprends pas pourquoi, vous passiez un bon moment et il a fallu qu’il fasse tout foirer. D’un mouvement lent, sans aucune violence, tu imposes une distance, le regard fuyant, tu tentes de contenir la panique qui envahit chaque parcelle de ton être. Ses lèvres sur les tiennes, gestes furtifs empreint d’une certaine tendresse tout de même, ont un goût à le fois agréable et amer. Ton regard se fait presque implorant quand tu le regardes, tu n’es pas en colère, pas du tout, tu es terrorisée. Tes mains tremblent légèrement, tu secoues la tête en le regardant pourquoi t’as fait ça ? Question purement rhétorique, tu n’as pas envie de savoir, il a probablement bu plus qu’il ne le supporte, la danse, il a imaginé que tu étais le genre de fille qu’on sait avoir facilement, mais malgré les ragots, ce n’est pas ton cas. Encore moins depuis quelques mois. Tu ne supportes plus les contacts avec les hommes, tu tolères ceux que tu inities, mais pour le reste, tu n’es pas guérie, tu es même loin de l’être. Désolée... Tu ne sais pas pourquoi tu t’excuses, mais c’est sincère, tu fais volte-face et prends la direction de la tente, tout en jetant un regard vers la piste.
Le calme de la tente est apaisant. Recroquevillée sur le sol à côté de ton lit, tu fixes la toile de l’autre côté, ta peluche dans les bras, tu es perdue, tu n’es pas ce genre de femme qui fuit, qui décampe sans rien dire, tu as toujours fait face jusqu’ici. Pourquoi est-ce différent ? Parce que jusqu’ici tu ne l’aimais pas ? Est-ce que les choses ont changé ? Tu as aperçu une certaine bonté dans son regard, tu as vu un comportement désintéressé quand il est venu t’aider, mais tu n’as pas compris son geste, tu es restée pantoise quand il t’a embrassé. Ce n’est pourtant pas la chose la plus étrange qu’un homme puisse faire. Peut-être que dans d’autres circonstances, les choses auraient été différentes. Tu places ton casque sur tes oreilles et lances ta musique. Les yeux fermés, tu pars à la recherche d’une certaine sérénité, tu fredonnes, chantes, les paroles sortent sans que tu ne t’en aperçoives. Chanter, danser, respirer, c’est la même chose pour toi depuis des années. Isolée dans ton monde, tu n’es pas consciente de ce qui t’entoures, tu oublies, le kelpie, la tente, tu es simplement habitée par la musique.
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Re: giamh - young, wild and free
Lun 9 Juil 2018 - 21:53
Tout se passe très vite et pourtant tu n’arrives pas à sortir de ta tête le regard de la jeune femme une fois qu’elle recule toute tremblante pour demander la raison de tout ça, tu ne sais même pas toi-même et pourtant tu viens d’apprécier ce bref moment. Tu n’arrives toujours pas à croire que tu as eu le courage d’embrasser Niamh, la personne qui depuis si longtemps arrive à te rendre totalement fou avec de simples mots. Ça ressemble seulement à un rêve et pourtant c’est bien réel, il faut croire pourtant que tu n’es pas fort en apercevant son visage. Elle n’a pas du tout aimée. « Je suis désolé… » Tu ne sais même pas quoi rajouter, il faut dire que c’est sous le coup de l’émotion que tu as fais le premier pas et maintenant tu commences à regretter en pensant que tu as tout mis en l’air et que rien ne pourra venir rattraper ce que tu viens de faire. Quel imbécile. Elle s’excuse est comme à s’enfuir dans la direction ou se trouve votre tente, sûrement qu’elle en sera plus là quand tu reviendras alors qu’une main se lève presque machinalement dans sa direction, mais il est déjà trop tard. Elle n’est plus là. Tu restes là, debout et totalement désarmé. La musique continue et les couples s’embrassent puis n’arrêtent pas de danser alors que tu commences à quitter la piste pour aller prendre un verre, si tu commences à lui courir après ça va très mal se terminer pour toi. Tu as déjà fais assez de bêtises pour ce soir.
Tu attrapes la première boisson qui vient, tu aimerais que se soit de l’alcool mais c’est seulement un soda un peu trop amer à ton goût, tu plonges les yeux en direction des personnes présentes alors qu’il fait déjà nuit. Tu es vraiment bête. Vous étiez sur le point de devenir amis, tu allais enfin avoir ce que tu as toujours voulu avec elle et tu n’as rien trouvé de mieux que de tout mettre de travers. Tu poses le verre. Tu n’arrives plus à réfléchir, c’est impossible en cet instant et pourtant il faudrait que tu puisses. Tu décides donc de quitter cet endroit pour rejoindre le lac un peu plus calme ou personne ne viendra t’embêter, dans ce genre de moment tu aimerais avoir ton ballon avec toi, mais il est resté à la tente. Avec Niamh… Enfin, c’est ce que tu penses. Tu tombes devant l’eau sur les fesses et plisse les yeux comme pour capter le peu de lumière présente, tu prends une grande respirations et commence à mettre les mains sur ton visage comme pour essayer de trouver une solution à ce problème. Si y’a la moindre chose que tu puisses faire, tu aimerais qu’on t’aide à trouver. Pour une fois que tu es réellement amoureux et que tu pourrais faire n’importe quoi pour une femme, tu ne dois pas laisser passer cette chance de pouvoir racheter ce que tu viens d’accomplir, tu n’as pas vraiment le choix il va falloir être un homme. Tu reviens sur tes jambes une nouvelle fois en soupirant légèrement. « C’est comme le Volley. » Il faut avoir confiance en soi pour gagner. C’est exactement la même chose.
