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[TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Lun 27 Aoû 2018 - 23:04
Non mais! Regarde où tu vas, Mercy!
lundi 27 août 2018
C’est bientôt la rentrée, Mercy. Ca te gave d’avance. Les contraintes horaires, devoir bosser à nouveau avec Ellen… Au fond, en dehors du cadre du travail, tu aimes bien la médicomage. Mais dès qu’il est question de sa supériorité de fonction… Le simple fait de penser à elle t’agace au plus haut point. Tu pousses un soupir, hésitant à poser ton oreiller sur ta tête pour retarder l’heure de te lever. Mais cela ne changera pas grand-chose. Tu finis par prendre ta baguette pour ouvrir à distance la cage de Scapula, ta petite furette grise. Celle-ci s’empresse de sauter sur ton lit pour venir se blottir dans ton cou et tu pousses sans pouvoir te retenir un petit soupir d’aise. Ce petit moment de réconfort, tu ne l’as pas volé. Du moins, c’est ce que tu estimes. « Ca te dirait qu’on aille se balader toi et moi, ma belle ? » Elle te répond en suçotant ton oreille et tu prends ça pour un oui. Tu profites encore un peu de lézarder au lit avant de te décider à te lever et à t’habiller. Aujourd’hui, pas de défilé dénudé dans l’appartement. Pas tous les jours non plus, sinon, Dhan va finir par te sauter dessus. C’est ton colocataire, tu l’adores, il a tout de l’homme idéal, mais… Non. T’es pas prête pour quelqu’un d’aussi bien que lui. Toi, t’es encore à t’amuser, à ne pas te poser, à profiter de ce que demain a à offrir. Après-demain, c’est trop loin encore.
Après un petit déjeuner pris à la va-vite – et encore, tu t’efforces de ranger et de faire la vaisselle derrière pour qu’il ne crise pas trop quand il se lèvera, ou rentrera, t’as l’impression de pas le voir souvent en ce moment – tu sors simplement vêtue d’un short en jean blanc, d’un débardeur bleu ciel et de kickers blanches. Tes cheveux sont, comme souvent, attachés à l’arrache à l’aide de ta baguette. Scapula est perchée sur ton épaule. Si tu dois, enfin, craquer pour un deuxième animal – même si ça fera râler Dhan parce que tu envisages un animal plus gros, plus encombrant – tu tiens absolument à ce que ta furette soit avec toi.
T’es là à flâner sans destination précise quand tu finis par rentrer littéralement dans quelqu’un devant toi qui a marqué un stop inexplicable. « Hey ! Faut pas vous arrêter comme ça ! » t’exclames-tu, légèrement de mauvaise fois, d’autant que c’est toi qui a percuté l’inconnu. Ce n’est qu’après l’avoir fusillé du regard que tu te rends compte que tu le connais, et qu’en fait, il s’est arrêté pour laisser passer des véhicules. « Désolée Matteo… Je ne t’avais pas reconnu. » Tu lui adresses un sourire – presque – désolé mais étincelant et tout aussi pétillant que ton regard. « Ca va ? Tu as passé de bonnes vacances ? Pas de petit bobo à déplorer ? » Et voilà… C’est parti pour l’interrogatoire.
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Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Mar 28 Aoû 2018 - 15:07
Non mais ! Regarde où tu vas, Mercy !
Mercy & Matteo
« Always I'm surprised how well you cut my feelings to the bone. »
La recherche d’emploi continue de plus belle. Evidemment, Matteo n’est pas du tout emballé par cette idée de devoir coupler les études et le boulot en même temps, mais son père ne lui laisse pas trop le choix pour le moment. Ce n’est pas comme s’il avait d’autres enfants à charge, les trois frères aînés se débrouillent et vivent chacun de leur côté. Il doit probablement y avoir autre chose que le jeune sorcier ignore. Il adore travailler pourtant, le stage effectué il y a quelques années lui avait beaucoup plus mais c’était pendant les vacances, il n’avait pas à concilier deux emplois du temps en même temps, c’était complètement différent.
Matteo hésitait entre faire un boulot tout simple comme serveur dans un bar ou dans un restaurant, ou s’il devrait plutôt faire quelque chose lié à ses projets. Ce qui l’angoisse c’est d’être dégoûté de travailler dans son milieu s’il ne parvient pas à gérer ses deux emplois du temps. C’est un risque à prendre s’il veut avoir de l’expérience sur son CV. Il ne sait pas encore quoi faire, pour le moment, il se promène dans les rues et regarde les offres existantes.
Il est également perdu dans ses pensées. Il repense à Tina. Il n’a pas eu de nouvelles depuis le camp. Lui qui avait été si heureux de la revoir hors du contexte scolaire, il avait pensé que leur relation s’améliorerait un peu et qu’il aurait de ses nouvelles. Ce n’est pas faute de lui avoir envoyé quelques hiboux durant son voyage avec sa famille pour donner des nouvelles, pour préserver leur amitié si ça ne pouvait être autre chose. Visiblement, la malédiction ne parviendrait jamais à être surmontée, pas même avec la jolie McKinnon. Il était vraiment déçu car ses sentiments étaient réels et il aurait pensé que ça ferait la différence.
A force de penser, Matteo ne s’était pas rendu compte du monde dans la rue. Il tenta d’éviter d’autres piétons lorsqu’une ribambelle de sorciers sur leur balai se mit à passer en travers du chemin de l’italien. Il se stoppa net afin d’éviter de se prendre un chauffard en pleine tête et de finir à l’hôpital. Jouer au Quidditch est déjà un risque suffisant dans sa vie pour en rajouter au quotidien. Puis ce serait bien le comble pour un futur médicomage de se retrouver hospitalisé. Alors qu’il attendait que le chemin soit de nouveau libre, une personne lui fonça dedans. Surpris, il se retourna mais rapidement la personne l’attaqua en lui disant de ne pas se stopper comme ça. Il allait répliquer mais le regard qu’elle lui lançait ne lui donnait pas envie de risquer de se prendre la tête et rapidement il reconnut ce visage plus que familier. Il n’était pas le seul visiblement car la jeune femme présenta ses excuses aussitôt.
« Ce n’est rien, je suppose que j’aurais réagi de la même manière à ta place, mais je ne pouvais pas faire autrement, sinon j’aurais été assommé par l’un de ces fous du balai. »
Il adressa un sourire à l’infirmière de Hungcalf. Il ne s’attendait pas à la croiser par ici, à vrai dire, hors de l’infirmerie, il ne se souvient pas l’avoir déjà vue. Il a l’habitude d’aller lui rendre visite que ce soit après une blessure grave ou simplement pour de petites douleurs. Il a beau connaître le taff, il préfère demander à quelqu’un de vraiment professionnel de l’aider à éviter des douleurs désagréables après un match. Elle lui demanda alors comment s’étaient passées ses vacances et s’il ne s’était pas blessé.
« Ben écoute, comme d’habitude, j’ai passé les vacances avec ma famille. Hormis au début, je suis allée au Kelpie’s Camp, un peu comme tout le monde. C’était sympa ! Mais si ça peut te rassurer, je suis toujours en un morceau. »
Il lâche un rire amusé avant de reprendre la parole.
« Il n’y a que ces fichus cognards qui me font du tort. Sinon, tes vacances à toi ? Elles se sont bien passées ? »
Matteo hésitait entre faire un boulot tout simple comme serveur dans un bar ou dans un restaurant, ou s’il devrait plutôt faire quelque chose lié à ses projets. Ce qui l’angoisse c’est d’être dégoûté de travailler dans son milieu s’il ne parvient pas à gérer ses deux emplois du temps. C’est un risque à prendre s’il veut avoir de l’expérience sur son CV. Il ne sait pas encore quoi faire, pour le moment, il se promène dans les rues et regarde les offres existantes.
Il est également perdu dans ses pensées. Il repense à Tina. Il n’a pas eu de nouvelles depuis le camp. Lui qui avait été si heureux de la revoir hors du contexte scolaire, il avait pensé que leur relation s’améliorerait un peu et qu’il aurait de ses nouvelles. Ce n’est pas faute de lui avoir envoyé quelques hiboux durant son voyage avec sa famille pour donner des nouvelles, pour préserver leur amitié si ça ne pouvait être autre chose. Visiblement, la malédiction ne parviendrait jamais à être surmontée, pas même avec la jolie McKinnon. Il était vraiment déçu car ses sentiments étaient réels et il aurait pensé que ça ferait la différence.
