L'histoire est relativement libre, il faut juste garder en tête qu'il a eue droit à une éducation différente : la première partie de sa vie, jusqu'à ses 10 ans, son père l'a éduqué, avec ses soeurs, de manière stricte, conservatrice et à la dure. Dirigé pour reprendre le trône de l'entreprise familiale (au choix), son père est décédé suite à un cancer et a été éduqué par sa mère, beaucoup plus libre et ouverte d'esprit. De ce fait, cette dernière dirige encore l'entreprise, sans oublier le fait qu'elle est tombée malade aux 10/11 ans de Laël, ce qui a retardé de 2 ans son entrée à Ilvermorny (il y est rentré à 12/13 ans environ). L'éducation a laissé des traces d'une certaine ambivalence de caractère : tant gentil que méchant, manipulateur que sincère, loyal que fourbe, délicat que violent, il n'y a que ses proches qui l'ont vu sans ses masques enfilés en société.

> Tout ce qui concerne les détails, sa magie, des traumatismes etc, sont libres. Le but étant de te laisser imaginer et construire le bébé selon tes envies, tant que tes idées respectent les idées inscrites ici.   L'avatar est négociable, tant qu'il s'agit d'un grand brun barbu, avec un certain charisme, même si j'adore Simoes, tout comme le pseudo qui est plus là pour la décoration et toutes les informations complémentaires. Bien sûr, un maximum d'amour t'attends.  


Partenaires et complices depuis les bancs estudiantins d’Ilvermorny, Laelia et Laël se sont liés avec aisance, premier amour (2009 à 2014). Une alchimie débutant sur un point commun : leur retard dans les études. Les caractères similaires, ils ont su voir et percer les masques d’illusions dont l’autre s’habillait. Reflet bouleversant de son âme, les essences jumelées, ils se sont aimés comme détestés, blâmés comme félicités, détruits comme reconstruits, sans jamais douter de l’autre. Inséparables, terreurs des couloirs, ils s’amusaient à tourmenter les autres, à se moquer et à faire régner un parfum de terreur dans le coin. Ceci jusqu’à leur quatrième année à Hungcalf : jalousie et ambiguïté de la relation, ils n’ont jamais osé parler, de par leur pudeur, de ce qu’ils ressentaient, surtout l'aigreur du brun concernant la fleur, elle qui l'a laissé pour un autre, l'infâme. Pourtant, ils se laissaient aller aux confessions des expériences traumatisantes du passé, ou du moins pas totalement pour l’orchidée. Celle-ci lui a caché l’Enfer vécut à l’orphelinat, encore honteuse. C’est alors que Laël est tombé sur une discussion qu’il n’aurait pas dû entendre : des confessions de la ronce à une autre oreille que la sienne, des choses qu’il ignorait. Blessé, meurtri et vexé, il s’est mis à la haïr de toutes ses forces, à maudire celle qui aimait jusqu’à l’ignorance et l’indifférence après cette ultime dispute, qui a séparé les âmes soeurs.

> Aujourd'hui, la fierté pousse les bambins à se détester, à se crier dessus et s'insulter, le conflit ayant mit en évidence les lacunes de chacun à se confier. Il y a un conflit perpétuel entre eux, même si les coeurs se déchirent, les voix se brisent. (Je joue au feeling et n'aime pas prévoir une finalité, c'est pour cette raison que le descriptif est vague, afin de pouvoir nous laisser aller, guider, par la plume de l'autre. De ce fait, toutes les évolutions sont possibles. )