Tu avances sans même savoir ce que tu vas faire, mais tu n’as plus envie de reculer et même de fuir, il faut affronter ses peurs et c’est exactement ce que tu vas faire dans quelques secondes alors que tu vois enfin la tente. Tu arrives à l’intérieur et voit la jeune femme au sol, une douleur que tu ne comprends pas arrive jusqu’à ta poitrine et pourtant tu trouves la force d’arriver à sa hauteur. Tu baisses les yeux vers elle, mais ta voix est encore très faible. « Je… » Il va falloir arriver à parler, tu n’as pas le choix si tu veux avoir une chance de régler les choses avec elle. Respire. Tout va bien. « Je suis désolé… » Tu hausses les épaules comme un enfant, tu veux être attirant à ses yeux, tu veux lui dire tout ce que tu ressens, pourtant tu n’arrives pas à être clair. Tu veux au moins essayer. « Tu es si belle… » Ce n’était pas tellement la meilleure chose à dire, mais au moins il faut avouer que ça reste un début. Courage Giacomo. Tu n'as pas le droit, pourtant en cet instant la seule chose que tu désires c'est de se perdre sur ses lèvres. Le reste ne compte pas.
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Re: giamh - young, wild and free
Mar 10 Juil 2018 - 23:03
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Il doit te prendre pour une folle, ta réaction n'est pas normale, tu recules, tu trembles et il pose un regard sur toi, le genre de regard que tu n'as jamais croisé. Il s'excuse. Tu fuis. Un sentiment grandit en toi au fur et a mesure que tu t'éloignes de lui. Tu avances, tu ne comprends pas ce qui t'as prit, la panique était plus forte, tu as perdu tes moyens, tu as prit peur face à quelqu'un qui ne te voulait aucun mal. Assise dans ta tente, tu poses ta respiration sur la musique, tu ravales tes larmes, les tremblements cessent au rythme des minutes qui défilent et là, une certaine sérénité reprend le dessus. Ton casque posé, tu es attirée par une ombre. Il se tient là, devant toi, tu lèves le regard, visage toujours baissé comme une enfant qui vient de se faire punir. Tu sais pas quoi dire, t'as pas envie de t'expliquer. Comment le pourrais-tu d'ailleurs ? Tu ne souhaites pas donner d'explication a tes amis, alors quelqu'un que tu ne connais pas, c'est hors de question. Giacomo s'excuse, t'arques un sourcil ne comprenant pas pourquoi il se sent obligé de te présenter des excuses. Il n'a rien commit de répréhensible, en tant normal, tu aurais peut-être apprécié, tu serais peut-être entrée dans son jeu, tu aimais ce genre de jeux d'ailleurs. Vive, tu te remets sur tes pieds, lui faisant face malgré ta petite taille. Ne me regarde pas comme ça. Mal à l'aise, tu croises les bras autour de toi, serrant un peu plus, tu soutiens son regard, tu observes ses iris presque couleur d'ambre, regard qui te semble familier, mais dont tu n'arrives toujours pas à identifié la source. Non... Non t'es pas belle, tu l'as jamais été, t'es trop petite, trop 'en forme', pas assez fine, pas assez élancée, pas assez douce, trop cynique, tu n'as jamais cru en toi, personne ne l'a jamais fait, personne n'a jamais prit la peine de te dire ça, de te dire que tu étais douée, tu t'es forgée toi-même; ta quête de la perfection ne cessera jamais, parce que tu ne t'aimes pas, tu cherches à frôler la perfection afin de t’embellir un peu. Suffisamment pour devenir intéressante. Suffisamment pour qu'un jour tu puisses voir enfin un regard fier dans les yeux de ton frère. Idéalisation d'une situation qui ne verra jamais le jour, t'espère en vain, gamine ridicule qui rêve de retrouver une famille perdue à jamais. Tu ne sais rien de moi Giacomo, tu souris avec une certaine tendresse, il a l'air gentil, trop peut-être pour toi, tu risquerais de l’abîmer ce garçon au regard doux qui te touche d'une manière inattendue. Tu passes à côté de lui, tout en le frôlant légèrement intentionnellement, pour t'installer sur ton lit. Assise sur le bord, tu le regardes toujours, cherchant quoi dire pour ne pas qu'il ait l'impression d'être fautif, ce n'est pas lui le problème. Je suis désolée de t'avoir planté, c'était pas ta faute. Instinctivement, tu saisis sa main et l'attires vers toi, lui suggérant de s’asseoir à tes côtés. T'as eu du courage... dis-tu en souriant, t'essaies de dédramatiser et même si tu t'en rends pas compte, tu n'as pas lâché sa main.