A force de penser, Matteo ne s’était pas rendu compte du monde dans la rue. Il tenta d’éviter d’autres piétons lorsqu’une ribambelle de sorciers sur leur balai se mit à passer en travers du chemin de l’italien. Il se stoppa net afin d’éviter de se prendre un chauffard en pleine tête et de finir à l’hôpital. Jouer au Quidditch est déjà un risque suffisant dans sa vie pour en rajouter au quotidien. Puis ce serait bien le comble pour un futur médicomage de se retrouver hospitalisé. Alors qu’il attendait que le chemin soit de nouveau libre, une personne lui fonça dedans. Surpris, il se retourna mais rapidement la personne l’attaqua en lui disant de ne pas se stopper comme ça. Il allait répliquer mais le regard qu’elle lui lançait ne lui donnait pas envie de risquer de se prendre la tête et rapidement il reconnut ce visage plus que familier. Il n’était pas le seul visiblement car la jeune femme présenta ses excuses aussitôt.
« Ce n’est rien, je suppose que j’aurais réagi de la même manière à ta place, mais je ne pouvais pas faire autrement, sinon j’aurais été assommé par l’un de ces fous du balai. »
Il adressa un sourire à l’infirmière de Hungcalf. Il ne s’attendait pas à la croiser par ici, à vrai dire, hors de l’infirmerie, il ne se souvient pas l’avoir déjà vue. Il a l’habitude d’aller lui rendre visite que ce soit après une blessure grave ou simplement pour de petites douleurs. Il a beau connaître le taff, il préfère demander à quelqu’un de vraiment professionnel de l’aider à éviter des douleurs désagréables après un match. Elle lui demanda alors comment s’étaient passées ses vacances et s’il ne s’était pas blessé.
« Ben écoute, comme d’habitude, j’ai passé les vacances avec ma famille. Hormis au début, je suis allée au Kelpie’s Camp, un peu comme tout le monde. C’était sympa ! Mais si ça peut te rassurer, je suis toujours en un morceau. »
Il lâche un rire amusé avant de reprendre la parole.
« Il n’y a que ces fichus cognards qui me font du tort. Sinon, tes vacances à toi ? Elles se sont bien passées ? »
(c) DΛNDELION
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Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Lun 3 Sep 2018 - 16:57
Non mais! Regarde où tu vas, Mercy!
lundi 27 août 2018
Non mais sérieusement Mercy… Tu pourrais regarder où tu vas, un peu… Et t’es même carrément de mauvaise foi de t’en prendre à ce pauvre innocent qui n’a fait que s’arrêter pour éviter une course de balais imprévue dans Myrrdin Wyllt District. Non mais sérieusement. Et quand bien même ça aurait été un inconnu, c’eut été très malvenu. T’as vraiment de la chance de le connaître et qu’il te reconnaisse aussi, sur ce coup. Tu t’empresses de s’excuser. L’aurais-tu fait s’il ne s’était agi de Matteo ? Mmmh…. Pas sûr. Pas sûr du tout, même. Ou alors, pas immédiatement. Tu es sanguine après tout un peu - c’est largement en dessous de la vérité, mais bon… On va dire que, hein ! En attendant, c’est un sourire éblouissant que tu finis par lui adresser après le minuscule sourire d’excuse qui a précédé. Il te sourit en retour, acceptant tes excuses en justifiant son arrêt. « C’est sûr… Ca aurait été dommage d’avoir besoin d’une infirmière juste avant la rentrée… Ceci dit, j’ai bien failli te précipiter au milieu du troupeau… Imagine un peu les titres de la gazette : « L’infirmière de Hungcalf cause un accident de balais ! Ne laissez-plus les étudiants l’approcher, elle fait plus de mal que de bien ! » » Tu rigoles à ta propre plaisanterie, sincèrement amusée par ton trait d’humour, même s’il a quelque chose de triste là aussi. Parce que tu sais pertinemment ce que tes détraqueurs auraient dit en guise de commentaire : que c’était pour ça que tu n’aurais jamais fait une bonne médicomage. Que tu ne devrais même pas être infirmière que. Tu serres un instant les poings le temps de te reprendre, t’enfonçant les ongles dans la paume des mains. Ce n’est qu’en les desserrant que tu te rends compte de la douleur. Tu y es allée un peu trop fort. Comme quoi, presque neuf mois plus tard – le temps de faire un bébé – la plaie est toujours aussi à vif dans ton cœur. Peut-être même plus encore. Enfin… En toi-même, tu es obligée d’admettre que tu es reconnaissante à McArthur de t’avoir fait confiance avec ce poste qui te permet de garder un pied dans la médecine et de ne pas te rouiller complètement. Même si cela signifie travailler en deça de tes capacités, Mercy. L’essentiel, c’est de pouvoir soigner. De pouvoir aider. On se rassure comme on peut, n’est-ce pas ? Oui. Oui, c’est sûr. Et cette maxime, tu te la répètes à loisir dès que tu as une pensée négative. Ton frère ne t’a pas trop laissé le choix. Il t’a secoué les puces. T’as ordonné de te reprendre cet été parce qu’avec les vacances forcées, tu as un peu perdu pied. Tu es obligée de l’admettre. Il a eu peur de ce que t’étais en train de faire, dans son dos et dans celui de Dhan. Autant dire ce qui est, Mercy : tu as été un désastre une bonne partie de l’été.
Tu t’efforces de ne pas penser à ta carrière, même si le jeune homme en face de toi ne fait que te rappeler cette porte qui est pour toi fermée à quadruple tour et que même un sortilège ne peut déverrouiller. Tu commences à enchainer rapidement les questions pour t’enquérir de son état, savoir si tout va bien, le B.a.-ba, quoi. D’une certaine façon, il a fait un peu la même chose que toi, au fond. Tu es allée une petite semaine au Kelpie. Ensuite… C’est un peu le flou. Des fêtes, des visites au cimetière, t’enfermer dans ce qui fut la maison de tes parents et que ni ton frère, ni toi n’êtes parvenus à vendre : vous ne pouvez pas vivre dedans, mais vous n’arrivez pas à vous résigner à vous en séparer, l’intervention de ton frère pour que tu te reprennes, et là, depuis une quinzaine de jours, tu vas mieux. A te voir, personne ne peut croire que tu as traversé une période aussi compliquée. Tu écoutes encore Matteo tandis qu’il enchaine sur le fait de ne pas s’être blessé et tu grimaces légèrement lorsqu’il te retourne la question des vacances. « Same old, same old » réponds-tu : « Rien de bien compliqué : Une petite semaine au camp, et ensuite, rien de particulier. » Tu te dis que tu devrais peut-être éviter l’Irlande, à l’avenir. Que c’est un climat qui ne te réussit pas. Ton frère t’a menacée de mettre la maison en location – à défaut de la vendre – si tu ne te relevais pas, la mort de vos parents n’étant pas un prétexte à ton lamentable échec l’hiver précédent. Tu as eu beau vouloir dire que tu n’avais pas échoué, que tu te faisais harceler par ton supérieur, c’est pas sorti, Mercy. T’as pas voulu le mêler à ça. Alors il ignore la véritable raison de ton échec. Ca rend peut-être les choses pires encore. Alors tu l’as écouté. Tu t’es repris. Ca ne t’empêchera pas de faire encore la fête quand tu pourras, de profiter de ta jeunesse aussi. Mais pour le reste…
« Tu fais quoi dans ce coin-là ? T’as besoin de trucs pour la rentrée ? Ou tu traines simplement ? » demandes-tu encore tandis que, dans ta tête, une petite voix nommée conscience te pose la même question.
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Mer 12 Sep 2018 - 1:10
Non mais ! Regarde où tu vas, Mercy !
Mercy & Matteo
« Always I'm surprised how well you cut my feelings to the bone. »
Matteo ne s’attendait pas à tomber sur Mercy. Il faut dire qu’il avait un peu la tête ailleurs et il ne réalisait pas que la rentrée approchait à grands pas. Evidemment, tout un tas de sorciers et sorcières étaient revenus à Inverness, prêts à entamer une nouvelle année comme lui. A y penser, il constatait qu’il ne lui restait plus que deux années dans la prestigieuse université et après, il devrait voler de ses propres ailes. Ce n’est pas pour lui déplaire. Il a beau adorer sa vie à Hungcalf, il a hâte de devenir un véritable médicomage et ne pas à avoir à concilier un boulot avec des études et des devoirs. Il a tenté de faire comprendre à son père que cette année serait ingérable si elle se déroule comme il l’entend, mais il ne veut rien savoir pour le moment. C’est un bien un Astolfi : têtu comme une mûle. L’italien venait donc de manquer de se faire embrocher par un balai et l’infirmière de l’université venait de lui rentrer dedans. Décidemment, c’est presque à croire qu’il attire vraiment les catastrophes. Matteo tente de se justifier sur son arrêt brutal, il est vrai que ce n’est jamais agréable d’être interrompu dans sa marche par quelqu’un qui s’arrête subitement. Il n’avait pas vraiment le choix mais elle ne pouvait pas non plus le deviner. Elle le prit avec humour, ce qui est plutôt rassurant et Matteo fut plutôt amusé de sa blague.
