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Someone you loved ☽ Wendy
Sam 5 Jan 2019 - 23:01
Someone you loved
Wendy & Sol
« I'm going under and this time I fear there's no one to save me. This all or nothing really got a way of driving me crazy. I need somebody to heal, somebody to know. »
Le réveil est difficile, l’est d’autant plus que le soleil du matin ne caresse pas son visage, que les aras bleuâtres ne tambourinent pas à sa fenêtre, que les lèvres légèrement rêches de Lucca n’effleurent pas les siennes. Elle porte ses longs doigts jusqu’à sa bouche. Et… Rien. Il est parti. Ou plutôt, elle est partie, sans rien dire. Pas de confrontations, pas de larmes, pas d’impostures. Après tout, qui prendrait le temps de dire au revoir à un délateur ? Son coeur se serre et aussitôt, elle se recroqueville sur elle-même. Respire, puis inspire. Il faut tirer un trait sur le passé et vite. Une partie du moins. Car, Wendy n’est pas loin. Lentement, elle repousse ses draps soyeux jusqu’à son bas ventre. En silence, Soledad observe méticuleusement sa main, la tournant et la retournant dans les airs, à la recherche d’une entaille, d’une cicatrice, d’une quelconque marque de ce terrible serment inviolable. Mais, une fois de plus… Rien. À croire que son existence pourrait désormais se résumer à un vaste et profond néant. Matière céleste, invisible et incapable de répandre ou propager la lumière. Trou noir. Bien loin de ces innocentes nuits à observer l’étincelante Cassiopée du coin de l’oeil. Calmement, elle s’extirpe de son lit, discernant les clapotis d’une pluie incessante contre les carreaux de sa fenêtre. Pays pourri ! L’Amérique du Sud lui manquera, cela ne fait aucun doute. Rythmes ensorcelants, températures embrasées et délices pimentés. Pas le temps de se plaindre, cependant. Car son cours de prédilection l’attend. Car, Wendy n’est pas loin.
Où est-elle passée ? Cette sorcière à l’allure impeccable et aux manières raffinées ? À présent, doucereuse et désorientée, Soledad sillonne, prudemment, le niveau inférieur de l’université. L’humidité environnante vient mordre ses jambes dénudées. Par Merlin ! À quoi pensait-elle donc en se préparant ce matin ? L’Écosse n’est pas le Brésil. Elle devrait pourtant le savoir. Immanquablement, des regards inquisiteurs se posent sur la jeune femme qui, d’emblée, s’enveloppe un peu plus décemment dans une magnifique écharpe aux couleurs vives. Peu à peu, des arômes d’ellébore parviennent jusqu’à la jeune femme, l’enivrent progressivement. Les élaborations à base de jus de grenade, racines de gingembre et fèves de cacao sont, dorénavant, loin derrière elle. Ainsi, cela ne l’étonnerait pas que ce premier enseignement se voue à la confection d'un philtre de paix, une mixture efficace dont elle use et abuse dernièrement. Mais, ce n’est que temporaire, n’est-ce pas ? Un simple coup de pouce afin d’atténuer son anxiété, rien de bien méchant. Rapidement, elle repousse une épaisse porte en bois de chêne et prend place, sans réflexion, derrière un récipient de cuivre. Son regard caresse l’assemblée et, immédiatement, une silhouette familière détonne. Car, Wendy est ici. Car, elle n’a cessé de réaliser de fantastiques potions, digne héritage de Castelobruxo. Abruptement, la voix d’Agrippa Skinner la soustrait de ses pensées et, sous le regard époustouflé de son partenaire, entame la réclamée préparation.
Le cours touche à sa fin et son infusion est parfaite. « Per-fect. » Ainsi, les médisances quant à sa tenue des plus inappropriées, particulièrement en ce froid hivernal, les rictus quant à ses « r » qui roulent, parfois trop longuement, sur le bout de sa langue ou les commentaires jalousés quant à la couleur hâlée de sa peau, synonyme de jemenfoustime au soleil, se taisent pour laisser place à un silence respectueux. La salle se désemplit nonchalamment, ce qui permet à Soledad de mettre discrètement de côté quelques fioles du précieux élixir, en oubliant presque la présence de Wendy... Wendy !