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Re: giamh - young, wild and free
Ven 13 Juil 2018 - 22:00
Elle ne sait pas qu’elle est belle et que chaque fois qu’elle pose ses yeux sur toi, une chaleur prend place dans ta poitrine sans pouvoir te laisser tranquille une seule seconde. Elle n’a pas l’air d’être une femme qui a peur du monde qui l’entoure et pourtant pour la première fois depuis que tu l’as connais, tu as cette sensation qu’elle n’est pas aussi forte qu’elle voudrait le montrer. Elle est sûrement comme toi, à la recherche d’une raison de continuer autre que celle qu’on aimerait t’obliger à conserver. Ce n’est pas ce que tu veux. Tu veux être le meilleur passeur qui soit, tu veux prendre soin de ta famille même si vous n’êtes pas liés par les liens du sang et tu voudrais pouvoir aider un maximum de personnes même si vous êtes trop nombreux pour que se soit réellement possible. Mais personne ne peut savoir, il faut avant essayer et se rendre compte à quel point les miracles sont possibles, pour pouvoir en créer de nouveaux par la suite et encore d’autres jusqu’à ce qu’il ne soit plus envisageable de l’ignorer. « Tu ne sais rien de moi Giacomo » Tu as réellement envie de lui dire qu’elle a tord, mais rien ne sort de ta bouche alors que tu fermes les yeux un instant. Tu vas pourtant devoir essayer de toutes tes forces. Impossible de lui dire, mais comment lui montrer à quel point elle est importante pour toi sans l’énerver avec le peu de courage qu’il reste en toi en cet instant même ?! Tu vas pourtant devoir essayer de toutes tes forces. Tu arrives enfin à dire quelques mots. « Je te connais… » Plus qu’elle ne le pense en tout cas, mais ces quelques mots ne vont pas suffire à éveiller ses soupçons, c’est absolument impossible. Elle prend place sur son lit et passe près de toi sans que tu ne puisses comprendre, tu veux juste pouvoir calmer les choses et que la situation soit à nouveau normal même si tu ne sais pas ce que le mot normal signifie vraiment. Tu soupires. « Je suis désolée de t'avoir planté, ce n'était pas ta faute. » Il faut dire que tu commençais à penser le contraire, elle n’avait pas envie de rendre ce baiser, mais il semblerait que ce ne soit pas ça. Elle ne doit pas dire ça, sinon tu vas juste avoir envie de commencer une nouvelle fois sans cette fois pouvoir t’arrêter, il est question de Niamh alors se contrôler est pratiquement impossible. Tu l’aimes depuis tellement de temps et tu la désires depuis encore plus longtemps. Elle attrape alors l’une de tes mains et tu as un mouvement de recul, pourtant, elle ne lâche pas prise alors que tu découvres enfin la douceur de sa peau, c’est comme dans un rêve. « T'as eu du courage… » Alors qu’elle n’a même pas encore terminé sa phrase, tu te retrouves déjà vers elle, sur son propre lit en regardant la jeune femme fixement avec un mince sourire, tu es heureux qu’elle puisse dire ce genre de choses. Tu commences à penser qu’elle n’a rien contre toi, ce qui n’est pas tout à fait juste d’une certaine façon, mais l’amour rend aveugle le plus souvent et tu ne le sais que trop bien. « Merci… » Ce n’est pas ça qu’il faut dire Giacomo, il faudrait commencer à devenir un homme sinon elle va te glisser entre les doigts et trouvera quelqu’un capable de lui donner ce qu’elle recherche. Tu n’as pas le droit de fuir une nouvelle fois pour le regretter ensuite jusqu’à la fin de tes jours, c’est comme le Volley. Souviens toi. Tu regardes l’adversaire, puis tu attaques. Tu perds ton regard dans celui de la jeune femme et avant même que tu ne puisses comprendre, le temps s’arrête et vos lèvres sont déjà à terminer ce qu’il reste à parcourir. Comme de l’hypnose, tu laisses ses lèvres à nouveau percuter les tiennes, mais cette fois avec plus de fougue, comme si cette soirée avaient fatigué tout le monde et que toute la tension accumulée pendant des années venait de se relâcher sous cette forme. Quelque chose d’intense et animer par un instinct purement animal. Ta main glisse avec courage sur sa nuque pour intensifier un second baiser, bien plus réel et torride que le premier. Le petit Giacomo devient un homme. Tu quittes ses lèvres et trouve ses yeux une nouvelle fois pendant une seconde pour reprendre ton souffle et comprendre ce qu'il vient de se passer, puis tu louches à nouveau sur ses lèvres et les emprisonnes avec envie une fois de plus.
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Re: giamh - young, wild and free
Dim 15 Juil 2018 - 12:12
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Il y a quelque chose qui te déstabilise dans la manière dont ses yeux se posent sur toi, les mots qu'il utilise avec cette sincérité inattendue. Tu cherches à comprendre, tu veux mettre des mots sur l'inexplicable. Comment pourrait-il te connaître ? Il semble sur de lui pourtant. Tu fronces légèrement les sourcils, tu te sens perdue en ce moment même. Ce garçon que tu as soigneusement pris soin de détester ces dernières années se trouve en cet instant, capable de te troubler. C'est impossible pourtant. Toi, la reine du contrôle, tu sais que c'est impossible que ce garçon sache quoique ce soit sur toi, pourtant, tu as envie de le croire. Tu aimerais qu'une personne puisse savoir qui tu es, sans que tu ne te tue à faire semblant d'être parfaite. Parce que tu es une multitude d'imperfections, mais ce n'est pas ce que tu vois dans son regard. Ça te plaît, tu ne peux le nier.
Depuis qu'il est entré dans cette tente la veille, les choses ont radicalement changé entre vous. Une évolution tendant vers quelque chose de positif, de doux et d'agréable si tu te laisses porter pour une fois. Assise sur ton lit, tu saisis sa main et l'attires à tes côtés. Chaleur rassurante que celle-là. Déterminée à prendre un nouveau départ, tu décides de commencer ce soir, avec lui. Tes paroles se veulent sincères, gentille, il sourit comme soulagé que tu ne lui en veuilles pas, que le problème ne soit pas de son chef. Tu souris également, ajoutes amusée qu'il a eut du courage, parce que c'est vrai que pour oser franchir ce pas, il faut oser. Ta réputation de dragonne n'est plus à faire, tu es connue pour tes clashs, pour tes réactions souvent disproportionnées, alors oui, il a eut du courage le grymm. Son merci timide élargi ton sourire, il y a quelque chose de mignon dans sa gêne. C'est quelque chose que tu ne rencontres pas souvent, jamais d'ailleurs, bien plus attirée par les hommes sûrs d'eux, tu te laisses apprivoiser par sa douceur. Son regard ne quitte pas le tien. Cette fois tu le vois s'approcher, malgré l'intensité et la rapidité du geste, tu as l'impression de voir la scène d'un point de vue extérieur au ralenti, la panique ressentie plus tôt à fait place à une interrogation, pourquoi ?