« Ce serait le comble, quand même. Mais je suis certain que tu n’es pas ce genre d’infirmière. N’est-ce… pas ? »
Il fit mine de douter mais il savait bien qu’elle ne l’aurait pas jeté dans la trajectoire du balai volontairement. Les questions habituelles, premier round. Il s’attendait à devoir répondre à ces questions au moins vingt fois dans les semaines à venir et faire savoir à tout le monde que ses vacances n’ont rien eu d’exceptionnel. Il aurait aimé dire que ça y est, il a une petite copine, mais Tina n’avait répondu à aucune de ses lettres, alors il n’avait aucune bonne nouvelle à annoncer. Il expliqua donc son programme des vacances à Mercy, la rassurant sur son état avant de la questionner à son tour. Peut-être avait-elle quelque chose de plus excitant à raconter. Apparemment, non. Matteo aussi les épaules. Tout le monde n’avait pas la chance de faire des choses incroyables durant les vacances d’été, c’était même parfois pas forcément des vacances pour certain.
« Eh bien, je suppose que tu as eu le temps de te préparer à reprendre le boulot alors. Je suis certain que voir défiler des joueurs de Quidditch aux odeurs douteuses, tu n’attends que ça ! »
Il dit ça en rigolant, évidemment. Il faut dire que parfois, ça ne doit pas être agréable de devoir s’occuper des sportifs. On ne prend rarement le temps de leur donner un bain avant de les traîner à l’infirmerie. Il suffirait d’une petite potion pour dissiper les odeurs, et le tour est joué, mais encore faut-il y penser. Mercy demanda alors au jeune homme ce qu’il faisait dans le coin. Elle misa sur les derniers achats de rentrée, et l’italien agita sa tête de gauche à droite.
« J’ai déjà tout ce qu’il faut pour la rentrée. Je suis là parce que mon père exige de moi de trouver un boulot pour la rentrée. J’entre en neuvième année, comme si j’allais avoir le temps de concilier les cours et le boulot. Si seulement j’avais un retourneur de temps, alors là, je pourrais tout faire ! »
C’est beau de rêver, ce genre d’objet, ça n’existe que dans les livres et les légendes. Il n’empêche que ça serait bien utile pour Matteo. Il appréhende vraiment cette nouvelle année. Ce n’est pas le fait de travailler qui le dérange, au contraire, mais il a peur que ses obligations salariales ne le fassent baisser les bras pour les études, or, pour lui les études sont plus importantes que le reste. Il tient le bon bout, il a déjà fait les quatre cinquièmes, ce n’est pas pour laisser tomber maintenant. Il lui reste quatre jours pour convaincre son père de le laisser tranquille.
« D’ailleurs, si tu entends parler d’une offre, n’importe quoi qui ne propose que quelques heures pour un étudiant surbooké, je suis preneur. »
Matteo ne sera pas exigeant sur la nature du boulot même si, évidemment, faire quelque chose qui attrait à la médicomagie lui ferait plaisir.
« Et toi ? Qu’est-ce que tu fais dans le coin, aussi pressée ? »
« Ce serait le comble, quand même. Mais je suis certain que tu n’es pas ce genre d’infirmière. N’est-ce… pas ? »
Il fit mine de douter mais il savait bien qu’elle ne l’aurait pas jeté dans la trajectoire du balai volontairement. Les questions habituelles, premier round. Il s’attendait à devoir répondre à ces questions au moins vingt fois dans les semaines à venir et faire savoir à tout le monde que ses vacances n’ont rien eu d’exceptionnel. Il aurait aimé dire que ça y est, il a une petite copine, mais Tina n’avait répondu à aucune de ses lettres, alors il n’avait aucune bonne nouvelle à annoncer. Il expliqua donc son programme des vacances à Mercy, la rassurant sur son état avant de la questionner à son tour. Peut-être avait-elle quelque chose de plus excitant à raconter. Apparemment, non. Matteo aussi les épaules. Tout le monde n’avait pas la chance de faire des choses incroyables durant les vacances d’été, c’était même parfois pas forcément des vacances pour certain.
« Eh bien, je suppose que tu as eu le temps de te préparer à reprendre le boulot alors. Je suis certain que voir défiler des joueurs de Quidditch aux odeurs douteuses, tu n’attends que ça ! »
Il dit ça en rigolant, évidemment. Il faut dire que parfois, ça ne doit pas être agréable de devoir s’occuper des sportifs. On ne prend rarement le temps de leur donner un bain avant de les traîner à l’infirmerie. Il suffirait d’une petite potion pour dissiper les odeurs, et le tour est joué, mais encore faut-il y penser. Mercy demanda alors au jeune homme ce qu’il faisait dans le coin. Elle misa sur les derniers achats de rentrée, et l’italien agita sa tête de gauche à droite.
« J’ai déjà tout ce qu’il faut pour la rentrée. Je suis là parce que mon père exige de moi de trouver un boulot pour la rentrée. J’entre en neuvième année, comme si j’allais avoir le temps de concilier les cours et le boulot. Si seulement j’avais un retourneur de temps, alors là, je pourrais tout faire ! »
C’est beau de rêver, ce genre d’objet, ça n’existe que dans les livres et les légendes. Il n’empêche que ça serait bien utile pour Matteo. Il appréhende vraiment cette nouvelle année. Ce n’est pas le fait de travailler qui le dérange, au contraire, mais il a peur que ses obligations salariales ne le fassent baisser les bras pour les études, or, pour lui les études sont plus importantes que le reste. Il tient le bon bout, il a déjà fait les quatre cinquièmes, ce n’est pas pour laisser tomber maintenant. Il lui reste quatre jours pour convaincre son père de le laisser tranquille.
« D’ailleurs, si tu entends parler d’une offre, n’importe quoi qui ne propose que quelques heures pour un étudiant surbooké, je suis preneur. »
Matteo ne sera pas exigeant sur la nature du boulot même si, évidemment, faire quelque chose qui attrait à la médicomagie lui ferait plaisir.
« Et toi ? Qu’est-ce que tu fais dans le coin, aussi pressée ? »
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Sam 22 Sep 2018 - 20:01
Non mais! Regarde où tu vas, Mercy!
lundi 27 août 2018
T’as beau être pressée de te rendre à l’animalerie pour trouver un petit camarade pour Scapula, même si -surtout si- tu sais que ça va faire râler Dhan, tu peux bien prendre le temps de discuter avec Matteo. Après tout, il n’y a pas d’urgence, aujourd’hui. Tu es officiellement en vacances avant la rentrée. Et t’es bien décidée à en profiter. Même si tu sais que oui, Dhan va t’engueuler parce que tu as pris un deuxième animal sans lui en parler avant. D’un autre côté, s’il y a bien un truc sur lequel il n’a jamais eu de remarque à te faire, c’est là-dessus. Pour Scapula, tu es irréprochable. Ce qui n’est pas le cas pour le reste. En attendant, dans ton cou, la petite furette ouvre un œil et regarde l’étudiant en face de toi en tendant le cou. La sentant remuer, tu tournes ton visage vers elle pour déposer un bisou sur sa petite tête poilue qu’elle frotte ensuite contre ta joue. Tu reviens rapidement au présent et à la petit blague que tu as lancée à Matteo concernant la une de la gazette, ou du chineur, si tu l’avais précipité devant ces fous du balai. Parce que oui, tu as de l’humour, Mercy. Ca ne t’a jamais fait défaut. Et puis… Il faut bien s’amuser un peu de la situation, pas vrai ? Matteo, d’ailleurs, te rassure en te répondant que tu n’es pas ce genre d’infirmière avant de, presque, douter. Presque. Parce qu’il te connait. Il t’a côtoyée en tant qu’étudiante. Ca ne fait, après tout, qu’un an que tu as quitté les bancs de l’université, Mercy Donovan. Qui ne te connait pas ici ? Même ceux qui ne t’ont pas croisée étudiante te connaissent depuis leur première année. Tu n’es pas partie assez longtemps. Ce qui contribue encore à ton côté infirmière décalée. Il n’y a, finalement, pas eu de réelle rupture entre tes années d’apprentissage et ta prise de fonction. Faudra que j’aille squatter la salle commune des rouges, un peu… songes-tu à cet instant. D’autant que tu dois bien admettre que l’ambiance bon enfant qui y régnait quand tu étais Wright te manque. « Non, je ne suis pas ce genre d’infirmière. Ceci dit… Je connais des médicomages de ce type, oui… » C’est, d’ailleurs, ce qui t’a valu de devoir arrêter ton internat. Bref. T’as pas envie de penser à ça, Mercy, et tu montes la main pour aller gratouiller Scapula. « Eh bien, je suppose que tu as eu le temps de te préparer à reprendre le boulot alors. Je suis certain que voir défiler des joueurs de Quidditch aux odeurs douteuses, tu n’attends que ça ! » « Oui… Oui, en effet, j’ai eu le temps de me préparer. » réponds-tu en te retenant de lever les yeux au ciel.