Où est-elle passée ? Cette sorcière à l’allure impeccable et aux manières raffinées ? À présent, doucereuse et désorientée, Soledad sillonne, prudemment, le niveau inférieur de l’université. L’humidité environnante vient mordre ses jambes dénudées. Par Merlin ! À quoi pensait-elle donc en se préparant ce matin ? L’Écosse n’est pas le Brésil. Elle devrait pourtant le savoir. Immanquablement, des regards inquisiteurs se posent sur la jeune femme qui, d’emblée, s’enveloppe un peu plus décemment dans une magnifique écharpe aux couleurs vives. Peu à peu, des arômes d’ellébore parviennent jusqu’à la jeune femme, l’enivrent progressivement. Les élaborations à base de jus de grenade, racines de gingembre et fèves de cacao sont, dorénavant, loin derrière elle. Ainsi, cela ne l’étonnerait pas que ce premier enseignement se voue à la confection d'un philtre de paix, une mixture efficace dont elle use et abuse dernièrement. Mais, ce n’est que temporaire, n’est-ce pas ? Un simple coup de pouce afin d’atténuer son anxiété, rien de bien méchant. Rapidement, elle repousse une épaisse porte en bois de chêne et prend place, sans réflexion, derrière un récipient de cuivre. Son regard caresse l’assemblée et, immédiatement, une silhouette familière détonne. Car, Wendy est ici. Car, elle n’a cessé de réaliser de fantastiques potions, digne héritage de Castelobruxo. Abruptement, la voix d’Agrippa Skinner la soustrait de ses pensées et, sous le regard époustouflé de son partenaire, entame la réclamée préparation.
Le cours touche à sa fin et son infusion est parfaite. « Per-fect. » Ainsi, les médisances quant à sa tenue des plus inappropriées, particulièrement en ce froid hivernal, les rictus quant à ses « r » qui roulent, parfois trop longuement, sur le bout de sa langue ou les commentaires jalousés quant à la couleur hâlée de sa peau, synonyme de jemenfoustime au soleil, se taisent pour laisser place à un silence respectueux. La salle se désemplit nonchalamment, ce qui permet à Soledad de mettre discrètement de côté quelques fioles du précieux élixir, en oubliant presque la présence de Wendy... Wendy !
« - Espera, chula* ! l’interpelle-t-elle dans la langue de Cervantes, glissant les minuscules flacons dans son sac avant de partir à sa suite. »Maladroitement, elle se fraie un chemin à travers la foule indolente.
« - Wendy… articule-t-elle en enroulant, finalement, ses doigts autour du poignet de son amie.Délicatement, Soledad relâche sa prise et rend à la douce sa précieuse liberté. Sans doute ne s’attendait-elle pas à la revoir… Si tôt, si près. Elle s’apprête à la serrer dans ses bras et se refrène au dernier moment. Et si l’euphorie des retrouvailles n’était pas partagée ? Ses bras se croisent brusquement sur sa poitrine, il est certain que d’ici quelques instants, elle n’aura d’autres alternatives que de s’épancher sur sa surprenante apparition -excepté qu’elle n’en a ni l’audace, ni le désir. Alors, elle tente de gagner du temps, avec cette ruse, cette finesse qui la caractérise. Et, subtilement, elle altère les lignes de leur conversation.
- So, is this how you say hi to your friends now ? lui demande-t-elle, un demi-sourire aux coins des lèvres. Navrée de la voir s’éloigner, ravie de la retrouver. »
« - So tell me… This guy you told me about. Is he the one who was sitting next to you ? Pretty cute, isn’t he ?»