Oui, pourquoi ? Pourquoi tu le laisses faire ? Pourquoi tu le repousses pas ? Pourquoi tu te surprends à te cambrer légèrement quand sa main se cale dans ta nuque ? Hein Niamh ? Pourquoi t'en redemande ? Quelques secondes de répit, vos regards se croisent, ta main glisse jusqu'à son visage que tu effleurée sans quitter son regard, du visage tes doigts glissent dans ses cheveux et tu approches, te cales contre lui pour lui rendre un nouveau baiser avec un mélange de fougue et de douceur, cette passion qui vient de la frustration est dévorante, tu ne te poses plus de questions, tu ne cherches plus à savoir pourquoi. Les minutes filent sans que tu n'en sois consciente. Dans une nouvelle caresse, tu prends un peu de distance, quelques secondes pour l'observer qu'est-ce que tu attends de moi ? toi-même ne connais pas la réponse adéquate, une nuit ? Plus ? Que ce soit l'un ou l'autre, tu ne sais pas si tu serais capable de lui offrir. T'es cassée, tu sais pas comment on fonctionne normalement.
Depuis qu'il est entré dans cette tente la veille, les choses ont radicalement changé entre vous. Une évolution tendant vers quelque chose de positif, de doux et d'agréable si tu te laisses porter pour une fois. Assise sur ton lit, tu saisis sa main et l'attires à tes côtés. Chaleur rassurante que celle-là. Déterminée à prendre un nouveau départ, tu décides de commencer ce soir, avec lui. Tes paroles se veulent sincères, gentille, il sourit comme soulagé que tu ne lui en veuilles pas, que le problème ne soit pas de son chef. Tu souris également, ajoutes amusée qu'il a eut du courage, parce que c'est vrai que pour oser franchir ce pas, il faut oser. Ta réputation de dragonne n'est plus à faire, tu es connue pour tes clashs, pour tes réactions souvent disproportionnées, alors oui, il a eut du courage le grymm. Son merci timide élargi ton sourire, il y a quelque chose de mignon dans sa gêne. C'est quelque chose que tu ne rencontres pas souvent, jamais d'ailleurs, bien plus attirée par les hommes sûrs d'eux, tu te laisses apprivoiser par sa douceur. Son regard ne quitte pas le tien. Cette fois tu le vois s'approcher, malgré l'intensité et la rapidité du geste, tu as l'impression de voir la scène d'un point de vue extérieur au ralenti, la panique ressentie plus tôt à fait place à une interrogation, pourquoi ?
Oui, pourquoi ? Pourquoi tu le laisses faire ? Pourquoi tu le repousses pas ? Pourquoi tu te surprends à te cambrer légèrement quand sa main se cale dans ta nuque ? Hein Niamh ? Pourquoi t'en redemande ? Quelques secondes de répit, vos regards se croisent, ta main glisse jusqu'à son visage que tu effleurée sans quitter son regard, du visage tes doigts glissent dans ses cheveux et tu approches, te cales contre lui pour lui rendre un nouveau baiser avec un mélange de fougue et de douceur, cette passion qui vient de la frustration est dévorante, tu ne te poses plus de questions, tu ne cherches plus à savoir pourquoi. Les minutes filent sans que tu n'en sois consciente. Dans une nouvelle caresse, tu prends un peu de distance, quelques secondes pour l'observer qu'est-ce que tu attends de moi ? toi-même ne connais pas la réponse adéquate, une nuit ? Plus ? Que ce soit l'un ou l'autre, tu ne sais pas si tu serais capable de lui offrir. T'es cassée, tu sais pas comment on fonctionne normalement.
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Re: giamh - young, wild and free
Lun 16 Juil 2018 - 21:56
La première approche est plus agréable encore que tout à l’heure alors qu’une main vient glisser le long de sa nuque pendant que tu l’embrasses, tu n’avais pas le courage encore il y’a quelques heures d’avoir ce genre d’attention et pourtant, te voilà maintenant avec la jeune femme que tu n’arrivais pas à approcher depuis plusieurs années. Ce n’est pas la timidité qui prend possession de toi, mais plutôt les remords d’un accident que tu n’arrives pas à expliquer. Tu ne veux surtout pas décevoir la jeune femme, mais ce n’est pas pour autan que chaque décision doit être réfléchie, il faut savoir laisser le destin se mettre en marche et lui accorder une forme de confiance impossible à décerner. Tu dois garder la tête haute. Ses yeux commencent à chercher les tiens, sa main prend place sur l’une de tes joues alors que le temps une nouvelle fois n’a plus d’importance. C’est alors qu’elle approche d’elle-même pour te rendre ce simple baiser avec une fougue agréable et une intensité à couper le souffle pendant de longues minutes, vos lèvres ne font qu’un et ta respiration n’est plus normale. Tu abuses, mais pourtant, tu en veux toujours plus et ce n’est pas prêt de se terminer alors que tu mordilles doucement sa lèvre inférieure comme pour lui faire comprendre que cet échange de baisers semble avoir beaucoup d’effet sur toi. Elle arrête et plonge son regard dans le tien alors qu’un souffle de mécontentement arrive à s’échapper de ta bouche, tu n’avais pas enfin que ce moment soit terminé et n’arrive pas tellement à dissimuler cette frustration alors que la température depuis quelques minutes augmente de plus en plus. De minutes en minutes. Toujours plus. « qu'est-ce que tu attends de moi ? » Tu commences doucement à reprendre tes esprits et à te questionner sur ce qu’elle vient de demander, c’est vrai que de son point de vu, c’est assez étrange, pourtant tu l’aimes depuis bien trop longtemps maintenant et ne sais pas quoi répondre alors qu’elle