Heureusement, le ton de Matteo t’indique qu’il plaisante. Mais les bobos des joueurs de Quidditch ne te font pas rêver. C’est trop répétitif. Tu rêves de cas graves, qui feront remuer tes méninges pour comprendre comment les soigner. Tu changes donc rapidement de sujet, lui demandant s’il est là pour des achats de dernière minute. A moins qu’il ne fasse une activité typiquement féminine : du lèche-vitrine ? L’italien te contredit rapidement, expliquant que son père veut qu’il trouve un boulot. Tu fronces les sourcils et croises les bras sous ta poitrine. « T’es sérieux là ? Tu entre en neuvième année de médicomagie et il veut que tu perdes ton temps ? » Tu ne comprends pas, Mercy. Même Bash, lorsque tu étais étudiante, alors qu’il faisait de son mieux pour que vous puissiez joindre les deux bouts afin que tu puisses achever ton cursus de médicomagie ne t’a jamais demandé de trouver du boulot pour l’aider à vous assumer. Tu secoues la tête tandis qu’il parle d’un retourneur de temps. « Non. Cela ne ferait que te fatiguer encore plus. Pourquoi il fait ça ? » demandes-tu encore alors qu’une idée commence à germer dans ton esprit. Tu la laisses mûrir un instant, laissant passer sa demande de piste avec un sourire entendu pour répondre à sa dernière question : « J’ai envie de trouver un copain ou une copine à ma furette ici présente… » dis-tu en gratouillant celle-ci sous le menton à son plus grand plaisir. « Mais comme je veux pas lui imposer un animal qu’elle n’aimera pas… Je l’emmène avec moi. Tu veux m’accompagner ? » proposes-tu. D’autant que… « Si tu cherches un boulot… J’ai peut-être un truc à te proposer, mais ça serait sous forme de stage non rémunéré, par contre… » commences-tu de façon à l’allécher.
1-4 : juste à côté de vous, une personne âgée fait un malaise, vous forçant à mettre vos connaissances en pratique.
2-5 : un des fous du balai, occupé par sa course illégale percute un enfant, ce qui les envoie bouler au sol. Sang, fracture, ce n’est pas beau à voir
3-6 : la voie est libre, Mercy et Matteo peuvent traverser la route tranquillement. D’ailleurs, autour d’eux, les gens qui s’étaient immobilisés pour laisser passer les sportifs se sont mis en mouvement.
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Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Sam 22 Sep 2018 - 20:01
Le membre 'Mercy Donovan' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé de magie' : 3
'Dé de magie' : 3
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Dim 30 Sep 2018 - 18:48
Non mais ! Regarde où tu vas, Mercy !
Mercy & Matteo
« Always I'm surprised how well you cut my feelings to the bone. »
Matteo n’est pas le seul à trouver que ce que son père exige cette année-là est complètement insensé. Les Astolfi ont pourtant une certaine fortune et, même si Matteo n’est pas du genre à vouloir se reposer dessus de manière générale, il ne comprend pas que son père exige ça de lui alors qu’il entre en neuvième année, une année charnière. Tout le monde le dit, même ma mère, même mon frère aîné, tout le monde essaye de le raisonner, mais pour ne pas le chiffonner, je vais faire mes recherches, juste pour lui prouver qu’il a tort.
« Je suis on ne peut plus sérieux… Mais comme toi je ne comprends pas trop son délire. Je finirai par le convaincre mais bon, pour le moment j’essaie de ne pas le contrarier alors je cherche. »
C’est l’infirmière qui parle, celle qui prend soin des autres, on est un peu pareil, on sait que pour la santé, il y a des choses à ne pas faire et prendre un boulot alors qu’on a déjà beaucoup d’études, un mémoire à commencer et des entraînements de Quidditch à suivre. Matteo en est tout à fait conscient mais à la nouvelle question de Mercy, il hausse les épaules.
« Je ne sais pas du tout. Peut-être qu’il veut me responsabiliser, pourtant ça fait plusieurs vacances que je fais des stages pour ça et de ma propre initiative. Sans vouloir me vanter, on a la chance d’avoir les moyens dans la famille, donc je ne comprends pas trop sa nouvelle lubie. Même ma mère est contre. »
Matteo se questionne à son tour sur la présence de Mercy dans le coin. Elle explique donc qu’elle est à la recherche d’un petit compagnon pour sa petite sa furette. Il n’avait même pas remarqué la présence de l’animal à vrai dire et lorsqu’il finit par être conscient de sa présence, il lui donne une petite caresse sur la tête. Il aimerait lui aussi avoir un animal de compagnie, autre que le hibou de la famille, mais il n’est pas certain d’avoir le temps et la patience de s’en occuper. Mercy explique ne pas vouloir imposer n’importe quel animal à sa petite furette, d’où sa présence et elle propose même à Matteo de l’accompagner dans cette recherche.
« Bah, écoute, pourquoi pas ! Peut-être que je craquerai moi aussi sur une petite boule de poils, même si entre nous, je ne suis pas sûr d’être un bon compagnon pour un animal… »
Si la malédiction avec les femmes s’étend aux animaux, ce serait un vrai désastre, mais l’italien ne veut pas prendre de risque. Si son animal se fait écraser par un moldu aussitôt qu’il l’a eu, il se sentirait si mal. Il tente de chasser cette idée de son esprit, c’est vraiment absurde. Cependant, toutes ses mauvaises expériences le rende un tant soit peu paranoïaque. Mercy change rapidement de sujet pour revenir au sujet du boulot que Matteo cherche. Elle lui dit avoir peut-être quelque chose à lui proposer sauf que ce serait sous forme de stage non rémunéré.
« J’apprécie la proposition, même si j’en ignore la nature, mais le but de cette recherche de boulot est avant tout pour gagner de l’argent… Je t’avoue que si je dois passer du temps à faire autre chose que de bosser pour les cours ou m’entraîner au Quidditch, autant que j’y gagne vraiment quelque chose… Désolé… »
Dans d’autres circonstances, il aurait peut-être dit oui. Pendant les vacances d’été, par exemple, ça aurait été un grand plaisir mais là, ça risque d’être plus embêtant pour lui qu’autre chose.
Visiblement, les fous du balai ont décidé de dégager la voie. Seuls Mercy et Matteo sont encore au milieu du trottoir à ne plus bouger. Tout le monde autour des deux sorciers semble s’être remis en marche.
« On devrait peut-être se remettre en marche nous aussi ! Sinon, quelqu’un risquerait de nous foncer dedans et il sera peut-être moins commode… »
L’italien se remet donc en marche, continuant sur sa lancée. Il est tout de même un peu curieux quant à la nature du stage que voulait proposer Mercy.
« Mais du coup, tu voulais proposer quoi comme boulot ? »
« Je suis on ne peut plus sérieux… Mais comme toi je ne comprends pas trop son délire. Je finirai par le convaincre mais bon, pour le moment j’essaie de ne pas le contrarier alors je cherche. »
C’est l’infirmière qui parle, celle qui prend soin des autres, on est un peu pareil, on sait que pour la santé, il y a des choses à ne pas faire et prendre un boulot alors qu’on a déjà beaucoup d’études, un mémoire à commencer et des entraînements de Quidditch à suivre. Matteo en est tout à fait conscient mais à la nouvelle question de Mercy, il hausse les épaules.