(c) DΛNDELION
@Wendy Avery
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Re: Someone you loved ☽ Wendy
Mar 15 Jan 2019 - 14:41
Someone you loved
Wendy & Sol
« I'm going under and this time I fear there's no one to save me. This all or nothing really got a way of driving me crazy. I need somebody to heal, somebody to know. »
Tu avais bien vérifiée ton emploi du temps, la veille au soir, avant de t'endormir. Tu avais bien remarquée la présence du cours de potion en première position, et non pas celui d'histoire de la magie. Tu savais que tu devais te diriger vers les cachots. Pas vrai ? Pourtant, tu avais bien réalisée ta bêtise en voyant des deuxième années débarquer devant la salle, et tu t'étais mise à détaler à travers les couloirs pour rejoindre la salle des potions le plus rapidement possible. Tu n'étais pourtant pas habituée à être aussi tête en l'air, bien au contraire ; mais c'était la rentrée. Tu n'étais de retour en Écosse que depuis quelques jours, et le décalage horaire te piquait encore les neurones. Pire que ça, tournaient constamment dans ta tête des milliers de pensées, se résumant en deux catégories : la première concernait Natanel et, surtout, tes parents. Le sujet de ton futur mariage avait brièvement été abordé lors des vacances de noël, il ne s'agissait pour le moment que d'un simple projet, mais tu savais qu'ils y réfléchissaient, qu'ils évaluaient toutes les possibilités, et cette épée de Damoclès qui trônait au dessus de toi te rendait indéniablement folle. La deuxième partie de ton cerveau se composait majoritairement de questions concernant Soledad McLellan. La jeune fille était, avait été ta meilleure amie pendant des années. Pourtant, tu n'avais pas hésité à trahir sa confiance en révélant quelque chose que tu n'aurais pas dû révéler. Tu en avais conscience. Sincèrement, tu le savais avant même de parler. Mais tu n'avais pas pu t'empêcher de penser à la protéger, comme elle le ferait avec toi, tu en étais certaine.
La chance semblait te sourire aujourd'hui, puisque tu étais arrivé en temps et en heure devant la salle de classe. Le préparation du filtre de paix, bien évidemment, avait été réalisé assez simplement, du moins pour toi — tu avais bien remarqué que le Lufkin à tes côtés avait eu bien plus de difficultés. Oh, tu aurais pu l'aider. Sans soucis, même. Mais l'envie n'y était pas, pas aujourd'hui ; ton esprit te torturait trop pour que ta gentillesse ne daigne ressortir. Il n'y avait qu'une chose que tu voulais : entendre le remue-ménages des chaises raclant le sol et le brouhaha significatif de la fin d'un cours et le début d'une courte période de pause. Suite à l'explosion du chaudron de ton voisin — et un léger roulement des yeux de ta part — tu te met enfin en marche, récupère ton sac et te dépêche de quitter la salle. Tu ne fais attention à personne, tu pourrais bien pourtant, mais tu n'en as, encore une fois, pas le courage. Tu voudrais juste creuser un trou et t'allonger dedans pour un moment, attendre qu'un miracle se produise.
La chance semblait te sourire aujourd'hui, puisque tu étais arrivé en temps et en heure devant la salle de classe. Le préparation du filtre de paix, bien évidemment, avait été réalisé assez simplement, du moins pour toi — tu avais bien remarqué que le Lufkin à tes côtés avait eu bien plus de difficultés. Oh, tu aurais pu l'aider. Sans soucis, même. Mais l'envie n'y était pas, pas aujourd'hui ; ton esprit te torturait trop pour que ta gentillesse ne daigne ressortir. Il n'y avait qu'une chose que tu voulais : entendre le remue-ménages des chaises raclant le sol et le brouhaha significatif de la fin d'un cours et le début d'une courte période de pause. Suite à l'explosion du chaudron de ton voisin — et un léger roulement des yeux de ta part — tu te met enfin en marche, récupère ton sac et te dépêche de quitter la salle. Tu ne fais attention à personne, tu pourrais bien pourtant, mais tu n'en as, encore une fois, pas le courage. Tu voudrais juste creuser un trou et t'allonger dedans pour un moment, attendre qu'un miracle se produise.