t’offre enfin ce que tu as toujours désiré. Tu passes une main sur sa joue. « Je veux que tu me laisses une chance… » Une chance de montrer que tu n’es pas un incapable, que tu n’as rien d’un type méchant et que tu peux lui apporter tout ce qu’elle recherche. Une chance d’être l’homme qu’elle veut, celui qui pourra la faire sourire, la faire rire, et même lui apporter tout le bonheur qu’elle mérite même si elle ne le sait même pas elle-même. « Je veux tout. » Tu attends un instant, sans perdre la jeune femme des yeux avec un mince sourire qui vient de prendre place sur ton visage. Un sourire sincère. « Absolument tout. » Tu n’as plus à être timide, seulement dire ce que tu penses, ce que tu ressens et ce que tu as sur le cœur depuis si longtemps maintenant. Tu poses un rapide baiser sur ses lèvres. « Je pourrais faire ça toute la nuit… » Puis tu poses les lèvres sur la commissure des siennes, puis sur sa mâchoire pour terminer dans son cou avec intensité, tu n’as plus tellement envie de trouver des excuses. Elle est belle. Tu l’aimes. Tu veux pouvoir embrasser sa peau pendant de longues minutes encore. La seule limite à cette nuit sera celle qu’elle voudra bien fixer, car en ce qui te concerne, le choix est déjà fait depuis longtemps. Elle peut faire de toi, absolument tout. Tu laisses la jeune femme presque tomber sur le dos contre le lit alors que tu reviens doucement à ses lèvres, votre respiration est plus intense qu’avant et tu commences à désirer la jeune femme. Tu arrêtes l’instant d’après et murmure contre ses lèvres presque honteux. « Pardon… Je me suis emporté… »
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Re: giamh - young, wild and free
Lun 16 Juil 2018 - 23:35
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Jamais tu n’aurais imaginé te retrouver dans cette tente, partageant un moment d’intimité avec lui, ce garçon dont tu aurais tout fait la veille pour t’en débarrasser. A cet instant, c’est tout le contraire, tu as envie de le garder près de toi, tout dans ton attitude, tes gestes le montre. Tu es douce, voluptueuse, délicate autant que passionnée. Ta main effleure son visage, se perd dans ses cheveux, tu te laisses porter par la douceur de sa peau, la chaleur de cet échange. Long. Délicieux. Il y a comme un goût d’interdit dans ces baisers, tu sens ton cœur faire un bon quand il mord ta lèvre, te tirant un sourire. Le désir grandissant laisse cependant place à de nouvelles angoisses. Lentement, tu t’écartes, constatant la frustration dans son regard, mais aussi le léger soupire qui s’échappe. Tu as besoin de savoir, tu intellectualises bien trop parfois, alors tu lui demandes ce qu’il attend de toi. Parce que c’est une question à la fois simple et complexe, tu veux une réponse, tu veux comprendre ce qui l’intéresse chez toi avant de baisser ta garde. Giacomo prend un moment de réflexion, il accompagne sa réponse d’une caresse et tu fermes les yeux une fraction de seconde, profitant de ce contact avant de sourire à nouveau. Une chance. C’est donc tout ? C’est ambitieux. Naïf et tendre en même temps. T’es touchée, par les paroles, mais surtout la sincérité qui semble s’en dégager. Il est touchant et tu ne peux pas rester de marbre quand il te dit vouloir tout. Si seulement il savait ce que cela signifie pour toi. Avoir quelqu’un capable de te désirer avec tes qualités et tes défauts, c’est tout ce que tu as toujours voulu, tu n’es pas compliquée, ton bonheur à toujours résidé dans les petits détails, comme ceux-là. Le dialogue s’intensifie par un jeu de regard, discussion silencieuse, tu souris, tout comme lui, scène irréelle, pourtant tu ne fuis plus. Ses lèvres prennent à nouveau possession des tiennes. Tu laisses échapper un rire discret quand le grymm confie pouvoir faire ça toute la nuit, en général, c’est d’ailleurs comme ça que ça se passe. Il libère tes lèvres, prend en assurance et tu le laisses faire, l’encourages même en inclinant la tête, lui offrant ainsi un accès plus aisé, tes mains glissent dans son cou, tu découvres la musculature de ses épaules du bout des doigts. Musculature plus développée qu’il n’y paraît, agréable sensation, tu frôles le tissu, frôle sa peau par le col ouvert de sa chemise avant de laisser échapper un petit ouh de surprise quand tu sens que tu pars à la renverse. Ce n’est pas ça qui t’empêche de l’attirer contre toi, t’es envahie par une sensation nouvelle, brûlante, tu essaies de ne plus réfléchir aux conséquences, à ce que vous représentez, ce qu’il se passera demain, c’est juste lui et toi, ici et maintenant. Cette fois, c’est lui qui s’arrête, il s’excuse une nouvelle fois. Ta main dans son cou que tu effleures du bout des doigts en souriant, presque soulagée de cette pause. Si j’avais dix gallions à chaque fois que tu t’excuses, je serais riche d’ici demain, ton regard est tendre autant qu’amuser, nouveau baiser rapide avec le sourire, mais pourtant tu reprends rapidement ton sérieux. Presque gênée, tu cherches tout de même son regard pour ajouter je pourrais pas aller plus loin tu inspires, mords ta lèvre tout en caressant son visage. Pas ce soir. Promesse d’un demain, d’un après. T’es trop fragile que pour tenter le diable, t’étais pas prête pour ça, tu ne t’attendais pas à lui simplement. Mais… tu peux rester... ici, avec toi, pour cette nuit et peut-être d’autre. T’enroules une jambe autour de sa taille, un sourire joueur sur les lèvres.