« Je ne sais pas du tout. Peut-être qu’il veut me responsabiliser, pourtant ça fait plusieurs vacances que je fais des stages pour ça et de ma propre initiative. Sans vouloir me vanter, on a la chance d’avoir les moyens dans la famille, donc je ne comprends pas trop sa nouvelle lubie. Même ma mère est contre. »
Matteo se questionne à son tour sur la présence de Mercy dans le coin. Elle explique donc qu’elle est à la recherche d’un petit compagnon pour sa petite sa furette. Il n’avait même pas remarqué la présence de l’animal à vrai dire et lorsqu’il finit par être conscient de sa présence, il lui donne une petite caresse sur la tête. Il aimerait lui aussi avoir un animal de compagnie, autre que le hibou de la famille, mais il n’est pas certain d’avoir le temps et la patience de s’en occuper. Mercy explique ne pas vouloir imposer n’importe quel animal à sa petite furette, d’où sa présence et elle propose même à Matteo de l’accompagner dans cette recherche.
« Bah, écoute, pourquoi pas ! Peut-être que je craquerai moi aussi sur une petite boule de poils, même si entre nous, je ne suis pas sûr d’être un bon compagnon pour un animal… »
Si la malédiction avec les femmes s’étend aux animaux, ce serait un vrai désastre, mais l’italien ne veut pas prendre de risque. Si son animal se fait écraser par un moldu aussitôt qu’il l’a eu, il se sentirait si mal. Il tente de chasser cette idée de son esprit, c’est vraiment absurde. Cependant, toutes ses mauvaises expériences le rende un tant soit peu paranoïaque. Mercy change rapidement de sujet pour revenir au sujet du boulot que Matteo cherche. Elle lui dit avoir peut-être quelque chose à lui proposer sauf que ce serait sous forme de stage non rémunéré.
« J’apprécie la proposition, même si j’en ignore la nature, mais le but de cette recherche de boulot est avant tout pour gagner de l’argent… Je t’avoue que si je dois passer du temps à faire autre chose que de bosser pour les cours ou m’entraîner au Quidditch, autant que j’y gagne vraiment quelque chose… Désolé… »
Dans d’autres circonstances, il aurait peut-être dit oui. Pendant les vacances d’été, par exemple, ça aurait été un grand plaisir mais là, ça risque d’être plus embêtant pour lui qu’autre chose.
Visiblement, les fous du balai ont décidé de dégager la voie. Seuls Mercy et Matteo sont encore au milieu du trottoir à ne plus bouger. Tout le monde autour des deux sorciers semble s’être remis en marche.
« On devrait peut-être se remettre en marche nous aussi ! Sinon, quelqu’un risquerait de nous foncer dedans et il sera peut-être moins commode… »
L’italien se remet donc en marche, continuant sur sa lancée. Il est tout de même un peu curieux quant à la nature du stage que voulait proposer Mercy.
« Mais du coup, tu voulais proposer quoi comme boulot ? »
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Ven 19 Oct 2018 - 16:28
Non mais! Regarde où tu vas, Mercy!
lundi 27 août 2018
T’arrives pas à comprendre, Mercy. C’est plus fort que toi. Tu as beau essayer de comprendre ce point de vue, tu n’y parviens pas. Ce n’est pas normal. Qu’un parent pousse son enfant à bosser pendant les vacances, d’accord. Mais pas pendant la période scolaire. Surtout quand on arrive dans les dernières années d’étude où il faut encore plus cravacher pour obtenir son diplôme. Tu secoues la tête, et pas qu’un peu. Non, vraiment, t’as beau essayer, tu ne comprends pas. Ce qui te rassure – ou pas – c’est qu’il en est de même pour Matteo. « T’as toujours l’option de trouver un truc et de foirer ton début d’année à cause de ça. Il pourra plus t’obliger, après… » Mercy-les-mauvais-tuyaux. Ca pourrait être ton surnom. Tu lui adresses un sourire mutin, sachant pertinemment que même toi, tu n’aurais pas suivi ce mauvais conseil. Néanmoins, tu insistes un peu pour savoir pour quelle raison il veut pousser Matteo à bosser en plus de ses cours. Des problèmes financiers, peut-être ? Mais Matteo réduit cette hypothèse – la seule qui puisse s’expliquer à tes yeux – à néant. Masi ça ne fait que renforcer tamauvaiseidée. Tu prends donc sur toi pour ne pas convaincre Matteo de t’écouter.
Et pour cela, le changement de sujet de l’étudiant tombe à pic. Ce que tu fais là. « Je te présente Scapula » lui dis-tu lorsqu’il approche sa main pour la caresser. La furette le renifle, marque une hésitation et se laisse faire sans chercher à le mordiller. Une première. Ca ne s’est pas passé comme ça la première fois qu’elle a vu Dhan. Elle se blottit à nouveau autour de ton cou, te faisant une écharpe bien trop chaude pour cette fin août. Néanmoins, tu la laisse faire tandis que Matteo accepte de t’accompagner choisir ton nouvel animal de compagnie. « Tu trouveras peut-être un animal qui te fera changer d’avis ! » lui réponds-tu tandis que, dans ta tête, une petite voix trop souvent entendue te répète que si tu n’aimes pas les enfants aujourd’hui, ça changera le jour où tu auras le tien. Une pensée qui te fait grimacer malgré toi et tu détournes rapidement la tête pour que Matteo ne se méprenne pas sur cette mimique. « Les animaux nous aiment quoi qu’on fasse, tu sais… Et ils savent se rappeler à nous. » Et ça, c’est bien vrai. La façon qu’a Scapula de se blottir contre toi le matin au réveil pour quémander un câlin… Ca te fait tellement craquer, Mercy… Tu espères, d’ailleurs, qu’il en sera de même pour celui que tu prendras en plus.
Avant de vous mettre en marche vers l’animalerie – puisque Matteo a accepté de t’accompagner – tu lui fais une proposition qui t’aurait beaucoup plus quelques années auparavant. Tu ne t’attends donc pas à le voir refuser. Bon… Il faut dire aussi que tu ne lui as pas expliqué en quoi cela consistait. Juste que c’était une possibilité mais sous forme de stage non rémunéré et non d’emploi. Ouais… T’as peut-être fait les choses un peu à l’envers. Néanmoins… Néanmoins, t’es un peu vexée qu’il refuse comme ça, sans manifester sa curiosité sur ce que tu lui proposes. Mais bon… C’est comme ça. A son invitation, tu te mets en route. « Oui, allons-y, avant que la boutique ne ferme. » T’as toujours préféré l’idée d’aller dans des refuges. Mais t’as une furette. Et l’acclimatation avec un animal adulte peut être un peu compliquée. C’est donc un peu la mort dans l’âme que tu prends la direction de l’animalerie. Après, qui sait… Ils sont peut-être en partenariat avec un refuge ? Mais… Cela t’étonnerait fort quand même.
Finalement, Matteo te surprend, t’arrachant à tes pensées, pour enfin manifester de la curiosité à l’encontre de ta proposition et tu esquisses un petit sourire entendu : « M’assister à l’infirmerie. Tu pourrais mettre en pratique tes cours, et en même temps, les réviser ou les bosser quand il n’y a pas d’accident à traiter… »
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Mer 24 Oct 2018 - 1:44
Non mais ! Regarde où tu vas, Mercy !
Mercy & Matteo
« Always I'm surprised how well you cut my feelings to the bone. »
Matteo aime beaucoup Mercy, en revanche, il n’est pas certain de vouloir écouter ses conseils, du moins pas tous ceux qu’elle donne. Se foirer pour prouver à son père qu’il a tort, si ça peut fonctionner, ce n’est pas envisageable. Matteo ne veut pas rater son début d’année, pas à ce stade de ses études. De toute manière, même s’il le voulait, il n’y parviendrait pas, il est beaucoup trop pointilleux là-dessus. S’il n’est pas le Lufkin le plus enfoncé dans ses bouquins, il n’en demeure pas moins un grand bosseur qui ne se permet pas d’échouer volontairement.
