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Une rencontre étonnante [PV]
Ven 5 Fév 2010 - 20:26
Ce matin là, je m’étais pourtant promis de ne pas me réveiller. Les volets de ma chambre étaient malheureusement ouvert et malgré les rideaux, la lumière du soleil caressait mon visage, me suppliant de me réveiller. Ma volonté ne fut pas assez forte et ce fut le soleil qui gagna cette bataille acharnée contre le monde merveilleux de Morphée. J’entrouvrit les yeux, la lumière était aveuglante, aujourd’hui il allait faire beau, un temps idéal pour aller se promener dans le parc, mais je n‘en avais pas envie, la seule chose que je désirer c‘était de me rendormir, dans mes draps blanc et chaud. J’eu du mal à sortir ma jambe droite du lit, mais lorsque je réussis cet exploit, la gauche suivit lentement, le plus dur était fait. J’étais emmitouflé dans ma couette bien chaude, assit sur mon lit, à scruter l’armoire en face de moi. Je cherchais la motivation pour pouvoir sortir entièrement de ma couette, d’aller me préparer et m’habiller pour sortir. Quelques minutes plus tard, c’était décidé, je m’extirpai violemment de ma couette, pris des affaires de rechange, un peignoir et mon ascension dans la salle de bain commença. Enfin arrivé dans la divine pièce, je me déshabillai dans le but de me doucher. Trente minutes plus tard, j’avais enfin finit de prendre cette douche, j’étais propre, je sentais bon et j’étais tout mouillé. Ma serviette n’était pas à porté de mains, il fallu donc que j’aille la chercher. Elle était disposé sur un sèche-serviette, près du lavabo. Sur mon passage, mon corps mouillé sema une bonne trentaine de gouttes. Le temps de me sécher puis de me préparer, les minutes défilaient à une vitesse hallucinante. Entre temps, un ou plusieurs élèves devaient attendre dernière la porte, mais je m’en fichais royalement, j’étais trop occupé à m’occuper de mon visage plutôt que des autres. La paix qui régnait dans cette pièce fut soudainement troublé par l’excès de colère d’un élève qui frappa à la porte.
« C’est pas bientôt finit là dedans! Il y en a qui attendent! »
Cria-t-il. J’ouvris la porte, et sortis, sans me préoccuper de se fauteur de trouble. Il n’en valait pas la peine, seule mon physique pour l’heure me préoccupait. Le monde de Morphée avait beaux être un monde merveilleux dans lequel je me sentais à mon aise, il faisait des ravages sur mon physique lorsque je le quitter pour vivre dans le monde réel, à commencer par les nombreux épis dû à la sécheresse de mes cheveux, j’avais beau utiliser des soins hydratants, tout les jours c’était la même bataille. J’étais enfin près, mais près à quoi… Aujourd’hui je n’avais rien de prévu, comme les autres jours d’ailleurs… Je retournais dans ma chambre, maudissant le soleil de m’avoir réveillé, je pris ma sacoche et décida de partir en expédition dans l’école. Je ne connaissais pas tous les recoins de cette école donc j’en profiterai aujourd’hui pour me dégourdir les jambes. Je marchais avec désinvolture dans les couloirs, sans me soucier des gens qui m’entouraient, je ne voulais parler et voir personne aujourd’hui, je voulais rester dans ma bulle, fumer tranquille, me poser dans un endroit où je pourrai être seul et rêvasser.