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Re: giamh - young, wild and free
Mer 18 Juil 2018 - 22:31
Tu ne pouvais pas imaginer une seule seconde que tu serais dans ce genre d’endroit avec cette jeune femme, quand elle est arrivée la dernière fois et qu’elle t’as vu, elle avait plus envie de te voir partir de la tente pour la partager avec une autre personne. Il faut croire qu’elle commence à changer d’avis pour ton plus grand bonheur, tu avais envie de lui montrer que tu n’es pas aussi mauvais qu’elle pourrait le penser et tu voudrais qu’elle continue à apprendre à te connaître, qu’elle puisse laisser une chance à quelqu’un comme toi de lui montrer que tu peux rendre sa vie meilleure. Tu veux lui donner tout ce qu’elle désire, et même si ce n’est pas à ta porter ou que ça paraît impossible, tu n’abandonneras pas. C’est peut-être ça finalement l’amour. Elle est sur le dos contre son lit et son regard comment déjà à se perdre dans tes iris alors que tu commences doucement à lui accorder un sourire, plus sincère que jamais. Sa main passe sur ta nuque, ce qui a pour simple effet de déclencher un frisson alors que tu laisses une nouvelle fois tes lèvres se perdent contre les siennes. Une habitude s’installe, une délicieuse habitude. « Si j’avais dix gallions à chaque fois que tu t’excuses, je serais riche d’ici demain, » Elle a raison, mais c’est plus fort que toi alors que tu n’arrives pas à garder ton calme, tu as tellement d’émotions différentes en ce moment même, il est presque impossible de ne pas se penser dans un rêve. Tu n’as juste pas envie de te réveiller, jamais. Ça serait la pire chose qui pourrait arriver, ouvrir les yeux et se rendre compte que tout ça n’a jamais été réel, pourtant ses lèvres sont douces et chaudes et elles sont plus vrais que jamais. « je pourrais pas aller plus loin » Tu commences un peu à perdre ton sourire, peut-être que tu n’as pas bien fait quelque chose et qu’elle voulait simplement penser à autre chose, mais qu’elle n’a plus besoin de toi maintenant. Mais ça serait très mal la connaître, elle n’est pas comme ça et tu le sais au plus profond de ton âme, c’est le genre de personne qui n’est pas comme on pourrait le penser, son cœur est même sûrement plus grand que le tiens. Elle passe une main sur ton visage et se mord la lèvre, ce qui ne te laisse pas indifférent, elle est presque aussi sexy que ce qu’elle est belle, c’est pour dire. « Pas ce soir. » Tu relèves le visage, elle n’est pas prête pour ce soir, mais ça veux dire qu’elle veut continuer à te voir et que d’une certaine façon, tu as le droit à cette chance que tu viens de lui demander.
Tu peux retrouver ton sourire, il faut croire que même les miracles peuvent se réaliser alors que la femme que tu aimes depuis longtemps se trouve dans tes bras, tu n’arrives toujours pas à te faire à cette idée. Tu peux sentir son souffle sur ton visage, c’est agréable d’avoir la tendresse de ses yeux sur toi et de pouvoir profiter de son odeur sans être un chaton, d’ailleurs, il va falloir régler ce petit problème un jour ou l’autre. Tu ne pourras pas continuer à mentir éternellement et il faudra bien que la vérité explose au grand jour. « Mais… tu peux rester… » Tu n’as pas le temps de comprendre qu’une jambe s’enroule autour de toi, elle n’est pas prête pour aller jusqu’au bout, mais il semblerait qu’elle soit joueuse dans l’instant ce qui n’est pas là pour te déplaire. Tu poses une main sur sa joue. « Autant que tu voudras. » Tu l’embrasses, mais cette fois avec une fougue que tu n’avais jamais eue, même pas avec ton ex petite copine alors que tu viens doucement titiller sa langue avec la tienne. Une passion dans ce baiser qui n’était pas présente la seconde d’avant, tout ce désir impossible à expliquer, c’est dans ce genre de geste que tu peux lui transmettre. Elle est magnifique. Tu pousses un léger soupir contre ses lèvres de satisfaction, c’est le genre de baiser qui donne un certain effet, il faut quelques secondes pour arriver à se situer à nouveau dans le temps et l’espace. Tu colles doucement ton bassin au siens, ce n’est pas parce qu’elle ne veut pas aller plus loin ce soir que vous n’avez pas le droit de vous amuser un peu à votre façon. Tu es joueur, il faut dire. Une main se poser doucement sur le bas de sa jambe et remonte dangereusement jusqu’à sa cuisse avec fermeté en s’arrêtant à la limite de ses fesses alors que tu commences à murmurer contre ses lèvres au même moment ou ta main quitte sa peau brûlante. « Pas ce soir, c’est vrai... » Tu la cherches, tu aimes jouer et si elle est du même genre que toi, elle va savoir répondre à ce petit jeu que sans savoir, tu viens de toi-même commencer. Quelque chose de dangereux, mais de terriblement délicieux pour tous les deux.