« Mmmh, oui, mais non… Je n’ai pas envie de prendre le risque ! »
Il laisse éclater un léger rire, il se doute qu’elle n’est pas totalement sérieuse, mais autant dire les choses clairement. De toute manière, l’heure est aux petites bêtes. Mercy donne la raison de sa présence et l’italien fait la connaissance de Scapula, la petite furette de la jeune femme. C’est une brave petite bête à première vue mais pas le genre de compagnon que Matteo aimerait avoir. Ça lui donne d’ailleurs presque envie d’avoir son propre ami à poils ou à plumes. Il n’est pas certain d’avoir le temps ni d’être un compagnon idéal. Mercy ne semble pas du même avis, persuadée que l’italien pourrait tomber sur un animal qui le ferait changer d’avis. C’est très possible, Matteo résiste difficilement à une petite bouille de chiot ou de chaton. Elle est même persuadée que les animaux aiment les humains quoiqu’ils fassent. Il hausse les épaules, ça, il n’en est pas certain. Selon le sorcier, un animal peut ressentir le danger et donc, il peut ressentir si un humain a peur, est en colère, est dangereux volontairement ou malgré lui. Non, vraiment, Matteo ne pense pas que ce soit aussi simple que ça avec un animal.
Les deux sorciers se mettent donc en route maintenant que la voie est libre et puis, il ne faudrait pas arriver et voir les portes se fermer sous leur nez. C’est encore une période un peu creuse, ce n’est pas tout à fait la rentrée alors certains boutiques ferment un peu tôt plutôt que de tourner en rond à attendre les clients indéfiniment. Alors qu’ils marchent d’un pas décidé, l’italien ne peut s’empêcher de demander à l’infirmière de quoi il s’agissait comme proposition. C’est vrai qu’il a refusé assez rapidement sans chercher à en savoir plus, mais ça paraît assez clair, il n’aura pas le temps quoiqu’il arrive. La jeune femme explique alors qu’elle voulait lui proposer de l’assister à l’infirmerie. C’est vrai que l’offre est très alléchante, c’est toujours de l’expérience à prendre. Si ce n’était que pour lui, Matteo dirait oui sans réfléchir mais s’il doit toujours trouver encore quelque chose à côté pour faire plaisir à son père et ramener de l’argent, ça ne pourra pas être possible.
« Tu sais comment parler à un Lufkin en médicomagie toi… En vrai, ton offre est très intéressante et je suis tenté de dire oui. Sauf que ça ne conviendra pas à mon père car, comme tu l’as dit, ce n’est pas rémunéré. Après… Rien n’empêche de venir vraiment te filer un coup de main quand t’es débordée, je le ferai avec grand plaisir mais ce sera uniquement si j’arrive à négocier avec mon père. C’est sûr que quelque chose sur place, à l’université, et qui me permettrait de réviser mes cours en même temps, c’est idéal. »
L’italien ne cherche pas à gagner de l’argent, lui, il veut pratiquer pour le plaisir, parce que le métier de médicomage est ce qu’il aime, c’est sa vocation, ce n’est plus un mystère.
« Je ne peux rien te promettre pour l’heure. Après… si tu veux envoyer un hibou anonyme à mon père pour le faire changer d’avis… »
Ce n’est qu’une idée lancée comme ça mais il espère que ça ne tombera pas dans l’oreille d’une sourde. Sait-on jamais ! Ils arrivent finalement devant l’animalerie et là, sans réfléchir, Matteo est tout de suite attiré par une petite boule de poils rousse. Un chaton tout poilu et tout roux qui se met à miauler dès qu’il aperçoit l’italien. C’est comme un coup de foudre, comme si la petite boule de poils tentait d’amadouer Matteo.
« Oh ! Bonjour toi ! »
Et voilà. C’est fichu, Matteo est complètement gaga.
« Mmmh, oui, mais non… Je n’ai pas envie de prendre le risque ! »
Il laisse éclater un léger rire, il se doute qu’elle n’est pas totalement sérieuse, mais autant dire les choses clairement. De toute manière, l’heure est aux petites bêtes. Mercy donne la raison de sa présence et l’italien fait la connaissance de Scapula, la petite furette de la jeune femme. C’est une brave petite bête à première vue mais pas le genre de compagnon que Matteo aimerait avoir. Ça lui donne d’ailleurs presque envie d’avoir son propre ami à poils ou à plumes. Il n’est pas certain d’avoir le temps ni d’être un compagnon idéal. Mercy ne semble pas du même avis, persuadée que l’italien pourrait tomber sur un animal qui le ferait changer d’avis. C’est très possible, Matteo résiste difficilement à une petite bouille de chiot ou de chaton. Elle est même persuadée que les animaux aiment les humains quoiqu’ils fassent. Il hausse les épaules, ça, il n’en est pas certain. Selon le sorcier, un animal peut ressentir le danger et donc, il peut ressentir si un humain a peur, est en colère, est dangereux volontairement ou malgré lui. Non, vraiment, Matteo ne pense pas que ce soit aussi simple que ça avec un animal.
Les deux sorciers se mettent donc en route maintenant que la voie est libre et puis, il ne faudrait pas arriver et voir les portes se fermer sous leur nez. C’est encore une période un peu creuse, ce n’est pas tout à fait la rentrée alors certains boutiques ferment un peu tôt plutôt que de tourner en rond à attendre les clients indéfiniment. Alors qu’ils marchent d’un pas décidé, l’italien ne peut s’empêcher de demander à l’infirmière de quoi il s’agissait comme proposition. C’est vrai qu’il a refusé assez rapidement sans chercher à en savoir plus, mais ça paraît assez clair, il n’aura pas le temps quoiqu’il arrive. La jeune femme explique alors qu’elle voulait lui proposer de l’assister à l’infirmerie. C’est vrai que l’offre est très alléchante, c’est toujours de l’expérience à prendre. Si ce n’était que pour lui, Matteo dirait oui sans réfléchir mais s’il doit toujours trouver encore quelque chose à côté pour faire plaisir à son père et ramener de l’argent, ça ne pourra pas être possible.
« Tu sais comment parler à un Lufkin en médicomagie toi… En vrai, ton offre est très intéressante et je suis tenté de dire oui. Sauf que ça ne conviendra pas à mon père car, comme tu l’as dit, ce n’est pas rémunéré. Après… Rien n’empêche de venir vraiment te filer un coup de main quand t’es débordée, je le ferai avec grand plaisir mais ce sera uniquement si j’arrive à négocier avec mon père. C’est sûr que quelque chose sur place, à l’université, et qui me permettrait de réviser mes cours en même temps, c’est idéal. »
L’italien ne cherche pas à gagner de l’argent, lui, il veut pratiquer pour le plaisir, parce que le métier de médicomage est ce qu’il aime, c’est sa vocation, ce n’est plus un mystère.
« Je ne peux rien te promettre pour l’heure. Après… si tu veux envoyer un hibou anonyme à mon père pour le faire changer d’avis… »
Ce n’est qu’une idée lancée comme ça mais il espère que ça ne tombera pas dans l’oreille d’une sourde. Sait-on jamais ! Ils arrivent finalement devant l’animalerie et là, sans réfléchir, Matteo est tout de suite attiré par une petite boule de poils rousse. Un chaton tout poilu et tout roux qui se met à miauler dès qu’il aperçoit l’italien. C’est comme un coup de foudre, comme si la petite boule de poils tentait d’amadouer Matteo.
« Oh ! Bonjour toi ! »
Et voilà. C’est fichu, Matteo est complètement gaga.
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Lun 5 Nov 2018 - 16:12
Non mais! Regarde où tu vas, Mercy!
lundi 27 août 2018
Tu ris, Mercy. Tu comprends tout à fait que ton offre de faire exprès de se planter ne séduise pas Matteo. “t’as raison. Je te taquinais, de toute façon.” et c’est vrai. Tu seras jamais sérieuse en proposant à quelqu’un de mettre son avenir en jeopardy sous prétexte que les parents de cette personne le poussent à faire quelque chose de risqué. Il y a bien d’autres moyens de le prouver. Et puis… Rien ne dit que Matteo parviendra à faire les deux de front, de toute façon. Ce n’est pas comme s’il avait dû travailler à côté de ses études tout au long de l’université. Non. C’est juste une lubie soudaine de son père. T’espères sincèrement que ça va lui passer, d’ailleurs. Parce que tu ne donnes pas cher du bien être estudiantin du jeune homme sans ça.
