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Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Lun 16 Juil 2018 - 20:32
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Lun 16 Juil 2018 - 20:33
alexanne blackwell l'insaisissable Vous vous connaissez depuis 12 années. Du moins vous cohabitez depuis tout ce temps, mais vous aviez déjà entretenu cette rivalité auparavant à Ilvermorny. Vous vous connaissez par cœur désormais, et bordel, qu’est-ce que ça a été dur les premiers temps ! Chamailleries, disputes, engueulades, bagarres… Vous avez tout fait ensemble. Sans vous appréciez au début, et finalement, cette relation est devenue plus que cela. Il a fallu que tu quittes le foyer Blackwell durant une année pour que tu t’en rendes compte, triple andouille que tu es. Il te manquait quelque chose. Un but ? Certainement. Un compagnon de route ? Assurément. Et ce compagnon, tu l’as trouvé en la personne d’Alexanne, et son regard de biche qui te fait sourire un instant avant de te faire hurler – faute aux vieilles habitudes qui ont la vie dure. Tu es finalement revenu, entreprenant par la même occasion de rejoindre l’université Hungcalf, sachant qu’elle aillait la rejoindre par la suite. Cela a joué en cette faveur. Aujourd’hui, au fond de toi, tu sais qu’il y a quelque chose de fort qui sommeille dans ce cœur meurtri qui est le tien. Deux ans que vous êtes ce qu’on peut qualifier de sex-friends. Deux ans. C’est long, très long, pour ce type de relation. Qu’attendez-vous pour vous bouger et avouer ce que vous ressentez l’un pour l’autre ? Non, vous préférez continuer ce jeu, et provoquer le courroux de l’autre, sans cesse, jour après jour. Deux jeunes cons. avatar morphine. | reagan bale la fusion de l'âme Reagan et toi ? Plus complices, vous ne pouvez pas. Vous vous êtes rencontrés il y a un peu plus de deux ans désormais. Vous vous étiez déjà aperçu auparavant mais votre addiction au sport et au jogging matinal vous a mené à échanger des mots, peu à peu. Et après quelques temps, tu as remarqué des changements chez elle. Une attitude qui te parlait, qui faisait écho à ton vécu. Et tu as ouvert ta gueule, comme d’hab’ Mad’, tu ouvres toujours ta gueule. Elle a explosé de rage, et au lieu de prendre la fuite ou de t’excuser comme la plupart des gens, tu l’as félicité. Depuis ce jour-là, bon sang, vous entretenez une fusion implacable. Personne ne saurait décrire ce que vous êtes, l’un pour l’autre. Amis ? Meilleurs amis ? Âmes sœurs ? Frère et sœur improvisés ? Amants ? Amoureux inconditionnels ? Tout et rien à la fois. Et c’est ce qui rend votre lien si fort, si intense. Vous faites les cent coups ensemble. Enfin, si l’on devait considérer le compteur exact, les mille deux-cent quatre-vingt treize coups. Pour l’instant. Rien ne vous arrête, finalement. Vous exprimez l’un avec l’autre votre réelle nature, sans restriction, sans la moindre retenue ni gêne. Et bon sang à chaque instant passé ensemble, vous vivez, et respirez. Votre jeu préféré : trouver le pire défi à lancer à l’autre, jour après jour. Pour couronnez le tout, il vous arrive de vous dévorer des lèvres, et parfois littéralement, de manière publique, juste pour alimenter les différents ragots dans les couloirs de l’université. Et, comme si cela ne suffisait pas, il vous est déjà arrivé d’aller plus loin… Etrange ? Eh bien pas du tout, aucun de vous ne prend la fuite, lorsque le réveil arrive. C’est comme si rien n’était arrivé, et au contraire, cela vous rapproche un peu plus. Tout vous rapproche un peu plus. On entend dire, si l’on tend l’oreille contre les murs d’Hungcalf, que vous êtes un couple non-assumé, mais loin de là. Vous vivez seulement ce que chaque être devrait vivre : la vie, à cent pourcents. Il vaut mieux qu’autrui évite de s’attaquer à l’un de vous, de peur de déchainer les furies de l’autre. avatar schizophrenic. |