Arrivé au rez-de- chaussez, je me dirigeai vers là cour. Par chance il y avait un banc de libre, mais trop de gens aux alentours dans cette première partie du vaste espace vert qui nous était offert, je m’enfonçai plus profondément dans ce parc en quête d’un petit coin de paradis. Cela faisait quelques minutes que je marchais quand je vis un coin d’herbe tranquille et à l’ombre d’un arbre. Je décidai donc je me poser à cette endroit. Je commençai à me rouler un joins de jamaïcainbûd que j’avais spécialement fait importer d’Amsterdam. Elle s’effritait à la perfection, elle était sèche comme il le fallait et avait une petite odeur de fruit rouge. Avant de lécher le collant de la feuille, je sentis une dernière fois ses merveilleuse plante mélangé au tabac. L’ensemble donnait une odeur légère et agréable à respirer. Je me décidai à lécher cette feuille pour enfin pouvoir apprécier cette plante à sa juste valeur. Je l’allumais avec de la difficulté. J’avais oublié de garder du tabac pour l’extrémité du joins, mais au bout d’une minutes, la mix se consuma. J’inspira pour expirer par la suite la fumée. Cette beuh me donnait l’effet d’avoir les lèvres sucrée. Je me les mordillais après chaque expiration pour mieux ressentir cette sensation. Je reposa ma tête contre l’arbre sur lequel j’étais appuyé, fermant les yeux, je continuais de fumer. Une petite brise vain caresser mon visage. Je me sentais bien, j’étais en harmonie avec moi-même et je fusionnais avec la nature. J’aimais cette sensation mais elle fut perturber par mon estomac qui cria famine. Cela faisait deux jours que je n’avais rien mangé et c’est vrai que je commençai à mourir de faim.
Je partie donc en quête de nourriture. Je n’étais pas un fin mangeur mais lorsque mon ventre commençait à gargouiller cela ne signifiait qu’une chose, mes réserves sont épuisées et que je vais m’évanouir. Arrivé dans la grande salle, le petit déjeuné était par chance, encore servis à cette heure-ci. Je pris une brioche sur la grande table des Wrights et je parti pour une nouvelles expédition, mais cette fois-ci au quatrième étage. Je n’y étais jamais allé et j’avais entendu des rumeurs sur ce lieu qui semblait très mystérieux. Je ne suis pas curieux de nature, mais cette fois-ci je voulais vraiment voir par moi-même ce lieu si « mystique ». Je montais ces interminables escaliers pour enfin arriver au quatrième étage. L’ambiance dans le couloir était étouffante et un calme plus qu’inquiétant y régnait. Le couloir était éclairé faiblement et j’avançais à tâtons. Les murs étaient humide, normale me direz vous, nous sommes dans un château, mais avec l’ambiance présente en ce lieu, même l’humidité faisait presque peur. Je sentis soudainement quelque chose de froid et dur sous mes doigts, la surprise fut si grande qu’à cette instant, un cri se fit retentir du fond de ma gorge. J’avais honte… D’autant plus qu’après avoir examiner cette « chose », il s’avéra que c’était la poignet d’une porte. Moi, j’avais hurlé parce que j’avais touché la poignet d’une porte… J’avais beau avoir fumé un joins ce matin, je restais lucide, à vrai dire, j’avais tout mes esprits et le fait d’avoir hurlé pour si peu m’exaspérer au plus haut point. Je priai dans mon inconscient que personne ne m’est entendu sinon s’en était finit pour moi.
Si quelqu’un m’avait entendu, je devais absolument me cacher, ou au moins me poser à un endroit pour me remettre de ses émotions. Je ne savais pas vraiment quoi faire et dans la panique, inconsciemment, ma main pris la poignet, la baissa et j’ouvris la porte, sans me poser de questions j’entra dans la pièce. Je me retournai et je pus voir un vieux bureau en bois de style anglais. Pour seul éclairage, cette pièce possédait une bougie magique, ce qui, je dois l’avouer, donnait beaucoup de charme à cette pièce, on se serait cru dans l’antre d’un naufragé perdu en mer. Cette pièce était mystérieuse mais pas effrayante. Elle avait un charme qui nous donnait une sensation de dépaysement. Je décidai de prendre mon aise vu que cette pièce semblait inoccupée. Je m’asseyais en tailleur contre une des portes du bureau. Je décidai de rouler un autre joins, histoire de fêter ma découverte. Je me réjouissais à l’avance du temps que je passerai dans le futur dans cet endroit.