« - Espera, chula ! »Oh, cette voix. Cette voix est littéralement un miracle, et te fait te stopper en plein milieu du couloir, sous le choc. Tu ne t'attendais certainement pas à entendre Soledad t'interpeller — parce que c'est forcément toi qu'elle interpèle — et, pour être honnête, tu es persuadée de rêver. Ou de cauchemarder, allez donc savoir — après tout, peut-être qu'elle sait, peut-être qu'elle sait que c'est toi ?
« - Soledad...? Pero…Et ça n'est pas peu dire. Tes bras s'enroulent presque immédiatement autour de ta meilleure amie, la serrant contre toi. Sois elle ne t'en veut pas, sois elle n'est pas au courant. C'est peut-être un peu immoral de ta part, mais tu ne peux pas t'empêcher de profiter de la situation. Si elle n'est pas au courant, cette amitié risque de tourner au vinaigre rapidement ; tu as bien le droit de profiter une journée, non ? Vraisemblablement, elle n'a pas l'intention de te répondre pour le moment, mais tu ne peux pas lui en vouloir. Elle vient d'arriver, et les problèmes s'envolent loin ; la perspective de passer la fin de ton année, ici, loin de tes parents, dans un pays que tu découvres un peu plus chaque jour, que tu apprécies un peu plus chaque jour, en compagnie de ta partenaire de crimes rend toute cette vie un peu plus légère, et tu respires, pour la première fois depuis quelques semaines déjà. Elle ne perd pas le nord, et la conversation que vous avez eu il y a à peine une semaine semble encore très fraîche dans son esprit.
- So, is this how you say hi to your friends now ?
- No, I mean... ¡Dios mío! I didn't expect you to be here ! »
« - What ? Timmy ?! No way ! No, I don't really know him, tu passe ton bras autour du sien, commençant à avancer dans le couloir, avant de reprendre la parole. Nate was in the class. But we don't talk anymore, now. So... Yeah, we just, don't talk. »Tu finis par hausser les épaules, le visage bas. Tu sais pas trop quoi dire de plus. Nate a toujours été un sujet sensible, que tu as gardé pour toi depuis... Eh bien, depuis toujours, au final. Nate a été ton secret pendant tellement longtemps, c'est amusant d'enfin mettre des mots sur tout ce que tu as pu ressentir. Enfin, bien sûr tu en as parlé à quelques personnes, ici. Mais personne avec qui tu as grandit, au final.
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: Someone you loved ☽ Wendy
Ven 8 Fév 2019 - 23:17
Someone you loved
Wendy & Sol
« I'm going under and this time I fear there's no one to save me. This all or nothing really got a way of driving me crazy. I need somebody to heal, somebody to know. »
La surprise dans sa voix, ses yeux, son attitude, Soledad s’en délecte. Cette douce influence qu’elle parvient à exercer sur ses proches n’a cessé de lui apporter satisfaction au fil des années. Il faut dire qu’une part d’elle-même -aussi infime soit-elle- lui avait soufflé, sans relâche, que la fuite de sa meilleure amie en Écosse était en partie sa faute. Alors, lorsque la belle l’enlace délicatement, elle chérit chaque seconde qui s’écoule contre celle qui lui avait fait défaut. Sa défiance se volatilise peu à peu, laissant place à d’affectueux souvenirs. Ceux qui lui décrochent un sourire véritable, exaltent son rythme cardiaque et se risquent à lui arracher une ou deux larmes mesurées. Hâtivement, elle tourne la situation en ridicule, abordant un thème plus léger, plus attrayant, celui que son interlocutrice rechigne à aborder. Qui est donc cet homme dont elle lui parlé quelques jours auparavant ?