gwenaëlle dickens nature du lien Gwenaëlle, c’est un peu la femme que tu as méprisé, détesté, pardonné, apprécié, et que désormais tu adores. Journaliste de métier et d’âme, elle t’a sacrément emmerdé autrefois pour que tu alimentes sa plume quant à l’exil puis le décès de ton paternel, héritier de la monarchie britannique. Elle t’a harcelé pour que tu craches le morceau, mais tu as explosé. Et tu as eu des mots délicats, difficiles et douloureux. A cet instant tu as remarqué sa sensibilité, mais n’en as pas tenu rigueur. Tu l’as recroisé plusieurs semaines plus tard, et tu t’es excusé comme le grand garçon que tu es. Vous avez finalement discuté autour d’un café pour accentuer tes excuses. Elle ne t’a pas reparlé de ton père, mais vous vous êtes revu, avez échangé de bons moments, jusqu’à devenir proches. Très proches. Gwen, c’est ta grande petite sœur, comme tu aimes l’appeler. Tu fais son éducation alors qu’elle est plus âgée que toi. Elle est légèrement timide, voire coincée la belle brune ! Alors tu t’es lancé le défi, de l’entraîner dans le dévergondage, pour lui permettre d’exprimer tout ce qu’elle conserve au fond d’elle. Quelle difficile mission ! Mais tu ne désespères pas, et tu restes patient. A côté de cela, vous parlez beaucoup, et tu as finalement abordé la question de ton père, peu à peu. Elle connaît l’histoire mais elle ne daigne pas publier quoi que ce soit, ce qui ne manque de te toucher. Tu lui accordes une confiance aveugle, aujourd’hui. Et tu chéris votre relation. Tu sais qu’elle sera là dans le besoin. Et tu ne te prives pas de faire le con devant elle, comme tu le fais si bien ! avatar frimelda. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. avatar night sky. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. avatar night sky. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. avatar night sky. |
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Lun 16 Juil 2018 - 20:33
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. avatar night sky. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. avatar night sky. |
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Lun 16 Juil 2018 - 20:36
- Spoiler:
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Mar 17 Juil 2018 - 22:07
Alexanne Blackwell a écrit:
- Spoiler:
:tong:
- Spoiler:
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Mar 17 Juil 2018 - 23:19
Vous me désespérez tous les deux
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Mar 17 Juil 2018 - 23:37
Copain Wrighty et encore, tu n'as rien vue !
Tu tombes bien je comptais venir taper à ta porte ! Mais pas les mains vides du coup je vais réfléchir à quelque chose qu'on pourrait mettre en place en lien, et j'te dis KOI ! Si t'as un truc en tête n'hésite pas hé
Tu tombes bien je comptais venir taper à ta porte ! Mais pas les mains vides du coup je vais réfléchir à quelque chose qu'on pourrait mettre en place en lien, et j'te dis KOI ! Si t'as un truc en tête n'hésite pas hé
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Mer 18 Juil 2018 - 18:16
Copain, copain... En fait ça dépend de ton comportement avec Alex
Je suppose qu'il observe leur petit manège depuis longtemps et qu'il a parfois envie de claquer leurs têtes l'une contre l'autre
Je suppose qu'il observe leur petit manège depuis longtemps et qu'il a parfois envie de claquer leurs têtes l'une contre l'autre
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Mer 18 Juil 2018 - 19:02
@Sullivan Phelps Meuh si copain copain En fait, je pense que ni @Alexanne Blackwell (elle confirmera) ni Mad, ne laisseraient quiconque avoir un "jugement" ou autre sur leur relation. Ils se connaissent depuis quoi, 15 ans, et vivent ensemble depuis 12 ans (il a rejoint la famille Blackwell lorsqu'il avait 12 ans suite au décès de ... toute sa famille). Ils vivent tous les deux de chamailleries, disputes, défis, engueulades, passion, haine, amour (mais ça ils risquent pas de se l'avouer de si tôt ! ) et aiment ce côté "gamin" mais fusionnel qu'ils entretiennent. Après depuis l'arrivée d'Alex à Hung' ils se sont liés différemment qu'auparavant et se sont rapprochés. ENFIN bref faut juste accepter ça. En vrai c'est pas méchant, c'est ce que je veux dire, entre les deux, même si ça devient parfois blessant leur comportement l'un envers l'autre mais ils finissent toujours par se retrouver à la croisée des chemins. Sachant cela, à toi de voir, soit Sullivan ne passe pas outre et se fait un avis et un jugement très arrêtés sur Mad' alors qu'en fin de compte, il donnerait sa vie pour elle, littéralement. Soit, il passe outre et parvient à voir cela, en lisant entre les lignes, et en effet Sully et Mad pourraient être d'excellents potoooooooos Tout en voulant les fracasser l'un contre l'autre, comme tu dis
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Mer 18 Juil 2018 - 19:11
Je confirme !