Arrivé au rez-de- chaussez, je me dirigeai vers là cour. Par chance il y avait un banc de libre, mais trop de gens aux alentours dans cette première partie du vaste espace vert qui nous était offert, je m’enfonçai plus profondément dans ce parc en quête d’un petit coin de paradis. Cela faisait quelques minutes que je marchais quand je vis un coin d’herbe tranquille et à l’ombre d’un arbre. Je décidai donc je me poser à cette endroit. Je commençai à me rouler un joins de jamaïcainbûd que j’avais spécialement fait importer d’Amsterdam. Elle s’effritait à la perfection, elle était sèche comme il le fallait et avait une petite odeur de fruit rouge. Avant de lécher le collant de la feuille, je sentis une dernière fois ses merveilleuse plante mélangé au tabac. L’ensemble donnait une odeur légère et agréable à respirer. Je me décidai à lécher cette feuille pour enfin pouvoir apprécier cette plante à sa juste valeur. Je l’allumais avec de la difficulté. J’avais oublié de garder du tabac pour l’extrémité du joins, mais au bout d’une minutes, la mix se consuma. J’inspira pour expirer par la suite la fumée. Cette beuh me donnait l’effet d’avoir les lèvres sucrée. Je me les mordillais après chaque expiration pour mieux ressentir cette sensation. Je reposa ma tête contre l’arbre sur lequel j’étais appuyé, fermant les yeux, je continuais de fumer. Une petite brise vain caresser mon visage. Je me sentais bien, j’étais en harmonie avec moi-même et je fusionnais avec la nature. J’aimais cette sensation mais elle fut perturber par mon estomac qui cria famine. Cela faisait deux jours que je n’avais rien mangé et c’est vrai que je commençai à mourir de faim.
Je partie donc en quête de nourriture. Je n’étais pas un fin mangeur mais lorsque mon ventre commençait à gargouiller cela ne signifiait qu’une chose, mes réserves sont épuisées et que je vais m’évanouir. Arrivé dans la grande salle, le petit déjeuné était par chance, encore servis à cette heure-ci. Je pris une brioche sur la grande table des Wrights et je parti pour une nouvelles expédition, mais cette fois-ci au quatrième étage. Je n’y étais jamais allé et j’avais entendu des rumeurs sur ce lieu qui semblait très mystérieux. Je ne suis pas curieux de nature, mais cette fois-ci je voulais vraiment voir par moi-même ce lieu si « mystique ». Je montais ces interminables escaliers pour enfin arriver au quatrième étage. L’ambiance dans le couloir était étouffante et un calme plus qu’inquiétant y régnait. Le couloir était éclairé faiblement et j’avançais à tâtons. Les murs étaient humide, normale me direz vous, nous sommes dans un château, mais avec l’ambiance présente en ce lieu, même l’humidité faisait presque peur. Je sentis soudainement quelque chose de froid et dur sous mes doigts, la surprise fut si grande qu’à cette instant, un cri se fit retentir du fond de ma gorge. J’avais honte… D’autant plus qu’après avoir examiner cette « chose », il s’avéra que c’était la poignet d’une porte. Moi, j’avais hurlé parce que j’avais touché la poignet d’une porte… J’avais beau avoir fumé un joins ce matin, je restais lucide, à vrai dire, j’avais tout mes esprits et le fait d’avoir hurlé pour si peu m’exaspérer au plus haut point. Je priai dans mon inconscient que personne ne m’est entendu sinon s’en était finit pour moi.
Si quelqu’un m’avait entendu, je devais absolument me cacher, ou au moins me poser à un endroit pour me remettre de ses émotions. Je ne savais pas vraiment quoi faire et dans la panique, inconsciemment, ma main pris la poignet, la baissa et j’ouvris la porte, sans me poser de questions j’entra dans la pièce. Je me retournai et je pus voir un vieux bureau en bois de style anglais. Pour seul éclairage, cette pièce possédait une bougie magique, ce qui, je dois l’avouer, donnait beaucoup de charme à cette pièce, on se serait cru dans l’antre d’un naufragé perdu en mer. Cette pièce était mystérieuse mais pas effrayante. Elle avait un charme qui nous donnait une sensation de dépaysement. Je décidai de prendre mon aise vu que cette pièce semblait inoccupée. Je m’asseyais en tailleur contre une des portes du bureau. Je décidai de rouler un autre joins, histoire de fêter ma découverte. Je me réjouissais à l’avance du temps que je passerai dans le futur dans cet endroit.
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