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Re: giamh - young, wild and free
Jeu 19 Juil 2018 - 10:05
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Il perd son sourire, le récupère, il est mignon, un vrai chaton qu'on a envie de câliner. C'est dommage ces années à se détester, enfin le détester, parce que lui ne semblait pas être du même avis que toi. De ce qu'il te laisse entrevoir, de ce qu'il dit, il ne t'a jamais détesté. Ta fierté mal placée te jouera des tours Niamh. Si t'es pas prête à franchir certains caps, ça ne veut pas dire que tu n'es pas joueuse. Il arrive à te rassurer, il te fait sentir bien, ce qui n'était plus arrivé depuis longtemps. Ta jambe s'enroule autour de lui tandis que tu souris à sa réponse. Tant mieux. Tu le manges du regard avant qu'il ne t'embrasse à nouveau, fougue nouvelle également, tu te cambres légèrement, augmentant la surface de contact de vos corps. Il glisse sa main le long de ta cuisse, tu frissonnes et souris quand il retire le contact, joueur. T'es de ce genre-là aussi, ça tombe bien. Tes lèvres se pincent, sourire retenu, tu serres un peu plus ta jambe autour de son bassin et d'un seul mouvement rapide, tu inverses la situation, tu prends le dessus. Une lueur de défi dans le regard, t'as toujours eu plus de force que ta petite silhouette ne le laisse paraître, lentement t'approche ton visage du sien, tu glisses tes mains le long de son torse en accompagnement de la descente. Tu laisses tes cheveux caresser son visage quand tu murmures au creux de son oreille pas ce soir tout en coinçant son lobe entre tes dents, pression légère, il veut jouer, on va jouer. Tu relèves ta robe pour ne pas la déchirer et te redresses, les mains à plat sur son torse. Ton regard dans le sien, tu déboutonnes sa chemise lentement, sans ciller, frôlant sa peau fraîchement libérée à chaque bouton ouvert. Chaque geste est contrôlé, maîtrisé, tu te penches, déposes quelques baisers, peut-être plus brûlants que tu ne l'admettrais, sur son torse, il est plus musclé qu'on ne le penserait, t'apprécie le contact, souligne les lignes naturelles de son corps du bout des doigts, tandis que tes lèvres remontent lentement vers les siennes. Tu t'arrêtes pour le regarder et souris, t'es amusée de la situation, tu sais pas dans quoi tu mets les pieds, mais quelque chose te plaît là-dedans, c'est clair. Lui.
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Re: giamh - young, wild and free
Jeu 19 Juil 2018 - 22:06
Tu aimes avoir le dessus et contrôler chaque situation, c’est d’ailleurs pour cette raison que tu as le poste le plus important dans le sport que tu pratiques, le passeur est celui qui doit prendre toutes les décisions et qui contrôle le match. C’est la même chose dans tout le reste, et même en amour, c’est pour cette raison que tu viens de lancer ce petit jeu alors qu’elle avait dit qu’il ne pouvait rien se passer. Tu veux respecter son choix, mais tu ne peux pas t’empêcher de jouer un peu avec elle, ce n’est pas méchant et ce n’est pas comme si elle allait s’en plaindre. C’est même tout le contraire. Cependant, tu n’avais pas du tout prévu la suite alors qu’elle inverse les rôles et sans même que tu ne puisses comprendre la situation elle se retrouve sur toi et commence à jouer à ce jeu dangereux que tu as toi-même commencé à mettre en place quelques secondes avant. Tu as réussi à sentir la jeune femme avoir un frisson quand tu as eu cette main sur sa cuisse, mais ce qu’elle fait là ce n’est pas du tout dans le règlement, tu ne sais pas comment tu pourrais tenir encore quelques minutes de plus à ce genre de démon. Tu peux voir dans ses yeux qu’elle n’est pas là pour perdre, elle aime la compétition et ça tu le savais déjà depuis un moment à force de la regarder de loin et de passer du temps avec elle de la façon la plus simple qui soit. L’interdiction. Ses mains arrivent rapidement sur toi et tu n’arrives pas à garder ton calme alors que d’instinct, tu commences à mordre ta lèvre inférieure sans pouvoir perdre la jeune femme des yeux. Ses mains remontent doucement et tu lâches un soupir. Tu attrapes ses poignées comme pour le signaler que si ça continue, tu ne pourras plue contrôler les pulsions qui font de toi un homme, mais aussi un animal. Le chaton. Un véritable félin. « pas ce soir » Son murmure arrive jusqu’à toi et déclenche un puissant frisson alors que tu poses une main sur le bas de son dos pour coller son bassin au tien, une proximité dangereuse alors que tu viens mordre doucement ses lèvres, le désir se ressent dans chacun de tes gestes alors que tu commences presque à remuer ton corps contre le sien d’envie. Tu vas perdre à ce jeu si tu continues, mais c’est tellement bon qu’il soit impossible pour toi de t’arrêter, elle sait comment te rendre fou et ce n’est pas d’aujourd’hui. Elle sait le faire d’un simple regard depuis le premier jour, alors comment garder son calme dans ce genre de situation, c’est absolument impossible. Elle mordille le lobe de ton oreille et tu aimes ça. Tu aimes absolument tout. Elle commence à enlever chaque bouton de ta chemise et à déposer des baisers sur ta peau brûlante, tu fermes les yeux et n’arrives toujours pas à croire que tu es dans ce genre de situation avec celle qui te fait tourner la tête. Elle te regarde à nouveau avec un air joueur, tu laisses un rictus prendre place sur ton visage et ouvre les derniers boutons de ta chemise pour libérer un torse et des abdominaux travaillés depuis des années dans l’unique but d’être toujours le meilleur en sport. Qui penserait que ça pourrait être un atout dans ce genre de situation, sûrement pas toi. Tu ne regrettes rien. Tu murmures. « C’est mieux comme ça… J’avais tellement chaud… » Tu plonges tes yeux dans les siens et n’arrives presque plus à contrôler ce désir et cette tension présente entre vous, tu commences à la vouloir plus que jamais. Tu la veux tellement. Tu n’as pas terminé de jouer, tu es prêt à aller jusqu’au bout. Tu poses les mains directement sous son haut sur sa taille et remontes doucement, sa peau est parfaitement douce, c’est un paradis pour toi alors que tu remontes toujours de plus en plus sentant son corps se cambrer légèrement, tu veux la faire frissonner. Tu veux la faire chavirer, qu’elle devienne folle de toi et qu’elle ait envie de toi plus que de tout le reste. « Délicieux… » Tu ne peux pas te retenir, tu sais que dans ton bas le changement commence à se faire et tu n’arrives pas à l’arrêter, il va falloir arrêter de jouer, il semblerait que tu commences à perdre réellement et la jeune femme risque de vite s’en rendre compte vu la proximité de vos bassins. Tu as perdu.
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Re: giamh - young, wild and free
Jeu 19 Juil 2018 - 23:34
le hasard fait bien les choses, ou pas!