« - What ? Timmy ?! No way ! No, I don't really know him. l'avertit Wendy.Le bras de Wendy s’enroule autour du sien, comme au bon vieux temps. Ce simple contact la fait frissonner. D’euphorie, de ravissement et d’allégresse. Cette intimité inébranlable malgré l’éloignement. Cela lui avait tellement manqué, une confidente qui ne soit pas Lucca.
- Oh, well… I’d love to know him better! rétorque-t-elle, un rire cristallin s’échappant aussitôt de ses lèvres. Difficile de dire si elle ironise ou non, rarement démonstrative lorsqu’il est question de ses sentiments.
« Nate was in the class. But we don't talk anymore, now. So... Yeah, we just, don't talk. lui révèle son amie d’enfance. Inconsciemment, son corps se paralyse. Ce prénom a visiblement le don de la mettre dans tous ses états.À vrai dire, elle n’en a absolument aucune idée. Et, ce n’est certainement pas parce qu’il s’est montré serviable lors de leur première rencontre que cela signifie que le jeune homme est un bourreau des coeurs. Néanmoins, elle a toujours un peu été ainsi, Sol. À juger les gens -vite et mal, la plupart du temps. Peut-être devrait-elle présenter ses excuses à Wendy ? Parler de la sorte d’un être qui lui est cher est un acte quelque peu méprisable. Peu importe. Incapable de ravaler sa fierté, elle demeure silencieuse, se contentant simplement d’apprécier les étudiants adjacents. Il ne faudrait tout de même pas que le principal intéressé ronde dans les environs. Avant que le silence ne retombe, la sorcière persévère dans son questionnement. Hors de question de laisser à la Summerbee l’opportunité de passer à l’attaque.
- Wait! Nate? Nate Gallaway? l’interroge-t-elle, une once de surprise dans sa voix. I think I met him a couple of days ago. débute-elle, pensive. Seemed like a nice guy. poursuit-elle, en se remémorant la manière dont il lui est spontanément venu en aide. Cela devait inévitablement dissimuler une piètre intention. Impossible d’être si aimable sans raison. I can’t believe you dated him though! Such a skirt chaser. prononce-t-elle finalement en haussant légèrement des épaules. »
« - But… What do you mean you’re not talking anymore? Is he the one you had a fight with? lui demande-t-elle finalement, rassemblant peu à peu les pièces du puzzle. »Elle n’en savait que très peu au sujet de leur relation, seulement qu’elle ne s’était pas bien terminée -si tant est qu’une rupture puisse être heureuse. Alors, elle part en quête de réponses, de fables extravagantes qui abreuvent sa curiosité, occasionnellement immorale. Rapidement, le visage de Wendy s’incline discrètement -cependant suffisamment pour attirer son attention. Pensive, chagrinée ou contrariée. L’Ethelred peine à deviner quelles émotions se cachent derrière ses traits. Est-ce cette distance de ces dernières années qui entrave, aujourd’hui, la lecture et la compréhension de sa complice ? Elle se mordille la lèvre inférieure, prenant peu à peu conscience de son ignorance. Ces retrouvailles insoupçonnées ne peuvent que leur être bénéfique, n’est-ce pas ?
« - Hey, honey… murmure-t-elle tandis que ses doigts fins effleurent la joue de son amie. Douceur et réconfort, réminiscence de ces années passées aux côtés de sa meilleure amie. You know what? It doesn’t matter! I’m here now. lui promet-elle simplement, un sourire hypocrite aux coins des lèvres. Non pas qu’elle désire briser sa parole, mais plutôt qu’être ici ne la réjouit pas particulièrement. Sa vie passée lui manque. Il lui manque, aussi insensé que cela puisse paraître. And… We don’t need any of those chaps to be happy, right? tente-t-elle de se convaincre en lui adressant un clin d’oeil espiègle. Coeur estropié, révélant à demi-mots cette rupture qui hante ses nuits. »
(c) DΛNDELION
@Wendy Avery
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