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Sam 21 Juil 2018 - 23:03
Je me permets de me taper l'incruste en tant que colloc. Comme on a les chambres juste à côté, est-ce que tu veux d'une voisine qui vient toquer parce que tu ronfles trop fort ou tu veux toquer chez une voisine qui ronfle trop fort
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Sam 21 Juil 2018 - 23:38
@Beverly Lennox Coloc' ! Oui incruste-toi ! Après tout on partage le même appart'
Ils ont qu'à ronfler à deux tiens ! Après je pense que ce qui pourrait le plus déranger Bev'... C'est les bruits qui se trouvent dans la chambre de Mad' lorsqu'il n'est pas seul m'voyez, ou quand il met la musique à fond à 3h du mat pour se faire un couper/décaler à poil tu vois. Et il lui fera un peu de charme mais rien d'excessif, surtout pour emmerder Alexanne j'pense c'est pas un gros lourd à ce niveau
Tu peux me parler brièvement de Beverly ? Voir un peu ce qu'on peut faire niveau lien, en accord avec la personnalité des jeux ! Mad c'est un p'tit con qui est très très nature, peu sérieux, qui n'a honte de rien. Sauf de la mort de sa famille, pour laquelle il se sent responsable !
Ils ont qu'à ronfler à deux tiens ! Après je pense que ce qui pourrait le plus déranger Bev'... C'est les bruits qui se trouvent dans la chambre de Mad' lorsqu'il n'est pas seul m'voyez, ou quand il met la musique à fond à 3h du mat pour se faire un couper/décaler à poil tu vois. Et il lui fera un peu de charme mais rien d'excessif, surtout pour emmerder Alexanne j'pense c'est pas un gros lourd à ce niveau
Tu peux me parler brièvement de Beverly ? Voir un peu ce qu'on peut faire niveau lien, en accord avec la personnalité des jeux ! Mad c'est un p'tit con qui est très très nature, peu sérieux, qui n'a honte de rien. Sauf de la mort de sa famille, pour laquelle il se sent responsable !
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Dim 22 Juil 2018 - 14:55
@maden holmes Oh oui, je vois bien Bev être de mauvaise foie et râler après lui parce qu'il la réveille ou l'empêche de dormir alors qu'en réalité, elle a le même comportement de son côté. Quand elle rentre tard ça ne l'empêche pas de claquer les portes ni de chantonner, c'est le genre l'hôpital qui se fout de la charité mais vraiment, la mauvaise foie ça lui va bien Tu sais qu'elle en remettra une couche si tu la charmes ? Juste pour déconner mais voilà, si on lui tend la perche...
DONC ! Parlons un peu de Bev. Elle aime être au centre de l'attention, être entourer et avoir un sentiment de puissance ou de contrôle sur les autres c'est d'ailleurs pour ça qu'elle vise un haut poste pour plus tard. Elle veut être au-dessus. Elle est superficielle aussi, tu vois les groupes de filles qui sont à part, dans leurs mondes et qui bitch tout le temps sur les autres ? Bah c'était elle à Poudlard. Commère ambulante, sorte de reine à sa façon, elle a été forcer d'admettre que son règne a prit fin quand elle est rentrée à la fac parce que c'est une toute autre ambiance là-bas. On va dire qu'elle s'est un peu assagit mais vite fait quoi. C'est le genre de nana populaire et en fait elle s'est juste adaptée à son nouvel environnement. Il y a pas beaucoup de fêtes où elle est pas présente, par exemple. Après, à la coloc elle est différente. Si elle a joue un peu diva, un peu capricieuse et tout le tralala, elle se découvre une autre facette d'elle-même. Elle s'attache aux membres de la coloc, elle se mêle un peu trop de leurs vies mais elle sait aussi être une personne sur laquelle on peut compter si quelque chose ne va pas. Dans les moments sérieux, elle sait être là, comme avec ces vrais amis. En gros, la coloc c'est un autre monde pour elle
Bon, si je suis pas très claire c'est normal. Je voulais dire des trucs mais j'ai du partir au milieu alors du coup j'ai un peu perdu le fil et j'ai essayé de finir le post comme j'ai pu