Néanmoins, lorsqu’il te demande ce qu’était ta proposition, tu finis par lui répondre et lui expliquer ce que tu voulais lui proposer. Tu souris à sa réaction. Oui… Tu sais comment parler aux apprentis médicomages. Ca a toujours été le cas. Même lorsqu’il s’agissait de leur proposer des TP lorsque tu étais étudiante. TP qui avaient tendance à dégénérer quelque peu, d’ailleurs. Mais là, c’est en figure d’autorité que tu te places vis à vis de Matteo et tu renchéris: “Parle-lui de cette proposition. qui sait… Et au besoin, s’il reste réticent, j’essayerai de voir avec McArthur s’il y a moyen de s’arranger.” T’espères cependant ne pas avoir à en arriver là. Parce que tu n’as pas la moindre idée de ce que ça pourrait donner. En tout cas, une chose est sûre: “Ne t’engages pas à m’assister si tu as un boulot à côté de tes études. Parce que là, ça fera vraiment trop. Même si tu utilises un retourneur de temps pour tout faire…”
Néanmoins, tu penses que c’est une solution qui pourrait plaire au père de Matteo. Enfin… Tu l’espères, en tout cas. Mais déjà, vous êtes devant l’animalerie et le sujet du travail en dehors des études n’a plus sa place. Même si tu as bien noté l’idée en l’air de Matteo. Tu attendras cependant pour cela de savoir ce qu’il en est. A peine êtes-vous entrés, d’ailleurs, que Matteo tombe en arrêt devant une petite boule de poils qui se met à miauler en regardant le Lufkin. Mercy le pousse du coude, d’un air de connivence en lâchant un: “Ce sont les chats qui choisissent leurs humains… Pas l’inverse. Et… Je crois bien que celui-ci t’a choisi…”
Quant à toi, Mercy, tu vois une boule de poils un peu plus grosse se jeter droit dans tes bras et commencer à te débarbouiller alors que tu atterris sur les fesses. Voici un jeune chiot qui se prend pour un chat… “Je suis désolée, Mademoiselle. J’allais le mettre dans son enclos.” “Laissez. Il est adorable.” Car oui, Mercy, il te fait fondre, ce chiot tout pataud. Reste à savoir s’il va s’entendre avec Scapula...
chiffre impair: c’est un adorable chiot à poils longs, noir et blanc. Un border Collie, véritable boule d’amour et d’énergie.
chiffre pair: c’est un dogue de Bordeaux. Pataud, baveur, plein de plis, mais adorable et très intelligent et espiègle.
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Lun 5 Nov 2018 - 16:12
Le membre 'Mercy Donovan' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé de magie' : 2
'Dé de magie' : 2
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Jeu 15 Nov 2018 - 2:43
Non mais ! Regarde où tu vas, Mercy !
Mercy & Matteo
« Always I'm surprised how well you cut my feelings to the bone. »
Bon, Matteo s’en doutait, Mercy le taquinait concernant ces mauvais conseils qui étaient de foirer son premier semestre. Evidemment que ça pourrait faire réagir le paternel, mais Matteo n’a pas le courage de se foirer, lui qui a toujours été doué et a toujours eu des bonnes notes. Cela dit, Mercy n’a pas que des mauvais conseils et des mauvaises idées, non, l’italien le sait bien. D’ailleurs, sa proposition est plus qu’alléchante. Dans d’autres circonstances, il aurait dit oui sans hésiter, travailler à l’infirmerie, c’est mieux que le reste comme job étudiant. En revanche, ce n’est pas rémunéré. Alors si lui ça ne lui importe peu, son père, c’est un autre tour de manche à balais. Elle conseilla à Matteo d’en parler à son père malgré tout et de voir ce que ça donne. Qui ne tente rien n’a rien, elle a bien raison. De plus, elle disait pouvoir essayer de négocier avec son boss mais ça, Matteo n’en parlerait pas à son père, il n’y a aucune garantie d’avoir une rémunération. Le jeune sorcier misera sur la carte du boulot pour se responsabiliser plutôt que pour gagner de l’argent, il prétendra ne pas avoir compris les vraies intentions de la demande de son père, et il n’aura qu’à voir ce que ça donne. Dès ce soir, il enverra un hibou à son père.
« Ne t’en fais pas, je ne suis pas assez masochiste pour prendre deux boulots en plus de mes études ! Je sais que je suis un Lufkin, mais quand même, je suis dans la catégorie Lufkin cool, il me faut du temps pour dormir et faire la fête ! »
Les deux sorciers arrivent alors devant la fameuse animalerie. Il est question de trouver un ami pour Scapula et Matteo sera ravi d’aider son amie pour cela. C’était en tout cas le but initial, mais Matteo se retrouva rapidement envoûté par une boule de poils trop mignonne qui semblait vouloir lui parler. Même un Matteo Astolfi peut être complètement gaga devant un animal. Mercy ne faisait rien pour arranger les choses, lui expliquant que c’étaient les chats qui choisissaient leurs compagnons et pas l’inverse.
« Tu crois qu’il m’a choisi, là ? »
Mais quand il se retourna, Mercy avait été attaquée de bisous et de léchouilles par un chiot. Matteo ne put s’empêcher de rire à la scène.
« Eh bah, toi aussi il y a une boule de poils qui t’a adoptée ! Un dogue de Bordeaux, c’est plutôt pas mal comme chien. Tu crois que Scapula va l’aimer ? »
Matteo se retourna vers sa boule de poils qui grattait à la vitre pour pouvoir attirer l’attention du sorcier. La femme de l’animalerie lui fit signe de le prendre dans ses bras et il s’exécuta, il en mourrait d’envie.
« Viens par-là petite citrouille ! »
Il prit le chaton dans ses bras et celui-ci grimpa sur sa poitrine pour aller fourrer sa tête dans le cou de l’italien. Il lui fait des papouilles et craque de plus en plus.
« Mercy, je crois que je vais être faible… Il m’aime déjà je crois… »
La vendeuse semblait amusée par la situation, comme si c’était un signe du destin que ces deux animaux se soient précipités vers les deux sorciers.
« Ne t’en fais pas, je ne suis pas assez masochiste pour prendre deux boulots en plus de mes études ! Je sais que je suis un Lufkin, mais quand même, je suis dans la catégorie Lufkin cool, il me faut du temps pour dormir et faire la fête ! »
Les deux sorciers arrivent alors devant la fameuse animalerie. Il est question de trouver un ami pour Scapula et Matteo sera ravi d’aider son amie pour cela. C’était en tout cas le but initial, mais Matteo se retrouva rapidement envoûté par une boule de poils trop mignonne qui semblait vouloir lui parler. Même un Matteo Astolfi peut être complètement gaga devant un animal. Mercy ne faisait rien pour arranger les choses, lui expliquant que c’étaient les chats qui choisissaient leurs compagnons et pas l’inverse.
« Tu crois qu’il m’a choisi, là ? »
Mais quand il se retourna, Mercy avait été attaquée de bisous et de léchouilles par un chiot. Matteo ne put s’empêcher de rire à la scène.
« Eh bah, toi aussi il y a une boule de poils qui t’a adoptée ! Un dogue de Bordeaux, c’est plutôt pas mal comme chien. Tu crois que Scapula va l’aimer ? »
Matteo se retourna vers sa boule de poils qui grattait à la vitre pour pouvoir attirer l’attention du sorcier. La femme de l’animalerie lui fit signe de le prendre dans ses bras et il s’exécuta, il en mourrait d’envie.
« Viens par-là petite citrouille ! »
Il prit le chaton dans ses bras et celui-ci grimpa sur sa poitrine pour aller fourrer sa tête dans le cou de l’italien. Il lui fait des papouilles et craque de plus en plus.
« Mercy, je crois que je vais être faible… Il m’aime déjà je crois… »
La vendeuse semblait amusée par la situation, comme si c’était un signe du destin que ces deux animaux se soient précipités vers les deux sorciers.
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Lun 3 Déc 2018 - 16:17
Non mais! Regarde où tu vas, Mercy!
lundi 27 août 2018
Tu souris, Mercy lorsque Matteo te dit qu’il n’est pas assez masochiste pour prendre deux boulots à la fois. Surtout qu’avec les Lufkins, il faut s’attendre à tout. Il ne tarde pas à le souligner, d’ailleurs, t’épargnant de devoir répondre. Et lorsqu’il précise que lui, il a besoin de dormir et de faire la fête, tu ne peux t’empêcher de pouffer. En cet instant, t’as l’impression d’avoir le même âge que lui et d’être encore étudiante. Au fond, vous n’avez pas un si gros écart d’âge que ça et tu sais pertinemment que les trois quart de ceux qui te croisent à l’université, quand ils ne te connaissent pas, te prennent pour une étudiante. Ca te va bien, d’ailleurs. T’aime pas te sentir à l’écart de ceux que tu côtoyais comme des égaux un en encore auparavant. “C’est sûr que dormir et faire la fête… C’est la vie!” Et tu sais de quoi tu parles, toi qui vas ou organises des soirées dès que tu peux. Parfois, tu te demandes pourquoi t’es allée chercher Dhan pour être ton colocataire… Ah si! Tu sais! Parce qu’il fait sérieux - il l’est, trop - et qu’un propriétaire ne peut que donner son feu vert à cet anglo-indien BCBG. Bon… Tu ne l’admettras pas, mais en vrai, tu l’adores la plupart du temps - sauf quand il veut te faire récurer l’appart à six heures du matin parce que tu as fait la fête la veille.