Tout s’enchaîne. Les caresses, les baisers, les sensations. Fourmillements intenses, tu sens ton esprit s'embrumer au fil des secondes qui passent, tu te laisses aller à un jeu que tu sais dangereux, mais t'as envie de jouer ce soir. Avec lui, parce qu'il éveille ta curiosité, parce qu'il est doux et que tu as l'impression qu'il dit vrai quand il pense te connaitre. La surprise que tu lis dans son regard t'amuses, tu le titilles, le cherches. Après tout, c'est lui qui a commencé pas vrai ? Il devait savoir que tu répondrait. Ou pas. Tu prends le dessus, ascendance que tu apprécies, ses mains enserrent tes poignets, tu aurais pu avoir peur, te raidir, au lieu de quoi tu t'avances encore, murmures lascif à son oreille, son corps frissonne sous toi, tandis que toi-même te laisses envahir par une espèce de fièvre dévorante. Tu ne comprends pas pourquoi, c'est juste comme ça. Ce que tu découvre te plait de plus en plus. Le grymm s'amuse, déboutonne lui-même les derniers boutons de sa chemise prétextant avoir chaud, tu souris, ta lèvre inférieure captive entre tes dents. C'est vrai qu'il fait chaud, tu ventiles ton visage de ta main mimant une chaleur étouffante. Tu es consciente que les choses vont déraper si vous continuez sur cette voie, tu places tes mains de chaque côté de sa tête, tu descends lentement ton corps sur le sien, appuyant le contact, tu fais glisser une jambe le long de la sienne, embrasse son cou, sa mâchoire, ses lèvres, t'es allongée sur lui, caresse son visage du bout des doigts en souriant, le jeu était très agréable chaton, mais on va s'arrêter là pour ce soir, avant qu'il ne soit trop tard. Parce qu'il n'est pas trop tard là ? Tu déposes un baiser sur sa joue, tout en donnant une claque légère sur son torse. Féline, tu te lèves du lit, je vais me changer. Il peut rester là, ça ne va pas te déranger, à quelques mètres à peine tu enlèves ta robe noire, tes talons, tenue classieuse troquée contre un short et un petit top léger, pyjama confortable, le but du camping était de passer un weekend avec lina, pas ... c'était pas ça le but en tout cas penses-tu en jetant un regard vers ton lit. Non, c'était pas le but. C'était pas prévus. Mais tu ne regrettes pas. C'est agréable cette sensation qui à prit possession de toi, au-delà du désir, c'est de l'optimisme. Comme si par son attention à ton égard, il avait éclairé un ciel bien trop sombre. Tu regagnes ta couche, tu le rejoins lui, t'es pas timide ou gênée, mais y'a quelque chose d'étrange entre vous, ton regard glisse sur lui, tu profites du spectacle, y'a pas de mal. Tu veux rester de ce côté pour la nuit, ou tu préfères retourné dans le camp ennemis ? ta question est accompagnée d'un large sourire, tu fais référence à le délimitation que tu avais mise en place la veille. Décidément, il y a bien des choses qui changent en vingt-quatre heure. Passer une nuit dans ses bras est un programme plaisant, s'il accepte.
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Re: giamh - young, wild and free
Ven 20 Juil 2018 - 22:15
Elle ne connaît pas la défaite et tu le sais, mais tu avais quand même envie d’essayer alors que le jeu semble terminé, tu viens de passer l’un des meilleurs moments de toute ton existence alors que la jeune femme commence à se lever pour aller se changer. Tu es un gentleman alors tu détournes le regard, tu n’as pas besoin d’en faire de même vu que tu peux très bien passé la nuit en short. Tu commences à enlever ta chemise même si le boulot à été assez bien commencé par la jeune femme il y’a maintenant quelques minutes. « Tu veux rester de ce côté pour la nuit, ou tu préfères retourner dans le camp ennemi ? » Elle ne perd pas son temps alors que tu commences une nouvelle fois à sourire, la réponse est assez évidente, et même si tu ne devrais pas jouer encore plus longtemps avec le feu, tu veux pouvoir rester le plus longtemps possible avec Niamh. « Bien sûr que je reste. » Tu n’as plus peur d’être avec elle, c’est drôle vu que ce n’était pas du temps au programme ce matin, comme quoi il peut se passer tellement de choses différentes en l’espace d’une seule journée. C’est merveilleux et effrayant à la fois alors que tu regardes la jeune brune dans les yeux, tu voudrais lui dire tout ce que tu ressens pour elle, et même lui parler des quelques secrets que tu lui caches encore, mais tu as tout le temps pour ça, il ne faut pas gâcher ce genre de moment unique qui peut-être ne verra plus le jour. Une jambe à elle vient se joindre aux tiennes et doucement, tu commences à fermer les yeux alors que son odeur envahit doucement chaque partie de ton corps, tu pourras plus jamais oublier ce moment hors du commun, c’est une certitude. Tu voudrais dire quelque chose, mais c’est bien trop parfait pour trouver les mots et surtout pour arriver ensuite à bien mettre tous ces mots dans l’ordre. Tu fermes les yeux sans même t’en rendre compte et commence à sombrer dans un sommeil profond, il faut dire que la journée n’a pas été simple, qu’il s’est passé pas mal de choses pour se terminer dans les bras de la femme que tu aimes. C’est un final plutôt agréable pour une personne qui n’attendait pas grand chose de la vie, ton jugement va sûrement commencer à changer au même moment ou tu vas commencer à créer une espérance qui va prendre possession de toi et ne plus jamais te lâcher. Tu n’as même pas eu l’occasion de lui dire bonne nuit, mais sûrement qu’elle s’est endormi aussi rapidement que toi alors que la nuit sera sûrement courte, mais ce souvenir lui restera éternel.
TERMINÉ