DONC ! Parlons un peu de Bev. Elle aime être au centre de l'attention, être entourer et avoir un sentiment de puissance ou de contrôle sur les autres c'est d'ailleurs pour ça qu'elle vise un haut poste pour plus tard. Elle veut être au-dessus. Elle est superficielle aussi, tu vois les groupes de filles qui sont à part, dans leurs mondes et qui bitch tout le temps sur les autres ? Bah c'était elle à Poudlard. Commère ambulante, sorte de reine à sa façon, elle a été forcer d'admettre que son règne a prit fin quand elle est rentrée à la fac parce que c'est une toute autre ambiance là-bas. On va dire qu'elle s'est un peu assagit mais vite fait quoi. C'est le genre de nana populaire et en fait elle s'est juste adaptée à son nouvel environnement. Il y a pas beaucoup de fêtes où elle est pas présente, par exemple. Après, à la coloc elle est différente. Si elle a joue un peu diva, un peu capricieuse et tout le tralala, elle se découvre une autre facette d'elle-même. Elle s'attache aux membres de la coloc, elle se mêle un peu trop de leurs vies mais elle sait aussi être une personne sur laquelle on peut compter si quelque chose ne va pas. Dans les moments sérieux, elle sait être là, comme avec ces vrais amis. En gros, la coloc c'est un autre monde pour elle
Bon, si je suis pas très claire c'est normal. Je voulais dire des trucs mais j'ai du partir au milieu alors du coup j'ai un peu perdu le fil et j'ai essayé de finir le post comme j'ai pu
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Dim 22 Juil 2018 - 15:03
@Beverly Lennox ah bah parfait !! ça me donne quelques idées tout ça !
Tout d'abord sur le fait qu'elle en remette une couche au niveau charme, ça peut être la base ! Je vois très bien Mad exagérer même, l'appeler genre j'sais pas, la bonnasse etc, ou la gamine, juste pour l'emmerder cela pourrait être un jeu entre eux ! A agrémenter d'autres détails croustillants et stupides bien entendu
Pour le reste, Mad pourrait justement ne pas lui accorder spécialement d'attention. Il fait sa vie etc, si Bev' fait un caprice il va juste la snober, pour l'emmerder. Et puis si elle veut bitcher sur lui, grand bien lui fasse, il lui adressera un grand sourire "so what ?", en gros j'pense qu'il ferait tout pour ne rien alimenter chez elle, et ça pourrait la rendre folle ! Si ça te parle tout ça, à toi de voir la réaction de Bev' et du coup ça nous permettrait de définir un peu plus clairement le lien. Genre aussi, si Bev adore un truc (à boire ou à manger) il ferait exprès de manger ou boire et qu'elle n'ait plus rien, un grand gamin !
Tout d'abord sur le fait qu'elle en remette une couche au niveau charme, ça peut être la base ! Je vois très bien Mad exagérer même, l'appeler genre j'sais pas, la bonnasse etc, ou la gamine, juste pour l'emmerder cela pourrait être un jeu entre eux ! A agrémenter d'autres détails croustillants et stupides bien entendu
Pour le reste, Mad pourrait justement ne pas lui accorder spécialement d'attention. Il fait sa vie etc, si Bev' fait un caprice il va juste la snober, pour l'emmerder. Et puis si elle veut bitcher sur lui, grand bien lui fasse, il lui adressera un grand sourire "so what ?", en gros j'pense qu'il ferait tout pour ne rien alimenter chez elle, et ça pourrait la rendre folle ! Si ça te parle tout ça, à toi de voir la réaction de Bev' et du coup ça nous permettrait de définir un peu plus clairement le lien. Genre aussi, si Bev adore un truc (à boire ou à manger) il ferait exprès de manger ou boire et qu'elle n'ait plus rien, un grand gamin !
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Re: Mad ᛗ Mes sourires sont les esclaves de mon savoir vivre
Mar 24 Juil 2018 - 9:24
@maden holmes Je la vois déjà prendre la mouche de temps en temps, surtout avec les surnoms débiles et lui fait qu'il lui vole ce qu'elle adore manger. Je réfléchis encore à ce que ça pourrait être, peut-être un fromage tu vois et il peut faire des tartines avec son sous nez hors des heures de repas. Si elle adore vraiment ce moment du repas, elle va râler. Après, elle aura conscience qu'il le fait exprès pour la faire chier alors elle va pas le détester. J'aime l'idée de jeu entre eux. Elle trouvera un truc aussi pour le faire chier mais elle va pas bitcher sur lui ou pas vraiment parce que c'est un de ses colocs et qu'elle va pas bitcher sur eux. (ils sont privilégiés, en gros )