Vous arrivez rapidement à l’animalerie et un chaton commence à miauler en regardant Matteo, tapant des pattes contre la vitre qui le sépare du sorcier. T’as pas le temps de répondre à Matteo qui veut savoir si le chaton l’a choisi qu’une boule de poils brun-roux te saute dessus et commence à te débarbouiller en jappant doucement. Toi, tu finis par terre, le chiot sur toi, hilare. Ouais, clairement… T’as été adoptée. Scapula, sagement cachée sous tes cheveux, attend que l’animal se calme pour sortir de sa cachette et observer l’animal avec une méfiance mêlée de curiosité. « Eh bah, toi aussi il y a une boule de poils qui t’a adoptée ! Un dogue de Bordeaux, c’est plutôt pas mal comme chien. Tu crois que Scapula va l’aimer ? » Tu ne dis rien, Mercy. Tu gardes sagement le silence pour ne pas faire capoter cette rencontre, qui, finalement, se passe plutôt bien. Le chiot finissant par donner un coup de langue à la furette qui, après s’être essuyée de ses pattes avant passe de ton épaule au dos du canidé sur lequel elle se roule en boule. “Je crois que nous avons notre réponse…” réponds-tu à l’étudiant en te relevant et en t’essuyant le postérieur.
Souriant, tu le regardes prendre le chaton dans ses bras. Il est perdu. Ca y est, c’est foutu. Il va prendre la boule de poils rousse. “Tu vas l’appeler comment? Pumpkin?” demandes-tu en faisant référence au surnom qu’il vient de donner au félin. Toi, de ton côté, tu baisses la tête vers le jeune dogue de Bordeaux aux immenses pattes qui promettent un chien de grande taille et du souris, devinant déjà qu’il va rendre fou ton colocataire: “Tu vas t’appeler Axis.” Le chien lève alors la tête vers toi et aboie un coup, comme pour donner son assentiment à ce nom. Celui d’une vertèbre cervicale. Il n’y a pas à dire, mais entre Scapula et Axis, tu restes vraiment dans le domaine médical...¤terminé pour moi¤
- InvitéInvité
Re: [TERMINE] Non mais! Regarde où tu vas, Mercy! ¤ Matteo
Ven 7 Déc 2018 - 12:53
Non mais ! Regarde où tu vas, Mercy !
Mercy & Matteo
« Always I'm surprised how well you cut my feelings to the bone. »
Mercy semble d’accord lorsque Matteo dit qu’il a besoin de dormir mais aussi de faire la fête. Sur ce point, il savait que Mercy n’allait pas le contredire ou alors ce n’était plus la jeune femme qu’il avait autrefois connue. De toute manière, elle ne rentre pas encore dans la case du personnel de Hungcalf car les étudiants qui l’ont fréquentée en tant qu’étudiantes sont encore trop nombreux. Alors elle garde encore cette image d’étudiante qui sait faire la fête mais tout le monde sait comment ce sera dans deux ans, elle sera comme tous les profs, avec une réputation de personnel qui est là pour taper sur les doigts et qui dort avant le couvre-feu, elle n’y coupera pas.
Une fois dans l’animalerie, il ne faudra pas imaginer que les deux sorciers y passeront trois heures. Le coup de foudre se fait dès l’instant où, chacun, ils mettent les pieds dans la boutique. Matteo est pris d’assaut par un chaton trop mignon tandis qu’il s’agit d’un chiot pour l’infirmière. Matteo est curieux de savoir si ce chien va bien s’entendre avec la petite furette et Mercy ne dit rien, laissant les choses se faire naturellement, tout en restant au sol. Une léchouille de la part du chiot, et Scapula va se blottir sur le dos de ce dernier. Il semblerait que oui, ils ont leur réponse.
« Citrouille plutôt, je trouve que ça lui va mieux. Ça a la même signification, mais au niveau des consonances, je trouve ça beaucoup plus mignon. »
Concernant l’infirmière, elle décide d’appeler le chiot Axis. C’est mignon aussi ! Matteo discute rapidement avec la responsable de la boutique pour savoir quelles sont les démarches pour adopter la petite boule de poils. Citrouille est déjà complètement accroc à son nouvel ami, il se perche sur le haut de l’épaule droite de Matteo, observant de loin les deux petits compagnons de l’infirmière. Matteo remplit les formulaires sans trop tarder, il va falloir qu’il ramène Citrouille vite au dortoir. Il prend également le nécessaire pour s’occuper de lui, un panier, une litière, des croquettes et quelques jouets. Ça devrait le faire pour les premiers jours.
« Bon, Citrouille, tu fais un bisou à tatie Mercy et à Scapula et Axis, on va devoir rentrer. »
Un miaulement échappe de la gueule de l’animal, comme s’il avait totalement compris ce que l’humain lui disait. Il s’était juré de ne pas craquer pour un animal mais finalement, c’était plus fort que lui. Il n’allait pas laisser le chaton, là, sans l’amour dont il a besoin. A défaut de pouvoir avoir une copine, il aura son petit chat pour lui procurer de l’affection. Y a plus qu’à espérer que ses colocataires ne soient pas allergiques aux chats… Ce sera tant pis pour eux, ils n’auront qu’à changer de chambre, Matteo n’abandonnera Citrouille sous aucun prétexte, c’est décidé, c’est acté.
« Je dois vraiment y aller, Mercy ! A bientôt, je te tiens au courant pour la proposition que tu m’as faite. »
Une fois dans l’animalerie, il ne faudra pas imaginer que les deux sorciers y passeront trois heures. Le coup de foudre se fait dès l’instant où, chacun, ils mettent les pieds dans la boutique. Matteo est pris d’assaut par un chaton trop mignon tandis qu’il s’agit d’un chiot pour l’infirmière. Matteo est curieux de savoir si ce chien va bien s’entendre avec la petite furette et Mercy ne dit rien, laissant les choses se faire naturellement, tout en restant au sol. Une léchouille de la part du chiot, et Scapula va se blottir sur le dos de ce dernier. Il semblerait que oui, ils ont leur réponse.
« Citrouille plutôt, je trouve que ça lui va mieux. Ça a la même signification, mais au niveau des consonances, je trouve ça beaucoup plus mignon. »
Concernant l’infirmière, elle décide d’appeler le chiot Axis. C’est mignon aussi ! Matteo discute rapidement avec la responsable de la boutique pour savoir quelles sont les démarches pour adopter la petite boule de poils. Citrouille est déjà complètement accroc à son nouvel ami, il se perche sur le haut de l’épaule droite de Matteo, observant de loin les deux petits compagnons de l’infirmière. Matteo remplit les formulaires sans trop tarder, il va falloir qu’il ramène Citrouille vite au dortoir. Il prend également le nécessaire pour s’occuper de lui, un panier, une litière, des croquettes et quelques jouets. Ça devrait le faire pour les premiers jours.
« Bon, Citrouille, tu fais un bisou à tatie Mercy et à Scapula et Axis, on va devoir rentrer. »
Un miaulement échappe de la gueule de l’animal, comme s’il avait totalement compris ce que l’humain lui disait. Il s’était juré de ne pas craquer pour un animal mais finalement, c’était plus fort que lui. Il n’allait pas laisser le chaton, là, sans l’amour dont il a besoin. A défaut de pouvoir avoir une copine, il aura son petit chat pour lui procurer de l’affection. Y a plus qu’à espérer que ses colocataires ne soient pas allergiques aux chats… Ce sera tant pis pour eux, ils n’auront qu’à changer de chambre, Matteo n’abandonnera Citrouille sous aucun prétexte, c’est décidé, c’est acté.
« Je dois vraiment y aller, Mercy ! A bientôt, je te tiens au courant pour la proposition que tu m’as faite. »
(c) DΛNDELION
TERMINÉ
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